Les éditeurs ont bien tort de voir le progrès comme une menace et non comme une opportunité, mais il faut bien dire que sans les pouvoirs publics, il ne pourraient pas se complaire dans cette attitude. S’il n’y avait pas les subventions à la culture et la tentation de faire usage de la force publique pour protéger les privilèges de la profession, ils seraient bien obligé de s’adapter.
D’ailleurs, je suis bien sûr qu’il y en a qui préparent leur coup. Mais tant que l’on n’a pas de cadre juridique clair, c’est difficile de se lancer sérieusement.
En tout cas, pour ma part, j’essaie de sentir le vent.
J’ai d’ailleurs écrit un petit article à ce sujet:
1 commentaires
Édito : les éditeurs de livres ont-ils retenu les erreurs de l’industrie musicale ?
01/09/2012
Le 12/09/2012 à 14h 01
Bon article.
Les éditeurs ont bien tort de voir le progrès comme une menace et non comme une opportunité, mais il faut bien dire que sans les pouvoirs publics, il ne pourraient pas se complaire dans cette attitude. S’il n’y avait pas les subventions à la culture et la tentation de faire usage de la force publique pour protéger les privilèges de la profession, ils seraient bien obligé de s’adapter.
D’ailleurs, je suis bien sûr qu’il y en a qui préparent leur coup. Mais tant que l’on n’a pas de cadre juridique clair, c’est difficile de se lancer sérieusement.
En tout cas, pour ma part, j’essaie de sentir le vent.
J’ai d’ailleurs écrit un petit article à ce sujet:
http://egomet.sanqualis.com/?p=144