Le 28/06/2016 à 17h 49

Attention à ne pas sous estimer opera. Ce n’est plus une petite entreprise norvégienne, elle est désormais la propriété de mastodontes du net chinois, qui s’attaqueront frontalement à google ou à microsoft. Ce n’est pas tant webkit qui avait du mal mais le passage à chromium, trop proche de chrome. Il faudra voir comment tout cela se négocie justement depuis qu’opéra est chinois. 

Le 30/03/2016 à 20h 38

j’ai tendance à penser que la presse occidentale prend la question à l’envers avec un certain parti pris idéologique.

Énumérons quelques paramètres  :

-il n’y a pas le gentil microsoft démocratique et le méchant chinois. Il y a un enjeu économique et surtout sécuritaire. La Chine est une superpuissance en devenir et est donc  la cible de toute déstabilisation 
Il n’y a pas que le marché économique qui donne à la Chine sa puissance (après tout  l’union européenne est un énorme marché en soi mais qui est quasiment sous tutelle us)
 la Chine est de plus en plus souveraine dans plusieurs secteurs clés (finances, armée, système satellitaire…), elle se conçoit en tant que bloc souverain, indépendant de toute ingérence.

Les deux pays connaissent les règles du jeu. Les firmes high tech us sont bourrées de mouchards comme leurs homologues chinoises de plus en plus puissantes d’ailleurs.
Donc le message est clair, c’est un windows démouchardisé  qui est destiné à la Chine. Ce qui prouve toute l’étendue de sa puissance et de son influence croissante. Huawei s’est vu interdire un marché us. 

Ce n’est pas une lecture idéologique qui doit primer. Mais une lutte d’influence entre une superpuissance et une superpuissance potentielle.

Le 11/03/2016 à 11h 11

opera étant racheté par des sociétés hig tech chinoises, il faudra voir la stratégie des repreneurs aussi (marché prioritaire, modèle économique). 
Opera a désormais les reins financiers et stratégiques solides (qihoo)

Le 11/01/2016 à 22h 11

Qu’en est il de la prise en charge d’optimus ?  J’imagine que c’est aussi lié à wayland.