- les mauvais retour des clients (http://bit.ly/29JFtMB) et des employés qui cassent la confiance
- la rapidité avec laquelle ils ont brûlé 15M€ (!) signe d’un business malsain et d’une absence totale de discipline financière- le marché qui devient de plus en plus compliqué avec des (i) des smartphones moins chers à l’achat (ii) des références toujours plus nombreuses, donc une logistique de pièces détachées de plus en plus complexe (= coûteuse) (iii) l’arrivée de concurrents du même calibre qui font la guerre sur les prix (absence de barrière à l’entrée)
- le management qui n’a jamais prouvé qu’il était capable de faire tourner une boite rentable (le CEO a 26 ans, le COO vient de Surcouf et de Video Futur)
- le discours de façade du management “on bosse jour et nuit pour retourner la situation” mais en fait on est tous les soirs au Stade de France pendant l’Euro : http://bit.ly/29Sxagf => Je vois Save mourir d’ici 2 ans et devenir un cas d’école des échecs de business
1 commentaires
La start-up Save mise en redressement après une croissance mal contrôlée
13/07/2016
Le 13/07/2016 à 20h 55
Vu :
- les mauvais retour des clients (http://bit.ly/29JFtMB) et des employés qui cassent la confiance
- la rapidité avec laquelle ils ont brûlé 15M€ (!) signe d’un business malsain et d’une absence totale de discipline financière- le marché qui devient de plus en plus compliqué avec des (i) des smartphones moins chers à l’achat (ii) des références toujours plus nombreuses, donc une logistique de pièces détachées de plus en plus complexe (= coûteuse) (iii) l’arrivée de concurrents du même calibre qui font la guerre sur les prix (absence de barrière à l’entrée)
- le management qui n’a jamais prouvé qu’il était capable de faire tourner une boite rentable (le CEO a 26 ans, le COO vient de Surcouf et de Video Futur)
- le discours de façade du management “on bosse jour et nuit pour retourner la situation” mais en fait on est tous les soirs au Stade de France pendant l’Euro : http://bit.ly/29Sxagf => Je vois Save mourir d’ici 2 ans et devenir un cas d’école des échecs de business