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Instagram : les Stories bientôt accompagnées de publicités

Publicité partout, contenu nulle part

Instagram : les Stories bientôt accompagnées de publicités

Le 12 janvier 2017 à 14h04

Après Facebook, Instagram, l'une des filiales du réseau social de Mark Zuckerberg, veut également s'essayer à la publicité vidéo. Pour l'heure seuls 30 annonceurs sont concernés, mais l'entreprise pourrait étendre ce format à ses 500 000 clients très prochainement.

Le début de l'année 2017 aura été marqué chez Facebook par une certaine appétence pour les formats publicitaires liés à la vidéo. Hier, nous avons appris que le réseau social veut glisser des bannières publicitaires au milieu de la lecture de certaines vidéos et un partage des revenus avec les fournisseurs de contenu. Aujourd'hui, c'est au tour de sa filiale Instagram de s'intéresser à la vidéo, avec un concept différent.

Stories et publicités

L'idée de départ est simple comme bonjour : insérer des publicités vidéo au milieu des « Stories » publiées par les utilisateurs. Il s'agit pour rappel d'une fonction lancée en août et qui reprend le principe de son équivalent chez Snapchat. On peut donc y publier une série de clichés ou de vidéos, que l'on assemble pour former une histoire, chaque élément pouvant être agrémenté de stickers, de texte, d'émoji etc.

Instagram envisage donc de glisser ses spots publicitaires entre deux contenus insérés dans une « Story », expliquent nos confrères de Fortune. Cela passera d'abord par une phase de test de deux à trois semaines, avec un nombre limité de partenaires – une trentaine au départ, dont Airbnb, McDonalds et Nike – avant de proposer ce format à ses 500 000 annonceurs actifs. Comme n'importe quel contenu publié dans une « Story », ces publicités vidéo en plein écran pourront être commentées ou likées.

Instagram s'attend à un plébiscite du format

Le réseau social ne s'attend pas à la moindre grogne de la part de ses utilisateurs, et ce pour une raison toute simple : 70 % d'entre eux suivent déjà l'actualité d'au moins une marque via Instagram. Mieux encore, un tiers des « Stories » parmi les plus consultées depuis le lancement de la fonction ont été publiées par des marques. Des signes qui font croire à l'entreprise que ces messages vidéos seront bien acceptés. 

Quant aux annonceurs, Instagram leur promet un fonctionnement très simple. Il leur suffira de prendre n'importe quelle vidéo ou photo issue de leur « Story » pour en faire une publicité visible par l'ensemble des utilisateurs. Le réseau social indique également qu'une suite complète de données leur seront fournies, avec notamment le nombre de fois où leur publicité a été vue, ainsi qu'un décompte des intéractions générées.

Encore faudra-t-il que ces chiffres soient exacts. Facebook et Twitter ont récemment eu queques soucis à ce sujet, et leur manque de transparence commence a faire grincer quelques dents du côté des marques.

Commentaires (9)

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First !

Non plus sérieusement, ce qui est en train de se passer est clair: gagner le maximum de fr*c sur tous les terrains … de la à suivre une marque d’accord ; mais regarder sa pub&nbsp;<img data-src=" />

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C’est quoi ces “stories” (histoires ?) dont tout le monde parle ? Je comprends pas le principe.

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De la pub enfoncée dans le gosier jusqu’au vomissement… Et après çà vient pleurer que les utilisateurs utilisent des bloqueurs.



En tout cas, n’utilisant ni Fassebouque, ni Instapr00t, tout va bien <img data-src=" />

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Et comme tout ça c’est à destination des plus jeunes, ils bouffent de la marque puissance douze par rapport à leurs ainés au même âge. Je me rappelle l’impact des marques de mon adolescence, et je constate leur pouvoir décuplé aujourd’hui auprès des ados.

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SNUT a écrit :



Et comme tout ça c’est à destination des plus jeunes, ils bouffent de la marque puissance douze par rapport à leurs ainés au même âge. Je me rappelle l’impact des marques de mon adolescence, et je constate leur pouvoir décuplé aujourd’hui auprès des ados.





+1, sauf que nos parents n’y voyaient aucun danger à cette époque.

On en a bouffé aussi de la pub au club dorothée, et encore avant le club do, faut pas oublier les dessins animés créés intégralement pour vendre du jouet, Musclor, Flash, GI joe et compagnie (meme si j’adorais), c’est pire que du placement produit ou de la pub directe.



Pour Facebook, visiblement vendre le data mining ne rapporte pas assez, quand il ressemblera a la main page de CDiscount on en reparlera.


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DahoodG4 a écrit :



+1, sauf que nos parents n’y voyaient aucun danger à cette époque.

On en a bouffé aussi de la pub au club dorothée, et encore avant le club do, faut pas oublier les dessins animés créés intégralement pour vendre du jouet, Musclor, Flash, GI joe et compagnie (meme si j’adorais), c’est pire que du placement produit ou de la pub directe.



Pour Facebook, visiblement vendre le data mining ne rapporte pas assez, quand il ressemblera a la main page de CDiscount on en reparlera.





facebook &lt; mask niveau pub


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darkbeast a écrit :



facebook &lt; mask niveau pub







J’ai écris Flash, je voulais dire Mask ^^


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ce qui fait grincer des dents, c’est cette stratégie de lancer un nouveau service, bien attendre que la nouvelle fonction ait pris de l’élan, et une fois toute la communauté captive: monétisation façon gavage à la gersoise.



Côté facebook, ça devient de plus en plus envahissant, que ce soit au niveau de la publicité traditionnelle qu’au format natif. Sans même parler des pages qui ont perdu leur propagation organique et dont l’engagement est maintenant vendu à coup de posts sponsorisés.&nbsp;

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DahoodG4 a écrit :



+1, sauf que nos parents n’y voyaient aucun danger à cette époque.





Euh non. A mon avis, c’est pareil que maintenant : quelques uns qui s’en occupent, d’autres qui laissent leurs gamins devant.







DahoodG4 a écrit :



On en a bouffé aussi de la pub au club dorothée, et encore avant le club do, faut pas oublier les dessins animés créés intégralement pour vendre du jouet, Musclor, Flash, GI joe et compagnie (meme si j’adorais), c’est pire que du placement produit ou de la pub directe.





Disons qu’au moins il y avait du contenu <img data-src=" />


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