Comme le problème n’est pas la grippe aviaire, on peut passer par pigeons sans problème.
Plus sérieusement, ton cas d’école est-il réel ? Y a-t-il vraiment ce problème dans les communes actuellement concernées par la fermeture des établissements scolaires ?
Et même si la réponse est oui, réponds à la question que tu as citée dans mon message précédent.
Par chez moi, oui : les classes de mes enfants (maternelle, primaire)
La campagne et ses SIVOS … afin de garder une classe par ci, par là … même si les gosses (surtout de maternelle) doivent faire 15 bornes en bus le matin et le soir (c’est toujours mieux que 30)
On balise l’hivers …
Et les foyers sont donc dispersés dans la campagne (par forcément loin d’un DSLAM mais vu l’état de lignes …)
j’ai fais ce sondage auprès d’une trentaine de foyer : on était à un peu plus de 1⁄3 des foyers avec moins d’1,5M (réseaux mobiles inclus)
Maintenant corrélé au virus en cours, et bien déjà hier matin (fin vacances) les atsem/profs nous demandaient de prévoir dès cette semaine de garder nos enfants à la maison
Le cas le plus détecté est à plus de 100km (Sarthe pris en charge par CHU angers)
Bref voilà ….
Le
02/03/2020 à
14h
54
fred42 a écrit :
« Pour les élèves n’ayant pas accès à Internet, un dispositif adapté est proposé », sans que ce dispositif soit décrit.
Tu préfères que l’on favorise les contaminations dans les zones touchées où l’on ferme les établissements scolaires ?
Et quand 30% des élèves d’une classe habitent un foyer dont l’accès à internet le plus rapide à internet est d’1,5mbits ?
en tout cas pour le COBOL, c’est du “foutage de gueule” " />
c’est le fichier log de la précompilation/compilation (avant le link) de programme ecrit en PACBASE
(les mention après la “colonne 80” des longueurs / formats pour les variables, la regle, la pagination)
à noter aussi la présence des rapports IGY :
exemple :
==004114==> IGYPS2015-I The paragraph or section prior to paragraph or section “FAG-ABEND” did
not contain any statements.
bref ce “source” n’en est pas un et faut du boulot pour en faire un vrai source
au pire pour parcourir et chercher quelque information … mais pas compilable
la double solution IBM/BULL … quand l’état français imposait Bull dans les années 70⁄80 …
mais bull n’a jamais réussi à dépasser le maitre " />
Le
15/03/2018 à
14h
20
ouais et bien ca nous a donné des sueurs froides (surtout quand on a modifié le code après le NOP et que ça se bananait aléatoirement) " />
heureusement que l’on avait EXPEDITER (outil de débogage pour les non initiés) sinon on y serait encore
Le
15/03/2018 à
14h
18
oui tout à fait " />
Le
15/03/2018 à
14h
05
un EXPAND de COPY lors de la précompilation pour etre chieur " />
Edit : on modife une fois la copy et on recompile tous les pgm qui l'utilisent, rien de plus simple et rapide
après la connerie c’est surtout de ne pas se renseigner avant ou alors faut tourner la phrase en interrogation " />
Le
15/03/2018 à
14h
00
" />
faut voir certain pgm en assembleur des années 70 … je me suis cassé les dents plusieurs fois sur du code supposé mort mais en fait, en dynamique lors de l’exécution, une instruction neutre (NOP) étaient transformée en JUMP vers ce code mort directement en mémoire programme par une autre instruction ….
Et bien sûr, pas de commentaires, pas de doc, rien
modifier le code machine directement pendant l’execution, c’est plutot plus permis ca
Des vicieux je vous dit " />
Le
15/03/2018 à
13h
52
tu cherches trop loin, c’est moins compliqué
en cobol, les variables sont globales au programme, la notion de sous programme dans un programme cobol n’existe pas comme en C ou Pascal par exemple
un sous programme est un programme indépendant appelé par un CALL augmentée si besoin d’une zone de communication
si on n’ajoute pas la directive de compilation adéquate, le programme appelé récursivement occupe le même espace mémoire, on retrouve donc la valorisation des variables telles quelles étaient lors du dernier appel
si par contre la directive est indiquée, chaque appel fera monter le programme dans un espace mémoire différent, avec une valorisation des variables différente (ou à leur valeur par défaut)
le découpage est juste différent (1 pgm pour chaque fonction en cobol, 1 seul source avec toutes les fonctions pour le C)
le cobol se veut être un langage au plus prêt de la langue parlée, limite pseudo code (MOVE this TO that, ADD number TO this, SUBSTRACT number FROM this GIVING that)
d’ailleurs on retrouve pour marquer une fin d’instruction le point, la précision du niveau d’une variable dans un ensemble, des booléens multiples (niveau 88)
Après, le cobol permet de manipuler les variables à la sauce pointeur comme par exemple le REDEFINE
exemple : tu as une chaine de caractères A de 8 de long
tu peux définir une variable B qui redéfini la variable A et étant un ensemble de trois variables :
C de 4 de long,
D de 2 de long
E de 2 de long
si tu met 20180315 dans A, B=20180315=C||D||E=2018||03||15 (B pointe sur la même adresse mémoire que
A)
C=2018
D=03
E=15
certains concepts concernant la déclaration/manipulation de variables ne se retrouvent pas ailleurs de manière aussi transparente (voire pas du tout)
le cobol est un langage objet comme les autres finalement (on pourrait parler des structures tableaux OCCURS aussi) et est très largement sous estimé et méconnu
Le
15/03/2018 à
09h
25
bien résumé,merci ! " />
Le
14/03/2018 à
16h
49
JoePike a écrit :
Le JCL pour les batchs … pas pour le transactionnel ( on a les 2 ici)
oui pour les batchs, on est d’accord
Le
14/03/2018 à
14h
45
bah, on va dire que j’essaye de motiver les troupes pour basculer vers cette charmante techno " />
c’est une sorte de récompense)
je suis pas expert car il y a quelque aspect que je ne maitrise pas parfaitement (coté CICS)
mais c’est clair que le cobol n’a pas la cote … (limite c’est une punition) mais sur le lot, on en trouve toujours qui finalement ne trouve pas ca si désagréable que ca
Et je parle même pas pour en trouver qui veulent toucher à de l’assembleur " />
Le
14/03/2018 à
14h
38
pour le batch, pas possible en effet, on a pas les JCL ni la base de données derrière
pour le TP, ca serait possible de se passer de l’ihm bidouillant un programme appelant
mais pareil que pour le batch, on a pas la base de données
Le
14/03/2018 à
14h
33
bibiwan14 a écrit :
l’IHM avec des écrans type CICS a existé en effet, mais elle a été abandonnée il y a plusieurs années, aujourd’hui il y a un front Java EE. Il n’y a plus d’IHM générée.
je connais une boite où c’est encore utilisé " /> entre autre pour l’édition de courrier client
je te dis pas la tronche du courrier … back to 80’
Le
14/03/2018 à
14h
30
Flykz a écrit :
J’ai un peu de mal à conceptualiser l’état de pensée dans lequel on peut être pour se dire qu’un fichier de 22k lignes c’est une bonne idée. C’est des fichier après concaténation ?
Dans un autre ordre d’idée, j’ai du mal à comprendre comment quoi que ce soit peut nécessiter autant de lignes, y’a le code source d’Ariane 5 et la formule de synthèse de la vaseline avec ? " />
Edit : Enfin j’veux dire, comment on peut parler de code « source » si on file du compilé. C’est niveau foutage de gueule, quand même.
tazvld a écrit :
…
Ce sont des fichier généré après linkage. En gros, chaque fichier ici peut être exécuté seul. La gros majorité des fichiers sont copié-coller de déclaration de variable. On retrouve aussi des procédures (des fonctions en quelque sortes) qui sont aussi plusieurs fois copié collé.
Après, ce sont des documents extrêmement documenté (a priori, le projet ayant commencé avant l’existence de logiciel de versionnage moderne, on retrouve des sortes patchnote dans les fichiers)
Enfin, le cobol n’est pas forcément un langage qui soit bon pour faire des économies sur les lignes, on est loin d’un python et sa compréhension de liste.
je me permet de clarifier :
le cobol n’est pas un langage interprété mais compilé
le .COB est l’agrégation des sources programmes .CBL et des copy .CPY
le source .COB est du cobol et non sa forme compilé
une fois agrégé, le tout est compilé et génère donc un binaire, un executable en somme (on appelle ça un LOAD)
pour lancer un des load, il faut un fichier JCL (Job Control Language) que l’on soumet au système et qui définit le contexte d’exécution (les fichiers d’entrée, de sortie, les queues de sortie, la classe de lancement, le nom du job, la priorité du job etc)
Malheureusement, on a pas les JCL ici
dès le départ, on la possibilité d’utiliser des outils de versionning/livraison sous mainframe mais il est de bon ton de positionner dans les composants des commentaires sur les modifications/ajout avec date, trigramme etc.
le mainframe c’est vraiment un monde à part en fait.
Le
14/03/2018 à
11h
22
Merci !
pas plus horrible que du java …
ouvre sous notepad++, la coloration syntaxique facilitera la lecture ;)
Le
14/03/2018 à
11h
20
Le cobol est beaucoup plus évolué que tu ne le pense … ce n’est pas de l’assembleur
(regarde les variables occursées (OCCURS) avec index par exemple ou la notion de REDEFINES)
le CALL permet d’appeler des sous programmes (écrit en cobol ou assembleur ou C etc)
une section (ou paragraphe) dans un pgm cobol ne peut pas s’appeler elle même
un pgm cobol peut être récursif (s’appeler lui même) si les directive de compilation en début de source sont bien positionnées
faut juste faire attention aux zones de communications entre les call
Le
14/03/2018 à
11h
06
Désolé mais c’est le code source quand même
la pré-génération est passée par là mais comme elle se limite au remplacement des copy, fonctions internes etc
il n’y a pas de bidouillages du fonctionnel
Juste du technique
Avoir le design des bases derrières, oui c’est mieux mais pas bloquant
déchiffrer les nom de variables, examiner les commentaires et le contexte peut contourner le problème d’absence de base (c’est sûr, ca demande du temps et de se plonger dans la philosophie des vieux cobolistes " /> )
Le
14/03/2018 à
10h
58
la force du cobol c’est que tu peux tout mettre dans des copy (une sorte d’include du C)
du coups la fonction/procédure “Calcul si jour férie” est certainement dans une copy
la copy est utilisée XX fois et à la prégénération du source final, la référence à la copy dans le programme est remplacé par le contenu de la copy
regarde bien les commentaires avant ce bout de code, et tu trouveras certainement ce genre de lignes à chaque fois :
24 commentaires
La nouvelle attestation dérogatoire est en ligne, dans différents formats
30/10/2020
Le 30/10/2020 à 11h 57
Merci
Le 30/10/2020 à 11h 36
Question con : l’attestation est à présenter au format papier ou on peut maintenant juste présenter le QR code via son portable ?
Internet pour compenser la fermeture éventuelle d’un établissement scolaire
02/03/2020
Le 02/03/2020 à 15h 47
Le 02/03/2020 à 14h 54
Pôle emploi nous ouvre le code source de son calculateur d’allocations chômage
09/04/2018
Le 10/04/2018 à 14h 55
en tout cas pour le COBOL, c’est du “foutage de gueule” " />
c’est le fichier log de la précompilation/compilation (avant le link) de programme ecrit en PACBASE
(les mention après la “colonne 80” des longueurs / formats pour les variables, la regle, la pagination)
à noter aussi la présence des rapports IGY :
exemple :
==004114==> IGYPS2015-I The paragraph or section prior to paragraph or section “FAG-ABEND” did
not contain any statements.
bref ce “source” n’en est pas un et faut du boulot pour en faire un vrai source
au pire pour parcourir et chercher quelque information … mais pas compilable
Transparence sur Parcoursup : l’enfumage continue
23/03/2018
Le 26/03/2018 à 09h 22
Les Allocations familiales nous ouvrent le code source de leur calculateur d’aides
13/03/2018
Le 16/03/2018 à 11h 15
intéressant !
Merci !
Le 16/03/2018 à 11h 14
Merci !
la double solution IBM/BULL … quand l’état français imposait Bull dans les années 70⁄80 …
mais bull n’a jamais réussi à dépasser le maitre " />
Le 15/03/2018 à 14h 20
ouais et bien ca nous a donné des sueurs froides (surtout quand on a modifié le code après le NOP et que ça se bananait aléatoirement) " />
heureusement que l’on avait EXPEDITER (outil de débogage pour les non initiés) sinon on y serait encore
Le 15/03/2018 à 14h 18
oui tout à fait " />
Le 15/03/2018 à 14h 05
un EXPAND de COPY lors de la précompilation pour etre chieur " />
après la connerie c’est surtout de ne pas se renseigner avant ou alors faut tourner la phrase en interrogation " />
Le 15/03/2018 à 14h 00
" />
faut voir certain pgm en assembleur des années 70 … je me suis cassé les dents plusieurs fois sur du code supposé mort mais en fait, en dynamique lors de l’exécution, une instruction neutre (NOP) étaient transformée en JUMP vers ce code mort directement en mémoire programme par une autre instruction ….
Et bien sûr, pas de commentaires, pas de doc, rien
modifier le code machine directement pendant l’execution, c’est plutot plus permis ca
Des vicieux je vous dit " />
Le 15/03/2018 à 13h 52
tu cherches trop loin, c’est moins compliqué
en cobol, les variables sont globales au programme, la notion de sous programme dans un programme cobol n’existe pas comme en C ou Pascal par exemple
un sous programme est un programme indépendant appelé par un CALL augmentée si besoin d’une zone de communication
si on n’ajoute pas la directive de compilation adéquate, le programme appelé récursivement occupe le même espace mémoire, on retrouve donc la valorisation des variables telles quelles étaient lors du dernier appel
si par contre la directive est indiquée, chaque appel fera monter le programme dans un espace mémoire différent, avec une valorisation des variables différente (ou à leur valeur par défaut)
le découpage est juste différent (1 pgm pour chaque fonction en cobol, 1 seul source avec toutes les fonctions pour le C)
le cobol se veut être un langage au plus prêt de la langue parlée, limite pseudo code (MOVE this TO that, ADD number TO this, SUBSTRACT number FROM this GIVING that)
d’ailleurs on retrouve pour marquer une fin d’instruction le point, la précision du niveau d’une variable dans un ensemble, des booléens multiples (niveau 88)
Après, le cobol permet de manipuler les variables à la sauce pointeur comme par exemple le REDEFINE
exemple : tu as une chaine de caractères A de 8 de long
tu peux définir une variable B qui redéfini la variable A et étant un ensemble de trois variables :
C de 4 de long,
D de 2 de long
E de 2 de long
si tu met 20180315 dans A, B=20180315=C||D||E=2018||03||15 (B pointe sur la même adresse mémoire que
A)
C=2018
D=03
E=15
certains concepts concernant la déclaration/manipulation de variables ne se retrouvent pas ailleurs de manière aussi transparente (voire pas du tout)
le cobol est un langage objet comme les autres finalement (on pourrait parler des structures tableaux OCCURS aussi) et est très largement sous estimé et méconnu
Le 15/03/2018 à 09h 25
bien résumé,merci ! " />
Le 14/03/2018 à 16h 49
Le 14/03/2018 à 14h 45
bah, on va dire que j’essaye de motiver les troupes pour basculer vers cette charmante techno " />
c’est une sorte de récompense)
je suis pas expert car il y a quelque aspect que je ne maitrise pas parfaitement (coté CICS)
mais c’est clair que le cobol n’a pas la cote … (limite c’est une punition) mais sur le lot, on en trouve toujours qui finalement ne trouve pas ca si désagréable que ca
Et je parle même pas pour en trouver qui veulent toucher à de l’assembleur " />
Le 14/03/2018 à 14h 38
pour le batch, pas possible en effet, on a pas les JCL ni la base de données derrière
pour le TP, ca serait possible de se passer de l’ihm bidouillant un programme appelant
mais pareil que pour le batch, on a pas la base de données
Le 14/03/2018 à 14h 33
Le 14/03/2018 à 14h 30
Le 14/03/2018 à 11h 22
Merci !
pas plus horrible que du java …
ouvre sous notepad++, la coloration syntaxique facilitera la lecture ;)
Le 14/03/2018 à 11h 20
Le cobol est beaucoup plus évolué que tu ne le pense … ce n’est pas de l’assembleur
(regarde les variables occursées (OCCURS) avec index par exemple ou la notion de REDEFINES)
le CALL permet d’appeler des sous programmes (écrit en cobol ou assembleur ou C etc)
une section (ou paragraphe) dans un pgm cobol ne peut pas s’appeler elle même
un pgm cobol peut être récursif (s’appeler lui même) si les directive de compilation en début de source sont bien positionnées
faut juste faire attention aux zones de communications entre les call
Le 14/03/2018 à 11h 06
Désolé mais c’est le code source quand même
la pré-génération est passée par là mais comme elle se limite au remplacement des copy, fonctions internes etc
il n’y a pas de bidouillages du fonctionnel
Juste du technique
Avoir le design des bases derrières, oui c’est mieux mais pas bloquant
déchiffrer les nom de variables, examiner les commentaires et le contexte peut contourner le problème d’absence de base (c’est sûr, ca demande du temps et de se plonger dans la philosophie des vieux cobolistes " /> )
Le 14/03/2018 à 10h 58
la force du cobol c’est que tu peux tout mettre dans des copy (une sorte d’include du C)
du coups la fonction/procédure “Calcul si jour férie” est certainement dans une copy
la copy est utilisée XX fois et à la prégénération du source final, la référence à la copy dans le programme est remplacé par le contenu de la copy
regarde bien les commentaires avant ce bout de code, et tu trouveras certainement ce genre de lignes à chaque fois :
* COPY CGBCALAK.
*COPY”/distrib/appli/cristal/05200/ref/cobol/copy/CGBCALAK.CPY”
tu peux faire du vicieux : des copy utilisant des copy utilisant des copy qui s’appuient sur des variables des programmes
Le 14/03/2018 à 10h 44
Sur le principe : qui peut le plus peut le moins … Avoir
le code source c’est donc bien, merci NextInpact !
(Maintenant, il manque quand même les JCL)
Techniquement, le code est propre (pour du cobol), lisible, assez documenté …
Assez standard en somme.
Je préfère avoir les copy intégrées plutôt que d’avoir les xxx fichiers à
part, c’est plus simple pour l’analyse.
les noms de variables sont lisibles (faut avoir l’habitude des abréviations)
Pour ceux qui critique la technologie employée, le coté abscons etc ..
simplement, le cobol était (et reste) ce qu’il y avait de mieux pour ce genre
de traitement de masse à l’époque de l’informatisation de la CAF/CPAM/CNAV
etc…
C’est aussi le langage qui se rapproche le plus du langage naturel Anglo-saxon
(l’anglais quoi)
On est ici sur des traitements sensibles et complexes, avec des couts de mise
en place énormes.
le changement de technologie tous les quatre matins n’est pas envisageable.
J’ai travaillé sur du cobol (sur mainframe ou sur unix/linux, sous pacbase ou
“à la main”), de l’assembleur IBM pour les banques, mutuelles et la
cnav entre autre et je fais aussi du java et du sql (oracle, postgres) et de loin
le cobol reste le plus accessible/simple (vis à vis du java entre autre …. J’exècre
le java )
(j’ai souvenir sur un projet de migration d’avoir saturé le compilateur IBM
tellement que les programmes étaient énormes … et on était que 4 à travailler
dessus sans problèmes particuliers)
Bref en une journée, on pourrait en tirer pas mal d’informations
(Sauf que mon temps coute (très) cher " /> … et oui les cobolistes se font
rares ! )