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On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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15 commentaires

Les Allocations familiales nous ouvrent le code source de leur calculateur d’aides

Le 14/03/2018 à 18h 58

Personnellement si j’ai le choix je choisit l’assembleur y a pas photo.


Le 14/03/2018 à 18h 52

A peu près aussi lisible qu’un automate de trading


Creators Update : le 25 avril pour Windows 10 Mobile, l'outil de migration PC reviendra le 5 avril

Le 01/04/2017 à 05h 58

Exactement eu la même expérience ce que lui.
L’outil d’install devait être buggy.


Sport : le délit de « fraude technologique » en débat à l’Assemblée

Le 15/01/2017 à 00h 11

pendant un temps j’aî couru avec le tous premiers six de cannondale. un super velo, une vraie ferrari pour les coureurs puissants. certainement un des meilleurs rendements qui existaient a l.epoque si on suit ton raisonnement, sauf qu’il claquait au cul ( a la moindre bosse qui faisait tressauter le velo on pouvait entendre parfois un ‘clac’, aucun filtrage des chocs je me prenait toute l’energie en retour). et a basse vitesse sous 35 c’etait une enclume pour je ne sais quelle raison, il fallait que j’envoi une foutue montée de watts pour qu’il reparte comme une bombe. 

certains appelaient ce cadre une barre a mine :)


il est probable qu’un velo moins’rigide et au rendement sans doute plus faible aurait ete plus confortable, offrant des relances moins explosives mais filtrant la route. avec lequel des deux, si on prends en compte l’inconfort inherent au premier m’aurait donné mes meilleures chances? pas forcément le premier.


Le 14/01/2017 à 23h 59

si c’est discutable pour la bonne et simple raison qu’il n’y aucune valeur publiée par les fabricants permettant de comparer deux cadres entre eux ou deux paires de roues entre elles et donc de faire une sélection a priori.

il y a quelques personnes qui ont comparé quelques roues entre elles via des bancs de test mais ça reste un panel très limités. 


quand tu veux choisir un cadre ou des roues, et encore pas séparément car l’association des deux peut donner des résultats surprenants tu ne peux te fier qu’a tes sensations. je sais de quoi je parle j ai couru pendnant quelques années. 
  

la notion de rendement intéresse peut etre les ingenieurs mais pour les compétiteurs c’est le rendu in fine une fois sur la selle qui compte. un ensemble trés rigide se ressent souvent en inconfort pas seulement dans les cols. ce n’est donc pas un indicateur absolument discriminant. ça va dépendre du gabarit du coureur, de son poids, sa capacité à absorber les chocs. il ya des coureurs qui adorent les velos tres rigides d’autres qui détestent ça.


Le 14/01/2017 à 19h 01

Ne pas oublier non plus , qu’une partie de ce que vous voyez sur une vélo de pro est la en grande partie pour des raisons marketing. Dans la majorité des cas le coureur serait tout aussi performant avec un vélo un peu plus bas de gamme, moins bien équipé. 
Hormis le facteur poids, tant qu’il y a un minimum de rigidité dans le cadre et les roues, un vélo de 2017 n’est pas vraiment beaucoup plus performant qu’un vélo de 2000 (un niveau pro peut obtenir des gains marginaux, mais il y a tellement d’autres facteur en course qu’il n’est pas sur que ça compte tant que ça, hors épreuves 100% chronos je précise)

Des coureurs pro se sont déjà amusé à tester un chrono sur des vélos d’il y a 15-20 ans, et le moins que l’on puisse dire c’est que la différence de temps réalisée n’était pas extra ordinaire, elle était bien la (notamment parce que depuis les vélos de compét ont énormément gagné en rigidité) mais rien d’époustouflant.


Le 14/01/2017 à 18h 44

La configuration d’un vélo pour une épreuve de montagne n’est pas du tout la même que pour une épreuve de plaine.
Et même dans les grosses équipes, les coureurs n’ont pas 15 vélos à dispo (hors CLM). Il y a donc un cadre type, le reste (profil plaine ou montagne ) va essentiellement se jouer sur les roues.
 
Le rendement d’un vélo c’est lié à d’autres facteurs mais il faut savoir que hors notions aéro, le terme de rendement est une notion très discutable, je n’aime pas ce terme. La plupart du temps ce n’est pas mesurable donc on en est à discuter sur la base des sensations des uns et des autres et les marques l’utilisent pour en faire un argument marketing bien trop flou.


Le 13/01/2017 à 12h 05

de toutes façon pour les changement de roues, dans les course amateurs ça repose entièrement sur la logistique des équipes, personne d’autre n’interviendra. Quand à la plupart des course pro continental je pense que c’est  la même chose. 
Je n’y ait jamais prêté vraiment attention, il y a peu de courses qui me passionnent hormis les classiques de début de saison, mais je pense qu’on ne voit ça que sur le word tour.


Le 13/01/2017 à 11h 58

1/ prenons des roues à profil haut utilisée en plaine, elle sont généralement assez lourdes (mais confèrent éventuellement certains avantages, même si ceux-ci sont sujets à débats aux sein même des coureurs), entre les roues offertes par le service course pour les dépannages et celles utilisées par une équipe donnée ce ne sont pas forcément les même couples marque+modèle (surtout si le coureur a en roue arrière un profil de roue extreme, le service course met à dispo des profils assez standards pour satisfaire tout le monde), sur ce genre de roues il peut y avoir facilement des différences de poids de 100-150 (voir p.e. 200) grammes, en plus ou en moins, un changement pourrait donc facilement faire passer en dessous de la limite UCI si le vélo a été optimisé au plus prêt de celle-ci.
Je ne sais pas si un écart de ne serait-ce que 100 gramme par rapport à la tolérance serait recalé par les commissaires. En contrôle pré-course ils recaleraient le vélo, mais post course en cas de changement de roues ils diraient peut être rien. A vrai dire je n’en sais rien, il faudrait décortiquer le règlement pour le savoir.

2/ je ne connais pas les règles de changement de vélo, mais il est clair qu’il doit y avoir de bonnes raisons pour prendre un vélo galerie … de la à dire que c’est controlé…


Le 13/01/2017 à 11h 25

les vélos peuvent être pesé au départ et à l’arrivé, que ce soient les vélos utilisés en course ou ceux présents sur la galerie.

 le vélo est pesé avec tout l’équipement permanent, ce qui exclu donc logiquement les bidons. Reste que si les roues sont changées en cours de route via le service course qui pourvoie les roues de secours sur un fait de course (crevaison), il se pourrait que le vélo passe sous le poids autorisé. j’ignore si l’UCI applique une tolérance dans ce cas ci mais je pense que oui.



Pour les lestage en descente, vu la pénalité que représente un lestage présent lors de la montée d'un col je doute fort que ce soit une pratique ayant cours.

Le 13/01/2017 à 11h 09

le but en montagne reste quand même d’avoir un ensemble cycliste+vélo le plus léger, quand la pente et les watts montent 1 kg de plus ou de moins ça joue beaucoup sur l’énergie dépensée. Donc c’est logique de faire des vélos le plus légers possible (dans les limites imposées par l’UCI) car l’ensemble bidons pleins + capteurs + compteur peuvent représenter un bon kilo en plus. Donc tout équipé il faut pouvoir se rapprocher au mieux de la limite de poids.


Le 12/01/2017 à 20h 26

Ce que tu cite c’est de la stratégie de course. Ca ajoute aux incertitudes dans la compétition entre équipes, mais ça permet aussi aux différences de gabarits de s’exprimer sur la route. Ca fait partie du jeu, le cyclisme reste un sport ou la stratégie compte autant que l’effort à la pédale.
 
Par ailleurs le règlement UCI définit grosso modo une base commune aux cadres de vélos de course, en imposant un poids minimum essentiellement pour des raisons de sécurité: rendre un vélo carbone plus léger se fera à terme au détriment des épaisseur de couches de fibre rendant finalement le vélo dangereux (il y a par exemple régulièrement eu des casses de cintre carbone). Autour de ce cadre commun le règlement autorise une liste restreinte de périphériques parfois autorisés seulement sur certaines épreuves (certains équipement ne seront autorisés qu’en CLM par ex).
 
Donc globalement il y a bien un vélo standard qui se dessine au travers du règlement, tout en laissant une certaine liberté aux équipementiers et aux équipes pour innover et définir des stratégies de course, sans oublier que les différents types de coureurs doivent pouvoir s’exprimer de manière non discriminante.

Dans tous les cas les différences que l’on peut observer entre deux équipements utilisés par deux coureurs ne vont influer sur les performances qu’à la marge (marge d’autant plus faible que le niveau du coureur sera faible), ça peut faire gagner quelques dixièmes chez un pro, mais ça ne comptera jamais autant que la stratégie de course du groupe, les faits de course, les performances et la préparation du coureur. Ce qui compte c’est que la machine corresponde bien au coureur.


Le délit de « fraude technologique » pas suffisamment mûr pour être adopté

Le 14/01/2017 à 18h 23






fabienVM a écrit :

Pour la compétition cycliste, le problème de l’amélioration des performance par la technologie  a été bloqué dès les années 1930 par l’interdiction des vélos couchés.
 Depuis la ligne n’a pas changé ; le vélo ne doit pas être un sport mécanique mais pour autant,  les fédérations n’ont jamais passé le pas en prenant une référence de machine unique pour tous les coureurs (moyennant réglages suivant dimensions du cycliste).
D’ou une réglementation batarde qui ne peut que amener à des abus. Exemple, il a fallu attendre fin 2011 pour interdire les moteurs dans les machines.
Donc les victoires de Cancellara avec son vélo électrique ne seront jamais sanctionné, il avait le droit.



Non non et non…
 
Le règlement UCI mentionne les cotes type que doit avoir un cadre, et les périphériques autorisés sont aussi explicitement listés. Il est interdit de s’engager  en course de fédération (pro ou non) avec un cadre non homologué UCI et des périphériques qui ne font pas partie du type autorisé.

Example, la définition d’une roue homologuée dite traditionnelle: 
“Une roue traditionnelle est définie par une hauteur de jante inférieure à 25mm, une jante en aluminium,  un  nombre  minimum  de  20  rayons  en  acier  qui  sont  détachables, et  tous  les  composants  qui doivent être identifiables et disponibles dans le commerce.“Pour les roues non traditionnelle, il y a  une liste précise des roues/marques/modèles homologués:
&nbsphttp://fr.uci.ch/mm/Document/News/Rulesandregulation/17/43/90/Listedesroueshomol…

Un autre exemple, les caméras embarquées en course sur le vélo ne sont pas autorisées dans le règlement UCI, mais certaines années l’UCI a décidé de procéder à des expérimentations sur certaines courses (afin de valider l’intérêt dans le cadre des retransmissions télé, et afin de valider les conditions de sécurité - un dispositif mal fixé pourrait entraîner une chute en règle dans le peloton -).
 
 Si un coureur quelconque avait roulé avant 2011 avec un moteur dans le  cadre et avait été pris sur le faite, il aurait bien entendu été exclu et sanctionné pour triche. Sachant qu’en plus , les fédérations disposent d’un droit discrétionnaire pour statuer sur les cas litigieux, et le coureur ou l’équipe qui ne sont pas d’accord n’auraient comme recours que le tribunal arbitral du sport.

Si les dispositifs a moteur sont cités dans le règlement c’est pour expliciter la manière de contrôler leur non présence et les conditions et contrôles auxquels doivent se soumettre les équipes.
 
Il ne faut pas confondre le règlement listant les caractéristiques que doit avoir un vélo qui fonctionne comme une whitelist (les types de périph et les caractéristiques générales, avec pour certains périph une liste précise type/marque/modèle) et le règlement antidopage qui fonctionne comme une blacklist. Dans le cas de l’antidopage un produit ou substances non explicitement listé est de fait autorisé.



Activision Anthology : 45 jeux de l'Atari 2600 débarquent sur Android et iOS

Le 04/09/2012 à 18h 45






wookie sans fil a écrit :

C’est bien joli… Mais je m’en balance. Je veux bien croire qu’il y en que ça intéresse mais personnellement j’y ai joué en payant quand j’étais gosse, j’y ai joué, en payant parfois encore sur des rééditions pour PC tout comme j’ai pu rejouer à des anthologie Amiga ou Amstrad grâce à des émulateurs sur PC, gratuitement.
Là, franchement, entendre partout que le mobile est “une révolution du jeu vidéo”, c’est pas ce que j’appelle une révolution mais plutôt une nouvelle manne à exploiter. Je préfère largement une plateforme “traditionnelle” comme le PC par lequel passe la plupart des vrais “révolutions”. Bon, ok on y attends encore un portage intelligent de Kinect, par exemple mais au moins les gameplays évoluent et on sent qu’on y avance en terme d’“histoire” du jeu vidéo. Sur le mobile, pour l’instant j’ai l’impression qu’on patauge, voire qu’on régresse. Le premier qui me parle d’Angry Birds, je vais chercher un fusil.



Effectivement autant se payer un Amiga 500 sur ebay



Le 04/09/2012 à 18h 42






nick_t a écrit :

Je me rappelle de mon grand père (<img data-src=" />) qui voulait pas que j’y joue
“Ca esquinte la télé” qu’il disait.


edit: [/mylife]



y a un truc qui n’a pas changé depuis les années 80, vieillir ça rend souvent très con <img data-src=" />