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Laurent_Chemla

est avec nous depuis le 21 juillet 2011 ❤️

14 commentaires

Le 08/07/2020 à 04h 32

Sinon je rappelle qu’on a pas besoin de tests de vitesse (toujours très peu précis) pour le savoir puisque l’interface de FreeboxOS l’affiche (État de la Freebox -> État Internet => Débit Ethernet Montant (Max)).



Toujours 600Mb/s chez moi.

Le 24/02/2020 à 14h 40

Je me demande comment les USA réagiraient si la France (ou l’Europe) décidait de lui imposer la même norme que nous pour les fiches secteurs, tiens. Et combien ça coûterait.



En règle générale, il vaut mieux ne pas partir d’une situation idéale et totalement vierge quand il est question de modifier un truc déjà existant : l’email (ou le téléphone) étaient interopérables dès leur origine, ce n’est pas comparable avec l’état des lieux des messageries et des réseaux sociaux.

Le 24/02/2020 à 11h 50

Prenons les choses dans l’ordre. Si l’objectif (c’est en tous cas celui qui est proclamé) est de pouvoir “quitter” Facebook tout en conservant le contact avec notre réseau social, alors cela suppose :

 

 - Déjà qu’on avait un compte Facebook. Pour pouvoir le quitter, hein…

 - Donc des messages, publics et privés, des contacts, des amis… bref.

 

 De deux choses l’une :

 

 - Soit on “quitte” Facebook en fermant ce compte, mais alors quid du passé si Facebook décide d’effacer les données associées ? Ou alors la   Quadrature milite pour que Facebook conserve nos données personnelles même quand on ferme son compte ? J’imagine que non.

 

   Or si Facebook détruit nos données quand on ferme un compte, la notion de “garder le contact” perd tout son sens. On peut supposer que la Quadrature parte du principe qu’on aura auparavant demandé le transfert de ces données, mais qu’en faire pour “garder le contact” qui serait différent de ce que permet déjà le « droit au transfert des données » du RGPD ? Pas grand chose. On pourra, sans doute, imaginer que l’interopérabilité contrainte obligera Facebook à nous laisser écrire à notre ancien carnet d’adresse depuis l’extérieur, mais c’est tout, et c’est peu : le graphe social est perdu, l’historique aussi : nos amis restés sur Facebook continueront d’échanger, entre eux mais sans nous, puisque rien ne pourra contraindre Facebook à exporter ces échanges vers un compte tiers qui n’est plus relié à rien en interne chez eux (nos données y ont été effacées). Il faudrait alors que l’outil tiers imaginaire aille rechercher sur Facebook les messages de nos anciens contacts (qui ne nous sont pas adressés) pour que la conversation persiste et qu’on puisse y répondre ? De quel droit puisqu’on ne pourra pas s’identifier ?

  

   L’objectif initial n’est pas atteint, et ce qui reste relève d’une gymnastique (exportation “RGPD” des données, fermeture du compte et - peut-être - importation de ce qui sera utilisable sur un service tiers à ce jour inexistant) que fort peu d’utilisateurs “grand public” pourront - ou voudront - faire. Même si c’est automatisé.

  

 - Soit on “quitte” Facebook en cessant d’utiliser les outils de Facebook au profit d’outils interopérables, mais en y conservant son compte, ses amis,  ses anciens messages et contacts (ce que je défends).

  

   Mais alors, si on prend la position de la Quadrature qui dit qu’on ne doit dès lors plus s’identifier sur Facebook mais qu’une identification sur l’outil tiers suffira, comment fera Facebook pour que nos données ne soient accessibles qu’à nous ?

  

   On peut imaginer qu’on sera d’abord passé par un processus permettant à Facebook de lier notre identité externe à notre ancien compte, mais ça ne change rien : on sera bel et bien identifié quand on accédera à nos données sur Facebook. Ce n’est qu’une indirection.

  




  • Reste alors comme seule solution le fait d’imposer à Facebook non plus seulement l’interopérabilité, mais carrément l’obligation d’intégrer le Fédivers, ou de développer une technologie équivalente, c’est à dire de le contraindre à utiliser des technologies qu’il n’a pas choisies, de modifier toutes ses procédures et ses contrats, et de mettre toutes les données dont il dispose dans un format compatible avec cette idée. C’est ce qui serait nécessaire pour qu’en fermant un compte Facebook on puisse poursuivre des conversations préalables comme si elles avaient eu lieu là où l’on part (ce qui n’est même pas possible à l’heure actuelle sur Mastodon, par exemple, puisque l’import/export de nos followers n’est pas possible. Et c’est une bonne chose : je n’ai pas à obliger mes followers à me suivre sur une instance dont les CGU m’autoriseraient des choses que mon précédent compte ne me permettait pas).



    Ça suppose de n’imaginer la fonction “réseau social” que comme un standard rendu obligatoire par la loi et opposable, dans tous les pays, non seulement pour Facebook mais pour tous les réseaux sociaux existant ou ayant existé, une fonction “messagerie” respectant les mêmes principes, et sans doute encore d’autres. C’est… affligeant. On peut détester les GAFAM et Facebook, c’est mon cas d’ailleurs, mais de là à imaginer qu’on va contraindre des multinationales à agir ainsi sous la contrainte, et des milliards d’utilisateurs à changer leurs usages juste pour éviter d’avoir à s’identifier avant de publier un contenu… comment dire ça gentiment?



    Je peux comprendre l’idée : elle est séduisante au 1er abord, mais dès qu’on creuse un peu on voit à quel point elle est inapplicable techniquement. Et encore, je ne parle même pas des aspects légaux (croire qu’on pourra imposer l’idée qu’il est possible de publier des contenus sur un service tiers sans en avoir accepté les CGU - donc en s’identifiant - relève de la croyance plus que de la logique, par exemple).



    Bref: il vaut mieux que je m’arrête là avant de devenir insultant.

Le 23/05/2018 à 09h 09

J’ai pourtant utilisé le même système (en attendant l’arrivée de la fibre) avec un succès quasi-parfait. Mais j’avais installé une antenne directionnelle sur le routeur, ça a sans doute fait la différence ?

Le 19/04/2018 à 10h 13

“Haute Autorité pour l’Habilitation des Acteurs de l’Hébergement Artistique”.

 

Le 10/03/2018 à 03h 20

À peine une semaine après que ma rue (uniquement des maisons individuelles) soit devenue “éligible”, un commercial Orange est passé me proposer un contrat et une date de raccordement: difficile de faire mieux.



C’est vrai que, là où il ne trouvait personne en journée, il a laissé des documents dans les boites-aux-lettres, mais ça ne me semble pas plus anormal que ça…

Le 24/06/2016 à 14h 55

Quand on délègue une agence conseil spécialisée dans la réputation pour expliquer un problème technique… Comment dire ça gentiment ? Non, rien.

Le 17/11/2014 à 18h 14

On peut dire n’importe quoi dans la rue, quitte, pour paraphraser la DDHC, “à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi”.



En aucun cas on ne place un fonctionnaire sur l’épaule des gens pour leur interdire de s’exprimer a priori. Qu’on réponde, devant la justice, de l’abus d’une liberté fondamentale, ça se discute mais c’est respectueux au moins de nos textes fondamentaux. Qu’on décide, sans décision judiciaire préalable, d’interdire à tel ou tel de s’exprimer au motif qu’il pourrait commettre un délit, ce n’est pas du tout la même chose.



Fleur Pellerin le sait parfaitement, et ne fait là qu’essayer de justifier ce qu’elle sait être injustifiable. De la politique dans ce qu’elle a de pire.

Le 03/06/2014 à 12h 02

Et les 25% alloués au “spectacle vivant” financent les divers festivals qui fleurissent partout en été et que nos élus sont bien contents “d’offrir” à leur population et pour attirer les touristes.



Du coup on se demande moins pourquoi ils ne sont pas prêts à revoir la copie des ayant-droit, quand ils bénéficient, eux aussi, de la rente…

Le 06/01/2014 à 17h 55

Les chinois étant déjà depuis un moment sur ce marché, les modèles à très bas prix sont déjà nombreux (par exemplehttp://www.topledlight.com/4x-10w-rgb-white-full-color-led-bulb-lamp-light-24g-r… ).

Le 05/11/2013 à 14h 55

“Association” à laquelle il est impossible d’adhérer (le lien “Adhésion” retourne une erreur) et dont la liste des membres est introuvable. “Sondage” dont il est impossible de voir les données brutes ni la méthodologie…



Ah, par contre le lien pour faire une donation, lui, il fonctionne.

Le 16/10/2012 à 14h 32

Je cherche une dir’com (bénévole hein) pour mettre à jour ma bio wikipedia, du coup. Il me la faut au moins aussi longue que la sienne, sinon il me prendra jamais au sérieux.

Le 22/08/2012 à 07h 04







theanthony33 a écrit :



Juste une chose avec laquelle j’ai du mal à être d’accord :







Et le statut de l’hébergeur ?







Des nombreuses réponses possibles je vais choisir (ça alors) celle du vieux con: déjà à l’époque des premiers grands débats (à l’AUI en 1997) sur le statut de l’hébergeur, j’étais de ceux qui disaient: “si on déresponsabilise automatiquement, alors on aura des hébergeurs spécialistes de la haine raciale à l’abri de la loi” et pour un statut d’irresponsabilié pénale couplé, du coup, à l’interdiction (pénale aussi) de toute censure par l’hébergeur.



Je mettais donc l’hébergeur face à de nouvelles responsabilités en échange de son impunité: s’il voulait bénéficier de ce statut protecteur de la liberté d’expression, il ne devait en échange en aucun cas pouvoir sélectionner tel ou tel contenu aux dépens d’un autre, sauf à en répondre devant la loi. A affiner, bien sûr, mais c’était mon idée: l’interdiction légale de censure impliquait logiquement l’irresponsabilité pénale puisque permettait de répondre aux plaignants “voyez avec le juge :moi je n’ai pas le droit de couper”.



Je ne pensais pas, à l’époque, que ce serait la contrefaçon qui deviendrait cette “spécialisation” que je craignais, mais le résultat est le même: Megaupload a tout fait pour pousser ses utilisateurs à y héberger les contenus les plus populaires possibles (donc, en pratique, les derniers blockbusters et les musiques les plus commerciales) tout en effaçant ce qu’il considérait comme allant contre ses intérêts (en l’occurence face à des menaces des ayants droits mais ça ne change rien au fond).



Ce faisant, à mon sens, il n’est plus un hébergeur, mais un éditeur (au sens historique plutôt qu’éthymologique: il choisissait ce qu’il diffusait, quelles qu’en soient les raisons). Et il en tirait les bénéfices que l’on sait (s’il avait choisi de ne conserver que des powerpoints commerciaux, par exemple, je doute qu’il ait connu la même fortune).



Le 22/08/2012 à 06h 10

On dirait que Jérémie n’a pas eu le temps de corriger toutes mes fautes d’orthographe, j’en suis désolé pour les lecteurs.