Le CNRS revient sur « la modélisation du climat », un « enjeu sociétal majeur »
Le 09 mars 2020 à 09h06
1 min
Sciences et espace
Le Centre national pour la recherche scientifique commence par rappeler que « modéliser le climat terrestre est une tâche extrêmement compliquée » :
« En effet, un modèle réaliste doit tenir compte des interactions entre l’atmosphère et les océans, de l’apport d’énergie par le soleil, qui varie dans l’espace et dans le temps, mais également des différents types de surface terrestre (avec ou sans végétation, déserts, montagnes, étendues recouvertes de glace, etc.), et de bien d’autres facteurs. La mise au point de tels modèles nécessite la collaboration de nombreux scientifiques, dont des climatologues, des glaciologues, des océanographes, des physiciens et des mathématiciens.»
Dans ce premier article (d’une série de trois), le CNRS propose de se pencher sur un cas particulier : « l’influence du Gulf Stream sur l’apparition d’ères glaciaires ». Il s’agit là d’un modèle simplifié, « dont le but n’est pas de faire des prévisions quantitatives, mais de permettre de comprendre certains mécanismes fondamentaux gouvernant la dynamique du climat de notre planète ».
Le 09 mars 2020 à 09h06
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