SartMatt
est avec nous depuis le 31 octobre 2003 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
349 commentaires
Le gouvernement songe à interdire les machines à voter et à réformer le vote électronique
Le 29/09/2017Le 30/09/2017 à 12h 33
Le 30/09/2017 à 00h 12
Le 29/09/2017 à 17h 08
Le 29/09/2017 à 16h 04
Le 29/09/2017 à 15h 55
Le 29/09/2017 à 14h 43
Le 29/09/2017 à 14h 19
Il y a une solution intermédiaire qui combine une partie des avantages du vote électronique (gain de temps sur le comptage, économies de papier) et le côté vérifiable du vote papier. Il me semble que cette solution est utilisée dans certains pays.
Il s’agit de machines à voter qui, en plus d’enregistrer le vote sous forme électronique impriment un bulletin que l’électeur doit glisser dans l’urne après l’avoir vérifié.
Ensuite, une fois que les résultats du vote électronique ont été extraits, on tire au hasard x% des bureaux, et sur ces bureaux ont fait un comptage des bulletins papiers. Si l’écart entre le vote électronique et les bulletins est non significatif (il faut une petite tolérance, au cas où quelqu’un n’aurait pas glissé son bulletin dans l’urne…), on valide l’ensemble des bureaux. Sinon, on compte les bulletins sur tous les bureaux.
Autre solution, chaque vote enregistré sur la machine est associé à un numéro unique aléatoire, imprimé sur le bulletin, en plus du choix de l’électeur. Et dans chaque bureau, on fait sortir à la machine la liste des numéros correspondant à chaque proposition de vote, liste sur laquelle on peut rapidement compter le nombre de voix par proposition, puis on tire au hasard x% des bulletins de l’urne et on vérifie sur le listing qu’ils sont bien comptabilisés sous la bonne proposition. Avec ce mode de vérification, aucune tolérance d’erreur (car il s’agit alors forcément d’un bug ou d’une fraude au niveau de la machine), s’il n’y a ne serait ce qu’une erreur, on invalide le vote électronique et on compte tous les bulletins sur tous les bureaux.
Et bien sûr, on garde aussi, comme actuellement, la possibilité de contester le résultat d’un bureau et de demander son comptage.
Mais sans ce genre de garde fous, personnellement je resterai opposé au vote électronique. Même avec du hardware et du logiciel open-source.
Projet de loi de finances : 139 euros de redevance TV en 2018
Le 27/09/2017Le 28/09/2017 à 21h 28
La précision me semblait importante dans le contexte de la discussion : quelqu’un qui se plaignait du non respect de l’égalité devant l’impôt parce que la redevance a pas le même montant dans l’Outremer qu’en métropole. Il me semblait donc important de bien préciser la distinction entre impôt, taxe et redevance pour expliquer pourquoi le principe de l’égalité devant l’impôt n’est pas violé : c’est une taxe affectée au financement d’un service, service qui n’est pas du tout le même en métropole qu’en Outremer.
Alors forcément, quand après avoir dit que c’est une taxe, on me dit que “ça ne va pas dans les poches de l’État donc par définition ce n’est pas une taxe”, je précise encore plus…
Après, si tu trouves que l’essentiel, c’est le fait que ça fait mal au portefeuille, c’est vraiment pas difficile de pas la payer, comme tu l’as dit plus haut, donc pas la peine de discuter là dessus non plus… Et tu peux même ne pas la payer tout en continuant à profiter parfaitement légalement de l’audiovisuel public, vu que les conditions d’assujettissement sont particulièrement mal foutues " />
Le 28/09/2017 à 20h 59
Le 28/09/2017 à 17h 06
“Ou alors tu as une preuve qui indique que l’argent ne va pas dans les comptes de FTV mais dans celle de l’Etat?”
La redevance audiovisuel est un prélèvement obligatoire, effectué par l’État et dont les recettes sont pré-attribuées à un poste particulier (et pas seulement FTV d’ailleurs, il y a aussi Radio France, l’INA, TV5…). C’est la définition même d’une taxe, par opposition à un impôt, dont les recettes vont au budget général de l’État, sans être pré-affectées à un poste particulier (et donc, contrairement à la TVA, qui, malgré son nom, est bien un impôt et pas une taxe). Donc non, pas besoin de preuve que l’argent ne va pas à FTV pour dire que c’est une taxe. Ça c’est la preuve qu’il faudrait pour dire que c’est un impôt.
Les redevances, c’est quand l’utilisateur du service paye une contribution en fonction de son utilisation. Donc par exemple, ton ticket de transport en commun, ton entrée à la piscine ou à la patinoire publique, etc…
La différence est subtile, mais elle existe bel et bien : la redevance audiovisuelle, tu la payes même si tu n’utilises pas le service, c’est un prélèvement obligatoire. Alors qu’une vraie redevance, ce n’est payé que par ceux qui utilisent effectivement le service (ce qui, soit dit en passant, n’empêche pas que ledit service soit aussi financé par une taxe ou un impôt… typiquement, les transports en commun, c’est en général financé en partie par les impôts locaux, en partie par une redevance).
Voir explications ici :http://pointdroit.com/difference-taxe-impot-redevance/
Redevance : “Seuls les usagers paient la redevance. Le montant est proportionnel au service rendu.”
Taxe : “Les taxes sont intimement liées à une prestation de service
(public). Elles sont perçues lors du fonctionnement d’un service public
ou de l’utilisation d’un ouvrage public. Le montant de la taxe n’est pas proportionnel au service rendu. Même si un contribuable ne bénéficie pas du service, il doit s’acquitter de cette taxe fiscale.”
L’exemple des ordures ménagères donné par cet article est un très bon exemple pour bien voir la différence : selon les communes, on paye soit une taxe, et tout le monde paye alors un montant indépendant de son utilisation, soit une redevance, et chacun paye alors en fonction de son usage (communes où chaque poubelle est identifiée et pesée lors de la collecte).
Après, c’est vrai que la redevance audiovisuelle est un peu à cheval entre les deux. “Seuls les usagers paient la redevance”, c’est en partie vraie, puisqu’un non-usager peut ne pas être assujetti (la réciproque n’est pas vraie, tu peux être assujetti sans pour autant être usager…), ce qui la classerait dans les redevances. Mais “même si un contribuable ne bénéficie pas du service, il doit s’acquitter de cette taxe fiscale” est en partie vrai aussi (si tu as une TV chez toi mais que tu ne reçoit pas les services de l’audiovisuel public, par exemple dans une vallée reculée où tu n’as ni couverture TNT ni Internet suffisamment rapide pour la TVoIP, tu payes quand même), ce qui la classerait dans les taxe. Mais comme il n’y a clairement pas de proportionnalité au service rendu (que tu utilises le service 1h par an ou 1000h par an, tu payes strictement le même montant), la balance penche en faveur de la taxe.
D’ailleurs, le législateur a fini par se rendre compte que ce n’est pas une redevance : depuis quelques années, elle ne s’appelle plus redevance, mais contribution.
Le 28/09/2017 à 13h 07
Elle s’appelle redevance, mais dans les faits, c’est une taxe. Il ne faut pas toujours se fier au nom (c’est comme la TVA, qui n’est pas une taxe mais un impôt).
Une redevance, c’est un paiement en fonction de l’utilisation (comme sur un réseau de transport en commun).
Une taxe, c’est un paiement obligatoire dont le montant est affecté à un usage particulier (c’est le cas de la redevance TV, obligatoire, dont le montant ne dépend pas de ton utilisation du service et qui est affectée à un usage particulier).
Un impôt, c’est un paiement obligatoire dont le montant n’est pas affecté.
Le 28/09/2017 à 09h 38
Sauf que ce qui justifie la redevance plus faible dans l’Outremer, ce n’est pas forcément le niveau de vie plus faible…
Comme je l’ai dit dans mon poste, dans l’Outremer, le service public audiovisuel n’est pas le même. Ils ont certes accès aussi aux chaînes métropolitaines (mais c’est récent, depuis le passage à la TNT), mais compte tenu des décalages horaires, elles ne sont pas adaptées. Ils ont “à la place” une chaîne de TV unique (Réunion 1ère, Guyane 1ère, etc…), avec ses propres programmes et qui reprend également une partie des programmes de France Télé, avec des horaires adaptés.
Le service étant différent, il n’est donc pas anormal que le prix soit différent, indépendamment de toute considération de niveau de vie. Parce que justement, il s’agit d’une taxe et pas d’un impôt. De même que personne n’est choqué que les taxes locales (taxe foncière, taxe d’habitation, taxe ordures ménagères) ou les redevances sur les transports en commun ne soit pas les même d’une commune à l’autre. Parce que les services ne sont pas les mêmes.
Le 27/09/2017 à 15h 08
La redevance TV n’est pas un impôt (un impôt va au budget général de l’État, sans être affecté à une dépense précise).
Et comme le service audiovisuel en Outremer n’est pas le même qu’en métropole, perso ça ne me choque pas que la redevance pour le financer ne soit pas la même.
Qarnot utilise des Ryzen 7 Pro pour son « radiateur intelligent » Q.rad et nous explique pourquoi
Le 21/09/2017Le 21/09/2017 à 18h 16
Le 21/09/2017 à 17h 20
Comment NumWorks veut réinventer la calculatrice
Le 13/09/2017Le 14/09/2017 à 10h 47
Le 14/09/2017 à 10h 40
Il me semble pas, c’est essentiellement TIGCC qui est utilisé, c’est pas du TI.
Fondamentalement, il y a pas vraiment besoin que TI fournisse quoique ce soit en fait. De ce dont je me souviens sur ma TI-89, les programmes en “assembleur” s’exécutaient via une sorte d’OS parallèle à l’OS TI, donc n’utilisaient même pas les API du système officiel. Donc il suffisait de connaître l’archi du CPU et quelques bases sur le reste du hardware pour pouvoir faire un compilo et un OS, ce qui ne nécessitait pas de documentation ou d’outils officiels TI, le Moto 68k étant un CPU particulièrement connu…
Le 13/09/2017 à 21h 05
Le 13/09/2017 à 18h 20
Plus puissant, oui. Mais pour quoi faire ?
Ces performances n’apporterait rien à l’usage, surtout pas au collège ou au lycée. Par contre, utiliser le smartphone plutôt que la calculatrice, ça augmenterait sacrément le potentiel distraction…
Le 13/09/2017 à 18h 15
Tout a fait. Et ce serait encore pire si le smartphone était utilisé comme calculatrice, puisque les élèves auraient du coup une excuse pour utiliser leur smartphone dans certains cours…
Le 13/09/2017 à 18h 03
Le 13/09/2017 à 17h 00
Elle est vendue via Amazon, mais pas par Amazon.
C’est NumWorks qui la vend “directement”, Amazon ne fait qu’assurer la logistique. Et hélas, il n’y a pas d’équivalent à ça chez la concurrence (Fnac Marketplace et cie…), qui ne font que la mise en relation avec le client, le vendeur devant se charger de son côté de la logistique (donc entrepôts, emballage, expédition…). Et Amazon le fait en outre à des tarifs défiant toute concurrence. Un ami qui a créé sa startup m’avait même expliqué que les ventes qu’il fait via Amazon lui coûtent moins cher que les ventes qu’il fait en direct (parce qu’il bénéficie des économies d’échelle d’Amazon sur la logistique, les frais de port, etc…).
Le 13/09/2017 à 16h 53
Les vieilles Casio et TI vendues à 80€ de nos jours ne sont pas franchement plus limitées en stockage que la NumWorks… Au contraire même.
Pour 80€ aujourd’hui chez TI, on a la TI-83 Premium. 3 Mo de ROM et 154 Ko de RAM “disponible”. Contre 1 Mo et 128 Ko pour la NumWorks… Et sur les deux, écran couleur 320x240.
Chez Casio, c’est moins glorieux. C’est la Graph 75+ qui est dans cette gamme de prix, avec 1.5 Mo de RAM et 61 Ko de RAM, avec un écran noir et blanc 128x64. Mais niveau stockage, elle dépasse donc elle aussi la NumWorks.
Quand au côté concret de Python, je suis pas d’accord. Je suis un grand fan de Python, mais pour savoir faire du Python, la “difficulté”, c’est pas de maitriser la syntaxe de base (franchement, à part quelques langages exotiques, quand tu connais la syntaxe de base d’un langage, tu t’adaptes très facilement à celle d’un autre langage), mais de maitriser la richesse de sa stdlib. Or là, on a un Python sans sa stdlib. Que les builtins. Après, tout les trucs qui vont au delà des builtins, ça passe par des libs spécifiques à NumWorks.
Le 13/09/2017 à 16h 14
Non, on ne peut pas utiliser les anciennes calculatrices programmables aux examens (enfin on ne pourra pas, ça entre en vigueur en janvier 2018).
Il faut soit que la calculatrice soit non programmable, soit qu’elle ait un mode examen non désactivable en condition d’examen (donc par exemple en passant par un PC, ou en effaçant vraiment la mémoire).
Le 13/09/2017 à 16h 05
Le 13/09/2017 à 15h 38
Le 13/09/2017 à 15h 25
Entre Casio et TI, c’est quand même pas mal différent (déjà qu’entre deux modèles du même constructeur, il peut y avoir des différences importantes…).
De plus, si le prof doit maitriser plusieurs modèles, ça veut aussi dire qu’il doit posséder plusieurs modèles… Et je doute que Casio et TI distribuent gratuitement leurs haut de gamme aux enseignants (les calculatrices que mes parents recevaient gratos, c’était des Casio et TI collège à 15€, pas des programmables).
Le 13/09/2017 à 15h 19
L’assembleur, c’est pas officiel il me semble. Officiellement, elles ne supportent que la programmation en TI-Basic.
Le 13/09/2017 à 14h 53
Je dis pas possible, dans le sens où tu peux pas créer une “application” “Calculatrice RPN” qui viendrait se mettre à côté ou à la place de l’application “Calculatrice”, et parce que l’appli Python ne peut gérer qu’un seul programme (donc une fois la calculatrice RPN écrite, tu peux plus faire d’autres programmes…).
D’un point de vue strictement technique, ça doit être faisable (mais chiant, parce que faut faire tenir tout ça dans un seul module Python). Mais pas vraiment exploitable après…
Le 13/09/2017 à 14h 50
Oui, c’est mieux d’avoir un langage standard. Mais je connais aucune calculatrice qui se programme avec un langage standard.
Casio et TI, c’est dans les deux cas dérivé du Basic, mais les deux ne sont pas compatibles. Et NumWorks, c’est certes une syntaxe Python, mais sans la stdlib Python, et avec une des lib propre à NumWorks (ce qui est pas déconnant, les libs NumWorks permettent d’avoir un truc plus adapté à l’usage spécifique qu’est la programmation d’une calculatrice, et de faire des interaction avec le système, et vu les capacités mémoire de la machine, c’était probablement pas possible d’embarquer la stdlib Python en plus).
Le 13/09/2017 à 14h 44
Pas possible à faire en Python sur la calculatrice je pense.
Mais faisable en C en compilant son propre firmware " />
Le 13/09/2017 à 14h 41
Pour les enseignants, c’est quand même un confort supplémentaire que tout le monde ait la même calculatrice.
Parce qu’il y a toujours des élèves qui vont lui demander de l’aide sur l’utilisation, et il ne peut pas maitriser tous les modèles… De même, si le prof veut compléter son cours en fournissant des programmes, c’est bien plus pratique pour lui que tout le monde ait la même calculatrice avec le même langage.
Je me souviens que mon prof de terminale nous avait à l’époque vivement recommandé TI, et effectivement, il maitrisait bien les TI et pas du tout les Casio. Par contre il ne nous poussait pas spécialement à la consommation, il nous avais dit que c’était peu utile de prendre la 92 plutôt que la 89, et que la 83 ou la 86 étaient suffisante pour ceux qui envisageaient pas de continuer des études scientifiques derrière. En prépa, c’était encore plus marqué, les profs nous déconseillaient carrément les Casio.
Le 13/09/2017 à 14h 32
Attention quand même hein, j’ai joué un peu avec sur le simulateur, c’est très loin d’en faire autant qu’une TI à 200€ (si je prends en référence ma vieille TI-89, dont les versions actuelles valent 200€).
Il y a notamment un truc qui me parait très gênant (mais c’est peut-être une limitation du simulateur ?), c’est qu’on ne peut avoir qu’un seul programme. Quand on lance Python, on a un menu qui laisse juste le choix entre exécuter le programme et éditer le programme, sans possibilité de mettre un nom, donc sans possibilité d’en enregistrer plusieurs.
Le 13/09/2017 à 14h 26
Et c’est ce que font déjà Casio et TI. Donc aucune chance de percer sur le marché sans le faire à mon avis…
Mes parents étaient profs de maths, et chaque fois que Casio sortait un nouveau modèle, ils en recevaient un exemplaire.
Le 13/09/2017 à 14h 24
Une appli sur smartphone, ça serait interdit aux examens.
Et comme le dit l’article, l’intérêt, c’est aussi de permettre de voir comment ça marche, au delà de la simple utilisation.
Le Micro-STX avec GPU MXM se généralise chez ASRock, plusieurs boîtiers déjà compatibles
Le 02/06/2017Le 02/06/2017 à 13h 15
Mais entre le Micro-ATX et le Mini-ITX, on est plus sur la même série : le Micro-ATX est une réduction de l’ATX, le Mini-ITX n’est plus rien à voir avec l’ATX…
Je rejoint l’avis de tifounon, s’il y avait un Mini-ATX il devrait pour moi avoir une taille intermédiaire entre entre le Micro-ATX et le ATX. Comme pour les cartes SIM, ou on a Mini (celle qu’on appelle SIM tout court, mais la SIM tout court c’est en fait le format carte bancaire…) > Micro > Nano. Et les carte SD idem, les connecteurs USB pareil, etc…
Et en fait, le nom le plus logique pour le Mini-ITX aurait dû être ITX
tout court (puisque c’est le plus grands format de la série ITX) ou
Micro-ITX (puisque les autres formats sont Nano, Pico… mais Via a sans
doute voulu éviter la confusion avec Micro-ATX justement).
Mais là vraiment, un Micro-STX plus grand que le Mini-STX, ça défi toute logique…
Répartition du temps d’antenne : En Marche vers le Conseil constitutionnel
Le 29/05/2017Le 02/06/2017 à 12h 57
La candidat de ce parti à fait 24% au premier tour. Pour moi, c’est bien un débarquement en force, et il est donc illogique que les candidats débuts qui soutiennent le programme de Macron soient au même niveau de temps de parole que ceux d’un quelconque parti ultra minoritaire faisant 1% à toute élection à laquelle il présente un candidat…
Quand à donner plus de temps de parole au FN, ce serait du coup logique également, puisque la candidate du FN a fait 21% aux présidentielles… Et ce serait une bonne chose, vu à quel point certains candidats FN sont capables de se saborder dès qu’ils l’ouvrent " />
Bref, le fond de mon propos, c’est de dire qu’à partir du moment où on décide que le temps de parole ne doit pas être équitable mais lié à la représentativité des partis (ce qui en soit est déjà discutable, comme l’ont dit certains plus haut), il serait plus logique de se baser au moins en partie sur les pourcentages de voix des candidats de chaque parti au premier tour de la dernière élection majeure plutôt qu’exclusivement sur les résultats d’il y a cinq ans (et en plus, des résultats en nombre de sièges, qui ne sont donc pas représentatifs des sensibilités réelles des électeurs, le plus représentatif à ce niveau c’est le premier tour d’une élection, là où l’électeur à le plus de choix, pas son résultat final, fruit de compromis et de vote par défaut).
Le 29/05/2017 à 15h 38
C’est vrai que la disposition actuelle est inadaptée au cas d’un nouveau parti qui débarque en force ou d’un changement radical dans l’équilibre politique.
Une solution pourrait être de moduler aussi ce temps alloué en fonction de la répartition des votes lors de la précédente élection majeure (donc ici, le premier tour de la présidentielle).
Malgré l’annonce de sa mort, le MP3 est encore bel et bien vivant
Le 18/05/2017Le 18/05/2017 à 14h 12
En effet, j’avais pas regardé l’historique, plein de refus et de réserves !
Le 18/05/2017 à 13h 42
Le mp3 que j’ai trouvé chez Technicolor (qui était co-détenteur des brevets sur le mp3) couvre ces produits :
Donc théoriquement, si Technicolor cherche à faire respecter sa marque, il peut bien attaquer quiconque utiliserait MP3 dans la marque ou le nom d’un baladeur, d’un logiciel, etc…
Après, je pense pas que ça puisse empêcher d’utiliser MP3 dans le descriptif d’un produit (pour mentionner le support du format standard MP3).
Le 18/05/2017 à 13h 23
La marque mp3 est effectivement toujours déposée :https://bases-marques.inpi.fr/Typo3_INPI_Marques/marques_fiche_resultats.html?in…
Mais il me semble pas que Technicolor ait déjà attaqué quelqu’un pour l’utilisation de la marque. Et dans la mesure où le MP3 a fait l’objet d’une norme ISO, je me demande si de fait le nom ne devient pas utilisable par quiconque se conforme à la norme (le logo c’est peut-être une autre histoire, mais la marque, ça me semble logique que quand tu fais un truc conforme à une norme, tu ais le droit de citer la norme en question…).
Le 18/05/2017 à 13h 16
En fait, Fraunhofer n’a pas vraiment sorti de connerie. C’est juste une partie de la toile qui a dit des conneries en voulant faire des articles putaclic suite à l’annonce de Fraunhofer.
Ce n’est en effet pas Fraunhofer qui a dit que le MP3 est mort, Fraunhofer a juste annoncé l’arrêt du programme de licences, tout en rappelant le succès passé et présent (“still very popular”) du MP3 et en faisant un peu de promo pour des formats plus modernes (sur lesquels Fraunhofer a encore quelques brevets…) :https://www.iis.fraunhofer.de/en/ff/amm/prod/audiocodec/audiocodecs/mp3.html
Emmanuel Macron élu Président de la République
Le 07/05/2017Le 07/05/2017 à 23h 17
Les blancs et nuls sont bien comptabilisés séparément depuis quelques temps.
Par exemple, pour le premier tour, les résultats officiels mentionnent bien 1.78% de blancs et 0.78% de nuls.
Sites, GPS, applications ne pourront plus signaler les opérations de police dans certains périmètres
Le 24/04/2017Le 24/04/2017 à 21h 42
Gearbox s’en prend à G2A après avoir tenté d’y vendre un coffret collector de BulletStorm
Le 10/04/2017Le 10/04/2017 à 20h 24
Non, je ne vois pas de souci sur le site de l’éditeur. Il y a un moment où faut comprendre ce qu’est un “prix public conseillé”. Comment veux-tu que l’éditeur soit crédible s’il donne un prix public conseillé mais que lui même, sur son propre site se met à vendre 30% moins cher ? Pas crédible pour un sous auprès de ses autres distributeurs…
Autres distributeurs qui eux comptent justement sur la différence entre le prix de gros et le prix public conseillé pour tirer leur épingle du jeu, en se positionnant entre les deux prix et en essayant d’être moins cher que la concurrence tout en faisant un peu de marge quand même.
Si l’éditeur se met à casser lui même les prix, il concurrence ses propres distributeurs. Distributeurs qui vont donc être beaucoup moins motivés pour continuer à distribuer. Or, les distributeurs, ça fait de la visibilité, donc perdre les distributeurs, c’est perdre des ventes.
Et si la Fnac peut se permettre de vendre à 39€ parce qu’elle fait des gros volumes et amorti ses frais de structure sur un très gros catalogue, le petit revendeur, lui, ne pourra pas forcément se permettre un prix aussi bas. Donc il faut un prix public conseillé suffisamment élevé pour que tous les distributeurs potentiels puissent s’y retrouver. Et en plus, les distributeurs aiment bien aussi un prix public conseillé suffisamment élevé par rapport au prix qu’ils peuvent faire, ce qui de leur côté permet d’afficher un beau prix barré et de faire croire à des bonnes affaires…
Le 10/04/2017 à 18h 58
Et il y a aussi un autre point à prendre en compte : dans les pays où le jeu est vendu en boutique, il faut que le prix public conseillé (qui est du coup aussi en général le prix sur les plateformes dématérialisées) soit compatible avec la vente en boutique. Sinon, aucune boutique ne voudra le vendre.
Et forcément, la vente en boutique en France est bien plus coûteuse que dans un pays en développement.
Accessoirement, les éditeurs ont aussi des services marketing et de support dans divers pays, et il est donc logique de répercuter les coûts de ces services sur les prix de vente dans les pays concernés.
Les pistes délicates pour réformer la redevance TV
Le 08/03/2017Le 08/03/2017 à 08h 25
Le 08/03/2017 à 08h 20
Le 08/03/2017 à 08h 15
Tous les pays développés, même les USA (PBS/NPR), ont un réseau de chaîne publiques payées par le contribuable.
Le principe de la redevance est appliqué dans un grand nombre de ces pays, surtout en Europe, et la France est l’un de ceux où elle est la plus faible (ce qui peut expliquer la qualité très variable des productions de France Télévisions, par rapport par exemple à la BBC). Mais qu’il y ait redevance ou pas, les réseaux publics sont financés par le contribuable de toute façon (aux USA, c’est pris principalement sur le budget général fédéral et sur les budgets généraux des États, et complété par des donations).
Le 08/03/2017 à 08h 08
Il est possible de faire retirer le tuner d’une TV. Mais c’est pas forcément donné…
Après, le principe d’un service public, c’est quand même la mutualisation, tout le monde y contribue, éventuellement en fonction de ses moyens, et tout le monde y a accès quelque soit ses moyens. Donc passer le service public audiovisuel en chiffré, ça irait totalement à l’encontre de l’idée même de service public.
Accessoirement, la redevance ça ne sert pas qu’à financer France TV, c’est aussi Radio France, les archives de l’INA et, au moins indirectement, les moyens techniques d’émission (antennes, réseaux…), qui sont des infrastructures indispensables en cas de crise majeur (gros accident industriel, catastrophe naturelle, etc…).