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Romaindu83

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818 commentaires

Le 11/12/2014 à 15h 21

Pour éviter la fraude aux aides sociales, il serait temps de croiser les données, pour créer un super fichier, quitte à perdre un peu de liberté. Ah mais oui, la liberté…. Un mot précieux….



Un super fichier permettra de remonter plus facilement aux fraudeurs. Actuellement, les différents organismes d’aides sociales ne communiquent pas entre eux, ou très peu. De fait, la fraude est facile. Il serait d’en finir avec cette situation.

Le 11/12/2014 à 15h 02

Ca tombe bien que Next INPact pose cette question. Parce qu’il a décidé, à partir de 2010, me semble-t-il, de proposer une offre avec abonnement, notamment pour se passer de la publicité.



Comme tout un chacun peut le voir, je ne suis pas abonné à Next INPact. Pourquoi ? Je ne consulte pas seulement ce site. Chez certains, je ne fais que passer, mais d’autres sont également mes favoris. Eux aussi, pour les soutenir, proposent des formules avec abonnement, qui permettent notamment de se débarrasser de la publicité.



Mais un soutien par ici, un soutien par là, un soutien à gauche, un soutien à droite, sans parler des associations caritatives… la facture devient vite salée au bout d’un moment. Il faut faire des choix, à chacun ses priorités, en fonction de ses moyens financiers… et de sa volonté.



Après, ne soyons pas hypocrite : il existe des moyens pour éviter la publicité, les deux plus connus étant Adblock Plus ou son fork Adblock Edge. Au grand dam des sites d’infos, d’ailleurs, qui vivent de cette publicité. Ce modèle économique montre depuis plusieurs années ses limites, et ce n’est pas pour rien que des sites ont pris le risque de passer au tout payant.



Bref, je ne compte toujours pas prendre un abonnement payant à Next INPact, ni ailleurs. Tout le monde aura le même traitement de ma part. Je suis peut-être responsable de la lente agonie des sites… je plaide coupable, mais, oui, j’ai d’autres priorités dans ma vie. Dois-je m’en excuser ?

Le 03/12/2014 à 13h 11







FunnyD a écrit :



Condamner, c’est bien, mais la prison est elle le châtiment adapté?





Alors pour le coup, chez nous, en France, nous sommes tellement sous-évolués que nous ne voyons que la prison en réponse à n’importe quel acte condamnable.



En France, les homo debilitus ou homo degeneratus que nous sommes n’avons pas encore compris que la prison est contre-productive. La prison doit être réservé aux peines les plus lourdes.



Pour l’actu dont il est question, effectivement, la prison ferme n’est pas la solution, d’autant plus quand on connaît les prison américaines, qui n’ont rien à envier à aux prisons françaises. La prison avec sursis, une peine d’amende, la mise à l’épreuve, des visites chez un psy et, bien sûr, l’interdiction de rentrer en contact avec la victime aurait largement suffit.


Le 01/12/2014 à 18h 57









NonMais a écrit :



+1.

Y a qu’à payer les acteurs français proportionnellement aux recettes du film et déjà tu vas voir les économies faites! Après je veux même bien aller jusqu’à un cachet minimum assuré (exception française)… mais raisonnable (oui je prends toujours le même exemple mais il me reste en travers de la gorge car “tout” le bas peuple adule ce mec : Dany Boone, je ne sais plus quel film -bouse- : 600k€ de cachet, le film rapporte…je ne sais plus quelques dizaines de K€ de recette… si c’est pas scandaleux sans déconner… mais c’est pas grave, c’est le CNC qui paie… Après t’as la Filipetti qui vient t’expliquer que ce n’est pas le contribuable qui paie : c’est vrai, c’est l’internaute. Elle oublie juste de dire que derrière le contribuable ou l’internaute ou le payeur de la redevance ou le gars qui achète son bout de pain et qui paie la TVA, etc… il a beau porter je ne sais combien de noms, au final c’est toujours la même personne : toi, moi, nous.)



Allez je me calme, ce n’est pas bon pour ma santé et mine de rien, je suis aussi un contributeur à la sécu (contribution sur laquelle je paie des impôts… oui ça aussi c’est l’exception française).

Enfin bref, le Rogard grognard -et encore c’est insultant pour les grognards- il me sort vraiment par les yeux…





C’est vite dit tout ça… je suis cinéphile et non pas un spectateur. La nuance ne plaît pas toujours à tout le monde, mais je fais bien tout de même un distinguo entre les deux. Les mecs qui s’intéressent uniquement aux blockbusters ne sont pas des cinéphiles. Ces derniers vont fouiner dans les entrailles du 7eme art pour trouver de bons films. Autrement dit, les cinéphiles ne s’arrêtent pas aux films commerciaux, mais vont piocher aussi dans le cinéma d’auteur et le cinéma indépendant.



Et en France, justement, le cinéma d’auteur et le cinéma indépendant sont la proie d’un bashing déplorable de la part de beaucoup de Français. Jugé trop compliqué à comprendre, avec un rythme parfois lent, les Français s’en détournent. Pourtant, avec un peu d’effort, pénétrer le monde du cinéma d’auteur et du cinéma indépendant permet de découvrir des pépites.



Le cinéma indépendant et le cinéma d’auteur ont besoin des subventions du CNC pour vivre sereinement. Aux Etats-Unis, ils n’existent pas de système d’aides financières pour les films et les conséquences se voient très bien. Le cinéma d’auteur et le cinéma indépendant peinent à exister face à Hollywood, parce que la rentabilité de tels films n’est que rarement au rendez-vous. Et là, je pose une question. Le cinéma indépendant et le cinéma d’auteur, par définition, ne produisent pas des films commerciaux. Doit-on parler alors de rentabilité ?



Le mercantilisme dans lequel nous vivons aujourd’hui fait que trop de personnes réduisent le 7eme art au seul films commerciaux. Non mais les gars, je suis désolé, mais, le cinéma n’est pas que composé de “Star Wars”, “Jurassic World”, “Pirates de Caraïbes”, “Man of Steel”, “Transformers”, “Avatar”, ect… Il faut voir plus loin.



Je ne dis pas qu’il ne faut pas revoir le système des subventions. Mais les subventions ne doivent pas disparaître. Le cinéma d’auteur et le cinéma indépendant ont leur raison d’être, ont le droit d’exister, face aux grosses pointures. Certes, en 2013, seuls 10% des films français ont été rentables, selon BFM Business. Mais il faut dire que la France, justement, produit principalement du cinéma d’auteur et du cinéma indépendant.


Le 29/11/2014 à 16h 13







HarmattanBlow a écrit :



Super, après Halloween, voici une tradition US de plus en France : le Black Friday. On copie vraiment le meilleur…



A ce train-là dans dix ans l’EU instaurera une fête appelée “action de grâce” qui se tiendra le quatrième jeudi de novembre, où l’on remerciera Dieu (avec le pape à la tribune) et nos pères fondateurs. Avec un peu de chance le lobby des éleveurs de dindes est déjà à l’œuvre !





<img data-src=" />



En 2001, Jack-o’-Lantern s’était cassé de France, pour mon plus grand plaisir. Au grand dam des commerçants, bien évidemment. Mais non… Il est revenu sur le sol français depuis deux ou trois ans et il redevient populaire, surtout auprès des jeunes…



Ils sembleraient que Jack-o’-Lantern aient amené avec lui la procédure à suivre pour introduire deux périodes d’achat américaines en France : le Black Friday et le CyberMonday. Avoir une tête de citrouille l’a certainement empêché de s’apercevoir que la France a ses périodes de soldes, elle aussi, et qu’elle n’a pas besoin de ces deux périodes d’achats américaines, mais bon… D’après les rumeurs qui courent, Jack-o’-Lantern vendraient très chers cette procéduire à suivre. Qu’importe, de grandes enseignes ont sorti le chéquier pour se la procurer. Et voilà que deux “traditions” américaines de plus pourraient prendre leur envol en France…



Jack-o’-Lantern et les commerçants français américanisent toujours un peu plus la France. C’est bien dommage. Que Jack-o’-Lantern aille s’occuper des anglos-saxons et nous lâchent un peu les fesses. Nous n’avons pas besoin de lui !

&nbsp;


Le 27/11/2014 à 15h 43







Drepanocytose a écrit :



Moi c’est ce que j’ai fait.

Je présente bien, on me disait que j’avais une tête de victime, et en plus j’étais premier de classe, donc une bonne cible.



Une bande est venue m’emmerder assez violemment un jour : j’ai pris le leader, je lui ai eclaté la machoire, 4 côtes, l’humérus et quelques dents à coups de Caterpillar coquées, puis je lui ai pissé dessus devant ses potes.

Resultat, plus personne n’est venu m’emmerder. Bon, côté négatif, tout le monde m’a pris pour un fou et les gens osaient peu m’approcher… <img data-src=" />





La violence pour régler la violence…. Tu n’es absolument pas l’exemple à suivre, d’autant plus que les parents du jeune que tu avais fracassé aurait pu porté plainte. Il ne faut jamais dire que personne ne porte plainte… mais, quand on est jeune, on ne pense pas du tout aux conséquences de ses actes.



Ce qui me sidère, c’est que tu en très fier aujourd’hui, à l’âge adulte…


Le 27/11/2014 à 14h 32

Le jour où les réseaux sociaux ont commencé à croître dans la sphère Internet, la cyber-violence est naît. Marginale au début, car les réseaux sociaux n’étaient pas populaires, elle est aujourd’hui répandu.



Les jeunes, en particulier, usent de la cyber-violence envers d’autres jeunes. Il est tellement plus facile de railler quelqu’un via un réseau social, que d’aller se moquer de lui en tête à tête. En plus, le railleur sait que ses propos seront lu par ses contacts. Il jouit devant son écran en sachant que ses commentaires seront une caisse de résonance, qui pourront déstabiliser la personne qu’il vise.



Les jeunes pensent aussi qu’ils ne risque rien sur Internet. Il suffit de voir les commentaires de certains membres sur les forums, que l’on devine être des adolescent à la manière dont ils les écrivent, pour s’en rendre compte. Ces jeunes ne pensent pas une seule seconde que leurs propos tombent sous le coup de la loi et qu’ils peuvent être éventuellement inquiété par la justice.



Mais qui n’a pas été adolescent ? il existe la méchanceté enfantine, il existe aussi la méchanceté adolescente. Lorsqu’un adolescent sait qu’il sera soutenu par ses connaissances, quand il sait qu’il a un certain charisme, un certain aura, il peut, parfois, ne pas s’empêcher de faire l’arrogant.



Dans ma jeunesse, j’en ai côtoyé des petits cons, qui prenaient un malin plaisir de rabaisser des plus faibles qu’eux. Que voulez-vous faire ? Leur mettre systématiquement des mandales pour qu’ils comprennent que ce qu’ils font est mal ? Certains me font rire…. Autant prendre un flingue, et tuer à bout portant tous les petits cons de Français qui emmerdent les autres…



Ces adolescents ne sont que le reflet d’une société moderne, ou plutôt d’une société de merde. Une société de merde dans laquelle je suis obligé de vivre. L’humanité n’a pas encore atteint un niveau de sagesse assez suffisant pour que cesse toutes ça. Ces adolescents ne sont que le reflet d’une société égoïste, fière d’elle, égocentrique, mercantile, ect… Les choses bougent, mais doucement. Cela fera très longtemps que nos corps auront été bouffé par les asticots quand la société sera altruiste.

Le 27/11/2014 à 15h 16

Le monde du cinéma connaît le même type de souci. Des films sortent, qui sont des daubes. Des daubes rentables ou pas. Mais pourquoi des daubes ? Quand les langues commencent à se délier, on apprend que le réalisateur a subi des pressions, que les scénaristes n’ont pas eu assez de temps pour faire l’écriture, que la post-production a du être fait en urgence, ect…




Le monde du jeu vidéo connaît les mêmes problématiques. Le cahier des charges que fixe un éditeur pour un jeu vidéo peut parfois être tendu, à tel point que la conception du jeu vidéo en question relève de la gageure. D'autant plus si une date de sortie du jeu vidéo a été fixé. Comme les producteurs avec les films, un éditeur perd de l'argent en repoussant la date de sortie d'un jeu vidéo. Le budget d'"Assassin's Creed" serait de 200 000 000 de dollars canadiens, soit 177 126 000 de dollars américains. Il est compréhensible, sur un plan économique, que l'éditeur ne veuille pas repousser la date de sortie d'un tel blockbuster.       






Comme je l'ai dit ailleurs, "Assassin's Creed Unity" a commencé à être développé fin 2010. Mais quand on parle de développement, il faut voir un tout. Fin 2010, les développeurs n'ont pas commencé leur travail. Il y a d'abord eu l'écriture du scénario, puis les premières esquisses des personnages. Le jeu vidéo se passe pendant la Révolution Française : il y a donc eu tout une recherche sur cette période là. Après tout cela, les développeurs peuvent passer à l'action. Viendra ensuite la mise en chantier de la bande originale, les voix, le package pour installer le jeux vidéo, ect... Bref, sur ses quatre ans de développement, combien la programmation du jeu vidéo a-t-elle duré ?      






Si bugs que rencontre les joueurs avec ce jeux vidéo sont de la faute d'un développement bâclé, les développeurs sont responsables, mais indirectement. Ils conçoivent le jeu vidéo avec le temps qui leur est imparti. Si, faute de temps, un contrôle qualité ne peut pas être effectué, les joueurs seront des beta-testeurs, bon grès mal grè.

Le 26/11/2014 à 18h 24

Non mais pour être plus sérieux, sur ce coup-là, avec “Assassin’s Creed Unity”, Ubisoft s’est totalement vautré. Heureusement que les consoles next gen peuvent maintenant se connecter à Internet et permettre de patcher les jeux vidéos, sinon, les corrections de bug n’auraient été possible que pour les joueurs PC.



Nous ne saurons jamais ce qui s’est vraiment passé pendant le développement d’“Assassin’s Creed Unity”, donc toutes les hypothèses peuvent être évoquées. Que les développeurs aient mal fait leur travail, assurément. Mais pourquoi ? Sont-ils directement responsables ou indirectement responsables ?



Le développement de ce jeu vidéo a commencé fin 2010. Les développeurs ont donc eu quatre ans pour créer ce jeu vidéo. Quatre ans pour développer un blockbuster comme “Assassin’s Creed Unity”, est-ce suffisant ? Je ne suis pas développeur, je ne m’y connais absolument pas dans ce domaine, je&nbsp; ne sais donc pas si quatre années peuvent suffire à réaliser un tel mastodonte.



Un peu à la manière d’un film, il y a la pré-production, la production et la post-production. Les développeurs s’occupent de la production, la pré-production étant le scénario, les esquisses, ect… et la post-production étant la finalisation du jeu vidéo, la musique originale, les voix, ect… Peut-être que la partie “production” a été bien trop courte pour que les développeurs puissent faire leur travail convenablement.



En tout cas, j’ai plus envie de faire porter le chapeau de tous ces bugs à l’éditeur, Ubisoft, plutôt qu’aux divers studios de développement qui ont crée “Assassin’s Creed Unity”.

Le 26/11/2014 à 17h 17

Valve, avec Steam, a lancé l’accès anticipé, pour pouvoir acheter des jeux vidéos qui sont encore en développement. Cela permet aux développeurs de prendre en compte les remontées des joueurs. En quelque sorte, les joueurs deviennent des beta-testeurs, avec cet accès antipé.



Ubisoft, avec “Assassin’s Creed Unity” a donc lancé lui aussi ses jeux vidéos avec accès anticipé ! Les joueurs remontent tous les bugs que l’éditeur devrait corrigé. Il fallait bien qu’un jour un éditeur décident de se lancer sur les pas de Valve/ Steam. Ubisoft est le premier à le faire. Beta-testeurs, soyez contents, Ubisoft est à votre écoute !



<img data-src=" />

Le 26/11/2014 à 17h 09

Que d’hypocrisie dans tout ce merdier ! Surtout de la part des Internautes. A l’époque où a été&nbsp; crée la redevance TV, soit le 30 juillet 1949, il n’existait qu’un appareil capable de retransmettre les chaîne de télévision : le téléviseur. Plus de 60 ans après, de nouveaux appareils ont vu le jour, qui permettent eux aussi de regarder la télévision. Ceux sont les smartphones, les tablettes et les ordinateurs. Pourquoi ne seraient-ils pas assujetti eux aussi à la redevance TV ?



Vous êtes des geeks, des technophiles, vous aimez les évolutions technologiques. Acceptez donc aussi que des taxes qui concernaient un seul appareil, car il n’existait que celui-là à l’époque de la création de cette taxe, soient étendu à d’autres équipement.



Petite précision : je ne possède pas de téléviseur et je ne paie pas de redevance TV. Mais je sais être pragmatique.

Le 25/11/2014 à 21h 27







misterB a écrit :



Il



n'y a pas que de ça, il y a aussi des films originaux réussit comme      



Frank, Gone Girl, Birman, The imitation Game, Boyhood, Chef, Grand

Budapest Hotel et bien d’autres&nbsp;&nbsp;




Et pas de film de franchise pas mal non plus comme le Captain america ou guardian of the galaxy par exemple.&nbsp;      






&nbsp;      






Plutôt que de focaliser sur ce qui te fais chier, focalise sur ce qui      



te plait, tu verras tu perdra moins de temps dans la vie à râler et plus



à l'apprécier&nbsp;:D








 Tu n'a pas tord. J'adore ainsi le cinéma indépendant américain, qui nous offre plusieurs pépites. Je focalise sur Hollywood  parce qu'avec les moyens financiers dont dispose ce mastodonte, il est  incapable de pondre plus d'originalité. Un comble ! Quoique cela  démontre bien qu'avec peu de moyen, il faut faire travailler beaucoup plus son imagination, d'où le fait que le cinéma indépendant puisse me   plaire.:chinois:  





&nbsp;



frscot a écrit :



Dans la liste les James Bond ce n’est pas une saga récente quand même<img data-src=" />&nbsp; Le c’etait mieux avant pour le fait qu’il y ait des suites aux James Bond il faut remonter loin.




Pour les remakes ou tires de livres, si&nbsp; les résultats sont bons      



pourquoi se plaindre? Je n’ai pas lu les Seigneurs des anneaux mais vu

les films, et on peut apprécier les films sans avoir toute l’histoire

autour. Perso que le film soit d’un bouquin, un remake des années 30 ou

un truc nouveau je m’en fiche, il faut que pendant 1h30/3h j’ai un film

qui me plaise et qui ne me demande pas de savoir tout l’univers avant de



payer mon billet (le non respect d'une histoire, rien à faire, par      



contre le contraire, connaitre le livre pour comprendre les lacunes d’un



film, ça ça ce dérange).







D’une manière générale, et je l’ai dit, je n’aime pas les films, comme les jeux vidéos, qui finissent sur des fins ouvertes, m’invitant ainsi à ouvrir de nouveau mon porte-feuille pour voir une possible fin dans le prochain épisode. Si je caricature, le cinéma, ce n’est pas les séries TV ! Je reste toujours frustré devant une fin ouverte, car, pour moi, un film se compose d’un début et d’une fin. Après, j’ai apprécié “Le Seigneur des Anneaux”, comme les “Harry Potter”, où il a fallu attendre tout de même 10 ans entre le premier film et le dernier pour voir la fin de la saga. 10 ans d’attente… ça m’interpelle….<img data-src=" /> Et si, pour “Monde de Narnia”, chaque film avait été adapté au cinéma ? C’est une oeuvre littéraire composée de sept livres…



&nbsp;

&nbsp;





DHKold a écrit :



A noter que les remakes sont courants depuis les premières années du cinéma, avec le premier remake sorti en 1904 (un an à peine après son original). Pareil pour les adaptations et les suites.






Mmmmh.... depuis que Hollywood connaît des problèmes financiers (l'arbre cache la forêt, autrement dit les succès commerciaux des blockbusters sont des leurres), il y a une recrudescence de resucée chez ce mastodonte.

Le 25/11/2014 à 18h 51

Ce qui m’a l’air d’être bien pourrie, c’est surtout Hollywood. Remake, reboot, suite, préquelle à foison sont encore prévu pour 2015 et les prochaines années. Rentables pour la plupart, ces films ne représentent aucun risque pour Hollywood.



Ou alors, en ce moment, la mode est aux adaptations de grandes sagas littéraires. Le but ? Les sagas littéraires étant constituées de plusieurs volumes, il en est de même pour leurs adaptations cinématographiques, ce qui oblige, en quelque sorte, aux spectateurs de revenir voir la suite, puisque les films, à part le dernier, finissent sur des fins ouvertes. Le monde du jeux vidéos connait exactement la même chose. Moi, personnellement, cette mode me gonfle : j’aime voir un film ou jouer à un jeu vidéo avec une véritable fin, et pas me sentir obliger d’ouvrir mon porte-feuille encore et encore avant de découvrir la fin.



Je tiens les même propos sur Allocine et compagnie, ce qui me vaut bien des foudres. Bref, remettre le couvert avec “Jurassic Park”, en nommant le film de façon peu habile “Jurassic World”, remettre le couvert avec “Star Wars”, sortir encore des “James Bond”, continuer avec “Die Hard”, faire renaître de ses cendres “Mad Max”, je trouve cela nauséabond. Le cinéphile que je suis ne s’y retrouve pas et le cinéphile que je suis vous dit que si le cinéma français est aussi nul à chier que certains peuvent le dire, il est de même pour le cinéma hollywoodien.

Le 25/11/2014 à 15h 09







cyb-cd a écrit :



Quand je pense au nombre de salles informatiques qu’on aurait pu créer ou rénover et au nombre de vidéoprojecteurs qu’on aurait pu acheter avec cet argent….parce que là, il y a de vrais besoins.

Et finalement, des mini PC 10 pouces à 250 euros pièces aurait pu avoir exactement la même utilisation… pour 3 fois moins cher.




 &nbsp;Malheureusement cela   est moins vendeur dans les médias...







Franchement, et comme dit dans mon commentaire plus haut (le premier de la 15eme page), l’Education Nationale a d’autres priorité que l’informatique et le numérique à l’école. Je vais te redonner les priorités que j’avais cité :

* Il faudrait que les enseignants se mettent à jour. L’école de Jules Ferry, c’était en 1880. Nous sommes en 2014. Ils peuvent plus se borner à enseigner de la même façon qu’il y a 130 ans…………. Je parle du système d’apprentissage, bien évidemment.

* Il faudrait que nos enseignants ait de nouveau la vocation d’enseigner. Alors que le métier d’enseignant est une vocation, il est en train de devenir un simple poste pour gagner sa vie, comme le mien (je suis manutentionnaire).

* Il faudrait mettre fin aux trop grandes disparités entre les écoles des villes ou quartiers riches et celles des villes et quartiers pauvres. Est-ce normal que les écoliers de Neuilly-sur-Seine aient droit à des écoles plus chichement doté en tout et s’en sortent mieux que les écoliers de Certigny ?

* Il serait temps de restructurer l’Education Nationale. Mais aucun enseignant ne veut entendre le mot “restructuration”. Non, l’école de Jules Ferry doit rester la norme. 130 ans sont passés, mais l’école publique doit rester telle quelle.



Donc, vois-tu, notre Education Nationale se porte tellement bien qu’il y a bien d’autres priorités que l’informatique et le numérique !



Mais, si tu veux parler informatique à l’école, et rester dans ce domaine, allons-y : je suis d’accord avec toi. Plutôt que de fournir des tablettes numériques aux élèves de cinquième (et pourquoi seulement à eux ?), l’Education Nationale devrait investir dans la rénovation des salles informatiques. Les ordinateurs de la plupart des écoles, et notamment celles en zone d’éducation prioritaires, sont des dinosaures. Ils ont fait leurs temps mais bon… des écoles musées, ça te dit ? Ce n’est pas avec du tel matos que les enseignants peuvent faire convenablement leur boulot. Mais après tout, depuis 1985, date à laquelle Laurent Fabius à lancer son plan “Informatique pour tous”, rien n’a vraiment bouger. Ce plan fut un lourd échec, de part le matériel informatique mis à

disposition, qui fut rapidement dépassé, et par le manque de formation

des enseignants. Dommage, car ce plan devait être le moteur d’une Education Nationale qui avance au grès des progrès technologiques. Autrement dit, depuis 1985, quand une école met à jour son parc informatique, c’est avec des années de retard. Comparé aux écoles allemandes, britanniques ou américaines, les nôtres font piètre figure dans le domaine de l’informatique.


Le 25/11/2014 à 12h 49

Il y a d’autres priorités pour l’Education Nationale que de proposer aux élèves de cinquième une tablette numérique. Et pourquoi aux seuls élèves de cinquième ? Les plus jeunes comme les plus anciens ne sont peut-être pas aptes à les utiliser….



Certes, la France est en retard, en très grand retard, concernant le numérique, et l’informatique, plus généralement, dans son Education Nationale. En 1985, le plan “informatique pour tous”, lancé par un certain Laurent Fabius, aurait du être le moteur d’une Education Nationale qui avance en même temps que les progrès technologiques. Ce plan fut un lourd échec, de part le matériel informatique mis à disposition, qui fut rapidement dépassé, et par le manque de formation des enseignants.



Depuis, l’Education Nationale peine à rattraper ce retard. Dans beaucoup d’écoles, les ordinateurs mis à disposition des élèves sont des dinosaures, qui ont largement fait leur temps… Comment peut-on dans ce cas parler d’introduire le numérique à l’école ? Commençons déjà par le commencement.



Concernant les tablettes numériques, quelque soit l’investissement que cela demandera, l’Education Nationale peut faire appel à un partenariat public-privé, ce qui réduirait la facture. Pour moi, le coût n’est donc pas LE problème. Le problèmes, ou les problèmes plutôt, sont ailleurs : l’état lamentable de nos écoles, le manque de vocation chez les enseignants (et ne leur jetons pas la pierre, car il n’y sont pas forcément pour quelque chose), la façon d’enseigner qui est resté la même depuis Jules Ferry (1880), les disparités entre les écoles publiques des villes riches et celles des villes pauvres (Neuilly-sur-Seine ou Versailles vs Certigny ou Boulogne-Billancourt pour ne parler que de la région parisienne), ect…



La priorité, ce n’est pas le numérique à l’école mais la restructuration de l’Education Nationale, de A à Z.



Mais, je vais jeter un pavé dans la mare : il existe une solution pour que les élèves de cinquième puisse avoir leurs tablettes numériques à l’école. Elle ne permettra qu’en partie de financer les tablettes numériques, mais quand bien même… Que l’Education Nationale arrête ses relations avec les écoles privées ! L’État rémunère les enseignants de ces établissements et les collectivités publiques financent leur fonctionnement. Une aberration, un contre-sens !&nbsp; Si les parents veulent envoyer leurs avortons dans des écoles privées, ils n’ont qu’à ouvrir grand leur porte-feuille.

Le 07/11/2014 à 19h 28

D’un, chaque éditeur à le droit d’avoir sa plate-forme de jeux vidéos.

De deux, chaque éditeur à le droit de proposer ses jeux vidéo sur la ou les plate-formes qu’ils désirent.



Il faut donc faire aujourd’hui avec plusieurs plates-formes. Trois, très souvent, ce qui n’est pas énorme. Les joueurs qui se plaignent de ne pas pouvoir utiliser Steam et uniquement Steam pour leurs jeux vidéos nous font un caca nerveux. Ou, plutôt, nous disent en sous-entendu que Steam, c’est le must, les deux autres sont de la merde.



Le fait est que les éditeurs concurrent de Valve ont le droit de proposer leurs jeux vidéos sur leurs plate-forme et uniquement la leur. Dans le domaine de l’ameublement, Ikea ne propose ses articles que chez lui. Ses concurrents ne vendent pas les leurs, à part peut-être pour quelques friandises.



Cette cette situation est normale. Chaque éditeurs a le droit de valoriser sa plate-forme en obligeant les personnes qui veulent jouer à leurs jeux vidéo à utiliser uniquement celle-ci. Après, si des joueurs ne veulent pas utiliser les plates-formes concurrentes de Steam, ils n’ont qu’à boycotter les jeux vidéos d’Electronic Arts et d’Ubisoft…

Le 05/11/2014 à 16h 14

Un drone n’est pas un jouet. Or, vu que leurs prix de vente baissent, de plus en plus de personne en achète. Et de plus en plus de personne les utilisent donc pour faire tout et n’importe quoi. Pire, certains de ces drones sont munie de caméra et leurs utilisateurs pensent avoir le droit de tout filmer avec leurs engins.



Il est normal que les autorités compétentes restreignent de plus en plus l’utilisation des drones. Si rien n’est fait, à terme, cela va être le Far West avec les drones. Si cela pouvait être évité….

Le 05/11/2014 à 15h 56

Que mon patron soit oui ou non un boulet ou un guignol, si je l’écris, je diffame mon patron. La diffamation est punie par loi. De plus, logiquement, je risque de me retrouver à la porte, sans avoir aucune indemnité, qui est plus est. En effet, je fait un acte d’insubordination.



Bordel, la liberté d’expression a ses limites. Un salarié ne peut pas insulter ses responsables ou son patron. Si il le fait, il s’expose à des risques. Je n’arrive pas à comprendre que tant de gens l’oublie. Tout n’est pas permis, même sur les réseaux sociaux, même verbalement !



Ce qui est dommage, c’est que beaucoup de salariés pourraient critiquer leurs responsable et leur patron sans prendre aucun risque. Mais encore faut-il qu’ils sachent maîtriser la syntaxe et le vocabulaire. La langue française est assez riche pour dire que son patron est un boulet et un guignol dans des termes différents, qui ne pourront être qualifiés de diffamation.



De toute façon, ce type d’actualité démontre combien en France les relations entre les salariés et les responsables (cadres et agents de maîtrise) et les patrons sont loin d’être au beau fixe. Bien au contraire, généralement, les salariés français n’ont pas une bonne image de leurs responsables et de leurs patrons.

Le 30/10/2014 à 18h 53

De toute façon, les lunettes à réalité augmenté posent et vont continuer à poser un problème. Dans les cinémas mais pas seulement là. Tous les lieux publics et les lieux privés sont concernés.



Ces lunettes peuvent permettre à leurs utilisateurs de filmer une personne à son insu. En France, le droit à l’image existe. Il n’est certes pas expressément reconnu par le législateur, mais ce dernier ne l’ignore pas pour autant. Et puis, il est y a un début de droit à l’image dans le Code civil, dans le Code pénal et dans dans la loi du 29 juillet 1889 sur la liberté de la presse.



D’autres pays dans le monde ont aussi un droit à l’image. Les citoyens de ces pays ne peuvent pas être filmé sans qu’ils en soient expressément averti, sauf dans des cas spéciaux. Par exemple, les forces de l’ordre qui filment en cachette des délinquants.



Les geeks et les technophiles se planquent derrière Dame Evolution pour nous chanter la sérénade du progressiste qui accepte tout. Ah ben ma fois…. la liberté des uns ne s’arrêtent pas où commencent celles des autres. Il faut accepter toutes ces nouvelles technologies et fuck you le droit à l’image !



Dans un futur pas si lointain, je ne serais pas étonné de voir de plus en plus de lieux publics et de lieux privés interdire l’utilisation des lunettes à réalité augmenté, quand bien même cette réalité augmenté peut apporter beaucoup d’avantage.

Le 24/10/2014 à 17h 03

Si les éditeurs pouvaient annoncer plus tôt les configurations PC minimales et recommandées, ce ne serait que mieux. Le faire trois semaines avant le lancement…&nbsp; n’importe quoi….



Bon, sinon j’ai l’impression que les jeux vidéos qui sortent sur PC, en ce moment, demandent des configurations surdimensionné, par rapport au besoin réel. Les développeurs savent-t-ils ce que le verbe “optimiser” veut dire, en informatique ?



Ou alors, il ne faut plus parler d’évolution des moteurs graphiques, mais de révolution. Autrement dit, peut-être que les derniers moteurs graphiques explosent tout…. ce qui expliquerait les configurations musclées, même en minimum, qu’il requiert.

Le 24/10/2014 à 16h 55

Le Titanic était un mastodonte des mers, pourtant, il a coulé. Ce n’est pas parce qu’Amazon est un géant du Web qu’il ne peut pas disparaître. Disparaître est un bien grand mot, et je ne le souhaite pas pour les 132 600 personnes qu’il emploie. Mais si il pouvait se prendre de bonne gifles en pleine tronche, ce serait jouissif.



De la part d’une entreprise qui essaie par tous les moyens et notamment l’optimisation fiscale, de couler tous ses concurrents de façon déloyale, je ne vais pas pleurer en voyant ses bénéfices en baisse.



Peut-être que certains avantages pour les clients vont disparaître. Après tout, il y a eu une augmentation du prix minimal pour que les frais de port soient offerts. Du 15 euros minimum, c’est aujourd’hui 25 euros. Je parle ici pour les Amazon européens. Voilà un avantage qui est resté, mais qui a été revu à la baisse.

Le 23/10/2014 à 15h 21







eliumnick a écrit :



Dans

ma boite, on a déjà tout un tas de “règles de sécurités” tellement bien

pensé, que pour pouvoir faire notre boulot on est obligé de les

contourner. Avec ce que propose MS pour windows 10, je sais que ma boite

va se jeter dessus, et la on ne pourra plus rien faire du tout.





A force de vouloir tout “sécuriser” il ne faut pas oublier qu’un

ordinateur est un outil, et que donc il doit pouvoir servir à travailler

:(







&nbsp;En même temps, vu le nombre d’employés qui prennent les ordinateurs de leurs entreprises pour leurs ordinateurs personnels, c’est un mal pour un bien !


Le 23/10/2014 à 15h 06







Elwyns a écrit :



Si c’était de notoriété publique, personne achèterai Nvidia .. faut arrêter le troll à moins que c’était un troll ils se sont peut être rattrapé avec la R9 290X c’est sûr que si y a bcp de promo comme ce matin la descendant à -300€ c’est un excellent rapport / qualité prix





J’écris toujours ce que je pense et j’assume mes commentaires ! Si Nvidia se vend très bien, c’est tout simplement parce que ce constructeur est arrivé à se forger une image de marque, auprès de la communauté des joueurs PC. Le marketing chez Nvidia est bien plus poussé que chez AMD.



Je rajoute également que les pilotes de AMD/ATI connaissent depuis plusieurs années une baisse dans la qualité de leur développement. Certains joueurs préfèrent payer plus cher leur carte graphique, quitte à avoir des pilotes digne de ce nom.



Après, tu n’es pas d’accord avec moi… ce n’est pas grave. J’ai des yeux, et quand je regarde les prix des cartes graphiques, oui, à puissance équivalente, AMD, comme c’était le cas quand il s’agissait d’ATI, est plus abordables que Nvidia.


Le 22/10/2014 à 16h 14

Théoriquement, quand il y a une guerre des prix, c’est tout bénéf pour le consommateur !



Le hic, c’est que Nvidia continuera à vendre plus chère ses cartes graphiques, par rapport à AMD, même si il baisse ses prix. Il est de notoriété publique qu’à puissance égale, les cartes graphiques de AMD, auparavant d’ATI, sont plus abordables que celles du Caméléon.



De toute façon, pour jouer convenablement, inutile d’avoir une configuration digne d’un hardcore gamer.

Le 22/10/2014 à 16h 24

Franchement, quel dommage de supprimer les cabines téléphoniques. Elles sont très utiles.



* En cas d’agression, tu peux t’y réfugier à l’intérieur et appeler la police

* En cas de besoin pressant, tu peux faire à l’intérieur

* En cas d’averses, tu peux t’y réfugier pour ne pas être mouillé

* Tu peux y faire la lecture assis par terre tranquillement

* Les cabines téléphoniques permettent d’accéder à des endroits mystérieux. La preuve : dans Harry Potter, elles permettent d’accéder au Ministère de la Magie



Mais plus sérieusement, les cabines téléphoniques ont encore leur utilité, car tout le monde ne dispose pas d’un téléphone portable. Et oui, c’est toujours vrai en cette fin 2014. Je suis désolé, mais le téléphone portable, c’est comme les antibiotiques, ce n’est pas obligatoire.<img data-src=" />

Le 22/10/2014 à 16h 06

Repasser à la caisse pour du… du quoi d’ailleurs ? Ce n’est même pas du réchauffé. Rockstar va prendre le jeu vidéo et va le lisser en HD. Wahou ! Quel exploit !<img data-src=" />



Arrêtons l’hypocrisie : les fans de la saga repasseront à la caisse. C’est de l’argent facile à faire pour Rockstar, et je ne vais pas lui en vouloir ! Rockstar n’est pas philanthrope, mais mercantile.<img data-src=" />



Heureusement que tous les jeux vidéos sortis avant l’arrivée de la HD ne font pas l’objet d’une réédition en format 1920 x 1080…………

Le 13/10/2014 à 15h 13

Vous me faîtes un peu tous rire… Un smartphone de 5,9 pouces dont le prix se situerait entre 100 et 115 euros… Archos doit bien rogner sur les spécifications techniques pour offrir une phablette à ce prix-là.



Le rédacteur de cet article parle d’un smartphone d’entrée de gamme. Je parlerai plutôt d’un smartphone low-cost et qui dit low-cost dit forcément des coupes dans les spécifications techniques. Le smartphone n’embarque que 512 Mo de mémoire vive. Bon, c’est vrai que c’est très peu. Je sais que sur mon ancien smartphone, qui n’avait que 512 Mo de mémoire vive, une application comme Spotify tournait systématiquement au ralenti… et puis, attention, je devais éviter de lancer plusieurs applications en même temps, sinon Androïd pouvait se figer et j’étais bon pour redémarrer le téléphone portable. Ouais, aujourd’hui, le minimum de mémoire vive qu’un constructeur devrait mettre dans un smartphone, c’est 1 Go de mémoire vive. C’est ce dont je dispose dans mon Acer Liquid E2.



Pour le reste, c’est peut-être bof, mais c’est suffisant. 4 Go de stockage, c’est peu, car Androïd et la surcouche d’Archos prendront plus de 50% de l’espace libre… mais qu’importe ! En désactivant les applications dont il ne se sert pas, l’utilisateur peut, sans avoir besoin de rooter le smartphone, gagner beaucoup de place. Les 1,3 GHz sont amplement suffisant pour la plupart des applications et pour faire tourner correctement Androïd. Les 854 x 480 pixels de l’écran sont aussi suffisant, même si l’écran fait 5,9 pouces. Les capteurs photos n’ont rien d’extraordinaires, mais ils sauront prendre des photos correctes.



L’Archos 59 ne s’adresse pas aux technophiles et aux geeks, qui sont prêt à dépenser plus pour avoir plus. Ce smartphone s’adresse aux personnes peu exigeantes, qui cherche à avoir un smartphone à grand écran à un prix abordable.

Le 07/10/2014 à 15h 39

J’ouvre une parenthèse. Un jeu ne se résume pas seulement à ses graphismes. C’est pour cela d’ailleurs que je ne suis pas vraiment regardant sur les moteurs graphiques qui sont utilisés dans les jeux vidéos. Mais j’en ai rien à battre que des développeurs utilisent un moteur graphique “ancestral”, du moment qu’ils se rattrapent sur le reste !&nbsp;



Je suis un PCiste, et, franchement, les utilisateurs qui pètent plus haut que le cul en demandant des graphismes à mettre à terre leur configurations à 1500 -2000 euros, quand ce n’est pas plus, commencent sérieusement à me les briser. Je ferme la parenthèse.



Qu’est-ce qu’on s’en branle de la définition d’un jeu, lol ! Du moment qu’on se fait plaisir à y jouer… Je ne dit pas qu’il faut jouer en 800x600 non plus ! Mais là, on débat sur la différence entre du 1600x900 et du 1080p. L’un ou l’autre, c’est vrai que cela va changer la donne….&nbsp;

Le 06/10/2014 à 16h 02

Evidemment, les résultats des études peuvent être interprétés de différentes manières.



Selon cette étude, 17% des Français ne sauraient pas ce qu’est la 4G. Bon… Une chose pour moi est certaine : le nombre de Français, même dans les nouvelles générations, autrement dit chez les jeunes, qui sont à la ramasse concernant les nouvelles technologie est plus importante qu’on ne le pense. Regardons un peu ce qui se passe avec la HD…. Encore beaucoup ne savent pas ce dont il s’agit et/ou ne voit même pas son utilité. Alors, que 17% de Français puissent ne pas savoir ce qu’est la 4G, je pense que c’est possible. Et encore, 17%, je trouve que c’est gentil.&nbsp;Que les technophiles ou les geeks le veulent ou pas, les Français ne sont pas des Américains, ou, pour aller à l’extrême, des Japonais. Nous n’avons pas la même perception des nouvelles technologies.



Enfin, pour ceux qui disposent de la 4G, que 56% d’entre eux ne verraient aucune différence ne serait pas étonnant. Les débits réels qu’offrent la 4G sont totalement inutiles pour une bonne partie de la population française. N’empêche que l’ARCEP nous dit que désormais 5,5 millions de Français sont abonnés à la 4G. Le marketing des opérateurs fonctionnent à merveille, puisqu’il s’agit-là d’un paradoxe. Dans ces 5,5 millions d’abonnés à la 4G, combien pourrait payer moins cher leur abonnement en se contentant uniquement de la 3G. Elle est suffisante pour une utilisation classique.

Le 24/09/2014 à 20h 15







sr17 a écrit :



Personne ne nie les difficultés pratique de l’enseignement de l’informatique à l’école ni le manque de moyens de l’éducation nationale.



Mais contrairement aux idées reçues, si le plan informatique pour tous n’a pas été une réussite, il n’a pas non plus été un échec complet.



Ceux qui ont eu la chance d’avoir des profs motivés en ont bien profité.







Sur le plan industriel, vous n’imaginez pas ce qu’un retard en la matière peut avoir comme conséquences.



Parce qu’aucun humain ne peut battre les robots en matière de productivité.



Et malheureusement, en matière d’enseignement, il n’y a pas qu’une seule priorité.



Maîtriser parfaitement une ou deux matières ne suffit plus.







Avec de telles réflexions, on peut parfaitement condamner nos enfants à devenir des esclaves.



Et pour ceux qui pensent que j’exagère, je vous suggère d’aller voir un jour un robot industriel travailler.



Un humain ne fournit même pas un demi kilowatt de travail par jour.



Ne croyez pas que c’est un hasard si des pays font de l’enseignement du code une priorité.







Avant de s’attaquer à l’apprentissage du langage informatique, j’apprécierai que nos gosses, quand ils rentrent au collège, savent lire et écrire correctement ! Voilà une des priorités de l’Education Nationale.



Après, je pense aussi que l’Histoire et la géographie ont bien plus d’importance que le langage informatique. Comment s’est construite la France d’aujourd’hui et où la situer sur une carte, connaître les bases de la géopolitique pour bien comprendre le fonctionnement du monde dans lequel nous sommes me semble aussi bien plus important que le langage informatique.



Pour que nos mômes apprennent le langage informatique, que proposent-tu comme concession ? Parce que déjà que les enseignants ont un mal fou à terminer leurs programmes, il va bien falloir qu’ils fassent des coupes pour qu’une partie du temps à l’école soit consacré à l’apprentissage du langage informatique. C’est une des raisons pour lesquelles ils sont très réticents à cet apprentissage, sans compter qu’ils sont une majorité à n’avoir reçu aucune formation dans ce domaine.



A la limite, mettons le langage informatique comme matière optionnelle au collège. Mais, à l’école primaire, ou plutôt devrais-je dire à l’école élémentaire, il y a autre chose de plus important à apprendre à nos gosses que du langage informatique.


Le 24/09/2014 à 16h 15

Sérieusement… en terme de numérique, l’Education Nationale est très en retard. Depuis 1985, avec le plan “Informatique pour tous”, qui fut un fiasco, elle accuse un retard énorme par rapport aux autres pays européens…



Dans trop d’écoles, le numérique n’est qu’une utopie. Les ordinateurs qu’elles possèdent sont dépassés, quand ils fonctionnent correctement, le haut débit est un rêve, la paperasse est toujours prédominante, ect… Et voilà que l’Education Nationale veut apprendre à nos chères têtes blondes la programmation informatique… Avec le matos dont dispose l’Education Nationale, cela va être une partie de rigolade ou une perte de temps, à vous de voir.



Et puis, des questions restent posées. Est-il nécessaire d’apprendre le langage informatique aux écoliers ? L’enseignement “moderne” à la primaire et au secondaire doit-il passer par l’apprentissage du langage informatique ? Avec quels moyens, puisque les enseignants manquent déjà de temps ? N’y a-t-il pas d’autres priorités ? Encore une fois, et c’est mon avis, l’Education Nationale va imposer aux écoliers une matière qui, suivant la filière où ils se dirigeront, ne leur servira à rien. Pour moi, il s’agit d’une matière comme peuvent l’être l’art plastique ou la musique aux collèges. Deux matières qui sont imposés aux collèges, deux matières où trop de collégiens s’emmerdent parce qu’ils s’en foutent !



L’Education Nationale ne s’archaïsera pas plus que ce qu’elle est déjà parce qu’elle n’apprend pas le langage informatique aux élèves. Qu’elle se modernise déjà en rattrapant son retard en terme de numérique. L’apprentissage du langage informatique peut aller aux oubliettes !

Le 24/09/2014 à 20h 04







FRANCKYIV a écrit :



C’est bien gentil l’ecommerce, mais ça à carrément tuer le commerce traditionnel informatique (tout du moins dans le nord de la France).



Avant j’achetai chez Micro Concept (petite boutique à Lens).

J’étais content, j’avais quasi les prix d’Internet, mais avec une boutique avec des vrais gens à qui parler, et surtout s’il y avait un soucis avec le matos, il suffisait de se déplacer à la boutique pour résoudre le problème.



Maintenant, il n’existe plus de boutiques physiques, et si jamais mon matos merde, je dois me démerder avec la poste … super ! <img data-src=" />







Prêt de chez moi, il y a une boutique informatique : L’Univers Informatique. Il en existe sept dans toutes la France. La première a vu le jour en 1984.



Les prix qui sont pratiqués dans cette boutique sont plus élevés que ceux des boutiques en ligne. Et pourtant, j’y ai déjà fait des achats et je me suis fait monter par deux fois un ordi. Toutes les boutiques informatiques que je fréquentais avant celle-ci ont toutes déposées le bilan. Dans les boutiques informatiques, mais c’est vrai pour toutes les petites boutiques, quelque soit leur activité, le client est reçu par des vendeurs, qui connaissent leur domaine, et qui sont a son écoute. Et ça, Internet ne pourra jamais le remplacer. Et ça, c’est ce que je recherche, quand bien même je m’y connais très bien en matos informatique.



Il ne faut pas oublier, par exemple en ce qui concerne l’informatique, que tout le monde n’a pas les connaissances adéquates. Ces personnes doivent être conseillées et aiguillées vers le bon choix. Les forums pour les conseils, c’est bien gentil, mais lorsque l’on est profane dans un domaine, c’est une vrai personne que l’on veut avoir en face de soit, qui saura nous vendre ce dont en a réellement besoin. Et Internet ne peut pas se subtiliser à cette personne-là, même si il y a toujours des fins connaisseurs sur les différents forums Internet.



J’espère qu’Internet ne tuera pas ces petites boutiques. Nous en avons tous besoin un jour où l’autre…. même si on ne veut pas l’admettre !


Le 24/09/2014 à 15h 52

Malheureusement pour les commerces en dur, les prix pratiqués par les boutiques en ligne sont bien plus attractif. Or un Français regarde d’abord les prix avant de regarder les produits. Ceci expliquant d’ailleurs la très bonne santé du low-cost en France.



Les Français optent donc plus souvent pour l’achat via Internet plutôt que pour l’achat via des commerces en dur. Je ne suis donc pas étonné de ces chiffres. Il n’y a guère que les commerces de nourriture qui résiste à Internet : une minorité de Français utilise le drive et, de toute façon, les prix des denrées périssables sur les boutiques en ligne ne sont pas beaucoup moins chers que dans les commerces en dur.



Mais certaines enseignes résistent très bien aux commerces en lignes, en proposant de la valeur ajoutée. Ikea, par exemple !

Le 23/09/2014 à 15h 01







Tornado_OLO a écrit :



Toi t’as jamais essayé de discuter de ça avec quelqu’un utilisant les service Google.

Essaie et te feras rapidement rangé dans la case des paranos. Du coup, ton avis ne comptera plus.







Tu prend pour argent comptant toutes les bonnes paroles de Google. Tu fais partie de cette masse d’Internautes que Google a réussi à se mettre sous son égide, et qui arrivent à le défendre, alors qu’il est indéfendable.



J’utilise aussi les services de Google : Google Chrome et Gmail. C’est paradoxal, par rapport à ce que j’ai écris dans mon précédent commentaire, et pourtant… Mais je me suis assuré que le géant puisse collecter le minimum d’informations me concernant, en décochant les options adéquates. Mais il en collecte tout de même, je ne suis pas un idiot ! Et ce n’est pas parce que j’utilise ses services que je dois me refuser de le critiquer.



Sous couvert de faire avancer les technologies et les services web, afin d’améliorer le quotidien des Internautes, Google menace jour après jour de plus en plus leur vie privée et écrase d’autres entreprises. Tu n’es sans doute pas d’accord avec ce dernier paragraphe. Je ne te demande pas de l’être, de toute façon. Mais c’est mon avis, point barre !


Le 23/09/2014 à 14h 38







Lafisk a écrit :



Le pire etant que le public cense etre eduque en la matiere (je parle des technophiles et/ou geeks etc..) ne se rendent pas compte du danger que represente google, la plupart, au contraire, serait plutot apte a pousser google pour qu’ils soient encore plus gros … <img data-src=" />







Mais c’est parce que les Internautes ne voient que la partie émergé de l’iceberg. Google fait tout pour que cette partie soit attirante : Google Chrome, Gmail, Google Maps, ect… sont autant de services qui sont salués par les Internautes. Et c’est vrai que ces services sont performants.



Mais la partie immergé de l’iceberg est bien moins connu des Internautes. A moins qu’ils préfèrent faire l’autruche et ne voir que le bon côté de Google.

En effet, par exemple, ces services n’ont jamais été gratuits : ils sont financés par la publicité. Il faut aussi savoir que la contre-partie pour les Internautes est que Google peut avoir accès à leurs donnés, à n’importe quel moment.

Autre exemple : sur son moteur de recherche, Google met toujours en avant ses services… au détriment des petits commerçants et des grandes marques. Résultat : ces sociétés ont une moins bonne visibilité sur Internet, et cela a un impact sur leurs bénéfices.

Encore un exemple : Google a racheté récemment Skybox Imaging… il n’en faut pas plus pour en déduire que Google pourra bientôt nous surveiller en temps réel via des satellites en orbite autour de la Terre.

Et dernier exemple récent : les Google Glass, qui peuvent permettre à Google de surveiller tout le monde. Le géant dit que les données collectées resteront secrètes… Tu parles !



Oui, pour regarder la partie immergée de l’iceberg, il faut voir plus loin que le bout de son nez et ne pas ne pas se laisser embobiner par ceux qui disent que c’est être paranoïaque. Mais ce n’est pas donné à tous les Internautes !


Le 23/09/2014 à 14h 16

Tout ce qui sort de la bouche d’une personne qui bosse chez Google doit être pris avec des pincettes. D’autant plus quand il s’agit du Président du conseil d’administration.



Il est bien loin le temps des bonnes intentions de Larry Page et Sergey Brin, les cofondateurs de Google. Google ne cache même plus son côté obscur, qui fait très peur, quand on l’analyse bien. L’empire Google bouffe tout, se renseigne sur tout et prend de l’ampleur jour après jour.



Bref, le discours de Eric Schmidt est sympathique, mais ce qu’ils proposent n’est finalement que pour agrandir Google dans l’Union Européenne.

Le 22/09/2014 à 22h 16







jb07 a écrit :



Et tu voudrais qu’on demande à un gars qui se sert uniquement de son téléphone pour téléphoner, ou de son ordinateur pour jouer, de la payer ? <img data-src=" />



Pour les résidences secondaires, c’est un problème marginal, je trouve. Ca ne rapporterais que des clopinettes (et ce serait tout aussi injuste : le proprio ne peut matériellement regarder la télé qu’à un seul endroit en même temps).







Et pour ceux qui n’utilisent pas leur téléviseur pour regarder des chaînes de télévision ? Je t’assure que c’est possible, renseigne-toi !







pufff a écrit :



A l’écouter il voudrait presque que chaque membre d’un foyer fiscal et agé de plus de 18 ans paye la redevance. Dans sa logique, soyons fou, qu’il demande une redevance par téléviseur.



Il ferait bien d’appliquer son conseil en regardant ce qui se fait ailleur.



Mais venons s’en au coeur du problème, je peux certifier qu’il n’y aurait pas de polémique concernant cette redevance, si la qualité des programmes et la transparence étaient au rendez-vous. Un simple regard chez nos voisins britanique le demontre.







Ben justement, tu ferais bien de regarder ce qui se fait ailleurs. Par exemple, pas loin de chez nous, en Allemagne. Tous les terminaux pouvant permettre de regarder les chaînes de télévision sont assujettis à la redevance audiovisuelle. Les résidences secondaires sont également assujettis à la redevance audiovisuelle.



Mais nous y viendront un jour, j’en suis persuadé !


Le 22/09/2014 à 21h 10







jb07 a écrit :



Faudrait voir à ne pas comparer des pays qui ont des niveaux de vie très différents. En Suisse, par exemple, le salaire moyen est bien plus élevé qu’en France, et les autres charges sont moins lourdes qu’en France. Ensuite, il faut voir ce que la redevance finance dans ces pays.



Et enfin, on doit pouvoir trouver des pays mieux lotis que nous (j’ai la flemme de chercher, là, il est tard <img data-src=" />).







Pour le montant de la redevance audiovisuelle, cela fait parti d’un tout, je te l’accorde. Pour vraiment bien comparer les pays entre eux, il faudrait, en effet, bien analyser ce que finance la redevance audiovisuelle dans chacun de ces pays.



Il n’en reste pas moins qu’en France, seules les personnes qui possèdent un téléviseurs paient la redevance audiovisuelle. Pourtant, ceux qui n’en possèdent pas, mais qui disposent d’une tablette numérique et/ou d’un smartphone et/ou d’un ordinateur peuvent théoriquement regarder les chaînes de télévision.Pourquoi ne seraient-ils pas assujetti à la redevance audiovisuelle ?



Je rappelle qu’avec une télévision, l’utilisateur peut ne pas regarder les chaînes de télévision mais simplement l’utiliser pour regarder des films qu’il a sur son disque dur ou sur ses galettes. Il peut l’utiliser également pour seulement jouer à sa console de jeux vidéo. A cet utilisateur-là, il lui est demandé pourtant de s’acquitter de la redevance audiovisuelle.



Que les gens le veuillent ou pas, il y a là une inégalité de traitement et je reste surpris que le Conseil Constitutionnel n’y ait toujours pas mis son grain de sel.



Et je suis une personne qui ne possède pas de téléviseur et qui ne paie donc pas de redevance audiovisuelle… mais je sais reconnaître les paradoxes quand il y en a, même si ces paradoxes vont en ma faveur, et que cela me ferait mal si l’Etat français y mettait un terme.



Enfin, en France, les résidences secondaires ne sont toujours pas assujettis à la redevance audiovisuelle. Pourtant, à bien y réfléchir, une résidence secondaire est une résidence qui n’a aucun rapport avec la résidence principale. Elle est une résidence à part entière et… pourquoi n’est-elle pas assujetti à la redevance audiovisuelle ?



Donc, je le redis : les Français sont bien lotis par rapport à d’autres pays européens. Avant de se plaindre, il faut regarder ce qui se passe ailleurs. De temps en temps…


Le 22/09/2014 à 15h 20

Dans d’autres pays européens, une personne qui ne possède pas de télévision peut-être assujettie à la redevance audiovisuelle. Pour cela, il suffit qu’elle possède un seul terminal qui lui permette de regarder les chaînes de télévision (tablette, smartphone ou ordinateur).



Autrement dit, dans ces pays, rares sont les personnes à ne pas payer la redevance audiovisuelle, puisque les trois terminaux que je cite entre parenthèse permettent tous désormais de regarder les chaînes de télévision.



La France est un des pays européens où la redevance audiovisuelle est la plus faible. Si cela n’a pas changé depuis, elle est de 365 € en Suisse, 264 € en Autriche, 215 € en Allemagne et de 169 € au Royaume-Uni.



Enfin, la France exclue de la redevance audiovisuelle les résidences secondaires….



Non mais sérieusement, les Français sont bien lotis !

Le 22/09/2014 à 19h 07







serpolet a écrit :



Je suis “prof de maths” dans un lycée général de province, et je n’ai pas l’impression de vivre dans le même pays que Romaindu83… Dans mon lycée, des ordinateurs partout : salles de physique, salles de SVT, CDI, plus deux salles informatiques banalisées, vidéo-projecteurs dans presque toutes les salles, TBI dans certaines salles…

Administration, cahier de texte, gestion des absences, notes, appréciations, blogs de classes… tout est informatisé…

Cela dit, voir le célèbre article Dans la Silicon Valley, les geeks paient très cher pour envoyer leurs enfants dans des écoles sans aucun ordinateur : l’enseignement “traditionnel” a toujours sa place, même et surtout pour former les futurs informaticiens.







Es-tu dans une école publique, une école privée ou ou une école semi-privé ?



De toute façon, tu es dans une école qui est un contre-exemple de ce que peut offrir l’Education Nationale en terme de numérique. Depuis le fiasco de 1985, avec le plan “Informatique pour tous”, l’Education Nationale n’a jamais suivit les évolutions technologiques comme elle aurait du le faire. Désormais, si elle devait s’y mettre sérieusement, cela demanderait un trop gros investissement financier. Pour se mettre à jour dans le domaine du numérique, l’Education Nationale n’a donc pas le choix d’y aller à tâtons, ce qui fait qu’elle ne peut finalement jamais atteindre son but.



Tu n’est pas d’accord avec moi ? Il ne faudrait pas que toi et les autres enseignants vous vous mettiez à faire l’autruche et à ne pas vouloir voir le retard énorme qu’a pris l’Education Nationale dans ce domaine. Cela ne fera rien avancer et, pire, cela démontrera le peu de motivation qu’ont les enseignants pour créer l’école numérique de demain. Mais ils le montrent déjà, en boudant les Technologie de l’Information et de la Communication pour les Enseignants. En juin 2013, seulement 5% des enseignants les utilisaient. C’est regrettable. Un effort de votre part serait la bienvenue.



Concernant l’enseignement traditionnel, si tu as lu tout mon commentaire, j’ai écris que je pensais que le numérique, de toute façon, n’était pas vital dans l’enseignement primaire et l’enseignement secondaire. Quoique suivant la filière que choisit l’élève, il vaut mieux que le lycée où il ira ait le matériel adéquat. Et pour les études supérieures, c’est pareil : trop d’universités sont des musées !


Le 22/09/2014 à 15h 03

La France est très en retard concernant le numérique à l’école. Comparé aux autres pays européens, nous sommes à la traîne, et ce n’est pas peu de le dire.



Ainsi, beaucoup d’écoles en milieux ruraux doivent toujours se contenter de débits dignes du début de l’Internet. Egalement, toutes les écoles françaises continuent d’utiliser le tableau noir et la craie : les tableaux numériques n’ont toujours pas vu le jour dans l’Education Nationale. Et aussi, en juin 2013, les différents médias nous informaient que seulement 5% des enseignements utilisaient les TICE (Technologie de l’Information et de la Communication pour les Enseignants). Et ceux ne sont que des exemples parmi d’autres.



Pour résumer, en France, dans les écoles, les collèges et les lycées, les crayons, les tableaux noirs et les craies ainsi que les cahiers sont toujours la norme. L’Education Nationale n’a jamais pris le virage du numérique et a ainsi raté toutes les révolutions.



Avant donc de vouloir mettre en place un espace numérique de travail pour les écoliers, il serait temps que l’Education Nationale prenne enfin sa place dans l’ère du numérique.



Oui mais voilà : où prendre l’argent ? Que nous soyons geeks et/ou technophiles, une réalité s’impose à nous : tout cela va demander un lourd investissement. La France est trop lourdement endettée pour mettre à jour toutes les écoles, les collèges et les lycées de France ! Elle ne peut pas le faire et ne le fera pas sur le court terme, ni le moyen terme.



Pour l’anecdote, sachez que la première révolution aurait du commencer en 1985, avec le plan “Informatique pour tous”, lancé par un certain Laurent Fabius. Ce plan fut bien mis en oeuvre, mais quel désastre cela fut-il. A l’époque, ceux sont des terminaux 8 bits MO5 de Thomson qui furent choisi. Il fallait bien soutenir notre filière de l’informatique et notre minitel aussi, par la même occasion ! Malheureusement, ces ordinateurs devinrent rapidement archaïques… Ce plan fut un échec également par le manque de formation des enseignants et parce que le choix fut fait de mettre l’accent sur l’enseignement de la programmation au détriment de l’utilisation de progiciels.



Bref, l’Education Nationale est désormais démodée par rapport à ce qu’elle pourrait offrir en terme de numérique. Mais l’enseignent supérieur accuse aussi du retard, dans ce domaine. Certaines universités sont dignes des plus grands musées de l’Histoire de France…. Ceci étant dit, est-ce que le numérique est vital pour éduquer notre écoliers, nos collégiens et nos lycéens ? Je ne pense pas. Ou alors, comment faisaient les maîtres et les professeurs quand le numérique n’existait même pas ? L’enseignement peut se pratiquer sans le numérique. Mais il faudra quand même que la France, quand elle le pourra, rattrape son retard.

Le 16/09/2014 à 17h 51







Reznor26 a écrit :



Je peux comprendre ta réaction même si j’y adhère pas vraiment, parce qu’il est vrai que tout ça commence à donner le vertige et à prendre des proportions qui deviennent problématiques.



Mais il est important de ne jamais perdre de vue une chose fondamentale : le but de ce genre de terrorisme est précisément d’amener les pays “démocratiques” (je sais bien que tout est relatif, mais faut comprendre avec un minimum de libertés individuelles, ce qui est objectivement le cas en France et dans beaucoup de pays occidentaux) à renoncer justement à ces libertés.



À chaque fois que nous avançons vers l’abandon de nos valeurs, c’est un pas de plus que nous faisons vers les leurs. Le terrorisme vise à terroriser (c’est bien là le sens du mot), et pas à rentrer dans une guerre frontale qu’il sait par avance inégale. Rentrer dans la spirale c’est faire leur jeu, parce que l’escalade n’a pas de fin. Aujourd’hui ce sera le blocage des sites, mais demain ce sera quelque chose de plus grave. C’est un engrenage.



Je ne dis pas qu’il ne faut rien faire, et ne prétends pas avoir des solutions magiques dans mon chapeau. Mais bordel, les hommes politiques sont sensés réfléchir à long terme, et avec une vision cohérente et pertinente des enjeux et des risques. Ce qui est décrit dans l’article ressemble à une réaction d’écolier qui se chie dans le froc, et ne comprend rien à rien au-delà des sentiments primaires que lui dicte son humanité basique. C’est quand même fou, ils sont supposés avoir une conscience relativement élevée et défendre avec fermeté le bien commun.



Il faut agir bien sûr, mais de manière intelligente et en défendant les valeurs qui nous semblent supérieures et constitutives de notre identité. Pas en se vautrant lamentablement dans une vision du monde belliqueuse et simpliste dont les seuls bénéficiaires réels sont… les terroristes eux-mêmes.







Je suis d’accord, le blocage des sites terroristes est une solution à court terme. Même si demain, tous les sites terroristes étaient bloqués, cela n’empêcherait pas les terroristes de continuer leurs exactions. Il est clair que pour nous terroriser, ils n’ont pas nécessairement besoin d’Internet… Sans Internet, ils pourront toujours nous faire péter une bombe en pleine gueule ou encore prendre des gens en otages, qu’ils assassineront de manière abjecte.



Le blocage des sites terroristes reste tout de même une solution comme une autre. Mais il faut des barrières. Demain, si le Parlement vote cet loi, les sites pédopornographiques et les sites terroristes pourront être bloqué. Il ne faut pas que cela soit d’autres sites. Il ne faut pas qu’il y ait de l’excès de zèle de la part de des autorités et de la justice.

Par exemple, l’Arjel peut solliciter la justice pour que des sites illégaux de jeux en ligne soient bloqués. Mais on ne parle que des sites illégaux de jeux en ligne et de rien d’autre.



Les solutions à long termes sont plus compliqués à trouver et nos hommes politiques (les nôtres, ceux de France) ont vraiment toutes les peines du monde à se projeter dans l’avenir, que cela soit pour des questions de sécurité, économiques, sociétales, ect…. Pourtant, et je te l’accorde pleinement, pour lutter efficacement contre le terrorisme, il faut en passer par là et ne pas réfléchir sur le court ou le moyen terme.


Le 16/09/2014 à 17h 21







tass_ a écrit :



Tu t’es grillé tout seul en disant que personne aux USA ne s’opposait au Patriot Act… Alors que c’est au centre de toutes les revendications artistiques et de la rue de ces dernières 5 années…







Franchement, que je me sois fait grillé ou pas concernant les Américains, je n’en ai rien à foutre….



Ce n’est pas ce qui va me faire changer d’avis sur le blocage des sites terroristes….


Le 16/09/2014 à 17h 10







127.0.0.1 a écrit :



Il faut absolument lutter contre la propagande des sites pédopornographiques !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites révisionnistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites sectaires !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites islamistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites anarchistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites complotistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites communistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites pirates !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites capitalistes !

Il faut absolument lutter contre la propagande des sites démocratiques !

..



La propagande, c’est vraiment le mal ! <img data-src=" />







Je me demande si tu sais au moins pourquoi tu ne veux pas du blocage des sites Internet. A te lire, je pense que tu suis la masse, c’est tout. Bien….<img data-src=" />


Le 16/09/2014 à 17h 02







tass_ a écrit :



Pour lutter contre les fraudeurs dans le train, il faut accepter que la liberté de mouvement soit bafouée, vite réinstaurons la carte de déplacement, à faire signer par la Mairie si tu vas dans une autre ville.

Pour lutter contre l’obésité, il faut accepter que la liberté de manger, vite réinstaurons les tickets de rationnement.







C’est en caricaturant les arguments des personnes avec lesquelles tu n’es pas d’accord que tu démontres ton opposition ? Bien……<img data-src=" />


Le 16/09/2014 à 16h 42







Danytime a écrit :



Comprend pas <img data-src=" />







C’est mon point de vue. Je demande à personne d’y adhérer. Je l’expose, simplement. Il fut un temps où j’étais réellement opposé au blocage des sites Internet. Mais, aujourd’hui, le terrorisme fait sa pub sur Internet, et cela prend de plus en plus d’ampleur… Internet est son nouveau moyen de communication. Un formidable outil de communication, qui touche le monde entier. Il faut pouvoir lutter contre ces sites, et si cela doit passer, entre autre, par leur blocage, il faut le faire, à mon sens. Le blocage des sites Internet ne doit donc plus concerner uniquement les sites pédopornographiques.


Le 16/09/2014 à 16h 31

Pour lutter efficacement contre le terrorisme, pour que notre protection soit assuré, je suis de plus en plus persuadé qu’il est nécessaire que les Français acceptent de perdre une partie de leurs libertés. Les Américains l’acceptent bien et je n’ai pas l’impression que cela les gêne outre-mesure. Bien au contraire !



Ici, on parle du Net. Donc, il est question de neutralité du Net. Et bien peut-être que pour lutter contre les sites liés au terrorisme, il faut accepter que la neutralité du Net soit bafoué.



Je peux aussi parler de la nouvelle loi qui est actuellement examinée pour lutter contre les filières djihadistes. Cette loi prévoit notamment l’interdiction administrative du territoire (confiscation du passeport et de la pièce d’identité), l’instauration d’une nouvelle qualification pénale et une lutte renforcée contre la propagande et le recrutement sur Internet.

Cette loi est définit comme étant liberticide par certaines association de défenses des libertés et des droits de l’homme, notamment parce qu’elles considèrent qu’un citoyen français doit avoir le droit de circuler où bon lui semble. Cela fait partie de sa liberté individuelle.



Pour rester sur le sujet, je suis donc de moins en moins opposé à ce que les blocages de site Internet soit élargie au-delà de ceux pédopornographiques.

Le 10/09/2014 à 12h 20

Une chose dont je suis sûr : l’imagination chez l’être humain est sans limite. Cela se voir tous les jours, que cela soit pour faire le bien ou pour faire le mal.



C’est vrai que c’est dernières années, les FPS se ressemblent beaucoup. Il faut dire aussi que les éditeurs ne font pas beaucoup d’effort. Ils nous ressortent sans cesse des suites. C’est à dire que seul les scénarios changent, quand il y a un scénario, le reste n’est que du resucée.



Des FPS originaux, il peut encore y en avoir. L’originalité dans créativité n’a pas et n’aura jamais de limite.

Le 08/09/2014 à 17h 12

Il y a les spectateurs et les cinéphiles. Autrement dit, il y a ceux qui regardent un film pour le plaisir de s’en mettre plein les yeux et puis, il y a ceux qui vont voir plus loin que les images qu’ils ont à l’écran. Les cinéphiles ne sont pas nécessairement des encyclopédies du cinéma, mais ceux sont des passionnés du 7eme art, alors que les spectateurs ne sont rien de tout cela.



Qu’est-ce que je veux dire par là ? Aujourd’hui, il y a trois formats qui cohabitent. Le DVD, le blu-ray et la VoD (location, achat définitif ou par abonnement).



Les cinéphiles ont besoin d’avoir de la qualité visuelle. Aujourd’hui, cela leur ai offert par les blu-ray… quand les films sont édités en blu-ray, bien sûr. De plus, les cinéphiles aiment regarder les différents bonus qui se trouvent sur les galettes (commentaires audio, making-of, ect…). Ils ne se contentent pas uniquement de regarder un film. Si ils peuvent en apprendre plus, ils ne s’en priveront pas.

La VoD ne peut absolument pas leur apporter satisfaction. Sa qualité est trop souvent à désirer, en HD ou même en SD, et elle n’offre aucun bonus.



Les spectateurs, eux, peuvent regarder de la HD ou de la SD. Donc, DVD ou blu-ray, c’est comme ils le souhaitent. D’ailleurs, certains continuent toujours à n’acheter que des DVD. Mais une chose est certaine : ils ne regardent un film que pour voir un spectacle, ni plus ni moins. Aller au-delà de ce qu’ils ont vu, ils s’en cognent complètement. Autrement dit, les bonus sur les galettes, ce n’est pas pour eux.

La VoD peut leur apporter satisfaction. Même si sa qualité laisse parfois à désirer, leurs exigences n’atteignent pas celles des cinéphiles. Et puis, le vide sidérale en matière de bonus ne les dérangera pas.



Ce que je suis en train d’expliquer, c’est que, quand bien même ici certains clament la mort prochaine des galettes, il faut bien qu’ils comprennent que les cinéphiles ne pourront jamais se contenter d’une “vulgaire” VoD. Ce n’est pas qu’ils ne veulent pas évoluer. C’est que la VoD, qu’elle soit en location, en achat définitif ou en abonnement, ne répond pas du tout à leurs attentes.

Le 08/09/2014 à 16h 45

A IKEA, pour ne pas le nommer, se vendent des ampoules à économie d’énergie pour bien moins cher. Elles ne sont pas multicolores, c’est vrai, mais bon… Qui a besoin d’ampoules multicolores, à part la minorité geek ?



En vérité, et je n’ai pourtant que 30 ans, j’ai un mal fou à voir de l’intérêt dans tous, je dis bien tous les objets connectés. Je trouve que c’est bien pour les geek (et donc ça résume toute ma pensée)… mais après… Bracelets connectés, montres connectés, ampoules connectés, brosses à dents connectés, frigidaires connectés, ect…



La maison demain sera entièrement connectée, paraît-il… mais par qui ? Par le péquin moyen ? Je n’y crois pas une seconde, surtout que les objets connectés coûtent plus chers que les objets classiques. Et puis, vivre connecté, c’est vivre autrement aussi. Il faut vouloir vivre interconnecté à une multitudes d’objets : ça ne rentrera pas aussi facilement que ça dans les mœurs.



Bref, pour revenir au sujet, si je peut accorder un brin d’intérêt envers un bracelet connecté, par exemple, qui donne les colories brûlées à sportif, je n’en vois vraiment aucun dans une ampoule connectée. Ah si, peut-être épater ses amis ?