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rouzik

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2 commentaires

L’extension .Bzh est désormais sur la braise

Le 04/03/2014 à 14h 54

Que de grand n’importe quoi dans ces commentaires! Il n’y a bien qu’en France que le .bzh le .corsica ou le .alsace (ils arrivent) peuvent poser des problèmes qui n’existent pas. D’ailleurs le .paris ne suscite aucun débat, le .aquitaine non plus. Les .re, .gp ..mq .gf existent depuis des années également. Personne ne débat là dessus? Mais avec certains nouveaux arrivants, de quoi les Français ont-il peur? Allez demander aux Allemands ce qu’ils pensent des futurs .bayern ou .hamburg (ville-état)… ils s’en fichent! Ils vont arriver et c’est tout.
Il n’y a qu’en France que dès que quelque chose d’un peu régional apparait et concerne des régions à forte identité, un débat houleux a lieu avec utilisation de mots comme indépendance, autonomie alors qu’ils sont complètement hors sujet.

Par exemple, l’extension .bzh gênera qui dans son quotidien? Personne. Alors un peu de tolérance! Ceux qui auront envie de l’utiliser, le feront et c’est tout.

Quant aux divers clichés sur la Bretagne, les Basques, le Luxembourg et le reste, vous devriez voyager d’avantage en Europe dans des régions aux cultures marquées qui existent pourtant dans un même pays (en Suède, en Allemagne, en Italie (ex : le Süd Tyrol, région la plus autonome d’Europe) etc…) sans gêner grand monde. Après il est certain qu en France, on parle plus facilement des régions où cela pose des problèmes (Flandres/Wallonie en Belgique, Catalogne en Espagne) que de celles plus nombreuses où il n’y en a aucun.


Numérique : ce qui va changer dans les écoles, collèges et lycées

Le 12/06/2013 à 10h 00






spohyak a écrit :

300pc dans un collège ? Je ne sais pas où tu as vu ça :)




Allez au hasard dans une académie de taille moyenne (350 établissements secondaires environ) : le collège de Blenod les Pont à Mousson (54)

Il existe de nombreux établissements avec des parcs de 200 ou 300 machines. Tout dépend des budgets alloués par les départements (collèges) et les régions (lycées).



lordnicolas a écrit :

Ca dépend du choix des académies….
Perso, je fais du support informatique pour plusieurs académie (via un service desk) et t’as pas besoin d’avoir un tech 2424 sur site. Il n’y en a pas besoin, et c’est trop couteux, même pour les gros établissements.



Et du choix des collectivités locales (ex : le département le plus riche de France qui gère tout lui même à coup de contrats de maintenance). Dans chaque académie il y a des équipes d’assistances (appelée RAIP etc…) délocalisées. Certaines les ont peut être supprimées.



lordnicolas a écrit :

Par contre, il y a actuellement plu de 200 applications nationales, sans parler des applications développé en interne par les rectorats. C’est plus ce sujet là qui serait intéressant à traiter. Il rajoute des applications sans en supprimer/faire évoluer les anciennes.



Il ne faut pas oublier que l’informatique de l’Education nationale doit gérer 14 Millions de personnes réparties mondialement (de métropole aux TOM). Les anciennes applications nationales sont supprimées quand une nouvelle apparaît. Les applications locales répondent aux besoins qui ne sont pas couverts par les applications nationales (même si le ministère répond en général que tout est couvert par les applications nationales, ce qui est faux). Ces applications développées au niveau académique évoluent au fil du temps et disparaissent si elle ne serve plus.

Le problème est plutôt au niveau des disparités entre académies. Si certaines ont de véritables équipes de développements locales qui créent des outils utiles à l’académie (enseignants, gestionnaires, élèves, inspecteurs), d’autres n’en ont aucune et les usagers en sont réduits à tout gérér avec excel, word, works and co. Pour le développement local, comme pour les équipes d’assistances délocalisées,par le passé, certaines ont suivi les consignes ministérielles et ont tout supprimé, d’autres les ont concervé. La suite leur a donné raison.