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Zatchem

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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4 commentaires

Next INpact fête ses 20 ans !

Le 06/05/2023 à 16h 23

Toues mes félicitations pour ces vingt premières années et mes espérances pour vos vingt prochaines.


Shelly Pro 1PM : à la découverte d’un couteau suisse pour tableau électrique, avec suivi de consommation

Le 28/04/2023 à 10h 55

Si je puis me permettre



a) un disjoncteur (fusible) sert à protéger les fils électriques placés en aval
Ceux-ci doivent donc être dimensionnés afin de tenir plus de courant que le disjoncteur
(je ne parle pas ici du disjoncteur différentiel qui a une autre fonction)
=> Même si on est certain de ne brancher qu’une lampe à led de 2W sur une prise, on ne la câble pas en 0.5mm^2 si le disjoncteur amont est calibré sur 10A !!!
(j’ai déjà vu du 4mm2 du tableau jusqu’au four puis du 0,5mm2 du four jusqu’à une lampe: une hérésie !)



La procédure de base lorsqu’on dimensionne une ligne électrique est:




  1. évaluation du courant max à tirer sur cette ligne (ceinture et bretelle: sommer toutes les conso des appareils qui seront branchés sur la ligne, une des lois de Murphy indiquant




  • “Si on te garantit que jamais tous les appareils seront actifs en même temps, soit sur que tu vas déchanter rapidement”




  1. pose d’un disjoncteur supportant au minimum ce courant max (on devrait prendre de mémoire une marge de 25% pour réduire les risques, à vérifier)

  2. on câble TOUTE la ligne avec des fils et des prises capable de supporter le courant limite du disjoncteur



b) la longueur de câblage n’influe pas sur l’échauffement (en tout cas pas en premier ordre)
Son effet est sur la perte de tension en ligne qui risque de poser problème à l’élément alimenté
(tension trop basse = pas de fonctionnement ou risque d’augmentation hors limite du courant consommé)



c) EDF https://izi-by-edf.fr/blog/prise-section-cable-choisir/ autorise 16A sur du 1,5mm2
Pour ma part (mais je viens de l’industrie des machines tournantes) je préconise 6,5A/mm2



d) Si vous utilisez une rallonge sur enrouleur, toujours déployer l’intégralité du fil, cela évitera de créer une charge inductive liée au 50Hz
C’est valable aussi pour votre aspirateur.
Je ne dis pas c’est obligatoire, seulement que c’est une bonne habitude à prendre qui réduit les risques


USB Type-C : la directive européenne au journal officiel, l’application en décembre 2024

Le 10/12/2022 à 11h 19


Dyfchris a dit:


Est ce que cela concerne aussi les casques audio filaire en Jack/XLR ?



La directive évoque effectivement les “casques d’écoute ou casques-micro portatifs” mais s’intéresse à “l’harmonisation des interfaces de charge et des protocoles de communication pour la charge”




De fait, les casques audio et micro filaires ne semblent pas être visés ici.
D’ailleurs, je ne pense pas qu’il soit prévu de passer un signal analogique sur le bus USB-C.




JnnT a dit:


Pour aller plus loin, on pourrait interdire la recharge sans contact, par induction. Ça fait un matos en plus et une partie de l’énergie est perdue. Pour un avantage négligeable. Si l’UE va jusque là, je deviens pro-UE. Mais juste 5 mn.




Dans le cas des brosses à dents électriques, l’induction à quand même l’avantage de faciliter l’étanchéité du produit.



Dans le cas des smartphones, je te rejoins.
Seul avantage: éviter l’usure du connecteur.
Mais vu la durée de vie effective d’un smartphone, le connecteur est généralement encore opérationnel alors que l’injonction marketing a déjà provoqué l’achat de son successeur.


No code : qu’est-ce ?

Le 10/12/2022 à 10h 50


IMV a dit:


Sujet très intéressant ! Je nuancerai cependant un point: les bonne pratiques, nécessaires autant pour « faire du code » que du no-code, ne sont pas plus innée chez les dev que les no-codeurs. C’est une rigueur à acquérir , un apprentissage, une courbe de progression.



wanou a dit:


Par contre, la programmation labview qui ne s’adresse pas du tout à des électroniciens mais à des développeurs de bancs de test qui sont bien souvent des quiches en électronique, rend ses utilisateurs parfaitement captifs. Ceux qui savent manier la programmation spaghetti de labview




Electronicien de formation, j’ai dû, il y a une vingtaine d’année déboguer un banc de test programmé sous Labview (création en 1986, au passage, ce qui ne nous rajeunit pas).



Je découvrais par la même occasion ce langage de programmation (c’est bien un langage, même s’il est graphique). Prise en main très facile.
Par contre, ce qu’avait fait le développeur était horrible.
7 ou 8 niveaux de boîtes imbriquées, avec des paramètres passés en tant que tels entre certaines boites mais écrits en dur dans certaines boîtes intermédiaires…



Ma conclusion:




  • on peut faire de la programmation aussi dégueulasse en utilisant un outil graphique qu’en C ou qu’en n’importe quel autre langage.

  • la prise en main est tellement simple qu’un hardeux peux programmer un banc de tests sans avoir besoin ni d’un spécialiste des bancs de tests, ni d’un softeux. Et c’est très appréciable dans le contexte industriel actuel.