Il y a eu des études sur le sujet, et c’est bel et bien pas du tout la même chose.
L’une des principales raisons avancées, c’est que le déficit d’attention dans le cas où on discute avec un passager est en partie compensé par le fait que le passager peut lui aussi repérer des dangers potentiels et les signaler si le conducteur ne les a pas remarqués. Et il est aussi en mesure de détecter quand il doit se taire, par exemple à l’approche d’un carrefour réputé dangereux.
De façon plus secondaire, l’effort nécessaire pour écouter au téléphone n’est pas la même
que pour écouter une personne qu’on a à côté de soi, en raison de la
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Contre le téléphone au volant, un sénateur plaide pour des brouilleurs d’ondes
02/10/2017
Le 02/10/2017 à 15h 28