votre avatar

Romaindu83

est avec nous depuis le 24 février 2009 ❤️

818 commentaires

Le 18/10/2016 à 18h 27







jeje07bis a écrit :



ça va beaucoup plus loin : il faut que la matériel soit THX et que la salle soit aussi THX (salle dédiée avec acoustique étudiée sur mesure par des pros)

 





Suite à ton commentaire, je me suis donc amusé à regarder les prix du matos certifié THX…



Heu… comment dire ? Ah pour le coup, effectivement, la qualité a un prix………….. <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />



Et en plus, il faut une salle THX, me dis-tu…



Si je comprends donc bien, pour pouvoir profiter du THX chez soit, il faut respecter l’écosystème THX dans son ensemble. Au vu de l’investissement financier que cela demande, cela est impossible pour le commun des mortels. Cependant, la certification THX pour certains des produits de Razer sera tape-à-l’oeil et attirera les joueurs qui recherchent de la qualité.


Le 18/10/2016 à 17h 35

Quels spectateurs prennent en considération la certification THX ? Je pense que la proportion doit être infime. Cette certification est technique et n’est pas comprises par tous les spectateurs.



Pour chez soit, regarder un film certifié THX ne peut avoir d’intérêt que si la personne possède un home-cinema. Or, il n’y a qu’une minorité de particuliers qui possèdent des home-cinema, la plupart se contentant d’une télévision, souvent low-cost.



Ce rachat de THX par Razer ne m’étonne pas. Razer est une entreprise qui développe et vend des périphériques pour les jeux vidéos. La marque vise principalement les joueurs PC. Les joueurs qui achètent des produits de Razer recherchent des produits de qualité. Razer ne fait pas dans low-cost. Désormais détentrice de THX, la marque américaine pourra produire et vendre des périphériques certifié THX. Même si la certification THX n’est pas comprise de tous, qui n’en a pas entendu parler ? Plus ou moins, tout le monde sait que THX rime avec qualité. Les joueurs cherchant des produits de qualité pourraient donc plus facilement se diriger vers Razer que vers ses concurrents, tel que Saitek.

Le 18/10/2016 à 14h 01







Citan666 a écrit :





  1. Peu importe qu’il s’agisse de la moins élevée. L’important est que l’argent soit bien utilisé.



    &nbsp;2. Navré, la qualité des programmes n’est pas qu’une affaire de goûts et de couleurs. Que l’on apprécie ou pas le genre d’une série telle que Poubelle la Vie, ok. Mais indépendamment de ça, rien que le jeu des acteurs et les dialogues sont amateurs, très loin des séries américaines. Ajoutons à ça les émissions de divertissement (l’objectif de la télévision publique ne devrait-il pas être d’abord de cultiver et d’informer ?), de surcroît débiles et animées par des gens surpayés. Ou l’inflation du nombre de chaînes alors que, comme tu le relèves, la redevance est faible par rapport à d’autres pays qui financent moins de chaînes (ce qui, mathématiquement, réduit les ressources disponibles pour chaque, et sans moyens, il est effectivement difficile de faire de la qualité).



    &nbsp;3. Le point sur la France magnanime me fait bien délirer. Non, ce n’est pas magnanime, c’est juste une conséquence logique du principe: ce sont les personnes qui sont susceptibles de regarder donc pouvant payer. Le nombre de moyens qu’elles possèdent pour user de cette possibilité n’a donc rien à voir. Navré d’être brutal, mais l’idée même de moduler la redevance en fonction du nombre d’équipements (car ça revient à ça in fine) serait d’une sidérante débilité.





    1- France Télévisions est un paquebot. Pour le maintenir à flot, il faut chaque année un certain budget. France 2, France 3, France 4, France 5, France Ô et Réseau Outre-Mer 1ere composent le groupe France Télévisions. La cours des comptes a épinglé à maintes reprises France Télévisions, preuve en est que l’argent n’est pas utilisé correctement.

    Il ne faut pas oublier non plus que la redevance audiovisuelle finance aussi le groupe Radio France, composé de FIP, France Bleu, France Culture, France Info, France Inter, France Musique et le Mouv’.

    &nbsp;

    2- Navré, mais la qualité d’un film, d’une série ou d’un divertissement, que cela soit sur le fond et sur la forme, est bien une affaire de goût et de couleurs.



    3- Dernièrement, Delphine Ernotte, PDG de France Télévisions, a demandé l’extension de la redevance audiovisuelle aux smartphones, aux tablettes numériques et au PC. N’aurait-elle pas raison ? Ces appareils permettent de regarder les chaînes de télévisions, dont les chaînes publique, tout en s’affranchissant de la redevance audiovisuelle. Dans ce domaine, beaucoup de gens viennent montrer leur mécontentement concernant cette possible extension sur les forums. De parfaits faux-culs pour certains, puisqu’ils regardent les chaînes de télévision via ces appareils. Ils seraient donc logique qu’ils doivent payer la redevance audiovisuelle.

    Et pour finir, pourquoi les résidences secondaires ne pourraient-elles pas êtres retenus pour l’assujettissement de la redevance audiovisuelle ? Je ne vois pas ce qui pourrait empêcher cela. Cela aurait pour conséquences d’inciter plus de gens à contourner la redevance audiovisuelle. Mais à ce moment-là, la redevance audiovisuelle aura été étendu aux smartphones, tablettes numériques et PC… C’est con… Contourner la redevance audiovisuelle sera quasiment impossible.


Le 17/10/2016 à 16h 11

En France, la règle est claire : si tu possèdes au moins un téléviseur, tu es de fait assujetti à la redevance audiovisuelle, même si tu ne regarderas pas les chaînes de France Télévisions. Ou même si tu ne te serviras de ta télévision que pour jouer à ta console de jeux vidéos.

Je tiens à préciser, à nouveau, que la redevance audiovisuelle française est une des moins élevées en Europe. En 2015, elle était de 200 € au Royaume-Uni, de 215 € en Allemagne, de 232 € en Suède ou encore de 433 € en Suisse.

Et, à nouveau également, je tiens à dire, pour ceux qui viendrait à en parler, que la qualité des programmes de France Télévisions est une affaire de goûts et de couleurs. En effet, certains estiment que notre redevance audiovisuelle est trop élevée au regard de la qualité des programmes de France Télévisions. Mais leur avis vaut-il pour tout le monde ? Non, bien évidemment.

Pour finir sur la redevance audiovisuelle française, la France est magnanime envers les personnes qui possèdent une ou plusieurs résidences secondaires, puisqu’elles ne sont pas retenus pour l’assujettissement de la redevance audiovisuelle. De même, chez nous, la redevance audiovisuelle ne concerne que les téléviseurs. Sont exclus les tablettes numériques, les smartphones ou les ordinateurs, qui permettent pourtant de regarder la télévision. Et je sais très bien que des gros malins, hypocrites comme jamais d’ailleurs, utilisent ces appareils pour contourner la redevance audiovisuelle.



Concernant la taxe sur les FAI, autant vous prévenir immédiatement : tous répercuteront celle-ci sur les prix de leurs abonnements. Pour ne pas perdre leurs clients, certainement limiteront-ils ces hausses de prix, mais hausse il y aura tout de même. Ou alors ils feront des compromis sur certains de leurs investissements. Quoiqu’il en soit, cette augmentation de la taxe ne sera pas sans conséquences.

Le 17/10/2016 à 16h 58







joma74fr a écrit :



État : 9,60% - BPI France : 13,45%



&nbsp;      

TOTAL État : 23,05% du capital d'Orange





source:&nbsp;fr.wikipedia.org WikipediaAutant pour moi, en effet. Ton chiffre est correct. J’ai vu un peu trop grand, lol !<img data-src=" />


Le 17/10/2016 à 16h 18

J’attends de voir combien de complotistes vont réagir à cette actualité. En effet, c’est le type d’actu qui permet à toutes les théories du complot de voir le jour, d’autant plus que Orange, anciennement France Télécom, est détenu à 64,3% par l’Etat français. Je rigole d’avance !

Le 07/10/2016 à 21h 00







tifounon a écrit :



apple prépare clairrement un passage tout 64 bits et commence par bouter hors d’iOS le 32 bits.



quant à MS, s’il passe tout 64bitzs, les gens gueuleront parceque l’application de généalogie de tonton jackie ne marchera plus.



Sans compter les app professionnels.



MS devrait plutot lancer un ultimatum de 5 ans (on va dire) et virer de force le 32 bits au bout de cet ultimatum





A te lire, si, toutes plates-formes confondues, les programmes 32 bits restent encore majoritaires, c’est donc pour un souci de compatibilité. Je dois en conclure que beaucoup d’utilisateurs, particuliers comme professionnels, disposent encore de systèmes d’exploitation (Windows la plupart du temps) 32 bits.



Effectivement, un programme 64 bits ne peut pas fonctionner sur un OS 32 bits. L’inverse, par contre, est possible. Pourtant, sur PC, de plus en plus de particuliers ont une version de Windows en 64 bits. Certains (beaucoup ?) ne le savent même pas d’ailleurs et continuent de télécharger et d’installer les versions 32 bits de leurs programmes, quand les versions 64 bits sont proposées. Je ne vais pas leur en vouloir : tout le monde n’a pas mes connaissances même si il ne faut pas avoir fait Saint-Cyr pour le savoir.



Concernant les professionnels, plus long à évoluer que les particuliers compte tenu de l’investissement que demande le changement d’un parc informatique, il n’y a pas à être étonné qu’ils utilisent encore et toujours majoritairement le 32 bits.



Cependant, et je sais que cela grincer des dents quand je l’écris, Microsoft ne peut pas abandonner ceux qui ont toujours une architecture 32 bits. Cela explique pourquoi Windows 10 est proposé en version 32

bits. J’ai lu maintes fois que Windows 10 ne serait proposé qu’en version 64 bits, mais je savais pertinemment que cela ne serait pas le cas : cela serait contre-productif pour Microsoft. Quand aux créateurs de programmes, ils ne peuvent pas non plus décemment laisser tomber le 32 bits. Tant que les architectures 32 bits seront encore utilisées, que cela soit encore le cas dans 5, 10, 15, 20 ans ou au-delà, l’OS de Microsoft et les logiciels continueront à avoir leurs versions 32 bits.



Enfin, je dispose également d’un smartphone sous Android 6.0. Celui-ci est en version 32 bits. Si, demain, Google, dans son Play Store, impose aux concepteurs d’applications le 64 bits, je serais bien embêté… De plus, je rappelle que les mises à jour d’Android sont au bon vouloir des constructeurs. La plupart ne proposeront aucune mise à jour d’Android en version 64 bits, sous entendu que l’architecture du smartphone permet le support du 64 bits. Il faudra racheter un smartphone pour en profiter… Excusez-moi du peu, mais je serais donc baisé, comme tant d’autres. Et j’achèterais un stock supplémentaire de vaseline car certains créateurs d’applications ne se gêneront pas d’imposer aux utilisateurs de repasser à la caisse pour avoir leurs applications en version 64 bits. Ah parce que oui, vous me pardonnerez, mais j’ai acheté plusieurs applications.



N’oubliez pas que l’écosystème “Android” est bien plus complexe et fragmenté que l’écosystème “iOS”.


Le 07/10/2016 à 16h 45

Il est question ici d’applications, c’est à dire de programmes qui sont relativement légers. Comprenez que ces programmes sont loin, très loin, super loin, à des millions d’années lumières de notre Terre, d’avoir besoin d’exploiter 4 Go de mémoire vive, voire plus. Vous allez me rétorquer que des applications de plus en plus lourdes et demandant, de facto, de plus en plus de ressources en mémoire vive, ont fait leur apparition ces derniers temps. Je pense notamment aux jeux vidéos pour smartphones et tablettes numériques. Mais quelle est la proportion de gens qui les utilisent ? Elle doit être infime, à mon avis.




Ensuite, et j'avoue ne pas m'y connaître en programmation informatique et c'est donc une simple déduction que je fais, écrire un programme en 32 bits doit être plus facile que d'écrire un programme en 64 bits. A fortiori, cela facilite sa maintenance (les mises à jour).      






C'est en 2003 que le premier processeur 64 bits s'adressant au grand public sort. Il s'agit de l'Athlon 64, d'AMD. 13 ans se sont écoulés depuis sa sortie. Force est de constater que les programmes 32 bits rayonnent toujours, que cela soit pour les PC ou pour les smartphones/tablettes numériques. Du côté d'Apple, je ne me prononcerais pas, ne sachant ce qu'il en est. Si le 32 bits n'est pas mort, c'est qu'il y a bien une raison, voire même plusieurs... Je ne pense pas que les concepteurs de programmes utilisent toujours le 32 bits parce qu'ils y tiennent comme à la prunelle de leurs yeux.

Le 28/09/2016 à 16h 13

Comme à chaque actu sur le même sujet, je rappelle que la redevance audiovisuelle française est une des moins chère en Europe. Ainsi, début 2015,&nbsp; en Suisse, elle était de 433 € ; elle était de 232 € en Suède ; de 215 € en Allemagne et de 200 € au Royaume-Uni. Les Français sont donc assez bien lotis.



De plus, dois-je le rappeler, en France, les résidences secondaires ne sont pas assujettis à la redevance audiovisuelle et cette dernière ne concerne que les téléviseurs.



Au regard du nombre de chaînes publiques, c’est à dire six, et de radios publiques, c’est à dire sept, qu’il y a en France, le montant de la redevance audiovisuelle n’est pas important. Les deux paquebots France Télévision et Radio France coûte cher à entretenir et la redevance audiovisuelle pourrait être bien plus importante. D’ailleurs, dernièrement, certaines personnes, comme Delphine Ernotte, la présidente du groupe audiovisuelle public, réclame une augmentation de la redevance audiovisuelle bien plus importante et son élargissement aux smartphones, tablettes et ordinateurs.



Pour ceux qui insistent sur le fait que France Télévision ne passe que de la merde, je leur rappelle que c’est une histoire de goût et de couleur… car France Télévision, en terme d’audience, est le premier sur le podium.



Tôt ou tard, la redevance audiovisuelle sera élargi aux autres équipements. Et c’est logique, n’en déplaise à certains. En effet, les modes de consommation changent. C’est de plus en plus avec un ordinateur, une tablette ou un smartphone que les gens regardent les chaînes de télévisions, notamment celles publiques. Je rajoute d’ailleurs que, dans ce domaine il y a de belles brochettes de faux-cul : ces gens qui regardent la télévision mais qui, pour ne pas payer de redevance audiovisuelle, ne la regarde pas sur une télévision et qui viennent râler sur les forums lorsque le sujet de son élargissement revient sur la table.



Bref, nous n’avons pas beaucoup à nous plaindre : 139 €, c’est que dalle… Cela pourrait être bien plus !

Le 22/09/2016 à 15h 47

Je sens qu’avec la réalité virtuelle, nous allons connaître des débats qui ressembleront à ceux que nous avons connu avec la 3D.



Kevin Hottot, dans son article, écrit que la réalité virtuelle ne prend pas son envol parce que les gens que nous sommes méconnaissons cette nouvelle technologie et n’y prêtons aucun intérêt.



Ce discours, je l’ai lu aussi pour la 3D. Si elle n’a jamais pris son envol, c’est parce que nous, pauvres ignorants, crétins que nous sommes, et je suis poli, n’avons jamais compris toutes les capacités que pouvaient nous apporter la 3D. Oui, vous avez bien lu : si la 3D ne s’est jamais démocratisée, c’est parce que le monde fourmille d’abrutis.



Sur le papier, la réalité virtuelle est intéressante. Mais après ? Si personne ne s’y intéresse, c’est peut-être aussi parce qu’elle n’est pas intéressante, tout simplement. C’est parce que peut-être ses promesses ne donnent l’eau à la bouche qu’à de rares personnes. Peut-être que les gens en attendent beaucoup plus ?



&nbsp;Et puis, le psychodrame que nous avons vécu avec la 3D a rendu les gens méfiants. Faut-il que je vous ressorte tous les discours des partisans de la 3D, pour nous faire comprendre que la 3D, c’est la nouvelle révolution cinématographique depuis l’arrivée du son et de la couleur ? Faut-il que je vous ressorte les discours des constructeurs pour nous faire vendre leurs matériels 3D ? Faut-il que je vous ressorte les discours du nabab James Cameron, qui nous dit en substance que seuls des réactionnaires au QI négatif peuvent rejeter la 3D ? Les gens vont donc peut-être vers la réalité virtuelle à reculons.



Ensuite, que cela soit la 3D ou la réalité virtuelle, pour en profiter, il faut, pour la première des lunettes, pour la seconde un casque. Aussi soigné dans leur conception peuvent être ces appareils, ils deviennent inconfortables à la longue. Des lunettes ou un casque ne se font pas oublier lorsque vous les porter. Et cela est d’autant plus vrai lorsque l’utilisateur porte des lunettes de vue. Il y a une gêne supplémentaire, quand bien même les lunettes 3D ou le casque serait prévue pour les gens qui portent des lunettes de vue. A ce niveau-là, 3D et réalité virtuelle ont tout contre elles…



Bref, j’espère, mais ce ne sera pas le cas vu ce que je peux déjà lire ici, que les détracteurs de la réalité virtuelles ne seront pas pris pour des ignares, dangereux technophobes dans leur état.

Le 21/09/2016 à 17h 02

En 2015, le résultat net d’Ubisoft (autrement dit ses bénéfices) a été de 93 millions d’euros. Le remboursement de cette dette à la date butoir du 21 septembre 2021 est donc largement faisable, si ses bénéfices restent, au pire stables, au mieux en augmentation.



Le secteur du marché du jeux vidéos ne connaissant pas la crise, je ne me fais aucun souci.

Le 14/09/2016 à 17h 02







Ricard a écrit :



lol





Je suis au regret de te dire que tu n’est pas obligé d’être un complotiste, lorsque tu remet une parole en doute. Mais être complotiste est bien plus facile que de faire fonctionner ses neurones.


Le 14/09/2016 à 16h 40

Les informations que nous pouvons lire sur les réseaux sociaux sont à prendre avec des pincettes, notamment selon quels comptes les diffusent… Mais il y a aussi des sites Internet et des blogs.



Malheureusement, bien que nous sommes désormais des homo sapiens sapiens, il semblerait, selon les plus grands chercheurs, que notre cerveau régresse. A tel point que l’être humain en revient à croire que la Terre est plate… Les chercheurs pensent que demain, nous serons l’Homo debilitus…



Bref, plus que les personnes qui diffusent de fausses informations, ceux sont tous ces Internautes crédules que je vise. Par leurs conneries, les théories du complot ont le vent en poupe, avec toutes les conséquences que cela occasionne.

Le 13/09/2016 à 17h 42

Si j’ai quitté Adblock Plus pour uBlock Origin, c’est justement parce que Adblock Plus appartient à une société publicitaire. Une société publicitaire qui propose une application pour bloquer les publicités aura tôt ou tard à faire à des conflits d’intérêts, qui ne pourront qu’être néfastes pour l’utilisateurs.



D’ailleurs, le propriétaire de Adblock Plus ne cache pas que son application laissera passer des publicités qui sont jugés “acceptables”. Je suis désolé, mais aucune publicité ne peut être acceptables, quand bien même de très nombreux sites vivent de ces publicités. Ils n’ont qu’à trouver de nouvelles solutions de financements. La publicité n’a jamais été un moyen de financement viable, car des applications permettent de les bloquer. Ce moyen en devient même archaïque, de nos jours….

Le 06/09/2016 à 16h 05

La plupart des utilisateurs de drones se foutent éperdument des règles en vigueur : ils font voler leurs drones où bon leur semble. En effet, une première partie ne sait pas que le vol d’un drone est encadré, notamment par la Direction générale de l’aviation civile. L’autre partie connait ces règles, mais ne les respecte pas car elle estime qu’elles ne leur permettent pas d’utiliser librement leurs engins volants.




Enfin, je rajoute que beaucoup d'utilisateurs de drones disposant d'une caméra violent systématiquement le droit à l'image.      






Que la mairie de Paris met à disposition des utilisateurs de drones un espace où ils peuvent les faire voler est une bonne idée, mais cela risque de faire un flop, pour les raisons que j'ai mentionné plus haut.

Le 31/08/2016 à 22h 04







djelme a écrit :



L’eau courante, l’électricité… Que des trucs imposés à l’époque et dont on ne pourrait se passer….. sauf toi&nbsp; ?





Sauf que aujourd’hui, sans l’électricité et l’eau courante, tu ne fais pas grand chose. C’est devenue vital. La fibre ne l’est pas encore…


Le 31/08/2016 à 17h 59

Certains commencent vraiment à m’emmerder avec la fibre optique, dans le sens où, parce qu’ils y sont intéressés, tout le monde doit l’être aussi. Je peux comprendre que les fils de cuivre puissent paraître archaïque en 2016 mais cela suffit toujours pour une majorité d’abonnés français, même si le nombre d’abonnés à la fibre optique grossit chaque jour.



&nbsp;Ces deux décrets sont mal venu. Pour les maisons individuelles, les propriétaires doivent avoir le choix de pré-raccorder leurs logements à la fibre. C’est une liberté qu’ils doivent avoir, puisqu’ils vivent, justement, dans des maisons individuelles.



Concernant les immeubles collectifs, avec ce type de décret, c’est comme si l’Etat se permettait de pisser et de caguer sur les assemblées générales. En effet, c’est elles qui devrait décider si oui ou non les immeubles doivent être pré-raccorder à la fibre optique, via le vote des propriétaires.



Ce n’est pas parce que certains roulent avec des voitures hybrides et, demain, des voitures autonomes, que nous devrons tous obligatoirement y passer le jour J. Laissons le temps au temps, même si c’est long. Et en France, ce n’est un secret pour personne, évoluer se fait toujours sur le très long terme.

Le 09/06/2016 à 17h 11

C’est plutôt l’Hadopi qui s’est démolie toute seule, tant son efficacité est aujourd’hui remise en question. Même la Cour des comptes a émis des critiques. C’est pour dire…



Dès le début, en misant plus sur le répressif que sur la pédagogie, l’Hadopi était voué à n’être que l’ombre d’elle-même, dans un monde où des systèmes permettent de garder un anonymat sur Internet, même si il est relatif.

Le 09/06/2016 à 14h 40

Je n’arriverais jamais à comprendre quel est l’intérêt pour un site Internet de nier une attaque qui a eu pour conséquence une fuite de donnée, qui peuvent avoir de fâcheuses conséquences pour plusieurs utilisateurs. Tout ce que peut gagner un site Internet en réagissant de la sorte, c’est de ternir son image.



Cependant, si Twitter dit vrai (que les comptes de certains utilisateurs se sont retrouvés sur le Net via des programmes malveillants qu’ont exécuté ces utilisateurs), il n’y a rien à reprocher à Twitter.

Le 23/05/2016 à 18h 38







nedaro a écrit :



Ce que tu appelle l’extrême gauche, c’est juste la vrai gauche.

Quand au partisans de la loi el-khomri, on les entend suffisamment dans les journaux, émission tv/radio politiques.





L’extrême-gauche est une extrême, aussi dangereuse que l’est l’autre extrême, l’extrême-droite. Voter pour l’une ou l’autre de ces extrêmes n’a jamais été un bon choix.


Le 23/05/2016 à 17h 48







picatrix a écrit :



C’est bien en région PACA que Marion Maréchal (nous voit là) a bien failli passer et qu’il a fallu que la gauche vote à contre coeur pour estrosi pour la contenir.

non c’est vrai toulon n’est pas à droite … ça me fait penser à du Coluche “non c’est pas vrai je ne suis pas de droite, mais je ne suis pas de gauche faudrait quand même pas déconner”.

Ces électeurs là ont perdu toute respectabilité depuis longtemps.

&nbsp;



moi aussi je t'aime mon petit facho adoré.







Tu peux me traiter de facho, de raciste et de ce que tu veux. Je suis un sympathisant du Parti Socialiste, qui ne se retrouve d’ailleurs plus dans le PS d’aujourd’hui. Où sont les valeurs socialistes ? En tout cas, certainement pas à l’extrême-gauche. Car, pour résumer : l’extrême-gauche ou l’extrême-droite, l’un dans l’autre… Les extrêmes se rejoignent toujours, à un moment ou à un autre. Et c’est le cas actuellement… Et puis, je ne veux ni de l’extrême-gauche ni de l’extrême-droite à la tête de ma ville, de mon département, de ma région ou de mon pays.



Je n’étais pas encore en âge de voter quand le FN est passé à Toulon. Quand Hubert Falco prend la tête de Toulon, le FN lui a laissé une ville qui est endetté à 214 millions d’euros. L’UMP, désormais Les Républicains, ce n’est pas ma tasse de thé, tu l’auras compris. Et pourtant, je sais reconnaître que Hubert Falco, en fin gestionnaire qu’il a toujours été, est arrivé à effacer cette dette. Toulon est aujourd’hui la 6eme ville la mieux gérer de France alors que sous le FN, elle était en passe d’être mise sous tutelle par la préfecture.



Cependant, je respecte le vote des Toulonnais qui ont porté le FN à Toulon, en 1995. Même si ils ont commis une erreur, puisque le FN a fait de Toulon une ruine, dans tous les sens du terme. Les personnes qui ont mise un bulletin FN en 1995 sont-elles tous des fachos, des racistes ? Ca, c’est toi qui le dit. Tu met tout le monde dans le même panier.



Les personnes qui votent FN sont des désespérés, des déçus de la politique, la plupart du temps. Je te rappelle qu’avant d’avoir le FN à la mairie de Toulon, nous avions eu l’UDF, de 1959 à 1995, avec Maurice Arreckx et François Trucy. Sauf que ces deux maires étaient des “mafieux”. Ah, peut-être que Toulon s’est bien porté pendant leur mandat (c’est que toutes les anciennes générations me disent), mais les mallettes de billets n’étaient pas très loin non plus. C’était également une époque où il existait la pègre toulonnaise, avec ses parrains et ses règlements de compte. Ce temps est révolu et c’est tant mieux, même si la vieille ville de Toulon n’est plus ce qu’elle était, toujours d’après les anciennes générations. Les Toulonnais qui ont mise un bulletin FN en 1995 ont voulu, pour la plupart, sanctionner les méthodes de ces deux maires.


Le 23/05/2016 à 17h 12







picatrix a écrit :



il faut dire que Toulon …

Maire de 1995 à 2201 Le Chevallier&nbsp;&nbsp; FN

Maire de 2001 à ce jour Falco&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; LR



Dans une telle ville d’extrême droite, l’état d’urgence c’est le quotidien.

Alors forcément on ne se rend pas compte.





L’inculte que tu es mélange le Front National et les Républicains (auparavant UMP). L’anarchiste qui est en toi ne respecte pas non plus les choix des électeurs.



A moins que ton commentaire n’est là que pour polémiquer…



Tu compenses en stupidité ce qui te manque en intelligence ! <img data-src=" />


Le 23/05/2016 à 15h 17

Il me semble désormais acquis que Next INPact est contre l’état d’urgence.



Pourtant, en vrac : les manifestations peuvent continuer, qu’elles soient autorisées ou interdites ; les violences peuvent aussi continuer ; les rassemblements pacifiques peuvent continuer ; ect…



&nbsp;Je rajoute aussi que, malgré d’état d’urgence, je ne peux pas dire que dans la ville où j’habite, Toulon, je ressente une présence policière plus importante qu’habituellement.



Malgré l’état d’urgence, je peux aussi continuer à critiquer les uns et les autres, et notamment le Président de la République et le Gouvernement, en toute liberté.



Malgré l’état d’urgence, la presse reste libre.

&nbsp;

Malgré l’état d’urgence, je ne peux pas dire que je sois fouillé systématiquement par les forces de l’ordre ou par des vigiles. L’ai-je été, d’ailleurs ? Il ne me semble pas.



Malgré l’état d’urgence, le Conseil Constitutionnel a censuré la saisie informatique de donnée, et il veille au grain.



Bref, nous sommes en état d’urgence depuis le 14 novembre 2015, mais autant vous dire que c’est un état d’urgence light que nous connaissons tous. C’est du léger ! Certes, il y a eu les perquisitions administratives, mais c’est normal dans un état d’urgence. Même si je n’aime pas ce principe, l’état d’urgence veut que les forces de l’ordre puissent mener leurs perquisitions sans avoir à demander l’autorisation d’un juge. Elles doivent agir le plus vite possible. Même ces perquisitions administratives sont terminées.



Dans cet état d’urgence, tout ce que je vois, c’est que les militaires et les forces de l’ordre vont avoir encore plus de pression. Or, ils sont psychologiquement à saturation et le manque d’effectifs n’aide absolument pas.

Le 19/05/2016 à 11h 55

Quand j’écoute Eric Ciotti et ses propositions pour la protection de la France, je prend tout le temps peur. Il ne fait pas dans la dentelle ! C’est le cas de le dire ! Ses propositions m’amènent tout le temps à me demander si cette personne sait ce que le mot “liberté” veut dire… Si il propose de faire l’expérience de coupler la vidéosurveillance avec la reconnaissance faciale à Nice, c’est parce que Christian Estrosi n’est pas loin d’avoir les même avis que lui.



Certains de leurs collègues, qui se trouvent également chez Les Républicains, sont bien plus modérés qu’eux. Heureusement ! Eric Ciotti et Christian Estrosi ont toujours été obnubilé par la vidéosurveillance. Il suffit de se promener à Nice pour s’en rendre compte. C’est une des villes les plus vidéosurveillées de France… D’ailleurs, Christian Estrosi ne se prive pas de s’en féliciter. Mais bon… la plupart des Niçois en sont très contents…



Ce n’est pas de la vidéosurveillance supplémentaires et améliorée qu’il nous faut dans les villes, mais plus de forces de l’ordre. Une vidéosurveillance ne nous protégera jamais d’une agression ou d’un acte terroriste. La peur du policier ou du gendarme est bien plus grande que la peur de la caméra.

Le 18/05/2016 à 17h 01

Il était temps que le rythme effréné des sorties d’Assassin’s Creed se réduise. Un Assassin’s Creed par année, cela est bien trop pour permettre d’élaborer un bon scénario (c’est à dire une belle histoire) et pour permettre un développement sans heurt.



Mais cela devrait être le cas pour toutes les franchises dans les jeux vidéos et dans les films. Le mercantilisme à outrance n’amène jamais rien de bon. Une poule aux œuf d’or se doit d’être choyer pour qu’elle continue à pondre des œufs en or.&nbsp; Il faut en prendre soin ! Tant pis si pendant quelques années, elle ne pond plus d’œufs en or. Elle recommencera à le faire, là est le principal.



Quand le prochain Assassin’s Creed sortira, il se vendra bien. Il sera peut-être décevant mais, en tout cas, il y aura eu du travail derrière. Il ne s’agira pas d’un jeu vidéo qu’un éditeur balance à la gueule des joueurs….

Le 12/05/2016 à 19h 32







anomail a écrit :



&nbsp; La loi c’est comme la morale, tout juste bon pour les gens honnêtes.

&nbsp;





Nous avons ici un point de désaccord. Je vis dans un Etat de droit, avec des lois, aussi imparfaites soient-elles et aussi violables soient-elles.



Je ne me satisferais pas d’un Etat dans lequel aucune loi n’existe. D’autant plus que je vis dans un pays où beaucoup de trop de gens ont une nette tendance à emmerder les autres, dès qu’ils le peuvent, en toute impunité.



&nbsp;Et oui, au contraire de ce qui se passe dans les pays scandinaves, le peuple français ne sait pas se responsabiliser sans avoir la menace du bâton.


Le 12/05/2016 à 15h 46

En France, le Gouvernement a pris deux arrêtés en décembre 2015, qui mettent à jour la réglementation établie par la Direction générale de l’aviation civile :




 Le premier le 17 décembre 2015, relatif à l'utilisation de l'espace aérien par les aéronefs qui circulent sans personne à bord.       

Le seconde le 17 décembre 2015 également, relatif à la conception des aéronefs civils qui circulent sans personne à bord, aux conditions de leur emploi et aux capacités requises des personnes qui les utilisent.






 De plus, les limites qui sont établies concernant l'utilisation des drones de loisirs vont dans le bon sens. Trop de gens utilisent leurs drones de manière irresponsable. Entre ceux qui les font voler là où c'est interdit, ceux qui filment avec leurs drones au mépris de la vie privée de tout un chacun, ect..., il fallait que le Gouvernement réagisse, afin que ces personnes ne puissent continuer leurs activités en toute impunité.     

&nbsp;

Bien évidemment, il fallait bien que tôt ou tard une proposition de loi arrive sur la table, obligeant les utilisateurs de drones à les immatriculer, à leurs frais. Il faut que leurs drones soient parfaitement identifiables, comme le sont les différents véhicules : voitures, camions, scooters, ect...






 Qu'une personne veuille pouvoir utiliser librement son drone de loisirs, je l'entend parfaitement. Mais qu'entend-elle par "librement" ? Car si c'est pouvoir faire ce qu'elle veut avec son engin, je ne suis pas d'accord. Et, malheureusement, comme c'est souvent le cas en France, si des règles ne sont pas mis en place, ce sera la Far-West.       

Que les utilisateurs de drones de loisir aillent dans la cambrouse profonde, loin de toute habitation. Ils pourront utiliser leurs drones comme bon leur semble !

Le 12/05/2016 à 15h 52

Canal+ a perdu 183 000 abonnés français en trois mois seulement (car Canal+ n’est pas présent qu’en France). Je pense que Vivendi devrait plus se préoccuper de la qualité de ses programmes, qui satisfont de moins en moins d’abonnés français…..&nbsp;

Le 10/05/2016 à 17h 44







atomusk a écrit :



D’où : il faut ouvrir la loi pour permettre des tests.



Si les tests prouvent que la conduite est plus sure dans la quasie totalité des cas, si les assurances voient que les risques sont réduits et que les constructeurs de voiture gérents les frais d’assurance, et si les tests montrent que les frais de maintenance sont réduits …



Alors tu sera ravis … non ? <img data-src=" />





Ce monde là est une chimère.


Le 10/05/2016 à 15h 12







Faith a écrit :



Etre détracteur suppose d’avoir des arguments, non ?&nbsp;





Tout à fait. Tu ne devais pas être présent, mais je l’avais déjà fait lors d’une précédente actu. Evidemment, devant la masse de technophiles auquel j’ai eu à faire, il a été difficile de faire entendre ses arguments.



Mais je vais résumer : faire confiance à l’humain ou à une machine ?



Une voiture autonome se gère d’elle-même via plusieurs capteurs numériques. Des servocommandes permettent de piloter le véhicule sans l’intervention du conducteur.



Je préfère encore voir un être humain conduire un véhicule que faire confiance à des logiciels qui actionnent les servocommandes et les capteurs numériques. Un être humain est imparfait mais, de par sa nature, il sait réagir. Certes, il ne le fait pas tout le temps, ce qui entraînent parfois des accidents, mortels ou pas.&nbsp; Mais il n’est pas bête et disciplinés, comme le sont les logiciels d’une voiture autonome. De plus, un capteurs numériques qui tombent en panne et cela peut amener à un drame.



Egalement, je préfère encore me dire qu’un de mes proches peut être tuer par un conducteur fou que par des logiciels qui buggent et qui ont amené un véhicule à foncer dans le leurs. Se retrouver dans un cerceuil tuer par des logiciels, je trouve cela beaucoup con que d’avoir été tuer par un être humain.



Pour finir, en France, personne n’a encore établit quelles seront les responsabilités juridiques qui seront engagés lorsqu’un véhicule autonome sera impliqué lors d’un accident. Même aux Etats-Unis, où des voitures autonomes sont déjà en circulation, cette question n’a pas encore trouvée de réelle réponse. Mettre la charrue avant les boeufs, surtout sur un tel sujet, c’est irresponsable de la part d’un Etat.

Et je voudrais aussi que les gens se posent la question du coût de l’entretien d’un véhicule autonome. Vu la complexité d’un tel véhicule, croire que le prix de son entretien sera revue à la baisse par rapport à un véhicule classique est se bercer d’illusions. Aujourd’hui, l’entretien d’un véhicule classique coûte déjà assez cher pour qu’il augmente encore avec un véhicule autonome. Et je ne parle même pas du contrôle technique….


Le 10/05/2016 à 14h 19

Sur nos routes, moins il y aura d’expérimentations de voitures autonomes, mieux je me porterais en tant que conducteur !



Détracteurs des véhicules autonomes ? Je le suis et je l’assume.



Mais je ne me fais pas d’illusion, cela arrivera en France… et il faudra alors revoir les responsabilités en cas d’accident avec un véhicule autonome. Je prédit un gros foutoir pour ceux qui mettront les mains là-dedans. Que les véhicules autonomes arrivent le plus tard possible en France !

Le 10/05/2016 à 14h 13

Ce qui est certain, c’est que le télétravail n’est qu’un mot en France. Dans les pays anglo-saxons ou scandinaves, pour ne prendre qu’eux, le télétravail est très développé. Et cela fonctionne plutôt bien.



Pourquoi le télétravail ne pourrait pas prendre plus d’ampleur en France ? Mais il faudra passer outre les syndicats, notamment les syndicats conservateurs, qui ne voient certainement pas le télétravail comme une bonne chose…

Le 07/04/2016 à 17h 48

Je crois qu’il y a 20 millions de Français soumis à l’impôt sur le revenu. Il y a donc de quoi payer cette amende. Les Français sont très généreux quand l’Etat leur demande de l’aide financière.

Le 06/04/2016 à 17h 23

A écouter le amateurs de home-cinema, s’indigner des prix des blu-ray ultra HD est avoir la mémoire courte. Quand les DVD sont apparus, leurs prix étaient prohibitifs : aujourd’hui, ils se vendent pour une poignée de pain, même en neuf (du moins, pour les éditions qui ont au moins 6 mois).




Il en est de même pour les blu-ray classiques. Si leurs prix restent élevés, ces même personnes rappellent souvent que les premiers blu-rays étaient intouchables et réservés uniquement à une élite.      






En bref, les amateurs de home cinema rappellent souvent aux grands râleurs que le temps fait son oeuvre dans les prix des galettes.      






Sauf qu'il y a un grand hic : le marché de la vidéo physique, partout dans le monde, dégringole. En France, la chute est impressionnante. En 2004, ce marché a atteint son pic, avec 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires. En 2015, ce même marché n'a enregistré que 680 millions d'euros de chiffre d'affaires (source : CNC - GfK).      






Si les éditeurs veulent redynamiser leur activité, ils ont tout intérêt à rapidement revoir les prix de leurs blu-ray ultra HD. De toute façon, et même les amateurs de home cinema le disent : le blu-ray ultra HD n'est là que pour contenter les plus exigeants. Avant que nous soyons une majorité à être passé à l'ultra HD, plusieurs années se seront écoulés. D'ici là, les blu-ray ultra HD auront en toute logique remplacé les blu-ray classique, et leurs prix auront baissés... et peut-être que le DVD aura disparu.      






Mais le marché de la vidéo physique, lui, aura continué sa dégringolade. De plus en plus, les gens consomment les vidéos autrement : téléchargement illégal ou téléchargement légal (VOD et SVOD). Autrement dit, le marché de la vidéo connaît la même histoire que le marché de la musique. Le dématérialisé est de plus en plus prisé.      






Lente et douce agonie que vit ce secteur, ce qui me fait bien chier, puisque je collectionne les DVD et les blu-rays. J'ai toujours du mal à m'imaginer consommer des vidéos en VOD ou en SVOD. Cela peut sembler archaïque en 2016, mais est-ce plus ridicule que ceux qui collectionnent les autocollants ou les canettes ?

Le 05/04/2016 à 16h 23

Ce que je vois dans cette affaire, c’est que aucun système de verrouillage, aussi complexe soit-il, n’est infaillible.



Qu’un système de verrouillage soit sous licence ou libre de droit, il peut-être cassé. Cela devrait faire réfléchir ceux qui vantent de tels systèmes, au point presque leur assurer leur propre existence….

Le 05/04/2016 à 14h 10

Qui va avoir droit à ses mises à jour ? Une minorités de personnes, car la plupart des gens qui ont un smartphone sous Androïd ne voit jamais venir ces mises à jour. La faute aux différents constructeurs qui ne tiennent pas à jour leurs smartphones.

Le 05/04/2016 à 12h 24







Nilav a écrit :



Il faut avouer que ce qui est dit dans l’article sur le sujet n’est pas fou fou puisqu’on le résume : en gros ça approche mais on ne sait pas quand.



Je pense que Boogieplayer mettait le doigt là-dessus, c’est cool que Microsoft en parle, fasse quelques tests avec mais concrètement, c’est quand même le néant par rapport à la concurrence et sans aucune date annoncée.



Pour revenir à la news, un grand pas pour la gestion des favoris, et en même temps, le truc dingue est qu’ils ne font que s’aligner sur la concurrence. A quel moment ils ont cru que leur pauvre sidebar revenue des années 90 allait être pratique ?



Autant niveau rendu et performance, Edge est bien dans les clous, autant d’un point de vue UX, il y a encore pas mal de boulot (boulot annoncé).





Avec Internet Explorer, Microsoft était tombé bien bas. Il faut dire que la firme de Redmond s’était endormi pendant sept longues années (2001-2008) avec Internet Explorer 6. Quand Internet Explorer 7 est sorti, elle accusait un énorme retard sur son navigateur, à tout point de vue, comparé à la concurrence.



Soyons donc honnêtes : avec Edge, Microsoft nous propose une refonte totale de son navigateur.&nbsp; Un navigateur Internet enfin digne de ce nom. Il y en a plus à garder qu’à jeter, ce qui était différent quand son navigateur s’appelait encore Internet Explorer.



&nbsp;Il reste encore beaucoup de travail à faire pour être à la hauteur de ce que propose la concurrence, mais, pour ma part, je préfère encourager Microsoft à aller de l’avant en améliorant son navigateur et en se démarquant de la concurrence, plutôt que de le lyncher, comme j’ai pu le faire avec son Internet Explorer.


Le 30/03/2016 à 13h 47







jinge a écrit :



Sans compter que les philippins parlent très bien anglais, contrairement à d’autres pays d’Asie (et même sans accent). C’est à mon avis un pays d’avenir pour la sous-traitance informatique.





Sous-traitance, dans tous les sens du terme……………………………………….<img data-src=" />


Le 30/03/2016 à 13h 35

Lol, je ne me suis pas aperçu que je m’étais trompé de mot….<img data-src=" />





Le vote électronique, en tout cas en France, continue de diviser les politiques mais aussi les électeurs. La fiabilité des machines de vote est sans cesse remise en cause, car même le profane le sait : un système informatique peut-être piraté, trafiqué, utilisez les terme qu’il vous plaît, pour modifier les votes. Un système informatique a toujours ses faiblesses. Que des personnes malintentionnées veuillent exploiter les failles d’un tel système informatique et elles pourront fausser les résultats des élections.



Préférer l’enveloppe et l’urne, certains me diront que ce n’est pas mieux, puisque l’être humain lui-même n’est pas fiable et qu’il peut fausser les votes. Certains me rappelleront ainsi l’affaire des bulletins cachés dans les chaussettes, à Perpignan, lors des élections municipales de 2008. Le tribunal administratif de Montpellier avait d’ailleurs annulé l’élection, suite à cette affaire.



Mais je préfère encore des êtres humains qui dépouillent des urnes. Des affaires comme celle de Perpignan sont rare, en France, preuve que le système de vote classique reste tout de même sûr. Une machine à voté, n’importe qui peut s’attaquer à son système informatique sans que personne ne s’en rende compte. Rajouter des bulletins de vote dans une urne à l’insu de tous les yeux reste beaucoup plus compliqué.



Cette polémique concernant le vote électronique n’est pour moi que la démonstration que cette société hyper informatisée que certains veulent n’a pas que des avantages. Les Américains sont déjà dans cette société hyper informatisé. Ainsi, le vote électronique, chez eux, est monnaie courante depuis longtemps. Il semblerait qu’il n’y aurait pas de souci particulier à signaler depuis qu’ils s’y sont mis. Pour autant, la France doit-elle les imiter ?

Le 30/03/2016 à 12h 18

J’ai 33 ans, je suis jeune et, pourtant, je suis contre les machines de vote, donc contre le vote électronique. Tous système informatique possède des défaillances, qui peuvent être exploités à de mauvaises fins. Un système informatique ne peut pas être garantie fiable à 100%. Or, lors d’une période d’élection, si les failles de certaines machines de vote sont exploités, les résultats peuvent être faussés.



Je préfère encore la vieille école : l’enveloppe et l’urne.



Mais certains blaireaux me diront que je fais dans la technophilie……………

Le 30/03/2016 à 12h 09

Je suis abonné à Spotify depuis fin janvier 2010, sans interruption. J’ai donc vu l’évolution du service. Si l’exhaustivité du choix des musiques est toujours de la partie, je trouve que les avantages des abonnés ont fondu comme neige au soleil. Pour nous, abonnés, le seul avantage qu’il nous reste est l’écoute de la musique hors ligne.



Si je ne porte pas les ayants droits dans mon coeur, je dois reconnaître que, fin mars 2015, par la voix notamment d’Universal Music, ils ont eu raison de rappeler à Spotify que sa version gratuite n’est pas assez restrictive par rapport à sa version payante. De lui rappeler qu’il doit revoir entièrement son modèle gratuit.



Et justement, quand je me suis abonné au service suédois, donc fin janvier 2010, le service freemium était très clôturé. Les abonnés avaient vraiment le sentiment qu’ils payaient pour de réels avantages. La version gratuite était bourré de publicités, l’utilisateur ne pouvait pas faire de playlist, la musique écoutée était en basse qualité, le nombre d’heures d’écoute par jour était limité, ect…



Cependant, je reste encore chez Spotify. Parce que j’apprécie son application Windows, le choix exhaustif des musiques et le prix de son abonnement. Pourquoi aller voir ailleurs si je suis satisfais ici ? Je sais être un client fidèle, ce qui ne fait pas de moi un con, contrairement à ce que des blaireaux pourraient penser.



En revanche, je sais que pour Spotify, la concurrence commence à être rude. Fut un temps, il n’y avait que Deezer pour le concurrencer. Cette époque est terminée, d’autres acteurs ont émergé. Pour continuer à garder ses clients et en récupérer d’autres, il n’y qu’une solution : se diversifier. Mais cela demande des investissements, d’où, peut-être, cette levée de dettes convertibles. Quand à baisser le prix de son abonnement, c’est se foutre de la gueule du monde, parce que 9,99 €, c’est loin d’être prohibitif.

Le 29/02/2016 à 18h 04

Je dispose d’un aspirateur sans sac. Celui est équipé de deux filtres. Ils ont une forme bien particulière qui fait que les filtres universels ne peuvent pas s’adapter à cet aspirateur sans sac. Il s’agit d’un Hoover Mistral.



Que faire si, un jour, Hoover décide d’arrêter la production de ces filtres ? A vrai dire, je n’en sais rien… Aller mettre au recyclage, à ma décharge, cet aspirateur qui fonctionnera encore ?



Le problème avec les pièces détachés, c’est que certains produits deviennent inutilisables… alors qu’ils pourraient encore rendre de bon et loyaux services, si leurs pièces détachées se vendaient encore… Je comprend parfaitement que les constructeurs ne peuvent pas produire ad viternam les pièces détachées d’un de leurs produits. Mais qu’ils garantissent alors leurs disponibilités pendant un certain&nbsp; temps !



A la décharge des enseignes, la disponibilité des pièces détachées n’est pas toujours évidentes. Les constructeurs ne sont pas toujours très loquaces concernant ces pièces détachées. Les enseignes font alors avec les informations dont elles disposent.

A leur charge, en revanche, elles pourraient mettre un peu de pression à ces constructeurs. En effet, ceux sont elles qui vendent leurs produits. Si elles boycottent les produits sur lesquels il n’y a aucune information concernant les pièces détachées, les constructeurs réagiront assez vite, à mon avis.



Pour finir, il faut par contre oublier les pièces détachées pour la plupart des produits low-cost…. Cela paraît évident, mais c’est bon de le rappeler !

Le 29/02/2016 à 16h 47

Vu les très faibles ventes de ses PC, il n’est pas étonnant que Toshiba se retire du marché européen. Quel intérêt pour la marque nippone de continuer à vendre sur le vieux continent des produits qui ne se vendent que très peu ? En Europe, les ventes de ses PC était devenue un marché de niche. Donc, oui, aucune raison de continuer. Malheureusement, cela ne se fera pas sans conséquences, puisque des licenciements auront lieu…<img data-src=" /> Une pensée à tous ces salariés…



Que Toshiba ait décidé d’arrêter les ventes de PC en Europe ne signifie aucunement que le PC est mort. Tout simplement, comme l’avait dit Steve Jobs (et pourtant je déteste Apple, comme quoi), nous sommes désormais dans une ère post PC. Que vous le vouliez ou non, le PC devient de plus en plus optionnel, pour des besoins standards, chez les particuliers. Dans de plus en plus de foyers, l’ordinateur de bureau devient un complément d’autres produits, comme les smartphones ou les tablettes, alors qu’avant, le PC était incontournable.



J’ajoute également que même les profanes, aujourd’hui, préfèrent aller dans une boutique informatique se faire monter un PC, plutôt que d’acheter un PC de marque. Parce qu’ils savent qu’ils auront le PC dont il ont vraiment besoin et que cela ne leur coutera pas plus cher que d’acheter un PC de marque. Il est désormais de notoriété publique que les PC de marque sont de mauvais investissements pour les particuliers. En revanche, les PC de marque intéressent toujours les entreprises. C’est avec elles que les diverses marques font la majorité de leurs ventes de PC, désormais.

Le 25/02/2016 à 21h 36

Le marché de la vidéo physique représentait 680 millions d’euros de chiffre d’affaires en France, en 2015.



Autrement dit, en 2015, c’est 83 280 000 galettes qui ont été vendues. Dans le détail : il y a eu 70 400 000 DVD et 12 890 000 blu-ray de vendu.



Evidemment, ces données ne peuvent pas masquer la réalité. En 2004, pic du marché de la vidéo physique, celui-ci pesait 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Il y a plus de dix ans, je me rappelle encore avoir lu dans plusieurs articles que les Français étaient de gros consommateurs de DVD, le blu-ray n’existant pas encore. Mais la VOD était encore inconnue du grand public à moment-là, quand à la SVOD, elle n’existait pas encore.



Mais tout ceci pour dire que des personnes, comme moi, achètent encore des DVD et des blu-ray. Comme il existe encore des personnes qui achètent des CD Audio. Affectionner le format physique n’est pas faire preuve d’archaïsme. C’est vouloir une qualité que ne peut offrir le dématérialisé… pour le moment. Et, de toute façon, comprenez-le ou ne le comprenez pas, mais certaines personnes aiment avoir une vidéothèque et/ou une audiothèque physiques.

Le 25/02/2016 à 16h 20

Les sociétés à l’origine de la fermeture de Slysoft Inc ne gagneront rien, de toute façon. Aujourd’hui, quelque soit le pays, mais, certes, à des degrés divers, le marché de la vidéo physique ne fait que reculer.



Ainsi, en France, c’est en 2004 que le marché de la vidéo physique a atteint son pic. Il pesait lourd, très lourd à ce moment-là, puisqu’il avait engrangé 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En 2015, ce marché de la vidéo physique ne pesait plus que 680 millions d’euros (données de GfK et du CNC)…&nbsp;



Selon les pays, et également à des degrés divers, c’est la VOD et la SVOD qui croissent. De plus en plus, les gens privilégient le dématérialisé au physique. Nul doute que le marché de la vidéo, dans son ensemble, connaîtra la même mutation que le marché de la musique. C’est à dire que le physique ne mourra pas (les CD Audio se vendent toujours car ils trouvent toujours des acheteurs), mais il sera un marché de niche.

&nbsp;

La messe est donc dite : ce n’est pas la fermeture de Slysoft Inc qui changera la situation pour les professionnels, je pense notamment aux gros éditeurs. Leurs trésoreries n’augmentera pas plus avec cette fermeture. Tout ce qu’ils ont réussit à faire, c’est d’encourager un peu plus, une fois encore, le piratage. Bien qu’illégaux aux yeux des lois de certains pays, car ils permettaient de contourner les protections anti-copies, les logiciels de Slysoft permettaient de faire des copies de sauvegarde des DVD et, récemment, des blu-ray, car leur dernier né était CloneBD, un logiciel qui servait à cloner les blu-ray.



Bref, adieu Slysoft ! Tu auras rendu bien des services à de honnêtes acheteurs que les éditeurs emmerdaient avec leurs protections anti-copies. Cependant, n’oublions pas : le roi est mort, vive le roi. Slysoft aura un remplaçant d’ici peu, j’en suis sûr !

Le 23/02/2016 à 17h 46

Une entreprise de commerce en ligne qui fait de l’optimisation fiscale ne devrait avoir aucun souci pour prendre intégralement en charge les frais de livraison.



Avec toutes les économies que fait Amazon, je ne pense pas que les milliards de dollars ou les milliards d’euros que représente les frais de livraison pèsent réellement sur son bilan annuel.



Quoique… n’oublions pas que faire de l’optimisation fiscale aux Etats-Unis est bien plus compliqué que dans l’Union Européenne. Leurs lois très protectrices limitent la possibilité des entreprises de faire de l’optimisation fiscale.



Quoiqu’il en soit, les prix des frais de livraison reste un frein psychologique chez de nombreux acheteurs, qui n’hésitent pas à aller chez la concurrence si ceux-ci y sont gratuits ou moins élevés, quand bien même le prix du produit qu’il recherche est plus élevé chez la concurrence.



Est-ce que Amazon US prend des risques en prenant cette décision ? Seul l’avenir le dira…

&nbsp;

Le 22/02/2016 à 18h 49







zx81 a écrit :



Les anti 3D (visiblement nombreux ici) vont être contents : le dernier Disney (zootopie) sorti la semaine dernière n’est projeté en 3D dans AUCUN cinéma de Paris intra-muros. Il faut aller en banlieue où un seul cinéma le propose en 3D toute la journée.

Les gros problème des films en 3D au cinéma sont : Des lampes de projection non adaptées à la 3D dans beaucoup de salles, allez voir un film en 3D dans certaines salles ayant une projection laser ou avec 2 projecteurs, un pour chaque oeuil et vous verrez la différence.

Des installation mal réglées (j’ai vu un film où ils avaient inversé les yeux, j’ai regardé le film avec les lunette tenues à l’envers à la main, les autres spectateurs on du avoir une sacré migraine !!!).

Chez soi pareil, combien d’installations mal réglées… J’avais été chez des amis, la télé était allumée, l’image était pas terrible (bon c’était TF1…) j’ai proposé de jeter un oeuil aux réglages. Le décodeur était réglé en basse résolution…

Enfin plus généralement les producteurs qui préfèrent filmer en 2D et faire de la post-prod, et là il y a à boire et à manger : Gravity, Pacific Rim, Titanic… 3D extra. Je ne citerai pas les films (techniquement) nuls, il y en tant…

&nbsp;

La 4K, je me marre, dans un ciné, je ne vois pas grande différence entre les films 2K et les 4K. Alors dans mon salon… La plupart des films sont en 2K, alors la TV va nous proposer quoi ? Des chiffres et des lettres en 4K, le rêve.







&nbsp;Que la 3D soit une évolution majeure dans le monde du 7eme art, je répond “oui”. Le cinéma s’était déjà essayé à la 3D bien avant que la couleur n’apparaisse. La stéréoscopie n’a pas été inventé par James Cameron avec son “Avatar”, n’est-ce pas, mais ce dernier l’a remis au goût du jour, avec des technologies modernes.



Ce réalisateur a compris que lorsque la 3D est utilisée comme un outil pour peindre un film et non pas comme une peinture pour un film, celle-ci peut apporter un plus. Autrement dit, quand, dès le départ, un film est pensé pour être en 3D, celle-ci accompagnera agréablement le film.



Pour autant, et bien que j’insiste, la 3D soit une évolution, je ne l’apprécie pas. Tous les films en 3D que j’ai vu, que la 3D soit native ou pas, m’ont écoeuré. Sur le plan artistique, la 3D ne me convient pas. Pour faire court, je trouve qu’elle dénature un film.



Bref, au nom de l’évolution, il faudrait que les utilisateurs acceptent de consommer toutes les nouvelles technologies possibles et inimaginables. Là, je répond “non”. Peut-tu comprendre que la 3D n’est pas du goût de tout le monde ?



Et puis, si la 3D a tant de détracteurs, c’est également parce que les constructeurs comme le 7eme Art l’utilisent comme un outil a faire du fric et seulement du fric. Les constructeurs ont voulu vendre aux consommateurs des téléviseurs 3D pour se refaire une fraîcheur et le cinéma l’utilise, la plupart du temps, comme une pompe à fric, car, encore en 2016, souvent les places de cinéma pour aller voir un film en 3D sont majorés.



Les aficionados de la 3D doivent comprendre que les professionnels, par leur mercantilisme à outrance, ont fait plus de mal à la 3D que de bien.


Le 22/02/2016 à 16h 44

La 3D, qu’elle soit active ou passive, n’a jamais pris dans les foyers, quelque soit le pays. Je dis bien “dans les foyers”. Dans les salles obscures, elle rencontre plus de succès. Vous me direz que dans beaucoup trop de cinémas, les projections de films en 3D sont imposés, ce qui pourrait remettre en question ce succès. Mais, le fait est là : les projections de films en 3D attirent les foules.

&nbsp;

J’y vois dans cette abandon progressif de la 3D plusieurs causes. Une principalement. Le marché de la vidéo physique est en constante baisse, dans le monde. Ainsi, en France, le pic du marché de la vidéo physique a été atteint en 2004, avec 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En 2015, ce même marché ne pèse plus que 680 millions d’euros de&nbsp; chiffre d’affaires.



Comprenez par là que, pour profiter de la 3D sur son téléviseur 3D, l’utilisateur devait acheter des blu-ray 3D. Or, vu que de moins en moins de gens achètent des galettes, la 3D ne pouvait avoir que le plus grand mal à pénétrer dans les foyers.



Une autre raison, universelle elle-aussi : avec ces téléviseurs 3D, nous avons eu la sensation, pour la plupart d’entre nous, que les constructeurs essayaient de se faire facilement du fric. Les ventes de télévisions sont en recul. Je n’ai pas les chiffres, mais tous les articles que j’ai pu lire à ce sujet sont unanimes : les départements “téléviseurs” des différentes marques ont leurs voyants soit dans le orange, soit dans le rouge. Avec les téléviseurs 3D, ces marques pensaient qu’un nouveau vent de fraîcheur soufflerait. La 3D ayant un bon succès au cinéma, pourquoi les gens ne voudraient pas en profiter dans leur canapé ? Mais la sauce n’a pas pris. Les ménages ne sont pas en attentes de 3D dans leurs foyers !



Encore une raison ? Pourquoi les marques se sont-elles obstinées à proposer deux type de 3D ? Une de qualité et une low-cost ? L’active et la passive ? Pourquoi, dès le départ, ne pas avoir proposé qu’une seule et même 3D ? Pourquoi avoir voulu volontairement discriminer les personnes qui n’avaient pas envie ou pas les moyens d’acheter un téléviseur 3D haut de gamme, en leur proposant une 3D low-cost ? Je vous assure qu’auprès des consommateurs, la pilule n’a pu que très mal passée.



Pour terminer : la 3D n’a jamais été un argument marketing pour la vente de téléviseurs. A partir de là, son succès dans les foyers ne pouvait qu’être remis en question.



Désormais, les constructeurs se tournent vers l’ultra HD. Dans ce domaine, nous y passerons tous, que nous le voulions ou non, car il ne se vendra plus que des téléviseurs ultra HD dans le futur. En profiterons-nous réellement ? Saurons-nous en profiter ? Seul l’avenir le dira, mais la sauce ultra HD va mettre du temps à prendre, en tout cas en France. La 3D, elle, reviendra peut-être sous une forme plus évoluée : 3D ultra HD, hologrammes, 3D sans lunettes ou que sais-je encore. Mais, pour le moment, elle n’est pas plus la priorité des constructeurs.

Le 18/02/2016 à 16h 30







Goblin a écrit :



En même temps, on a les prix les plus bas au monde, ce n’est pas exagéré d’essayer de remonter un peu les marges.C’était exagéré quand ils étaient 25% plus cher &nbsp;que la moyenne, mais on est passé d’un extrême à l’autre, ce qui n’est jamais bon. Et comme dans ces domaine-là,il y’a de l’inertie, les impacts se verront par le retard que prendra la France dans certaines technologies à moyen terme.





Le retard que la France prend s’observe déjà : le très haut débit en est un bon exemple.


Le 18/02/2016 à 16h 13

Je suis en train de me rendre compte que je suis un des rares à utiliser le gestionnaire de mot de passe fourni par un éditeur de suite de sécurité.



Dois-je comprendre que c’est un mauvais choix ?<img data-src=" />