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cbdm23

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2 commentaires

Tumblr racheté 1,1 milliard de dollars, le retour de la bulle internet ?

Le 25/05/2013 à 15h 55






tmtisfree a écrit :

Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, nous y sommes déjà, en dépression


Manifestement non, on est juste en récession, la dépression c’est en Grèce actuellement, mais c’est vrai que c’est ce qui nous attend.

1/, 2/, 3/ et 4/ Tu confonds juste la cause et la conséquence du libéralisme économique, de sa dérégulation et des inégalités massives qui en découle, donnant toujours plus de pouvoir à une minorité (ploutocratique) qui par la suite peut contrôler l’État, directement ou par corruption.
Et donc, la création monétaire aberrante n’est qu’une conséquence de politiques qui essaye de se rattraper aux branches dans un système ou dérégulation et libre-échange ont totalement déséquilibré l’économique. Notamment en empêchant toutes “hausses de salaires” qui auraient pu absorber la production, qui contrairement à ce que tu sous-entends, ne manque pas dans nos sociétés hyper-productiviste.



tmtisfree a écrit :

Le réalité est que nous sommes déjà en “endettement massif”, nous sommes déjà “dans le cas de la Grèce” et nous sommes encore “dans l’illusion d’un système qui tient debout” parce que manipulé au gré des fanfarons qui créent de la monnaie sans valeur.


Manifestement, d’une part, t’as mal lu, j’ai écrit:

Et seul l’endettement massif de tous les acteurs du système et la spéculation que permet la dérégulation, donne l’illusion d’un système qui tient debout.

D’autre part, tu te contredis, si on était déjà dans la situation de la Grèce, cela voudrait dire que l’illusion se serait envoler. Mais il est vrai que tu penses que “nous y sommes déjà, en dépression”…



tmtisfree a écrit :

Alors venir accuser un système ultra-libéral qui n’a jamais existé, que dans les affabulations des collectivistes ou autres keynésiens ineptes, des maux mêmes du système actuel collectivistes de banques centrales et de liquidité permanente et infinie, c’est vraiment de la mauvaise foie caractérisée (ou de l’ignorance crasse).


Ne pas vouloir voir les conséquences des politiques mises en place par des thuriféraire de Friedman ou d’Hayek depuis plus de 30 ans et continuer en accusant “un collectivisme de banques centrales” comme si les banquiers étaient devenu des communistes en puissance, je ne sais pas si c’est de la “mauvaise foie” ou plutôt un aveuglement quasi religieux dans le divin marché, mais ça implique que la discussion est impossible entre nous.



Le 25/05/2013 à 11h 39






tmtisfree a écrit :

C’est tout le problème des manipulations monétaires de banques centrales : elles créent des bulles (IT, immobiliers) en injectant des liquidités à ZIR (taux nuls), et quand la manne se tarit, tout le business biberonné (qui n’aurait pas dû exister en premier lieu parce pas rentable avec des taux normaux) est ruiné et la bulle éclate.

Les quelques emplois perdus ici ou là par le jeu des restructuration des entreprises dans un environnement capitaliste normal font pâle figure à côté des destructions massives de capital et d’emplois causées par le contrôle monétaire des banques centrales sur l’économie : les (néo-)keynésiens (Krugman, Stiglitz and co.) et leurs parangons centraux sont les seuls à blâmer.



Sauf que dans ton magnifique système ultra-libéral à la Hayek, sans les “manipulations” des banques centrales, la pression à la baisse sur les revenus du travail aurait déjà provoqué l’effondrement par une dépression pire qu’en 29.
Et seul l’endettement massif de tous les acteurs du système et la spéculation que permet la dérégulation, donne l’illusion d’un système qui tient debout.
En réalité, nous devrions être dans la situation de la Grèce et ce grâce à ton système économique appliqué depuis plus de trente ans maintenant, où les inégalités et donc la concentration de richesse ne fait que progresser.
Pourtant, une logique simple permet de se rendre compte que cette concentration empêche le fonctionnement de l’économie, surtout si son but est de satisfaire les besoins des gens et non de laisser un “divin marché” dicter sa loi soit-disant naturelle pour produire le plus possible.