Bien sûr, dans un immeuble bien isolé et entouré de voisins, ça limite les dégâts… et ce sont les autres qui payent.
Mais dans une maison isolé, c’est difficile et même dangereux.
et le truc pour réussir avec 750€, absolument pas de voiture !! la mutuelle ne vaut pas le coup, surtout avec la fin du remboursement des dépassement d’honoraires.
il y a des village sympa dans la Meuse où pour 650€/mois tu loue tout le village avec l’église " />
Pour le village sympa dans la Meuse, la voiture est obligatoire. Et n’oublions pas que si ces villages sont désertés, c’est parce qu’il n’y a pas de travail.
Quand à la mutuelle, tant que tu est jeune et en bonne santé, tu peux raisonner comme ça. Après, c’est beaucoup moins évident.
Le
26/01/2017 à
22h
38
jinge a écrit :
Je payais tout, mis à part probablement l’assurance de ma voiture et peut être la taxe d’habitation. Après tout dépend comment on gère son budget et des “extras” qu’on s’autorise…
J’ai vécu avec 1100€ dans 17m² dans Paris avec un loyer à 650€ pendant mon stage de 6 mois… Je te dirais même que mon compte épargne était plus rempli à la fin qu’au début. Alors oui, avec 1000€ en province c’est tout à fait réalisable, sachant que pour un loyer moins cher, tu as beaucoup plus grand et un jardin.
Après tu as peut être passé tes années d’études dans les bars aux frais de papa-maman, mais pas moi ;)
Nombreux sont ceux qui ont connu dans leur jeunesse une courte période pendant lesquels ils ont vécu de très peu.
Mais vous ne réalisez pas à quel point ce n’est pas tenable à long terme.
Dans la vie, on peut négliger certaines choses à court terme sans conséquences notables. Mais sur le long terme, vous le payerez très cher.
Nourriture de mauvaise qualité : Carences = problèmes de santé, baisse notable des capacités intellectuelles, troubles mentaux.
Absence de soins dentaires (Couronne = 700-1000€ en RP): Perte de la dentition = look “clochard”, infections, problèmes cardiaques.
Absence de suivi et de soins médicaux : Risque de pathologie mortelle passant inaperçue(cancer, hypertension, diabète, etc…) = séquelles graves ou décès précoce.
Pas de renouvellement des vêtements : look “clochard” = pas d’emploi. Pathologies causées par le froid. Fuite de potentielles conquêtes amoureuses.
Pas de loisirs ni de vacances : Problèmes mentaux, dépression, carrence en vitamine “D” (soleil) causant de graves troubles de santé.
Pas de confort (lave linge, électroménager, espace vital) : problèmes de fatigue (On a moins d’énergie à 30 ou 40 ans qu’a 20 ans).
Et dans tout cela, je ne parle même pas de tous les problèmes imprévus qui peuvent arriver. Quoi que vous fassiez, vous en rencontrerez fatalement un certain nombre un jour ou l’autre.
Le
25/01/2017 à
23h
17
deepinpact a écrit :
Bien sûr que si c’est un problème. Taxer les produits entrants ne fera pas nécessairement revenir le travail en France, mais rendra à terme les produits plus chers.
C’est faux.
Les industriels ont délocalisé parce que c’était la voie du moindre coût.
On ne pourra relocaliser les emplois qu’en faisant de la relocalisation la voie du moindre coût.
Il n’y a que deux manières d’y parvenir.
Soit on diminue les conditions sociales au point d’être plus compétitifs que les pays émergents. C’est quasiment impossible et impliquerait des conditions atroces.
Soit on taxe les produits entrants.
Tu feras baisser la consommation et du coup tu percevras moins d’impôt. C’est inutile.
C’est un mauvais calcul.
Quand on ne fabrique plus rien en France, il n’y a plus de rentrées d’argent.
Quand les gens n’ont pas de travail, ils ne payent pas d’impôts.
Quand un homme n’a plus de salaire, même les produits chinois sont trop cher pour lui…
De plus, taxer, c’est facile, tout le monde peut le faire.
Typiquement toujours dans le cadre d’une voiture, tu veux taxer les produits venant des équipementiers allemand dans un véhicule assemblé à l’étranger à destination du marché français ? Bah l’Allemagne peut faire de même et taxer les produits issus des équipementiers français dans des véhicules fabriqués hors Allemagne à destination du marché allemand…
Tout à fait, et c’est tant mieux.
Comme cela, l’activité se répartira harmonieusement dans chaque pays.
Cela évitera qu’un pays finisse par concentrer toute l’activité industrielle et que les autres s’appauvrissent. " />
Du coup ce que tu pourrais gagner à rendre artificiellement plus compétitif une produit fabriqué en France face à un produit fabriqué à l’étranger via les taxes, tu vas le perdre sur les taxes qui seront appliqués de manière coercitives par les autres pays sur les produits fabriqués en France à destination de l’étranger.
Tu semble ignorer que ces “taxes qui seront appliqués de manière coercitives par les autres pays” nous les payons déjà dans de nombreux cas. " />
Le drame de l’Europe, c’est que nous importons sans taxer des produits provenant de pays qui eux taxent fortement ce que nous exportons chez eux.
C’est tout l’intérêt du marché unique.
L’intérêt du marché unique ? Il suffit de constater comment la France s’est désindustrialisée en 15 ans. " />
Sauf qu’avec la robotisation, il n y a du travail ni en France, ni en Slovénie, ni ailleurs…
L’assemblage industriel c’est déjà du passé en terme d’emplois de masse.
Se battre pour ça, n’a strictement aucun intérêt.
Justement, le problème de cette robotisation, c’est que si le travail de l’homme n’est plus ce qui génère les flux économiques, alors nous n’aurons pas les moyens d’acheter ces produits s’ils ne sont pas fabriqués en France.
Dit autrement, il est impossible d’organiser une économisée robotisée qui fonctionne avec une économie mondialisée qui échappe à toute loi et toute taxe.
L’économie robotisée ne fonctionnera pour nous que si nous produisons nos biens dans des usines françaises avec des robots français.
Voir mon commentaire plus haut.
19 millions de véhicules sont vendus en Europe.
2 millions en France.
D’après toi, nos équipementiers font plus d’argent avec la fabrication de 2 millions de véhicules en France, ou 19 millions hors de France ?
Pour avoir dirigé des entreprises, je ne suis pas d’accord.
Il ne faut pas confondre vente et bénéfice. Le volume ne fait pas forcément le gain. C’est même souvent l’inverse.
On peut faire plus d’argent avec 2 millions de produits sur un marché rentable que 100 millions sur un marché a très faible marge.
Ensuite, les ventes d’une entreprise et l’intérêt d’un pays sont la encore deux choses différentes.
Quand des produits sont vendus hors de France, qu’ils sont fabriqués hors de France, qu’une grande partie des profits finissent sur des comptes dans des paradis fiscaux. Que ce qui revient sous forme de profit aux actionnaires finit dans la poche d’actionnaires étrangers, ou sont les bénéfices de la France ?
La conclusion c’est qu’il est évident que ce système ne sers pas les intérêts de notre pays.
On ne peut pas pénaliser une entreprise qui délocalise.
Il n y a pas d’intérêt. Il faut juste une législation qui évite aux entreprises de faire dans l’évasion et le dumping fiscal, le dumping social.
La délocalisation, c’est du dumping social. Son but est de substituer à des employés français d’autres employés qui coûtent moins cher. Nous avons donc bien intérêt à le pénaliser.
Et la réalité, c’est qu’en Europe nous sommes quasiment les seuls au monde à ne rien faire pour le décourager.
Taxer des produits qui ne respectent pas un ensemble de règles dans les droits humains et écologiques, ça, ça a du sens…
Sauf qu’en pratique, cela ne fonctionne pas.
La pratique montre qu’on n’arrive absolument pas à contrôler ce qui se passe dans les pays émergents.
Il y a eu de nombreux reportages qui montrent bien que malgré les efforts de toute la communauté internationale, le travail massif des enfants reste une réalité.
Alors qu’est ce qu’on fait ? On fait bosser nos enfants pour être compétitifs ?
Quand aux conditions écologiques, il suffit de constater le désastre en Chine pour comprendre le problème.
Le seul moyen de mettre fin à tout cela, c’est bien d’en finir avec le libre échange.
Mais c’est toujours le même principe. Tu veux taxer les produits venant de Chine au niveau franco-français. OK, attends toi à ce que la Chine fasse la même chose et que tes clients chinois finissent par privilégier des fournisseurs allemand.
Sauf que la Chine taxe déjà fortement nos produits… alors que nous ne taxons quasiment pas les leurs. " />
Contrairement à nous, ils font du protectionnisme a grande échelle et de manière très organisée : imposition de fabriquer sur leur sol, de faire des joint venture avec des acteurs locaux, de faire des transferts de technologie.
Le commerce avec la Chine, c’est un marché de dupe. Leur but a long terme, c’est de tout fabriquer sur leur sol, pas de faire bosser nos sous traitants.
Si nous protégeons notre marché, nos industriels redeviendront rentables immédiatement, ils cesseront de licencier, ils embaucheront.
Laissons aux autres les marchés de dupe ou ils se feront voler leur technologie et finiront par bouffer leur chemise…
Mettons en place une législation au niveau européen, et déjà là, il n y aura pas de différence entre France, Allemagne, Espagne, Italie, etc…
Sauf qu’il ne suffit pas de le dire.
L’Europe, c’est 28 pays dont 19 dans la zone Euro. Autant de culture différentes, d’intérêts divergents, de présidents issus de bords politiques opposés.
Ajoutons un système technocratique qui oppose une énorme résistance au changement.
Jamais nous ne parviendront à faire passer le moindre changement d’envergure.
Il faut être réaliste, l’Europe est morte.
Ok, l’Europe n’est pas parfaite. C’est pas pour ça qu’on a besoin de moins d’Europe…
Si nous continuons dans l’Europe, nous allons vers une faillite inéluctable.
[quC’est très à droite comme mesure économique.
Bref tu veux plus de TVA, l’impôt le plus injuste qui soit… " />
C’est un peu en décalage avec ton discours global.
Après la TVA ne montera pas jusqu’aux cieux non plus…
[/quote]
Une taxe à l’importation, ça n’a rien à voir avec de la TVA.
La TVA, c’est au contraire une taxe qui touche tous les produits, y compris ceux qui sont fabriqués en France.
Placer une taxe à l’importation permettrait d’ailleurs de baisser la TVA.
Et si tu ne combats pas l’évasion et le dumping fiscal avant, tu finiras toujours par désavantager des entreprises françaises fabriquant en France…
Justement, taxer le produit importé, c’est transférer une fiscalité que nous ne parviendront jamais à appliquer vers une nouvelle forme de fiscalité qui est très difficile à contourner.
C’est donc bien une réponse au problème de la fraude fiscale.
Oui, et tous les pays avec lesquels nous commerçons pourront faire de même…
Ils le feront logiquement pour toute forme d’échange qui n’est pas gagnant-gagnant.
Et il faut réaliser que c’est plutôt une bonne chose pour tout le monde.
C’est l’exemple même de la Chine qui pratique un protectionnisme sélectif.
En fait, on a pas le choix…
Réalisez que cette idée reçue ne repose sur absolument rien.
Cela fait des années qu’on entends cette propagande dans la bouche de ceux qui ont vendu l’Europe.
Résultat, maintenant on est presque en faillite.
La France peut probablement vivre en autarcie. Pour autant ça ne veut pas dire que c’est dans son intérêt.
Attention, sortir de l’Europe et faire du protectionnisme ne signifie pas autarcie.
De nombreux pays dans le monde font cela. Pour ne pas dire la plupart.
Cela ne signifie pas non plus absence de commerce extérieur, simplement qu’on fait du commerce uniquement quand c’est notre intérêt de le faire, mais aussi celui du pays avec lequel nous commerçons.
Quand le commerce consiste à produire moins cher ailleurs ce que nous produisons (ou pouvons produire) ici, alors nous devons le décourager parce que c’est destructeur.
On ne représente plus grand chose à l’échelle du monde.
Cela n’est pas vrai du tout.
Mais c’est ce qui finira par arriver si nous continuons avec l’Europe.
Surtout que tous les pays sur le modèle européen commencent à s’organiser en de grands ensemble afin de privilégier leurs produits sur un marché commun…
Le Rafale est bien meilleur que l’Eurofighter. Et il coûte moins cher…
C’est bien la France et l’Angleterre, deux petit pays qui ont produit le concorde, l’avions commercial le plus performant jamais créé.
Le passé est rempli d’exemple démontrant qu’un petit pays bien organisé comme la France ou la Suisse n’ont jamais rien eu a envier aux regroupements de pays comme les USA ou l’URSS. Et cela, ni sur le plan social, ni sur le plan industriel et encore moins sur le plan culturel.
L’Europe qui détruit les économies avec de nombreuses formes de dumping social n’aboutira qu’a un champ de ruine économique dont il ne sortira rien.
Tu penses qu’il pourrait y avoir d’un côté,
les restes (certes pitoyables) de l’UE
l’ALENA (ou peut-être ce qu’il en restera après TRUMP)
le mercosur
la CEDEAO et les autres
les différents traités économiques sud-pacifique
et d’un autre
La France ?
Ok, pourquoi pas. Mais pas sur un plan économico-industriel.
Il y une idée reçue fortement répandue, c’est que la taille serait synonyme de performance économique.
Or, qu’est ce que l’on constate sur le plan de l’histoire économique ? C’est que tous les grands ensembles économiques ont tous fini par s’écrouler.
Et il y a des raisons à cela.
Tous ces accords qui visent à rendre le marché toujours plus grand suivent une utopie libérale jamais démontrée. On peut constater qu’elle n’aboutit en pratique qu’a la désorganisation des économies qui y prennent part.
Le
25/01/2017 à
19h
52
NONAUFOOT a écrit :
Des spécialistes disent qu’en déduisant le coût des aides qui seraient supprimées (allocation en tout genre, RSA…) le coût ne serait “que” de 200M€.
Ce chiffre est totalement surévalué.
Il suffit pour s’en convaincre de regarder le coût relativement faible du RSA qui est de seulement 10 Milliards d’euros.
Sachant que par divers dispositifs, beaucoup de personnes sans emploi touchent déjà des allocations, le surcoût serait de toute évidence modéré.
Ensuite, ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que l’économie est un cycle. Donner de l’argent à des personnes, c’est irriguer l’ensemble de l’économie. " />
Enfin, ce dispositif contribuerait fortement à aider la création d’entreprise. Certains vous diront que le RSA est le premier investisseur de France.
Bref, il ne faut pas seulement regarder ce que cela coûte, mais aussi ce que cela rapporte. " />
Le
25/01/2017 à
19h
43
NONAUFOOT a écrit :
Je ne vais pas tout reprendre, mais quid des emplois non attractif et peut valorisant (souvent aussi peu valorisé ?), de la pénibilité ?
C’est certain qu’une personne passionné par son boulot, payé grassement ou qui peut un peu choisir ce qu’il accepte comme travail ou non (artisants/ auto-entrepreneurs) pourront continuer, mais tous ceux qui se sentent mal considéré/mal payé ou tout simplement usé par leur travail souhaiteront d’embler arrêter le travail ou prendre un mi-temps (perso, je suis dans la catégorie mi-temps mais mon administration ne l’accepterais pas car je suis “irremplaçable”: comprendre par là qu’on recherche depuis un moment quelqu’un (en vrai deux personnes) pour me servir de collègue, mais qu’on ne trouve pas !)
Et bien logiquement, ils faudra payer plus cher pour qu’ils acceptent ces emplois… ce qui n’est que justice.
C’est d’ailleurs souhaitable à tous les points de vue.
La première raison, c’est que cela aboutira à un progrès social en poussant à la robotisation de ces tâches, donc à leur disparition.
La seconde, c’est que ces emplois coûtent très cher à la collectivité et creusent le trou de la sécu : faibles salaires et faibles cotisations pour des emplois destructeurs qui coûtent un maximum à la sécurité sociale. Dans certains secteurs, on voit des pathologies à long terme s’installer en quelques années. C’est un bon exemple de privatisation des profits et de mutualisation des pertes.
Réalisons que la vision que notre société applique aujourd’hui qui consiste, soit à vouloir forcer des gens à accepter ces emplois à un tarif ridicule, soit à faire venir des immigrés en masse pour y pourvoir à moindre prix, c’est une vison directement héritée de notre passé colonialiste et esclavagiste.
Le
24/01/2017 à
23h
39
MorK_ a écrit :
J’aurais voulu que vous vous remettiez en question. Regarde les arguments que tu donnes, “Les entreprises étaient privées. Leurs propriétaires pouvaient les vendre à qui voulait les acheter”. Ok mais pourquoi ont ils vendu? Pourquoi les ouvriers n’ont ils pas gardé leur emploi? Parce que les chinois faisaient le job pour moins cher.
Les chinois font le job moins cher pour deux raisons.
La première, c’est qu’ils se sont arrangé pour garder le cours de leur monnaie très basse alors que la notre est surcotée.
La seconde c’est que leur niveau de vie est plus bas que le notre.
Alors plutôt que de manifester contre le monde qui avance, j’aurais aimé que vous acceptiez la réalité et cherchiez à faire mieux où à être plus productifs, bref, à mériter le niveau de vie de la France au lieu de rejeter la faute sur la mondialisation.
Plus productif ?
D’abord sachez il faudrait travailler 800 heures par semaine pour s’aligner sur le tarif des pays émergents.
Vous ne semblez pas comprendre que la course à la compétitivité, c’est une guerre sans fin, une guerre à mort.
Celui qui gagnera cette guerre, c’est le pays qui réduira sa population à l’esclavage le plus sordide. Pour quel bénéfice ?
Cette économie productiviste va dans le mur car elle finit par détruire le niveau de vie des gens pour produire toujours plus de biens qui profitent à une portion toujours plus réduite de l’humanité. Avec en prime la destruction de notre planète…
Tout cela n’est pas une fatalité. Il n’y absolument rien qui nous oblige à venir jouer dans ce jeu la.
Le
24/01/2017 à
23h
02
DayWalker a écrit :
Ah oui, on se lance là dedans en prévision du manque d’emploi, argument qu’on entend souvent.
Ce n’est pas en prévision, le manque d’emploi est déjà une réalité depuis longtemps.
Même des personnes diplômées ne trouvent plus d’emploi passé un certain age.
Et quand au lieu d’avoir 10% de chômeurs, on aura 10% de travailleurs, pour que cette équation soit possible, il faudra donc que les travailleurs soient à 10 fois le revenu citoyen en moyenne (sans compter les autres impôts qu’on pourrait leur greffer) ?
Cela n’arrivera pas.
Beaucoup de gens voudront quand même travailler pour vivre mieux et s’occuper.
Quand on observe les retraités et les rentiers, on constate qu’ils continuent d’avoir des activités. Et souvent des activités très profitables pour la société.
Une erreur courante, c’est de croire que le “travail” est la seule forme de production de valeur ajoutée qu’une société peut partager.
Vous croyez vraiment que le “moindre” emploi permettra d’être à peu près dans la bonne gamme de revenus ? Pour un balayeur, un vendeur de clopes, un cuisinier, un chauffeur de bus, un technicien, un informaticien, un chercheur ? Pour rappel, le salaire actuel pour lequel 80% de la population gagne moins (pour une personne seule, selon l’INSE), c’est 2200k… seulement, moins de 2 SMIC. Avec un tel “contraste” entre un salaire et un revenu citoyen, on risque juste d’augmenter le contraste entre ceux qui ne travaillent pas et les autres, et moins il y a de travailleurs, pire ce sera. Ne fabrique t’on pas les “pauvres” de demain ???
Bien au contraire.
Un revenu citoyen va permettre aux plus créatifs de développer leurs compétences, leur créativité et de monter de vrais projets d’entreprises solides.
Et cela va en retour apporter de l’activité bien payée à tout ceux qui en voudront.
Aujourd’hui, le marché du travail est malade du déséquilibre entre l’offre et la demande. Le travail est de moins en moins payé, nous créons des travailleurs pauvres. Cela entraîne notre économie dans les services bas de gamme avec très peu d’innovation ni de R&D. Sur le long terme, nous allons dans le mur…
Autre avantage de taille, avec le revenu citoyen qui allégera la pression sur le marché de l’emploi, ceux qui voudront un travail en trouveront un…
Les discours de la droite me font bien rire. Vouloir faire travailler ceux qui ne veulent pas ? Et si on commençait par en donner un à ceux qui en veulent. " />
Le
24/01/2017 à
18h
28
deepinpact a écrit :
Il n y a pas que des solutions dans ce que tu proposes…
Un produit, n’est pas par essence monolithique.
Une voiture par exemple, c’est un ensemble de sous produits, venant de France, Allemagne, Espagne, Angleterre…
Bien au contraire, il n’y a aucun problème. Chacun de ces sous produit correspond à des flux clairement identifiés dans la comptabilité des entreprises. Leur valeur ajoutée étant clairement et facilement établie, ils sont taxables très facilement.
A titre perso j’ai fait mon deuil de la voiture assemblée en France, au final qu’elle soit assemblée par des robots en slovénie ou France c’est pareil !
Non, cela n’est pas pareil. Mais la France est divisée en deux camps.
Ceux qui ont encore du travail et que ça arrange bien de toucher les produits au meilleur prix.
Et ceux qui sont au chômage et que ça n’arrange pas du tout que tout soit fabriqué ailleurs.
Les premiers doivent réaliser que la situation n’est pas tenable.
Et puis de toute façon je pense que Faurecia (numéro 1 mondial dans le secteur) marge bien plus avec ses sièges que le constructeur avec sa voiture… Et pour l’heure on a toujours besoin d’humain dans la fabrication d’un siège…
C’est une erreur courante de raisonner par les quelques entreprises les plus connues.
La compétitivité d’un pays repose plus sur les milliers d’entreprises inconnues que sur les quelques leaders du marché.
Et c’est encore plus vrai quand on parle d’emploi.
Une telle mesure ferait que pénaliser de belles entreprises françaises !
Ces mesures avantageront de très nombreuses et belles entreprises françaises.
Qu’on pénalise quelques entreprises qui ont lourdement délocalisé et n’apportent quasiment plus rien à notre pays, c’est précisément le but.
Une économie, c’est un ensemble, pas juste quelques entreprises réputées.
Ben dans ce cas là faut mettre fin à l’expérience européenne…
C’est inéluctable en effet…
L’Europe s’est faite au plus mauvais moment(révolution numérique) et fut fondée sur de mauvaises bases (libre échange plutôt que protection des peuples), le tout avec un système trop rigide.
L’Europe se recréera sans doute un jour dans le futur d’une façon bien meilleure et avec un vrai projet pour les peuples, mais aujourd’hui, il faut sortir de cette galère qui va dans le mur.
Perso je pense qu’il serait beaucoup plus facile d’harmoniser l’IS au niveau européen.
Le drame de l’Europe, c’est qu’il est impossible de changer quoi que ce soit. Avec 28 pays divisés qui ont des intérêts fortement divergents, cela mène à l’immobilisme total que l’on connait.
Regardez tous les politiciens qui ont promis devant les électeurs qu’ils changeraient l’Europe. Moins d’une semaine après leurs élections, la plupart s’étaient déjà couchés devant les autres pays.
Taxer le revenu issu des dividendes d’une entreprise cotée en France c’est déjà le cas… Le soucis c’est que les sociétés peuvent être cotées où tu veux, dès lors que des sociétés écrans feront offices de fournisseurs fictifs ou d’holding privées dans des paradis fiscaux cette taxe ne sert à rien !
Tout à fait.
L’erreur, c’est que nous taxons à mort nos entreprises, mais pas la valeur ajoutée qui rentre.
Si nous voulons de l’emploi en France, c’est l’inverse qu’il faut faire.
En taxant ce qui rentre, ils peuvent faire tout ce qu’ils veulent en terme de montage à base de paradis fiscaux, ils n’échapperont pas à la taxe.
Si protectionnisme il doit y avoir, ce serait au niveau européen d’interdire tout commerce avec des personnes ou des sociétés ayant leurs sièges ou comptes en banque dans un paradis fiscal… On se couperait de pas mal de débouchés, ça serait peut-être violent au début, mais avec le premier PIB mondial, tous les pays seraient obligés de s’aligner… Et puis c’est excessivement simple comme mesure !
Il aurait été logique de faire cela au niveau Européen.
Le problème, c’est que cela ne se fera pas car les intérêts particuliers de l’Allemagne(et d’autres pays) s’y opposent très fortement.
Une erreur courante est de penser que nous serions trop petit pour exister économiquement sans l’Europe.
Or il y a sur terre de nombreux exemples montrant que les petits pays bien organisés sont précisément ceux qui s’en sortent le mieux.
Et la France dispose encore d’une zone d’influence économique et politique très importante dans le monde.
Le
23/01/2017 à
23h
56
Liam a écrit :
…
Évidemment, cela ne marche que si les 1% les plus riches ne s’exilent pas fiscalement… là est la difficulté.
Aujourd’hui, tu as un système mondialisé qui permet de produire des biens en Chine, de faire du pognon en France et de payer des impôts… nulle part. " />
Les mesures a prendre sont radicales, mais simples.
(1) Tu veux vendre en France, tu produit en France. Sinon grosse taxe.
(2) Ta société n’a pas son siège en France ? Tes produits subissent une seconde taxe.
(3) Les actionnaires principaux d’une société ne sont pas en France ? Troisième taxe.
Faisons cela et nous n’aurons plus à courir après les fraudeurs.
Si nous voulons un système ou les gens payent leurs impôts, il ne sers à rien de pondre un code des impots digne de kafka. Donnons simplement l’avantage économique aux entrepreneurs qui le font " />
Réalisons que les petits entrepreneurs français honnêtes qui habitent en France et payent leurs impôts en France sont les grands perdants du système mondialisé ouvert auquel l’Europe nous expose.
Le
23/01/2017 à
23h
26
ActionFighter a écrit :
Je crois qu’il y en a qui s’emballent beaucoup concernant la robotisation.
Un point qui est très peu évoqué par les partisans du revenu universel, qui prennent souvent comme argument l’automatisation, c’est la question des ressources nécessaires, et donc des matières premières et de son commerce.
Si l’automatisation permet effectivement de mécaniser certains travaux dont des boulots pénibles, les matières premières utilisées ne sont déjà pas inépuisables, et pour l’instant pas énormément recyclées, ou dans des conditions désastreuses, et proviennent pour beaucoup de filières capitalistes néo-coloniales, profitant de bas prix en s’arrangeant avec le pouvoir local. Les terres rares, qui portent bien leur nom, sont déjà l’objet d’un combat économique et social acharnées dans les pays où elles sont exploitées, il ne me semble pas judicieux de compter sur ça pour assurer une quelconque libération des individus.
Évoquer l’automatisation massive pour promouvoir un changement de paradigme économique uniquement en France n’a de pas sens. Cela reviendrait à continuer à s’appuyer sur l’exploitation d’autrui pour continuer à vivre “pénard” dans une économie mondialisée. Un changement de paradigme économique réellement progressiste ne peut pas se faire sans sortir du productivisme, et sans volonté de se débarrasser du caractère spoliateur du capitalisme mondialisé. Et le meilleur moyen pour moi se trouve dans la socialisation du marché du travail allié à une forte décroissance.
Je vais peut être vous surprendre en disant que la production moderne automatisée est beaucoup plus économe en énergie que la production basée sur le travail manuel.
Rien que déplacer un homme à son travail coûte plus cher en énergie que ce que cet homme produit.
Voila pourquoi le retour au passé n’est pas une bonne option, n’en déplaise à mon voisin écolo qui pollue tout le monde avec son feu de bois…
Pour le reste, je partage ton avis que l’avenir est à la décroissance. Et l’économie mécanisée est la seule option pour rendre cette décroissance possible.
Car rappelons que si l’humanité s’est multipliée, c’est parce que l’économie non mécanisée poussait à faire plus d’enfants pour améliorer son quotidien. C’est grâce à la mécanisation que nous avons aujourd’hui la possibilité de choisir de faire moins d’enfants.
Nous devrons cependant changer nos paradigmes de production. Le productivisme dont le crédo était de “produire toujours plus” devra être abandonné au profit du “produire mieux”, c’est à dire produire durable, produire utile.
Quand aux terres rares, ce n’est pas une fatalité. Les matériaux ayant des propriétés semi conducteur ne manquent pas. Certaines pistes de recherche comme le graphène ouvrent des pistes très prometteuses.
Même s’il est possible que certaines options (Certaines led par exemple) seront peut être abandonnées pour l’usage de masse, il est peu probable que l’humanité ait à se passer un jour du niveau minimal d’automatisme nécéssaire pour faire tourner un robot.
Le
23/01/2017 à
23h
04
Aloyse57 a écrit :
Quand la part de leur vote+celui de leurs héritiers sera inférieur à celui des bénéficiaires de leur spoliation.
Et n’oublions pas que ça ne fonctionnera qu’une seule fois (quelques années, disons 5 ans max). Après, les ainés dépenseront tout et peut-être même trop pour être certains de ne rien laisser à l’État. Et tant pis pour le transfert de charge sur les enfants, si ils n’ont plus rien. Pas si sûr que les enfants accepteront ça si gentiment, sans rien en retour à espérer, sinon le RUE.
Même s’ils dépensent une grande partie de l’argent, une part substantielle tombera dans les poches de l’état et de l’économie.
Mais il est probable que les vieux ne se douteront de rien parce qu’on s’arrangera pour taxer les héritages de manière indirecte. En France, on sait faire " />
Le
23/01/2017 à
22h
19
Aloyse57 a écrit :
Il suffit d’imposer à mort les successions pour récupérer une part des ces biens mal acquis (mal acquis d’après vous, puisque volé aux générations futures).
Pour ma part, je ne vois pas cela comme un vol, mais plutôt comme un déséquilibre résultant d’un mauvais calcul de nos “élites” sur les cotisations.
Il y a d’un côté une grosse accumulation de patrimoine… et de l’autre d’énormes déficits.
Il est facile de comprendre qu’il y a un rapport évident entre les deux.
Mais je crois que les enfants -les héritiers- en général ne sont pas d’accord.
C’est compréhensible.
Le problème, c’est qu’on a pas trop le choix.
Se priver d’un héritage, c’est possible.
Mais faire reposer les prestations sociales des vieux sur le faible nombre d’actif jeunes, ça ne l’est pas.
Donne le choix aux gens de savoir s’ils préfèrent abandonner leur héritage ou une part importante de leur salaire, tu verra que ça sera vite tranché.
La question n’est pas de savoir si on préemptera les héritages, mais quand.
Le
23/01/2017 à
21h
48
fred42 a écrit :
Merci de ce rappel. Il faut dire que même Hamon n’a pas été très bon pour dire qu’il récupérerait l’essentiel de ce revenu en impôt (chez ceux qui n’en n’ont pas besoin).
Et quand je vois la plupart des journalistes qui ne se renseignent pas lui tomber dessus à coup de 350 à 400 milliards d’euros, ça fait de la peine.
Oui, Hamon n’a pas du tout été bon sur ce coup la pour défendre le revenu citoyen.
Comme tu dit, ça fait vraiment de la peine de voir la presse colporter sans réfléchir un calcul digne d’un enfant de maternelle.
Ils n’ont visiblement même pas pris le temps de lire un simple résumé sur ce qu’est le revenu citoyen.
Le
23/01/2017 à
21h
36
Ricard a écrit :
…
Pourquoi JE devrais payer pour eux ? Ben parce qu’ils ont payé pour leurs parents, pardis.
Sauf que pour payer leurs retraites, il faudrait que les jeunes d’aujourd’hui payent 10 fois plus de cotisations qu’eux même n’en ont payé. Raisonnablement, les jeunes pourront jamais payer autant.
D’une façon ou d’une autre, il faudra piocher dans le patrimoine des baby boomers qui en ont énormément accumulé.
D’une façon évidente, ils n’ont pas payé suffisamment de cotisations retraite.
Le
23/01/2017 à
21h
27
Aloyse57 a écrit :
Quand je dis “cotise”, je veux dire “accumule des droits”. Je sais bien que c’est un système par répartition.
Au bout du compte, l’argent n’est pas sur le compte en banque quand la paie tombe, c’est pour ça que j’ai utilisé “cotise”.
Je comprends bien ce que tu dit.
Mais il faut réaliser qu’économiquement parlant, ces droits ne sont que théorique car ils ne sont pas fondés sur un schéma assuré.
Les générations passées ont eu un pouvoir d’achat exceptionnel par rapport à leurs parents. La vérité, c’est que les cotisations retraites ont certainement été sous évaluées pendant des décennies.
Le
23/01/2017 à
21h
16
domFreedom a écrit :
Le gouvernement actuel semble avoir fait son cheval de bataille la lutte contre l’évasion fiscale.
Evidemment si d’autres pays de l’espace européen ne jouent pas plus franc jeu, il y aura toujours une tentation de faire des montages fiscaux toujours à la limite de la légalité…
L’impôt sur le revenu est déjà progressif, ce n’est pas le plus injuste.
Faudrait peut-être revoir les modes de calculs des impôts locaux, et peut-être leur apporter une plus grande dose de proportionnalité par rapport aux revenus, ainsi qu’une actualisation des bases de calcul sur le foncier.
(Il n’est pas rare qu’un proprio, dans un immeuble défraichi, paie plus de taxe foncière qu’un autre dans un immeuble flambant neuf, sous prétexte que le calcul est basé sur l’état du bien 30 ans auparavant…)
Quant à la TVA, les différents partis de droite et de gauche, depuis des années, s’orienteraient plus volontiers vers une augmentation de ladite TVA, pour rediriger le surplus vers les cotisations sociales (TVA sociale).
Resterait à voir si les entreprises produisant français joueraient le jeu de la baisse des prix, amortissant pour le consommateur le surcout de TVA, et rendant possible une meilleure compétitivité desdits produits à l’exportation (prix HT).
C’est sûr que cela rendrait les produits d’importation plus chers, mais sans protectionnisme à la Trump…
La lutte contre l’évasion fiscale ne fonctionnera jamais.
Les montages utilisés par les multinationales pour soustraire la valeur à l’impôt sont tellement sophistiqués, juridiquement blindés, invérifiables (car domiciliés dans des pays qui ne jouent pas le jeu) et mettant en concurrence les lois différentes des pays que ça fait des années que les services fiscaux s’y cassent les dents…
Et ils continueront. D’autant que la lutte contre la fraude, ça nous coûte une fortune…
Le protectionnisme est le seul moyen de parvenir à quelque chose.
Et oui, les produits dans le futur deviendront plus chers. Quel que soit le scénario futur, c’est inéluctable.
Si les biens sont actuellement peu chers, c’est à cause du dumping social.
Réalisons qu’avoir des biens peu chers, mais pas de salaire pour se les payer, ça n’avance pas à grand chose…
Le
23/01/2017 à
21h
06
Aloyse57 a écrit :
Ce n’est pas parce qu’il s’est trainé dans les tranchées que ça lui donnait droit à quelque chose pour lequel il n’avait pas cotisé. Dans un sens, c’est la faute de sa génération si il s’est retrouvé dans la merde, non, ou devait-il haïr ses parents pour ça, tant qu’à faire ?
=>Je trolle, pour souligner l’abérration de cet argument : la souffrance est une justification à réparations, même si on a cherché sa douleur.
Je ne vois pas pourquoi les post-45 devraient cotiser 2x. Au nom de quoi ? Si on veut une retraite par capitalisation il faut le dire, et c’est votre génération qui doit le décider en votant pour ; et j’espère qu’à 33ans , vous avez déjà mis du cash de côté, parce qu’une fois votée, les jeunes qui vous suivent vous enverront paître pour le complément, au nom de la même argumentation que vous soutenez. Pour l’instant, c’est la répartition : on prend sur votre salaire de quoi payer les retraites des aînés, comme ça leur est arrivé.
En fait, je crois qu’on raisonne mal.
Dans nos pays, on produit assez pour que tout le monde ait largement de quoi vivre, y compris les vieux.
Le problème, c’est qu’on ne répartit pas équitablement d’une part.
D’autre part, on fait un mauvais raisonnement basé seulement sur l’argent sans prendre en compte la notion d’économie non marchande.
Prenons l’exemple concret d’un revenu citoyen qui permettrait à des enfants de s’occuper de leurs parents plutôt que de les mettre dans une coûteuse maison de retraite. C’est bel et bien une production de valeur.
Le
23/01/2017 à
21h
00
Aloyse57 a écrit :
La génération post-45 a la retraite, mais ils ont cotisé pour. Vous vouliez sans doute parler de la génération des années 1900 qui n’ont pas cotisé (vu que ça n’existait pas) mais y on eu droit à taux plein.
Mais pas du tout.
En France, on ne cotise pas pour soi, mais pour ceux qui précèdent.
Et entre temps, le rapport entre les nombre de cotisants et de bénéficiaires à complètement changé.
Des vieux qui sont nombreux et bien portants. De l’autre une jeunesse sans emploi.
Pas de cotisations, pas de retraite.
Le
23/01/2017 à
20h
49
Aloyse57 a écrit :
Depuis qu’on ne peut pas saisir un pays par huissier.
Et oui.
Cela dit, cela pose tout de même quelques inconvénients. Mais cela n’empêche pas un pays de survivre.
L’environnement est un soucis de pays riche, qui a le temps d’y penser au lieu de trimer.
Si les vieux vivent mieux que les jeunes, c’est parce qu’ils ont eu le temps d’accumuler. Et si les jeunes vivent moins bien, c’est parce que l’emploi se raréfie : quand les vieux sortent du marché du travail (par la retraite ou à grands coups de pieds dans le c*l=retraite incomplète à venir), ils ne sont plus remplacés en totalité. Que peut-on y faire à par faire moins d’enfants, c’est la solution la plus logique auquel il faudrait tendre.
A moins que dans votre esprit, l’avènement de l’ère informatique et sa propagation ahurissante, est la plus grande erreur de notre génération. Peut-être, un peu comme les vaccins et la paix.
Les politiques raisonnent toujours sur un vieux “logiciel” qui est devenu complètement obsolète.
Pour eux, il faut un maximum de libre échange, travailler un maximum d’heures et faire un maximum d’enfants.
Leurs mesures basées sur ces idées obsolètes aggravent progressivement la situation.
Le
23/01/2017 à
20h
33
Romaindu83 a écrit :
Me dire que la France peut encore dépenser sans compter sans craindre de foncer dans un mur est une foutaise, que tu ne ne me feras pas gober.
Ce n’est pas ce que j’ai dit.
Le problème, c’est que vous extrapolez des raisonnements intuitifs valables au “niveau individu” sur l’échelle d’un pays.
Ce que j’essaye de vous expliquer, c’est que les raisonnements sont différents.
La monnaie est une abstraction plus complexe que vous ne l’imaginez.
Les pouvoirs économique d’un état sont très différents de ceux d’un individu.
Depuis quand n’est-ce pas un souci si un Etat est un mauvais gestionnaire ?
Personne ne prétends que ce n’est pas un souci.
Mais pour autant, il faut se méfier des raisonnements simplistes.
Par exemple, si on virait la moitié des fonctionnaires, la plupart ne trouveraient pas de travail dans le contexte actuel. Le gain serait quasiment nul.
Et je maintiens mes propos : mes ainés n’ont jamais fais les efforts nécessaires pour que moi et les autres jeunes puissions vivre aussi bien qu’eux. Si il existe un si grand fossé entre les jeunes et les “vieux”, ce n’est pas pour rien. Les derniers donnent souvent des leçons aux premiers, alors qu’ils feraient mieux de se la fermer. Si les jeunes arrivaient à bien vivre grâce à nos ainés, cela se sauraient… Bilan environnemental, sociétal et économique catastrophiques parce que nos ainés ont vécu dans l’insouciance la plus totale.
C’est malheureusement vrai.
Le
23/01/2017 à
20h
07
picatrix a écrit :
ça s’appelle le protectionnisme ton truc.
Quand c’est trump qui le fait c’est pas bien, mais quand c’est nous c’est bien ?
Et qui a dit que le protectionnisme de Trump n’était pas bien ?
La dessus, il a 100% raison.
Réalisons que ça n’a pas de sens d’importer la plupart des produits pendant que ton pays croule sous le chômage.
Le
23/01/2017 à
19h
43
picatrix a écrit :
Bien évidemment les chinois, américains, allemands, britanniques, indiens etc … vont tous taxer eux aussi leurs robots, parce que sinon ce ne serait pas du jeu d’éliminer aussi facilement les entreprises françaises du marché international.
Du coup plein de boites françaises vont fermer, ce qui fera encore plus de chômeurs.
Donc il faudra augmenter la taxe sur les robots des entreprises encore vivantes pour payer le revenu de tous ces malheureux, ce qui mécaniquement fera encore augmenter les coûts d’entreprise.
Et quand la dernière entreprise aura fermée, on taxera quoi ?
Pour quelqu’un qui se prétend de gauche, vouloir taxer l’outil de travail, alors que c’est la richesse sans cause qu’il faudrait taxer me parait pour le moins primaire.
Tiens si tu veux des bots à taxer regardes du coté du trading haute fréquence, manque de bol aucun de leurs bots n’est situé en France. Mais curieusement aucun des sept candidats n’a prononcé un seul mot sur la taxe Tobin. Étrange pour des hommes (et femmes) prétendument de gauche.
Il y a un moyen d’obliger au payement d’une taxe, c’est de conditionner l’accès à ton marché.
T’a pas payé la taxe, ton produit est interdit de vente en France ou conditionné à une taxe d’entrée sur le territoire.
Il faudra peut être quitter l’Europe pour retrouver le droit de faire ce qui s’impose.
Le
23/01/2017 à
19h
34
ProFesseur Onizuka a écrit :
Non, l’argent c’est un flux qui doit circuler pour créer une “économie”, voir en ce moment la “richesse” des Français en… parpaings (immobilier) et une économie qui décline " />
Tout à fait.
Le problème, c’est que la mondialisation mène à une course à la compétitivité.
La course à la compétitivité mène à des politiques d’austérité et des baisse de salaire.
Ce qui mène à une baisse de la consommation.
La baisse de la consommation mène à la récession.
La récession mène à la faillite…
Le
23/01/2017 à
19h
19
Romaindu83 a écrit :
Au cours de la Veme République, c’est effectivement la droite qui aura été le plus au pouvoir. La raison est simple : les Français n’ont jamais été un peuple de gauche, malgré les grandes grèves qui ont bercé et bercent encore son histoire et malgré mai 68. Les 14 ans de Miterrand auront été une exception et les 5 années de Hollande n’auront existé que par le rejet de Nicolas Sarkozy.
Au regard du coût de la vie, vivre avec 750 euros par mois n’est pas la panacée. A peine vivote-t-on avec un tel revenu. Les charges incompressibles auront rapidement raison de ces 750 euros par mois. C’est donc très facile de dire que la France est un pays d’assistés lorsque l’on a la chance d’avoir un emploi. Et, je précise, un CDI 35 heures. Parce qu’un CDD ou un intérim est un emploi précaire et que tu ne peux pas dessiner ton avenir avec cela. Idem pour un CDI en dessous de 35 heures. Doucement, mais surement, nous nous dirigeons donc vers un pays où il faudra cumuler plusieurs boulots pour vivre décemment. Car le CDI 35 heures est devenu un Saint-Graal. Les employeurs, de plus en plus, trainent des pieds pour en proposer.
Le revenu universel à 750 euros est insuffisant. Car derrière le revenu universelle se cache la suppression de toutes les aides sociales existantes. C’est le principe même du revenu universel.
Malgré tout, nous ne sommes pas dans un pays libéral. Quand j’entends un Filoche ou un Mélenchon dire que nous vivons sous l’égide du libéralisme, je me marre. Nous sommes dans le pays le plus redistributeur au monde. Nous sommes dans un pays où les aides sociales se comptent par dizaines. Si c’est cela le libéralisme, il faut rapidement que je me replonge dans mes cours d’économie. Après, aussi redistributrice soit la France, il n’en reste pas moins qu’il existe une misère sociale. L’ignorer est avoir les yeux crevé. Mais, au risque de choquer, cette misère sociale est bien plus soigné en France que dans d’autres pays riches. Il vaut mieux être pauvre en France qu’au Royaume-Uni ou même en Allemagne, par exemple.
Contrairement aux conneries que l’on raconte, la France n’est pas du tout le pays ou l’on est le mieux loti quand on est pauvre.
Que le Royaume Uni ou l’Allemagne aient décidé d’aller vers la politique du pire n’est que le triste recommencement d’erreurs que ces pays ont déjà commis dans le passé. Avec les conséquences que l’on connait…
François Fillon ne propose absolument pas que nous entrions dans le libéralisme. Son programme est bien loin de ce qu’il se passe en Allemagne ou dans les pays anglo-saxon. Cependant, il veut alléger les charges sociales des entreprises pour leur permettre d’embaucher plus. Il souhaite également faire des économies concernant la Sécurité sociale (même si il a rétro-pédaler récemment). Il veut repousser également l’âge de départ à la retraite. Bref, Fillon veut alléger le social en France, qui coûte cher à l’Etat comme aux entreprises. Pour le coup, Fillon a réellement un programme de droite. C’est tout l’inverse de Benoît Hamon.
La droite veut démanteler progressivement la sécu pour aller vers un système privé.
Ce qu’ignorent les français, c’est que le système privé coûte globalement plus cher pour être moins bien soigné.
C’est facile à comprendre quand on sait que de multiples organismes privés, ça aboutit à multiplier les frais de gestion.
Cela diminue également la capacité de négociation face aux industriels du médicament. N’importe quel commercial vous expliquera que plus on négocie en volume, plus les coûts baissent…
Dans les pays ou la santé est privée, l’explosion des coûts n’est évitée que parce qu’une bonne partie de la population est privée de tout soin…
Une chose est certaine. Il faudra nécessairement faire des efforts, voir des sacrifices, pour réduire cette dette. Et si ce n’est pas fait aujourd’hui, cela devra se faire obligatoirement, mais dans la plus grande douleur. Nos ainés (j’ai 33 piges), en plus de nous laisser un bilan environnemental et social désastreux, nous laissent un bilan économique catastrophique. Si des efforts avaient été fait en amont, peut-être que les jeunes, dont je fais parti, auraient pu avoir la chance de vivre aussi bien qu’eux. Ma génération et celles qui me succèderont vivront moins bien que nos anciens. Voilà qui est motivant pour le reste de ma vie…..
C’est une erreur fréquemment commise par les profanes en économie.
D’abord, sachez qu’une dette de cette ampleur (et en augmentation constante) n’est tout simplement pas remboursable.
L’histoire montre que de telles dettes finissent toujours par être négociées ou absorbées à coup de planche à billet.
Le
23/01/2017 à
19h
05
ProFesseur Onizuka a écrit :
…sans quoi ils feront la révolution… c’est plutôt ça qui les inquiète, car personne ne se laisse crever de faim alors qu’on est en surproduction alimentaire à fond les ballons " />
C’est vraiment un monde qui marche sur la tête.
On détruit même des stocks de nourriture pour maintenir les cours.
Le
23/01/2017 à
18h
52
jinge a écrit :
Ah ben c les entreprises télécom qui vont être contentes, notamment Orange, TDF etc.
Par contre les autoroutes, dans la mesure où c’est des concessions, c’est pas du capital?
Bon de toutes façons on s’en fout, aucun des deux ne sera président, alors autant tuer les robots ^^
Je pense que Hamon ne taxera pas les robots.
Il a bien fait comprendre que tout cela doit être encore travaillé. Et il comprendra vite que ce n’est pas la meilleure voie.
Le
23/01/2017 à
18h
48
jul a écrit :
La gauche (le PS) qui aide les pauvres, c’est fini mon ami. Et ça fait un bail (là, ils ont tellement fait une politique de droite qu’ils font quelques cadeaux, histoire d’embrouiller les faibles d’esprit). D’ailleurs la gauche n’est que très rarement au pouvoir, on peut par conséquent critiquer l’état du pays par des gouvernements successifs de droite.
Sinon, essayez de vivre avec 750 euros si on enlève les autres aides (APL, CMU…), revenez en parler ensuite. Tu paies ton loyer au début du mois, t’en es déjà à bouffer des pâtes premier prix. Tu veux bosser ? Il n’y a pas de boulot (et il y en aura toujours moins). On te propose un mi-temps éclaté merdique payé une misère, oh mince, tu n’as pas les moyens de te payer une vieille bagnole pourrie et l’entretenir pour aller bosser.
Et finalement, la droite va passer, Fillon va nous défoncer (les pauvres j’entends, y compris les entrepreneurs pauvres - coucou le RSI) dans toutes les positions. Le PS prendra son air faussement outré.
Pour terminer, les promesses de campagnes ne sont jamais tenues, donc autant pisser dans un violon. Je ne sais même pas pourquoi j’écris ça, désolé.
Le revenu citoyen n’implique pas automatiquement la suppression de la CMU.
Il faut se servir du revenu citoyen comme d’une variable d’ajustement : il doit augmenter jusqu’au moment ou l’on trouvera du travail facilement.
Il doit par ailleurs être calculé pour pouvoir loger et se nourrir d’une manière décente.
Les APL furent une énorme erreur économique qui a nourri la spéculation immobilière et l’inflation des loyers.
Plutôt que de subventionner le privé, il faut construire des HLM.
A écouter de nombreux discours sur les emplois vacants ou non pourvus, la France serait assise sur d’immenses gisements de travail salarié. De tels propos alimentent une proposition politique : renforcer le contrôle des chômeurs pour que l’aiguillon de la contrainte les tire de l’apathie. Pourtant, les chiffres mis en avant ne signifient pas ce que l’on cherche à leur faire dire, bien au contraire.[…]”
Il suffit de lire Germinal d’Emile Zola pour comprendre que la rhétorique des classes aisées sur la (soit disant) fainéantise des classes populaires ne date pas d’hier.
Des livres ont été écrits sur la réalité des soit disant emplois non pourvus. Il s’agit pour la plus grande part d’annonces fantaisistes, demandes de profils irréalistes, d’emplois déjà pourvus avec omission de signalement, d’annonces comptées plusieurs fois.
En attendant des études de montrent que le chômage tuerait au moins 20000 personnes par an rien qu’en France. Sur 10 ans, ça fait 200000 personnes.
A l’échelle mondiale, le chômage est un vrai génocide…
Le
23/01/2017 à
17h
43
Sarig a écrit :
Certes le coût serait de 350 à 400 milliards d’euros mais tout le monde oublie que pleins d’autre aides vont disparaître, il n’y aura pas juste une augmentation des impôts. Il n’est pas encore très clair sur le sujet donc c’est impossible d’estimé le vrai coût de sa mesure.
Archi Faux.
Ceux qui font circuler ces chiffres n’ont de toute évidence rien compris au principe du revenu citoyen.
Les opposants a cette mesure font exprès de confondre les sommes versées avec le coût, ce qui est d’une mauvais foi hallucinante.
Sachez que dans le principe, le revenu citoyen est repris par l’impôt à tout ceux qui ont un salaire. Donc la plupart des sommes versées reviennent directement dans les caisses.
Ensuite, la plupart des gens ont droit à des aides : Le revenu citoyen ne fera que s’y substituer en permettant une économie substantielle et une simplification des procédures.
Au final, le surcoût devrait se révéler relativement maitrisé par rapport au RSA actuel.
Faux! Chez nous on a un truc qu’on appelle HLM…chose totalement inexistante au Brésil ou les pauvres doivent se débrouiller comme ils peuvent en récoltant des cartons ou du plastic où leur vie n’a aucune valeur, où l’éducation va leur être de nouveau refusé (les lois sont sorties depuis la reprise en main du pays par la droite…qui entre nous ferait passer marine pour une bisounours) et où les indiens sont condamnés à crever tranquillement dormez tranquille le 1% des brésiliens contrôlant toute l’économie. Ma belle sœur t’en parlerait mieux que moi mais le dialogue devra se faire en portugais
Pour les favélas on parle qd même de 70% de la population!!!!!
Les HLM, tu peux attendre des années pour en avoir un. Et encore, si tu as un travail et un salaire.
Pour les SDF, c’est pas aussi simple.
Le
27/01/2017 à
22h
54
lanoux a écrit :
À l’heure d’aujourd’hui fout les pieds en Russie et tu verras une foule de gens employé par le gouvernement pour faire des boulots remplacé par des guichets automatiques ici. Meme en bas de chaque Escalator. Et marrant aussi actuellement je suis au Brésil, et qd on parle de qualité de vie et d’impact écologistes tu as juste à faire un saut ds n’importe quel supermarché et tu verras toute la bouffe dispo possédant un joli logo tout rond avec un T dedans…pour transgénique.
Sans parler de la très jolie vu que j’ai sur 3 favélas depuis le balcon de ma belle-sœur. Étirage des gouvernements de droites d’avant 85 et qui va repartir de plus belle après le coup d’état contre Dilma. Si c’est ça notre future non merci! Surtout que chez nous on se les pelle et que c’est bien connu la misère est moins terrible au soleil
Connaissez vous la vraie raison pour laquelle les bidonvilles n’existent pas ici ?
Et bien c’est parce que dans notre beau “pays des droits de l’homme”, on détruit illico-presto tous les abri de fortune construits par les sans abri.
Dans notre obsession de préserver les apparences, nous oublions qu’il est bien plus atroce de mourir sur un trottoir que de vivre dans un bidonville.
Le
27/01/2017 à
20h
40
qmarlats a écrit :
“allez peut être le revenu universel c’est un truc contre le travail” : et ça pour moi c’est une très bonne chose. " /> Parce que si on est plus obligé de travailler pour pouvoir vivre (et quand je dis “travailler”, je parle de ce qui est reconnu aujourd’hui comme un “travail”), ça veut dire que, par exemple, un musicien pourrait vivre en ne faisant que de la musique. Un jeune parent pourrait rester à la maison pour s’occuper de son enfant le temps qu’il veut. Un entrepreneur pourrait créer son projet sans finir SDF. Toutes ces choses devraient être reconnues comme un travail. Malheureusement, dans la société de jaloux dans laquelle on vit, les gens ne veulent pas payer pour permettre aux autre de faire des choses qu’ils aiment, parce que eux ne considèrent pas ça comme un travaille méritant salaire.
…
C’est clair.
D’ailleurs, la droite peut toujours hurler à l’utopie, ils n’apportent absolument aucune solution crédible.
Le revenu citoyen est bien la seule solution réelle et concrète pour mettre fin à la précarité actuelle.
Je suis d’ailleurs outré de voir la presse laisser la droite colporter le mensonge des 400 milliards d’euros pour faire peur aux gens. Ce calcul est de tout évidence complètement faux et naïf puisqu’il correspond grosso modo à la multiplication de la population française par le montant du revenu citoyen. Sauf qu’il suffit de lire Wikipedia pour comprendre que le principe du revenu citoyen, c’est qu’il est compensé par des mécanismes d’imposition qui le reprennent à tout ceux qui n’en ont pas le besoin.
Bref, n’oubliez pas d’aller voter pour hammon. Méfiez vous de la propagande qui voudrait faire croire que sa victoire serait déjà assurée.
“Plus fiable” et “mise à jour régulière”. Là c’est pas juste du tout.
Il existe du libre qui sont mis à jour tous les jours et du propriétaire qui sont jamais mis à jour malgré des bugs (et inversement).
Et la fiabilité de vient pas du titre propriétaire ou libre. Je vois suffisamment d’outils acheté dans ma boite où il existe des bugs et que les sociétés refusent de corriger le problème.
Rien que sur l’OS de Microsoft est à la traine dans les mises à jour : dire qu’il faut attendre le premier mardi du mois pour avoir ces correctifs, génial ! Alors que sous GNU/Linux les dépôts sont mis à jour en temps et en heures. Un problème et si la correction existe, elle est déployée rapidement et n’attend pas un jour défini pour l’envoyé.
C’est en effet plutôt réactif pour les correctifs de sécurité.
Mais il faut dire ce qui est, pour les mises à jour fonctionnelles et les nouveautés, l’articulation entre les éditeurs de logiciels et les dépôts des distributions Linux sont encore très loin de l’optimal.
Le
27/01/2017 à
21h
46
nirominex a écrit :
En quoi ai - je tord ? N’importe quelle entreprise ou particulier choisira du propriétaire parce que c’est plus fiable et mis à jour régulièrement par des gens dans des bureaux et pas par trois pécores au fond d’un garage. Normal quoi " />
Bel étalage d’idées reçues.
Si vous aviez testé Linux, vous sauriez que contrairement à Windows, les distributions Linux mettent à jour automatiquement tous les logiciels de votre ordinateur. " />
Au passage, Linux est utilisé majoritairement dans le domaine professionnel qui l’a justement adopté pour son excellente fiabilité.
Et pour finir, le garage, c’est une légende.
Les logiciels libres sont réalisés majoritairement par des entreprises et par des programmeurs qui travaillent dans des bureaux.
J’ai eu des produits de la marque Razer, dont je me suis séparé, le gaming ne devenant plus qu’occasionnel chez moi. C’est à dire que je suis devenu un joueur, plus un hardcore gamer. Bref, j’ai utilisé certains de leurs produits et je n’ai jamais été déçu. La conception des produits de Razer répondent parfaitement aux besoins des gamers les plus extrêmes. Je ne vais pas m’étendre : je dirais simplement que, certes, on paye une marque, mais que derrière, la qualité est toujours au rendez-vous, et bien plus.
Il ne faut pas oublier non plus qu’il est question ici de clavier mécanique. J’invite tout le monde à aller voir les tarifs des claviers mécaniques. Si on trouve des claviers mécaniques à environ une centaine d’euros, leurs prix oscillent la plupart du temps entre 150 et 200 euros.
On trouve de bons claviers mécaniques à moins de 80€. Et encore, je parle de claviers avec des switch Cherry MX et n-key rollover. " />
Donc oui, à 200€, je trouve ça un peu cher.
Le
26/01/2017 à
21h
49
Totalement d’accord, le clavier mécanique, ça n’a rien à voir question toucher.
D’autant que les claviers à membrane avec un toucher correct, ça se fait de plus en plus rare. Il en existe encore, mais vous ne les trouverez que très difficilement dans le commerce (comprendre : faut commander à l’étranger).
Comme tu le dit, malheureusement beaucoup de gens se sont habitués aux claviers de portables à faible course malgré le fait que ça ne soit pas l’idéal pour la frappe.
La encore, je “plussoie” ton conseil concernant l’attention à apporter au type de switch. Pour ma part, je suis un fervent adepte des linéaires “black”. Mais il faut reconnaître que les brown sont plus consensuels, mais avec moins de personnalité.
Dans la même marque, il existe un autre boitier a peine plus cher, le SilentBase 800 qui me parait bien mieux que le 600.
Plus grand, il dispose de caissons d’aspiration en haut et en bas qui permettent de se servir effectivement de la ventilation haute sans exposer l’ordinateur à la poussière.
Et tu peux aussi constater par toi même que beaucoup de juifs sont banquiers, que beaucoup d’arabes sont musulmans. Ce que ça prouve ? La majorité, j’ai un peu l’impression que personne ne s’en occupe.
M’enfin bon, ce catholique=riche, ça sonne vachement comme un juif=riche d’avant…
Il est évident que les juifs sont très loin d’être tous des banquiers et que les arabes sont loin d’être tous musulmans.
Par contre, le fait est que sauf erreur de ma part, la majorité des politiciens qui sont ouvertement catholiques sont plutôt dans les partis de droite ou de centre droit.
D’ailleurs, je ne comprends pas ce que tu dit, puisque plus loin, tu évoque toi même les raisons de cet état de fait.
Si le catholicisme s’est rallié à la « droite », c’est que la « gauche » était violemment anticléricale,
Effectivement, la gauche marxiste est historiquement anticléricale. Et cela explique effectivement que la religion y soit moins présente.
Le paradoxe, c’est que la gauche est plus souvent porteuse d’idéologies progressistes et qui défendent les classes populaires alors que la droite est plutôt conservatrice et porteuse d’idées qui défendent les classes aisées.
Pour ma part, je vois un illogisme avec les idées qu’on enseigne aux catholiques.
ou leurs les positions sur la famille et la vie, plus actuellement.
En même temps, il faut accepter le fait que la politique d’un pays laïque ne peut logiquement pas refléter les préceptes d’une seule religion.
Et cela n’a pas de sens de vouloir que la loi impose une vision issue de préceptes religieux aux athées (ou aux croyants d’autres religions).
Mais quand des gens s’en occupent, ce sont souvent des associations religieuses.
Selon Robert J. Vitillo, plus du quart des gens traités contre le VIH/Sida se font par des institutions liées au catholicisme.
Il est difficile de nier le rôle de l’Église dans l’éducation.
Concernant le Handicap, je participe à ABO (à bras ouverts ), encore une fois d’inspiration catholique. Quand je vois des handicapés, ils sont aussi soignés par l’Arche, ou des communautés religieuses par-ci par-là.
Pour les pauvres, oxfam c’est protestant, emmaüs catholique.
(bien entendu, je parle toujours de l’inspiration, les associations sont ouvertes à d’autres religions, et parfois se laïcisent ). Je suis d’accord que c’est un grand classique des « classes bourgeoises » (je ne crois pas à cette notion de classe ), mais quant à dire que c’est en détournant un discours religieux…
Cela a peut-être été le cas dans les sociétés où religion et politique sont mêlées (tachtichjarige oorlog, notamment), mais dans les sociétés sécularisées, je ne l’ai pas vue. Balkany (nonon, il n’est pas chrétien) :  YouTubequi chie à la gueule des pauvres, il la trouve où son inspiration religieuse ?
Loin de moi l’idée de nier le rôle positif des associations catholiques dans ce domaine.
Mais le but de mon propos, c’est de faire remarquer que le traitement de la pauvreté de masse ne peut pas se régler juste avec de l’associatif.
Je suis d’accord que c’est un grand classique des « classes bourgeoises » (je ne crois pas à cette notion de classe ), mais quant à dire que c’est en détournant un discours religieux…
Considérons l’image du bon père de famille pauvre et travailleur qui a été fortement véhiculée par la culture religieuse ( Voir Matthieu 19:24 et Genese 3:17) au point d’imprégner profondément notre culture sociétale.
C’est un bon exemple de culture populaire qui plait énormément aux capitalistes.
Je sais que certains catholiques défendent cette idée. Mais il y a des milieux conservateurs qui ne la partagent pas.
Cela dit, il faut reconnaître que le revenu citoyen est beaucoup plus en phase avec les idées catholiques qu’avec la vision protestante.
Hélas, oui.
Mère Teresa aurait dit « Nous sentons bien nous-mêmes que ce que nous faisons n’est rien de plus qu’une goutte d’eau dans l’océan. Mais si cette goutte d’eau n’était pas dans l’océan, elle manquerait ».
Depuis l’inquisition, ils ont arrêté de se mêler directement de la relation entre un croyant et Dieu, donc on ne tape sur personne en particulier (même Castro, que le pape Jean-Paul II était allé voir).
Mais des condamnations globales, il y en a, il faut les écouter
condamnation récurrente de la corruption, demande de solidarité, denier du culte, demande de payer honnêtement ses impôts. Il y a régulièrement à la prière universelle des prières pour les dirigeants.
L’actualité montre que l’église sait monter au créneau pour défendre certaines de ses idées.
J’aimerais bien voir les catholiques manifester contre la pauvreté et la misère comme ils savent le faire pour certains autres sujets.
Le
20/01/2017 à
19h
03
tpeg5stan a écrit :
euh…
La première réponse quand tu parles de donner des sous à tout le monde c’est
-c’est un truc de rouge/soviet/communiste
-ça créée des assistés
Dans les deux cas, c’est un argument plus capitalisme qu’autre chose. Sachant que derrière, le but est d’avoir des employés pauvres qui se battent pour avoir un job sous-payé,
Un argument qui revient beaucoup plus souvent, c’est “ils ne veulent pas travailler”.
La justification de la misère par le discours moralisateur sur le vice de la paresse est un grand classique des classes bourgeoises et capitalistes qui détournent le discours religieux à leur profit.
Zola évoquait déjà de ce discours dans Germinal.
je ne vois pas en quoi c’est l’Église qui embête son monde.
Attention, je n’ai jamais rien dit d’aussi caricatural.
Soyons plus concret : tu peux constater par toi même dans quel camp se trouvent les élus qui se disent croyants.
Qui parmi eux est pour l’instauration d’un revenu citoyen ?
La vérité c’est qu’ils sont quasiment tous dans le camp de ceux qui n’ont que le mot travail à la bouche et qui fustigent ce qu’ils nomment “ l’assistanat “.
Peut être ne connait tu pas l’interprétation que certains croyants peuvent faire de Genese 3:17.
Je t’assure que l’Église n’agit pas « à la marge » : nombre d’écoles confessionnelles, dans certains pays des hôpitaux, aide aux handicapés,…
L’église s’occuperait t’elle de la majorité des SDF et des handicapés ? Ce n’est visiblement pas le cas.
Attention, je ne jette pas la pierre à l’église. Ce qu’ils font avec leurs modestes moyens est très louable.
Mais la réalité c’est que l’impact est malheureusement marginal par rapport a l’immensité de la pauvreté actuelle.
Je t’invite à regarder ce qu’est la doctrine sociale de l’église là-dessus : destination universelle des biens, principe de subsidiarité, principe de solidarité… voire même lire : 1993 : Face au chômage, changer le travail des évêques de FranceJe pense que tu te trompes d’ennemi entre le capitalisme sans moral et l’Église
Soit tout ce qu’on enseigne aux croyants au catéchisme.
Mais comment expliquer que l’église ne fustige pas publiquement les politiques actuelles et particulièrement les positions peu solidaires des élus qui se disent croyants ?
Je soupçonne que l’église ne s’oppose pas aux états en vertue de certaines interprétations de Romains 13:1.
Le
19/01/2017 à
21h
27
tpeg5stan a écrit :
…
Et je trouve au contraire que l’Église catholique fait beaucoup pour les plus démunis (bon en même temps, c’est un peu son fonds de commerce )
L’église catholique peut aider quelques personnes à la marge, mais cela fait bien longtemps qu’elle ne peut plus rien face aux millions d’exclus que comptent notre pays. Elle n’en a pas les moyens. Et du reste, ce n’est pas son rôle de se substituer aux devoirs des états.
La ou l’église pourrait exercer une influence bénéfique, c’est de faire évoluer les mentalités sur le travail. Une bonne partie des conservatismes qui empêchent la société d’avancer viennent de ces milieux catholiques conservateurs qui ont une influence considérable.
Le
19/01/2017 à
19h
22
tpeg5stan a écrit :
Lol
Je comprendrais en Irlande du Nord, aux Philippines ou en Pologne, mais en France, je ne crois pas non.
L’influence capitaliste est peut-être 100 fois plus puissante que l’influence religieuse. Le déni de réalité n’est pas l’apanage de la droite, c’est même plutôt une constante en politique
Et je trouve au contraire que l’Église catholique fait beaucoup pour les plus démunis (bon en même temps, c’est un peu son fonds de commerce )
L’influence de la religion dans la politique française est beaucoup plus forte que beaucoup l’imaginent. Il faut connaitre certains milieux pour le comprendre.
La différence avec d’autres nations, c’est le principe de laïcité qui fait que la religion se montre plus discrète. On ne s’affiche pas religieux en France, mais ça n’empêche pas de l’être.
Mais certains arguments avancés sur des débats de société ne trompent pas….
Le
18/01/2017 à
17h
56
tpeg5stan a écrit :
Oui.
Mais je pensais au point de vue moral et religieux du truc, pas à une personne/stéréotype en particulier.
Notamment l’Église qui insiste sur la sanctification du travail, ce qui marche moins bien s’il n’y a pas de travail…
Oui, je te confirme qu’il y a un point de vue religieux qui est hostile au “non travail”.
Quand on sait que beaucoup d’hommes politiques de droite sont religieux, on peut comprendre les vraies raisons de leur refus d’accepter les réalités de l’ère post travail.
Le problème, c’est que le déni de réalité de ces personnes cause un vrai préjudice à notre nation.
Le
18/01/2017 à
17h
48
ActionFighter a écrit :
Tu connais vraiment des gens qui restent à rien foutre toute leur vie ? Personnellement, je n’en connais pas. Je connais des gens qui ne font rien pendant quelques temps non pas par envie, mais par peur de l’échec dans un monde du travail sous pression.
Quand j’était jeune, je me souviens d’un ami dont l’entreprise qui l’employait n’avait pas de travail à lui confier mais l’obligeait à venir à son poste.
Il me racontait le calvaire qu’il vivait à tenter d’occuper ses journées. Il a d’ailleurs fini par démissionner.
Je pense sincèrement que ceux qui pensent que le “farniente” c’est le paradis n’ont jamais essayé.
Mais il existera quantité d’activités bénévoles intéressantes et utiles pour occuper sa vie dans l’ère “post travail” qui arrive.
Le
18/01/2017 à
17h
40
Olbatar a écrit :
Toi, pendant que tu regarde tes usines a la télé moi j’y bossait, si tu veut vraiment te rendre compte de la réalité, arrête regarder la télé et va te forger ta propre opinion.
L’erreur c’est de penser que tu seras le seul à travailler et à connaitre la question.
Dans la vie, il faut plusieurs décennies de travail pour avoir une vision globale affranchie des biais causés par les réalités de chaque poste.
Pour comprendre, je prendrait l’exemple d’un réparateur d’aspirateurs. Par définition, il ne voit que des aspirateurs qui tombent en panne. Ceux dont l’aspirateur est très fiable ne l’appellent jamais.
Dans la pratique, la fiabilité des automatismes peut varier dans des proportion extrêmement importantes selon le choix des composants et des machines, mais également de la qualité de leur mise en oeuvre et de leur entretien.
Réalise d’ailleurs que ton raisonnement se heurte à la réalité : l’automatisation représente un investissement très important qui ne pourrait pas être rentabilisé s’il ne supprimait pas un nombre important de salariés.
Les directeurs financiers ne sont pas des idiots, ils décident sur la base d’études. Si les multinationales qui ont accès aux salariés les moins chers de la planète se mettent aujourd’hui à robotiser en masse. S’ils remplacent des hommes qui ne coûtent quasiment rien par de coûteux robots, c’est forcément qu’il y a un retour sur investissement énorme, donc un nombre d’emplois supprimés colossal et un gain de qualité sensible.
Mais le mieux pour comprendre, c’est encore de vivre l’automatisation et constater le gain colossal de temps homme et de qualité de fabrication sur des choses aussi simple que la découpe d’un matériau, le perçage d’un trou ou la manutention des pièces.
Le
17/01/2017 à
18h
13
tpeg5stan a écrit :
On se calme, c’est les emplois qui ont été supprimés, pas les personnes " />
Ce n’est pas aussi sûr.
Selon des études, 10000 à 20000 personnes décéderaient chaque année des conséquences du chômage, rien qu’en France.
A l’échelle mondiale, nous sommes bien face à un génocide qui ne dit pas son nom.
Et cela sans compter la réalité que l’on ne dit pas : les personnes en situation précaire pendant de très longues périodes passent manifestement à côté de leur vie.
Le gnome-system-monitor (qui au passage consomme énormément en CPU lui aussi) mais à priori, Gnome Shell qui bouffe 800Mo, c’est normal. C’est “normal” de devoir de temps en temps le relancer via “alt+f2” puis “r”. A priori, il y a aussi (et encore) de gros problème de fuite mémoire (j’ai subis ça dans le passé, mais j’ai trouvé que ça s’était bien calmé, mais je suis plus dérangé par les plantages/redémarrage de gnome récurant avec parfois freeze total de l’ordinateur). Mais bon, comme je l’avais lu il y a quelques années sur un forum Linux, ce n’est pas pour rien que le logo de gnome, c’est un pied, parce que c’est codé avec.
Mon avis personnel : Ca se voit que tout ces gars la n’ont pas appris à coder sur un 8 bits.
Pour ma part, je prône le retour à des bureaux plus simples, plus rapides et plus légers.
Le
17/01/2017 à
18h
25
tazvld a écrit :
…
Je parlent des utilitaires installé avec les drivers (par extension, on a tendance à appeler ces utilitaires “les drivers”). Mais bon, en terme de CPU, tout ces process ne prennent rien, c’est 1-2% grand max (moins de 1% à ce que je vois). Firefox, juste en étant allumé à lui seul prend représente pratiquement toutes la consommation avec entre 1 à 3% du processeur.
…
Le problème n’est pas qu’une question de pourcentage.
Un programme qui consomme 2% de la puissance CPU globale mais qui consomme ces 2% par “à coups” peut causer du “stuttering” bien visible. Il faut réaliser que 2% de la puissance CPU sur une seconde, ça représente un temps supérieur à celui d’une trame.
Un jeu vidéo est une application temps réel. La régularité est primordiale. C’est encore plus vrai avec la réalité virtuelle…
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Je ne comprendrait jamais pourquoi certains achètent des consoles.
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Totalement d’accord, le clavier mécanique, ça n’a rien à voir question toucher.
D’autant que les claviers à membrane avec un toucher correct, ça se fait de plus en plus rare. Il en existe encore, mais vous ne les trouverez que très difficilement dans le commerce (comprendre : faut commander à l’étranger).
Comme tu le dit, malheureusement beaucoup de gens se sont habitués aux claviers de portables à faible course malgré le fait que ça ne soit pas l’idéal pour la frappe.
La encore, je “plussoie” ton conseil concernant l’attention à apporter au type de switch. Pour ma part, je suis un fervent adepte des linéaires “black”. Mais il faut reconnaître que les brown sont plus consensuels, mais avec moins de personnalité.
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