Le CEA et le NISE indien partenaires de recherche sur l’hydrogène et les piles à combustibles
Le 02 septembre 2019 à 10h17
1 min
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L'accord a été signé en marge de la rencontre entre le Président de la République et le Premier Ministre indien le 22 août dernier.
Cet accord prévoit que le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et le National Institute of Solar Energy (NISE) travaillent « ensemble dans différents domaines de l’énergie basée sur l’hydrogène et les piles à combustibles, incluant notamment la production d’hydrogène par électrolyse, le développement des capacités de stockage des énergies renouvelables, et des applications en matière de transports ».
Le 02 septembre 2019 à 10h17
Commentaires (5)
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Abonnez-vousLe 02/09/2019 à 11h17
Des domaines intéressants, pour une mobilité plus « lourde » que l’électrique avec batteries ne saura pas, en tout cas à moyen terme, gérer
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Le 04/09/2019 à 15h29
Il me semble avoir lu des choses sur cette techno pour la première fois il y a à peu près 15 ans. Qu’est ce qu’il s’est passé depuis ? Pourquoi en est-on encore en phase de recherche et d’expérimentation ?
Le 04/09/2019 à 15h50
Je me souviens (en prépa) avoir fait une analyse de document scientifiques dessus, un gros problème est le stockage. L’hydrogène est très peu dense. Parmi les solutions :
Les trois ont des désavantages, maintenant je vois un article récent qui parle de progrès
La pile à combustible est coûteuse et basée sur des métaux plutôt rares de mémoire.
Il faut savoir que 15 ans pour une technologie c’est encore relativement jeune. Les panneaux solaires ont de l’âge et continuent de faire des progrès, idem pour le nucléaire.
Le 04/09/2019 à 20h03
A effacer svp
Le 04/09/2019 à 20h04
Alors j’ai quand même fait une petite recherche pour retrouver les choses lues dans mes souvenirs et cela concernait la pile à combustible basée sur le méthanol et non l’hydrogène.
https://www.toshiba.co.jp/about/press/2005_09/pr1601.htm
Néanmoins je te remercie pour les précisions et l’article que je viens de terminer, l’avancée promise par l’Hydrosil est impressionnante, qui plus est par une start-up française.