Le 12/02/2016 à 12h 19

Il me semble que le projet d’alerte catastrophe en mode participatif a déjà subventionné par la région Poitou Charentes. Hasard ?



Quand on regarde la liste des projets, on aura encore un beau gaspillage d’argent public. Franchement qui ira installer une application “de la biodiversité dans les territoires” sur son portable ? Y’a une bonne partie de fumistes dans la liste.

Le 20/05/2014 à 19h 10

Quand je vois l’ensemble des commentaires, je vois bien que la plupart des personnes ne comprennent pas du tout le but de cette tablette qui fournit presque tout ce que j’attendais.



Ce produit est destiné aux pros. Ce n’est pas une tablette jouet comme les autres et dont la plupart des commentaires font allusion. Cette tablette n’est pas destinée uniquement à lire des mails, surfer et regarder des vidéos youtube.



J’utilise un tablet PC d’ancien type HP 2740p depuis plusieurs années à titre professionnel et je ne pourrais pas m’en passer.

J’utilise beaucoup la prise de notes au stylet avec OneNote et c’est vraiment très pratique. Comparé à la prise de notes sur un cahier, l’avantage c’est la recherche full text et le classement simplifié ainsi que le fait que l’on embarque toutes ses notes sans trimbaler les 10 cahiers qu’on aura rempli en une année.

L’autre utilisation est l’utilisation classique d’un PC : édition de docs mails, lecture de doc, Eclipse pour consulter du code, outils de planification, mind map, … J’annote rarement les documents au stylet, l’éditions de commentaires au clavier est plus parlante et lisible (sélection du texte à commenté et commentaires en marge du doc).



Pour moi les ponts importants d’une tablette à usage professionnel sont :

• clavier pour être efficace en saisie, je préfère largement devoir sortir le clavier que d’utiliser le clavier virtuel
  


• stylet avec niveaux de pression car la prise de notes est pour moi l’usage essentiel d’une tablette en mode pro, beaucoup trop méconnu alors qu’il apporte beaucoup. Microsoft pousse son usage avec la Surface Pro 3 avec le lancement en 1 clic sur le stylet et ils ont raison selon moi. Les pseudos stylets capacitifs sans niveaux de pressions ne sont pas utilisables pour la reconnaissance d’écriture.
  


• windows pour utiliser toutes les applications absolument nécessaires dans l’entreprise et ne pas avoir à trimbaler une tablette et un PC à chaque réunion (ex: outils de reporting, planification, ERP, …)
  


• suffisamment puissante pour ne pas avoir à patienter 5 minute au lancement d’une appli (les procs Atom sont exclus pour moi donc)
  


• 12” car c’est l’équivalent du format A4, parfait pour la lecture de doc et PDF, confortable en saisie de notes comparé au 10” trop juste. De plus, cela permet d’avoir un clavier à taille normale.
  


• pas trop lourd car il faut la trimbaler entre les réunions (mon tablet PC fait plus de 2,5 kg et on le sent, surtout en le prenant dans les bras pour la saisie lorsque l’on ne peut pas le poser sur le recoin d’une table).
  


• suffisamment autonome pour être utilisée plus d’une demi-journée afin de ne pas se coltiner l’adaptateur secteur à chaque déplacement
  


• Avec un dock. Ayant utilisé des portables pro HP avec leur dock. C’est vraiment super pratique. Pouvoir connecter/déconnecter son PC à tout ce qui est nécessaire (alimentation, écran, clavier, souris, réseau) en une seconde est un gain de temps appréciable lorsque l’on doit le faire une dizaine de fois par jour lorsque l’on gère les transitions entre réunions et retour au bureau.
  
  
  
  Sur tous ces points, la surface pro 3 répond à mes attentes alors qu’il y a peu de concurrence ailleurs. Je pense que MS a tout à fait raison de pousser ce genre de tablette car je pense qu’il répond à des besoins pros. Le prix est justifié à mon avis car les produits pros équivalents (gamme HP Pro, …) sont dans les mêmes zones tarifaires. Les considérations en terme de prix ne sont pas les mêmes suivant que l’on achète à titre pro ou perso.
  
  
  
  Cependant cela ne leur garantit pas de rencontrer le succès. L’usage tablet PC / OneNote est méconnu en entreprise et les services informatiques sont soumis aux pressions des utilisateurs lobotomisés par le marketing et qui veulent des jouets comme des iPad plutôt que d’utiliser des outils qui leur seraient utiles comme des tablettes Windows.

Le 14/09/2013 à 09h 56

bartouf a écrit :



Je connais une SSII qui profite de ses clients pour développer des softs closed source pour son intérêt (rien de presque anormale). 2 ans plus tard, le client revient demander de nouvelles fonctionnalités. Résultat : il faut tous refaire parce que l’ancienne solution closed source de la société n’est plus maintenu.







Là c’est surtout un manque de prévoyance du client. Si vous vouliez pouvoir continuer à faire évoluer votre logiciel, il fallait peut être négocier les conditions à la signature du contrat. Sinon ce sont les contraintes légales de garantie qui s’appliquent.

De nombreuses sociétés achètent des prestations logicielles comme elles achèteraient des crayons. J’en ai l’exemple chez un client :

ils ont fait développer leur logiciel cœur de métier chez un prestataire et leur ont délégué toute la maintenance mais aucune condition du contrat ne prévoie qu’ils fournissent le code source ou la documentation associée. Résultat, il est impossible de se passer de ce prestataire sans redévelopper entièrement la solution et faire un travail colossal de reverse engineering.



Un contrat bien négocié prévoie des clauses de réversibilité qui permettent au client de changer de prestataire.

Ce n’est en rien spécifique à l’informatique. On a le même cas avec la fourniture de l’eau pour les collectivités. Ce type de contrat prévoie les conditions d’un changement de prestataire au renouvellement du contrat.