EasyJet prévoit des vols commerciaux sur un avion électrique d’ici 10 ans
Le 28 septembre 2017 à 09h13
1 min
Sciences et espace
Afin de mener à bien ce projet, la société s’est rapprochée de l’américain Wright Electric. L’autonomie annoncée de cet avion électrique est de 530 kilomètres pour le moment. La compagnie indique également qu'elle utilisera un nouvel Airbus A320 Neo afin de réduire de 15 % la consommation en carburant et les émissions de CO2, mais aussi de 50 % le bruit au décollage et à l'atterrissage
La compagnie aérienne prévoit également de lancer un remorqueur pour ses avions fonctionnant avec une pile à combustible (hydrogène) en partenariat avec Safran. Enfin, pour les passagers, un système de divertissement Air Time est évoqué. Il proposera du contenu gratuit (pour une fois) via les terminaux mobiles des clients, sans plus de détails pour le moment.
Le 28 septembre 2017 à 09h13
Commentaires (6)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 28/09/2017 à 11h33
#1
Je ne comprends pas que l’on puisse accorder un crédit à cette info.
Le 28/09/2017 à 13h04
#2
que l’on m’explique : pas de moteur, pas d’hélice, pas de réacteur. il se déplace comment? c’est un planeur ?
Ils le lancent avec un élastique ?
Le 28/09/2017 à 13h38
#3
Euh sinon, on leur a dit que leur truc électrique va polluer encore plus que les avions à essence ?
Le 28/09/2017 à 14h11
#4
La news parle de “remorqueur pour ses avions”, ça ne serait pas juste le véhicule utilitaire au sol qui va être électrique ?
Le 28/09/2017 à 14h11
#5
La news parle de “remorqueur pour ses avions”, ça ne serait pas juste le véhicule utilitaire au sol qui va être électrique ?
Le 28/09/2017 à 15h35
#6
Si, et plus précisément, il s’agit du Green Taxing de Safran Landing System et Honeywell, qui consiste à intégrer un moteur électrique dans le train d’atterissage de nez. Ici, EasyJet veux aller plus loin et utiliser une pile à combustible pour alimenter ce dernier (au lieu du générateur à kerozène).
Par contre, cette annonce date de début 2016, et entre temps, avec la baisse du cours du pétrole, Airbus a indiqué ne plus être intéressé par un tel système pour ses avions.