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nimportequi

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24 commentaires

Hadopi-CSA : Le chant du cygne de Marie-Françoise Marais

Le 24/09/2013 à 10h 24






_fefe_ a écrit :

même si je n’apprécie généralement pas les illustrations d’articles relatifs à Mme Marais ou l’HADOPI, il s’agit d’une capture d’éran d’une émission télé.



Cette capture provient d’une vidéo affichant aux alentours de 25 images par seconde, donc forcément que ce soit pour votre visage, le mien ou celui de Mme Marais, il est impossible d’éviter les poses ridiculisantes. Le procédé est minable et utilisé de longue date.



Mais vous êtes le seul sur cet article et ses commentaires à faire cette comparaison !


Cette comparaison est implicite : elle est comme me l’écrivait hier soir un journaliste de la presse spécialisée, le “chiffon rouge” récurrent dès lors qu’il s’agit, en France, d’évoquer le statut des hébergeurs, la LCEN, etc.

Or comment comparer Valentin Lacambre, qui est resté nickel et dans le bon esprit jusqu’à maintenant, et les requins de l’internet industriel sans foi ni loi qui règnent en maîtres sur le réseau, de nos jours ; tous publicitaires libertariens ?


Je vous encourage à relire cet article en ayant à l’esprit qu’une personne occupant un poste public,


Vous avez applaudi en voyant la photo de DSK menotté à NY ? Pas moi : elle m’a fait gerber.



Le 23/09/2013 à 18h 22






hansi a écrit :

@nimportequi

Cette affaire a marqué le début de l’amalgame entre hébergeur et responsable du contenu.



L’amalgame est grotesque et la comparaison obscène, dans l’article. La plupart des gros hébergeurs actuels sont des éditeurs mal déguisés et rien d’autre. Éditeurs qui veulent le beurre, l’argent du beurre et la crémière.

La collectivité, le bien public, le respect de citoyens, il s’en foutent radicalement. Et la liberté d’expression sans limite qui sert de slogan à ces régies publicitaires - puisque c’est ça et rien d’autre - remplit impecablement leur comptes en banque.

Leur idéologie : le libertarianisme le plus extrême, professé publiquement par plusieurs de leur dirigeants.

Aucun rapport avec le respectable pionnier Valentin Lacambre.



Le 23/09/2013 à 13h 25






brazomyna a écrit :

Alors bien sûr, ça fait marrer tous ceux qui confondent ‘bon article’ et ‘article qui rejoint leur opinion’. Ça ne m’étonne guère puisque plus les choses avancent, plus les commentaires relèvent moins de la réflexion que de l’appartenance à une ‘église’ de pensée (genre “je suis contre Hadopi, l’article flingue Madame Hadopi donc c’est un bon article”).



Je vous rejoins tout à fait : cet article est exécrable en maints points, et d’une indignité dégoûtante. Outre le fait d’exposer une photographie ridiculisant une personne comme dans les pires torchons de la presse de caniveau, l’évocation rituelle de l’affaire Altern est d’un ridicule consommé : le valeureux Valentin Lacambre n’est en rien comparable à des Kim Dotcom et autres requins sans scrupules.

Et personne ne l’a relevé, c’est pour dire le niveau consternant des geekounets dont le seul et unique but de leur nolife semble être : télécharger gratos épicétout.




Marier le droit à l'oubli et la liberté de la presse : les explications de la CNIL

Le 20/09/2013 à 13h 27






Patch a écrit :

et il reste des traces administratives à côté, a minima pour les stats. donc pas complètement oublié non plus… […]



Je ne suis pas venu ici pour pinailler, mais défendre le droit à l’oubli, au respect de la dignité et des droits humains fondamentaux, et me battre contre le statut actuel - inique - des marchands de soupe qui n’en ont rien à fiche de la vie des gens. Seul le pognon leur importe et ils sont ravis de constater à quel point la masse des ignares les applaudit.

Nous sommes très peu à le faire et aucun journaliste à ma connaissance jusqu’à présent, a eu l’honnêteté intellectuelle et le courage d’aller à contre-courant en offrant une voix aux victimes de l’internet.

C’est la seule et unique raison qui me motive à écrire dans ce journal.




Le 20/09/2013 à 12h 31






MarcRees a écrit :

C’est en substance ce que dit Serge Tisserond. (va lire l’article dans libé, il est intéressant).



Tisserond dit ce que disent tous ceux qui ne savent pas de quoi il en retourne. Il bêle avec les moutons dans son salon.

J’en ai assez de cette stupide boîte à échos de la pensée copicollée. Vraiment !



Le 20/09/2013 à 11h 49






white_tentacle a écrit :

On peut vouloir exiger des corrections. […]

D’ailleurs, la loi informatique et liberté prévoit qu’on puisse exiger la suppression ou la correction de données erronées. […]

[…] Le droit au pardon, à la seconde chance, c’est pas un modèle de société meilleur ?



1 : Vous avez déjà été confronté à la réalité ?

2: Vous avez déjà été confronté à la réalité ?

3: Vous êtes peut-être chrétien, ce qui serait tout à fait respectable, mais moi je suis réaliste en diable.



Le 20/09/2013 à 11h 39

Tisseron n’a rien pigé à l’internet : il plane à 10.000. L’internet est une voie publique comme les autres, point barre.

Quand un délit, un accident, un meurtre, une agression, un viol, etc. surviennent sur une voie publique, les services publics se chargent de faire disparaître les épaves, d’évacuer les cadavres et les blessés et de prendre les victimes en charge, de réparer la voirie et de nettoyer les traces de sang et compagnie.

Le droit à l’oubli est comparable à cela. Le droit à l’oubli est un droit humain fondamental.


Le Sénat accentue l'obligation de dénonciation des FAI et des hébergeurs

Le 19/09/2013 à 11h 13






yvan a écrit :

Ya quand même une spécificité et dans le type et dans le nombre d’insultes reçues en ligne par les joueuses.



En fait, footballiste de canapé c’est encore moins bas de gamme que joueur vidéo…
Capito.



Le 19/09/2013 à 00h 29

doublon


Le 19/09/2013 à 00h 28

@ Zart

Donne moi une seule raison pour laquelle je devrais défendre les complices de mon agresseur.


Le 19/09/2013 à 00h 26






zart a écrit :

Faute d’élements je vais donc interpreter en forçant le trait et peut-être en faisant fausse route puisque je ne peux me fier qu’à mon intuition.



Tu as lu le jugement de Brest ? il est sur Legalis. Lis-le et après l’avoir fait, tu comprendras peut-être mieux ce qu’est le corbeau de Brest. Après multiplie par plusieurs centaines, ces extraits de textes de ce jugement, et là peut-être, tu comprendras mieux le sens de ces deux mots : “manifestement illicites”.

Le plus difficile à piger, et nous avons mis bien du temps avant d’y parvenir, est qu’il est impossible de comprendre le fonctionnement d’une telle personne, sans s’instruire sérieusement de cette pathologie. Pour ma part c’est en refermant l’ouvrage de Sérieux et Capgras “Les folies raisonnantes” (dispo gratis en PDF sur le site de fac de médecine de Paris) en décembre dernier, que j’ai enfin pu agir efficacement en fonction de cette connaissance.

Le film de Clouzot “Le Corbeau” offre aussi un bon aperçu de ce dont il s’agit en réalité.

Or moi, vois-tu, je ne veux pas d’un internet peuplé de corbeaux. La liberté d’expression n’est pas applicable aux délateurs délirants cherchant à tout prix et par tous les moyens à détruire les boucs-émissaires de leur psychose.

Le représentant de l’hébergeur a déclaré - c’est dans le texte du jugement - avoir assisté à ça pendant des années. Sans intervenir.

Alors je ferais tout, avec mes minuscules moyens, pour que ça change. Je trouve que ça seram nettement plus utile à la société que de me battre contre Hadopi.

Combien de milliers d’articles dans la presse à propos d’Hadopi ? Et combien pour les gens qui se font démolir en direct-live sous le regard impavide des hébergeurs ?



Le 18/09/2013 à 23h 59






nimportequi a écrit :

Ce n’est pas le lieu pour dire ces choses… non que je sois cachottier - et certainement pas parano - mais bon… chat échaudé craint l’eau froide, hein.

En privé, si je sais précisément qui j’ai face à moi, OK : je dirais tout.

Maintenant ce que je peux dire c’est que des CENTAINES de signalements d’abus ont été envoyés à l’hébergeur, dès avril 2010. Émanant d’une bonne dizaine de personnes. Nada. Silence radio. Et ça, ce n’est rien : juste une infime miette de ce qui constitue de facto un des pires dérapages de l’internet français.

J’écris depuis très longtemps, d’abord sur du papier imprimé, puis depuis 13 ans sur l’internet : mon clavier est mon arme et ce qui s’est passé sera couché sur octets glacés de manière impitoyable; quand tout sera achevé, quoi qu’il advienne.




Le 18/09/2013 à 23h 48






zart a écrit :

Pas de soucis mais tant mieux, on peut avoir un éclairage. Tu parles de 1200 jours. Quand as tu porté plainte contre la personne qui te diffamait, quand as tu saisi le tribunal de grande instance?



Ce n’est pas le lieu pour dire ces choses… non que je sois cachottier - et certainement pas parano - mais bon… chat échaudé craint l’eau froide, hein.

En privé, si je sais précisément qui j’ai face à moi, OK : je dirais tout.

Maintenant ce que je peux dire c’est que des CENTAINES de signalement d’abus ont été envoyés à l’hébergeur, dès avril 2010. Émanant d’une bonne dizaine de personnes. Nada. Silence radio. Et ça, ce n’est rien : juste une infime miette de ce qui constitue de facto un des pires dérapages de l’internet français.

J’écris depuis très longtemps, d’abord sur du papier imprimé, puis depuis 13 ans sur l’internet : mon clavier est mon arme et ce qui s’est passé sera couché sur octets glacés de manière impitoyable; quand tout sera achevé, quoi qu’il advienne.



Le 18/09/2013 à 23h 34






zart a écrit :

Pour reprendre sous un autre angle, tu es manifestement lié à l’affaire overblog corbeau…



Oui. Et comme l’expérience vécue est la meilleure école qui soit, ça m’a ouvert les yeux. Plus jamais je ne pourrais raisonner comme avant ces années d’enfer. Plus jamais je ne pourrais entendre ces discours formatés. Là, j’ai vraiment touché du doigt ce qui déconne grave sur le réseau. Et pas que du côté des hébergeurs, crois-moi.

Maintenant écoute-moi : remplace mon nom par le tien et multiplie par 1200 jours. Là tu penseras peut-être différemment. Mais je sais pertinemment que ce que j’écris ne sert à rien. Il faut le vivre.

Quant aux bons conseils qu’on a pu me prodiguer : sache que je ne les écoute plus depuis très longtemps. Ceux qui les prodiguent ignorent absolument ce qu’est la vie réelle.

Désolé d’être rude, ce n’est pas à toi, inconnu, que je m’en prends.



Le 18/09/2013 à 23h 25


Quizz, si je te traite de connard là maintenant c’est:
Illicite?
Manifestement illicite?
Border line?
Manifestement légal?
Légal?


Non : c’est rigolo :-)
Et oui c’est légal du moment que je suis d’accord : dans ce cas il n’y a pas d’injure. Et te gênes surtout pas, hé hé… t’as mon feu vert.

Ceci dit la modération appréciera peut-être moyennement.

Edit : je vois d’ici la tronche du juge en lisant la plainte : un pseudo se fait traiter de connard par un autre pseudo… classement vertical et hop, au suivant.


Le 18/09/2013 à 23h 02






zart a écrit :

Au passage, j’utilise la loi de 2020 et demande à ton fai de t’annihiler pour m’avoir traiter de mouton



Quand une loi est inadéquate, il convient d’en changer ou de la faire évoluer. D’autre part faudrait voir à arrêter la parano : vous savez très bien qu’il ne s’agit pas d’interdire les blagues de blondes ou de se traiter de connards entre gens de bien sur un forum.

Les hébergeurs ne peuvent en aucun cas être comparés aux imprimeurs d’autrefois : l’internet n’est pas un livre ou un journal en pâte à papier.

Actuellement la LCEN oblige les hébergeurs à supprimer les contenus manifestement illicites si ces contenus dès que ces contenus ont été portés à leur connaissance : nombreux sont ceux qui ne le font quasiment jamais et donc abusent de leur statut.

“Manifestement illicite” : tout tourne autour de ces deux mots.



Le 18/09/2013 à 22h 27






zart a écrit :

Les hebergeurs n’ont pas à juger ce qui est licite ou non.



Ça, c’est le credo religieux propagé par la majorité moutonnière. Ça doit changer et ça changera.



Le 18/09/2013 à 22h 21






zart a écrit :

La liberté de dire ce que l’on veut tant que cela ne blesse pas quelqu’un d’autre qu’une hystérique qui veut imposer sa propre pensée comme sainte religion…



Alors je ne vois pas en quoi cette loi serait liberticide. Je souhaite même que d’autres lois soit votées, bien plus contraignantes que celle-ci pour les hébergeurs, dont le statut actuel est tout simplement scandaleux.



Le 18/09/2013 à 22h 10






yoda_testeur a écrit :

Et la liberté d’expression Alors ?



C’est quoi, la liberté d’expression ?



Le 18/09/2013 à 18h 06






odin77 a écrit :

Quelqu’un peut me donner un exemple de discours sexiste punissable par la loi ?



Oui, je le peux. Le dernier exemple en date est un blog antiféministe particulièrement immonde, qui est resté en ligne deux ans et a été supprimé avant-hier. Je ne donne pas son URL publiquement, mais vous pouvez toujours me la demander en MP.



[MàJ] Le cyber-harcèlement, bientôt une infraction à part entière ?

Le 13/09/2013 à 19h 43






Nithril a écrit :

On parle ici de cyber harcelement. Avec une probabilité non négligeable que le harceleur masque son identité…



Exact, et c’est bien là que se situe le problème. C’est ce qu’on appelait autrefois des “corbeaux” : de lâches délateurs et harceleurs anonymes. L’internet est leur royaume idéal et ça avait commencé très tôt. Dès 20022003 des hordes d’ignobles profanateurs avaient étalé leurs saletés sur le journal en ligne d’une jeune fille venant de se suicider et dont les parents n’avaient pas le mot de passe de son site. Pendant des semaines ils s’étaient défoncé la casse, ces fumiers. Il ne reste plus que quelques bribes de ce qui a été ensuite nommé “internet hate machine” :

http://justshana.livejournal.com/

L’hébergeur n’avait pas bougé le petit doigt, se retranchant derrière la fameuse “neutralité du net”, laissant la famille de cette malheureuse plongée dans le pire des désarrois.

Je ne sais pas comment ces gens-là peuvent se regarder en face dans la glace sans avoir envie de vomir.

Il faut à tout prix que les corbeaux soient démasqués et livrés à la justice. Faute de quoi le net deviendra une décharge peuplée d’ordures.



« Ce n’est pas à l’hébergeur de devoir juger de la licéité d’un contenu »

Le 02/09/2013 à 13h 39


Comprenons-nous bien : je ne nie pas qu’overblog dit de la merde, ni qu’ils ont abusé de la protection que leur offre le statut d’hébergeur. Je ne connais pas le dossier dans les détails, et ça m’importe assez peu à vrai dire ; je ne m’intéresse qu’au principe et aux implications.
Et je suis très inquiet de ce qu’une jurisprudence remettant en cause la LCEN impliquerait.


On est bien d’accord : si OverBlog est condamné en appel à Rennes le 19 septembre, ce que je souhaite ardemment, alors c’est à cette société qu’il faudra s’en prendre si des abus nuisant à la liberté d’expression des idées seront commis suite à cette éventuelle future jurisprudence.

Parce que le bon sens le plus élémentaire leur a manqué : il était évident que ce blog n’était rien d’autre que celui d’une déséquilibrée. Toute personne sensée pouvait le constater.

Ce blog contrevenait sur plusieurs points aux CGU d’OverBlog, déjà. Et malgré de très nombreux signalements effectués par de nombreuses personnes pendant trois ans, OverBlog a fait le mort.

Là, M. Poirier se comporte comme un gamin dans une cour de récré : il tente de justifier l’injustifiable en distordant les faits et en amalgamant des victimes de Mme L. dans cette tribune, alors que je le répète : les trois principales victimes de cette femme ne se connaissaient pas avant l’ouverture du blog “unpetitcoucou” sur OverBlog en mars 2010, et ce n’est qu’en juin de la même année qu’elles s’étaient contactées pour la première fois.

Et puis il omet de préciser que les victimes de Mme L étaient toutes identifiées, que leurs noms réels et bien d’autres données personnelles permettant de les identifier, étaient affichés sur des centaines d’articles plus déments les uns que les autres, associés à des crimes épouvantables et délirants, alors que Mme L écrivait sous anonymat. Exactement comme Angèle Laval, le fameux Corbeau de Tulle du siècle passé.

Peu importe : les magistrats de Rennes n’en auront cure puisque leur rôle est de dire le Droit et qu’ils le diront.


Le 02/09/2013 à 11h 16

@ lateo

Allez lire cet article, vous comprendrez mieux cette histoire et comment M. Poirier déforme de manière grossière, la réalité :

http://icyp.fr/2011/12/24/nemrod34-gagne-en-appel-contre-overblog/


Le 30/08/2013 à 21h 10

Je connais bien cette histoire et M. Poirier en donne une version pour le moins… très personnelle.

Tout d’abord il faut savoir que Madame B. n’a pas de blog et n’écrivait nulle part sur l’internet avant de se voir épinglée sur un blog-pilori en compagnie d’autres personnes qui, contrairement à ce qu’insinue M. Poirier, ignoraient le diagnostic psychiatrique de Mme. L, et dont la plupart ne se connaissaient même pas auparavant. Et c’est fondamental pour la compréhension de cette affaire de savoir que Mme L est une anonymographe, c’est-à-dire : un corbeau.

Ce n’est que des mois après que Mme L ait ouvert son blog sur OverBlog que ces personnes ont réagi à ses accusations “objectivement délirantes”. C’est la seule réalité et il n’y en a pas d’autre.

Le postulat de départ de M. Poirier est erroné. Tenter de faire passer Mme B comme un vulgaire troll, c’est distordre la réalité. Car tout d’abord cette affaire jugée à Brest ne concerne qu’elle, Mme L et OverBlog. Et personne d’autre.

Quant à l’illicéité des accusations, calomnies, injures et diffamations proférées par Mme L sur son blog, le jugement de Brest n’en contient qu’une infime partie : ce sont plusieurs centaines d’articles tous aussi délirants, outranciers et odieux les uns que les autres, que cette femme a publiés entre mars 2010 et juin 2013.

Dès avril 2010 des signalements d’abus ont été envoyés via les formulaires idoines, à OverBlog : plusieurs centaines en tout, émanant de plusieurs personnes. Ils sont tous restés sans réponse de la part d’OverBlog. Des LRAR ont été envoyées à cette même société en 2011, par sept personnes différentes au moins : toujours pas la moindre réponse de cet hébergeur.

Alors le coup de la bande de trolls harcelant une pauvre malade psychologiquement fragile, il est grotesque. Et le mot est faible.

J’espère que justice sera faite et que les responsables de cette incroyable affaire, seront condamnés en appel le 19 septembre à Rennes.