La différence c’est que moi je ne m’en fous pas de pourrir la terre, les générations futures et d’exploiter / de chier sur les autres pour me développer…
Je ne compte que sur moi, mais dans le respect d’autrui. Ce qui, à tout, fait cruellement defaut
Pas besoin de faire le beau en te drapant dans une posture nobiliaire : l’environnement est mieux préservé là où les gens sont riches, les USA n’ont pas de leçon à recevoir de quiconque sur ce point et les américains veulent un aussi meilleur futur pour leur enfants que quiconque (merci pour cet argument fumeux) et ils l’obtiendront en conservant leur niveau de vie et leurs richesses. Ce qui passe par pas d’accords de Paris. CQFD
Le
02/06/2017 à
09h
31
CounterFragger a écrit :
Le CO² est un gaz à effet de serre, d’une certaine manière c’est donc un polluant dans le cadre des activités humaines.
Ta « certaine manière » n’est pas scientifiquement définie : elle ne vaut rien.
CounterFragger a écrit :
D’autre part, ce qui est sans fondement, c’est d’affirmer que les énergies fossiles sont dans l’intérêt du peuple américain sans aucunement étudier les retombées économiques de la transition vers les énergies alternatives.
Ces études ont été faites à de multiples reprises dans beaucoup de pays : les ER sont un gouffre financier, détruisent les emplois, ne réduisent pas voire augmentent (éolien) les émissions de CO² (pour qui s’en alarme), et leurs limites techniques (intermittence et densité énergétique très faible) obligent à quand même installer de la production de capacité (gaz, charbon ou nucléaire) ce qui fait double emploi, etc.
CounterFragger a écrit :
Quant aux accords de Paris, tu nous sors un graphique tiré d’un blog à l’évidence partisan des énergies fossiles.
La faute aux ecolos, la faute a Bachelot, la faite a la mère michel…
Et si les gens se mettaient a considérer que les artisans de leurs vies, ce ne sont qu’eux mêmes ? Et que s’ils se font enfler pour avoir cru des promesses sans réfléchir par eux memes, ils ne le doivent qu’a eux mêmes ?
Facile d’attendre la gueule ouverte que le fromage te tombe tout seul dans le gosier, puis de râler quand il ne vient pas. Sans s’être bougé le cul, sans avoir réfléchi, etc…
Un libéral qui s’ignore !
Le
02/06/2017 à
09h
04
CounterFragger a écrit :
T’as raison : c’est une excellente nouvelle que de pousser un pays à fonctionner avec des centrales à charbon, une énergie du XIXème siècle, et surtout de laisser les plus anciennes et les plus polluantes fonctionner pour des décennies supplémentaires. Les Américains sont totalement immunisés aux changements climatiques, aucune raison qu’ils en pâtissent.
Le CO² n’est pas un polluant, donc ton discours alarmiste et sans fondement ne tient pas. Le Président US a été élu pour préserver les intérêts des USA et du peuple américain, pas pour redistribuer sa richesse au restant du monde.
Les accords de Paris sont une hérésie économique et scientifique, mille ou 2 mille (suivant les analyses) milliards de $ annuel pour un résultat projeté de -0.05°C en 2030 si tous les pays respectent leur promesse, soit au moins 2 fois la marge d’erreur des mesures de température : c’est à dire que personne ne pourra affirmer ou infirmer l’effectivité de ces accords. Autant ne rien faire, c’est moins coûteux et pendant ce temps-là la planète verdit.
Tu veux dire FTTH? Le soucis, c’est que le rétablissement en moins de 4H est ce qui vaut trèèèès cher. Une boîte de 10 employés qui n’a pas internet pendant 3 jours/1 semaine (délai moyen de résolution pour les particuliers), ça peut lui coûter 10/20k€ facilement (documents non livrés, manque d’opportunités…). Après en terme de débit, effectivement, ils ont tout intérêt à cumuler deux abonnements, un à 50€ à 1GBs, un autre à 500€ pour les pannes.
Une boîte dont le CA dépend en partie d’un accès internet et qui n’a pas prévu un plan de secours (redondance, 4G, ADSL, etc.) en cas de rupture d’accès, quelque soit le temps de rétablissement promis, méritera son sort. L’offre SFR est dans ces conditions beaucoup trop chère.
Le copinage est lié a la nature humaine. Sous entendu la tentation de copiner sera présente dans n’importe quel système.
Et c’est justement le rôle de la loi de gommer ou d’atténuer les effets des mauvais côtés humains
Merci pour cette trivialité qui ne dit rien sur le fait que ce « copinage » est bon ou est mauvais. Si un système n’est pas capable d’utiliser les traits humains à bon escient, alors ce système est mauvais quelques soient le nombre de rapiéçages ultérieurs pour lui donner une légitimité de façade.
Le fait que ce mauvais système engendre de mauvaises lois devrait interpeller.
Le
31/05/2017 à
10h
57
Drepanocytose a écrit :
Mais oui.
Le copinage politique n’existe pas, et s’il existe quand même c’est pas grave.
La loi c’est la loi. Point.
Si le copinage est inhérent au système, c’est que le système est mauvais.
La loi est supposée donner des règles générales, pas patcher les tares systémiques.
Le
31/05/2017 à
10h
08
fred42 a écrit :
Pour une fois que tu râles sur l’absence de contraintes sur des entreprises privées ! On aura tout vu. " />
Non car là il y aurait du favoritisme/copinage qui déséquilibrerais le débat politique (s’il existe encore).
Le conditionnel est de rigueur car rien ne prouve que dans la réalité ce serait le cas : et même si ça l’était, le « favoritisme/copinage » qui consiste à acheter le vote des zélecteurs en leur promettant un nouveau paradis à toutes les élections (sans être pour autant responsable des échecs qui suivent inévitablement) semble bien plus efficace.
Peut-être faudrait-il d’ailleurs s’interroger sur le fait que, s’il n’y a plus de « débat politique », une des causes ne serait pas justement la complète ossification par la loi du principe même de discussion et d’échange d’idées (ce qui est le point de l’article).
Le
31/05/2017 à
09h
36
fred42 a écrit :
On ne parle que des chaînes publiques et des spots de de la campagne officielle.
Cela ne concerne pas les autres médias.
C’est d’autant plus stupide de les différentier. Soit la loi est valable pour tous soit elle ne l’est pas.
Le
31/05/2017 à
09h
13
Mimoza a écrit :
Et un temps égale pour tous ça leur aurait pas effleurer l’esprit ?
Et des temps librement déterminés par les médias selon leur propres critères et sans avoir besoin d’une usine à gaz législative, c’est aussi possible.
Oh un débat à propos du nucléaire et du climat " />
Le dernier échange a dû marquer au fer rouge car personne n’a discrètement embrayé sur les OGM cette fois-ci, oh wait… " />
Le
29/05/2017 à
23h
09
Commentaire_supprime a écrit :
Plot idea: 97% of the world’s scientists contrive an environmental crisis
Çà faisait longtemps qu’on ne m’avait pas sortie la tarte à la crème des 97%, périmée et réfutéeau moins5 fois. Le ponpon est quand même détenu par cette réanalyse des données qui montre que les 97% sont seulement 0.3% une fois calculés correctement. Une paille.
Le
29/05/2017 à
22h
53
OlivierJ a écrit :
Il a fumé, le niveau des mers monte partout, pour 2 raisons : réchauffement global donc dilatation de l’eau, et fonte des glaces partout dans le monde (inverse d’une glaciation où le niveau des mers baisse).
« Le niveau des mers monte partout » seulement si tu fais des contorsions statistiques qui s’apparentent à moyenner les numéros de téléphone du bottin. Si tu t’intéresses à ce qu’il se passe dans la réalité, ça varie spatialement et temporalement. Ceci dit, il est vrai que le niveau augmente globalement depuis près de 8000 ans, et que cette augmentation est ~constante même récemment. Les données satellites les plus récentes ont été bizarrement ajustées (à la hausse évidemment) sans raison apparente et ne correspondent plus avec les données stériques et des jauges (discuté ici).
Le
29/05/2017 à
21h
38
OlivierJ a écrit :
Qui sont ces gens qui contestent ? (sérieusement).
Tous les articles parlent de réchauffement et encore une fois, tu parles de baisse de l’eau comme d’un phénomène naturel.
ENSO (El Niño) et la baisse du niveau d’eau qu’il entraîne SONT des phénomènes naturels. L’explication du blanchiment (qui n’implique pas mortalité) dans le contexte El Niño est raisonnable et logique. Si tu veux des détails et une comparaison avec une autre étude qui arrive à une autre conclusion (basée sur le méchant CO² thermophile), voir ici. L’auteur y fait la comparaison méthodologique des 2 études : une fois cette comparaison lue, tu admets plus facilement pourquoi il convient de rester toujours prudent et sceptique quant aux explications fournies et aux attribution alléguées.
2show7 a écrit :
Toujours en train soutenir les scientifiques. Tu pourrais davantage critiquer l’activité humaine
Je ne soutiens pas les « scientifiques », je soutiens les idées scientifiques qui sont raisonnablement plausibles jusqu’au moment où des données viennent les remettre en question (ce qui arrive heureusement souvent). Tu veux une liste exhaustive des activités humaines qui ont un impact sur l’environnement ? Facile à établir : toutes les activités humaines ont un impact sur l’environnement. À partir de là, on navigue dans les eaux de l’économie.
2show7 a écrit :
El nino, on en parlait déjà en 1970
Dans les années 1970 le spectre du refroidissement climatique global dû au CO² était une théorie, coïncidence ironique, soutenue par les mêmes scientifiques qui allaient à la fin de la décennie basculer vers le spectre du réchauffement climatique dû au CO², un pipotron bien plus prometteur (non-scientifiquement parlant).
Il se trouve que depuis ces années-là, la Science a globalement avancé même si la climatologie a fait du quasi sur-place. De fait le phénomène ENSO (El Niño puis La Nina) explique en grande majeure partie la variabilité naturelle du climat (cf 1998 et 2016). Si tu veux un traitement approfondi de ENSO, cf là.
Le
29/05/2017 à
19h
36
Sutka a écrit :
Je reste admiratif devant l’abnégation de tmt à nous faire partager sa sagesse alors qu’elle a moult boites à faire tourner sans parler de son bout de terre à faire rentabiliser au maximum.
Et on nous dira que l’entreprenariat c’est être esclave de son travail mais on voit bien qu’on a assez de temps libre pour glander sur le net quand on a du succès.
“This study reports coral mortality in Indonesia after an El Niño-induced sea level fall. The fact that sea level fall, or extremely low tides, induces coral mortality is not new, but this study demonstrates that through rapid sea level fall, the 2015–2016 El Niño has impacted Indonesian shallow coral reefs well before high sea surface temperature could trigger any coral bleaching.”
Le
29/05/2017 à
18h
42
OlivierJ a écrit :
Non, et c’est tout ce que tu as trouvé pour continuer dans ton attitude de plus en plus improductive ?
C’est bien suffisant pour le moment et pour l’audience.
OlivierJ a écrit :
Sauf qu’il y a des milliers de papiers qui confortent la question.
Sophisme : ce n’est pas la quantité de papiers qui importe. Il suffit d’un seul qui la réfute.
OlivierJ a écrit :
Franchement tu es lamentable…
Tu n’es pas plus dans la raison que moi, vu que je m’appuie justement sur la recherche scientifique pour commenter.
Tu t’appuies sur une petite partie de la recherche scientifique.
OlivierJ a écrit :
Tu délires complètement. La science se porte bien merci, et je ne suis pas plus activiste que toi " /> .
Que de qualificatifs « outranciers » pour un donneur de leçon. " />
Quand on récite le catéchisme climatique, on ne fait que de la propagande.
OlivierJ a écrit :
Ça ne change rien à la question du facteur Pi.
Tu as avalé de travers ?
OlivierJ a écrit :
Si tu crois convaincre quelqu’un avec ce genre de propos… D’une part on peut estimer l’impact vu qu’on le voit déjà avec les problèmes de récoltes dans le bassin méditerranéen, et d’autre par t’es gentil avec tes bénéfices à court terme. Pas besoin d’être un collectiviste (ou tout autre terme du genre que tu aimes utiliser) pour connaître le souci du court terme quand on s’attaque à des problèmes qui se développent à long terme.
Les bénéfices des énergies fossiles datent de l’utilisation du bois pour faire du feu qu’on utilise toujours d’ailleurs : difficile de faire plus long terme.
OlivierJ a écrit :
J’ai ma dose pour aujourd’hui en terme de troll.
" />
Le
29/05/2017 à
17h
15
carbier a écrit :
Allez juste pour le fun…
Citons les scientifique du G.Marshall Institute qui ont fait du climatosceptisme leur marque de fabrique.
Mais avant ils avaient annoncé la couleur
In the same paper, commenting on the dangers of secondary inhalation of tobacco smoke, he concluded “there is no good scientific evidence that passive inhalation is truly dangerous under normal circumstances
ou encore
Seitz questioned the view that CFCs “are the greatest threat to the ozone layer
Du pur bonheur " />
C’est intéressant cette façon de faire. Un autre exemple : puisque Carbier avait tort sur les coûts du démantèlement du nucléaire français puisque ces coûts sont bien pris en compte et qu’il ne semble qualifié sur rien, il a tort sur tout le reste. Et hop, pas besoin de discussion.
Le
29/05/2017 à
17h
01
OlivierJ a écrit :
Ce n’est pas une question de public ou pas public. Tous les gros chantiers innovants voient se produire le même mécanisme, le “facteur Pi” comme dit Jancovici, on constate que le prix a été multiplié par 3 à l’arrivée.
La différence est que les surcoûts publics sont supportés par tous alors que les surcoûts privés ne sont supportés que par l’entrepreneur (et ses clients). Il est quand même ahurissant d’avoir encore à le spécifier.
OlivierJ a écrit :
Ton raisonnement est ruiné par le fait qu’on ne comptabilise pas les coûts environnementaux à leur valeur réelle à long terme. Typiquement, tout le dégagement de CO2, sans parler d’autres aspects dans certains cas (pollution chimique par ex). Et par long terme, il ne s’agit même pas de dans 100 ans, mais en partie pour nous, et encore plus pour nos enfants.
Vu que la théorie n’est encore au mieux qu’une conjecture dont les conséquences sont non modélisables aussi bien physiquement qu’économiquement, les coûts sont non calculables. Si on prend en compte les avantages déjà retirés (et observables et calculables) de l’utilisation des énergies fossiles on peut largement parler de coûts négatifs (= bénéfices).
“How can science be certain about man’s impact when over the last 15 years the natural impacts surprisingly have stopped the warming of the air.”
Judith Curry, climate scientist of Georgia Institute of Technology
Le
29/05/2017 à
16h
47
OlivierJ a écrit :
Sauf qu’en fait ta position fait égotiste et extrémiste, donc tu fais ce que tu reproches à certains. Dans tous les cas, l’extrémisme n’a aucun intérêt.
Tout cela pour quelques qualificatifs bien sentis, j’ai dû touché un nerf.
OlivierJ a écrit :
Il ne s’agit pas de croyance mais de constats et d’explications par des personnes qui sont des scientifiques de haut niveau et que personne de sérieux ne conteste. " />
Ivar Ekeland et Jean-Marc Jancovici ne sont pas des rigolos avec des croyances.
Il se trouve que pleins de scientifiques contestent l’alarmiste climatique (il en suffit d’un seul en fait pour que l’édifice s’écroule) et il y a des dizaines de papiers qui réfutent et la théorie bancale et ses pseudo-conséquences. Tu as tes dieux et tes croyance, moi je n’ai pas l’intention de substituer ma raison et mon jugement aux opinions religieuses d’autrui : la pseudoscience climastrologique des calamitologistes c’est des tonnes d’argent et d’efforts politiques qui ont été déployés pour soutenir une hypothèse qui ne tient pas la route. La remise en cause des normes scientifiques est le dernier pas sur le chemin du déni des gens qui ont tout à gagner à continuer dans leur aveuglement. Une remise en cause est maintenant impossible pour des activistes dans ton genre, parce que ce n’est plus eux qui menacent la Science, c’est la Science qui les menace.
Le
29/05/2017 à
16h
36
carbier a écrit :
La totalité de ton raisonnement est faux pour la simple et bonne raison que la dernière phase du nucléaire (le démantèlement des centrales) n’a pas encore montré son cout et son impact environnemental. Et ce n’est certainement pas en enfouissant des futs avec des produits dont la durée de demi vie avoisine les dizaines de milliers d’années qu’on résout le problème pour les générations futures.
Suite à la propagande des escrologistes sur les soit-disant coûts cachés du nucléaire Fillon avait demandé en 2011 un rapport à la Cour de Compte :
“Dans les différents calculs de coût de production, ces dépenses sont bien prises en compte. Elles sont estimées aujourd’hui à 18,4 Md€2010, en charges brutes, pour le démantèlement des 58 réacteurs du parc actuel et à 3,8 Md€2010 pour les derniers cœurs”
Audit de la Cour des Comptes 2012
Comme les recherches sur le stockage (le stockage réversible a été imposé afin de pouvoir réutiliser ces mal nommés « déchets ») ne sont pas terminées, il est tout à fait compréhensible que les coûts ne soient pas fiables. Cela ne veut pas dire impossible à calculer : les projections avec une durée de vie des centrales à 40 ans montraient un coût non négligeable, mais limité. À 60 ans de durée de vie, ce vers quoi on s’oriente, les coûts sont logiquement plus faibles.
Le
29/05/2017 à
16h
20
OlivierJ a écrit :
C’est vraiment dommage de noyer la pertinence de certains de tes commentaires par ce genre de propos outrancier. Tout ce qui est excessif est insignifiant. Tu te fais plaisir mais ça n’est pas très adulte, pour être franc, et surtout c’est totalement contre-productif.
Je n’ai pas ce problème d’égo, et les adjectifs et qualificatifs utilisés sont tout à fait appropriés aux positions de ces extrémistes.
OlivierJ a écrit :
J’ai beau être plutôt libéral, tu racontes quelque chose de faux, c’est démontrable à loisir.
Ivar Ekeland dans son livre récent “le syndrome de la grenouille” parle de la question et du phénomène du “passager clandestin” et de l’impossibilité de s’en remettre au marché pour un problème comme celui du CO2, les échelles de temps étant trop grandes, si on veut éviter de trop pourrir le climat.
Tu es libre de tes croyances : la Science est un processus, pas une collection de vérités décrétées par consensus.
Le
29/05/2017 à
16h
12
Drepanocytose a écrit :
Le calcul est bidon, car tu ne sais pas estimer les conséquences sur la santé humaine des générations futures. Personne n’est capable de l’évaluer, on parle de dizaines de millions d’années, voire centaines, de duree de vie des résidus. Résidus dont personne ne peut prédire ce qu’ils deviendront et l’action qu’ils auront.
C’est du vent.
Le calcul est tout à fait correct avec ses hypothèses, tu te contentes d’en rajouter une qui est hors sujet : les mal nommés « déchets » contiennent encore 95% de l’énergie de départ et sont les combustibles des futures centrales. Ce sont donc des actifs en attente d’utilisation dont le coût de stockage est intégré au prix de l’électricité.
Drepanocytose a écrit :
Quant aux coréens, c’est pas tant la construction d’une centrale qui coûte, mais l’exploitation et surtout le démantèlement. Démantèlement que personne non plus ne peut chiffrer avec précision aujourd’hui, ceci dit en passant.
Les calculs sont des coûts overall démantèlement compris. Et on est parfaitement capable de chiffrer ces démantèlements puisque EDF l’a fait pour ses propres centrales. Ceci dit il est vrai que les budgets sont rarement respectés dans le public.
Drepanocytose a écrit :
Mais bon, venant de qqun qui nous pollue a mort en mode “no future et fuck les générations suivantes, après moi le déluge”, en se goinfrant de subventions publiques tout en chiant sur tout ce qui est public dans le même temps, ton discours n’est guère étonnant.
De la part d’un soit disant « ingé environnemental », spécialiste naturellement supposé qui vérifie que le ciel est bleu, l’herbe verte, l’eau assez humide et que les petits oiseaux font bien cuicui comme d’habitude mais pas trop fort (il ne faudrait pas que les citadins/rurbains soient dérangés) bref une fort belle activité pour s’assurer que la nature fait ce qu’il faut, incompétente qu’elle est (" />), je prend cela comme un compliment de profiter un maximum : le profit est la mesure de la durabilité d’un mod(èl)e de spécialisation. Quand une entreprise (les miennes par ex.) qui participe à tel ou tel mod(èl)e fait un profit, on peut en déduire que les biens/services produits ont une valeur plus élevée que les coûts engendrés pour les produire à partir des ressources (c’est écologiquement bon). Ce résultat indique que l’entreprise a réalisé une contribution positive (c’est économiquement bon) pour le bien des consommateurs (c’est socialement bon), et globalement, pour la société tout entière (c’est sociétalement bon). Tel est le cheminement de l’enrichissement global (trickle-up economics).
Le
29/05/2017 à
15h
49
carbier a écrit :
C’est bien ce que je dis: le niveau 0 de la conscience écologiste.
Bien que tu ais raison à moyen terme: si un jour nous sommes gouvernés par des gens qui pensent comme toi, la nature ne mettra que quelques décennies à faire disparaitre l’humanité. Donc en un sens tu n’as pas complètement tort (même si c’est un tantinet radical comme approche)
Effectivement, il n’existe qu’une conscience humaine qui est naturelle. La propagande boboïde éco-conscientisée idéologique, politiquement correcte, opportuniste et scientifiquement rétrograde est seulement impressionnante dans l’étendue de son irrationalité.
Il n’y a rien à comprendre à la fausse dichotomie des environnementalistes (je parle des faux prophètes qui pullulent de nos jours, pas des amoureux de la Nature et des vrais conservateurs) consistant à dissocier artificiellement l’Homme de la Nature (de SA Nature/nature) alors que leur but avoué est de les rapprocher en les transcendant. Il y a comme une abjecte dissonance cognitive.
Les zélotes éco-catastrophiques ne prêchent que pour leur paroisse idéologique et n’ont rien à envier aux obscurantistes des temps passés. Pour progresser, il faut être capable d’affirmer sa distanciation et son autonomie envers les mod(èl)es hérités et dépassés qui ont fait la preuve de leurs vices et d’abattre les préconceptions irrationnelles. Il y a du travail pour les escrocs vert pastèque.
Note que j’ai pour l’environnement la même approche que partout ailleurs : ce qui est économiquement bon est fondamentalement aussi écologiquement bon, socialement bon, sociétalement bon, etc. C’est facilement observable et démontrable.
Le
29/05/2017 à
14h
40
FunnyD a écrit :
Je me demande pourquoi avec ton intellect supérieur et tes connaissances incroyables tu ne te présentes pas à la présidence.
L’activité de bergère est d’un dépassé.
Le
29/05/2017 à
14h
38
Railblue a écrit :
Alors, pour le mythe des trains anglais qui sont mieux parce que privés :
Pendant la période 1995-2017 :
* Railtrack puis Network Rail : 32000 km de réseau, 61 morts et 834 blessés
* SNCF : un peu plus de 29000 km de réseau, 25 morts et 312 blessés
C’est vrai, la privatisation, c’est strictement génial. Reste à savoir pour qui…
Tes chiffres sont biaisés du fait que les premières années après la privatisation, quand les investissements privés n’avaient pas encore été réalisés, ont vu quelques graves accidents survenir et qu’on peut attribuer à l’héritage public.
Il est plus cohérent et simple (moins de biais) de comparer avant et après privatisation en UK pour pouvoir prétendre conclure sur ce point : les chiffres montrent une amélioration relative de la sécurité à partir de la privatisation (en tendance) et il est estimé que la vie d’environ 150 personnes a été sauvée grâce à cette dernière. Ce dernier chiffre est statistiquement discutable. Néanmoins les chiffres les plus récents sont encoremeilleurs.
Le
29/05/2017 à
14h
03
Commentaire_supprime a écrit :
Et le déni borné des éconégationnistes mène bien quelque part : droit dans le mur
Face à une secte religieuse millénariste composée de fanatiques incultes et sans scrupule, on ne peut décemment être qu’hérétique.
Le
29/05/2017 à
13h
56
Drepanocytose a écrit :
“Peanut” étant lui même une estimation chiffrée et un modèle réaliste " />
peanut ~= 0
Le
29/05/2017 à
13h
42
carbier a écrit :
Réponse qui montre simplement ton absence complète de connaissance environnementale.
Le cout d’un accident nucléaire n’est pas simplement à calculer en termes de vies humaines mais d’impact sur un territoire complet.
Or vue la durée de l’impact ainsi que son empreinte territoriale, l’exemple de ton scientifique anglais est juste ridicule (pour être poli): pour minimiser l’impact sur l’environnement immédiat, toute l’eau utilisée pour stabiliser la température du réacteur a été rejetée à la mer…
Bientôt tu vas nous sortir que les radiations ne sont pas nocives pour la santé " />
Je te rassure tu es la caricature de tous ceux qui voient la préservation de l’environnement comme une contrainte… jusqu’à que l’eau utilisée pour faire pousser ses récoltes soit tellement polluée que plus rien ne pousse.
La Nature prend soin d’elle même, merci, elle n’a pas besoin de pseudo-ingénieur ou autres escrocs peints en vert-rouge débitant des fadaises non chiffrées et/ou des modèles idéalistes sans rapport avec la réalité. Et même si on ne parle pas en terme de vies humaines, « l’impact environnemental » (si tant est que ce concept soit défini scientifiquement parlant) du nucléaire est peanut comparé aux autres sources d’énergie : ton alarmiste inculte ne mène nulle part.
Le
29/05/2017 à
12h
28
Drepanocytose a écrit :
Et tu vas m’excuser, mais trois accidents majeurs en 50 ans, c’est pas un risque minime. Surtout quand on a renforcé la sécurité globale après chacun des deux premiers
Pendant que les coûts de construction décuplaient aux USA et en France, les Sud-Coréens ont réussi à les abaisser (meilleurs designs) et pourquoi ont-ils réussi : stabilité régulatoire.
Le
29/05/2017 à
11h
56
wanou2 a écrit :
Encore mieux, lire le détail de l’enquête pays par pays :
Faut pas se contenter seulement des belles images….
Les « belles images » synthétisent ces données et le point de la maladie génétique (et d’autres) était de comparer entre pays (France et UK).
Le
29/05/2017 à
11h
53
carbier a écrit :
Tu préfères peut être qu’on parle de la gestion privée du nucléaire au japon avec les problèmes qu’on connait…
Ou la aussi tu vas nous trouver une excuse à 2 balles.
De toute façon c’est bien simple: privée ou publique la question de la gestion de l’infrastructure et de la sécurité est toujours vu sous l’angle d’un rapport dépenses/risques potentiels. Le problème c’est que dans le privé quand ce n’est pas l’état qui fixe l’exigence en termes de risques, ceux-ci sont toujours minimisés pour maximiser à courts termes les profits.
Dans le nucléaire, l’évolution drastique des coûts historiques de construction est expliqué globalement par la surréglementation (racket régulatoire) et aussi par l’inflation (racket monétaire) et qui n’ont aucune justification économique : entre les années 1970 et les années 1980, l’augmentation très minime de la sécurité déjà très élevée (risque très faible) s’est faite au prix d’une facture multipliée par 10 au moins des coût de construction dans presque tous les pays occidentaux. De nos jours pour un même design de centrale EPR, la Chine arrive à construire 3 fois moins cher.
Mais aussi on peut aussi parler d’évolution favorable de la température de l’eau de ma piscine, histoire de continuer à changer de sujet…
Le
29/05/2017 à
11h
28
Drepanocytose a écrit :
Cette bonne blague. L’autre plus haut nous parle des syndicats et de la résistance au changement dans le public…
J’ai cité un syndicaliste qui a reconnu son erreur…
Le
29/05/2017 à
11h
26
wanou2 a écrit :
Les comparaisons foireuses avec le japon et le royaume-uni… en France on paie pas cher pour une service plutôt potable. Au Royaume-Uni on paie très cher pour un service lamentable.
En même temps c’est un peu facile de critiquer le privé ou le public, à chaque fois c’est le même : C’est la tête et les décisions prisent qui compte. Une entreprise privé qui prend des décisions débiles qui mettent en danger les usagers, ça existe.
Et en public aussi.
Et sur ce genre de marché où le nombre d’acteur est limité par l’infrastructure, on peut pas avancer l’argument que si une boite fait de la merde elle est remplacé, ça ne sera pas le cas…
En restant dans la théorie, à décision et investissement intelligents, le service public sera nécessairement plus “rentable” pour la collectivité/usagé que le privé, tout simplement car il n’y aura pas de marge/recherche de profit.
Alors reste le problème du public : Les syndicats et la résistance au changement. Quand une boite coule à cause de la résistance au changement dans le privé, ça finit en plan social et c’est remplacé par une autre qui n’a pas les mains liés, alors forcément…
OK, mais il faut en informer la maladie génétique qui s’en plaint ci-dessus (bien que n’ayant avancé aucun argument pour soutenir ses assertions).
Le
29/05/2017 à
10h
46
Drepanocytose a écrit :
Oui.
Le nucléaire anglais ou le ferroviaire anglais, ça marche super bien, c’est bien connu.
Mais si ça foire, c’est pas la faute de la libéralisation, c’est de la faute de ceux qui l’ont mal appliquée… Bravo l’argument.
Le fait que la plupart des réacteurs nucléaires anglais appartiennent à EDF Energy, elle-même détenue à 100% par EDF France, n’y est sans doute pas étranger. " />
Globalement la politique énergétique anglaise est aussi désastreuse que celle française ou allemande (dites « transitude énergique ») car elles ont toutes le même point commun : décidée par l’élite aveugle sur la base de l’idéologie zérologiste néomalthusienne plutôt que sur les besoins et demandes du marché. Effectivement, cela ne peut pas fonctionner.
Le
29/05/2017 à
10h
25
marba a écrit :
Ah oui comme la libéralisation du chemin de fer britannique par exemple ?
Cette bonne blague de «la privatisation c’est forcément mieux». " />
Le système anglais n’est pas une privatisation complète mais un système intermédiaire de franchises. Néanmoins, la libéralisation partielle de ce secteur a montré des effets positifs : ainsi les dernières études disponibles de satisfaction-client sur les chemins de fers européens montrent que les clients anglais sont plus satisfaits que leurs homologues français sur tous les critères demandés.
Comme l’a reconnu en 2004 Lew Adams alors secrétaire général de l’Associated Society of Locomotive Engineers and Firemen et vigoureusement opposé à la privatisation :
“I was vehement that we wanted to stay in the public sector, and of course there were all the usual concerns trade unionists have regarding privatization, safety issues, job losses, protecting the conditions of service, and pensions. But accepting the will of Parliament, it was time to look at the arguments. So we said to management, ‘Well, if that’s what you want, this is what we want.’ Today I cannot argue against the private entrepreneur coming into the rail industry. We are running 1,700 more trains per day since it was privatized. The entrepreneurs built traffic to the extent that we are having to build more infrastructure. What is true is true: 4.2 billion pounds spent on new trains. We never saw that in all the years I’ve been in the rail industry. All the time it was in the public sector, all we got were cuts, cuts, cuts. And today there are more members in the trade union, more train drivers, and more trains running. The reality is that it worked, we’ve protected jobs, and we got more jobs. If a private company is making more money, I look at that from a union’s point of view, ‘Well, that looks like a wage increase to me.’ And we can argue that. And the more secure they are and the more productive they are in delivering train services, well, that means more jobs. I was there when the public railways had some 600,000 people and it came down to 100,000 in the time I worked in the rail industry. Now we are expanding on jobs.”
Rien de tel qu’un syndicaliste pour ruiner ta position de principe.
Le
29/05/2017 à
09h
44
Tchikow a écrit :
Ce weekend, une raison de plus de pleurer sur la disparition, graduelle, de mon entreprise au profit de la libéralisation du marché, avec pour conséquences certaine à venir, un enclavement des campagnes (mes adieux au nombreuses lignes de TER bien utiles mais non rentables, même les lignes LGV seront reconsidérées en matière de grille tarifaire et de desserte, que ce soit par la SNCF, ou les concurrents à venir.
Arrêtons de croire que la SNCF est un service public, l’Europe et nos dirigeants français ont depuis quelques années ( même plus d’une décennie) passé leur temps à détruire le service public, à faire prendre des décisions insensées à la SNCF (l’achat des rames Océane à Alstom par exemple dernièrement, alors que pas de besoin), et ensuite de la blâmer de tous les maux, alors que je tiens juste à rappeler de l’État est encore, jusqu’à preuve du contraire, actionnaire majoritaire de la SNCF.
Même si je sais qu’assumer mon statut particulier (et encore que je suis un jeune de 22 ans qui est amoureux du ferroviaire depuis tout petit) ici peut être l’objet de moqueries, ou d’attaques, sachez juste que nous, pauvres agents de terrain, n’avons aucun moyen de faire changer les décisions prises par l’EPIC de tête, et que nombre de mes collègues et moi même nous désolons de ce qu’est devenue la SNCF…
La libéralisation a fonctionné partout où elle a été entreprise (aérien par ex.). Si la SNCF est aujourd’hui moquée et au bord de la ruine, c’est en grande partie due au manque de concurrence pour la faire évoluer vers le haut (meilleurs services, ponctualité, sécurité, etc.), ce que tout le monde lui reproche de ne pas faire. Les monopoles publics artificiels sont une aberration économique (et sociale) coûteuse, ce que ton 2nd § exemplifie à merveille.
Je vois pas pourquoi il faudrait savoir tout ça. Sans le savoir, t’as essayé de nous démontrer qui avait payé pour. Je fais juste la même chose, mais je pars d’une assomption plus que probable qui est que la R&D a coûté des milliards difficilement rentabilisée par peu d’années de royalties, royalties dont on ne connait même pas les montants en jeu.
J’ai cité Apple parce que Apple fait du matériel qui l’utilise. Çà ne voulait pas signifier que d’autres ne l’ont pas utilisé, pas comme il a été montré après.
Puisque on ne connaît ni le montant des investissement ni le montant des royalties, il ni a rien de « plus que probable » à conclure.
Le
29/05/2017 à
13h
46
Elzo a écrit :
Ou alors… Etant donné que c’est Intel qui a financé la recherche à coup de milliards, et que leurs milliards leurs viennent de processeurs bien chers, c’est en fait tous les clients finaux qui ont subventionné sa création, quelque soit l’OEM… Les royalties c’est des cacahuètes comparé à l’investissement initial.
Il faudrait connaître les montants engagés (par Apple, Intel ou autre ?) pour financer TB et les royalties qui ont été engrangées pour affirmer « cacahuètes ». Que les clients finaux aient payés, c’était le but.
Le
29/05/2017 à
12h
31
loser a écrit :
Des royalties par définition c’est un pourcentage du CA non? Donc a priori ça n’est pas équivalent.
C’est pour cela que j’ai précisé « financièrement » : ce sont les clients d’Apple (ou d’autres) qui ont payé in fine.
Le
29/05/2017 à
12h
05
atomusk a écrit :
En tant que partenaire de lancement, qui te dis que Apple a payé des royalties ? " />
Ce qui voudrait dire qu’Apple a co-financé TB, ce qui est financièrement équivalent à « payé des royalties », non (TB est rentabilisé) ?
Le
29/05/2017 à
11h
57
YohAsAkUrA a écrit :
mais c’est comme ça pour tout ma pauvre lucette.
Toutes les technologies sont d’abord facturées très cher aux clients. dans ce cas ci c’était sous forme de licence…
Pourquoi avoir écrit « ou PAS » si tu es d’accord ?
Le
29/05/2017 à
11h
23
YohAsAkUrA a écrit :
ou PAS!
Dell, HP, Lenovo et pleins d’autres encore ont eux aussi payé des licences TB! parce que oui , dans la vie il n’y a pas que les macbook et les laptop cheap pour particuliers…… il existe aussi un segment business qui brasse des milliards tous les ans et dans les quels, il existe ENORMEMENT de modeles de laptop incluant le TB3.
Possible, il faudrait connaître les différentes sources de royalties TB pour en être sûr. Le point était que ceux qui ont payés précocement (Apple, business, d’autres ?) pour avoir TB ont sans doute contribué à sa disponibilité sans royalties tardivement.
Le
29/05/2017 à
10h
52
On observe surtout que c’est Apple qui a payé pour ce privilège (enfin, ses clients) et que maintenant que l’affaire semble rentabilisée, Intel peut la proposer à d’autres sans royalties. Une démarche pas si incohérente que cela, mais peut-être trop tardive ?
Un bel exemple de l’inutilité de telles lois : réglementer la liberté d’expression à la seconde près, c’est seulement possible dans le pays théoriquement dit « des Droits de l’Homme ».
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