c’est n’importe quoi… les petits répartiteurs sont exclus…. c’est INADMISSIBLE et INVRAISEMBLABLE… on continue à privilégier les zones très dense, denses et moyennement denses… quid des zones rurales qui comprennent que quelques centaines de ligne… alors que l’internet est un moyen de maillage du territoire.. je suis RÉVOLTÉ !!!!!!!!!!!!!!
Le
10/07/2014 à
19h
02
Je reste sceptique sur cette ouverture car il y a quelques jours l’Arcep m’a répondu
que les lignes non dégroupées étaient laissées à l’ouverture au bon vouloir de l’opérateur historique …. et en contactant l’opérateur il évoque un seuil de ligne de plus de 600 pour un NRA et ne veut pas s’engager dans une offre de gros non rentable … d’où mon scepticisme…
Qu’en pensez-vous ???
Bonjour,
L’introduction de nouvelles technologies sur le réseau de cuivre est étudiée par un comité d’experts indépendants. Des tests en laboratoire puis sur les lignes de foyers volontaires sont effectués pour vérifier que le fonctionnement des lignes existantes n’est pas perturbé par la nouvelle technologie. En avril 2013, les tests terminés et validés, le comité d’experts a rendu un avis positif pour l’utilisation du VDSL2 et a précisé les conditions de sa mise en œuvre.
Depuis le 1er octobre 2013, le déploiement du VDSL2 est autorisé sur l’ensemble du territoire pour les lignes en distribution directe, soit environ 20% des lignes en France. L’utilisation du VDSL2 en distribution indirecte, qui serait techniquement plus complexe, n’a pas été retenue, à ce stade, par le comité d’experts. Pour rappel, une ligne en distribution directe est une ligne reliée directement au NRA, sans passer par un point de réseau intermédiaire (un sous-répartiteur).
Les opérateurs n’ont pas d’obligation réglementaire de déployer cette technologie. Chaque opérateur est libre d’équiper les répartiteurs des lignes en distribution directe pour proposer cette nouvelle technologie à ses clients. Pour les zones non-dégroupées, il existe une offre de gros de l’opérateur historique permettant aux opérateurs alternatifs de proposer le VDSL2 à leurs clients.
Les débits permis par le VDSL2 sont plus élevés que ceux permis par l’ADSL2+ pour les lignes les plus courtes. Au-delà d’environ un kilomètre, le VDSL2 a des performances équivalentes à celles de l’ADSL2+. Les débits du VDSL2, qu’ils soient descendants ou remontants, seront dans tous les cas inférieurs à ceux permis par le FttH.
Pour plus d’information sur les communications électroniques, je vous invite à consulter notre site internet www.telecom-infoconso.fr et notamment la transcription des échanges entre les internautes et les experts de l’ARCEP lors de notre tchat du 1er octobre au sujet du VDSL2
2 commentaires
VDSL2 en distribution indirecte cet automne : 4,45 millions de lignes éligibles
10/07/2014
Le 10/07/2014 à 19h 10
mes craintes se confirment…
c’est n’importe quoi… les petits répartiteurs sont exclus…. c’est INADMISSIBLE et INVRAISEMBLABLE… on continue à privilégier les zones très dense, denses et moyennement denses… quid des zones rurales qui comprennent que quelques centaines de ligne… alors que l’internet est un moyen de maillage du territoire.. je suis RÉVOLTÉ !!!!!!!!!!!!!!
Le 10/07/2014 à 19h 02
Je reste sceptique sur cette ouverture car il y a quelques jours l’Arcep m’a répondu
que les lignes non dégroupées étaient laissées à l’ouverture au bon vouloir de l’opérateur historique …. et en contactant l’opérateur il évoque un seuil de ligne de plus de 600 pour un NRA et ne veut pas s’engager dans une offre de gros non rentable … d’où mon scepticisme…
Qu’en pensez-vous ???
Bonjour,
L’introduction de nouvelles technologies sur le réseau de cuivre est étudiée par un comité d’experts indépendants. Des tests en laboratoire puis sur les lignes de foyers volontaires sont effectués pour vérifier que le fonctionnement des lignes existantes n’est pas perturbé par la nouvelle technologie. En avril 2013, les tests terminés et validés, le comité d’experts a rendu un avis positif pour l’utilisation du VDSL2 et a précisé les conditions de sa mise en œuvre.
Depuis le 1er octobre 2013, le déploiement du VDSL2 est autorisé sur l’ensemble du territoire pour les lignes en distribution directe, soit environ 20% des lignes en France. L’utilisation du VDSL2 en distribution indirecte, qui serait techniquement plus complexe, n’a pas été retenue, à ce stade, par le comité d’experts. Pour rappel, une ligne en distribution directe est une ligne reliée directement au NRA, sans passer par un point de réseau intermédiaire (un sous-répartiteur).
Les opérateurs n’ont pas d’obligation réglementaire de déployer cette technologie. Chaque opérateur est libre d’équiper les répartiteurs des lignes en distribution directe pour proposer cette nouvelle technologie à ses clients. Pour les zones non-dégroupées, il existe une offre de gros de l’opérateur historique permettant aux opérateurs alternatifs de proposer le VDSL2 à leurs clients.
Les débits permis par le VDSL2 sont plus élevés que ceux permis par l’ADSL2+ pour les lignes les plus courtes. Au-delà d’environ un kilomètre, le VDSL2 a des performances équivalentes à celles de l’ADSL2+. Les débits du VDSL2, qu’ils soient descendants ou remontants, seront dans tous les cas inférieurs à ceux permis par le FttH.
Pour plus d’information sur les communications électroniques, je vous invite à consulter notre site internet www.telecom-infoconso.fr et notamment la transcription des échanges entre les internautes et les experts de l’ARCEP lors de notre tchat du 1er octobre au sujet du VDSL2