Un député est l’élu de ses administrés, pas de son parti politique, et à partir du moment où les questions choisies sont filtrées par le prisme politique du député, ça tient plus de la com’ que de la démocratie participative.
D’autant plus que les députés reçoivent déjà du courrier par voie postale ou mail dont ils se servent déjà pour établir leurs questions.
Rien de révolutionnaire, donc.
Un site où les administrés du député peuvent poser des questions, voter, s’entraider à la rédaction des questions, et où la plus votée est choisie, avec une communication suffisante pour que tous les administrés soient au courant, j’aurais applaudis, mais là, ça tient plus de l’effet d’annonce.
On peut pas systématiquement critiqué. Je te l’accord on pouvait déjà adresser des questions à nos députés (et d’ailleurs la mienne avait été posée, mais on attend toujours la réponse depuis 2008 ^^ ) mais l’idée d’une plateforme est louable.
Bon par contre là où tu as totalement raison, c’est que le pouvoir parlementaire est totalement méprisé par l’exécutif, par conséquent si la faculté de poser des questions au gouvernement par un député au travers d’une plateforme doit être mise au crédit de ces deux députés, elle reste néanmoins d’un intérêt très modéré.
Le
01/03/2018 à
14h
31
Alors le choix est certes délicat, mais je trouve qu’à l’exception de la 4° question sélectionnée, les trois autres pouvaient être laissées de coté par rapport à bien d’autres (dont la mienne naturellement qui était la plus mieux cela va sans dire).
Bon d’un autre coté, si par malchance un débat s’instaure à l’Assemblée il sera réglé à coup d’ordonnances, donc je sais même pas pourquoi j’ai posé une question… ^^
Quel bonheur d’avoir en accès libre et gratuit le charabia des administrations, au nom de l’humour quelques extraits:
“Beaucoup d’enjeux se nouent autour de la donnée pour l’action du MEEM” suspens insoutenable !
ou
“Dans l’ensemble des ministères, le MEEM occupe une place très particulière. En effet, son champ de compétences, par essence territorial et environnemental, l’a conduit à mettre en place des opérateurs (par exemple Météo France et IGN) dont la mission est de produire de la donnée. Cette donnée de base est produite selon des exigences de qualité élevées qui font de ces produits une véritable infrastructure collective, c’est-à-dire un socle permettant le développement de l’activité de l’ensemble des acteurs de la société. ”
De même,
“Les éléments qui précèdent justifient l’intérêt d’instaurer une mission de supervision des données du ministère chargée de définir et de conduire une politique ministérielle de la donnée. Elle serait indubitablement un apport conséquent au service de la transition, de la modernisation de l’administration du ministère et de l’encapacitation des acteurs”.
Donc au final et après 30 pages de rapport, on va pas tarder à décider de faire un truc " />
Et certains veulent faire du datamining en partant d’une matière première qui veut rien dire à la base ? ^^
Échange de bons procédés ? Y’a-t’il réciprocité, c’est-à-dire les entreprises Européennes sont-elles aussi habilitées à aspirer les données des citoyens Américains?
On est d’accord, tu te poses la question uniquement pour la forme?
Non parce que le dossier du Privacy Shield il a une certaine antériorité, il débute avec les données PNR où les CNILS et le Parlement Européen se mobilisent contre pour être trahis par les Etats dont la France au travers de la Commission Européen.
De là débute le leurre de l’équivalence des protections avec les USA et le développement du Safe Harbour (qui fini malgré tout par se faire censurer par la CJEU) puis du Privacy Shield… On sait depuis l’origine (cf les données PNR) qu’on fait de l’espionite généralisées des populations sous prétexte de lutte contre le terrorisme et la délinquance internationale, avec au passage au gros volet intelligence économique.
Le
28/02/2018 à
13h
45
numerid a écrit :
Je crois qu’il se prend pour le roi Soleil, la protection des arts, sciences et lettres en moins…
C’est exactement ça, ou le bourgeois du 19° sans ses œuvres…
Le
28/02/2018 à
13h
34
Ecoeurante la “startupnation”, dommage qu’on puisse pas la disrupter à coups d’Ipompe dans l’oignon Artificiel avant 4 ans!
J’espère au moins qu’on la blockchainera aux élections intermédiaires ^^
JE suis désolé d’avoir plus ou moins jasé. Ne te méprends pas : j’adore les rasp et je trouve que c’est très sous-utilisé et très pertinent dans bcp de cas. Mais en condition, je veux dire en salle de classe lambda, là où il est facile de distribuer des tablettes avec tout ce qu’il te faut directement embarqué et piloté par le prof, ton rasp il faut aussi l’accompagner d”un écran, une souris, un clavier, tous les logiciels qui vont bien, etc.
Finalement à un moment, quelque soit le support, ce qui compte c’est l’usage potentiel et effectif d”un matos dans la pédagogie du prof. Aujourd’hui certaines tablettes offrent un peu tout ce qu’il faut, à des degrés plus ou moins variés. Oui une liseuse est mieux pour la lecture, mais ne permet pas plein de trucs que permet une tablette.
Et regardons un peu du côté logiciel : aujourd’hui, la plus grosse part des créations de logiciels bien pensés dans un cadre éducatif, la production de ressources éducatives etc. et bien elle se fait bcp sur OS mobile. Plein d’applis à petite dose peuvent apporter dans tel ou tel domaine, ou sur tel point précis du pgm.
Tu peux mettre un android sur un rasp (mais ça implique alors d’ouvrir un compte chez google).
Coeur2canard a écrit :
Je me suis certainement mélangé les pinceaux entre plusieurs commentaires je te prie de m’excuser. " />" />
" />
Le
28/02/2018 à
11h
57
Coeur2canard a écrit :
Ah oui donc au moment de faire une activité sur le web dans une école (où il n’y a pas de salle info) ou dans un collège tu vas déposer un raspberry sur les bureaux?
En passant sache que de plus en plus de profs de techno font des trucs avec des raspberry, dans le cadre de la programmation d'un robot à titre d'exemple. Y a de l'arduino aussi. MAis tu parles de choses différentes que tu mets dans un même panier. Il y a plein d'usages possibles derrière une tablette : ca va dépendre déjà de la configuration de l'équipement (collectif ou individuel déjà ca change bcp de choses), du projet éducatif, des envies et des compétences / connaissances de l'enseignant.
etc…
Je suis curieux de savoir ce que tu estimes ne pas être faisable avec un rasp (peut-être pas le zero , mais un B+ ), car tu peux faire du traitement de texte, du tableur, de la vidéo, de la 3D et de la prog etc... et des projets de techno.
La différence étant que tu es sur un matos et des logiciels unifiés et libres pour 70-80 € avec un petit écran, là où tu veux un engagement sur des tablettes à 300 € qui seront en rade dans 3 ans.
Coeur2canard a écrit :
Et donc l'ouvrier chez
airbus n’a pas d’ordi ou de tablettes chez lui, c’est un analphabète du
numérique qui n’a pas besoin de savoir faire des recherches approfondies
(car oui ça s'apprend) sur le web, faire de la breautique voire
soillons fou faire tout un tas de trucs avec un ordi? (de la retouche
photo à la tenue d’un blog?) Quel est le but de l’Education pour toi?
Quant à la place de la filière papier, tu fais preuve de mauvaise foi.
Bien sûr que les habitudes liées au papier ont la vie dure, mais tu peux
aussi voir qu'il y a une grande hétérogénéité aussi dasn le milieu de
l’entreprise. Certains ont dématérialisé à fond, de plus en plus de
commerciaux n’ont plus un catalogue mais une tablette sous le bras,
tablettes qui peuvent aussi servir de caisse enregistreuse. Et les
agendas numériques. Et juste le mail VS la lettre par la poste. Si tu ne
vois pas que l'évolution des dernières années tend à la
dématérialisation quand même je ne vois pas ce qu’il te faut. Même si
oui des tétrachiées de papier sont toujours imprimées et gaspillées.
Je t’invites à lire à quoi je répondais, ça t’évitera de sortir des énormités sur un ton péremptoire et de troller inutilement. J’ai répondu à une affirmation consistant à prétendre qu’on devait laisser tomber le papier et l’écriture manuscrite.
Ca doit être intéressant tes interventions si tu lis les énoncés avec la même attention…
Le
28/02/2018 à
09h
18
spidermoon a écrit :
Construire des smartphone dans des usines, dormir dehors, fumer de l’herbe, tabasser ces nullos de chefs " />
" />
Le
28/02/2018 à
09h
14
Z-os a écrit :
Et financer l’économie anglaise ?! Non mais oh ! " />
Edit : correction du coup intéressant en coup douteux ;-)
Avec un peu de bol avec le brexit ils viennent en UE et hop ^^
Le
27/02/2018 à
18h
33
fred42 a écrit :
On n’aura plus de papier dans les bureaux quand on n’en aura plus dans les toilettes.
" />
Enfin, c’est ce qu’on disait quand je bossais dans les imprimantes.
" />
Le
27/02/2018 à
18h
29
wagaf a écrit :
Pour tous les exemples que tu mentionnes l’utilisation du papier va progressivement être grandement réduite voire disparaitre et ça a déjà commencé.
Perso je n’ai pas eu à écrire à la main depuis des semaines.
Alors si c’est un prophète qui le dit, j’espère que c’est pas le même que celui qui annonçait à la fin des années 90 la mort du papier et du livre ^^
Le
27/02/2018 à
18h
27
pascal.petit a écrit :
Il faut ajouter le prix de l’écran (non négligeable).
On peut partir du principe que chaque foyer à un écran (TV au moins). Ou alors envisager un écran pour rasp, ce qui là encore est nettement moins cher qu’une tablette ou un portable, un 7’ c’est 40 €, ça me semble pas fou si là encore on fait des achats groupés (et d’expérience un rasp a une durée de vie incomparable avec une tablette).
Le
27/02/2018 à
18h
22
wagaf a écrit :
Probablement un monde où les informations seront en ligne ou dans un système d’information bien plus fréquemment que dans un polycopié ou un bouquin papier.
Etrange, je vois ceux qui bossent comme ouvriers chez airbus ben ils sont sur du papier (après impression des boulots depuis alfresco & co), je vois ceux qui bossent comme administratifs/secrétaires ils passent leurs temps à imprimer des trucs, je vois les commerciaux ils sont toujours avec des plaquettes à la main et des contrats papiers, je vois mon médecin il fait tout par papier et je vois mon cas personnel ben je déforeste sévère ^^ , ce que confirme la filière papier qui ne cesse de dire que la demande ne fait qu’augmenter. L’ère numérique a pas remplacé le papier, elle ne fait qu’accroitre les trucs qu’on imprime.
Le
27/02/2018 à
18h
01
wagaf a écrit :
La vraie vie comme son nom l’indique c’est ce que ces enfant vont réellement vivre plus tard.
Et du coup c’est quoi qu’ils vont vivre plus tard ?
Le
27/02/2018 à
18h
00
tazvld a écrit :
Personnellement, je ne suis pas fan de la tablette. Je préfère mille fois mieux que l’on utilise une grosse liseuse à la place comme celle que Sony avait présenté, un écran e-ink est largement suffisant. Derrière, on vire tout les manuels scolaires et on fournis à tous une copie numérique. De même, les bouquins chiants d’auteurs morts et bouffé par les vers qu’on nous demande de lire en français, c’est déjà dans le domaine public, donc ça ne coute rien à les fournir en ebook (au lieu d’avoir à acheter 4 fois une version bien spécifique de Bel-Ami).
Derrière, avec un logiciel bien spécifique, les prof peuvent contrôler les liseuses (bloquer par exemple les documents accessibles durant leur cours), fournir directement les exercice dessus, les élève peuvent gribouiller autant qu’il veulent les copies numériques des livres, remplir les exercice donné par les prof et les envoyer directement.
Sur raspberry tu as tout un support logiciels pour apprendre à programmé notamment aux enfants, un raspberry type zero coute 15€, idée que si on fait une commande groupée de l’Etat on doit pouvoir le toucher pour ce prix plus la carte, le cable micro-HDMI, le chargeur et un petit clavier.
Si on veut apprendre les bases de la prog dans les écoles tout en garantissant un accès à tous au matos nécessaires, c’est l’outil idéal.
Et pour le coup, on évite des montages curieux avec des grosses boites, tout est libre sur le rasp.
Le
27/02/2018 à
17h
54
Ricard a écrit :
Bah, ça aurait pû être pire… Genre cours d’équitation obligatoire.
BYOD…. Yiiiihaaaa." />
" />
Le
27/02/2018 à
17h
52
wagaf a écrit :
Les livres ou documents papiers n’ont aujourd’hui plus aucune raison d’exister dans ce type de contexte. Le but de l’école reste de préparer les élèves à la vraie vie. Soyons clairs: un livre physique n’a aucun avantage relativement à un document numérique. Même si c’était le cas c’est simplement ce que les élèves rencontreront plus tard dans la vraie vie.
Alors comme un gamin n’est véritablement capable de faire preuve d’abstraction que vers 7-8 ans, le support physique est loin d’être inutile (déjà qu’on plante depuis des années l’enseignement des mathématiques ainsi, si on pouvait pas planter le reste…).
Par contre j’aimerai connaître ta définition de la “vraie vie” ? " />
Le
27/02/2018 à
17h
49
C’est une excellente idée, car l’éducation nationale a maintenant surmonté toutes les difficultés; enseigner à tous en dépassant les inégalités sociales, en ne perdant pas son temps à changer de programme tous les 5 ans, à donner le gout des sciences et à transmettre un bagage culturel permettant de faire preuve d’esprit critique …
Alors maintenant c’est normal, il faut une tablette pour chaque élève, c’est la priorité ! En plus c’est un support génial pour faire des recherches et taper des trucs, c’est notamment très adapté pour apprendre à programmer…
(Si encore ils proposaient un raspberry… là on pouvait discuter…, ils ont du prendre le même conseillé qu’à l’époque de Fabus pour le plan informatique et le MO5… )
Système National d’Information Inter-régimes de l’Assurance Maladie (SNIIRAM) is the new name of Système Automatisé pour les Fichiers Administratifs et le Répertoire des Individus (SAFARI). " />
" />
Le
27/02/2018 à
16h
50
Groupetto a écrit :
L’horreur totale, on peut difficilement faire plus sensible, comme données…
C’est très décevant et j’espère que ça ira à des sanctions pénales en cas de manquement grave.
Je vois mal comment les amendes pourraient changer grand-chose, sachant qu’elles seront de toute façon réglées par les contribuables (et victimes…)
Surtout que s’il est mis en avant la RPGP, les textes qui imposent des obligations précises et sanctionnées (notamment pénalement) existent depuis des lustres et plus encore avec la Loi sur les données de santé de 2016…
Néanmoins et si certains manquements semblent grossiers, je note aussi (pour connaître des prestataires dans ce milieu) que des décrets d’application manquent sur certaines obligations techniques (plus exactement ce qui est attendue comme degré de sécurisation).
Ce que l’on appelle “droit à l’oubli” est l’application directe de la directive 95/46/CE sur la protection des données personnelles qui est (à peu près) au niveau européen ce qu’était la loi du 6 janvier 1978.
Le moteur de recherche est considéré comme un traitement de données à caractère personnel. Il s’agit clairement du droit d’opposition au traitement de la loi française de 1978 qui a été repris dans la directive.
Voir l’arrêt de la CJUE pour plus de détails. Et tu liras cela mieux que moi.
Oui on est bien d’accord, le droit à l’oubli recouvre en fait la notion de droit à l’effacement de l’article 36 de la Loi de 1978. Avec l’évolution du droit d’opposition vers le principe du consentement de la directive de 95-CE et sa transposition en 2004, le droit à l’effacement était créé tel qu’on le connait.
C’est pour ça que je trouve ridicule que la CNIL notamment nous fasse tout un discours sur la consécration d’un droit nouveau, le droit à l’oubli. Il existe pas ce droit, y a un droit à l’effacement et c’est d’ailleurs sous ces termes qu’il est visé dans la RGPD.
Le
27/02/2018 à
16h
44
psn00ps a écrit :
Pour un lecteur de NXI suffisament INpliqué, c’est valable.
Pour un possesseur de smart… ce qu’on veut et/ou un utilisateur de Chrome, soit la plus grosse partie des gens connectés d’aujourd’hui, Google est partout.
Naturellement.
L’essentiel des personnes s’informe en passant par un moteur de recherche en particulier Google. Et même si je visite régulièrement mes sites d’infos favoris directement, je fais aussi des recherche sur des moteurs afin de voir si un article nouveau est sorti sur un sujet qui m’intéresse sur un des sites/journaux que je ne visite pas régulièrement etc…
En outre l’info c’est pas uniquement la presse journalistique. Lorsque je veux trouver une personne sur le net, ou encore apprendre le mysqli comme ce WE, ben je lance une recherche pour trouver l’information.
Prétendre que de déréférencer un lien sur les moteurs de recherche n’entrave pas l’accès à l’information recherchée me semble pour le moins curieux…
Le
27/02/2018 à
15h
18
WereWindle a écrit :
vois sa comparaison ainsi alors (si je dis pas de connerie, c’était sa vision initiale) : empêcher google de référencer des articles, ça reviendrait à autoriser les organes de presse à écrire et imprimer leur journaux mais leur interdire de les distribuer en kiosque et ne leur laisser les fournir que si celui qui veut lire connait l’adresse exacte de l’éditeur du journal (adresse qui n’est plus présente dans aucun annuaire.
tu vois mieux ?
" />
Le
27/02/2018 à
11h
55
Winderly a écrit :
Je ne vois pas le rapport entre cette explication et la comparaison.
papier = support d'accès à l'information
moteur de recherche = support de référencement de l’information
Dans les deux cas se sont des vecteurs d’accès à l’info.
Le
27/02/2018 à
11h
11
Winderly a écrit :
Tu dis qu’imprimer un article est pareil que référencer un article ?
Non (et j’ai précisé que la comparaison était limite), je dis que google et & co (les moteurs de recherche) est un élément essentiel de l’accès à l’information, et que déréférencer une information porte nécessairement atteinte au droit à l’information.
Le
27/02/2018 à
10h
38
Jarodd a écrit :
Google ne la référence plus, cela ne signifie pas qu’elle n’est plus en ligne. Tu peux donc toujours y accéder.
A la condition de savoir où l’article est disponible. La comparaison est un peu limite mais bon, c’est comme si on disait que les journaux n’ont plus le droit d’être imprimés, mais qu’il n’y a aucune atteinte à la liberté d’expression parce que tu peux toujours aller au siège des journaux pour interroger les journalistes.
Le
27/02/2018 à
10h
32
tpeg5stan a écrit :
On remarque que :
-118712 et autres services d’annuaire: il suffit de demander à son opérateur de cacher son numéro (5 minutes chrono et peut-être une dizaine de clics chez free)/ sur des sites similaires une simple demande de retrait fonctionne.
Demander à Google d’appliquer le droit à l’oubli est d’un amateurisme pour ce genre de cas…" />
C’est surtout la démonstration de la non application du droit d’opposition (78), puis du principe de consentement (2004).
Mais la CNIL préfère mettre en avant ce “droit” à l’oubli pour cacher la misère de la non application de la réglementation: “Vous avez vu!? Vos données sont collectées sans droit par le site annuaire X/Y/Z, mais on a trouvé un droit de rattrapage, on va demander à Google de déréférencer ce qui n’aurait jamais du l’être” ^^
Le
27/02/2018 à
10h
25
“Les informations doivent ainsi être « adéquates, pertinentes et non excessives au regard des finalités pour lesquelles elles sont collectées et pour lesquelles elles sont traitées ultérieurement », et être en outre « exactes et, si nécessaire, mises à jour », etc.
Il suffit que l’une de ces qualités manque à l’appel, et voilà une personne physique en capacité d’obtenir « l’oubli » des informations correspondantes”.
Ce “droit” est tout même très curieux:
. il n’est pas principalement garanti par les magistrats mais statistiquement par Google… Ceci et d’autant plus préoccupant que ce droit et systématiquement mis en balance avec le droit d’accéder à l’information qui découle de la liberté d’expression. En gros, Google se fait juge de ce qu’est une information légitimement référence à un temps donné, puis du moment où elle ne le sera plus,
. C’est l’un des rares droits où il n’est pas nécessaire de démontrer que l’information référencée cause un préjudice. Le premier me venant à l’esprit où c’est également le cas est le droit à l’image. Pourtant on veut toujours pas reconnaître une valeur patrimoniale aux données persos.
Les sénateurs, étant proches du trépas essayent de s’attirer les bonnes grâces de dieu avant le “grand voyage”." />
C’est une explication, ça et l’influence des grenouilles de bénitier ^^
Le
26/02/2018 à
17h
25
Meptalon a écrit :
Franchement, il y en a encore qui croyaient au père Noël et qui pensaient vraiment que les lobbies allaient se laisser faire et rendre leur activité officielle ?
Non, je pensais qu’ils rendraient la mesure la moins effective possible. En revanche, je ne pensais pas que certains lobbys, en l’espèce religieux, auraient un traitement de faveur.
Le
26/02/2018 à
15h
57
“les associations cultuelles n’auront de comptes à rendre à personne
quant à leurs actions de lobbying sur tel ou tel texte législatif” " />
Mais c’est vraiment du délire, la phrase qui fait suite illustre à merveille les risques de pression que peuvent exercer ces associations.
C’est juste dingue que personne ne lève un tel lièvre, merci à Xavier de l’avoir fait !
(Encore une AAI qui démontre sa puissance de feu et son utilité au passage ^^ )
Dôh ! Rien à voir avec le gaillard qui voulait qu’on sorte de notre grotte ? " />
Pour moi le début de la SF c’est J.-H. Rosny, mais c’est à débattre.
Après ce qui est difficile, comme pour la musique, c’est qu’il y a rarement une date précise de la création d’un genre, c’est toujours l’aboutissement d’une modification lente et protéiforme dont on détecte mal les bord et les transitions. Jules Vernes, qui est antérieur à Huxley peut être considéré comme de la SF ou du merveilleux scientifique. " />
Sauf erreur c’est un autre bonhomme tout nu en toge, mais s’ils s’étaient connus ils auraient été super-potes je pense!
Le
26/02/2018 à
15h
47
nikogaug a écrit :
Oui elle est capable d’un jugement de valeur. Pas au sens moral, au sens mathématique. Un GPS est capable de trouver le chemin qu’il juge plus efficace. Plus rapide quoi. Ca veut juste dire temps.chemin1<temps.chemin2
Il fait pas un jugement de valeur, on lui a dit que dans tous les résultats qu’il calcule, il doit sélectionner le plus rapide ou le plus court. Il exécute, il se dit pas tien c’est cool j’ai gagné 10min.
Où alors ma casio collège fait des jugements de valeurs parce qu’elle sait que 9 > 3 …
Le
26/02/2018 à
14h
21
le podoclaste a écrit :
L’essor du domaine depuis 2 ou 3 ans lève de nouvelles opportunités et problématiques qui n’étaient pas tangibles auparavant. Ca mérite plus qu’un haussement d’épaule blasé, je pense, même si on peut être agacé par les buzzwords et les traitements légers sur le sujet par la presse.
Il n’y a pas que buzzwords ou le traitement d’une certaine presse qui agace.
Ce sujet est constamment mis en avant notamment dans le monde du travail:
. la “presse” économique en fait son nouvel eldorado,
. le MEDEF qui semble se réjouir des perspectives offertes, en faisant des colloques sur comment remplacer l’humain dans les entreprises (et oui ils en sont là),
. le tout accompagné du discours de nos politiques “startupnation” qui annoncent avec un sourire de figue éclatée qu’on va tout miser sur l’IA parce qu’on l’a pas fait s’agissant de l’automatisation dans les années 90 et que du coup on a plus de chômeurs que les autres (finalement ils se seraient plantés, le Code du travail y était pour rien…).
Donc je suis pas certain que 127.0.0.1 soit blasé, mais plutôt qu’il est exaspéré par un discours totalement hors réalité (et peut-être aussi préoccupé que les questions importantes sur l’IA soient éludées, au profit d’une dévotion béate du dieu IA).
Le
26/02/2018 à
13h
53
boogieplayer a écrit :
alors si on inclus le fantastique " />
Tu peux aller jusqu’à Homère (pas le truc jaune, le gus qui s’est payer une croisière sur la méditerranée) qui croise des automates-robots, en passant par Aristote qui voit comment le monde sera changé par les machines.
Le
26/02/2018 à
13h
45
nikogaug a écrit :
Non il ne fait pas ce qu’on lui demande de faire. Il fait ce qui lui parait le plus efficace sans qu’on lui ai demandé de le faire. C’est pas la même chose.
Je n'aime pas cette formulation, dire "ce qui lui parait le plus efficace" donne l'impression que la machine est capable de jugement de valeurs.
Si j'ai bien compris, n'ayant pas la prétention d'être spécialiste en ce domaine, il faut pour que apprentissage fonctionne, donner les objectifs à la machine voire créer "des récompenses".
On ne peut pas prétendre que la machine aime gagner au jeu de dames, on lui a nécessairement indiqué que l'objectif était de bouffer les pions de l'adversaire, à charge pour elle de trouver comme le faire en analysant les règles, des parties etc...
Fondamentalement la machine n'est pas contente d'avoir gagné, "au mieux" elle trouve elle-même comment remplir l'objectif qu'on lui a fixé au regard de règles elles-mêmes fixées par l'humain (en schématisant, tu jumpes le pion c'est bon, tu le jumpes pas c'est pas bon recommences).
Le
26/02/2018 à
13h
36
127.0.0.1 a écrit :
Question: A partir de quel moment un algorithme devient de l’intelligence artificielle ?
Réponse: Quand ca permet de faire le buzz dans les médias.
La même étude avec “programmation” au lieu de “intelligence artificielle” serait totalement passé inaperçue.
Mettre n’importe quoi à la place d’IA-AI et tu auras le même résultat qu’avec programmation au buzzomètre.
Néanmoins ça change régulièrement, y a quelques mois c’était blockchain.
De là à penser que le monde de l’informatique (et plus largement) que nous aimions est parasité depuis des années par les commerciaux et les conseillés en com., il n’y a qu’un pas que je franchis allégrement.
Qu’est ce qui se passe si dans ma boutique j’ai un perroquet qui finit par apprendre le nom/prénom des clients et un client s’en offusque? Je dois me “débarrasser” du perroquet? " />
Tu trolles, néanmoins, si ton perroquet sait également saisir au clavier ces infos ou activer l’assistance vocale, tu devras lui apprendre à demander le consentement aux personnes qui passent ^^
Le
23/02/2018 à
16h
14
Et j’ajoute qu’en cas de perte/vol, tu devras faire les différentes notifs aux contacts concernés sauf chiffrement du téléphone, c’est pas beau ? ^^
Le
23/02/2018 à
16h
05
BlueTemplar a écrit :
Pourtant cet article dit bien :
De même, sont exclus les traitements réalisés par une personne physique dans le cadre d'une activité strictement personnelle ou domestique (un répertoire téléphonique dans un domicile privé...).
Sous-entendu : un répertoire téléphonique dans une entreprise (sur papier ou dans un smartphone) est concerné par la RGPD
(et séparer les numéros de téléphone personnels et professionnels est quand même en général une bonne pratique...)
Et je trouve ça assez compréhensible, si ce n'était pas le cas, de quel droit devrait-on obliger des publicitaires ou Facebook d'effacer notre nom/prénom/numéro de téléphone de leurs bases de données?
Pour en revenir à l'exemple du carnet d'adresses, il me semble que même aujourd'hui, il soit assez poli d'en effacer une personne qui nous le demanderait, en particulier dans un cadre professionnel !
Non comme tu le dis le texte vise l'usage strictement perso. S'il ne l'est plus strictement = RGPD... Donc tu devrais mener un audit de mise en conformité, lister les traitements faits, éventuellement cloisonner les contacts pros et persos, décrire les process de sécurisation de ton tél etc... Et oui c'est brillant, comme tu le dis intuitivement on veut viser Facebook & co , mais on a rédigé ça avec les pieds donc si tu entres un contact pro dans téléphone perso, ben tu devras te mettre en conformité.
Naturellement, je n’imagine pas un instant la CNIL intervenir dans ce cadre. Mais le texte sur un pur plan théorique le permet…
Le
23/02/2018 à
14h
07
Et pour reprendre ton exemple volontairement absurde, tu peux en prendre un autre quotidien. Ton smartphone, si tu l’utilises (même que partiellement) à titre professionnel, ben son répertoire relève strictement de la RGPD… Et là on comprend l’absurdité du texte qui se trompe totalement de cible …
Le
23/02/2018 à
13h
56
BlueTemplar a écrit :
Sans vouloir abuser, il y a un truc qui me chiffonne un peu :
J’ai bien compris qu’on parlait dutraitement de donnéesdès qu’un ordinateur ou un document papier étaient impliqués
(même s’il ne s’agit que de quelque chose de temporaire comme un processeur convertissant une addresse IP stockée en binaire en coordonnées de pixels à allumer/éteindre sur un écran),
mais est-ce que ça ne s’appliquerait pas aussi aux êtres humains (et autres êtres vivants) comme êtres étant dotés de sens et pouvant traiter et stocker des informations dans leur cerveau ?!
(Ca me rappelle d’ailleurs pas mal d’épisodes de Black Mirror…)
Il me semble évident que la loi ne comptait pas aller aussi loin, mais j’aurais quand même préféré que cette exception soit clairement énoncée…
Il ne faut pas se formaliser sur les définitions de la RGPD (tout comme avant elle la Directive de 96). Il s’agit d’un joyeux fourre tout.
L’explication de ces définitions très large est double:
. la première vient de la définition de 78 trop restrictive, chose que la CNIL tentera de faire évoluer par quelques décisions mais qui sera surtout rectifié par la Directive de 1996 et la Loi de transposition de 2004,
. ensuite ce règlement est l’exemple même de la rédaction à l’anglo-saxonne; plutôt que de poser un principe clair, on va accumuler des éléments de définition, en faisant exemple par exemple en à lieu et place d’une définition.
L’exemple le plus net est la définition de ce qu’est un traitement, celle-ci incluant la collecte. Pourtant notre droit distingue finalité du traitement et finalité de la collecte, prouvant une incohérence dans la définition.
Au final, c’est toute la faiblesse de cette réglementation, en ne voulant pas dès l’origine être une nouvelle porte d’entrée vers le droit au respect de la vie privée, la protection des données perso n’est qu’un brouillard administratif tendant vers l’inefficacité ^^
2757 commentaires
Denis Rapone, nouveau président de la Hadopi
01/03/2018
Le 01/03/2018 à 15h 51
On a même pas une petite phrase du type en question ni une tof pour faire un concours comme à l’époque du vote de la DADVSI " />
De nouveaux députés vont relayer les questions des internautes au gouvernement
01/03/2018
Le 01/03/2018 à 15h 48
Le 01/03/2018 à 14h 31
Alors le choix est certes délicat, mais je trouve qu’à l’exception de la 4° question sélectionnée, les trois autres pouvaient être laissées de coté par rapport à bien d’autres (dont la mienne naturellement qui était la plus mieux cela va sans dire).
Bon d’un autre coté, si par malchance un débat s’instaure à l’Assemblée il sera réglé à coup d’ordonnances, donc je sais même pas pourquoi j’ai posé une question… ^^
On a testé l’Open Data « par défaut » des répertoires d’informations publiques
28/02/2018
Le 01/03/2018 à 14h 24
Le 28/02/2018 à 18h 00
Quel bonheur d’avoir en accès libre et gratuit le charabia des administrations, au nom de l’humour quelques extraits:
“Beaucoup d’enjeux se nouent autour de la donnée pour l’action du MEEM” suspens insoutenable !
ou
“Dans l’ensemble des ministères, le MEEM occupe une place très particulière. En effet, son champ de compétences, par essence territorial et environnemental, l’a conduit à mettre en place des opérateurs (par exemple Météo France et IGN) dont la mission est de produire de la donnée. Cette donnée de base est produite selon des exigences de qualité élevées qui font de ces produits une véritable infrastructure collective, c’est-à-dire un socle permettant le développement de l’activité de l’ensemble des acteurs de la société. ”
De même,
“Les éléments qui précèdent justifient l’intérêt d’instaurer une mission de supervision des données du ministère chargée de définir et de conduire une politique ministérielle de la donnée. Elle serait indubitablement un apport conséquent au service de la transition, de la modernisation de l’administration du ministère et de l’encapacitation des acteurs”.
Donc au final et après 30 pages de rapport, on va pas tarder à décider de faire un truc " />
Et certains veulent faire du datamining en partant d’une matière première qui veut rien dire à la base ? ^^
Le gouvernement défend le Privacy Shield et la conservation généralisée des données
28/02/2018
Le 28/02/2018 à 18h 14
Le 28/02/2018 à 13h 45
Le 28/02/2018 à 13h 34
Ecoeurante la “startupnation”, dommage qu’on puisse pas la disrupter à coups d’Ipompe dans l’oignon Artificiel avant 4 ans!
J’espère au moins qu’on la blockchainera aux élections intermédiaires ^^
L’Éducation nationale songe à faire de la tablette « une fourniture scolaire à part entière »
27/02/2018
Le 28/02/2018 à 13h 24
Le 28/02/2018 à 11h 57
Le 28/02/2018 à 09h 18
Le 28/02/2018 à 09h 14
Le 27/02/2018 à 18h 33
Le 27/02/2018 à 18h 29
Le 27/02/2018 à 18h 27
Le 27/02/2018 à 18h 22
Le 27/02/2018 à 18h 01
Le 27/02/2018 à 18h 00
Le 27/02/2018 à 17h 54
Le 27/02/2018 à 17h 52
Le 27/02/2018 à 17h 49
C’est une excellente idée, car l’éducation nationale a maintenant surmonté toutes les difficultés; enseigner à tous en dépassant les inégalités sociales, en ne perdant pas son temps à changer de programme tous les 5 ans, à donner le gout des sciences et à transmettre un bagage culturel permettant de faire preuve d’esprit critique …
Alors maintenant c’est normal, il faut une tablette pour chaque élève, c’est la priorité ! En plus c’est un support génial pour faire des recherches et taper des trucs, c’est notamment très adapté pour apprendre à programmer…
(Si encore ils proposaient un raspberry… là on pouvait discuter…, ils ont du prendre le même conseillé qu’à l’époque de Fabus pour le plan informatique et le MO5… )
Sécurité des données : la CNIL met en demeure l’Assurance maladie
27/02/2018
Le 27/02/2018 à 17h 22
Le 27/02/2018 à 16h 50
Droit à l’oubli : Google a effacé 900 000 URL en Europe, dont 200 000 en France
27/02/2018
Le 27/02/2018 à 17h 09
Le 27/02/2018 à 17h 02
Le 27/02/2018 à 16h 44
Le 27/02/2018 à 15h 18
Le 27/02/2018 à 11h 55
Le 27/02/2018 à 11h 11
Le 27/02/2018 à 10h 38
Le 27/02/2018 à 10h 32
Le 27/02/2018 à 10h 25
“Les informations doivent ainsi être « adéquates, pertinentes et non excessives au regard des finalités pour lesquelles elles sont collectées et pour lesquelles elles sont traitées ultérieurement », et être en outre « exactes et, si nécessaire, mises à jour », etc.
Il suffit que l’une de ces qualités manque à l’appel, et voilà une personne physique en capacité d’obtenir « l’oubli » des informations correspondantes”.
Ce “droit” est tout même très curieux:
. il n’est pas principalement garanti par les magistrats mais statistiquement par Google… Ceci et d’autant plus préoccupant que ce droit et systématiquement mis en balance avec le droit d’accéder à l’information qui découle de la liberté d’expression. En gros, Google se fait juge de ce qu’est une information légitimement référence à un temps donné, puis du moment où elle ne le sera plus,
. C’est l’un des rares droits où il n’est pas nécessaire de démontrer que l’information référencée cause un préjudice. Le premier me venant à l’esprit où c’est également le cas est le droit à l’image. Pourtant on veut toujours pas reconnaître une valeur patrimoniale aux données persos.
C’est vraiment un droit bancal.
Au Sénat, grand coup de rabot sur le registre numérique de lobbyistes
26/02/2018
Le 26/02/2018 à 17h 38
Le 26/02/2018 à 17h 25
Le 26/02/2018 à 15h 57
“les associations cultuelles n’auront de comptes à rendre à personne
quant à leurs actions de lobbying sur tel ou tel texte législatif” " />
Mais c’est vraiment du délire, la phrase qui fait suite illustre à merveille les risques de pression que peuvent exercer ces associations.
C’est juste dingue que personne ne lève un tel lièvre, merci à Xavier de l’avoir fait !
(Encore une AAI qui démontre sa puissance de feu et son utilité au passage ^^ )
Une étude pointe les possibles effets pervers et dangers de l’intelligence artificielle
26/02/2018
Le 26/02/2018 à 15h 51
Le 26/02/2018 à 15h 47
Le 26/02/2018 à 14h 21
Le 26/02/2018 à 13h 53
Le 26/02/2018 à 13h 45
Le 26/02/2018 à 13h 36
#Flock change d’époque
24/02/2018
Le 26/02/2018 à 09h 50
Énorme celle avec Brazil ! " />
Le RGPD expliqué ligne par ligne (articles 1 à 23)
21/02/2018
Le 26/02/2018 à 09h 47
Le 23/02/2018 à 16h 14
Et j’ajoute qu’en cas de perte/vol, tu devras faire les différentes notifs aux contacts concernés sauf chiffrement du téléphone, c’est pas beau ? ^^
Le 23/02/2018 à 16h 05
Le 23/02/2018 à 14h 07
Et pour reprendre ton exemple volontairement absurde, tu peux en prendre un autre quotidien. Ton smartphone, si tu l’utilises (même que partiellement) à titre professionnel, ben son répertoire relève strictement de la RGPD… Et là on comprend l’absurdité du texte qui se trompe totalement de cible …
Le 23/02/2018 à 13h 56
Le RGPD expliqué ligne par ligne (articles 51 à 99)
23/02/2018
Le 23/02/2018 à 09h 32
Bravo Marc, tu dois plus pouvoir voir le texte en peinture, mais chapeau pour le boulot !
Face à ses concurrents, Hubic a bien peu d’arguments
22/02/2018
Le 22/02/2018 à 17h 57
Le 22/02/2018 à 17h 38
Dommage de pas avoir d’info sur le chiffrage, car avec la RGPD c’est une bonne solution de sauvegarde gratuite avec des serveurs en France.
J’arrive pas à trouver pour la localisation des serveurs de cozy cloud, erratum: cozy est également hébergé en France, cool :)