Hello, pour ma part j’ai fait le choix courant octobre d’opter pour une 1080 Gaming de chez MSI plutôt qu’une RTX, achetée en import US pour économie de presque 100€ par rapport aux prix fr à l’époque.
Il y a un point qui m’irrite particulièrement en ce moment, c’est la volatilité des prix des CG moyen et haut de gamme (des CPU aussi, dans le même genre), alors que vient le Black Friday/Cyber Monday, Noël, soldes etc. Je trouve que depuis quelques mois on a grandement perdu en visibilité sur le coût réel d’une carte, en relation avec sa date de sortie, les modèles comparables, la disponibilité…
Là où auparavant on pouvait comparer à 6 mois / 1 an, désormais ça change toutes les semaines. Cela a vraiment compliqué ma prise de décision, alors que pour les cartes haut de gamme c’est un engagement sur plusieurs années, d’où le passage par l’import d’une génération précédente, que j’avais jugée, peut être à tord, relativement “stable.”
Y aurait matière à une analyse de fond, avec stats et tout, sur cette situation ? Sur les pratiques fabricant, les habitudes d’achat, les matières premières, la pénétration des nouvelles cartes…
je ne suis pas un utilisateur de la Pomme, mais je me pose des questions…
Quid des adresses renseignées en CCI, sont-elles aussi transmises ? Ca pourrait permettre de savoir qui a communiqué avec qui en jouant sur les “suggestions”.
Ce service de suggestion, est-il accessible par API pour les développeurs ou seulement interne à Apple ? Ca c’est pour avoir le droit d’exploiter une réponse positive à 1.
Bon résumé même si je crois qu’il faut rendre vraiment hommage à Brian Krebs pour son extraordinaire travail d’investigation, qu’il a rendu public dans cet article de janvier dernier :
Hébé je n’ai jamais autant aimé noscript et bFilter. Il est vraiment chiant en fin 2017 de surfer en whitelist mais y a vraiment que ça pour ne pas être pigeonné…
Ou alors la solution nxi, mais tellement peu proposent un équivalent !! Suis fan de la possibilité de virer les réseaux sociaux qui ne sont alors pas envoyés ds le flux, mieux que le filtrage côté client.
Faudrait voir les termes du service et autres conditions d’utilisation de gmail (que je n’utilise pas).
Entre deux utilisateurs intra gmail, ils acceptent tous les deux les termes et sans doute qu’il n’y a rien à faire. Idem pour un mail sortant de gmail vers un service tiers : l’émetteur se conforme aux ToS de gmail et il est à l’initiative de la correspondance, le destinataire n’a sans doute pas la possibilité de contester quoi que ce soit. En revanche un émetteur du service tiers vers un compte gmail n’est pas tenu de connaître ni d’accepter les conditions de gmail. Tout le truc consisterait donc à savoir si le fait d’écrire à un correspondant utilisateur d’un autre service implique l’acceptation indirecte des services de cet autre services, sans connaître les termes exacts.
Si on se base sur le protocole, qui est la base technique pour que des emails soient échangés, rien n’indique qu’il faille filtrer ou analyser les mails autrement que pour l’acheminement de ces mails/
Ce qui ferait faire tâche, c’est un jugement en faveur de Google qui pourrait valider le principe que la surcouche imposée par des ToS des services ne soit pas opposable par un utilisateur qui se trouverait pris entre ces services tiers : ce serait une sacrée porte ouverte.
Ah ben le Joker façon Jared Leto, crédité en 2e place au générique après Will Smith pour personnage qui ne sert à rien dans le film, mis à part introduire Harley Quinn et le prochain film. D’ailleurs, or Deadshot et Quinn les autres vilains ne servent pas grand’chose non plus.
Comme X-men Apocalypse, le film se résume en: introductions de personnages façon fan-service, un gros méchant 99% CGI qui sert de prétexte pour rassembler un groupe qui s’en débarrasse grâce à sa nouvelle cohésion de frères d’armes, puis enfin ouverture sur le prochain film. schémas identiques pour résultats identiques.
Mouahahaha. 25 ans qu’on en parle du DMP. Nième décret… Attendons les normes qu’on rigole. L’implémentation à l’heure des usages omniprésents d’internet sera à s’arracher les cheveux. Interopérabilité mon oeil.
Il semble que la stratégie retenu par le plaignant soit le référencement de la page ; son hébergement et sa rédaction constituent d’autres infractions et peuvent faire l’objet de nouvelles saisies. L’hébergeur a déclaré ne pas être en mesure de répondre au bien fondé de la demande de suppression, c’est attaquable. De même la poursuite pour diffamation de l’auteur, s’il est identifié.
Pour obtenir gain de cause, la solution la plus “facile” a été le déréférencement mais le contenu est toujours là, sauf qu’il n’est plus indexé par Google (mais il doit l’être par d’autres moteurs…)
Ce qui est intéressant c’est que la jurisprudence prend corps et que le “droit à l’effacement” soit effectivement appliqué pour un individu lambda.
Je rejoins mon vdd. Scrolls, c’est un jeu qui nécessite de la stratégie et de l’adaptabilité, de la conception du deck au 20e tour de jeu. Et oui, le modèle économique était bien pensé (de l’argent réel au début, du custom shop principalement, et des tas de moyens de gagner la monnaie virtuelle pour enrichir sa collection, sans forcément dépenser de l’argent.
Les moins : parties longues, déséquilibre et phase de conception de deck pas bien foutue.
(mon premier commentaire sur NI, je crois bien ^^)
selon moi le problème n’est pas tant une exploitation de la licence sans autorisation que le fait de monétiser du contenu protégé. C’est-à-dire recevoir de l’argent basé sur ce contenu protégé, que ce soit le financement du développement que la vente éventuelle, même symbolique, du jeu terminé. Là je me base sur mes échanges avec CCP sur Eve, le principe est simple : tu peux proposer du contenu de fan, des sites tiers, des machins et des trucs tant que :
1. tu respectes le credo
2. tu respectes les mentions légales
3. tu ne touches pas un centime
Sinon il faut une autorisation et un contrat de licence… Tous les patches non-officiels pour BL jusqu’à présent, et il y en a eu quand même beaucoup, ont été mis à disposition gratuitement, et développés bénévolement, et les ayants-droit n’ont rien dit. Là, il y a tout de même l’idée de faire financer le dev, donc une question d’argent entre en compte…
Cf les remakes comme U5 Lazarus… totalement gratuits, sans financement ni vente => autorisation de principe, voire bénédiction des ayants-droit.
12 commentaires
Quelle carte graphique choisir ?
19/12/2019
Le 21/11/2018 à 17h 39
Hello, pour ma part j’ai fait le choix courant octobre d’opter pour une 1080 Gaming de chez MSI plutôt qu’une RTX, achetée en import US pour économie de presque 100€ par rapport aux prix fr à l’époque.
Il y a un point qui m’irrite particulièrement en ce moment, c’est la volatilité des prix des CG moyen et haut de gamme (des CPU aussi, dans le même genre), alors que vient le Black Friday/Cyber Monday, Noël, soldes etc. Je trouve que depuis quelques mois on a grandement perdu en visibilité sur le coût réel d’une carte, en relation avec sa date de sortie, les modèles comparables, la disponibilité…
Là où auparavant on pouvait comparer à 6 mois / 1 an, désormais ça change toutes les semaines. Cela a vraiment compliqué ma prise de décision, alors que pour les cartes haut de gamme c’est un engagement sur plusieurs années, d’où le passage par l’import d’une génération précédente, que j’avais jugée, peut être à tord, relativement “stable.”
Y aurait matière à une analyse de fond, avec stats et tout, sur cette situation ? Sur les pratiques fabricant, les habitudes d’achat, les matières premières, la pénétration des nouvelles cartes…
Apple Mail envoie discrètement l’adresse des destinataires d’e-mails à iCloud
01/06/2018
Le 04/06/2018 à 09h 44
Hello,
je ne suis pas un utilisateur de la Pomme, mais je me pose des questions…
En vous remerciant.
Botnet Mirai : trois jeunes universitaires américains ont plaidé coupables
14/12/2017
Le 14/12/2017 à 18h 03
Bon résumé même si je crois qu’il faut rendre vraiment hommage à Brian Krebs pour son extraordinaire travail d’investigation, qu’il a rendu public dans cet article de janvier dernier :
https://krebsonsecurity.com/2017/01/who-is-anna-senpai-the-mirai-worm-author/
Il fut je pense le premier à comprendre le lien entre mirai et minecraft, c’est presque du Millenium mais sans les morts.
Coinhive : la fulgurante expansion du minage caché de crypto-monnaie dans le navigateur
23/11/2017
Le 23/11/2017 à 18h 56
Hébé je n’ai jamais autant aimé noscript et bFilter. Il est vraiment chiant en fin 2017 de surfer en whitelist mais y a vraiment que ça pour ne pas être pigeonné…
Ou alors la solution nxi, mais tellement peu proposent un équivalent !! Suis fan de la possibilité de virer les réseaux sociaux qui ne sont alors pas envoyés ds le flux, mieux que le filtrage côté client.
Quand des billets électroniques SNCF fuitent sur les moteurs de recherche
28/03/2017
Le 28/03/2017 à 16h 10
C’est pour signaler la fin des IDTGV : plus de contrôle avant de monter dans la rame, plus de contrôle avant la montée dans la ram…
Heureusement qu’elle va nous faire préférer le train.
Vie privée : une class action contre Gmail autorisée à poursuivre aux États-Unis
19/08/2016
Le 19/08/2016 à 13h 24
Faudrait voir les termes du service et autres conditions d’utilisation de gmail (que je n’utilise pas).
Entre deux utilisateurs intra gmail, ils acceptent tous les deux les termes et sans doute qu’il n’y a rien à faire. Idem pour un mail sortant de gmail vers un service tiers : l’émetteur se conforme aux ToS de gmail et il est à l’initiative de la correspondance, le destinataire n’a sans doute pas la possibilité de contester quoi que ce soit. En revanche un émetteur du service tiers vers un compte gmail n’est pas tenu de connaître ni d’accepter les conditions de gmail. Tout le truc consisterait donc à savoir si le fait d’écrire à un correspondant utilisateur d’un autre service implique l’acceptation indirecte des services de cet autre services, sans connaître les termes exacts.
Si on se base sur le protocole, qui est la base technique pour que des emails soient échangés, rien n’indique qu’il faille filtrer ou analyser les mails autrement que pour l’acheminement de ces mails/
Ce qui ferait faire tâche, c’est un jugement en faveur de Google qui pourrait valider le principe que la surcouche imposée par des ToS des services ne soit pas opposable par un utilisateur qui se trouverait pris entre ces services tiers : ce serait une sacrée porte ouverte.
Un expert dans le coin ?
[Critique Geek] Suicide Squad : le regret de l’été
06/08/2016
Le 06/08/2016 à 17h 52
Ah ben le Joker façon Jared Leto, crédité en 2e place au générique après Will Smith pour personnage qui ne sert à rien dans le film, mis à part introduire Harley Quinn et le prochain film. D’ailleurs, or Deadshot et Quinn les autres vilains ne servent pas grand’chose non plus.
Comme X-men Apocalypse, le film se résume en: introductions de personnages façon fan-service, un gros méchant 99% CGI qui sert de prétexte pour rassembler un groupe qui s’en débarrasse grâce à sa nouvelle cohésion de frères d’armes, puis enfin ouverture sur le prochain film. schémas identiques pour résultats identiques.
Le nouveau « dossier médical partagé » est sur les rails
05/07/2016
Le 05/07/2016 à 15h 56
Mouahahaha. 25 ans qu’on en parle du DMP. Nième décret… Attendons les normes qu’on rigole. L’implémentation à l’heure des usages omniprésents d’internet sera à s’arracher les cheveux. Interopérabilité mon oeil.
E-réputation : Google Inc. enjoint d’effacer les données personnelles d’un Français
17/06/2016
Le 17/06/2016 à 14h 53
Il semble que la stratégie retenu par le plaignant soit le référencement de la page ; son hébergement et sa rédaction constituent d’autres infractions et peuvent faire l’objet de nouvelles saisies. L’hébergeur a déclaré ne pas être en mesure de répondre au bien fondé de la demande de suppression, c’est attaquable. De même la poursuite pour diffamation de l’auteur, s’il est identifié.
Pour obtenir gain de cause, la solution la plus “facile” a été le déréférencement mais le contenu est toujours là, sauf qu’il n’est plus indexé par Google (mais il doit l’être par d’autres moteurs…)
Ce qui est intéressant c’est que la jurisprudence prend corps et que le “droit à l’effacement” soit effectivement appliqué pour un individu lambda.
Scrolls : une dernière mise à jour avant le clap de fin
30/06/2015
Le 30/06/2015 à 13h 44
Je rejoins mon vdd. Scrolls, c’est un jeu qui nécessite de la stratégie et de l’adaptabilité, de la conception du deck au 20e tour de jeu. Et oui, le modèle économique était bien pensé (de l’argent réel au début, du custom shop principalement, et des tas de moyens de gagner la monnaie virtuelle pour enrichir sa collection, sans forcément dépenser de l’argent.
Les moins : parties longues, déséquilibre et phase de conception de deck pas bien foutue.
#14h42 : entretien avec Louis Joinet, l’un des pères de la CNIL
18/02/2015
Le 18/02/2015 à 16h 35
Ouah. Je connaissais pas le monsieur. Très intéressant.
L’éditeur de Vampire The Masquerade Bloodlines met fin à un remake non autorisé
24/11/2014
Le 24/11/2014 à 15h 41
Hello !
(mon premier commentaire sur NI, je crois bien ^^)
selon moi le problème n’est pas tant une exploitation de la licence sans autorisation que le fait de monétiser du contenu protégé. C’est-à-dire recevoir de l’argent basé sur ce contenu protégé, que ce soit le financement du développement que la vente éventuelle, même symbolique, du jeu terminé. Là je me base sur mes échanges avec CCP sur Eve, le principe est simple : tu peux proposer du contenu de fan, des sites tiers, des machins et des trucs tant que :
Sinon il faut une autorisation et un contrat de licence… Tous les patches non-officiels pour BL jusqu’à présent, et il y en a eu quand même beaucoup, ont été mis à disposition gratuitement, et développés bénévolement, et les ayants-droit n’ont rien dit. Là, il y a tout de même l’idée de faire financer le dev, donc une question d’argent entre en compte…
Cf les remakes comme U5 Lazarus… totalement gratuits, sans financement ni vente => autorisation de principe, voire bénédiction des ayants-droit.