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Beanux

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On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
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3 commentaires

Pour la présidentielle, LaPrimaire.org expérimente le vote par jugement majoritaire

Le 19/04/2017 à 15h 05

Je peux me tromper, mais le problème et qui ne me semble pas mentionné dans la vidéo, c’est que le système est un système de vote (de choix social), et le théorème d’impossibilité d’Arrow montre qu’il n’existe pas de fonction de choix social permettant de répondre aux critère voulus (je les précises ci dessous).

Or le système de de jugement majoritaire n’est pas un système de choix social, il attribut une note, et non pas un choix, c’est pour ça qu’il arrive à remplir les critères.
D’autre part, le principe n’est plus de choisir le candidat à la majorité. Et c’est la que ça gène beaucoup de monde.

après avoir vu la vidéo il faudra que j’aille voir le document cité sur le vote majoritaire
Mais l’argument cité est un peu spécieux. D’une part, il faut se situer à la valeur médiane (donc connaitre le d’avance le résultat du vote), d’autre part, la on est sur un cas simple, la valeur médiane est un entier donc il est possible d’être à la valeur médiane et de la faire basculer, en partant du principe que l’on connait cette valeur (aka savoir le résultat du vote à l’avance).
 

Pour la formulation des critères, après quelques recherche je me suis servi de ceci
Les critères fini par Arrow qui définissent un système de vote:




  • universalité : il existe toujours un choix collectif, quelles que soient les préférences de chaque individu (pas de restriction sur les préférences individuelles) ;



  • unanimité (principe de Pareto, ou “non-masochisme du groupe”) : lorsqu’une certaine option est préférée par tous à une certaine autre, la fonction de choix social associe cette même préférence à la société ;



  • indépendance des options non-pertinentes (impossibilité de “manipulation”) : le classement relatif de deux options ne doit dépendre que de leur position relative pour les individus et non du classement d’options tierces ;



  • non-dictature : il n’existe aucun individu (“dictateur”) pour lequel la liste de ses choix personnels coïncide avec le choix collectif, quelles que soient les préférences des autres.

    A cela on ajoute 2 hypothèses:


  • hypothèse de rationalité : si un individu préfère une option A à une option B, la présence d’une troisième option C ne doit pas intervertir cette préférence (en particulier, il y a transitivité : si B est préféré à C et C est préféré à A, il est impossible que A soit préféré à B) ;



  • hypothèse d’anonymat (invariance par permutation) : le choix collectif ne dépend pas de qui émet une préférence individuelle ;



LastPass : nouvelle faille de sécurité, cette fois dans l'extension Chrome

Le 29/03/2017 à 14h 19






hellmut a écrit :

oui mais non.
j’ai besoin d’un truc accessible de partout.
du coup keepass et keepass2android.<img data-src=" />


Idem pour moi, surtout que keepass peut ouvrir/enregistrer directement au fichier depuis hébergement web.
Et que on peut même configurer le fichier pour qu’il s’enregistre automatiquement lors de changement, ou qu’il s’enregistre dans plusieurs endroits.
Bref pas besoin de laisser un service tiers centralisé pour gérer mes mots de passe.



Interview de Mireille Imbert-Quaretta, personnalité qualifiée chargée du contrôle de la PNIJ

Le 03/03/2017 à 13h 43

“À court terme, aussi bien les magistrats que les enquêteurs doivent se l’approprier.”

On tombe bien sur un problème systémique, qui est le manque de connaissance et de compréhension de la chose. Et pour que les magistrats se l’approprie il faut que la problématique soit connu des politiques (donc potentiellement approprié aussi).