WAI-ARIA est une norme définissant comment le contenu web doit s’auto-décrire. Il n’existe aucune norme définissant comment les lecteurs doivent interpréter ces informations.
Au temps pour moi.
C’est bon à savoir.
Le
04/12/2012 à
10h
00
HarmattanBlow a écrit :
Premier problème : il n’y a pas deux lecteurs identiques. Fais-leur parcourir ta même page […]
L’ARIA, comme le HTML, est une norme.
Si l’implémentation d’une norme n’est pas respecté, on sait sur qui tapper =).
Le
04/12/2012 à
04h
04
Youpi, les SSII européenes vont se gaver ! Elles vont juste appliquer ler WCAG sans trop tester le boulot sur des lecteurs d’écran !
HarmattanBlow a écrit :
Mais je me demande si avec le modèle actuel on pourra jamais proposer une UX satisfaisante aux malvoyants et les convaincre de s’équiper en masse, au moins autant que le reste de la population.
Aujourd’hui ont peu faire des appli moderne en html/js/css qui soit compatible avec un lecteur d’écran, il y a par exemple les tag ARIA qui permettent de définir ce que le lecteur d’écran peut “voir” ou non, ainsi que de lui faire comprendre que l’appli, sans rechargement de la page à changer d’état.
Pour qu’il y’ait ‘contrat’ il faut que deux parties soient d’accord.
Quand tu achètes quelque chose, pour l’exemple un disque ou une place de concert, tu reçois une facture, qui en soit est une forme de contrat. Quand tu payes tu acceptes de manière implicite ce contrat.
Mais personnes ne t’as obligé à le faire.
Ingénieur informaticien a écrit :
Moi on ne m’a jamais demandé mon avis pour que certains “artistes” se produisent.
Et moi, tu ne m’as jamais demander le droit d’aller pisser. Et je pense que tu en es très content.
Le
03/12/2012 à
12h
37
Ingénieur informaticien a écrit :
C’est même la base du métier d’artiste.
Notamment quand ce public payer pour regarder.
Un mec chante dans le métro, pour l’exemple on dira même qu’il le fait bien. Des gens le regarde, peu vont le payer. Son proprio ne va accepter qu’une seul de ces denrées. Tu devineras bien entendu laquelle.
Mais c’est bien le problème aujourd’hui, le public veut regarder sans payer.
Ingénieur informaticien a écrit :
En ferais tu partie ?
Tu dis toi même “métier d’artiste”. Qui dis métier, dis salaire. Sinon ça ne serait qu’un passe-temps, et là, ce serait très insultant pour les gens dont ça en est le métier.
Je suis d’un naturelle à penser que tout travail mérite salaire, et que chacun est libre de définir la valeur de son travail, ou à défaut, de la négocier avec la personne qui va payer.
J’imagine mal que tu puisses laisser ton patron décider pour toi de ton salaire, sans te demander ton avis. Et quand tu commit du code en opensource, personne ne t’y oblige. C’est des liberté que tu as, de décider de la valeur de ton travail.
Pourquoi d’autre n’aurait pas ce droit ?
Le
03/12/2012 à
01h
16
Ingénieur informaticien a écrit :
L’artiste n’est rien sans le regard de son public.
Malheuresement, le regard du public, ça ne paye ni à manger, ni un loyer…
Le
02/12/2012 à
03h
33
Mana Peer a écrit :
A l’échelle de l’humanité, ce n’est pas tant que ça, c’est vrai, mais la culture est un phénomène de société, et à l’échelle d’une société c’est beaucoup, surtout une société de réseau rapide comme la notre.
Est ce que gangnam style c’est de la culture ? Est ce que Rihana c’est de la culture ? Est qu’un fourt micro-onde c’est de la science ?
La question peut paraitre fantaisiste, mais…
Le four micro-onde est un objet qui exploite un phénomène complexe, qui a demandé un effort scientifique. Aujourd’hui, on en fabrique à la chaine, et aussi bien l’ouvrier chinois qui l’a monté, que l’utilisateur final n’ont le baguage scientifique pour fabriquer de A à Z son propre micro-onde. C’est ce qu’on appelle de la science appliqué, une application de la science.
Dans l’art c’est pareil. En france on a deux types d’école : celle d’art et d’aure d’art appliqué. L’art appliqué va utilisé les procédés issus de l’art, mais n’a que rarement le truc qui fait qu’il va élever l’homme au dessus de sa condition.
Et là est tout le truc, une major comme universal, son business ce n’est pas l’art, c’est l’entertainement, qui utilise les procédés artistiques, mais qui n’est pas nécessairement de l’art. Et loin de moi l’idée d’être péjoratif, c’est un business comme un autre.
A mon sens c’est la postérité qui défini ce qui doit être Art ou non. Et je trouve bien prétentieux de laisser cette responsabilité à quelques hommes.
Mana Peer a écrit :
Mais légalement, ce remix ne devrait pas exister
C’est vrai, légalement parlant, ce n’est pas licite. Maintenant, y’a un bon vieux truc que nos juges français maitrisent contrairement à leurs homologues américains : le bon sens.
Et une subtilité du droit français et qu’il faut nécessairement un préjudice morale ou financier pour justifier d’un recours.
La décision d’un recours ne dépends ici que de Gotye, et du bon sens il en a lui.
Mana Peer a écrit :
C’est vrai, mais en l’occurrence, il y a un cruel manque d’informations pour eux.
Nul n’est censé ignoré la loi. Là loi est publique.
Quand on signe un contrat avec une major, tout est écrit noir sur blanc, si ce n’est pas le cas, le contrat est illicite, et donc invalide. Ca passe super bien devant un juge ça.
S’informer, est un devoir personel. On ne peut pas tenir la bite au gens pour les aider à aller pisser non plus ?
Ingénieur informaticien a écrit :
Et là est précisément la raison pour laquelle nous devrions revoir ces choses.
Comme je le disais, tu fais d’une exception une priorité.
Et quand bien même, est ce un mal de gagner de l’argent ?
Ingénieur informaticien a écrit :
C’est précisément la philosophie du logiciel libre, qui doit pouvoir s’étendre à d’autres domaines économiques que l’informatique.
Techniquement, il est tout à fait possible pour un auteur de renoncer à son droit patrimonial. Y’a rien à reformer, le cas est déjà prix en compte par la loi.
Comme tu le dis c’est une question de philosophie. Dans l’art et l’art appliqué, les gens se sont battu pour obtenir des droits, contrairement aux ingénieurs (du moins jusqu’à récemment), ils ne sont donc pas prêt de les lacher de si tôt.
Le
01/12/2012 à
18h
17
Ingénieur informaticien a écrit :
Si le brevet français n’est peut-être pas si mauvais, qu’en est-il alors de son adoption au niveau mondial ?
Je dois avouer être incapable de répondre à cette question.
Mais précisons que ce n’est pas parce que le droit français est peu ou pas imité que ça enlève quelque chose à sa qualité.
Ingénieur informaticien a écrit :
Peut-être que l’absurde guerre Apple-Samsung peut nous y amener.
Ce qui parait absurde dans cette guerre, ne l’est pas toujours. Dans ce procès il est important de distingué dépot de brevet et dépot de modèle. Bien que couvert par le droit à la propriété intellectuelle, ce sont deux choses bien différente.
Ingénieur informaticien a écrit :
il suffit de considérer ces chanteurs qui reposent sur les disques qu’ils ont fait il y’a longtemps
Si une oeuvre génère toujours des revenues, pourquoi aurait-on, moralement, le droit de retirer le fruit de son travail à quelqu’un ? S’il y a quelque chose à réformer là dedans, c’est surtout que le revenu généré par oeuvre doit être taxé dans le pays ou le revenu a été généré, et non pas compter dans le revenu dans la personne et taxé dans le pays ou réside cette personne. Ca me semble une solution honnête et équitable, tu ne trouves pas ? Mais là, ce n’est pas le droit d’auteur qu’il faut réformer, mais le code général des impôts =).
Ingénieur informaticien a écrit :
les vrais destinataires ne touchent bien souvent que des miettes
Comme je l’ai dis, un artiste peu négocier sa cession de droit patrimoniaux, et dispose de plusieurs organisation pour le faire. Y’a des majors, y’a des label indépendants, c’est la liberté de l’auteur de choisir à qui et comment il cède ses droit.
Ingénieur informaticien a écrit :
Quand au brevet qui tue l’innovation, je suis désolé mais je le perçois comme une réalité très fréquente notamment vu le temps que ça prend de déposer un dossier de brevet pour une PME.
Quand un américain, veut défendre un brevet déposé au états unis, mais sur le sol français, il est traité comme un français, avec le droit français. Il est clair que les 3⁄4 des brevets déposés aux USA serait déclaré invalide en France. C’est bien pour cette raison, que peu de procès des grands nom de l’informatique ont lieu en France. Nos juges font preuve de bien plus de bon sens.
Le
01/12/2012 à
02h
21
Ingénieur informaticien a écrit :
Mais leur position est extrême […]
J’imagine qu’on sera d’accord pour dire qu’en politique aucun extrême n’est bon.
Ingénieur informaticien a écrit :
Le modèle du logiciel libre s’imposera, qu’on le veuille ou non.
Je n’en suis pas convaincu. La propriété intellectuelle couvre des choses de natures très différentes. Un film et un logiciel n’ont pas les mêmes méthodes et coûts de production…
Et très personnellement, je trouve malsain qu’un travail ne soit pas rémunéré. Soyons réaliste, les projet open source utilisé par le grand public sont une minorité en face de logiciel destiné à un usage professionnel (Tout les projets de la fondation Apache, tout les projets open source de chez Oracle, etc.).
Quand bien même, l’outils juridique français, permet déjà à un auteur de distribuer gratuitement et librement son oeuvre. Les auteurs, en majorité, ne souhaite juste pas le faire (je ne parle pas pour eux, je ne fais que constater les faits), et ça doit être respecté, c’est leur choix, leur liberté.
Ingénieur informaticien a écrit :
L’économie de la rente à vie sans travailler
Dans la création artistique, bien rare sont les cas de personne pouvant se vanter d’avoir une rente de part leur droit d’auteur qui soit à même de leur offrir un revenu confortable ou plus, à vie. On est très loin de la rente immobilière. Même s’ils existent, ces gens représentent une exception, et non pas la généralité.
Ingénieur informaticien a écrit :
les brevets qui tuent l’innovation
Le but de brevet est d’encourager l’inovation. Le brevet français, ne protège pas les idées, mais les procédés. Rien que ça protège de pas mal d’abus. En france, un brevet non-utilisé est invalidé, là encore ça évite les guerres de brevet à l’américaine et mieux encore, ça nous protège de l’apparition des troll-patent sur notre sol…
Le brevet français ne garantit qu’un monopole temporaire sur un procédé, 20ans, après ça rentre dans le domaine publique automatiquement. A l’échelle d’un homme, oui 20 ans c’est énorme. A l’échelle de l’humanité 20ans ce n’est rien, l’innovation n’est pas tué, loin de là.
Et point très important, déposé un brevet signifie rendre l’invention publique. Google par exemple, n’a pas déposé de brevet pour pas mal de ses inventions, tout simplement pour les garder secretes, et ainsi d’éviter de donner des idées à la concurrence.
Ce que j’essais de dire, c’est que parfois, le droit français fait bien son boulot, et là c’est le cas. Le débat sur une éventuelle réforme de la propriété intellectuel en france n’a pas franchement lieu d’être. Bien entendu aux USA c’est différent, mais en temps que citoyen français, nous n’avons pas à expliquer à ce pays comment il doit être gérer (et surtout, cela doit être réciproque).
Le
30/11/2012 à
15h
33
@ingénieur informaticien
Ce n’est malheureusement pas le point de vue de tout les différents partie pirate dans le monde. Certains parlent clairement d’abolition.
Quand bien même, dans les fondamentaux, et à titre personel, je ne vois pas ce qui est à revoir. Un auteurs possède un droit moral inaliénable, qui garantit à l’auteur de pouvoir clamer la paternité de son oeuvre, et un droit patrimonial, qui permet à un auteur un monopole économique sur son oeuvre. Des droits, qui à mon sens, me semble évidents.
Qu’un auteurs cède ses droits patrimoniaux en échange d’un réseau de promotion et de distribution auprès d’une compagnie, quelque soit le niveau de moralité de cette compagnie, cela relève du choix de l’auteur. Si lui n’est pas d’accord avec ces compagnie, on imagine bien que cet auteur aura vite fait de s’auto-produire et de s’auto diffuser, par ses propres moyens, ou bien encore de passer par un label indépendant. Encore une fois, cela relèverai des choix de l’auteur. Ce choix, l’auteur en est libre, il lui est garantit par la loi tel qu’elle est aujourd’hui, et ce n’est pas à nous, auditeur, spectateur, ou consommateur, de lui dicter.
Voit quelque chose à revoir à cela ?
Le
30/11/2012 à
14h
03
Ce que j’adore dans ce type de débat c’est qu’il est vite oublié que le droit d’auteur (Et j’insiste sur la notion de droit d’auteur, à la française, et ne parle pas de la notion de copyright, à l’américaine), est un acquis social.
261 commentaires
Bruxelles veut améliorer l’accès des handicapés aux sites Internet
03/12/2012
Le 04/12/2012 à 11h 36
Le 04/12/2012 à 10h 00
Le 04/12/2012 à 04h 04
Youpi, les SSII européenes vont se gaver ! Elles vont juste appliquer ler WCAG sans trop tester le boulot sur des lecteurs d’écran !
UK : la BPI s’attaque au proxy du Parti Pirate pour accéder à The Pirate Bay
30/11/2012
Le 04/12/2012 à 04h 17
Le 03/12/2012 à 12h 37
Le 03/12/2012 à 01h 16
Le 02/12/2012 à 03h 33
Le 01/12/2012 à 18h 17
Le 01/12/2012 à 02h 21
Le 30/11/2012 à 15h 33
@ingénieur informaticien
Ce n’est malheureusement pas le point de vue de tout les différents partie pirate dans le monde. Certains parlent clairement d’abolition.
Quand bien même, dans les fondamentaux, et à titre personel, je ne vois pas ce qui est à revoir. Un auteurs possède un droit moral inaliénable, qui garantit à l’auteur de pouvoir clamer la paternité de son oeuvre, et un droit patrimonial, qui permet à un auteur un monopole économique sur son oeuvre. Des droits, qui à mon sens, me semble évidents.
Qu’un auteurs cède ses droits patrimoniaux en échange d’un réseau de promotion et de distribution auprès d’une compagnie, quelque soit le niveau de moralité de cette compagnie, cela relève du choix de l’auteur. Si lui n’est pas d’accord avec ces compagnie, on imagine bien que cet auteur aura vite fait de s’auto-produire et de s’auto diffuser, par ses propres moyens, ou bien encore de passer par un label indépendant. Encore une fois, cela relèverai des choix de l’auteur. Ce choix, l’auteur en est libre, il lui est garantit par la loi tel qu’elle est aujourd’hui, et ce n’est pas à nous, auditeur, spectateur, ou consommateur, de lui dicter.
Voit quelque chose à revoir à cela ?
Le 30/11/2012 à 14h 03
Ce que j’adore dans ce type de débat c’est qu’il est vite oublié que le droit d’auteur (Et j’insiste sur la notion de droit d’auteur, à la française, et ne parle pas de la notion de copyright, à l’américaine), est un acquis social.
Wikipedia