Build 2021 : nouvelle avalanche de services pour Azure et Teams, Reunion presque finalisé
Pendant que Windows se cache
Le 28 mai 2021 à 06h49
17 min
Logiciel
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La conférence Build de Microsoft bat son plein depuis mercredi soir. Elle a été le théâtre de nombreuses annonces, sans rien de véritablement majeur pour l’instant. D'importantes évolutions sont quand même à noter, tant dans les technologies disponibles pour les applications que sous la grande ombrelle d’Azure.
L’édition 2021 de la Build est classique dans sa forme, et ce n’est pas son caractère virtuel qui sera gage d’originalité, tant les entreprises se sont adaptées au contexte sanitaire ces 18 derniers mois.
Cette conférence est toujours dédiée aux développeurs et à l’ensemble des technologies fournies par Microsoft pour la création d’applications et de services. Elles sont nombreuses, leur nombre ne faisant qu’augmenter. Dans une moindre mesure, les outils bureautiques sont également concernés.
On identifie très facilement les créneaux porteurs chez Microsoft, car ils font presque toujours l’objet des principales annonces : Teams, Search, Graph, Power BI et Platform, machine learning, .NET et bien sûr Azure. Ce dernier a d'ailleurs brillé particulièrement cette année puisqu'il profite pleinement de la nouvelle stratégie du gouvernement autour du « cloud de confiance ». Il sera ainsi distribué en France par Bleu (Capgemini et Orange).
Commençons sans plus attendre la valse des principales nouveautés. Les plus courageux pourront consulter la liste complète des annonces, grandes ou petites, faites à l'occasion de cette édition 2021 de la conférence Build.
Teams, toujours autant à l'honneur
Le service, concurrent de Slack pour la communication en entreprise, est l’un des produits à l’évolution la plus rapide chez Microsoft. Personne ne s’étonnera donc que la firme ait présenté une liste touffue d’apports.
Il a ainsi reçu en préversion une intégration de « scène partagée ». Comprendre que d’autres services et les développeurs pourront accéder à la scène principale durant une visioconférence pour y partager un tableau blanc ou n’importe quel autre outil de collaboration, qui devra bien sûr avoir été mis à jour pour en profiter.
Dans le même ordre d’idée, le mode Ensemble va être étendu pour autoriser la création de scènes personnalisées, pour aller plus loin que celles fournies par l’application. On trouve également tout un lot de nouvelles API, disponibles en préversions ou qui le seront prochainement. L’une d’elles permettra par exemple d’automatiser tout ou partie des flux, via des événements comme le début et la fin.
Encore plus important, des interfaces permettront bientôt de manipuler directement les flux audio et vidéo pour y effectuer des opérations. On pense tour de suite aux traductions, transcriptions en sous-titres et analyses diverses, que pourront réaliser des produits tiers.
Toujours pour les développeurs, on continue avec de nouveaux Teams Toolkits pour Visual Studio et Visual Studio Code, en préversions. Ils ont pour mission de simplifier le développement autour de Teams et de faire le lien avec Azure (notamment avec Functions). L’ensemble est accompagné d’un nouveau portail compatible avec tous les navigateurs (fixes et mobiles), permettant de gérer les configurations d’environnements sans avoir à s’occuper des manifestes d’applications. À partir de cet été, le portail permettra de vendre directement des licences d’abonnements depuis la boutique Teams et le Teams Admin Center.
On note aussi l’arrivée des premiers éléments Fluid dans Teams. Ce cadriciel (framework) permet pour rappel de se servir des composants des applications sans lancer ces dernières. En préversion privée pour l’instant, cette compatibilité autorise des autorisations comme l’insertion d’un tableau issu d’un document Excel dans une conversation, avec possibilité de le modifier sans avoir à lancer le logiciel proprement dit.
Enfin, les extensions de messages pour Teams sont maintenant compatibles avec la version web d’Outlook. Traduction, des éléments provenant de Teams peuvent être exposés par les extensions à l’écriture d’un email. Les Adaptive Cards sont également compatibles avec Teams et Outlook.
.NET 6 supporte Apple Silicon, Reunion 0.8 se rapproche du but
Deux évolutions technologiques importantes avec .NET 6 et le projet Reunion, le premier se destinant à être la base unique pour tous les nouveaux développements, l’autre permettant justement de tirer plus facilement partie des dernières briques sans à avoir remanier tout le code d’une application existante.
On commence avec la Preview 4 de .NET 6, qui fournit d'abord de meilleures performances dans de nombreux cas d’usage. Cette version apporte le support de l’architecture Apple Silicon et donc des puces M1, en plus de Windows Présentation Foundation (WPF) pour ARM64. Cette nouvelle mouture permet aussi la construction de conteneurs plus légers (surtout dans un cadre de micro-services), l’utilisation de .NET MAUI (Multi-platform App UI) pour les projets ayant une unique base de code et celle d’ASP.NET Blazor pour les interfaces web desktop.
Le projet Reunion fait pour sa part un bond, passant de la version 0.5 à la 0.8 en deux mois, sans trop que l’on sache pourquoi. L’important reste sous le capot, avec la compatibilité WinUI 3 et WebView 2. Une étape majeure, puisque le premier fait le lien avec tous les éléments d’interface les plus récents de Microsoft (et que l’on commence à retrouver dans Windows 10, comme Actualités dans la barre des tâches), et le second avec Edge. Précisions d’ailleurs : le « nouvel » Edge, puisque WebView 2 remplace le composant lié au Edge premier du nom.
Reunion 0.8 apporte aussi avec lui le support des applications .NET 5, donc de WPF et des applications Windows Forms. Le projet a presque atteint son objectif de « réunir » toutes les briques nécessaires à la construction d’applications. Il se destine surtout aux développeurs souhaitant moderniser leur code en ajoutant ou en remplaçant des fonctions sans casser tout l’édifice (idéalement), ou proposer une nouvelle interface tirant partie des dernières technologies, comme l’accélération graphique.
En somme, réduire le fossé entre Win32 et UWP, ce que la firme n’avait jamais réussi à faire jusqu’à présent. Le projet sera d’autant plus efficace que Microsoft l’a rendu utilisable depuis n’empote quelle version de Windows 10 à partir de la 1809. Autant dire presque tout le monde.
Reunion 0.8 peut être télécharger depuis son dépôt GitHub.
Visual Studio 2019 : une version 16.10 copieuse
La nouvelle mise à jour pour Visual Studio 2019 contient une très longue liste de nouveautés et corrections. Parmi les plus importantes, signalons par exemple la réunion de toutes les fonctions C++ 20 dans le commutateur /std:c++latest. Microsoft précise que les fonctions définies par la norme ISO correspondante sont déjà prises en charge par MSVC (le compilateur), mais que certaines bibliothèques importantes seront amenées à être modifiées après analyse de Defect Reports. Ces changements pourraient briser la compatibilité des binaires.
La compatibilité avec Docker est renforcée. Visual Studio peut ainsi créer un profil de lancement pour indiquer quels services seront chargés dans le fichier Compose. On peut également ajouter des étiquettes aux images, tandis que les conteneurs peuvent être groupés par projets Compose. De nouveaux onglets Volumes et Labels sont disponibles pour les conteneurs, et Labels pour les images.
On trouve dans la liste un gros chapitre consacré à Git : liens profonds depuis le menu vers GitHub ou Azure DevOps pour des opérations comme la création d’une nouvelle pull request, la vérification des branches locale et distante depuis un sélecteur unique, la suppression d’éléments dans un dépôt via le menu contextuel, la recherche dans les branches et dépôts depuis la barre de statut, ou encore les noms de branches visibles pour merge et rebase, mettant fin à la terminologie Source/Target.
Même chose pour .NET avec l’arrivée de la complétion des arguments dans les appels de méthodes, une interface pour EditorConfig, la possibilité de vérifier visuellement et de naviguer dans la chaine d’héritage, la complétion IntelliSense pour les casts, indexeurs et opérateurs, le support du débogueur pour les Source Generators, le nettoyage de code pour Visual Basic, le retrait des références inutilisées, les Break Line intelligentes, la simplification du refactoring pour les expression LINQ ou la possibilité de définir le style de code des nouvelles lignes.
Dans le même temps, une première préversion 16.11 a été mise à disposition. Sa principale nouveauté est attendue depuis longtemps : le Hot Reload, ou rechargement à chaud. En clair, il sera possible de modifier le code d’un projet pendant que l’application correspondante est en cours d’exécution, les changements étant appliqués dès validation. La fonction est compatible avec la plupart des projets : WPF, Windows Forms, .NET MAUI, ASP.NET Core, applications console, WinUI 3.
Azure : l’habituelle déferlante dans toutes les directions
Azure représente chaque année le tronc principal des nouveautés. Avec une croissance à deux chiffres chaque trimestre depuis des années, on comprend que Microsoft ne compte pas lâcher le morceau de sitôt.
On commence avec Kubernetes et la compatibilité Arc pour les services d’applications Azure. Traduction, ils peuvent tous être déployés désormais dans des clusters Kubernetes. On note également l’arrivée en préversion de l’extension Open Service Mesh, qui permet une gestion et une sécurité facilitées des clusters compatibles Azure Arc.
Les Azure Kubernetes Services sont quant à eux disponibles en version finale pour Azure Stack HCI, avec à la clé, notamment, un déploiement plus simple des clusters sur site et une surveillance multi-clusters. Le Security Center peut en outre réaliser maintenant des analyses de conteneurs via GitHub Actions pour en améliorer la traçabilité.
On enchaine avec du neuf pour Azure IoT. À l’intention des constructeurs, des capacités d’imbrication pour IoT Edge doivent permettre par exemple la consolidation des données depuis d’autres systèmes en vue de transferts sécurisés vers le cloud. En outre, IoT Edge est disponible pour Linux on Windows, avec trois scénarios possibles : utilisation sous Linux, sous Windows ou sur le Linux intégré dans Windows.
Microsoft a également annoncé un important partenariat avec Elastic, société à l’origine d’Elastic Seach, Kibana et Logstash. Une intégration des capacités de recherche et visualisation est donc disponible en préversion depuis le portail Azure. Les clients pourront par exemple approvisionner un nouveau service Elastic et configurer les Azure pour qu'elles envoient automatiquement des journaux et statistiques à Elastic.
Via la transmission automatisée, on peut configurer les journaux de ressources avec Elastic via les paramètres de diagnostic dans le portail Azure. En outre, les clients ont la possibilité de gérer l'agent Elastic sur les extensions de machines virtuelles Azure pour configurer les journaux et les statistiques émis par leurs hôtes VM.
Du neuf pour Azure AI, Communication Services et Data
On continue dans la galaxie Azure avec tout ce qui touche à l’intelligence artificielle, y compris le machine learning. Bot Service s’enrichit ainsi de nouvelles capacités, dont la possibilité pour les développeurs d’ajouter des fonctions voix et téléphonie des leurs bots. Ils peuvent également tester, débogguer et publier des bots sur plusieurs canaux à la fois. Microsoft promet que les changements de code seront minimaux.
Azure Metrics Advisor passe en version finale et est donc disponible pour tout le monde. Le service est spécialisé dans le traitement de données horaires émises par tous types de capteurs pour fournir des rapports. On le trouvera par exemple au carrefour des informations remontées par les machines d’une usine.
Un nouveau venu, Video Analyzer, est disponible en préversion. Il est le résultat de la fusion entre Live Video Analytics et Video Index. Il reprend donc leurs fonctions et en ajoute d’autres. Les développeurs peuvent l’utiliser pour lancer des analyses sur des flux vidéo, qu’elles soient stockées ou en cours de diffusion (caméras et autres).
On compte également deux apports pour les modèles de machine learning. D’abord les points de terminaison gérés, une fonction en préversion devant permettre un déploiement plus rapide des modèles. L’accélération se fait par l’automatisation de la création et de la gestion de l’infrastructure sous-jacente, y compris la sécurité et les mises à jour. Le service est déjà utilisé chez Microsoft pour le modèle OpenAI GPT-3 au sein des Power Apps.
L’éditeur ajoute que les développeurs obtiennent avec ce service une infrastructure déjà prête, comprenant une surveillance et une analyse de journaux déjà configurées.
Ensuite, la disponibilité en version finale de PyTorch Enterprise sur Azure. Les clients Premier et Unified Support for Enterprise reçoivent avec cette arrivée des requêtes prioritaires, un soutien pratique et des solutions pour les éventuels correctifs à chaud (hotfix), bugs et correctifs de sécurité sur leurs développements PyTorch.
L’entreprise précise que les solutions développées dans le cadre des demandes des entreprises peuvent donner à des ajouts à long terme dans le projet PyTorch lui-même, auquel elle participe.
La plateforme Communication Services reçoit aussi plusieurs nouveautés. On commence la préversion de l’UI Library, permettant aux développeurs de piocher dans la réserve des éléments d’interface Fluent, qui pourront alors être communs à tous les canaux de leurs services. Ensuite, l’arrivée le mois prochain et en préversion de l’enregistrement, sous forme d’une API gérant ces capacités coté serveur.
Même chose pour le routage direct, qui permet d’établir une connexion virtuelle entre l’application et les anciennes installations sur site ou un opérateur pour les appels sur réseau public commuté.
Autre préversion pour les Communication Services, le protocole TURN (Traversal Using Relays around NAT). Il permet des communications voix ou vidéo en temps réel entre le web et les applications mobiles en passant par WebRTC ou quand les points de terminaison sont derrière des routeurs NAT ou des pare-feux. Enfin, en préversion là encore, le SDK Services Calling pour UWP. Le nom annonce la couleur : les développeurs peuvent s’en servir pour ajouter des capacités de voix et vidéo aux applications UWP pour ordinateurs, Xbox, casques de réalité mixte et IoT.
Côté Azure Data, on note ici aussi de multiples préversions disponibles. D’abord Synapse Link pour Dataverse, qui permet d’envoyer dans Synapse tout un environnement Dataverse depuis des Power Apps ou Dynamics 365. Le lien doit gommer les barrières entre applications professionnelles et systèmes de type « analytics ».
Vient ensuite le support de Spark 3.0.1, suite logique des annonces déjà faites autour d’Apache Spark. Il s’agit de prendre en charge la dernière version, avec à la clé de meilleures performances sur les charges, jusqu’au double selon Microsoft. L’accélération matérielle est en test elle aussi pour Spark, autant pour les FPGU que les GPU.
Enfin, Cosmos DB reçoit plusieurs nouveautés, dont certaines en version finale. D’abord le mode serverless pour l’ensemble des API (Core, mongoDB, Cassandra, Gremlin et Table). Ensuite, l’extension de la formule gratuite avec le passage à 1 000 unités de requêtes par seconde et 25 Go de stockage par mois « à vie » pour un compte Cosmos DB par abonnement Azure. Le RBAC (robe-base access control) est également disponible en version finale, pour une intégration plus poussée avec Azure Active Directory (AAD), exploitable depuis l’API Core.
Microsoft donne un exemple : un appareil du parc IoT peut avoir le droit d’entrer de nouvelles données dans une base, mais pas de les lire ou de les modifier.
Bien que cela ne concerne pas directement Azure, Microsoft a ouvert son Developer Velocity Lab. Ce projet open source a pour but de travailler sur une thématique spécifique : le bien-être dans l’espace socio-technique. Le groupe, composé de développeurs GitHub, Visual Studio et provenant de Microsoft Research, se propose d’enquêter sur des domaines comme la productivité et les communautés et de publier l’état de leurs recherches. Pour l’instant, une vidéo sur la productivité a été mise en ligne, il faudra donc attendre pour en savoir plus.
Edge 91 : onglets en sommeil et temps de démarrage réduit
La nouvelle mouture du navigateur est disponible depuis hier soir, et avec elles des améliorations liées aux performances. Elles ne sont pas nouvelles, Microsoft prépare leur arrivée depuis plusieurs mois.
Cette fois cependant, la disponibilité sera générale. D’abord, un temps de démarrage plus court. Le navigateur est loin d’être lent à se lancer, mais la situation diffère largement selon les machines. Edge 91 va donc ajouter un module résident en mémoire pour précharger certaines ressources essentielles. Le navigateur se lance alors plus vite, sans toucher à la consommation des ressources pendant la navigation. Ce module pourra être désactivé.
Ensuite, la capacité de mettre automatiquement les onglets en sommeil. Par défaut, le contenu de ces onglets est déchargé de la mémoire au bout d’une heure, mais ce temps peut être modifié et la capacité désactivée. Selon Microsoft, la fonction peut réduire la consommation en mémoire de 82 % sur des périodes prolongées. Les onglets endormis sont grisés, et cliquer dessus provoque un rechargement de la page.
Vers une nouvelle version majeure de Windows
La grande inconnue à ce stade est Windows. À la sortie de Windows 10, Microsoft l’avait présenté comme le dernier, le système devant recevoir régulièrement des mises à jour majeures qui l’amélioreraient constamment.
Et effectivement, on est aujourd’hui sur un rythme régulier d’une nouvelle version tous les six mois, certaines plus importantes que d’autres. En dépit des apparences, le coeur du système n’a plus grand chose à voir avec la première mouture en 2015. Jusqu’à présent, il se murmurait surtout que la mouture 21H2, prévue pour cet automne, serait beaucoup plus importante que celle du printemps. Comme on l’a vu, ce ne sera pas difficile, même si un torrent de nouveautés tous les six mois n’est pas non plus un argument percutant.
Puis d’autres rumeurs sont venues se greffer sur un projet nommé en interne « Sun Valley ». Microsoft préparerait une modernisation générale de l’interface, avec en tête notamment une uniformisation des contrôles, ce qui ne serait pas du luxe. Désormais, on s’avance vers une annonce importante, puisque Satya Nadella en personne a déclaré que serait bientôt présentée « l’une des mises à jour de Windows les plus significatives de la décennie ».
Voilà qui est clair. Lui et le responsable Panos Paney ont également évoqué la « prochaine génération de Windows », sans même mentionner « 10 ». Certains imaginent déjà l’annonce d’un Windows 11. On n’en sait pas plus actuellement, mais tout porte à croire que Microsoft fera une grosse présentation courant juin. D’ici là, les spéculations resteront vives. On attend également des nouvelles de l'offre d'accès à Windows « dans le cloud ».
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Commentaires (3)
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Abonnez-vousLe 28/05/2021 à 10h14
“L’édition 2021 de la Build est classique dans sa forme”
En tout cas, la keynote est sacrément originale pour ce type de conférence et c’est à souligner. Utilisant les codes des séries comiques modernes, c’est franchement plaisant à voir et ça révolutionne le style à mon avis. On est loin des “developers, developers, developers…” de Balmer ;) YouTube
Le 28/05/2021 à 12h44
Rien sur un éventuel travail d’optimisation de teams ?
Le 28/05/2021 à 19h22
tu m’étonnes ! franchement, c’est tout de même pas le meilleur service !
Par contre, le Visual Studio Code, c’est vraiment une tuerie ! :-)