Petite question conne, c’est grace au CSA que les invités sur les plateaux télé ont des gros morceaux de scotch noir dégueulasse là ou est normalement marqué la marque de leur vetement?
Oui. En gros, un logo trop visible est considéré comme de la publicité clandestine. Le CSA ne fait qu’appliquer les lois votées par nos élus.
Ces vidéos utilisent toutes du contenu protégé par un copyright. Si demain, je monte un site pompant les contenus produits par PCI en ajoutant 1 paragraphe de commentaire, personne ne trouvera ça juste. Là c’est pareil.
Dans l’économie réelle, pour exploiter le contenu produit par quelqu’un d’autre, il faut en acheter les droits. Sur internet, c’est pareil.
Vivre de sa passion c’est possible, à condition de produire du contenu original ou de s’acquitter d’une licence d’utilisation. Les groupes de musique qui jouent dans les bals de village vivent de leur passion en chantant leur propre titres mais aussi en payant à la sacem & co le droit de chanter du Sardou et du Lady Gaga.
Dans l’idéal, sur internet, les revenus publicitaires pourraient être partagés de façon plus équitables. Une vidéo de 4mn proposant 1mn de contenu sous copyright verrait la rémunération partagée à hauteur de 75⁄25. On pourrait aussi s’orienter vers un forfait (15-20%) pour une utilisation libre, non limitée.
Quoiqu’il en soit, la situation actuelle ne perdurera pas éternellement. La généralisation des télés connectées va inciter les organismes officiels à mettre de l’ordre, entre les Live Players et les professionnels, le choix sera vite fait.
Il est évident qu’en tant qu’internaute, je préférerais que les grands groupes et les politiques ignorent le web mais ce n’est pas possible. Le web s’intègre à l’économie réelle et se voit donc imposer les mêmes règles. Plus le web pèsera dans l’économie, plus il sera régulé & surveillé.
3 commentaires
Android : les concurrents de Samsung ne font quasi aucune marge
17/05/2013
Le 17/05/2013 à 07h 52
Ce n’est pas l’arrivée du S4 (sans surcouche Samsung) sur le Play Store qui va arranger les choses.
« L’internet n’a pas besoin d’un CSA du Net » exhortent les acteurs du Web
17/05/2013
Le 17/05/2013 à 07h 48
Nintendo veut le beurre et l’argent des YouTubeurs
16/05/2013
Le 17/05/2013 à 07h 34
Ces vidéos utilisent toutes du contenu protégé par un copyright. Si demain, je monte un site pompant les contenus produits par PCI en ajoutant 1 paragraphe de commentaire, personne ne trouvera ça juste. Là c’est pareil.
Dans l’économie réelle, pour exploiter le contenu produit par quelqu’un d’autre, il faut en acheter les droits. Sur internet, c’est pareil.
Vivre de sa passion c’est possible, à condition de produire du contenu original ou de s’acquitter d’une licence d’utilisation. Les groupes de musique qui jouent dans les bals de village vivent de leur passion en chantant leur propre titres mais aussi en payant à la sacem & co le droit de chanter du Sardou et du Lady Gaga.
Dans l’idéal, sur internet, les revenus publicitaires pourraient être partagés de façon plus équitables. Une vidéo de 4mn proposant 1mn de contenu sous copyright verrait la rémunération partagée à hauteur de 75⁄25. On pourrait aussi s’orienter vers un forfait (15-20%) pour une utilisation libre, non limitée.
Quoiqu’il en soit, la situation actuelle ne perdurera pas éternellement. La généralisation des télés connectées va inciter les organismes officiels à mettre de l’ordre, entre les Live Players et les professionnels, le choix sera vite fait.
Il est évident qu’en tant qu’internaute, je préférerais que les grands groupes et les politiques ignorent le web mais ce n’est pas possible. Le web s’intègre à l’économie réelle et se voit donc imposer les mêmes règles. Plus le web pèsera dans l’économie, plus il sera régulé & surveillé.