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QB

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On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
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1 commentaires

1 500 informaticiens « crypto-sceptiques » interpellent le Congrès américain

Le 23/06/2022 à 09h 15


Patch a dit:


Je ne savais pas que l’eau augmentait ou diminuait son débit en fonction de la demande. Pareil pour le vent.




Pour l’eau, les barrages adaptent bien-sur le débit au besoin dans les limites des capacités des retenues d’eau et autres contraintes environnementales.
Pour l’éolien, les pales s’adapte aussi pour réguler la vitesse de l’éolienne dans la limite également de certaines contraintes techniques (vitesse du vent, limite vitesse max de l’éolienne, bruit, etc…). Une pale d’éolienne fonctionne comme une aile d’avion, on augmente l’angle d’attaque pour augmenter la portance et donc augmenter la vitesse de rotation (https://energieplus-lesite.be/theories/eolien8/aerodynamique-des-eoliennes/)



Mais il y a aussi une méconnaissance du fonctionnement d’un réseau électrique. Les ENR, sont des énergies non fiables, non pilotables. Dans le sens où, quand il n’y a plus assez d’eau dans la retenue du barrage par manque de pluie, d’une situation venteuse à une situation sans vent, idem avec le soleil, une grosse couche nuage peut se former rapidement, on perd une capacité de production qu’il faut combler immédiatement.
C’est pour cela que les centrales (gaz, charbon, nuc) sont toujours en appui et produisent toujours en surplus afin de palier une baisse rapide. L’énergie de ces centrales est pilotable mais demande quand même une certaine période pour s’adapter. D’où la nécessité de produire en surplus afin de palier les fluctuation de ses sources non fiables.