pour moi la différence relève de la mission. un gendarme, un hacker officiel est missionné pour les actions qu’il entreprend au bénéfice de l’état qui l’emploi contrairement à des civils qui réalisent des actions au titre d’une idéologie (aussi légitime puisse-t’elle être) mais sur le principe je plussoie
Je pense venir sur ce site depuis 2003-2005 pendant mes études d’informatique, de manière plus ou moins assidu, toujours en fantôme, je ne me suis inscrit que pour l’abonnement. Je ne suis même pas certains d’avoir déjà participé à des commentaires.
J’ai mis du temps à comprendre pourquoi je venais de moins en moins sur le site tout en venant systématiquement plusieurs fois par semaine.
La force de l’habitude. J’avais dans le temps toujours un onglet PCINPACT ouvert et une fierté de l’inpactitude. Maintenant je passe 1 à 2 fois par jour avec l’espoir de la bonne surprise qui n’arrive que rarement (par exemple aujourd’hui avec les 2 articles sur Strava). Je ne fais pas parti des adeptes du mag mais après tout si il est possible que le projet s’autofinance sans que cela se fasse au détriment du site pourquoi pas (même si rien n’est moins certains).
Tout est devenu sérieux, les sujets sont très / trop sur le terrain du droit, de la science et même s’ils sont très bien traités (pour mon niveau d’implication et de compétence) ils sont trop long pour le temps à y consacrer et honnêtement loin de mes préoccupations.
J’ai lu tous les commentaires de ce post, je crois que tout le monde à raison. Cela me fait prendre conscience que le site que j’aimais n’existe plus.
Comme dans une mauvaise rupture : « tu sais, ce n’est pas ta faute, c’est moi le problème », la ligne éditoriale à changer et mes attentes aussi, nous sommes au-delà de la croisée des chemins.
C’est comme un deuil que je termine ici. J’accepte que l’inpactitude n’existe plus, sans rancœur, sans colère, avec une reconnaissance infinie pour l’équipe et le travail accompli. J’espère que le site va perdurer et croitre mais je ne serais pas de cette aventure.
3 commentaires
Next INpact passera dans de nouvelles mains le 25 septembre
11/09/2023
Le 12/09/2023 à 06h 56
Merci pour tout depuis si longtemps
Cyberguerre : les hackers russes et ukrainiens ciblent aussi des civils
20/07/2022
Le 21/07/2022 à 12h 58
pour moi la différence relève de la mission. un gendarme, un hacker officiel est missionné pour les actions qu’il entreprend au bénéfice de l’état qui l’emploi contrairement à des civils qui réalisent des actions au titre d’une idéologie (aussi légitime puisse-t’elle être) mais sur le principe je plussoie
Magazine #4 de Next INpact : la campagne de financement est terminée, nous ajouterons les (auto)portraits
15/07/2022
Le 01/07/2022 à 11h 49
Je rejoins beaucoup de ce qui a été dit.
Je pense venir sur ce site depuis 2003-2005 pendant mes études d’informatique, de manière plus ou moins assidu, toujours en fantôme, je ne me suis inscrit que pour l’abonnement. Je ne suis même pas certains d’avoir déjà participé à des commentaires.
J’ai mis du temps à comprendre pourquoi je venais de moins en moins sur le site tout en venant systématiquement plusieurs fois par semaine.
La force de l’habitude. J’avais dans le temps toujours un onglet PCINPACT ouvert et une fierté de l’inpactitude. Maintenant je passe 1 à 2 fois par jour avec l’espoir de la bonne surprise qui n’arrive que rarement (par exemple aujourd’hui avec les 2 articles sur Strava).
Je ne fais pas parti des adeptes du mag mais après tout si il est possible que le projet s’autofinance sans que cela se fasse au détriment du site pourquoi pas (même si rien n’est moins certains).
Tout est devenu sérieux, les sujets sont très / trop sur le terrain du droit, de la science et même s’ils sont très bien traités (pour mon niveau d’implication et de compétence) ils sont trop long pour le temps à y consacrer et honnêtement loin de mes préoccupations.
J’ai lu tous les commentaires de ce post, je crois que tout le monde à raison. Cela me fait prendre conscience que le site que j’aimais n’existe plus.
Comme dans une mauvaise rupture : « tu sais, ce n’est pas ta faute, c’est moi le problème », la ligne éditoriale à changer et mes attentes aussi, nous sommes au-delà de la croisée des chemins.
C’est comme un deuil que je termine ici. J’accepte que l’inpactitude n’existe plus, sans rancœur, sans colère, avec une reconnaissance infinie pour l’équipe et le travail accompli. J’espère que le site va perdurer et croitre mais je ne serais pas de cette aventure.