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jossensei

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11 commentaires

Le 26/08/2019 à 11h 27

Le rayon de soleil de ma journée ! Merci l’équipe :)

Le 03/09/2018 à 16h 32

Aura-t-on le droit à un petit article sur la stack technique coté front (vue ? react ? angular ? preact ? ember ? svelte ? inferno ? elm ? marko ? aurelia ? …) et back ?

Le 05/07/2018 à 18h 53

PcInpact c’était tout d’abord un site d’actu hardware/software, gaming aussi avec inpact virtuel (le tshirt me va encore) parmi d’autres comme materiel.be ou presence-pc.com. Avec le temps, j’ai vu émergé une analyse de fond, parfois très politisé (anéfé) qui à fait que pcinpact, puis nextinpact s’est forgé une identité forte, évoluant de façon cohérente que ce soit sur la ligne éditorial ou sur le modèle économique (offres communes avec d’autres amis du SPIIL).

J’espère que l’équipe arrivera à suivre cette ligne tendue entre info continue (très bonne idée le en bref qui informe sans faire trop le jeu des attachés de presse) et analyses de fond du paysage numérique, enfin de continuer à nous alerter de ses dérive tout en nous faisant rêver grâce à ses incroyables innovations.

Tout ce que je demande à l’équipe, c’est de ne pas tomber dans admiration béate de la course à la puissance et aux gadgets, et de donner un peu de recul aux lecteur sur la réelle plus-value des services ou produits inondants le marché.

Le 19/03/2014 à 16h 13

Domage, pas un mot sur les dangers d’une monnaie structurellement déflationniste. Ca a été quand même un peu dit, c’est surtout une monnaie d’épargne, car le fait qu’elle soit vouée à prendre de la valeur incite très fortement à l’épargne.



Or une monnaie qui ne sert qu’a épargner n’a pas grand interêt pour faire fonctionner une économie, elle n’a d’intêret que pour les spéculateurs.



D’ailleurs on voit bien le dernier mot d’un des deux invités “surtout utilisez le”. Car oui, juste avant, il a été dit que plus il y a d’utilisateur, plus la monnaie prend de la valeur, donc c’est un peu hypocrite de la part de quelqu’un qui a déjà du épargner pas mal de bitcoins de dire aux autre de l’utiliser en masse pour faire monter son épagne, qui elle restera bien au chaud, sans jamais servir l’économie réelle.



Une monnaie complêtement asymétrique qui est tout sauf révolutionnaire. Elle continue d’avantager ceux qui possèdent au détriment des derniers arrivés. Sa seule “vertue” est de redistribuer les cartes au profit de quelques geeks et spéculateurs chanceux.



Dans tout le dossier sur les crypto-monnaies ainsi que dans ce 14h42, j’aurai bien aimé voir un peu parler de cryptomonnaies alternative au bitCoin, comme openUDC, qui reprend quelques principe techniques de bitCoin, mais avec une optique totalement différente.



Si j’ai bien compris (je ne participe pas encore au projet) openUDC a pour but de lutter contre les innégalitées, et non pas de les renforcer, comme le fait bitCoin. Il a aussi pour but de créer une monnaie qui sert l’économie réelle, et non la spéculation financière, comme le fait bitCoin.



Ca n’a l’air de déranger non plus personne qu’il faille consommers des teraWatts d’électricité pour faire tourner le système. Même si c’est moins lourd que le système banciare actuel, je trouve qu’on pourrait mieux faire niveaux énergétique quand meême. D’autre monnaies comme nextCoin se sont posé la question.



J’ai l’impression qu’il y a beaucoup de mediatisation et d’agitation autour de bitCoin (et autres cryptomonnaies spéculatives) car le mythe de la ruée vers l’or (minage) et de l’enrichissement rapide (spéculation) et facile atire beaucoup, mais beaucoup moin sur des initiative plus sociale comme openUDC car bitCoin s’intègre parfaitement au monde actuel (concurence, spéculation, individualisme) alors qu’openUDC appartient au prochain monde qui se construit doucement (coopération, répartition, confiance).



Je dirais que bitCoin a ouvert la voie technique vers plus d’oportunitées monnétaires, c’est donc une révolution, mais uniquement technique, car il épouse les valeures du capitalisme financiarisé qui l’a vu naître. Des projets comme openUDC me semblent des valeurs completement opposées, qui ouvrent la voie vers un monde réellement révolutionnaire.

Le 28/06/2013 à 14h 07

oui y’a un

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Qui traine dans le header.

Le 26/03/2013 à 15h 37







doctor madness a écrit :



je partage ton angoisse. il faut déja faire la différence entre éducation et formation professionnelle. pour cela il faut un tronc commun a tout individu pour qu’il ait les bases nécessaires dans sa vie citoyenne. apres libre a ces individus de faire des formations pros en plus… mais l’un ne doit pas se substituer a l’autre







C’est ça l’idée. Que monsieur Niel veuille investir de une formation professionnel accessible à tous après le bac, bien entendu, comme tous ici, applaudi.

Mais comme je trouve que tout le monde applaudi un peu trop fort (certain crient même au génie, carrément), je dis attention !

Si nos chers dirigent européens voient que tout le monde est ravis de laisser l’éducation au privé (car ça ressemble quand même très fortement à des études supérieurs cette formation professionnelle), en très peu de temps on peut se retrouver avec des “expérimentation” ou c’est le secondaire, puis le primaire qui seront confiés au capital, “afin de préparer nos têtes blondes au monde de l’entreprise dès le plus jeune age” et bien évidemment, “pour lutter contre le chômage” qui ravage nos société occidentales.



Bon en attendant c’est vrai qu’il y a quelques années, elle m’aurait très fortement fait envie cette formation.


Le 26/03/2013 à 15h 24

Si on commençait par former des esprits avant de former des compétence pratiques, peut-être qu’on aurait pas autant un pays de moutons.

Mais bon c’est tellement plus simple de (trans)former des gamins en outils dociles a travers une formation (bientôt) 100% privée, de la maternelle jusqu’à l’entreprise, plutôt que de les éduquer à l’esprit critique, ce qui risquerait de les faire se demander pourquoi ils bossent.

Le 26/03/2013 à 15h 02







doudawak a écrit :



Non mais tu t’es lu ? Comment oser sortir des conneries pareilles ? On le saurait si rien branler rapportait un boulot aussi. Faut arrêter de se foutre de la gueule du monde mec. L’idée de Niel est peut etre un peu surmédiatisée car justement c’est du Niel, mais ça a le mérite d’exister.



Ensuite, y a “éduqué” et “diplomé”, tout le problème du système francais







Je ne remet pas en cause le faut qu’une personne ayant suivie une meilleure formation qu’une autre aura plus de chance de trouver un travail.



Mais quand Niel annonce tout haut que mieux former les gens va créer plein d’emplois et diminuer les chômage, c’est une énorme connerie.

90% des gens sont déjà sur-qualifiés pour let travail qu’ils font.



Et même si le secteur IT est un peu à part, car en perpétuelle demande de très hautes qualifications, la plupart des entreprises ne délocalisent pas pour trouver des gens mieux formés, elle délocalisent pour trouver des gens moins chers.



Après bien entendu, c’est plutôt une bonne chose d’avoir une formation gratuite, accessible à tous (avec tout de même une sélection très compétitive), et ce, dans un secteur porteur en pleine croissance. C’est toujours mieux que de fabriquer des chômeurs, ou pire, des ingénieurs financiers.



Après c’est le côté très utilitaire de le formation qui fait réfléchir, et surtout l’enthousiasme général pour un abandon du public au profit du privé, qui s’inscrit dans un grand mouvement de privatisation de l’éducation.


Le 26/03/2013 à 14h 18

Attention à la privatisation galopante de l’éducation, qui fini par ne plus éduquer à quoi que ce soit, mais simplement former des outils au service des grandes entreprises.

Et si l’éducation avait une quelconque influence sur le chômage, on le saurait depuis longtemps !

Voir cette très bonne “conférence” si vous voulez savoir de quoi je parle.

youtube.com YouTube

Le 12/09/2012 à 12h 43

Faut arrêter deux minutes avec les majors. L’article conclu malheureusement par une citation plutôt trollesque du SNEP, qui ne représente qu’une 40aine de structures, dont BELIEVE Digital, EMI Music France, Gaumont Musique, SonyMusic, Universal Music, Walt Disney Company France, Warner Music France.



Il ne faut pas mélanger l’action de ces entreprises avec celles des centaines de micro-structures défendues par CD1D, la Felin et le SMA, qui sont réellement en train de déposer le bilan les unes après les autres. Et là les revendications ne sont pas en terme de masse salariale, comme pour n’importe quelle industrie, mais en terme de diversité culturelle, car ce sont ces structures qui jouent le rôle de défricheur artistique.



Les majors jouent aussi un rôle dans la diversité culturelle, mais en propulsant un artiste ayant déjà une certaine reconnaissance sur l’ensemble des média de masse. Le problème est que, rentabilité oblige, ces artistes propulsés sont de plus en plus formatés et de moins en moins nombreux, d’où une certaine animosité dans les commentaires en réponse à la citation du SNEP.



Pour en revenir aux revendication de CD1D, la Felin et le SMA, il ne s’agit pas de favoriser une industrie plutôt qu’une autre. Ce discours est parfaitement cohérent pour les personnes mettant la musique au même niveau que la sidérurgie, mais d’autre pensent que la musique, et la culture en général (artistique, politique, sociale) méritent d’avantage d’attention que d’autres activités ayant uniquement pour but la recherche du profit. C’est un choix de société, après tout le monde n’adhère pas.



Lors de la préfiguration du CNM, toutes ces microstructures étaient pour la première fois entendues et considérées. Le but n’étant pas de voler l’argent des pauvres gens pour en donner encore plus au majors (même si actuellement, le lobby des majors pousse vers cet état de fait), mais de faire pencher la balance, de faire évoluer le regard des politique sur la culture, d’une vision industrielle, vers une vision artisanale et artistique. Donc prendre des fonds à l’industrie du cinéma via le CNC (difficile vu l’entourage de notre ministre) et de l’industrie de la musique (gros indépendants et majors), pour les redistribuer aux petits acteurs locaux qui travaillent réellement pour la diversité culturelle.



Concernant le musique, jusqu’à présent, le ministère de la culture avait une vision très industrielle de la filière. Il suffit de savoir que c’est la DGMIC (direction générale des médias et des industries culturelles) qui s’occupe de la musique pour s’en convaincre. La paysage culturelle du ministère de la culture s’arrêtait aux majors et aux très gros indépendants présents au sein du SNEP.

Quand CD1D fût invité autour de la table pour préfigurer le CNM, c’était la première fois qu’une voie dissonante venait remettre les choses à plat et sortir le ministère de la culture de sa bulle industrielle, en lui faisant comprendre que des centaines de petites structures dépendaient aussi de lui.



Après des mois de négociation, la ministère (sous Sarkozy, puis sous Hollande) semblait avoir pris on considération ces revendications qui me semble légitime, mais la Troïka (UE, BCE, FMI) aura eut raison de la politique culturelle française en imposant sa politique d’austérité.



Je vous invite à réfléchir sur la place de la culture (et non pas de l’industrie culturelle) dans une société capitaliste en crise.

Le 07/09/2012 à 19h 30

Si on a gagné un concours pcinpact premium il y a moins d’un an mais que le cadeau n’a jamais été envoyé, on peut jouer quand même ?