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V_E_B

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1436 commentaires

Le 10/08/2017 à 17h 21







R1 a écrit :



Et aucun mot sur les femmes qui ont lu ce texte et qui se sont sentie insultées ? Tu crois qu’en lisant ce texte elles ont pensées qu’il voulait les aider ?





Je crois que c’est possible, pour une femme ouverte d’esprit.

Si certaines se sont senti insulté, c’est regrettable, mais manifestement l’opinion publique s’est déjà chargé de les réconforter, si jamais le licenciement du gars n’avait pas suffit.







R1 a écrit :



Ce qui est blessant, insultant et méprisant actuellement est de continuer à parler de ce texte et de développer ces préjugés.





Quand on remplace la raison par le sentiment, la discussion n’est plus possible. Je vais donc te laisser fulminer dans ton coin.


Le 10/08/2017 à 14h 02







R1 a écrit :



“Ce déséquilibre, souvent présenté comme le résultat de discrimination à l’embauche, trouve ses racine bien avant, dans l’image du métier et dans la biologie”



Expliquer par la “biologie” le fait qu’il y est moins de femme en informatique est sexiste.



Ce texte est blessant, insultant et méprisant. Et tenter de l’expliquer, c’est fermer les yeux sur le mal qu’il a fait auprès de nombres femmes dans l’informatique et en général.





Le problème étant la mention de biologie, je vais donc développer sur ce point.



Lorsqu’il dit que le problème a des liens avec la biologie, ce n’est pas dans le sens que “les femmes sont biologiquement incapables de coder”, mais que les différences génétiques ne sont pas prises en compte dans l’organisation du travail, et ça nuit aux femmes.

Comme si, dans un supermarché, toutes les étagères étaient très hautes, laissant un accès acceptable à un homme de taille moyenne mais pas à une femme de taille moyenne. Le problème de la taille est bel et bien lié à la biologie, sans être dépréciateur envers la femme.

Simplement dire “il faut qu’il y ai plus de femmes dans les rayons donc mettons des quotas de magasiniers féminins” ne les aidera pas, ça sera toujours la galère. Par contre, rabaisser les étagères et/ou fournir des escabeaux rendra le travail plus agréable pour les femmes.



Es-ce blessant de vouloir aider les femmes ? Insultant ? méprisant ? Je ne trouve pas, même si la raison de l’aide peut être discutée.


Le 10/08/2017 à 12h 46







R1 a écrit :



Il faut arrêter de minimiser ces propos en justifiant le contexte. Les minimiser, les expliquer c’est les défendre.

Je rappelle que ce ne sont pas des opinions qu’il partage, ce sont des préjugés.





Je vais te faire le synopsis du document, tel que je le perçois.

“Il existe un déséquilibre entre les population masculines et féminines dans les métiers de l’informatique. Ceci est nuisible, car ça limite les points de vue et les manières de faire, or tout le monde profite de la diversité.



Ce déséquilibre, souvent présenté comme le résultat de discrimination à l’embauche, trouve ses racine bien avant, dans l’image du métier et dans la biologie. En conséquence, une fois sur le marché du travail, les femmes ne sont pas intéressées par le domaine. Imposer des quotas ne pourra pas régler cet état de fait, il faut donc changer l’image de l’informatique pour la rendre attractive auprès des femmes, par diverses mesures qui n’ont pas besoin d’êtres discriminantes envers les hommes (la discrimination positive restant de la discrimination).



En parallèle, il fait se méfier du phénomène de chambre d’échos, ou quand trop de gens partagent les mêmes biais les opinions divergentes sont étouffées indépendamment de leur pertinence. La question du sexisme est très particulièrement touchée par ce phénomène, et il est important de faire preuve d’ouverture quand on en discute.”



Je ne dis pas que j’approuve tout ceci, mais que c’est ce que je retiens de son propos. Et rien ici ne qualifie à mes yeux de sexisme, tout va dans le sens de tenter (de manière inadéquate mais intellectuellement honnête) d’améliorer les choses pour les femmes.

Je ne vois pas le besoin de minimiser quoi que ce soit, si ce n’est la désinformation entourant ce texte. Beaucoup trop d’article titrent “il dit que les femmes ne sont pas capable de faire de l’informatique” en dépit du contenu réel du document.


Le 10/08/2017 à 08h 41







R1 a écrit :



Un texte qui propose la suppression des cours d’informatique faîtes pour les femmes est un texte sexiste (“Stop restricting programs and classes to certain genders or races.”).





Remettons dans le contexte : “la différence de représentation est dû en bonne partie à l’attrait de la profession auprès des femmes. Faire des cours uniquement pour femme n’aide en rien à changer ce fait, et voici des proposition pour y remédier”. Et immédiatement, c’est bien moins sexiste (à défaut d’être vrai). Il ne réclame pas de retirer des avantages ou aides aux femmes, mais d’en fournir des meilleurs.







yvan a écrit :



Pas sur le sujet non.

Sur l’égalitarisme économique les stats de l’ocde et du fmi, le livre de piketti.





Il ne clame pas l’égalité, hein, mais une tendance vers plus d’égalité. Il y a moins de cent ans, une femme était légalement payée moins qu’un homme sur la bas que c’était une femme. Il y a moins de cent ans, une femme ne pouvait pas ouvrir de compte bancaire à son nom. Dire qu’on ne tend pas vers plus d’égalité économique est absurde.







yvan a écrit :



Sur l’égalitarisme de gouts dans la société le fait que dans tous les domaines traditionnellement masculins ou féminins il y a aujourd’hui des exceptions chose qu’il n’y avait pas il y a encore une cinquantaine d’années. La proportion de femmes qui travaillent qui augmente. L’apparition de sections féminines dans tous les loisirs qui soient etc. Il y a certainement des sources travaillant spécifiquement sur le sujet mais sur un truc aussi évident qui est une tendance de fond de l’occident depuis la guerre de 14 je vois mal quoi prouver.





Il y a amalgame entre droit des femmes et volonté des femmes. Ce qu’il avance, c’est que plus la population a une sûreté financière, plus les préférences individuelles se font jour. Quand il faut nourrir la famille, on prend le boulot qu’on peut. Quand on n’a pas de pression particulière, on fait ce qu’on veut.

Si on prend un domaine ou les femmes n’ont jamais été interdites de séjour, comme l’agriculture, on voit leur représentation diminuer extrêmement, bien plus que dans l’informatique. Parce qu’une fois qu’elles ont eu le choix, elles se sont dit “non, l’agriculture ça ne me tente pas” en plus grande proportion que les hommes.

Et les exceptions vont dan ce sens, car la population n’est pas uniforme dans ses préférence (c’est seulement une tendance). Les exceptions prouvent donc que ceux dont les intérêts diverges sont en mesure de les poursuivre, et pas forcés de rentrer dans le moule.









yvan a écrit :



C’est l’enchainement logique de son raisonnement qui craint.

Il eusse proposé plus de pair programing pour attirer les femmes sans juste l’utiliser comme proposition de remplacement aux programmes d’empowerment c’eut été autre chose.





Non, ça aurait été stupide de sa part. Les programmes discriminant n’ont pas de raison logique d’exister si l’hypothèse de départ que le manque diversité découle d’un manque d’attrait, est vrai. On peut discuter de la validité du point de départ, mais la logique qui en découle n’est pas particulièrement défaillante.







yvan a écrit :



Effectivement il n’écrit pas texto “les agressions sexistes ne sont pas un problème” par contre il propose que les structures mises en place pour lutter contre disparaissent pour laisser place à un aménagement des méthodes de programmations pour coller à la “nature féminine” ce qui est exactement la même chose formulé différemment et qui est sexiste.

(…)

Je ne condamne pas la personne, je condamne les articulations douteuses de son discours, les arguments malhonnêtes employés et le fait que ça débouche sur le refus que ce qu’ont mis en place des femmes pour se sécuriser. En gros un mélange de bon gros mansplaining lourd, d’essentialisation sexiste et de proposition de retour en arrière sur des programmes de protection des plus faibles.





Sauf qu’il ne dit rien de tout ça. Attention à ne pas tomber dans l’homme de paille, lutter contre des moulins à vent n’aide personne.

Le thème des agression sexuelles n’est abordé ni de près ni de loin, et il ne touche pas aux système de prévention et d’aide aux victime. Uniquement aux classes d’informatique spécialisé pour femme et programmes similaires, parce qu’il pense qu’on peut faire mieux et plus efficace.







Khalev a écrit :



Le problème c’est que ton exemple prend des extrêmes. Toutes les femmes ne sont pas d’excellentes gymnastes et tous les hommes ne sont pas d’excellents sprinters. Je n’ai pas les chiffres précis mais si on regarde la population globale en terme de capacités physique, je ne suis pas sûr que la différence statistique soit significative.





C’est à la fois vrai et sans aucune importance. Prend un autre exemple : les voix masculines sont plus graves que les voix féminines. On parle d’une différence avérée, entre homme et femme. Et ce n’est pas sexiste. C’est tout ce que je veux dire : le mot “différence” n’est pas intrinsèquement porteur de jugement.







Khalev a écrit :



Alors oui, comme dit dans le papier du gars de chez Google, en moyenne il y a des différences entre LES hommes et LES femmes. Mais ça ne dit rien de LA femme que tu as devant toi.





La page 4 du mémo présente un graphe où deux gaussiennes se chevauchent largement, à côté d’un autre graphe ou sont présentent uniquement les deux valeurs moyennes (sans chevauchement, forcément), accompagné du texte suivant : “Réduire les individus à leur identité de groupe et supposer que la moyenne est représentative du groupe entier ignore les chevauchement (c’est erroné et je ne supporte pas ce point de vue)”.

Je dirais qu’il a donc bien couvert ton cas.

Maintenant, je vois un problème avec ce que tu attaque : il discute des moyens mis en œuvres pour rendre la profession plus attractive auprès “des femmes”, pas “d’une femme en particulier”. Il est évident que certaines femmes sont déjà attirées, mais si on veut réduire significativement l’écart il faut s’adresser au groupe et pas à l’individu.







Khalev a écrit :



C’est ça que les féministes essaient de combattre. Et le problème posé par ce genre de papier si ils ne sont pas dénoncé est qu’il ne font que renforcer le statu quo. Toute l’idée de la discrimination positive c’est d’essayer de contrebalancer les barrières culturelles et sociétales mise en place. Sans ça on arrive dans des modèles de société auto-réalisateurs:




  • Une idée se popularise : les femmes ne sont pas faites pour faire de l’informatique

  • Quand une femme envisage de faire de l’informatique, elle va s’entendre dire que c’est un truc d’homme

  • Ça va décourager un certains nombre de femmes de faire de l’informatique (les hommes qui veulent faire de l’informatique ne s’entendent pas dire que c’est pas pour leur sexe, dont statistiquement plus vont continuer cette carrière)

  • Moins de femmes que d’hommes font de l’informatique

  • “Vous voyez? Moins de femme font de l’informatique!”.





    Sauf qu’on est déjà dans ce schéma, et qu’il propose lui aussi de lutter contre. Juste différemment, en rendant la profession “manifestement non masculine” plutôt qu’en forçant les femmes à être présentes.

    Personnellement, je doute que son approche marche, mais pas par excès de sexisme, plutôt par idéalisme déplacé.







    Khalev a écrit :



    Et ce n’est pas l’histoire de X qui était surdouée et qui a réussi à faire son trou qui veut dire que c’est possible pour les femmes de faire de l’informatique, ce qu’il faut c’est que average Jane ait autant de chances que average Joe d’y réussir, parce que statistiquement il y a un énorme overlap entre la population de average Jane et d’average Joe.





    Mais dans les grandes largeurs c’est le cas. Comme référencé par un autre commentateur, le problème est dans l’orientation dans les écoles, pas dans l’opportunité d’embauche. Alors qu les recruteurs en France essaient d’avoir une parité, il n’y arrivent tout simplement pas car trop peu de femmes postulent en premier lieu. Le problème d’image est plus fondamentale que “on ne recrute pas assez de femme”, et c’est très exactement ce qu’avance l’auteur du mémo.







    Khalev a écrit :



    Houla houla houla. Très très très mauvaise utilisation des statistiques là.

    Dans le papier le monsieur parle de moyenne. Hors la moyenne est le pire moyen de décrire une population





    Non, un simple raccourci de langage. Le terme qu’il utilise est en général “tendance” plutôt que “moyenne”, et il a même fait un graphe (mentionné plus haut) pour expliciter le problème d’utiliser purement la moyenne.



    ___________________________________________________________________________________



    Tout le problème de ce débat, c’est que quand on veut voir du sexisme, on en voit, et que plein de gens considère que “différence” et “femme” dans la même phrase constituent nécessairement du sexisme. Il faut prendre du recul, tenir compte du contexte et de l’intention, et répondre en conséquent. On a le droit d’être dans l’erreur quand on parle de différence homme/femme, tant qu’on reste à l’écoute de la critique et qu’on essai honnêtement d’améliorer la situation. Et ce type là semble ouvert et raisonnable. On peut le corriger, mais le virer pour avoir essayé d’améliorer la situation ? C’est une réaction extrême et déplacée.

    Peut-être a-t-il des précédent dans l’entreprise qui justifie ça, mais si c’est le cas je n’en ai pas eu vent.


Le 09/08/2017 à 14h 54







t0FF a écrit :



Oui, dire que les femmes sont moins présentes dans les postes de direction à cause du stress de ces postes, c’est sous-entendre que soit elles ne gèrent pas le stress, soit simplement qu’elles l’évitent.





Ou, comme le texte le dis noir sur blanc, qu’elles ne trouvent pas que le sacrifice en vaille la chandelle. C’est mon avis aussi, soit dit en passant, je suis donc un être inférieur ? <img data-src=" />







t0FF a écrit :



Dans les deux cas, c’est un stéréotype. Et un stéréotype basé sur le genre, c’est du sexisme, ni plus ni moins.





Tu as cité toi-même la définition de sexisme plus haut : c’est une idéologie discriminatoire s’appuyant sur des stéréotypes de genre. Les stéréotypes sont nécessaires à, mais pas égaux, au sexisme. Le stéréotypes “les femmes sont plus petites que les hommes”, c’est du sexisme aussi ? Parfois, un stéréotype est une simple vérité statistique, il ne faut pas sauter aux conclusions.

Ici, pas d’idéologie, pas de discrimination. Juste des stéréotype (vrais ou faux, c’est une autre question). Qu’on peut lire en défaveur des hommes d’ailleurs : ils sont trop con pour éviter le stress et ruinent leur vie futilement.

Quand on veut s’offusquer, on peut. Toujours.







Lyzz a écrit :



Ça pourrait être pertinent ou pas.

En tout cas pas dans le domaine de l’informatique, domaine récent et dont on connaît très bien l’histoire.



Les femmes ont été pionnières dans le domaine et la seule raison pour laquelle elles y sont maintenant minoritaire est le sexisme.





Plusieurs chose :




  1. représentation culturelle n’est pas nécessairement synonyme de sexisme. L’informatique a aussi eu toute une période de mauvaise réputation (un truc de “nerd”, de “nolife”), et est resté thématiquement masculin.

  2. si la représentation à énormément joué sur ce fait, tout lui attribuer est à mon sens hâtif. Même à son apogée, la présence des femmes dans le domaine peinait à atteindre les 50% (comme le mentionne un de tes liens).

  3. ça va en partie dans le sens de l’auteur du manifesto : le problème n’est pas à l’embauche, mais dans la représentation du métier et la motivation des potentielles recrues (orientation à l’école, image populaire plus que nombre brut d’employé)







    Lyzz a écrit :



    (liste de liens)





    C’est voulu que les cinq premier liens pointent vers des variation d’un unique article d’une unique personne ? Un seul aurait suffit <img data-src=" />

    Merci pour les liens, forts intéressants pour ceux qui ne connaissent pas trop cette partie de l’histoire <img data-src=" />







    Lyzz a écrit :



    D’autres articles démontant spécifiquement le manifeste (et sa misogynie) :

    https://www.theatlantic.com/technology/archive/2017/08/why-is-tech-so-awful/5360…

    https://medium.com/@yonatanzunger/so-about-this-googlers-manifesto-1e3773ed1788





    Je doute que l’auteur du premier lien ai lu le manifesto (rien ne le laisse entendre), et le deuxième a manifestement arrêté son avis avant de le lire.

    Dès l’intro il dit que c’est au sujet de pourquoi on devrait arrêter d’intégrer les femmes, en totale contradiction avec le contenu dudit manifesto.

    Ils représentent intégralement ce que je reproche au traitement médiatique du sujet : le type qui n’a pas lu mais pense que c’est inadmissible, et le type qui lit tout au travers du filtre du sexisme sans donner sa chance (ni même le bénéfice du doute) à l’auteur.





    Pour clarifier : je ne supporte pas particulièrement les idées du manifesto. Par contre, je pense que les réaction sont extrêmement disproportionnées, en raison pour la plupart d’un manque d’information quand au contenu du document.

    L’auteur semble de bonne foi et si il a fait des erreurs , il faut le corriger, pas le lyncher. Rien n’a tant fait progresser nos cultures que l’éducation, ne nous arrêtons pas à mi-chemin <img data-src=" />


Le 09/08/2017 à 14h 06







yvan a écrit :



Aucune société actuellement ne devient plus égalitaire en termes économiques… et l’ensemble de ce que nous constatons est justement que les différences de gouts et comportements hommes/femmes s’amenuisent à mesure qu’elles ne sont plus imposées légalement et religieusement.





Tes sources étant…? Il a eu le bon goût d’en fournir, si elles sont erronée il y a mieux à faire que de dire “même pas vrai” pour convaincre <img data-src=" />







yvan a écrit :



Ensuite il explique que des programmes internes visant à limiter les agressions sexuelles sont discriminants car excluant les hommes et qu’il faudrait les remplacer par plus de “pair programing”





Je suis désolé, mais là tu fais de la pure désinformation. Les deux éléments que tu cites sont déformés, et ne sont pas dans le même paragraphe. Ils ne sont même pas dans le même chapitre !

L’original :



Women, on average, have more extraversion expressed as gregariousness rather than assertiveness. Also, higher agreeableness. This leads to women generally having a harder time negotiating salary, asking for raises, speaking up, and leading. Note that these are just average differences and there’s overlap between men and women, but this is seen solely as a women’s issue. This leads to exclusory programs like Stretch and swaths of men without support.



“Les femmes, en moyenne, ont une extraversion plus facilement exprimée de manière grégaire qu’assertive, ainsi qu’une plus grande agréabilité. Cela mène les femmes à avoir plus de difficultés à négocier un salaire, à demander une augmentation, à tenir tête et à diriger. Notez que ce sont des tendances moyennes, et qu’il y a des chevauchement entre hommes et femmes, mais sont considéré uniquement comme un problème propre aux femmes. Cela mène à des programmes réservés aux femmes comme Stretch et bon nombre d’hommes laissés sans support.”

L’idée étant : “aidons ceux qui en ont besoin” plus que “aidons les femmes”. Google n’est pas une association de défense des femmes, mais une entreprise qui a le devoir de soutenir tous ses employés. Je ne dis pas qu’il a raison, mais ce n’est pas exactement de la propagande horrible anti femme.

Aucune mention des agressions sexuelles dans ce chapitre.

Sur le pair programming :



Below I’ll go over some of the differences in distribution of traits between men and women that I outlined in the previous section and suggest ways to address them to increase women’s representation in tech without resorting to discrimination (…) :





  • Women on average show a higher interest in people and men in things -&gt;

    We can make software engineering more people-oriented with pair programming

    and more collaboration



    “Je vais parcourir quelques différences de distribution de traits de caractère entre hommes et femmes que j’ai mises en avant dans la section précédente et suggérer des moyen de les adresser pour augmenter la représentation des femmes dans le domaine technologique sans recourir à la discrimination (…) :

    [list][*]Les femmes en général présentent un plus grand intérêt dans les gens, et les hommes dans les choses -&gt; Nous pouvons orienter le développement logiciel plus vers les gens en intégrant plus de pair programming (le développement en petite équipe plutôt qu’en solitaire) et favoriser la collaboration”



    Rien à voir donc avec le harcellement sexuel, ni même avec la différence de traitement homme/femme. C’est une proposition (qui vaut ce qu’elle vaut) pour rendre la profession plus attractive auprès des femmes.







    yvan a écrit :



    Et comme les agressions sexistes n’existent pas, idem les postes d’encadrants se féminiseront quand les hommes auront des gouts plus féminins pour la glande et une moindre excellence (ok je carricature un peu <img data-src=" />), d’ici là, on ne touche à rien et on arrête les discriminants programmes d’empowerment des minorités etc.





    Le problème, c’est que tu ne caricature pas un peu : tu déforme horriblement le propos pour faire dire quelque chose d’autre. Ne pas être d’accord avec lui est tout à fait ok, mais lui faire dire que les agression sexistes n’existe pas est tout simplement du mensonge. Il est facile de traiter quelqu’un de sexiste si on lui fait dire des propos sexistes. En l’état, il n’a rien dit de tel.



    Le sexisme est un sujet sensible et clivant, c’est certain. D’où l’intérêt majeur de bien comprendre ce que disent les gens et de en pas les condamner sur ce qu’on pense qu’ils pourraient avoir dit ou voulu dire.


Le 09/08/2017 à 12h 56

Je crois que tu méprend mon propos.

Ce que j’entendais par mon exemple, ce n’est pas l’existence de différence avérée entre homme et femme (physique ou mentale), mais la possibilité de discuter de différence sans être sexiste. Reconnaître des capacités différentes n’est pas diminuer un parti. Si les différences avancées n’existent en fait pas, c’est au pire un problème d’information, et on y remédie par l’instruction, pas en virant le gars.

Ça ne devient sexiste que si on s’appuie sur cette différence (réelle ou non, ça n’intervient pas) pour juger une catégorie comme inférieure.

Si je dis “les femmes sont des sous-êtres inférieurs aux hommes car elles courent moins vite”, c’est totalement sexiste, quand bien même je cite un fait. À l’opposé, si je dis “les femmes ne sont pas chef d’entreprise à cause d’un manque de vitamine B, comment y remédier ?” je ne suis pas sexiste, juste idiot <img data-src=" />

Le 09/08/2017 à 12h 43







yvan a écrit :



Je cite NextInpact :

Pour Damore, au-delà de la discrimination, les différences d’accès aux métiers de la « tech » entre hommes et femmes tiendraient à des différences biologiques « objectives », prouvées scientifiquement. Les femmes seraient ainsi plus intéressées par les émotions et les gens que par les « choses ». Elles auraient plus de mal à négocier leur salaire, avec une propension moindre au carriérisme que les hommes, estime l’ingénieur. Le nier serait faire preuve de biais.



Si ce n’est pas écrit noir sur blanc j’ai un pb de compréhension. <img data-src=" />





Le texte original dit “potentiellement”, “entre autre”, et reconnait l’impact culturel. Passez votre chemin, y’a rien à voir <img data-src=" />







yvan a écrit :



Pour le reste j’ai lu rapidos le début de son texte, je répond juste avant à maxscript le pourquoi ses considérations tiennent de la croyance sexiste.





Lis la suite. Vraiment. C’est court, et les conclusions sont loin d’êtres sexistes (et globalement indépendantes du prémisse, au final).


Le 09/08/2017 à 12h 07







R1 a écrit :





  • “I’m simply stating that the distribution of preferences and abilities of men and women differ in part due to biological causes and that these differences may explain why we don’t see equal representation of women in tech and leadership.”





    Avancer que les hommes et les femmes n’excellent pas naturellement dans les mêmes domaines n’est pas nécessairement du sexisme. Exemple tout bête : les femmes font de meilleur gymnastes, étant plus souples, alors que les hommes font de meilleurs sprinter de part leur puissance musculaire plus développé. Suis-je sexiste en disant ça ? Non, c’est un simple constat, sans jugement de valeur.

    Note, il ne dit même pas que la biologie est la seule cause, mais que c’est “une cause possible”, et poursuit en disant “Many of these differences are small and there’s significant overlap between men and women” : nombre de ces différences sont faibles, et il y a un chevauchement important entre les [capacités des] hommes et des femmes. J’ai vu plus violent…







    R1 a écrit :



  • “We always ask why we don’t see women in top leadership positions, but we never ask why we see so many men in these jobs. These positions often require long, stressful hours that may not be worth it if you want a balanced and fulfilling life.”





    Dans le contexte, ça se traduit par : “les femmes et les hommes placent des valeurs différentes dans certains éléments du cadre de travail, et les postes de haut management favorisent les éléments qui plaisent plus aux hommes.” Ce qui, aux dernières nouvelles, est vrai, que ça soit pour des raisons culturelles ou biologiques.







    R1 a écrit :



    Si ce n’est pas du sexisme, je ne sais pas ce que c’est.

    Et comme dit plus haut, si ce genre de phrases ne vous choquent pas, et bien c’est que vous faites partie du problème.





    Et mettre un label insultant sur tous les avis qui divergent, sans discussion, est le meilleur moyen de ne jamais régler le problème. Fait qu’il mentionne aussi dans son mémo <img data-src=" />



    Je trouve intéressant qu’un des points qu’il aborde soit totalement passé sous silence :



    Feminism has made great progress in freeing women from the female gender

    role, but men are still very much tied to the male gender role. If we, as a society,

    allow men to be more “feminine,” then the gender gap will shrink, although

    probably because men will leave tech and leadership for traditionally “feminine”

    roles



    En résumé : attaquer le problème de l’égalité aussi par l’autre côté, en poussant les hommes à êtres plus “féminin”. Ça ne sonne pas exactement comme les propos d’un machiste soucieux de sa virilité <img data-src=" />


Le 09/08/2017 à 08h 08







damaki a écrit :



Si c’est supposé être de la science, c’est de la mauvaise, qui ignore une trentaine d’années de déconstruction des stéréotypes du genre dans les études biologiques, neurologiques et sociologiques.





Ça reste très vague comme récrimination.

Il mentionne des différences comportementales entre hommes et femmes qui sont couramment observées. Pas de problème là.

Il les attribue en partie à la génétique, en parti à la culture, ce qui n’est pas contraire à la science actuelle. La proportion exacte, par contre, est ouverte à débat, et ses sources contredites mais simplement le qualifier de sexiste antiscience n’est pas du débat, c’est faire taire la dissidence.

Il a une mention spéciale avec graphique pour rappeler que ces différences se placent dans la nuance, pas dans le binaire (“en moyenne, les hommes tendent à, les femmes tendent à”), et qu’elles ne sont pas dévalorisantes, simplement différenciatrices. On peut ne pas être d’accord, mais il n’y a pas de raison de conspuer.







damaki a écrit :



Comme c’est dit à la fin du document, assez simplement, c’est une opinion conservatrice. En effet, on peut résumer ce document à une compilation de pseudoscience conservatrice digne des meilleurs pseudo-études créationnistes (alors qu’il est possible de rendre le créationnisme cohérent avec la science actuelle, soit dit en passant).





Le créationnisme nie les faits avec violence, et non, n’est pas compatible avec la science actuelle. Ici, au pire, il les mésinterprète, en restant ouvert à la discussion. Ce genre de diabolisation est très exactement ce qu’il reproche à la mentalité Google : faire taire sans discussion ceux qui ne sont pas d’accord, plutôt que de les convaincre de leur erreur (ou de se rendre compte qu’ils ne sont pas dans l’erreur, qui sait ?). Et ce qu’il demande est positif, même si ses raison sont erronées. Je doute que beaucoup de gens soient contre une meilleure intégration des différences entre individu sur le lieu de travail : les horaires flexibles, le télétravail, le temps partiel sont autant de méthodes pratiquées depuis longtemps à cette fin, au bénéfice de tous. Il demande d’aller plus loin encore, c’est quelque chose qu’on devrait soutenir, pas récriminer <img data-src=" />







damaki a écrit :



Au sujet de l’insulte, ça dit quand même que selon lui, toutes les femmes sont inadaptées à des métiers sur lesquelles elles ont pourtant été recrutées.





Non, ce n’est pas ce qui est dit. As-tu lu le document ? <img data-src=" />

Il dit deux choses : que la différence de représentation entre homme et femme n’est pas nécessairement le sexisme à l’œuvre, mais tout simplement le résultat de préférence individuelles ; et que les femmes et les hommes ont des manières d’approcher et de traiter les problèmes qui diffèrent, et qu’il faut s’adapter à cette différence plutôt que de simplement dire “recrutons plus de femmes quelques soient leurs qualification” (la politique des quotas). Avoir un cadre de travail adapté à l’employé plutôt que de forcer des chiffres sans signification.

Et faire taire les avis divergeant n’aide pas à l’amélioration : ça cache le mécontentement plutôt que d’y remédier.







t0FF a écrit :



1\ il n’a pas du tout été censuré. Au contraire ses propos ont été rendu publique pour les dénoncer.





Ses propos ont été déformés, conspués, et servent de base à un licenciement. Si ce n’est aps faire un exemple contre ceux qui parlent, je ne voit pas ce que c’est <img data-src=" />

Pourquoi dénoncer une discussion raisonnable ? Il a peut être tord, mais on ne le changera pas en bien en le pointant du doigt et en disant “bouh le villain”. Et il soulève plusieurs point tout à fait valide (la pertinence de la politique des quotas, l’ostracisation des avis divergents, la nécessité d’adapter le cadre de travail à l’employé pour ne citer qu’eux), ça mérite discussion plutôt qu’une pendaison en place publique.







t0FF a écrit :



2\ La vie professionnel n’est pas là pour s’exprimer politiquement, que ce soit politiquement correcte ou non.





Ce point mérite un peu de contexte. Aux États-Unis, les notions de libéralisme ou conservatisme sont avant tout sociales, représentant des ensembles de qualités et défauts tel qu’il les mentionne (compassion, rationalisme, etc). L’aspect politique des termes n’est que résultant de ceci, pas la cause.

Il est courant dans tout débat d’entendre que ceci ou cela est la faute des libéraux ou des conservateurs, comme on peut entendre râler contre les hippies ou les jeunes. C’est une classification facile et compréhensible pour l’interlocuteur.

Du coup, pour moi, son erreur n’est pas de parler politique (il ne le fait pas), mais d’utiliser des termes qui entraînent des réactions chargées : beaucoup de gens sont instinctivement hostiles à “ceux d’en face”, ce qui ferme la discussion. Bien qu’il ai pris soin de rappeler que ces mentalités sont toutes deux porteuses de bénéfices et valides, beaucoup de gens s’arrêtent à “je suis conservateur” et concluent “donc il a tord”.

Ce qui est triste considérant qu’un des points qu’il amène est qu’il faut plusieurs points de vue pour une discussion saine.







t0FF a écrit :



3 \ Il a été renvoyé après qu’une majorité de ses collègues se soient plaint. Google renvoi un employé dont une partie de ses collègues ne veux plus bosser avec lui. Plutôt normal que triste.





Il se plaint que les avis divergeant ne soient pas toléré, et pour résultat son avis divergeant n’est pas toléré. Je dirais qu’ils ont prouvé qu’il avait raison sur cet aspect <img data-src=" />







t0FF a écrit :



Accessoirement, c’est exactement le genre de préjugé qu’il entretient qui rebute les filles à partir dans des études d’informatique.





Mais quels préjugés ? Que les hommes et les femmes préfèrent des choses différentes et travaillent de manière différente ? C’est un fait, quel qu’en soit la cause. Il appelle à améliorer le traitement de cette différence, estimant que les méthodes actuelles y échouent. C’est quelque chose qui devrait être reçu de manière positive, je trouve <img data-src=" />


Le 08/08/2017 à 13h 27







Simfr24 a écrit :



En science ou pas, une théorie reste une théorie, aucune démonstration formelle n’a été formulée à ce jour. 

Tout comme les théories de la relativité, des cordes, etc.



Il est tout à fait possible qu’un jour des découvertes nous fassent repenser tout le bouzin et donnent tort à ce bon vieux Charlie…





Attention : en science, “théorie” veut dire “ensemble de formules décrivant le phénomène X”. Qu’elle soit prouvée ou non, vrai ou fausse, ne change rien à son statut de théorie. Ce n’est pas la théorie du langage commun, synonyme de “supposition”.

Exemple : la théorie de la gravité. On ne l’appelle pas comme ça parce qu’on n’est pas sûr, ses prédictions sont extrêmement précises et prouvées au quotidien.


Le 08/08/2017 à 13h 00

C’est formulé de manière raisonnable, ça demande des changements raisonnable. Ça n’est pas une harangue, la bave aux lèvre, contre les féminazis communistes d’Isis. C’est constructif et non confrontationel. J’aimerai que plus de gens argumentent comme ça, sur internet.

On peut ne pas être d’accord ou relever des erreurs, mais je ne saisi pas pourquoi ça fait un tel foin.



Qu’est-ce qui, de ton point de vue, est insultant ? Envers qui, et pourquoi ? <img data-src=" />

Le 09/08/2017 à 09h 16







Cacao a écrit :



Comme le précise la fin de l’article, on entend beaucoup parler de l’Hyperloop mais il n’y aujourd’hui rien de concret. (…) Même les tests grandeur nature ne sont pas encore à la hauteur des promesses.





Des tests grandeur nature, c’est plutôt du concret, non ? <img data-src=" />


Le 08/08/2017 à 07h 22

J’ai envie de dire, 5 mois entre l’expression du besoin et la mise en prod, c’est effectivement peu. On ne parles pas de durée de développement, hein, mais de durée totale d’un projet pour l’État. Ça me surprend que les spécifications n’aient pas pris ce temps à elles seules <img data-src=" />

Le 13/07/2017 à 07h 30

Non, c’est français, mécréant <img data-src=" />

Le 12/07/2017 à 13h 36







Jarodd a écrit :



Ca ressemble à ce qu’avaient demandé les députés FI





De rien <img data-src=" />


Le 12/07/2017 à 07h 39

Autre blague, dans leur mail d’info, en tout petit en bas ça dit en substance : “en téléchargeant ces images [du mail], vous acceptez l’utilisation de vos cookies à des fin commerciales et d’études d’usages”.

Je ne sais pas si c’est nouveau, ni si c’est spécifique à SFR, mais j’étais bien content de bloquer les images par défaut, quand j’ai lu ça.

Le consentement explicite pour les cookies, manifestement chez SFR ils ne connaissent pas <img data-src=" />

Le 11/07/2017 à 15h 03

Étrangement, je trouve que les ayants-droit sont plus dans le vrai que le juge ici quand ils parlent de vol.



Pour l’ayant droit : quelqu’un veux obtenir un bien, sans s’acquitter du processus commercial afférant. Il contourne les protections pour obtenir le dit bien. Quand bien même le bien n’est pas soustrait à l’ayant droit, la mentalité et la procédure rappellent très fortement celle du voleur. Il est rare que le voleur veuille faire perdre le bien à son possesseur, c’est une simple corrélation de sa nature physique. “Je veux, je prend”.



Là, il y a copie de données dans le but d’informer une tierce partie en l’absence d’accord (ou contre l’accord expresse) du possesseur des données. C’est de l’espionnage, pur et simple, non ? <img data-src=" />

Le 11/07/2017 à 09h 51



La raison de cet échec est simple selon l’analyste : le studio n’a pas fait parler de son jeu, Scanner Sombre, avant son lancement.



Effectivement, je n’en avais pas entendu parler du tout <img data-src=" />

Le 10/07/2017 à 14h 10

Ce serait un argument recevable si les opérations de rénovation ne se passaient pas comme par hasard très exactement là ou la fibre devait arriver sous peu, plutôt que là ou le besoin était le plus manifeste.

Comme si une nationale en état acceptable mais proche d’un projet autoroutier était soudainement rénovée, quand l’autre loin de tout reste avec ses nids de poule taille XXL.

Le 10/07/2017 à 14h 02







vince120 a écrit :



la première idée qui me vient c’est qu’ils auront des comptes en double, celui qu’ils transmettront à la gestapopolice et l’autre…





Ils auront aussi vite fait de dire “je n’ai pas de compte”.

Personnellement, je doute que le but réel de cette loi soit de surveiller les gens d’après des données déclaratives.

Actuellement, les services de police doivent rechercher les alias utilisés, intercepter les communications, et les décrypter. Après cette loi, la seule première étape suffit à obtenir une condamnation, peu importe que la communication soit un plan d’attaque ou la recette de la soupe au choux qui déchire.

C’est un peu dans la même veine que Hadopi qui “ne poursuit pas les pirates” mais les gens ne sécurisant pas leur ligne : la preuve est bien plus facile à obtenir, ça fait du chiffre visible, les politiciens sont content.


Le 07/07/2017 à 08h 09

J’apporte mon soutient à ce projet de loi ainsi amendé :oui2:









FunnyD a écrit :



Pourquoi du 2nd degré ?





Parce qu’il a laissé tombé son joint sur ses genoux et ça l’a brûlé.

Cochonnerie de gauchistes hippies, ils devraient fumer de la gauloise bien de chez nous <img data-src=" />


Le 06/07/2017 à 15h 07







OlivierJ a écrit :



J’en profite pour rappeler cet article qui se plonge un peu sérieusement dans les contraintes d’un industriel, et sur le mythe de l’obsolescence programmée (car c’est un mythe pour l’essentiel ), avec plein de liens en plus :

“L’obsolescence est-elle programmée ?”

http://www.drgoulu.com/2013/05/01/lobsolescence-est-elle-programmee-2/



Celui-ci est pas mal aussi :https://theierecosmique.com/2015/11/30/obsolescence-programmee/ .





Merci pour les liens, qui met des chiffres concrets sur les présupposés <img data-src=" />


Le 06/07/2017 à 09h 11







cyril8 a écrit :



Je pense que la fragilité par obsolescence programmée est un fait avéré de la part des fabricants ne serait-ce que parce que l’on sait parfaitement déterminer le nombre de cycles d’utilisation de nombreux composants.





Je pense que beaucoup de gens méprennent l’optimisation des coûts pour de l’obsolescence programmée. Un composant merdique qui va tomber en panne en quelque cycle n’est généralement pas choisi parce qu’il tombe en panne, mais parce qu’il coûte largement moins qu’un compo de bonne qualité. Or la pression des coûts est très forte, que ce soit de la part des consommateurs ou des actionnaires.

Coller un composant plutôt que le souder, même raison : la colle c’est cheap, c’est rapide, et la plupart des consommateurs s’en tamponnent. C’est dur à réparer ? L’économie d’échelle compense le fait de remplacer plutôt que de réparer.

Et quand on voit que sur certains marchés (comme les téléphones) de nombreux consommateurs renouvellent naturellement leur matériel avant la fin de la durée de vie moyenne du produit, ça n’aurait aucun sens de volontairement réduire cette durée de vie et de donner une mauvaise image à la marque.


Le 06/07/2017 à 08h 57



« Le problème que je vois ici, c’est que l’industrie et les joueurs prennent ce qu’ils connaissent du passé, les jeux d’argent, et essaient de l’adapter au jeu vidéo. À mes yeux, c’est la mauvaise approche et cela met en péril notre potentiel de créer une nouvelle méthode d’engagement, voire de monétisation », note le responsable.

Son idée serait plutôt de permettre aux joueurs de miser de la monnaie virtuelle « premium » sur les résultats de matchs compétitifs, avec laquelle ils pourraient ensuite acheter des objets en jeu.



Traduction : “Les paris c’est bien si ça lie le parieur à notre jeu. L’argent réel, ça lui permettrait de dépenser ses gains ailleurs, et ça c’est mal.” <img data-src=" />

Le 05/07/2017 à 07h 31







maxoux a écrit :



Je suis le seul choqué par Jumanji 2 ? <img data-src=" />

Je m’attendait à un navet mais j’ai pas pu m’empecher d’être hypé à mort <img data-src=" />

En plus avec la douce Karen Gillan <img data-src=" />





Et n’oublions pas le doux Dwayne Johnson <img data-src=" />



Quoi ? <img data-src=" />


Le 03/07/2017 à 13h 28







Drepanocytose a écrit :



Fantasme, aggressif ?





Le terme “fantasme” n’est pas intrinsèquement agressif. Mais quand on dit qu’un journaliste fantasme dans le cadre de son travail, oui, c’est agressif.

Note que je n’ai pas incendié 127.0.0.1 pour son propos, j’ai simplement fait remarqué qu’une autre formulation aurait pu être plus adaptée.

Du coup, ta réponse est assez amusante dans sa surréaction, faisant très exactement ce contre quoi elle prêche <img data-src=" />







127.0.0.1 a écrit :



Ca ne se voulait nullement agressif. J’avoue, j’ai oublié de mettre le smiley au bout de ma phrase.

My bad. <img data-src=" />



Le terme “fantasme” voulait refléter le coté jubilatoire à l’idée des déboires de Molotov, alors que “spéculation” aurait été plus froid/neutre.





Toute la difficulté de la communication écrite moderne, formulée comme un oral mais sans son contexte <img data-src=" />


Le 03/07/2017 à 12h 01







127.0.0.1 a écrit :



Non mais je ne demande pas à connaitre la source… Je voulais juste savoir si la “susceptibilité d’être contesté” était un simple rappel théorique ou s’il y avait aiguille sous ruche.





Si la demande était raisonnable, la formulation était inutilement agressive. Pourquoi ne pas parler de “spéculation de l’auteur” plutôt que de “fantasme” ? <img data-src=" />


Le 30/06/2017 à 15h 02

Moui, va falloir faire mieux je pense. Ça manque de corps, de substance. Une simple déformation manifeste des propos, c’est un peu le choix de facilité <img data-src=" />

Project Veritas met plus d’effort dans ses trolls, tu dois pouvoir le faire aussi <img data-src=" />

Le 30/06/2017 à 12h 29







Ricard a écrit :



Tu as bien vu la vidéo en question ? Elle est pourtant sans ambiguité.

C’est pas Veritas l’important, c’est ce que le directeur de CNN raconte.





Je sais que c’est ‘dredi, mais je vais répondre quand même pour ceux qui ne connaissent pas bien la source et risquerai de te croire sérieux.

Veritas est important, car c’est un organe spécialisé dans le trucage vidéo débouchant sur des propos odieux mais faux. On est exactement dans leur modus operandi, en l’absence de source externe rien ne laisse à penser qu’ils fassent autre chose que ce qu’ils ont toujours fait. Les prendre au sérieux, c’est comme prendre le Gorafi au sérieux. Ils peuvent avoir une vrai news de temps en temps, mais c’est le fruit du hasard, pas une volonté manifeste.



Et en passant, ils n’ont pas interrogé le directeur de CNN. Ils ont eu un producteur de contenu orienté santé, et un commentateur, donc personne d’importance dans l’organigramme.


Le 30/06/2017 à 10h 02







Ricard a écrit :



Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le fait que c’est pas le caméraman qui donne l’information.

Si cette vidéo était sortie par BFM, elle aurait été plus crédible à tes yeux ?

lol





Ah, tu n’as pas l’air de connaître le passif du Project Veritas.

Le problème, c’est qu’il sont spécialisé dans les caméras cachées énormément éditées. Ils ont de multiples condamnations à ce sujet. Ils posent une question, filment la réponse, filment une autre question en l’absence du gars, et montent le tout pour faire croire que la réponse est à la seconde question. Ils en retirent aussi des bouts et altèrent le contexte pour faire bonne mesure et assurer que le propos initial est totalement perdu.

Du coup, oui, une vidéo de BFM, qui n’est pas réputé pour ce genre de manipulation, aurait été bien plus crédible.


Le 30/06/2017 à 07h 27







Ricard a écrit :



C’est pas O’Keefe la source, hein.<img data-src=" />





Dans ton lien :



John Bonifield, se confessant au sujet des liens entre Donald Trump et la Russie et la prétendue ingérence russe dans la présidentielle américaine, dans une vidéo publiée par l’organisation à but non lucratif Project Veritas.



Ce n’est tellement pas O’Keefe que la recherche wikipedia sur “Project Veritas” redirige vers sa page <img data-src=" />


Le 29/06/2017 à 13h 37







hellmut a écrit :



y’a mieux comme source que O’Keefe à mon avis.





Ton sens de la litote m’impressionne <img data-src=" />

L’intégralité du business de ce type est de fabriquer sur vidéo une “réalité” qui choque, indépendamment de la vérité. Il a été condamné pour ça, mais ça ne l’a pas ralenti.

À ce stade, le citer est soit du troll, soit de l’humour absurde.


Le 28/06/2017 à 07h 50

@ tous ceux qui sollicitent jackjack2 : vous pourriez arrêter de réclamer ouvertement du warez dans les commentaires ? Y’a les MP pour ce genre de chose <img data-src=" />

Le 22/06/2017 à 15h 07







Obidoub a écrit :



C’est une question prioritaire ça ?





Prioritaire au sens de préalable, pas au sens de urgent.


Le 22/06/2017 à 13h 09







wanou2 a écrit :



Si si. Le termes de SOLDES est encadré très précisément. Tu ne peux pas faire des soldes comme ça comme ça te chante. Par contre, le fait que steam soit absent de la France fait qu’ils se contrefoutent de la loi française (sur ce point en particulier).





Steam utilise-t-il le terme “solde” ? Il me semble qu’ils parlent de “promotion”, c’est les tiers qui parlent de solde.



Le fait qu’ils soient absent de la France n’est pas un critère, soit dit en passant :



Les dates de soldes du commerce en ligne ou vente à distance (sur les sites de e-commerce) sont alignées sur les dates nationales du commerce traditionnel et doivent débuter le même jour en ce qui concerne les soldes d’été et d’hiver, quel que soit le lieu du siège de l’entreprise.



Une partie au moins de la réglementation ne dépend pas du pays d’association.

Source : service-public.fr (déplier l’accordéon “périodes de soldes”).


Le 22/06/2017 à 08h 28







Commentaire_supprime a écrit :



l’hémorragie financière mortelle que représente le piratorianisme sur le net





Je connaissais le pédonazisme, mais pas le piratorianisme. Ça veux dire quoi ? <img data-src=" />


Le 21/06/2017 à 07h 29

C’est un peu le sous-entendu, en fait <img data-src=" />

Le 20/06/2017 à 07h 31







Commentaire_supprime a écrit :



Je ne sais pas vous, mais j’ai remarqué que, depuis quelques temps, il n’y a plus de vaillants défenseurs d’Hadopi et du droit d’auteur qui viennent clamer leur amour pour cette instance sur NXI.





De même que les autres, je ne vois pas à qui tu fais référence. Autant que je sache, ça a toujours été unanime contre Hadopi, ici <img data-src=" />



Après, c’est d’autant plus amusant que pour une fois, l’intention est bonne (à défaut d’aboutir sur quoi que ce soit de concret, bien entendu).


Le 19/06/2017 à 13h 18







Jhorblocks a écrit :



Les ayants droits te traiteraient d’hérétique (bon ok ils diraient plutôt terroriste ou nazi pédonazi d’internet mais c’est pour utiliser un autre terme)





<img data-src=" />

Les classiques, voyons, les classiques.


Le 16/06/2017 à 13h 00







Firefly’ a écrit :



Je me fais la remarque à chaque fois que quelqu’un dit chauffeur, tout comme quand on dit que je suis un programmateur ^^’





Il ne faut pas confondre étymologie et signification d’un mot. Bien que “chauffeur” dérive de la fonction liée aux chaudières, le terme désigne actuellement un conducteur. C’est un synonyme.

Dictionnaire de l’académie française, 9ème édition :



(1)CHAUFFEUR n. m. XVIIe siècle. Dérivé de chauffer.




  1. Personne chargée d’entretenir le feu d’une forge, d’une machine à vapeur, d’une installation de chauffage central, etc. Le chauffeur d’une locomotive à vapeur. 2. Par anal. Personne qui conduit un véhicule automobile (on dit aussi Conducteur). Spécialt. Personne dont la profession est de conduire un véhicule automobile



    L’utilisation du terme est donc correcte <img data-src=" />



    À l’opposé, là ou chauffeur et conducteur ont des étymologies différentes mais un sens commun, programmateur et programmeur ont une étymologie commune mais un sens différent. Les inverser constitue bien une erreur, comme “clore” et “clôturer”.







    Patch a écrit :



    A l’origine, le chauffeur c’est celui qui remplit la chaudière à vapeur. On a gardé ce terme pour les TEC routiers, même s’il ne correspond plus du tout à la fonction. Dans la SNCF et les transports ferroviaires en général, celui qui conduit, c’est le mécanicien.





    C’est à la fois vrai et sans rapport. L’étymologie n’est pas disputée, l’utilisation du terme l’est. Or, l’utilisation est tout à fait correcte.


Le 14/06/2017 à 09h 17







Ellierys a écrit :



Ça m’apprendra à dormir 3 heures par nuit pendant la semaine de l’E3





<img data-src=" />

Bon courage, et merci pour ton dévouement ! <img data-src=" />


Le 13/06/2017 à 11h 38

Merci <img data-src=" />



Il me semblait que l’académie s’était prononcée pour la parenthèse plutôt que les tirets. En fait, elle s’est prononcée pour l’application stricte du français (donc pas de “e” baladeur, quelque soit le séparateur).

Je me sent tout con et éclairé à la fois <img data-src=" />

Le 13/06/2017 à 08h 32







Chre a écrit :



Par exemple, les manifestant(e)s contre la loi travail 2 :/.





<img data-src=" />

C’était la minute pédante, ne me remerciez pas <img data-src=" />


Le 13/06/2017 à 10h 15

Si je résume bien ce que je comprends de ta pensée (reprend moi si je me trompes) :

Les gens n’appréhendent pas suffisamment bien l’outil informatique. Pour améliorer cet état de fait, il faut leur donner plus de base à l’école, via l’apprentissage du C plutôt/en supplément de Scratch, et un approfondissement de l’électricité/l’électronique déjà enseigné.



Personnellement, je trouves que le problème n’est pas établi (tu ne fournis absolument aucune source), que ses causes le sont encore moins, et que la solution proposée ne va pas dans le sens des objectifs recherchés.



Je conçois bien que tu es persuadé du bien fondé de ta proposition, mais tu nous demande beaucoup trop de nous reposer sur ton expertise et ta sagesse supposée pour convaincre.

Si je t’affirmais que j’étais un expert ceinture noire en tai-chi, et que ce genre d’apprentissage serai une catastrophe pour le flux de chi des élèves et ferait exploser leur tête, à la place il faut leur faire manger de la margarine nature, tu ne me prendrais pas au sérieux (du moins je l’espère). Tu me laisse malheureusement ce genre d’impression.

Le 12/06/2017 à 10h 10

Plus je te lis moins j’ai l’impression qu’on parles de la même chose.

De mon côté, je parles de l’utilisation des moyens informatiques basiques. Les logiciels, les périphériques génériques (souris, clavier…), pour les individu lambda ne travaillant pas dans le domaine. De ton côté, j’ai l’impression que tu parles de l’apprentissage de la programmation et de l’administration des moyens informatiques pour les professionnels du secteur, ce qui n’a à mon sens rien à voir.



Il est important pour tout le monde de maîtriser les outils informatiques car ils sont désormais omniprésent. Mais le C, l’électronique ? C’est du sous-jacent, comme la thermodynamique du moteur à explosion, ou le torseur appliqué par le tournevis. C’est intéressant (pour certains du moins), mais ça ne se traduit absolument pas en maîtrise de l’outil final. On peut être un dieu de la thermo et ne pas savoir conduire, et un pilote de F1 pourra se tamponner du fonctionnement de son moteur et gagner des grands prix.

Note que ça nécessite un apprentissage, de gagner un grand prix, simplement pas celui de la thermo et de la résistance des matériaux.



À côté, la programmation et l’administration, comme la réparation automobile, sont fondamentalement concerné par les dessous du capot. Là, je veux bien entendre l’intérêt de l’électronique et des langages bas niveau, car c’est ce qu’on est amené à manipulé, même de manière indirecte par un langage haut niveau.



Pour résumer ma pensée : les professionnels de l’informatique devraient, comme tu le proposes, avoir des fondations solides des principes mis en œuvre. Mais tout le monde nécessite une formation, plus basique, similaire au permis de conduire, centrée sur les concepts, les conventions et la prise en main accompagnée d’un guide capable de guider et de corriger.

Le 09/06/2017 à 12h 08







sr17 a écrit :



Désolé. Toutes mes excuses.





Pas de soucis, c’était juste pour confirmer que ce n’était pas voulu. D’autant plus que tu as raté la citation d’après aussi <img data-src=" /> (commentaire #255)







sr17 a écrit :



Pour faire simple, on a cru à cette approche à une époque. Mais en pratique, cela donne des résultats plutôt décevants.



Les gens ne parviennent pas vraiment à rattacher de manière précise à quoi ces notions correspondent, donc elles deviennent complètement abstraites dans leur esprit.



La conséquence, c’est que cerveau ne hiérarchise pas correctement les connaissances, et surtout, il échoue à tisser des liens entre l’observation pratique et le savoir théorique.



Concrètement, tu va donner des cours ou tu va enseigner ces notions, mais quand les gens seront devant un ordinateur qui ralentit, auront du mal à faire le rapprochement entre ce qu’ils observent et ce qu’ils ont appris.





Tu as des sources pour ça ? Ça ne correspond absolument pas à mon expérience en la matière <img data-src=" />

Pour moi, apprendre la programmation et l’électronique aux gens en tant que préalable à l’utilisation de l’outil informatique, c’est comme apprendre les torseurs en prélude à l’utilisation d’un tournevis. C’est remplacer l’ergonomie et la formation de base par une formation de spécialiste beaucoup, beaucoup trop complexe par rapport au besoin.

Avoir besoin de ces connaissances, c’est un aveu d’échec des ergonomes, pas une conclusion logique. D’ailleurs, on note que l’ergonomie est le principal travail de ces dernières années, à tous les niveaux : les machines sont physiquement des Légos ou des meubles Ikéa (n’importe qui de motivé peut en assembler, sans jamais avoir touché un voltmètre), le bios peut être mis à jour en deux clic au bon endroit sur suggestion de la machine elle-même, les IHM se simplifient et s’harmonisent… et ça, ça fait bien plus pour l’utilisation au quotidien que n’importe quelle connaissance technique.


Le 09/06/2017 à 10h 04

Y’a erreur sur la personne, tu cites sous mon pseudo les propos d’un autre <img data-src=" />









sr17 a écrit :



Il y a deux façon d’apprendre.



Soit tu apprends des centaines de procédure toutes faites : dans tel cas, on fait ceci, dans tel cas, on fait cela. Mais tu sera toujours perdu en cas d’imprévu.



Soit tu apprends la base qui permet à ton esprit d’extrapoler et de savoir instinctivement quoi faire dans tous les cas, y compris imprévus.





Autant je suis d’accord sur le principe, autant l’application à la discussion présente me semble erronée. La base de l’utilisation de systèmes informatique n’est pas l’électronique ou la programmation

Le type de problème qu’un utilisateur peut s’attendre à rencontrer et à devoir régler vont être du type “fuite mémoire”, “écran bleu”, ou “problème de compatibilité”. Tous peuvent être résolus sans rien savoir de la programmation ou de l’électronique. Par contre, tous sont simplifié par une connaissance du concept d’ordinateur et de programme : “ça c’est l’écran, pas l’ordinateur” -> on reboot en appuyant sur le bon bouton ; “un ordinateur travail avec de la mémoire, et si on en utilise trop ça ralenti la machine” -> fermer des programmes permet de regagner des perfs ; etc.







sr17 a écrit :



Bon, le manque de respect, ça suffit.

(…)

Et si tu crois pouvoir prendre de haut quelqu’un qui a mon degré d’expérience, dit toi que j’en ai rien a foutre parce que ça me fait marrer. <img data-src=" />





L’hôpital qui se fout de la charité <img data-src=" />


Le 13/06/2017 à 08h 22



Mario + Rabbids Kingdom Battle, un jeu mêlant aventure et combats tactiques au tour par tour, façon XCOM. Petite subtilité : certains éléments du décor sont destructibles afin de pouvoir s’ouvrir de nouvelles possibilités de combat, et déloger des adversaires qui camperaient un peu trop.



Tellement façon XCOM que la petite subtilité est déjà présente dans XCOM <img data-src=" />

Le 09/06/2017 à 13h 23

La page de la liste des jeux Ubisoft, miroir de celle de ton lien pour Gameloft, liste les mêmes entrées. Mais sur la page des jeux eux même Gameloft n’est mentionné que comme développeur d’une version portable.

M’étonnerai bien que le développeur de la version portable aie plus de droit sur la licence que son créateur et éditeur <img data-src=" />