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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 02/10/2012 à 08h 32

L’année dernière la définition haut de gamme était de 1280x800. Cette année on régresse à 1280x720. Un écran 5.x pouce en 1920x1200 ne me déplairait pas.

Le 02/10/2012 à 08h 29







gavroche69 a écrit :



On ne remet pas ses convictions en question sur un forum où l’on discute avec des personnes dont on ne sait rien.







Comme dit plus haut, ce sont les idées qui sont discutées, pas les personnes. Le fait que l’interlocuteur soit connu ou non est sans objet avec ce qui est discuté.



Tout ce qui étranger aux idées qui sont discutées n’est que diversion.


Le 30/09/2012 à 16h 34







gavroche69 a écrit :



Je n’aime pas citer et ça m’arrive très rarement.

Je préfère dire d’éventuelles conneries avec mes propres mots que des choses censées être intelligentes avec les mots des autres.

A chacun son truc, j’assume.

Et je trouve que les sophismes étaient assez bien répartis.



Pas de quoi, je crois effectivement que nous avons su rester courtois, ce n’est déjà pas si mal…







1/ C’est un choix respectable. Pourquoi alors me reprocher le mien ?



2/ Je préfère exposer mes idées argumentées et illustrées avec les mots d’un penseur (ou autre) plutôt que le contraire. Un choix personnel là aussi.



3/ Si cela avait été le cas, cela n’aurait pas manqué d’être signalé à grand renfort de caractères gras et de points d’exclamation. Idle mode.


Le 30/09/2012 à 15h 21







gavroche69 a écrit :



En gros je suis censé discuter avec toi mais je dois m’adresser à Newton ou un autre “géant” de ta panoplie, c’est ça ? <img data-src=" />



Oui je crois effectivement que je perds mon temps et toi le tiens sans doute. <img data-src=" />







1/ Rien ne t’empêche de souligner tes arguments avec une citation (comme au lycée en rédigeant une dissertation) : la citation ne remplace pas la réflexion, elle la renforce, la complète et/ou la soutient.



2/ Si je perdais mon temps, je ne serais plus là pour discuter. C’est intéressant aussi (pour moi) de jauger comment et à quel moment une discussion (d’une idée avec des arguments pour l’étayer) commence à ne plus en être une : le catalogue de sophismes est finalement assez limité (même si ceux-ci sont grossiers).



3/ Merci quand même pour l’échange courtois.


Le 30/09/2012 à 15h 04







gavroche69 a écrit :



Ben on a les “géants” qu’on peut hein, ça doit dépendre de sa propre grandeur initiale… <img data-src=" />







Toujours à essayer de ramener ton discours à celui qui discute avec toi ? Tu perds ton temps, je suis complétement amorphe à ce type de rhétorique dépassée.


Le 30/09/2012 à 14h 50







gavroche69 a écrit :



La raison est simple :



Pour avoir une discussion argumentée il faut avoir un interlocuteur qui argumente…

Comme tu peux et que tu vas probablement me retourner cette remarque ça veut peut être dire qu’il n’y a rien de plus à ajouter, tout simplement… <img data-src=" />¨







Pas besoin de te la retourner, c’était l’objet de mon post précédent (auquel tu as répondu en me paraphrasant) <img data-src=" />


Le 30/09/2012 à 13h 42







gavroche69 a écrit :



Décidément tu ne peux pas t’empêcher de citer et dans la langue originale en plus…







Voici pourquoi :



If I have seen further, it is by standing on the shoulders of giants.





  • Isaac Newton


Le 30/09/2012 à 13h 39







gavroche69 a écrit :



Il se trouve que parmi tous mes innombrables défauts il y a la détestation de la chose militaire, c’est bête hein ?…







Nous avons au moins quelque chose en commun.



Tes posts ont néanmoins un rapport arguments/mots qui tend vers zéro. Pourquoi ne pas prendre un meilleur chemin (càd plus intéressant) et redresser la barre le niveau ?


Le 30/09/2012 à 13h 22







paradise a écrit :



@tmtisfree



Ouais bon, OK, pour toi, la domination de l’homme par l’homme est naturelle, il y a les forts, les faibles, les cons, les intelligents, et ça roule, comme les animaux quoi.



Des siècles de guerres, de dictatures, de souffrances, pour en arriver à la conclusion que la domination des clans par le pouvoir, la force, et l’argent, est la forme suprême d’une civilisation.



Les barbares ont de beaux jours devant eux.



Bon dimanche à toi (et pour ceux qui ne bossent pas).







1/ Ton interprétation de mes idées est diamétralement opposée à celles-ci (que tu peux revoir en consultant mes posts précédents).



2/ Les barbares de l’Histoire sont ceux qui ont nié à l’individu son droit à la liberté. Ce sont les mêmes qui actuellement la lui retire de manière graduelle en pensant que c’est pour son bien (“incapable qu’il est de le savoir lui-même” se disent-ils).



3/ Merci. A toi aussi.


Le 30/09/2012 à 13h 17







gavroche69 a écrit :



Des gens qui ont (ou ont eu) des pensées intéressantes pour les uns et nauséabondes pour les autres il y en a plein et de toutes idéologies, ce n’est pas une raison pour les citer sans arrêt pour étaler sa culture. Ça donne l’impression d’avoir à faire à quelqu’un incapable de penser par lui-même.







Ce n’est que ton impression (fausse). Qui n’empêche personne de discuter d’idées :



Great minds discuss ideas, average minds discuss events, small minds discuss people





Le reste n’est que futilité.



Pas d’autre idée ou (contre-)argument un peu substantiel ?


Le 30/09/2012 à 12h 28







gavroche69 a écrit :



Bref, à part citer de gens que pas grand monde ne connaît, brandir l’épouvantail du communisme et ta haine viscérale pour tout ce qui peut avoir un caractère social, tu sembles quand même bien tourner en rond dans ton argumentation.







Ce n’est pas parce qu’on ne connait pas leurs pensées (que tu évites de discuter d’un revers de manche pas très subtil) qu’elles ne sont pas intéressantes et contemporaines. L’inculture est une forme d’ignorance à laquelle on peut remédier soit-même.



Quant au fait de qualifier mon argumentation de ‘tourner en rond’, cela indique seulement qu’elle est cohérente. Je n’ai pas eu besoin de “clan” pour la bâtir seulement ma raison et la logique (ce que tout bon scientifique utilise).


Le 30/09/2012 à 11h 33







paradise a écrit :



Et c’est bien dommage.







Ce n’est pas dommage, c’est par design. Toute définition dans un cadre global ne peut être que général pour éviter qu’un intérêt (mais dans ton cas un agenda idéologique) particulier s’en serve à son propre compte.



Les anciens n’étaient pas si stupides.


Le 30/09/2012 à 11h 30







paradise a écrit :



Cela fait des décennies que le monde paye pour les USA, tu es venu au monde la semaine dernière ?







Pas les USA : le gouvernement des USA (ou l’État américain si tu préfères). Ce même État/gouvernement à qui tu demandes de priver ses citoyens de leurs droits fondamentaux.



Ta position est instable.


Le 30/09/2012 à 11h 07







Patch a écrit :



“propriété” peut avoir plein de sens différents.

celui que tu prônes n’est pas celui de la DDHC de 1789.







Le droit à la propriété n’a pas été prévu pour être à définition variable.


Le 30/09/2012 à 11h 02







paradise a écrit :



Relis Karl Marx : le réduire à un “communiste” ne signifie rien.



On peut envisager des sociétés basées sur une économie qui tiennent compte de la propriété, du communisme, et autres, afin d’éviter les extrêmes.



Les pays scandinaves offrent un exemple d’équilibre : les écarts de richesse sont l’expression de sociétés immatures.

Qui croit encore au bonheur offert par le consumérisme ? Toi, sans doute…<img data-src=" />







1/ Qui a parlé de Karl Marx ? Pas moi.



2/ Les seules sociétés qui perdurent sont celles qui respectent les droits des individus (le communisme n’en fait pas partie).



3/ Ah oui, les pays scandinaves. Selon le rapport de l’OCDE en 2011 (non public) à partir duquel ce mythe a été concocté, on s’aperçoit que 4 pays scandinaves trustent les 6 premières places quant à l’évolution des écarts de richesse (pendant la période 1985-2008). Et comme un bon tableau vaut mieux qu’un discours : voir post suivant.



4/ Qui croit encore au bonheur offert par le communisme ? Toi, sans doute.


Le 30/09/2012 à 10h 44







paradise a écrit :



“Droits inaliénables”, mon cul !









Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.



Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.





Le 30/09/2012 à 08h 48







gavroche69 a écrit :



D’ailleurs, warren buffett (probablement encore un de tes géants) a clairement déclaré : “la lutte des classes est une réalité et nous les riches sommes en train de la gagner” Difficile d’être plus clair…







La ‘lutte des classes’ est un concept communiste il me semble. C’est ce même concept qui a ruiné l’URSS.



Il a été avantageusement remplacé depuis par celui de la ‘division du travail’ pour le bonheur de tous et des russes en particulier.



Nier la réalité ne la fera pas disparaitre.





You cannot help the poor by destroying the rich.

You cannot lift the wage earner by pulling down the wage payer.

You cannot keep out of trouble by spending more than your income.

You cannot further the brotherhood of man by inciting class hatreds.

You cannot establish security on borrowed money.

You cannot build character and courage by taking away a man’s initiative and independence.

You cannot help men permanently by doing for them what they could and should do for themselves.”





  • William J.H. Boetcker, 1916


Le 30/09/2012 à 08h 39







gavroche69 a écrit :



Quand il y a eu la crise des subprimes aux US un tas d’économistes sont venus nous dire qu’il n’y avait aucune raison de craindre que cette crise vienne toucher l’Europe…

Quand la crise a touché l’Europe ces mêmes économistes sont venus nous dire qu’il était absolument inévitable que cela arrive…







En parlant de crédibilité, quelques faits :



La crise des ‘subprimes’ a été volontairement ‘manufacturée’ par le gouvernement US (administration Clinton) conseillé les mêmes économistes qui blâment maintenant le marché pour ses ‘crises/erreurs/échecs’. Le ‘leader’ incontestablement écouté est le keynésien Paul Krugman depuis qu’il est chroniqueur au New-York Time où il a écrit en 2002 :



To fight this recession the Fed needs more than a snapback; it needs soaring household spending to offset moribund business investment. And to do that, as Paul McCulley of Pimco put it, Alan Greenspan needs to create a housing bubble to replace the Nasdaq bubble.





Le gouvernement US, pour relancer l’économie US par la croissance du secteur immobilier et sortir de la bulle précédente, a simplement forcé, sous peine de représailles (1) mais en donnant des gages de ‘bailouts’ en cas de pépins, les banques (2) à prêter plus aux minorités (noires et hispaniques) pour qu’elles deviennent propriétaires et faisant une pierre 2 coups (‘affirmative action’ et ‘stimulus’).



Malheureusement, la loi des conséquences inattendues (mais aisément prévisibles dans ce cas), est qu’en diminuant les critères d’accès aux prêts, les risques de non-remboursement des emprunts sont plus élevés,surtout si l’économie n’est pas en forme (chômage). Et c’est ce qui est arrivé. Les faillites personnelles se sont enchainés avec les défauts de remboursement et les saisies.



Pour se couvrir et dissimuler leurs actifs foireux, les banques ont fait se qu’elles savent faire : titriser càd monnayer par des bouts de papier avec des chiffres dessus, puis les vendre sur les marchés extérieurs, et donc polluer le reste de l’économie mondiale avec des trillons de produits pourris.



Le monde est encore en train de payer pour les errements de la politique raciale et économique dévoyée du gouvernement US conseillé par des économistes historiquement incompétents.



(*) Le procureur général Janet Reno a dit : “Lenders who closely examine their lending practices and make necessary changes to eliminate discrimination fare better in this department’s stepped-up enforcement effort than those who do not. Do not wait for the Justice Department to come knocking.” C’est à cette époque que la Citibank a été mise au tribunal pour ces motifs par un avocat peu inconnu nommé Barack Obama.



() Les banques ont été accusées de racisme dans un rapport de la FED en 1992 (alors que le même rapport montrait que la minorité asiatique obtenait relativement plus de crédits que les blancs eux-mêmes), et Clinton par l’intermédiaire du Community Reinvestment Act et du Department of Housing and Urban Development, des agences étatiques Freddy Mac et Fanny Mae a remplacé les critères d’attribution bancaires par des quotas raciaux. Tout cela est superbement expliqué et détaillé dans ce livre écrit par un économiste.







The art of economics consists in looking not merely at the immediate but at the longer effects of any act or policy; it consists in tracing the consequences of that policy not merely for one group but for all groups.




  • Henry Hazlitt, “The Lesson, Economics in One Lesson”



    Le reste de ton post est à l’avenant.


Le 29/09/2012 à 20h 06







gavroche69 a écrit :



Définition de “Économiste” : personne capable de prédire avec certitude le temps qu’il fera hier et ayant inventé un système auquel ils ne comprennent plus rien eux mêmes…







Ta définition est en fait celle des numérologues modernes qu’on appelle communément climatologues de nos jours (une espèce en voie de perdition pour cause de politisation répété de leur ‘science’).


Le 29/09/2012 à 19h 51







gavroche69 a écrit :



Pour moi les choses sont très simples (et même simplistes si ça peut te faire plaisir) :

Un mec peut avoir des idées de génie, s’il ne trouve personne pour les mettre en pratique, il peut se les mettre là où je pense. Donc on a besoin de tout le monde et donc tout le monde devrait pouvoir vivre décemment de son travail ce qui est de moins en moins vrai, même dans les pays dits riches.







Toute la différence vient de poser les bonnes questions, et de donner de mauvaises solutions parce on a regardé la forme des choses (ce que les médias abrutissant les masses fabriquent de nos jours à la chaîne) et pas leur racine.



On peut théoriser d’un côté comme de l’autre à l’infini, les droits perdurent et les Hommes ont lutté et lutteront pour les conserver (c’est ce qui fait en partie leur humanité). Si tu pars de ces valeurs, le reste suit nécessairement. Des géants ont défriché le terrain avant nous, il suffit de les lire. On ne peut s’apercevoir que de la logique de leurs raisonnements étayés par des exemples historiques.



Il n’y a que les dogmatiques pour refuser un raisonnement logique et se retrancher derrière des extrêmes ou des pseudo-morales socialisantes quand l’Histoire a démontré leur inhumanité.



Ou est-ce le syndrome de la mémoire courte ?


Le 29/09/2012 à 15h 42







paradise a écrit :



Donc, la solution, c’est de laisser le pouvoir aux entreprises privées, qui elles, redistribuent leurs richesses comme on peut le constater, supprimer les guichets des bureaux publics. Et aussi laisser les ordures ménagères à la mafia locale, tout comme les entreprises du bâtiment : ça existe déjà : va dans dans le Sud de la France ou en Italie.



Et je suppose qu’une instance divine va faire le tri entre ceux qui ont acquis HONNÊTEMENT leurs biens et les autres : une entreprise privée pourrait s’en charger, peut-être ? <img data-src=" />

En fait, nous vivons pleinement l’ingénierie libérale forcée, c’était le rêve de sarkozy et de sa bande, Copé n’est pas loin.

Tiens, il doit te plaire, Copé ! <img data-src=" />







1/ Pas le pouvoir, la liberté au individus de mener leurs affaires comme ils le souhaitent.



2/ Aucun politicien ne peut me plaire. Ce sont non seulement des ignares en Économie, mais en plus ils le prouvent tous les jours. Ils sont quand même réélus les uns après les autres, et il n’y a donc rien d’étonnant à ce que les mêmes problèmes persistent : leur doctrine macro-économique (relance de la consommation par le déficit et monnaie élastique) n’a qu’une destination connue et inévitable : le crash.



L’économie n’est tout simplement du ressort que des agents économiques concernés.


Le 29/09/2012 à 15h 30







gavroche69 a écrit :



Pas du tout, en fait je voulais dire “je suis à bout des tiens” ce qui ne veux pas dire la même chose.

Mais je n’ai pas eu le temps d’éditer car j’étais en train de consulter les cours de la bourse… <img data-src=" />





Une tentative d’esquive un peu lente. Soit.

Mais plus d’argument.


Le 29/09/2012 à 15h 11







paradise a écrit :



Je suppose que tu fais allusion à Sarkozy ? <img data-src=" />





De quels agents économiques parles-tu ?

Les “pilleurs légaux”, ce sont ceux qui ont leurs sociétés off-shore, sans doute ?





Plus de richesses produites ? À cause de qui, de quoi ? Et quelles richesses ? Google, ? Facebook ? Là on s’en tape le coquillard, c’est du vent, tout ça.

Pour être motivé au travail, il faut gagner des millions ? Pour être PDG aussi ? Tu parles ! <img data-src=" />

“L’ingénierie sociale forcée ” : jolie formule pour évoquer le Code du travail, le droit de grève, sans doute ?







1/ Tous les redistributeurs de droite, milieu et centre.



2/ Les pilleurs légaux sont les gouvernements et leur armées de bureaucrates acharnées à ruiner leur pays.



3/ Pas de sens apparent à toutes ces questions.



4/ L’ingénierie sociale forcée, c’est prôner l’égalité en dépossédant par la force ceux qui l’ont honnêtement acquis pour le redistribuer aux futurs votants. Un simulacre de démocratie en fait.


Le 29/09/2012 à 15h 04







gavroche69 a écrit :



Non mais je suis au bout des tiens !! <img data-src=" />





Ce qui revient au même : tu n’as plus rien à dire <img data-src=" />


Le 29/09/2012 à 14h 54







gavroche69 a écrit :



Ou quand les extrémistes deviennent comiques… <img data-src=" /><img data-src=" />

Peut-être qu’un jour, beaucoup plus tard quand tu auras bien grandi tu reliras tes propos et que tu rigoleras beaucoup…







J’en conclue que tu es au bout de tes ‘arguments’.


Le 29/09/2012 à 14h 53







gavroche69 a écrit :



Je te souhaite néanmoins de ne jamais connaître de revers de “fortune” qui pourraient remettre en question toutes ces choses auxquelles tu crois si fort.







J’en ai connu et j’en suis heureux.

C’est comme cela que j’ai progressé et réussi.

Et c’est pour cela que j’ai recherché comment fonctionne une économie libre et comment la notre a été dévoyée au profit de l’élite socialement bien pensante.



Évidemment cela nécessite du temps et la volonté de naviguer à vue entre de nombreux grands penseurs (je n’ai rien inventé) et trouver le cadre qui ordonne une multitudes de mécanismes, théories, et idées en quelque chose de logique.


Le 29/09/2012 à 14h 46







paradise a écrit :



(J’avais dit que j’arrêtais… <img data-src=" />)



Ce qui est malheureux, c’est qu’à présent pas mal de gens seraient peut-être mieux dans un pays communiste que dans un pays libéral, ça ne cautionne sans doute pas les saloperies communistes, que j’abhorre, mais ça en dit long sur l’échec de ces démocraties dévoyées et bouffées par les intérêts particuliers, avec les bénéfices qui se barrent à l’étranger (pas besoin d’un gvt de gauche pour cela).



Si nos chères démocraties ne mettent pas un sérieux coup de frein à la propriété et à l’enrichissement sans limites, aux paradis fiscaux, la pauvreté, la précarité ont de beaux jours devant elles, le corollaire n’a pas l’air évident pour toi, mais tout cela est lié.



Les méthodes mafieuses des multinationales ne trouvent pas de police en face d’eux, la morale c’est bon pour les petites gens, la plupart y croyant encore…



Bien sûr, magiquement. On peut le constater. <img data-src=" />







1/ Je ne vois rien de démocratique quand les gouvernements (de tout bord) ruinent en douce leurs citoyens sous des prétextes aussi économiquement obsolètes que socialement fallacieux pour servir leurs propres intérêts.



Il est quand même remarquable que les agents économiques qui répondent aux besoins primaires des populations soient cloués au pilori pour les produits/services proposés, alors que les pilleurs légaux spolient à tout va et à grande échelle en toute impunité. Cela en dit long sur l’ignorance en économie.



2/ Les intérêts privés partent parce que leurs intérêts sont simplement en jeu : le cercle est vicieux et n’est pas près de s’arrêter. Il est facile d’imaginer ce qui se passera quand il n’y aura plus de richesses produites. L’égalité par ingénierie sociale forcée est une utopie et a conduit les collectivistes dans les poubelles de l’Histoire.


Le 29/09/2012 à 14h 31







gavroche69 a écrit :



“Donald Reagan” c’était histoire de montrer toute l’estime que j’ai pour le Ronald du même nom…

L’humour ne doit pas avoir assez de valeur marchande pour être pris en considération par ta grandeur je suppose…

Je connais plein de gens qui ont travaillé très dur toute leur vie et qui ne sont jamais devenus “raisonnablement riches” grâce essentiellement à des gens qui raisonnent comme toi et qui pensent que seule une élite à le droit de bien vivre…



Mais sans doute est-ce de leur faute à ces minables à moins qu’ils n’aient été simplement trop honnêtes… <img data-src=" />



Je dis juste que si tu n’es pas très riche c’est que tu n’as pas réussi à être comme ceux que tu admires tant et que donc ta réussite n’est pas à la hauteur de tes belles pensées…

Pas trop frustré j’espère… <img data-src=" />



Enfin, grâce à des gens comme toi on sait au moins pourquoi c’est un tel bordel sur notre belle planète. Et comme disait l’autre : “Pourvu que ça dure !!”…







1/ Je reconnais de l’humour quand j’en vois.



2/ J’apprécie seulement la logique d’un raisonnement quand j’en trouve (rare de nos jours).



3/ Je suis très riche des enseignements qui m’ont permis de ne pas être un assisté. Tu peux en dire autant ?



4/ Les attributions grandiloquentes non justifiées n’amènent pas grand chose (à part le ridicule).


Le 29/09/2012 à 14h 12







paradise a écrit :



On peut parfaitement mettre des limites aux revenus, cf Mélenchon qui n’était même pas si méchant que ça (je n’ai plus en tête son barême).



Une vraie limite serait : par exemple au-dessus de 20 000 euros/mois, 100 % d’impôts, voilà ; une loi, un tour aux Parlements et c’est réglé.







Qui parlait du communisme qui n’était pas une démocratie et qui se permet de fixer arbitrairement des limites sur ce que l’individu devrait posséder au max. comme les communistes ?









paradise a écrit :



Bon, j’arrête le débat.



Liberté, Égalité, Fraternité ! <img data-src=" />







Liberté. Le reste en découle.


Le 29/09/2012 à 14h 08







paradise a écrit :



“Droits inaliénables”, mon cul !



Il y a des règles, des lois, et les peuples ont aussi leur mot à dire afin que certains ne ramènent pas la couverture à eux, ça sert à ça, une démocratie et un gouvernement.



Le système communiste a échoué parce que c’étaient des régimes non démocratiques, mais le modèle actuel commence à lasser, et les gens s’en rendent compte, partout dans le monde.

Il va falloir arrêter un peu ce n’importe quoi sur le dos des gens, l’exploitation des gens, etc…, même en Inde et en Chine ils commencent à faire grève, ils ne veulent pas devenir les nouveaux esclaves modernes des multinationales.



Les gouvernements ne tiennent plus les rênes, et on en constate les effets : on licencie sans arrêt, ici SFR, ensuite Orange, Peugeot, rien ne va plus !



Il faut mettre des limites à l’enrichissement personnel, à la propriété, c’est évident.



Et à nouveau, envoyons l’Armée dans les paradis fiscaux, les fraudeurs y sont !







1/ Ne prévient pas la police (que je paie pour me protéger) la prochaine fois que tu te feras cambrioler.



2/ Les seules rênes que les gouvernements ne tiennent plus, ce sont celles de leurs finances. Quand on est pas responsable de sa gestion, on peut se goinfrer avec l’argent des autres (légalement spolié bien sûr).


Le 29/09/2012 à 14h 01







gavroche69 a écrit :



Pour qu’elles le soient quoi ?

Mal réparties ?

Alors c’est sûr, c’est une grande réussite à mettre à leur actif !!



J’espère au moins que tu es très riche, ça serait ta seule excuse de sortir de telles énormités.

Si tu es juste un peu riche, tu n’es vraiment pas à la hauteur de tes pensées et si tu es pauvre tu mérites vraiment de l’être !! <img data-src=" />







1/ Oui mal réparties : c’est la seule motivation qui existe pour créer de la richesse parce que, lors d’une transaction entre 2 agents économiques quelconques, chacun des 2 espèrent plus de bénéfices de l’opération que la valeur réelle mise en jeu. Il n’y aurait simplement pas de création de richesse si ce n’était pas le cas.



2/ J’ai travaillé dur pour être raisonnablement riche (càd pour ne dépendre de personne en particulier). La “hauteur de mes pensées” ne dépend pas de l’opinion de qui que ce soit, mais de la cohérence de mon cadre de pensée.


Le 29/09/2012 à 13h 55







paradise a écrit :



même si j’en avais les moyens, il ne me viendrait pas à l’idée d’acheter une forêt.



C’est vrai ce que tu dis : il fait bon respirer aux abords des zones industrielles, les propriétaires sont soucieux de leur environnement. <img data-src=" />



Point de jalousie, ni d’envie, je connais trop bien ces milieux friqués pour les envier.

Mais je sais le mal que la richesse entraîne, et je connais mon Histoire.



Mon sens était que dans l’Ancien Régime tout appartenait à l’État, ensuite aux marquis, etc…, et la bourgeoise commençait à exister aussi à la fin de l’Ancien Régime, et même la servitude avait été abolie.

Et en effet, il y a eu une Révolution (trop sanglante OK) pour que chacun puisse posséder un minimum.

Ce n’est pas la propriété qu’on condamne, mais l’absence de limites, nous somme plusieurs à le répéter…

Si la nouvelle noblesse c’est la bourgeoise et haute bourgeoise, c’est qu’il faut refaire des révolutions.







1/ C’est le problème des biens non privés (ici l’atmosphère et comme mentionné au-dessus : Tragedy of the Commons) : il est résolu économiquement par le théorème de Coase (analyse des externalités et définition des coûts transactionnels).



2/ On ne serait pas en train de discuter ici en temps quasi-réel si d’autres n’avaient pas utilisés leur imagination pour créer cette richesse et nous permettre de nous ne servir à un coût dérisoire.



3/ Et personne ne répond à ma question de qui doit poser les limites et quelles sont ces limites.


Le 29/09/2012 à 13h 46







gavroche69 a écrit :



J’avoue que tu as un certain talent pour tourner les choses dans un sens ou dans un autre complètement opposé pour tenter de justifier tes propos… <img data-src=" />



Quant-à Bastiat je ne suis pâs sûr que ce soit vraiment une bonne référence surtout si on considère qu’il était l’économiste préféré de Donald Reagan et autres fondus du libéralisme sauvage… <img data-src=" />

Ce qui explique sans doute pourquoi tu y fais référence d’ailleurs…



Ils refusaient la propriété individuelle pour une majorité dès lors que ça permettait d’accroître la propriété individuelle d’une minorité. C’est le principe même du libéralisme.







1/ Mon propos est cohérent et je évite soigneusement les analogies foireuses ou les exemples tordus.



2/ Je ne connais pas de Donald Reagan pas plus que la définition du ‘libéralisme sauvage’. Je parlais de droits inaliénables (liberté de commercer, droit de propriété).



3/ Le principe du libéralisme est de laisser les gens produire et consommer selon leurs critères, pas de le leur dicter d’en haut parce l’élite considère qu’ils ne sont pas assez intelligent pour le savoir eux-mêmes. Tous le reste n’est que diversion.


Le 29/09/2012 à 13h 40







paradise a écrit :



Non.

Le plus souvent, c’est un besoin créé.

L’invention, elle, crée indirectement l’entreprise/usine pour produire rapidement un produit qui peut se révéler utile : ex le lave-linge.

Facebook n’est pas utile, c’est un besoin créé dans un système consumériste, en l’occurrence de comm’, nuance !





Non plus.

Avant Google il y avait Netscape, Internet existait, il aurait pu évoluer sans Google, et je n’admire pas les marchands de savonnettes.





On en voit la preuve avec les besoins du milliardaire assurément importants, heureusement moins nombreux que les smicards qui ont peu de besoins, eux.

tu parles d’une répartition naturelle !



Tu es sérieux, là ?







1/ Le lave-linge a donc été créé car les femmes ne lavaient pas leur linge à la main avant son invention : intéressant concept.



2/ Et le monde a été créé à partir du Big Bang. Le rapport étant ?



3/ Il y a plus de milliardaires/millionnaires de nos jours qu’au cours de n’importe quelle époque précédente. Personne ne nie que les richesses sont mal réparties : eh ! les gens les créent justement pour qu’elles le soient.


Le 29/09/2012 à 13h 34







gavroche69 a écrit :



C’est bien ce que j’avais compris finalement, les pauvres n’ont qu’à devenir riches au lieu de faire chier le monde.

Pareil pour les malades, z’ont qu’à être en bonne santé au lieu de se plaindre et de creuser le trou de la sécu…



Les anciens régimes favorisaient le droit à la propriété sans limite pour une minorité au détriment de la majorité d’où la servitude de certains qui appartenaient à d’autres qui trouvaient ça très normal au nom du droit à la propriété…

Magnifique contre exemple que celui-ci. Je n’aurais pas trouvé mieux !! <img data-src=" /> <img data-src=" />







1/ On les préfère assistés et votant pour l’assistant de nos jours.



2/ Et donc refusait la propriété individuelle, càd ta thèse. CQFD.


Le 29/09/2012 à 13h 31







paradise a écrit :



Nous sommes d’accord



Il est vrai que les besoins du milliardaire ne sont pas les mêmes que ceux du smicard, on s’en voudrait donc de contrarier les aspirations de notre boulimique névrosé ! <img data-src=" /> Priorité à la liberté d’écraser le voisin, alors laissons faire…<img data-src=" />



Les USA n’ont pas un système capitaliste, donc, bon à savoir. Bonne nouvelle pour les Nord-Américains eux-mêmes, surtout ceux à qui on a spolié leurs retraites, encore un coup des communistes, sans doute ! <img data-src=" />







1/ Tout le monde ne l’est pas.



2/ Qui empêche le ‘smicard’ de se former (c’est gratuitement obligatoire de nos jours) pour aller proposer ses services ailleurs ?



3/ Quelque chose que tu ne comprends pas (peut-être) dans mon post ? Demande.


Le 29/09/2012 à 13h 27







gavroche69 a écrit :



Sauf qu’en démocratie un état est en principe le représentant d’un peuple et que donc ce qui appartient à un état appartient au peuple, en principe…



Bien sûr que si la notion de propriété est purement idéologique, quand tu nais tu ne possèdes rien (à part ton corps effectivement mais ton corps c’est toi ça ne veut donc rien dire) c’est l’éducation que tu reçois qui te rend accroc à la notion de propriété jusqu’à la boulimie pour certains.

Ne pas confondre la notion de propriété élémentaire et instinctive (comme les animaux et leur territoire par exemple) avec la notion de propriété absurde qui fait qu’un seul homme peut posséder un pays entier et même ses habitants par exemple.



Je le répète, ce n’est pas la notion de propriété qui est gênante dès lors qu’elle est raisonnable mais l’abus de celle-ci dont certains ne se privent pas.



Maintenant libre à toi d’admettre le principe qu’une poignée d’individus ou même qu’un seul individu puisse posséder la planète toute entière et même s’il lui prend l’envie de la détruire il en aura le droit puisqu’il en est le propriétaire.



C’est bien ça l’idée non ? <img data-src=" />



Curieuse conception du monde mais bon…







1/ D’autres géants ont déjà répondu :



L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. Car, aujourd’hui comme autrefois, chacun, un peu plus, un peu moins, voudrait bien profiter du travail d’autrui.



L’État, ce n’est ou ce ne devrait être autre chose que la force commune instituée, non pour être entre tous les citoyens un instrument d’oppression et de spoliation réciproque, mais, au contraire, pour garantir à chacun le sien, et faire régner la justice et la sécurité.





  • Frédéric Bastiat, L’Etat



    2/ Qui va décider de ce qui est raisonnable ou pas ?



    3/ Un homme (ou une poignée) qui possède un pays/planète nie par définition le droit de propriété à ses ‘semblables’ : il me semble que j’argumente pour le contraire. Réessaie.


Le 29/09/2012 à 13h 20







paradise a écrit :



Forêt domaniale : j’ai le droit de m’y promener.

Forêt privée, non. C’est peut-être légitime, mais les démocraties pourraient changer cela : limites de la propriété.



Je ne comprends pas : le propriétaire pollue plus que le public, l’inverse, autre ?





Ben tiens… c’est un droit naturel naturel quand une bande de hors-la-loi s’empare d’un rocher comme celui de Monaco ? Et ça fait des princes, des princesses, une noblesse ? <img data-src=" />



Parce que tu es propriétaire de ton corps ça implique que tu peux posséder un pays entier comme dans l’Ancien Régime ? <img data-src=" />







1/ Et ? Personne ne t’empêche d’acheter une forêt (ça ne coûte pas cher) pour t’y promener.



2/ Les biens non privés sont plus pollués parce que tout le monde s’en fout (pour parler clairement).



3/ La jalousie est une mauvaise conseillère.



4/ Les anciens régime sont caractérisés par la négation de la propriété individuelle (servitude) : l’exemple va donc dans mon sens.


Le 29/09/2012 à 13h 13







jethro a écrit :



ça c’est dans les livres et/ou pour les actionnaires historiques.

Dans la vraie vie, c’est une autre histoire.

Ma boite a été rachetée par un fond d’investissement avec un LBO.

Résultat, malgré une marge brute de 50%, il n’y a plus un rond dans les caisses. Tout part en remboursement de la dette.

Les actionnaires ? Une nuée de sauterelles qui bouffent tout sur leur passage !<img data-src=" />





Ce type de montage est courant pour une simple raison : les taux d’intérêts sont quasi-nuls de nos jours (Zero Interest Rate policy) car manipulés par les banques centrales (les États) pour ‘stimuler’ l’économie.



C’est l’exemple type de répartition foireuse de capitaux (misallocations en anglais) qui ruine une économie, car les taux d’intérêts, qui sont censés représenter le prix réel de l’argent et donc le sens de l’activité économique (rapport temporel entre la production et la consommation, ce que les économistes de langue anglaise abrègent en ‘time preference’) sont faussés et signalent aux producteurs d’investir alors que rien dans l’économie réelle ne le demande (c’est à dire que les businesses marginalement non-profitables le deviennent, mais ne le sont en fait pas économiquement parlant). Tous comme des prix faussés induisent en erreur les consommateurs.


Le 29/09/2012 à 13h 01







the_frogkiller a écrit :



1/ je parlais globalement. si la production de richesse dans un pays donné ou dans le monde à une valeur X demander systématiquement une rentabilité supérieur à X ne peut pas tenir globalement car forcement pour avoir ce chiffre il faut prendre à d’autres.



2/ pourquoi me parler du droit à la propriété? j’en ai pas fait référence.

sauf que dans la vrai vie ce n’est pas forcement vrai. typiquement le cas de la viande de port acheté par la grande distribution au cout de revient voir moins chère que cela. peut on vraiment parler de bénéfice mutuel? et pareil pour la plupart des produits fabriqués en chine pas cher certes mais dont on ne tien pas compte des couts écologiques et humains.

les choses ne sont pas équilibrés de nos jours et de moins en moins. la redistribution des bénéfices du travail est de plus en plus faible pour les salariés. les grosses sociétés sont de plus en plus grosses grâces à des processus de fusions/acquisition qui font que ses structures ont de plus en plus de pouvoir. reparlez moi d’équilibre….



il y a moyens de concilier l’envie d’entreprendre, la possession en gros un système à économie de marché avec une meilleur répartition afin d’assurer le minimum vital pour tous. mais voilà le système actuel se maintien car ceux qui sont à la tête n’ont pas envie de perdre leur pouvoir, les personnes en dessous veulent garder le peut de chose qu’ils ont et d’autres encore on intérêt à une société inégale afin de justifier leur existence (états, religions, politiques ect ect)







1/ La réponse est que les entreprises ont pour but de créer de la richesse en produisant des produits/services pour répondre à la demande/aux besoins des consommateurs, pas de ruiner leur business en le gérant à court terme. Les actionnaires d’une entreprise le restent généralement très longtemps (j’ai par exemple des actions dans diverses entreprises depuis 25 ans, évidemment, cela ne fait pas la une des journaux). Il y a des prédateurs dans le business ou la finance ? La belle affaire. Qui a dit que la vie était facile ? De nos jours les gens préfèrent se plaindre en permanence, surtout en sirotant leur bière devant un match de foot sur TF0.



2/ Google n’existait pas il y a 15 ans. Rien n’empêche personne de créer un business à xx milliards de $/€. Tu n’as pas d’imagination : remercie ceux qui en ont pour toi et t’en font profiter à un coût modique.



3/ La répartition optimale dépend des besoins des gens et ces besoins sont tous différents. Personne, et encore moins l’État, ne peut les connaître à part les gens eux-mêmes. La répartition se fait naturellement de gré à gré au cours du temps par l’échange mutuellement consenti (car bénéfique). Ce sont les interférences et le parasitage du système par les prédateurs légaux qui empêchent et/ou retardent l’optimum de répartition de survenir.


Le 29/09/2012 à 12h 44







paradise a écrit :



Oui, mais ce sont des dogmes : la propriété c’est bien joli quand on est propriétaire de quelque chose…



Et entre être propriétaire d’une baraque à 1 millions d’euros et être propriétaire (c’est déjà beau) d’un studio merdique, la “prospérité” fait pâle figure.



Le problème étant les écarts beaucoup trop importants entre les individus, du coup la prospérité se prend une claque, la “liberté” aussi quand t’as rien, les biens et argent issus de l’héritage venant aussi creuser les inégalités.



Personnellement, je crois de moins en moins à la “propriété” comme une condition de la “liberté”.



Le système économique fou et sauvage n’assurent pas forcément la prospérité des populations : il n’est qu’à considérer le nombre de pauvres en pourcentage entre les USA, le modèle capitaliste parfait, et celui quasi inexistant dans les pays nordiques : il y a bien différentes façon de considérer le capitalisme, la propriété, et une société solidaire.



La précarité de l’emploi étant une conséquence de la folie capitaliste actuelle, de la spéculation sans barrières, d’un monde à part sans lois, et là ça ne va pas.





1/ Les droits naturels (vie, liberté, propriété) existent par eux-mêmes sans condition. Ils n’ont pas été créé/donné par qui/quoi que se soit.

2/ Par définition, il ne peut exister d’égalité dans une société avec des membres tous différents et avec des besoins différents.

3/ Les USA, un système capitaliste ? Un vrai système capitaliste, c’est un système où la valeur de la monnaie est dictée et appréciée par le système lui-même. Les USA et l’Europe ont une monnaie nationalisée et émise par le bras armé des Etats (banque centrale FED/BCE). L’économie est dirigée (avec les conséquences que l’on subit actuellement) d’en haut par la manipulation des taux d’intérêts et l’impression de monnaie à la demande (à l’infini de nos jours) par les gouvernements conduisant au trou noir des dettes souveraines.



Il a existé pendant l’Histoire des systèmes proto-capitalistes et quasi-capitalistes : ils sont caractérisés par des périodes de stabilité économique et de prospérité pour tous (ayant tous en commun un système monétaire inélastique = or).


Le 29/09/2012 à 12h 31







gavroche69 a écrit :



Pour la liberté je suis d’accord, c’est incontestable. Encore qu’il est bien connu que la liberté des uns s’arrête là où etc…



Pour la propriété ça dépend jusqu’où ça doit aller et je pense qu’il devrait y avoir des limites. J’ai appris récemment qu’une société d’assurance (enfin ses dirigeants) étaient carrément devenus les propriétaires d’une montagne entière (en France). Donc les gens n’ont plus le droit de s’y promener sans demander l’autorisation… <img data-src=" />

La propriété à ce niveau là, c’est tout simplement débile.



Il y a des choses qui ne devraient jamais pouvoir devenir la propriété de quelqu’un et donc rester la propriété de tout le monde.



Ce sacro-saint droit à la propriété sans limite a engendré bien trop de malheurs au cours des siècles.



Mais bon, pour que ce système perdure il faut bien qu’il ait des adeptes comme toi…





1/ Cela ne gène personne que les États soit propriétaire de 80% des forêts dans le monde. Pourquoi devrait-il être gênant qu’une société possède une montagne ou une île ou n’importe quoi d’autre : le vendeur de la montagne en était le propriétaire légitime, le nouveau en est le propriétaire légitime. Il n’existe que très peu d’États dans le monde où des lois ne garantissent pas les droits de propriété.



2/ Concernant “des choses qui ne devraient jamais pouvoir devenir la propriété de quelqu’un et donc rester la propriété de tout le monde”, c’est l’un des pires arguments qui existent pour refuser le droit de propriété (Tragedy of the Commons). On voit d’ailleurs, concernant en particulier le problème de la pollution, que toutes les parties communes de la planète (terre, air , mer) sont les plus polluées pour la simple raison qu’un propriétaire a comme motivation primaire de préserver le capital de sa propriété, alors que cette motivation n’existe pas pour un bien commun.



3/ La propriété est un droit naturel (tu es propriétaire de ton corps), cela n’a rien d’idéologique.


Le 29/09/2012 à 08h 52







gavroche69 a écrit :



Les actionnaires tels que tu les décrits n’existent plus.

Maintenant il faut des gains au pourcentage à 2 chiffres sur des délais très courts. C’est pourquoi tant de boîtes parfaitement rentables licencient quand même pour faire plaisir aux actionnaires qui veulent gagner toujours plus et toujours plus vite…



Exemple Sanofi qui annonce le licenciement de 900 personnes alors qu’ils ont fait plus de 8,8 milliards d’euros de résultat net en 2011… Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.



Ah l’éternelle justification moisie qui veut absolument faire croire qu’il n’y a d’autre alternative au libéralisme sauvage que le communisme pur et dur…

Vaste débat… <img data-src=" />



Reste que de plus en plus d’économistes (pas forcément des gauchistes) pensent qu’un autre système plus juste pourrait exister.







1/ Les petits actionnaires existent et forment la majorité des porteurs d’action : ils ne sont simplement pas visibles parce que les désinformateurs usuels (TV, radios, journaux) n’en parlent pas ou que s’ils sentent l’odeur du sang.



2/ Tu connais donc les futurs mauvais résultats de Sanofi avant Sanofi lui-même pour 2012, 2013 et les années suivantes : quelle prescience.



L’ajustement des facteurs de production (force de travail comprise) est une action préemptive dans toute entreprise normalement managée, pas un palliatif ou ne visant que l’intérêt à court terme des actionnaires. Il faudrait peut-être passer outre les clichés radotés en cœur par les sensationnalistes sus-cités.



3/ Voir mon post précédent pour ce qui est des “économistes (pas forcément des gauchistes) pensent qu’un autre système plus juste pourrait exister”. Le seul système juste est celui où l’individu est libre.


Le 29/09/2012 à 08h 40







the_frogkiller a écrit :



1/ pas toujours car pas mal veulent des dividendes supérieurs à la croissance ce qui est une absurdité globalement et qu’ils peuvent les retirer leurs billes sans problèmes si le vent tourne, exceptions des cas d’éffondrement (eurotunels ect)



2/ pourquoi ne prendre que le systèmes passés? manque y’on si cruellement d’imagination pour ne pas en inventer de nouveaux?







1/ Les dividendes sont proposés et approuvés ou non suivant les résultats (profits) de l’entreprise. La croissance n’a rien à voir. Les actionnaires ne sont pas plus protégés que les salariés quand une entreprise est en difficulté : le salarié a toujours la possibilité de partir proposer ses services ailleurs alors que l’actionnaire y laisse généralement la valeur de ses actions.



A moins que le but d’une entreprise soit de faire systématiquement faillite, je ne vois pas l’intérêt pour un actionnaire (ou plus généralement qui que se soit qui est propriétaire d’un bien) d’obtenir plus que ce que ce même bien peut dégager économiquement.



La seule entité intervenant dans l’économie à ruiner systématiquement son activité est l’État.



2/ Personne n’a encore imaginé un meilleur système pour la simple raison que l’actuel est basé sur des valeurs basiques inaliénables (droits naturels) telles que la liberté et la propriété :




  • a) la liberté d’échanger et de partager (commercer) est mutuellement bénéfique aux individus s’y engageant et permet la création de richesse et sa redistribution naturelle ;

  • b) la propriété (chaque individu est propriétaire de lui-même) permet l’épanouissement de l’individu et la fixation des règles nécessaire à la cohésion sociétale.



    Il n’y a pas de société (prospère) sans droit à la liberté et à la propriété.

    Le reste en découle simplement.


Le 29/09/2012 à 06h 53







gavroche69 a écrit :



Il faut juste ne pas oublier que quand une boîte va mal dans n’importe quel domaine d’activité, c’est toujours les mêmes qui trinquent, les actionnaires et autres parasites passifs ne sont jamais concernés.



Il me semble que la logique voudrait que soit on change radicalement de modèle économique au niveau mondial, soit on accepte un minimum les règles de ce modèle là. Le “beurre et l’argent du beurre”, ça ne peut pas durer éternellement dans ce système.





1/ Les actionnaires sont en première ligne quand une entreprise est en difficulté parce que c’est avec leur argent qu’elle a pu fonctionner jusqu’alors. Les parasites (bureaucratie, politiciens) sont généralement ceux qui ont causé les problèmes (régulations, subventions, etc).



2/ Les autres systèmes ont démontré historiquement qu’ils conduisaient à bien pires (mais les gens ont la mémoire courte). Ils n’existent plus pour ces bonnes raisons.


Le 29/09/2012 à 20h 35



pour gérer vos données personnelles, ne comptez pas sur les autres





On pourrait même généraliser avec :



pour gérer vos affaires personnelles, ne comptez pas sur les autres.

Le 28/09/2012 à 20h 56







Horrza a écrit :



2000 milliards d’euros de dettes.

Pourquoi ?

Pour faire passer la pilule des délocalisations qui sont la destruction d’emploi ICI et la création des mêmes emplois et de l’industrie attenante LA-BAS et de l’ouverture des frontières : importation de main d’oeuvre taillable et corvéable à merci : l’immigration.

Industries inventées en Occident et qui ont disparues :

Bijouterie

Horlogerie

Textile

Chaussure

Jouet

Informatique

Electronique

Meubles

ETC

Maintenant, c’est le tour des SERVICES.

Qu’est-ce que nos gosses vont devenir ?

Ceux qui ne pourront pas faire une classe prépa, ou un BTS, c’est à dire la majorité ?

Que vont-ils devenir, trahis par leurs élites ?







Tu devrais commencer à jeter ce téléphone portable et toutes ses applications qui rendent du jour au lendemain obsolètes :



les Rolodex,

les classeurs,

les radios,

les téléphones fixes,

les caméras,

les appareils photo,

les montres,

les alarmes,

les calculatrices,

les ordinateurs,

les CDs, DVDs et BRs,

les niveaux à bulle et autres instruments de mesure,

les enregistreurs,

les baladeurs,

les moniteurs de pression sanguine et cardiographe,

les lampes de poche,

les albums photos,

le papier et l’encre (comme

les cartes,

les calendriers,

les bloc-notes,

les livres,

les enveloppes,

les tickets d’avion,

les journaux),

etc,



des choses qui pour beaucoup ont été crées en Occident. Tes gosses s’adapteront et ils construiront le monde qui leur convient en supprimant les technologies dépassées, comme l’Homme l’a fait depuis la nuit des temps.


Le 28/09/2012 à 12h 20







carbier a écrit :



Ah oui quand même…

Ceux qui ne sont pas capables de subvenir à leur besoin dans ta société idéale, ils se suicident ou on les aide ?



Ce qui est drole (j’utilise ce mot pour être poli) dans ton raisonnement c’est que tu ne conçoit les échanges et/ou le travail que sous leur aspect mercantile…





Pas vraiment. Il fut des temps (lointains il est vrai) où les communautés prenaient en charge ceux qui ne pouvaient subsister seuls. On aidait les nécessiteux, et chacun était non seulement libre mais moralement libéré d’aider, en fonction de ses moyens ou de ses critères propres (pour comprendre comment cela était possible, étudie comment fonctionnent les projets Kickstarter).



La pseudo-modernité est de penser que la collectivisation de cette aide (par le clergé par la culpabilisation, puis par l’État par la force) a été un progrès. Le mercantilisme n’est qu’une conséquence de cette collectivisation, le repli de l’individu face à la confiscation de ses biens et à la négation de ses droits à donner à qui il veut. N’est pas humaniste qui voudrait.


Le 28/09/2012 à 11h 22







Alucard63 a écrit :



Ca je n’en suis pas certain…<img data-src=" />



Les entrepreneurs et les travailleurs ont pour but leur seul profit, mais ils sont libres de le distribuer à leur convenance (pas par la coercition) et selon leurs propres critères (pas de pseudo-jugements moraux passéistes).










Mon erreur, j’aurais dû écrire plus précisément pas de pseudo-jugements moraux passéistes obsolètes que des doctrinaires fascisants ont tenté et tentent toujours de faire passer pour humanistes et progressistes









Alucard63 a écrit :



L’éducation nationale est comme toutes les catégories socio professionnelle elle a ses intérêt politique et ses à priori…tout comme la tienne surement.<img data-src=" />





Mon activité et moi-même ne nous réduisons pas à une catégorie plus ou moins bureaucratiquement et arbitrairement cataloguée pour faire jolie dans les tableaux des statistiques (supra-)nationales (et utilisées à tort et à travers par ces mêmes gratte-papiers pour ‘diriger’ l’économie, càd mon activité et moi-même). L’intérêt que j’ai à avoir mon activité est qu’elle me plait autant économiquement que professionnellement.