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Albert1936

est avec nous depuis le 23 octobre 2015 ❤️

11 commentaires

Le 14/12/2021 à 06h 53


traktor a dit:


LE sous-titre adapté tant au sujet qu’à la date de parution, chapeau :incline:


+1312

Le 06/10/2021 à 05h 54

:yes:

Le 05/10/2021 à 05h 33

Malheureusement, oui…



Il existe d’ailleurs des assurances juridiques pour cela…

Le 16/09/2021 à 11h 54

A tout hasard…

Le 05/05/2021 à 16h 29

Tiens c’est aussi mon anniversaire aujourd’hui, mais un peu plus que 18 ans…



Sinon c’est effectivement une bonne idée je pense que d’impliquer les lecteurs dans l’indépendance de Next Inpact.



Pour l’éditorial, je préfère que ce soit la rédaction elle-même qui en décide, l’indépendance devant être au service de ça.

Le 16/10/2020 à 09h 44

Pour les appels vidéo de groupe c’est Meet qui remplace, j’espère sans trop de limites en durée et nb de participants.

Le 02/10/2019 à 08h 04

Cool ! De retour !

Le 22/09/2019 à 10h 07







Eviv_Bulgroz a écrit :



Une question que je me pose. Vu que tout ceci est public maintenant, ne serait-ce pas possible que l’inspection du Travail se penche sur les étranges conditions de travail de cette entreprise ? Ou ne devrait-elle pas être saisie ? Et si oui par qui ? Ou suis-je juste un grand naïf ?





L’inspection du travail peut effectivement s’auto-saisir.



Elle peut aller sur une enquête sur le harcèlement moral des salariés par la direction, mais ça suppose des témoignages de salariés et d’anciens salariés. Et si ces derniers ne soutiennent pas la procédure pénale, ce sera difficile de convaincre le Parquet de poursuivre et d’amener l’affaire jusqu’à une audience au tribunal.



L’inspection du travail peut aussi contraindre l’employeur à effectuer une évaluation des risques professionnels en matière de harcèlement moral (et risques psycho-sociaux). Pour cela l’idéal est qu’elle est des alertes objectives de conséquences du harcèlement moral (ou risques psycho-sociaux) : turn over important (et notamment démissions), alerte du médecin du travail, absentéisme important, plaintes de représentants du personnel, déclaration d’accident du travail suite à “soufflante”, etc. Le tout n’est bien sûr pas cumulatif. Parfois, l’alerte est plus dramatique : un suicide ou une tentative de suicide lié au travail (le lieu et l’éventuel message laissé est parlant).

L’évaluation des risques surtout avec un organisme extérieur compétent (uneliste est tenue par le ministère du travail) permet de déterminer les causes du problème (organisation du travail, management, etc.) et de proposer des solutions. Mais là encore sans l’appui des représentants du personnel et la parole des salariés à l’organisme, cette voie est difficile.



 En conclusion, L’inspection du travail peut effectivement faire des choses, mais pas toute seule de l’extérieur.

 Les “billes” des salariés et l’appui de salariés, d’anciens salariés et des représentants du personnels  démultiplie la capacité de l’inspection du travail d’agir.



Il faut aussi rappeler que l’inspection du travail ne peut pas se servir de

l’existence ou du contenu d’une plainte de salarié facilement. En effet,

toute plainte (contenu et existence) est confidentielle, cela permet

aux salariés de parler librement à l’inspection du travail. Pour en

faire état auprès de l’employeur, par exemple,  il faut que le ou la

salarié lève la confidentialité de sa plainte.


Le 21/09/2019 à 13h 20

Merci pour le boulot journalistique ! Le parallèle avec Mediapart se vérifie à la fois sur la qualité, l’indispensable financement par les lecteurs et enfin l’importance de qui décide du contenu : le proprio ou la rédaction.



Sinon, au passage, je souhaite bon courage aux agents de contrôle de l’inspection du travail qui s’occupe de cette boite…

Le 23/01/2019 à 17h 02

Merci !

Le 23/01/2019 à 10h 35

Cela veut dire que les utilisateurs d’hangouts hors G suite ne pourront plus l’utiliser ?