Ah les internets. Tu parles du droit à l’oubli, ça finit sur l’utilité de la sécurité sociale. Sans parler de la mauvaise foi. J’savais même pas que j’avais un compte ici depuis 2006 (ahah ce mail en wanadoo), retournons à notre habituel “j’me contente de lire les articles”.
Le
13/05/2014 à
07h
43
Et Mosley n’a rien réussi du tout, il y a encore des images dans la première page… Et bon, la 1ère page de liens web “son combat pour le droit à l’oublie”, ah ben ouais on va oublier là :p
Le
13/05/2014 à
07h
41
Dr.Wily a écrit :
C’est pour ça que je trouve cette polémique du droit à l’oublie assez stérile. Je pense que c’est à chacun de faire attention a ce qu’il publie sur le Web ou d’autres réseaux.
ça, je suis totalement d’accord :) Mais je parle surtout de ce qu’on ne contrôle pas. Lis mes 3 long posts précédents pour comprendre mon point de vue.
Dr.Wily a écrit :
Par ce biais, on empêche le public d’accéder à l’information. Ça c’est pas la joie je trouve.
La même, lis mes posts ;)
Cyrilleberger ci-dessus saisi mieux ce dont je parle. Et encore:
cyrilleberger a écrit :
Au moyen-âge, on clouait les criminels au pilori pour que tout le monde sache, et après, le criminel était banni.
Il était banni dans sa ville, de son village. Il lui “suffisait” de bouger de quelques centaines de km, d’attendre quelques années, pour que ça soit oublié.
Le
12/05/2014 à
23h
57
Et pour me rerecompléter: même si personnellement, dans mon histoire, même si je m’estime à 100% coupable, il y a des faits éludés par des connards de journaleux qui peuvent “expliquer”, “effacer”, “adoucir” (je n’arrive pas à trouver un foutu terme connu…) le truc, pour d’autres gens condamnés, il n’y en a pas du tout. Et là c’est encore pire pour eux.
Mais est-ce pour autant quelque chose de normal de pouvoir accéder à ces informations aussi facilement ? Qu’on doive s’expliquer tous les 3 mois sur ça ? Que comme je disais, et pour moi c’est très important, ça n’influence pas de futurs recruteurs ?
Certains métiers exigent un extrait de casier judiciaire. Pas tous. Maintenant c’est la fête du slip, plus besoin de demander, tout est là. En clair, il faut maintenant se fier à l’intelligence d’autrui, capable de faire la part des choses, se dire “il a peut être changé”.
Mais je sais bien comment sont les humains.
Le
12/05/2014 à
23h
40
Et pour me compléter: c’est littéralement impossible d’effacer toute trace à moins de balancer un EMP sur la planète entière. Mais la facilité d’accès reste un véritable problème. Et vu tes réponses, t’as vraiment pas l’air de le saisir.
Car c’est probablement un raccourci, mais j’ai beau te relire, tu donnes vraiment la sensation qu’il vaudrait mieux ne rien faire, vu que de tt façon, strobienlinternetlibre.
Le
12/05/2014 à
23h
27
Est-ce que j’ai proposé une solution claire net et précise, que j’ai mis une barre et proposé un encadrement juridique précis ? Non, si ce n’est en faisant des conclusions hâtive de quelques un de mes mots. J’ai souligné une évidence, que la facilité de trouver une information n’a rien à voir entre ce que tu disais et Google. Je n’ai pas les réponses aux questions que tu poses, mais ta façon de répondre est légèrement pédante.
J’suis assez bien placé pour savoir que les journalistes se doivent de remplir leurs journaux de vide, surtout les trucs régionaux, qu’ils peuvent parler d’affaires, comme en éluder d’autres tout à fait similaires. Qu’ils peuvent faire des tournures de phrases de merde, oublier d’être précis dans les faits, jouer sur les sentiments, en désignant de facto un coupable, sans chercher un seul instant à comprendre ce qu’il s’est passé.
Les gens intelligents auront le courage de lire tous les articles, car , heureusement, un journaliste a eu l’intelligence de parler des faits en entier (ou presque). Avant, pour une affaire comme la mienne, il aurait fallu parcourir les archives des journaux. Demander un extrait de casier judiciaire. Ça aurait été un travail volontaire, dans un but bien précis, celui de découvrir mon passé.
Si tu ne comprends pas, que même dans 40 ans, alors que cette affaire a déjà 8 ans, en un clin d’œil, en un clin de Google Glass on trouve ça sur ma gueule, qu’un recruteur de merde peut me foutre sur une pile plutôt qu’une autre, ouais ça me dérange, que ça te fait encore mettre des smiley “keskidit”…
Je le répète, je n’ai pas la solution. Et c’est probablement pas toi avec tes question digne de Captain Obvious qui va nous l’apporter.
Le
12/05/2014 à
18h
01
Dr.Wily a écrit :
C’est sur que si ça fait jurisprudence peut être que… mais pour l’instant il y a tout un tas de sociétés dont le métier est d’effacer vos traces… donc bon, c’est pas comme s’il y avait un vide totale en la matière. Certes c’est pas pour les plus friqués " />
Elles n’effacent rien, elles créent de nouveaux contenus.
atomusk a écrit :
Donc c’est pas grave que si tu vas sur le site du journal, tu puisses toujours retrouver l’article ?
Il y a une différence entre taper un nom sur Google, et aller se taper les sites de chaque journaux locaux.
Mais ça, on ne le comprends que lorsqu’on est concerné.
7 commentaires
Existe-t-il un droit à l’oubli contre le moteur Google ?
12/05/2014
Le 13/05/2014 à 17h 21
Ah les internets. Tu parles du droit à l’oubli, ça finit sur l’utilité de la sécurité sociale. Sans parler de la mauvaise foi. J’savais même pas que j’avais un compte ici depuis 2006 (ahah ce mail en wanadoo), retournons à notre habituel “j’me contente de lire les articles”.
Le 13/05/2014 à 07h 43
Et Mosley n’a rien réussi du tout, il y a encore des images dans la première page… Et bon, la 1ère page de liens web “son combat pour le droit à l’oublie”, ah ben ouais on va oublier là :p
Le 13/05/2014 à 07h 41
Le 12/05/2014 à 23h 57
Et pour me rerecompléter: même si personnellement, dans mon histoire, même si je m’estime à 100% coupable, il y a des faits éludés par des connards de journaleux qui peuvent “expliquer”, “effacer”, “adoucir” (je n’arrive pas à trouver un foutu terme connu…) le truc, pour d’autres gens condamnés, il n’y en a pas du tout. Et là c’est encore pire pour eux.
Mais est-ce pour autant quelque chose de normal de pouvoir accéder à ces informations aussi facilement ? Qu’on doive s’expliquer tous les 3 mois sur ça ? Que comme je disais, et pour moi c’est très important, ça n’influence pas de futurs recruteurs ?
Certains métiers exigent un extrait de casier judiciaire. Pas tous. Maintenant c’est la fête du slip, plus besoin de demander, tout est là. En clair, il faut maintenant se fier à l’intelligence d’autrui, capable de faire la part des choses, se dire “il a peut être changé”.
Mais je sais bien comment sont les humains.
Le 12/05/2014 à 23h 40
Et pour me compléter: c’est littéralement impossible d’effacer toute trace à moins de balancer un EMP sur la planète entière. Mais la facilité d’accès reste un véritable problème. Et vu tes réponses, t’as vraiment pas l’air de le saisir.
Car c’est probablement un raccourci, mais j’ai beau te relire, tu donnes vraiment la sensation qu’il vaudrait mieux ne rien faire, vu que de tt façon, strobienlinternetlibre.
Le 12/05/2014 à 23h 27
Est-ce que j’ai proposé une solution claire net et précise, que j’ai mis une barre et proposé un encadrement juridique précis ? Non, si ce n’est en faisant des conclusions hâtive de quelques un de mes mots. J’ai souligné une évidence, que la facilité de trouver une information n’a rien à voir entre ce que tu disais et Google. Je n’ai pas les réponses aux questions que tu poses, mais ta façon de répondre est légèrement pédante.
J’suis assez bien placé pour savoir que les journalistes se doivent de remplir leurs journaux de vide, surtout les trucs régionaux, qu’ils peuvent parler d’affaires, comme en éluder d’autres tout à fait similaires. Qu’ils peuvent faire des tournures de phrases de merde, oublier d’être précis dans les faits, jouer sur les sentiments, en désignant de facto un coupable, sans chercher un seul instant à comprendre ce qu’il s’est passé.
Les gens intelligents auront le courage de lire tous les articles, car , heureusement, un journaliste a eu l’intelligence de parler des faits en entier (ou presque). Avant, pour une affaire comme la mienne, il aurait fallu parcourir les archives des journaux. Demander un extrait de casier judiciaire. Ça aurait été un travail volontaire, dans un but bien précis, celui de découvrir mon passé.
Si tu ne comprends pas, que même dans 40 ans, alors que cette affaire a déjà 8 ans, en un clin d’œil, en un clin de Google Glass on trouve ça sur ma gueule, qu’un recruteur de merde peut me foutre sur une pile plutôt qu’une autre, ouais ça me dérange, que ça te fait encore mettre des smiley “keskidit”…
Je le répète, je n’ai pas la solution. Et c’est probablement pas toi avec tes question digne de Captain Obvious qui va nous l’apporter.
Le 12/05/2014 à 18h 01