Je comprend et je suis tout à fait d’accord. Ils pourrait au moins décider de figurer dans différents store, y compris dans F-Droid. Mais dans tous les cas, ils se rendraient dépendant de la politique des uns et des autres. La seule solution indépendante (et encore, l’état ne va pas redévelopper Android) serait de créer un store gouvernemental open source. Mais il faudrait être encore plus prudent sur le plan technique du point de des usagers pour laisser les gouvernements accéder au mode administrateur du téléphone. Du point de vue de l’usager final, pas sûr que l’on y gagne, et que toutes les conditions de transparence soient réunies. L’état pourrait aussi décider de fournir un APK de leur application à télécharger librement sans passer par le store, mais ils ne pourraient pas l’encourager au près de la population peu avertie sur les questions informatiques. En effet, du point de vue de la sécurité informatique, ce serait donner le message à tout le monde que tout le monde peut télécharger son application n’importe où, ce qui serait pire que tout du point de vue de la sécurité et de tout le reste.
Le
27/07/2023 à
09h
58
Techniquement, non, c’est le Play Store, et je ne serais pas surpris que App Lounge ne respecte pas les CGU de Google. Pareil pour Aurora Store. Ce ne sont que des interfaces au Play Store qui tentent d’en contourner les limitations. C’est une solution pour l’installer, sauf que l’APK est quand même distribué (et éventuellement modifié) par Google.
Concernant les applications qui seraient modifiées par Google, il me semble que chaque application doit être signée par la clé privée de l’éditeur avant d’être téléversée sur le serveur de Google Play Store (sinon, le téléversement est refusé). Cette clé n’est bien sûr pas connue de Google. Donc si Micro G se contente de vérifier la signature de l’application avec la clé publique de l’éditeur, il n’y a pas de modification possible par Google sans que cela ne se sache. Maintenant, je ne connais pas le code de MicroG pour en dire plus, mais ça serait à mon avis facile de vérifier la signature de l’application.
Le
27/07/2023 à
09h
52
Techniquement, non, c’est le Play Store, et je ne serais pas surpris que App Lounge ne respecte pas les CGU de Google. Pareil pour Aurora Store. Ce ne sont que des interfaces au Play Store qui tentent d’en contourner les limitations. C’est une solution pour l’installer, sauf que l’APK est quand même distribué (et éventuellement modifié) par Google.
Dans la chaine de dépendances, oui, “App Lounge” dépend de “Play Store”. Si l’on se place du point de vue du gouvernement, ce n’est pas un problème, car si Google Play venait à ne plus fonctionner, il lui suffirait de se greffer à un autre store “populaire” (ou plusieurs). Donc rien de bloquant à ce niveau. Si on se place du côté de l’utilisateur, “App Lounge” est vraiment un store à part, car il y a un mode anonyme qui sépare l’utilisateur de Google, et toute le code lié à Google Play a été redéveloppé avec MicroG. Donc les statistiques d’utilisation ne sont pas transmises à Google ou le moins possible. C’est surtout du point de vue des informaticiens que le problème se pose, car il faut tout de même respecter le standard logiciel “Google” vu que MicroG propose la même API que PlayStore pour permettre une compatibilité avec les applications compatible “Play Store”. En résumé, pour moi, on est pas trop mal sous “App Lounge” en tant qu’utilisateur, même si ce n’est pas encore l’idéal.
Dans “App lounge”, le “store” de e/os/, je trouve l’application “France Identité”. Je ne l’ai pas encore essayée. Donc à ce stade, je dirais qu’elle est disponible ailleurs que sur Google Play Store.
comme disait quelqu’un, peut-etre un petit groupe électrogène pour simuler le secteur, disjoncteur de branchement coupé bien sûr, reste à savoir si le GE va aimer se faire injecter par les PS, ça pourrait le perturber de recevoir au lieu de donner.
Le groupe électrogène doit fonctionner hors réseau Enedis. Il est interdit d’injecter sans autorisation d’Enedis, et il est toujours interdit d’injecter du courant quand Enedis coupe le courant.
Le
03/05/2023 à
07h
11
La première installation, je n’ai pas eu de contre visite. Concernant les étiquettes, j’avais acheté un tableau tout fait, donc je n’ai pas eu de soucis. Lorsque j’ai voulu augmenter la puissance avec des micro-onduleurs, j’ai passé un deuxième consuel, mais cette fois, j’ai fait mon propre tableau. Du coup, j’ai aussi eu des problème d’étiquettes, mais on m’a simplement demander une attestation sur l’honneur comme quoi j’ai bien mis des étiquettes. Je suis plus trop sûr, mais je crois que j’ai commandé les étiquettes ici : https://www.etiquette-photovoltaique.com/ . J’en ai mis un peu partout (disjoncteur de branchement, batterie, disjoncteur, tableau, couvercle du tableau, batterie). Je l’ai ai collé là où j’ai trouvé ça pertinent sans certitude. Je ne sais pas si c’est bon vu que je n’ai pas eu de contre visite. Tu peux me contacter en message privé, pas de problèmes !
Le
03/05/2023 à
07h
04
Non, en cas de coupure de courant, s’il y a des batteries, l’onduleur n’injecte plus sur le réseau et une partie de la maison, mais une partie de l’installation de l’habitation peut continuer à fonctionner en autonomie dans un circuit en ilotage (comme un onduleur pour PC en fait). Par contre, il ne sera pas possible de faire fonctionner des appareils à forte puissance. Environ 10-13A max. Sans cette possibilité, les batteries perdent une bonne partie de leur utilité.
Le
02/05/2023 à
22h
04
Les batteries font perdre un peu d’énergie, mais elles permettent de lisser l’injection/sourtirage. Ça soulage le réseau dans les deux sens. Il faut 15-16 ans pour rentabiliser un système avec batterie selon mes calculs, et 7-9 sans (installation non pro). Les batteries lithium-fer-phosphate ne feront pas vraiment beaucoup plus que 16 ans (à voir), mais les panneaux peuvent durer plus de 30 ans. Un groupe électrogène coutera probablement moins cher (je suis toutefois pas sûr), mais ne sera quasiment jamais utilisé. Un onduleur moderne peut déclencher le groupe électrogène, mais c’est vraiment utile que s’il y a un peu de batterie, sinon l’onduleur risque de s’éteindre lui même, et donc ne pas déclencher le groupe. Le groupe fait du bruit aussi… En pleine nuit, c’est théoriquement pas autorisé, mais en plein de crise, j’imagine que ça passe. Pour le rendement des panneaux, j’atteins la puissance max des onduleurs en plein été avec des panneaux en surimposition (aéré en dessous), mais les panneaux sont 20% plus puissants que les onduleurs (dans le cadre de la norme de l’onduleur) pour un déclenchement plus long le matin et le soir.
Le
02/05/2023 à
21h
32
J’ai fait mon installation moi même, intégré au tableau, avec batterie, ça m’est revenu moins cher que le subventionné, sans dépenser de l’argent public. J’ai aussi passé le consuel pour certifier que l’installation est aux normes (obligatoire au delà d’une certaine puissance). Au delà de 3Kwc, Enedis n’accepte pas une injection gratuite du courant. Il faut forcément avoir un responsable d’équilibre (qui achète ou qui reprend gratuitement). Et il faut forcément le Consuel. Je suis chez Urban Solar maintenant qui achète mon surplus à 10 centimes/Kwh (les trois derniers mois), le prix du subventionné chez EDF. Mais faut dire que c’est lié à la conjoncture qui fait monter les prix. J’espère que cela va changer positivement et que les prix vont baisser pour toutes et tous (ou au moins ne pas augmenter). Quoi qu’il en soit, il faut viser l’autoconsommation au maximum et éviter les allez retour du courant. Le chauffe eau se déclenche quand il y a du soleil, la voiture électrique se recharge quand il y a du soleil ou la nuit sinon, il faut lancer des machines et autre appareil quand il y a du soleil, etc.
Sinon, EDF ne rachète l’électricité que si l’installation est faite par un professionnel, et à un prix subventionné par l’état. En gros, que si c’est plus cher. Et l’électricité est la même. Si elle n’est pas aux normes, il faut juste l’interdire (aucun rapport avec les rachats ou non qui est une décision politique).
J’ai lu dans les commentaires que les panneaux sur la prise n’était pas protégés par le disjoncteurs. Ce n’est pas vrai. Dans la norme française, une prise électrique classique doit être protégée par un disjoncteur de 20A maximum, et un différentiel de 30 ma (et encore, cela dépend de la section des câbles et du matériau conducteur). Quasiment la protection qu’ont les PV. De toute façon, les PV ont leur propre boitier de protection (même branché à la prise), à savoir disjoncteur, différentiel, et un parafoudre. Il faut quand même vérifier que la terre a moins de 100 Ohms de résistance. La seule chose, c’est que le différentiel est un peu moins sensible pour les panneaux (moins de faux positifs) et donc il coute plus cher (Type F). Si vous mettez un différentiel chatouilleux (Type A), il se déclenchera s’il pleut en même temps qu’il y a du soleil sur les panneaux, et seulement à partir d’une certaine puissance.
La seule chose avec les panneaux sur les prises, c’est que bien qu’elle peuvent théoriquement encaisser 16A, il ne faut pas le faire en permanence. Elles vont chauffer, et ce n’est pas un régime normal. Il faut donc limiter la puissance maximum des panneaux. Si vous débranchez la prise, le ou les onduleurs doivent automatiquement couper le courant (s’ils ont la norme obligatoire VDE-0126-1-1 VFR 2019). Mais bon, je mettrais pas la langue non plus (ni rien d’autres).
161 commentaires
Web Environment Integrity : chez Google, l’ombre d’un DRM pour le web
25/07/2023
Le 27/07/2023 à 11h 43
Je comprend et je suis tout à fait d’accord. Ils pourrait au moins décider de figurer dans différents store, y compris dans F-Droid. Mais dans tous les cas, ils se rendraient dépendant de la politique des uns et des autres. La seule solution indépendante (et encore, l’état ne va pas redévelopper Android) serait de créer un store gouvernemental open source. Mais il faudrait être encore plus prudent sur le plan technique du point de des usagers pour laisser les gouvernements accéder au mode administrateur du téléphone. Du point de vue de l’usager final, pas sûr que l’on y gagne, et que toutes les conditions de transparence soient réunies. L’état pourrait aussi décider de fournir un APK de leur application à télécharger librement sans passer par le store, mais ils ne pourraient pas l’encourager au près de la population peu avertie sur les questions informatiques. En effet, du point de vue de la sécurité informatique, ce serait donner le message à tout le monde que tout le monde peut télécharger son application n’importe où, ce qui serait pire que tout du point de vue de la sécurité et de tout le reste.
Le 27/07/2023 à 09h 58
Concernant les applications qui seraient modifiées par Google, il me semble que chaque application doit être signée par la clé privée de l’éditeur avant d’être téléversée sur le serveur de Google Play Store (sinon, le téléversement est refusé). Cette clé n’est bien sûr pas connue de Google. Donc si Micro G se contente de vérifier la signature de l’application avec la clé publique de l’éditeur, il n’y a pas de modification possible par Google sans que cela ne se sache. Maintenant, je ne connais pas le code de MicroG pour en dire plus, mais ça serait à mon avis facile de vérifier la signature de l’application.
Le 27/07/2023 à 09h 52
Dans la chaine de dépendances, oui, “App Lounge” dépend de “Play Store”. Si l’on se place du point de vue du gouvernement, ce n’est pas un problème, car si Google Play venait à ne plus fonctionner, il lui suffirait de se greffer à un autre store “populaire” (ou plusieurs). Donc rien de bloquant à ce niveau. Si on se place du côté de l’utilisateur, “App Lounge” est vraiment un store à part, car il y a un mode anonyme qui sépare l’utilisateur de Google, et toute le code lié à Google Play a été redéveloppé avec MicroG. Donc les statistiques d’utilisation ne sont pas transmises à Google ou le moins possible. C’est surtout du point de vue des informaticiens que le problème se pose, car il faut tout de même respecter le standard logiciel “Google” vu que MicroG propose la même API que PlayStore pour permettre une compatibilité avec les applications compatible “Play Store”. En résumé, pour moi, on est pas trop mal sous “App Lounge” en tant qu’utilisateur, même si ce n’est pas encore l’idéal.
Le 27/07/2023 à 09h 29
Dans “App lounge”, le “store” de e/os/, je trouve l’application “France Identité”. Je ne l’ai pas encore essayée. Donc à ce stade, je dirais qu’elle est disponible ailleurs que sur Google Play Store.
Kit solaire d’autoconsommation : que faut-il savoir avant d’en installer un soi-même ?
02/05/2023
Le 03/05/2023 à 07h 36
Oui pardon, j’ai mal lu :/
Le 03/05/2023 à 07h 16
Le groupe électrogène doit fonctionner hors réseau Enedis. Il est interdit d’injecter sans autorisation d’Enedis, et il est toujours interdit d’injecter du courant quand Enedis coupe le courant.
Le 03/05/2023 à 07h 11
La première installation, je n’ai pas eu de contre visite. Concernant les étiquettes, j’avais acheté un tableau tout fait, donc je n’ai pas eu de soucis. Lorsque j’ai voulu augmenter la puissance avec des micro-onduleurs, j’ai passé un deuxième consuel, mais cette fois, j’ai fait mon propre tableau. Du coup, j’ai aussi eu des problème d’étiquettes, mais on m’a simplement demander une attestation sur l’honneur comme quoi j’ai bien mis des étiquettes. Je suis plus trop sûr, mais je crois que j’ai commandé les étiquettes ici : https://www.etiquette-photovoltaique.com/ . J’en ai mis un peu partout (disjoncteur de branchement, batterie, disjoncteur, tableau, couvercle du tableau, batterie). Je l’ai ai collé là où j’ai trouvé ça pertinent sans certitude. Je ne sais pas si c’est bon vu que je n’ai pas eu de contre visite.
Tu peux me contacter en message privé, pas de problèmes !
Le 03/05/2023 à 07h 04
Non, en cas de coupure de courant, s’il y a des batteries, l’onduleur n’injecte plus sur le réseau et une partie de la maison, mais une partie de l’installation de l’habitation peut continuer à fonctionner en autonomie dans un circuit en ilotage (comme un onduleur pour PC en fait). Par contre, il ne sera pas possible de faire fonctionner des appareils à forte puissance. Environ 10-13A max. Sans cette possibilité, les batteries perdent une bonne partie de leur utilité.
Le 02/05/2023 à 22h 04
Les batteries font perdre un peu d’énergie, mais elles permettent de lisser l’injection/sourtirage. Ça soulage le réseau dans les deux sens. Il faut 15-16 ans pour rentabiliser un système avec batterie selon mes calculs, et 7-9 sans (installation non pro). Les batteries lithium-fer-phosphate ne feront pas vraiment beaucoup plus que 16 ans (à voir), mais les panneaux peuvent durer plus de 30 ans. Un groupe électrogène coutera probablement moins cher (je suis toutefois pas sûr), mais ne sera quasiment jamais utilisé. Un onduleur moderne peut déclencher le groupe électrogène, mais c’est vraiment utile que s’il y a un peu de batterie, sinon l’onduleur risque de s’éteindre lui même, et donc ne pas déclencher le groupe. Le groupe fait du bruit aussi… En pleine nuit, c’est théoriquement pas autorisé, mais en plein de crise, j’imagine que ça passe. Pour le rendement des panneaux, j’atteins la puissance max des onduleurs en plein été avec des panneaux en surimposition (aéré en dessous), mais les panneaux sont 20% plus puissants que les onduleurs (dans le cadre de la norme de l’onduleur) pour un déclenchement plus long le matin et le soir.
Le 02/05/2023 à 21h 32
J’ai fait mon installation moi même, intégré au tableau, avec batterie, ça m’est revenu moins cher que le subventionné, sans dépenser de l’argent public. J’ai aussi passé le consuel pour certifier que l’installation est aux normes (obligatoire au delà d’une certaine puissance). Au delà de 3Kwc, Enedis n’accepte pas une injection gratuite du courant. Il faut forcément avoir un responsable d’équilibre (qui achète ou qui reprend gratuitement). Et il faut forcément le Consuel. Je suis chez Urban Solar maintenant qui achète mon surplus à 10 centimes/Kwh (les trois derniers mois), le prix du subventionné chez EDF. Mais faut dire que c’est lié à la conjoncture qui fait monter les prix. J’espère que cela va changer positivement et que les prix vont baisser pour toutes et tous (ou au moins ne pas augmenter). Quoi qu’il en soit, il faut viser l’autoconsommation au maximum et éviter les allez retour du courant. Le chauffe eau se déclenche quand il y a du soleil, la voiture électrique se recharge quand il y a du soleil ou la nuit sinon, il faut lancer des machines et autre appareil quand il y a du soleil, etc.
Sinon, EDF ne rachète l’électricité que si l’installation est faite par un professionnel, et à un prix subventionné par l’état. En gros, que si c’est plus cher. Et l’électricité est la même. Si elle n’est pas aux normes, il faut juste l’interdire (aucun rapport avec les rachats ou non qui est une décision politique).
J’ai lu dans les commentaires que les panneaux sur la prise n’était pas protégés par le disjoncteurs. Ce n’est pas vrai. Dans la norme française, une prise électrique classique doit être protégée par un disjoncteur de 20A maximum, et un différentiel de 30 ma (et encore, cela dépend de la section des câbles et du matériau conducteur). Quasiment la protection qu’ont les PV. De toute façon, les PV ont leur propre boitier de protection (même branché à la prise), à savoir disjoncteur, différentiel, et un parafoudre. Il faut quand même vérifier que la terre a moins de 100 Ohms de résistance. La seule chose, c’est que le différentiel est un peu moins sensible pour les panneaux (moins de faux positifs) et donc il coute plus cher (Type F). Si vous mettez un différentiel chatouilleux (Type A), il se déclenchera s’il pleut en même temps qu’il y a du soleil sur les panneaux, et seulement à partir d’une certaine puissance.
La seule chose avec les panneaux sur les prises, c’est que bien qu’elle peuvent théoriquement encaisser 16A, il ne faut pas le faire en permanence. Elles vont chauffer, et ce n’est pas un régime normal. Il faut donc limiter la puissance maximum des panneaux. Si vous débranchez la prise, le ou les onduleurs doivent automatiquement couper le courant (s’ils ont la norme obligatoire VDE-0126-1-1 VFR 2019). Mais bon, je mettrais pas la langue non plus (ni rien d’autres).
Toute l’équipe de Next INpact vous souhaite une bonne année 2023 !
31/12/2022
Le 01/01/2023 à 01h 14
Bonne année à toutes et à tous !