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V_E_B

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1436 commentaires

Le 22/12/2016 à 15h 25







VilraleuR a écrit :



La délation dénonciation c’est tout bon !





<img data-src=" />

La dénonciation, contrairement à la délation, est un acte civique. Je ne vois rien de problématique dans cette loi, le rôle des entreprises n’est pas de blanchir les contraventions.



Edit : grilled <img data-src=" />


Le 19/12/2016 à 11h 01







balifred_alias fred a écrit :



des sommes aussi faramineuses pour un sport ca me laisse rêveur.





Hum, les gars… on lui dit pour le foot ou bien ? <img data-src=" />


Le 16/12/2016 à 15h 10







donwar a écrit :



Mouais ça fait des années que tous les Twitcheurs utilisent Moobot qui fait sensiblement la même chose (sinon les vrais modos c’est bien aussi)





Les vrais utilisent Jean-Michel Bot <img data-src=" />


Le 13/12/2016 à 09h 18

L’analyse d’Eolas, bien qu’intéressante, ne me convainc pas. Choisir entre une catastrophe goût Charybde ou goût Scylla, ça ne résous pas le problème. Déterminer qui doit être le pilote d’un avion sans aile n’a pas de sens. Il faut d’abord réparer l’avion. Pour moi, c’est ça que signifie le vote blanc : le système est pété, réparons-le avant toute chose.

Maintenant, ça doit s’accompagner d’action, le vote blanc n’est pas autoporteur.

Le 09/12/2016 à 08h 48







tazvld a écrit :



“Bonjour, j’ai dessiné des cercles concentriques d’alternance de rouge et de blanc blanc/noir/bleu/rouge/jaune, sur mon ventre et je me trimballe dans un champs d’entrainement de tire à l’arc.”





<img data-src=" />


Le 02/12/2016 à 15h 50







zethoun a écrit :



et malgrès ça, il y en a qui ose dire que le studio à menti sur l’aspect “multi”? O_o





Ils osent, car les tentatives en question étaient infructueuses, il me semble. Ils étaient littéralement au même endroit, sans se voir.


Le 02/12/2016 à 12h 24







WereWindle a écrit :



et même ce “Heyaaa !”, quelqu’un a dû l’enregistrer <img data-src=" />





Oui mais ils l’ont déjà fait, à l’époque de la N64, pas besoins de faire de doublon <img data-src=" />


Le 02/12/2016 à 08h 23

Et bien écoute, je serais heureux de reconnaître mon erreur. Manifestement, à moins que tu ne me clarifie ta pensée, je ne la saisirai pas.

Qu’ais-je raté ? <img data-src=" />

Le 01/12/2016 à 15h 06







Paladin_Fr a écrit :



Tu as raison mais la peine dépend aussi, et peut être surtout en fait, des avocats… Si tu as un mauvais avocat et qu’en face tu as un bon avocat tu es très très mal parti…





Je retirerai le “surtout” de ta phrase. Si les faits sont contre toi, avocat ou pas, tu es mal parti.







MasterDav a écrit :



Lire en entier semble trop dur pour toi.





Non, j’ai bien vu ton “même si on divise leur peine par deux”.

Tu compares une peine déclarée, que tu divise par quatre sans raison valable, à une peine encourue, au mieux divisée par deux. Ça ne donne aucun sens, ça sert juste à faire réagir émotionnellement. Et l’émotion est l’ennemi de la raison (et de la justice, en passant). Merci d’éviter ce genre de raccourci, nuisible à un débat sain.


Le 01/12/2016 à 13h 16







MasterDav a écrit :



12 ans de prison sans peine de sûreté, donc 6 ans. 3 ans par tête de pipe.

Moralité: même s’ils prennent la moitié de la peine pour contrefaçon, ça coûte moins cher de buter des flics en tant que multirécidiviste que de tenir un site de piratage de films et de musique.

“Valeurs républicaines”.





Comparer une peine encourue à une peine reçue, classique.

Pour rappel, il encourait 20 ans, contre 7 pour les contrefacteurs. Les proba qu’ils fassent plus sont tellement négligeable que ça en est risible.







linconnu a écrit :



Vous allez voir qu’avec notre super justice ils vont prendre plus que la mère de Fiona (5 ans et même pas d’amende).





Cas classique encore : juger à la place des juges, sans les pièces du dossier. “Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais ils sont coupable, parce que je suis scandalisé par un titre de journal”.



Attendez que le cas soit jugé avant de pousser des cris d’orfraie, ça fera du bien à tout le monde <img data-src=" />


Le 01/12/2016 à 09h 45

Il ne faut pas faire de fausse dichotomie. Oui, les majors font de la m*rde. Mais ça ne veut pas dire pour autant que des gars qui vivent de leurs activités illégales sont absous. Apparemment, là, ce n’était pas un petit bonus cool qu’ils se faisaient, mais de très grosses sommes.

Je ne vais pas plaindre quelqu’un qui vie du travail d’autrui en parasite, qu’il soit une major ou un pirate.

Le 01/12/2016 à 13h 22







ignace72 a écrit :



Il y a des exceptions  partout mais il est très facile de joindre les dev de logiciels libres pour un bug ou une fonctionnalité qui manque. Essaye de faire ça avec MS Windows… Pour du pure support, il peut être payant ou alors se faire payer pour installer des logiciels libres. Libre ≠ gratuit c’est une évidence.





Oulà, ça mélange tout. Déjà, joindre n’est pas obtenir. Ensuite, une “fonctionnalité manquante” n’est pas un développement pour un besoin spécifique à peu de gens (ce qui était à la base de ma remarque). Ensuite, Windows est un cas extrême : un logiciel énorme, et commercial. Chaque changement est extrêmement impactant, et doit budgéter son coût. Des logiciel non libres de plus petite taille sont beaucoup plus souples.



Bref, pour moi, rien à voir. Les problématiques de support particulier et de licence libre sont orthogonales.


Le 01/12/2016 à 09h 32







ignace72 a écrit :



Ça se fait mais ce n’est pas accessible aux simples mortels par-contre c’est gratuit et encouragé pour les logiciels libres.





Ça arrive, mais je n’en ferait pas une généralité. Les développements spécifiques pour trois péquins, ça reste rare, logiciel libre ou pas. Certains logiciels libres ne s’adaptent même pas à la demande générale (n’est-ce pas, FileZilla ? <img data-src=" />). Quand à être gratuit, j’imagine que je n’apprend rien à personne en rappelant que “libre =/= gratuit” ? D’autant plus quand on parle d’évolutions (beaucoup de LL font leur beurre sur la vente de support aux entreprises).


Le 30/11/2016 à 16h 07







ignace72 a écrit :



Les logiciels que j’utilise sont tous des logiciels libres ou ouverts et personne n’est mort.





Personne ? Et Charlemagnes ? De Gaulles ? Martin Luther King ? Tous mort, saligaud !

Le lien avec le logiciel libre reste à établir, mais je ne désespère pas <img data-src=" />


Le 29/11/2016 à 14h 42







the_frogkiller a écrit :



une administration non judiciaire qui donne un avis consultatif qui a des effets sur le plan judiciaire et en plus dans le plus grand secret. En gros faire le travail du juge sans juge et sans vrai contrôle.





Pas vraiment. L’ombudsman ne dit pas, judiciairement, ce qui est légal ou pas. Il se contente d’éviter aux intervenants de se poser la question. Une fois devant un juge il n’existe plus, et les propos légaux sont tout autant protégés.

Ce qui m’inquiète, moi, c’est bien le plan non judiciaire : tous ceux qui n’auront pas les moyens d’aller devant le juge pour défendre chaque propos légal mal classifié (volontairement ou non).


Le 25/11/2016 à 10h 51







t0FF a écrit :



Tu dis qu’il y a une différence entre un téléchargement et un téléchargement temporaire (streaming), c’est le cas uniquement en cas d’utilisation licite. Sans utilisation, ou si l’utilisation n’est pas illicite, cette différence ne s’applique pas. Exactement, la loi dis : ”lorsqu’elle a [] pour unique objet de permettre l’utilisation licite de l’oeuvre “.  Sans ça, la lois ne fait aucune différence entre téléchargement et téléchargement temporaire et considère donc toujours que c’est une copie.





Je comprend bien que la loi sur la copie privée ne concerne que les copies légales. Là ou je veux en venir, c’est que le corps des texte reconnait l’existence de copies partielles pour nécessité technique et les distingue d’une “copie” au sens fonctionnel. À partir de là, on ne peut pas dire “mais derrière le fonctionnement technique est partiellement similaire, donc la loi s’applique à l’identique”. La copie telle que définit dans le code de la propriété intellectuelle n’est pas un terme technique, et c’est ce que clarifie le passage sur la copie privée. De même, le statut d’intermédiaire technique te protège des copies en mémoire faites par les usager du service que tu fournis. Le simple fait d’avoir temporairement, pour des raisons techniques, une copie, ne constitue pas seul l’infraction. Et le streaming est exactement dans ce cas.







t0FF a écrit :



En complément, quand tu dis que ce qui est illégale c’est de regarder une oeuvre sans en avoir les droits. C’est vrai mais incomplet : la détention d’une copie sans en avoir les droits est également illégale.





Tout à fait, mais pour moi “avoir une copie partielle, temporaire, non consultée avant sa suppression automatique” n’est pas équivalent à “détenir une copie”. La loi et la jurisprudence semble aller dans ce sens.







t0FF a écrit :



Ces deux point font que le téléchargement d’une oeuvre protégé est illégale, qu’il soit temporaire ou non. (Je reprécise pour ceux qui prennent en route, je parle toujours de streaming sur une plateforme illégale qui n’a pas de contrat avec les ayants droits, et qui n’a donc pas pu transmettre à l’utilisateur des droits sur la vidéo).





Pour moi, le streaming dans ce cas sera condamné car la consultation du flux sera considérée comme allant de soi. On ne lance pas un stream pour ne pas le regarder. Mais ça ne change pas le statut légal du stream lui-même. Sinon, les FAI seraient coupable de tout le “streaming illégal” mondial. Le porteur de la faute est le client, pas la technique.



Je tient à préciser que cette nuance n’a pas généralement d’importance. Ce n’est pas pour moi un point majeur de la loi en l’état, j’en discute simplement parce que je trouve la question intéressante <img data-src=" />


Le 24/11/2016 à 16h 43







t0FF a écrit :



Tu prétends que le streaming est légal uniquement si tu ne regardes pas ? <img data-src=" />





Wut ?

Je ne sais pas si tu fumes la même chose que ton smiley, mais ça a l’air de la bonne <img data-src=" />

Je disais que :




  1. le streaming (en tant que solution technologique) n’est pas illégal en soit ; c’est juste de l’électricité dans des câbles

  2. regarder une œuvre que l’ont sait ne pas avoir le droit de regarder est illégal ; no shit Sherlock, c’est la base du droit d’auteur

    Ces deux aspects n’ont aucune corrélation directe. Si tu applique le 2 via un stream, ça ne rend pas le stream plus ou moins légal en lui même. Et regarder une œuvre dont on a les droit ne dépend pas du moyen de regarder cette œuvre.







    t0FF a écrit :



    Il faut arrêter de faire une différence entre téléchargement et streaming. En droits, le streaming EST un téléchargement. Un “téléchargement provisoire”, pour être précis. La seule différence que la lois apporte concernant le téléchargement provisoire, concerne une utilisation licite. Si tu ne possède pas le droit sur l’œuvre, ce n’est pas une utilisation licite et donc tout ce qui est illégale pour le téléchargement l’est aussi pour le Streaming, puisque c’est une forme de téléchargement.





    la loi a déterminé qu’une copie temporaire, partielle, effectuée par nécessité technique, d’une œuvre n’est pas assimilable à une copie pure et simple (cf loi sur la copie privée). Le “téléchargement provisoire” est une différence très importante.

    Dans le cas d’un téléchargement “simple”, tu obtient une copie, sur laquelle tu peu opérer comme bon te semble, portant atteinte aux droits souverains de l’auteur (qu’on adhère ou pas au concept, c’est la loi). Sur un flux streamé, l’atteinte n’est caractérisée que lorsque que tu regardes le flux (ou l’enregistre, ce qui ramène au cas du téléchargement). Si ce n’est pas le cas, du point de vue légal il ne s’est effectivement rien passé. Tu n’a pas de copie, tu n’a pas pris connaissance de l’œuvre, tu ne peux pas distribuer l’œuvre.

    Maintenant, regarder un flux streamé ou un fichier téléchargé est tout aussi illégal, mais il ne faut pas mélanger technique et comportement.


Le 24/11/2016 à 15h 51







lanoux a écrit :



donc avoir une palanqué de divx dl est légal selon toi même si l’on est dans l’impossibilité d’en prouver la provenance?





Avoir une palanqué de divx est légal, à moins de savoir que leur source ne l’est pas. La nuance est importante, car comme il l’a été dit, c’est le contexte et non la technique qui est problématique.







zethoun a écrit :



non, avoir “une palanqué de divx dl ” n’est pas légal, il y a eu reproduction d’oeuvre, donc contrefaçon





Avoir une palanqué de divx dl d’une source que l’on sait illégale n’est pas légal. C’est peut être un détail, mais c’est un gros détail, et en droit il faut être précis <img data-src=" />







t0FF a écrit :



Je ne comprend pas ton +1 : il dis que le streaming n’est illégal dans aucun cas, toi tu dis que l’acte est illégale mais qu’il faut prouver que l’accusé avait conscience que le droit d’auteur n’était pas respecté.



C’est deux avis différents…





Le streaming est légal. Le fait de regarder un stream d’une oeuvre dont on sait ne pas avoir les droits est illégal. Rien d’incompatible. Si tu laisse le stream tourner sans ni l’enregistrer, ni le regarder, aucun problème. Tu gâches juste de la bande passante, il n’y a pas de préjudice pour l’auteur.


Le 24/11/2016 à 14h 05







eb303 a écrit :



Mouais… Dans l’absolu, tu as raison. Mais genre, le mec qui télécharge son .torrent de The Pirate Bay, s’il plaide qu’il ne savait pas que c’était illégal, je lui souhaite bon courage. <img data-src=" />





Bien entendu <img data-src=" />

Mon point n’est pas d’excuser les pirates, simplement de participer à la discussion sur la qualification des faits.







zethoun a écrit :



informatiquement parlant, lorsque tu télécharge, tu reproduis le fichier, donc stricto sensus tu est un contrefacteur. CQFD :) à la rigueur tu pourrais être “clean” de ce point de vue là si le téléchargement était en fait un “Couper/Coller” au lieu d’être un “Copier/Coller” ^^





Manifestement j’avais parlé un peu vite <img data-src=" />

Après, n’est pas une contrefaçon “la reproduction” simple, mais “la reproduction en violation des droits d’auteur”. Là, ça implique de définir la reproduction et de maîtriser le droit d’auteur et la jurisprudence, ça dépasse mes (maigres) compétences juridiques <img data-src=" />







zethoun a écrit :



Sauf erreur de ma part, c’est du recel





Exact, ça m’a été pointé un peu plus haut.







zethoun a écrit :



il me semble que le problème avec le streaming c’est surtout que tu n’as jamais l’oeuvre complète sur ton disque dur, uniquement des morceaux. contrairement au téléchargement où au final tu as l’oeuvre complète.





Dans le cadre du recel, aucune importance. Le simple fait de bénéficier en connaissance de cause de l’œuvre qualifie.

Cette différence que tu décris a cependant une existence juridique au sein du régime d’exception de copie privée. Le streaming constitue une copie provisoire, transitoire, et accessoire à la consommation de l’œuvre, telle que définie dans le texte L122-5 sur la copie privée, entrée 6°. Le téléchargement n’est pas (directement) éligible.







OlivierJ a écrit :



Merci. Apparemment j’ai beau l’avoir déjà expliqué 2 fois, ça ne rentre pas.





Malheureusement il a été pointé une faille dans mon analyse. Je joue une carte joker et attend l’avis d’un vrai juriste <img data-src=" />


Le 24/11/2016 à 13h 12







eb303 a écrit :



Contrefacteur, non. Mais c’est du recel de contrefaçon qui est condamnable aussi.





Article 321-1 du code pénal :

“Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d’un crime ou d’un délit.”

Pour qualifier le fait, il faut que la personne aie conscience de l’origine illégale du produit (d’où la soit disant mission “pédagogique” de la Hadopi). Si tu télécharge une chanson “piratée” sans savoir que le distributeur n’a pas les droits, tu es dans la légalité.

Je pense au doigt mouillé que c’est un cas minoritaire, mais il existe.


Le 24/11/2016 à 12h 32

Indépendamment de la légalité, la qualification des faits : le téléchargement n’est pas, en soit, de la contrefaçon.

De l’article L335-2 du code de la propriété intellectuelle :

“Toute édition d’écrits, de composition musicale, de dessin, de peinture ou de toute autre production, imprimée ou gravée en entier ou en partie, au mépris des lois et règlements relatifs à la propriété des auteurs, est une contrefaçon”

L’article L335-3 le complète :

“Est également un délit de contrefaçon toute reproduction, représentation ou diffusion, par quelque moyen que ce soit, d’une oeuvre de l’esprit en violation des droits de l’auteur”



Dans tous les cas, il est question de diffuser, de mettre à disposition. Le téléchargement ne met pas à disposition, seul l’upload/le seeding le fait. Quand tu télécharges, c’est comme acheter des chaussures. Si elles sont contrefaites, tu n’es pas contrefacteur pour autant.

Maintenant, il me semble que se fournir des biens contrefaits peut être illégal, si tu es au courant de la nature du bien. Mais je n’ai pas réussi à retrouver de source à ce sujet :/









t0FF a écrit :



Ce n’est pas le téléchargement qui est illégale en soit, c’est la contrefaçon. Le streaming comme le téléchargement peuvent te faire condamner pour contrefaçon.





Oui pour la première phrase, non pour la suite. Comme mentionné plus haut, le téléchargement et le streaming ne sont pas de la contrefaçon. Il peuvent peut-être te faire condamner, mais pas sur ce chef d’accusation.


Le 23/11/2016 à 16h 03







tiret a écrit :



Mais si les gens les plus compétents étaient assignés aux bons postes, eh bien… ça pourrait faire de l’ombre à certains puissants, donc vaut mieux les écarter. Cf. principe de Peter.





Le principe de Peter n’est pas au sujet de luttes de pouvoir, mais au sujet des promotions en tant que récompenses contre-productives. Rien à voir <img data-src=" />


Le 23/11/2016 à 12h 18







127.0.0.1 a écrit :



Encore un truc sur la 2de guerre mondiale ? Encore ? En 2016 ?





Note aussi la présence d’une énième redite de King Kong. Le cinéma aime se répéter, et la seconde guerre mondiale a de nombreux avantages pour ce média :




  • comme dit précédemment, période riche en action et en technologie, sur des fronts très variés, avec des thématiques qui le sont tout autant. Ça permet de ne pas redire toujours exactement la même histoire, mais sans trop se fouler quand même ;

  • pas de droit d’auteur à payer pour des histoires déjà écrites ;

  • un monde proche du notre, mais pas trop, permettant de s’identifier sans être aussi sensible que, par exemple, les attentats de Paris (ou même la guerre d’Algérie).

  • un clivage facile : les nazis, c’est les méchants, les autres, c’est les gentils. Hollywood aime ça.

  • une période très documentée : peu d’événements aussi développés dans l’Histoire humaine incluent autant d’enregistrement, de témoignages fiables, de photos, de vidéos. Ça simplifie le travail.

  • auprès du public des USA, c’est l’image d’une guerre glorieuse et victorieuse qui les concerne, contrairement à l’Algérie ou la guerre de 1870 (pas eux) ou du Vietnam (pas gagnants).



    On peut tout de même noter que la première guerre mondiale prend un peu plus de visibilité dans le domaine du jeu vidéo ces dernières années : Soldats Inconnus en 2014, Verdun en 2015, BF1 cette année.


Le 23/11/2016 à 11h 56







griffondor a écrit :



nous pirates on demandais juste trois choses : la fin de la chronologie des médias et la licence globale  et la fin du geoblocking et c’est tout, au lieu de ça , ils préfere la sanction, quel monde pourri !





Et avec ça, un grand coca ? <img data-src=" />

Autant je suis d’accord que c’est souhaitable, autant dire que “c’est tout” me parait un poil réducteur. Du genre “je veux la paix dans le monde, c’est tout, rien de bien compliqué”.

Le besoin est clair, mais la mise en œuvre est horriblement complexe. Pas étonnant qu’ils préfèrent la sanction.

Perso, mon approche est, plutôt que le piratage, la non consommation. Même impact financier pour eux, mais ça ne me coûte rien à moi (pas de VPN ou autre), pas de risque de se faire prendre, et pas d’alimentation d’argument bidon pour les majors à la base de “de toute façon c’est de ta faute de pirate”.


Le 23/11/2016 à 11h 51







Mimoza a écrit :



Ton CdP à 1500€ & dev PHP 700€ /jours c’est des prix «service public parisien», en région tu divise facilement par 2 pour du forfait.





Si seulement…


Le 23/11/2016 à 11h 41







floop a écrit :



Je suppose que l’ancienne loi ne concernait que le délit d’entrave physique (blocage des cliniques etc…) 

c’est pour ca qu’on a besoin d’une nouvelle loi





L’article de loi mis en lien mentionne bien les pressions et menaces physiques et psychologiques envers les personnes, pas juste l’accès physique aux opérations et informations.

Le problème vient du fait qu’il est mentionné une localisation de rattachement : soit le personnel des établissements médicaux, soit les femmes ou leur entourage qui s’y rendent. Rien sur les pressions hors établissement médical (ce qui en soit me semble aberrant, mais peut-être qu’un autre article le couvre). Internet n’étant pas juridiquement une localisation, menacer ou désinformer quelqu’un par ce biais ne tombe donc pas sous le coup de cette loi. Une généralisation pourrait être de bon aloi.


Le 17/11/2016 à 12h 05







discom38 a écrit :



Google le fait tous les jours, avec toutes vos données, personne ne dit rien.





Si on exclue tout ceux qui râlent, effectivement personne ne dit rien.

Ce n’est pas dur de trouver des gens trouvant le comportement de Google scandaleux, il n’y a pas deux poids deux mesures. Tu crois que DuckDuckGo ou ProtonMail sont apparu parce que tout le monde adorait Google ? <img data-src=" />


Le 16/11/2016 à 12h 13







Soriatane a écrit :



Sauf erreur énième extension de la durée des droits (qui ne manquera pas d’arriver), en 2020, Mickey Mouse arrivera dans le domaine public.





<img data-src=" />


Le 07/11/2016 à 10h 54







Tirnon a écrit :



Quand on verra l’IA faire du micro-management d’unités avec des dizaines de marines qui cour tout en tirant ça rigolera moins





J’ai vu une vidéo ou tu vois l’IA faire charger des zerglings dans 20 tanks. Les tanks se font pouner, parce que l’IA écarte tous les zerglings de ceux visés à chaque tir, du coup jamais de dégâts de zone, y’a qu’un seul mort par volée. Impressionnant.


Le 04/11/2016 à 09h 33







eliumnick a écrit :



Si j’ai bien compris le cas décrit par fred42, les propos n’ont pas été encore jugé comme diffamant.





Tu engages ta responsabilité quand tu publies des propos. Si les propos sont jugés diffamant, tu peux être attaqué. Tu peux par contre opposé l’exception de vérité (les propos sont vrais et informatif) ou de bonne foi (tu croyais de bonne foi que c’était vrai et informatif). Dur à avancer si tu dis toi même “je ne sais pas si c’est vrai”, tu colporte manifestement des rumeurs.

Rien ne dis que tu sera condamné (contexte, tout ça tout ça <img data-src=" /> ) mais tu est totalement attaquable. Internet n’y change rien, c’est identique pour un magazine.


Le 03/11/2016 à 14h 10

Perdu :)

Dans la loi :



La publication (…) par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative



À moins de ne la contester directement, la reproduction de diffamation est considérée elle aussi comme une diffamation, puisque tu aides activement à propager les propos diffamant. Si tu ne sais pas, informes toi. Si tu sais, affirme (et assume). Tout le reste tient de l’intox.

Faut croire que les législateur ne sont pas totalement stupides <img data-src=" />









maxscript a écrit :



oui mais dans ce cas tu te détaches des propos de l’auteur en faisant appel au libre arbitre du lecteur,

c’est pas la même chose de s’auto citer avec le sens implicite que tu es toujours d’accord avec toi même..





Au regard de la loi, c’est la même chose. Le fait d’être l’auteur des propos initiaux n’est dans cet arrêt qu’un élément permettant de cerner le contexte, pas un prérequis légal.


Le 03/11/2016 à 09h 49







ArchangeBlandin a écrit :



Ils ont considéré que l’ancien article était du coup réinclus dans le nouveau, mais c’est faux si l’adresse du lien d’origine n’a jamais changé… Ça reviendrait à mettre un encart avec l’ancien article dans le nouveau avec rappel des éléments diffamants dans le nouvel article.

J’ai peur que personne n’arrive à leur expliquer la subtilité.





Sauf que pour le coup, ils ont bon. Même si l’article web n’est pas techniquement réédité, l’auteur renvoi volontairement (il redonne de la visibilité sciemment) aux propos diffamatoires. Rien qui ne me choque à le voir poursuivi.

D’ailleurs, ton interprétation peut être problématique : si jamais tu migre ton site, l’url de l’article change, c’est une réédition ? Alors que personne n’est amené à relire l’article, et que tu l’a toi-même oublié. Sévère. C’est l’intention qui prime, ici caractérisée. D’ailleurs, c’est dit dans l’arrêt :

en parallèle avec la notion de réédition sur support papier, une nouvelle mise en ligne d’un texte ou d’une vidéo ne ferait donc courir un nouveau délai de prescription que s’il manifeste la volonté de publication nouvelle de son auteur ; que selon le tribunal, tel était bien le cas en l’espèce

Le critère principale n’est pas le support, mais la volonté de réédition, de redonner de la visibilité à un écrit passé*







bord a écrit :



Moralité, si on envoie une tribune violente à quelqu’un et que des mois/ années plus tard on regrette et on poste une tribune d’excuse, penser a ne pas mettre le lien vers la première tribune….



Tellement logique…





Pas vraiment, car la réédition (indépendamment de l’auteur, d’ailleurs) ne qualifie pas de diffamation si elle n’abonde pas dans le sens des propos initiaux. Article 29 de la loi du 29 juillet 1881. Ce cas particulier n’y change rien, il vise simplement à clarifier que la réédition est un concept fonctionnel et non technique, et qu’on ne saurais se cacher derrière la technologie pour échapper à la loi.

Si tu diffames, tu es attaquable. Peut importe quand on été écrit les propos, c’est quand ils sont diffusés (que ce soit par un tract, un magazine, un lien… l’idée est de rendre visible) qui compte. Rien d’illogique là-dedans.



* Le concept de “nouvelle mise en ligne” n’est pas dû à une incompréhension du concept de lien par le juge, mais aux limites de la citation qui tronque le contexte. Le point mis en avant est que c’est la volonté qui est importante, pas la manière technique d’agir.


Le 03/11/2016 à 09h 24







CryoGen a écrit :



L’argument de la dictature est surement le plus mauvais de tous : si on tombe un jour en dictature, s’ils veulent ce fichier, ils l’auront ou le créeront…





Quand le meilleure argument pour une décision est “une dictature le souhaiterait de tout cœur et le ferait facilement”, je ne croit pas qu’on puisse qualifier la décision de positive.



Bien que je ne nous considère pas en dictature, je trouve personnellement inquiétant le nombre de leurs outils que l’on adopte ces dernières années. État d’alerte permanent (“Ayez peur, danger, le gouvernement seul vous protège !”), espionnage généralisé (“C’est pour votre bien, vous n’avez rien à cacher de toute façon !”), fichage global (“On regroupe juste des données disséminées, qui ne seront bien entendu jamais utilisées contre vous, juré !”)…


Le 27/10/2016 à 13h 35







tazvld a écrit :



Zelda dans tes chiottes !





Doom dans tes chiottes, mécréant ! <img data-src=" />

Mais pour ça, y’a déjà la Shield.







Pazns a écrit :



La console n’est pas sortie, on a aucun détail technique vraiment significatif, et on casse déjà du sucre sur le dos de la Switch avec des “risque” et des “n’a pas l’air” ?

Sérieusement ?

Est-ce qu’on pourrait être honnête deux minutes, pour changer ?





Mais c’est parfaitement honnête. La présence même de “risque” et de “n’a pas l’air” en atteste : c’est un avis préliminaire, au vu d’une présentation purement marketing.

Je conçois des risques potentiels à leur produit, mais je ne discerne pas de valeur ajoutée (ni concrète, ni potentielle !). La vidéo ne donne pas un début de réponse à la question fondamentale : “pourquoi pourrais-je vouloir acheter cette console ?”.

Rendez-vous le 13 janvier pour voir si ils ont plus que du vent à vendre <img data-src=" />







Pazns a écrit :



Pire encore, les Tegra se sont montrées relativement singulières, donc une puce Tegra custom dans la Switch couplé à un écran 720p (donc sous-échantillonage puisque la puce est annoncée pouvant supporter du 1080p 60fps branchée sur le dock) couplée à de la batterie moderne aurait toutes les chances d’être une fracture avec ce qu’on a actuellement…





Une fracture, c’est possible. Une innovation utile, par contre, ça reste à prouver. J’ai un peu l’impression qu’on nous présente un crayon qui fait parasol : c’est original, ok, mais pourquoi le produit existe-t-il ? <img data-src=" />


Le 27/10/2016 à 08h 34

Normal, je suis pas chaud, j’arrive un jour trop tôt <img data-src=" />



Reste que cette console est totalement non impressionnante. Vu l’encombrement je la voie mal remplacer une vraie portable, et je n’ai pas si souvent que ça besoin d’une console aux toilettes (j’ai déjà un téléphone pour ça, merci…). La batterie risque aussi de bouffer, avec un écran si grand. La manette n’a pas l’air ergonomique. La ludothèque risque fort de souffrir de la dualité portable/fixe (développements plus compliqués ou specs plus limité).

J’ai vraiment l’impression d’une tentative de faire différent juste pour faire différent. Quelle est la valeur ajoutée pour les joueurs ?

Le 27/10/2016 à 07h 51

J’échoue à trouver le moindre intérêt à cette console <img data-src=" />

Le 20/10/2016 à 08h 02







marba a écrit :



Pourquoi se sentent ils obligé de vouloir encadrer ce que le péquin moyen fait des sous ?





Il y a souvent des raison à vouloir contrôler l’usage de l’argent. Sans dire que c’est forcément justifié ici, le fait de disposer de l’argent n’entraîne pas d’en disposer librement. Si une asso caritative paye des casino et des filles de joies avec ses fonds, les gens seraient en droit de râler <img data-src=" />

Dans ce cas précis, ce n’est qu’une proposition parmi d’autre, et à mon sens c’est pour aider à faire passer la pilule aux réfractaires. Donner une image d’aide sociale, et non pas de salaire/rémunération “gagné à ne rien faire”.





marba a écrit :



pourquoi les frais de bouche des sénateurs ou des pdg du cac40 ne sont pas payés en tickets resto également ?





Là… je n’ai pas d’explication. En fait, si, mais c’est trop déprimant pour que je la mentionne <img data-src=" />


Le 18/10/2016 à 10h 57

Trop gros, passera pas.

Le 05/10/2016 à 13h 06







tazvld a écrit :



Il me semble que dans diablo, il y a un système de craft. Rien qu’un truc qui permet par exemple de tenter d’améliorer le tiers des composants d’une armes (de manière aléatoire et pas forcément systématique avec possibilité de détérioration voir destruction de l’arme) ou de changer sa nature ça rendrait le jeu moins frustrant dans sa collecte d’arme.





Y’a quelques trucs avec le cube horadrim, effectivement. Ils ont rajouté une feature similaire dans le 2.5 (le grinder), et tu peux aussi sacrifier des items dans le DLC de Tiny Tina (l’autel de la tour du sorcier) pour obtenir du matos aléatoire ou de la thune. La thune peut à son tour être convertie en matos via les machines à sous (comme les vendeurs mystères de Diablo II).



Maintenant, pour recadrer, je contestait cette affirmation :





tazvld a écrit :



Déjà, borderland 2, même s’il reste un bon jeu dans l’ensemble, j’ai trouvé qu’il n’ont pas fait d’effort pour corriger les erreurs du premier.





Pour moi, les erreurs du premier, c’était une histoire médiocre et mal mise en scène, des décors peu intéressant et variés, les 5 niveaux “morts” au début du perso (juste un gain de vie, youpi), des équipements hors arme pas palpitants (trop peu de variation de shield/grenades, reliques sans intérêt), un rythme très haché entre quêtes secondaires et principales, un overleveling omniprésent (difficile de ne pas mettre le pied dans une zone dont on n’a pas 12 niveau de plus…), des dégâts élémentaires peu claires.

Tout ça est amélioré (sans pour autant être réglé, genre l’overleveling) dans le 2.

Le 2.5 par contre, n’a apporté aucune correction au concept du jeu, et ça c’est vu dans les critiques. Mais c’est une autre équipe, Gearbox n’y est pour rien.


Le 05/10/2016 à 09h 18







tazvld a écrit :



Le taux de loot est vraiment trop bas (…)





Je ne sais pas si tu as joué à Diablo II, mais 99% du loot était inutilisable. Des haches avec des bonus de dégâts de glace (youpi, ça va tellement servir à la sorcière qui peut pas la porter ou au barbare qui a zéro synergie avec les dégâts élémentaires <img data-src=" /> ), des bardiches avec de la portée lumineuse en plus, ou tout simplement en endgame n’importe quel matos sans slot de rune/gemme. C’est typique du genre, vraiment <img data-src=" />

Dans Grim Dawn, tu as même un filtre pour ne pas afficher les objets d’une qualité inférieure à un palier, tellement le loot de base ne sert à rien (même pas intéressant à vendre).

Après, le problème est d’autant plus prononcé dans BL2 que la gestion d’inventaire pue, empêchant de ramasser une grande quantité de matos -_-







tazvld a écrit :



Les Boss de la mission principale, effectivement, on a tendance a leur rouler dessus surtout si on fait avant les missions secondaire qui fait que l’on se retrouve 5 ou 6 niveau au dessus du boss. Quoique, Gluttonous Thresher (j’ai plus le nom en français, c’est le ver qui bouffe la balise) est particulièrement violent en montant la difficulté.





Le truc c’est qu’à niveau ils sont challenging et plutôt bien dosés, mais qu’on overlevel facilement. Un défaut du 2 que je reconnais bien volontier.

Le thresher, il se passe bien en jouant intelligemment avec les caisses à côté. Pas de safe spot, mais du hit and run. Un boss relativement intéressant en fait.







tazvld a écrit :



Sinon, tu prend les boss comme le Terramorph, j’ai rarement vu quelqu’un y aller à la loyal dessus, on se cale tous dans le safe spot et on tire.

Le problème en général, c’est qu’il n’y a pratiquement aucune stratégie qui te permettent d’esquiver les coup contre les boss (et en particulier contre les boss rush), et quand ceux ci te tue en 2 coups, ben la seul stratégie reste de te planquer dans le safe spot cracké.





Tous ces boss tombent sans cheese. Après, faut une équipe adaptée, au level et specée pour. Et plein d’essais <img data-src=" />

Dans tous les cas ça concerne quelques boss de DLC qui sont conçus pour être super dur (la quête liée à Terramorphous s’appelle “You. Will. Die.”, explicite…). On ne peut pas reprocher ça au jeu de base, ou il n’y a que Terramorphous (qui est considéré plus faible que Crawmerax dans le 1, montrant au minimum une légère amélioration), totalement en dehors du chemin. C’est comme juger FFVII sur les armes Ruby et Émeraude.







tazvld a écrit :



(diverses erreurs et bugs)



Autant, dans le 1, tous ces bugs, je les acceptais, c’était un petit jeu d’outsider, mais pour le 2, merde ! faites un effort !





Jamais rencontré ces problèmes dans le 2. J’y ai joué assez tardivement, peut-être que ça a été patché ? <img data-src=" />


Le 04/10/2016 à 08h 32

Le problème est de vendre des boîtes, donc de convaincre les gens qui n’ont pas encore joué. Et à ce niveau, Overwatch et Battleborn se ressemblent vachement quand même :/

Les deux sont des shoots à la première personne par équipe avec objectifs à remplir, avec une sélection de héros ayant chacun leur sélection de pouvoirs, dans un style graphique cartoon.

Je suis d’accord que le gameplay change derrière, mais pour l’acheteur lambda, c’est kif-kif, et l’un des jeux est estampillé Blizzard et pas l’autre.









tazvld a écrit :



Déjà, borderland 2, même s’il reste un bon jeu dans l’ensemble, j’ai trouvé qu’il n’ont pas fait d’effort pour corriger les erreurs du premier.[quote]

Je dirais le contraire. Même si il reste des défauts, ils ont bien travaillés sur les erreurs du 1. Système de dégâts élémentaires bien plus clair, beaucoup plus de customisation des éléments non-armes (grenades, boucliers, mods…), meilleure lissage de la difficulté, meilleure variété des décors et des ennemis, meilleure répartition des quêtes, meilleur humour. Y’a vraiment que la gestion de l’inventaire qui est moins bonne (c’est balo, pour le coup). Il reste des points d’amélioration (toujours pas assez de scaling si tu fait les quêtes secondaires et overlevel, toujours certains cluster de quêtes et zones creuses sans rien…), mais dans l’ensemble l’effort est bien présent.



[quote:5749690:tazvld]Le loot des armes étant totalement aléatoire, les bonnes armes qui nous sont adaptée sont trop rare qu’on a tendance au final à trainer sur plusieurs niveau une armes d’un niveau inférieur.





Comme dans tout hack’n’slash. Ça permet, en passant, de looter du matos pour ses alts, ce qu’un loot spécialisé ne permettrait pas. Rien de particulier de ce côté dans BL2.





tazvld a écrit :



Il y a aussi une mauvaise maîtrise de la difficulté. Certain boss se font rouler dessus, alors que d’autre sont horriblement difficile que pour les battre, j’ai eu l’impression de faire de l’exploite. Et je ne parle même pas du niveau New Game++, autant dire que devoir vider un chargeur sur un trashmob pour le tuer là où lui te défonce en 3 balles, c’est aberrant (et là, les boss, certain comme le Brutassausaure, le final boss du DLC “Le Carnage sanglant de Mr. Torgue”, à 4, on s’est fait démonter au point que l’on avait même plus d’argent pour acheter des munitions, notre durée de vie dans l’arène était d’environs 1 à 2s).





Comme on dit sur internet, “Git gud” <img data-src=" />

Plus sérieusement, les pics de difficulté restent relativement rare avec un build pas trop original (urg, hellborn Krieg solo contre Flint ou les crystallisks, plus jamais <img data-src=" /> ). Je ne vois pas trop à quel boss tu fais référence.

Les boss de raid sont spécial en cela qu’ils sont censé êtres super dur (ce qui n’empêche pas des gens de les farmer solo, ceci dit…). Ils sont là pour que les gens puissent justifier leur farm pour obtenir ze arme ultime, rien de plus.





tazvld a écrit :



Il y a aussi les problèmes de montage dans les cinématiques (dans le 1, l’apparition du boss final est totalement gâche par ça, on voit la personne se faire transpercer et se faire dévorer, on entend bien un cris, mais on entend aussi la suite de son dialogue comme si de rien n’était), les glichs de collisions…





Jamais rencontré ces problèmes dans le 2, je dois dire <img data-src=" />

Dans le 1… le boss final était tout pourrave de toute façon, ils avaient merdé leur fin dans les grandes largeur.







stuart a écrit :



gearbox, c;est adieux depuis borderland 2.5





Borderlands 2.5, ce n’est pas Gearbox, c’est 2K Australia, donc n’hésite pas <img data-src=" />


Le 05/10/2016 à 09h 20

Edit : méga-grilled, à supprimer.

Le 04/10/2016 à 08h 58







dematbreizh a écrit :



merci de relire son com…



(il caricature, certes, mais il n’est pas dans l’erreur sur le principe: concurrence directe par un unique éditeur.





Framasoft n’a pas pour but de concurrencer les autres éditeur, mais de faire connaître la concurrence. Ce qu’ils centralisent, c’est une liste d’alternative, et d’exemple de mise en œuvre des dites alternatives. Tu peux réutiliser tout le contenu mis en avant par Framasoft sans jamais utiliser le moindre service Framasoft. Essaie d’utiliser Gmail sans rien utiliser de chez Google, tu va avoir plus de mal <img data-src=" />







dematbreizh a écrit :



Pour revenir sur un autre com “j’espère qu’ils vont réussir!” : réussir quoi?)





Réussir deux choses :




  • décentraliser le web. Quand très peu d’acteurs contrôle 95% de ce que font les gens, ont tombe dans le monopole et on sort de la concurrence. Ce n’est pas très sain pour les utilisateurs.

  • diminuer la part de données et de services délégués aux multinationales. Quand tous les mails, documents, images et autres éléments générés par les gens se retrouvent stockés et manipulés par Google ou Facebook, ça créé des risques d’ingérence et d’intrusion dans la vie privée. Framasoft fait connaître des alternatives simple d’utilisation et qui peuvent êtres installées par les utilisateurs (donc sans contrôle des grands acteurs), ouvrant des canaux plus fiables et maîtrisés.


Le 04/10/2016 à 07h 57







CryoGen a écrit :



Ce n’est pas si compliqué : une chaine de caractère qui représente la “constitution” du perso et voilà. Le code est stocké dans la puce. Du moment que les éléments qui constituent le perso sont dans la base de donnée, la construction du perso est assurée. C’est pas beaucoup plus dur que de maintenir une centaine de perso existants.





Perso je ne comprend pas ça comme “mais comment vont-ils faire pour stocker les infos des persos”, question tout à fait triviale comme tu le mentionnes. Je pense plutôt que c’est “comment vont-ils s’assurer de la compatibilité gameplay de tous ces persos dans les extensions futures” ? Ne risque-t-on pas d’avoir des persos trop petits ? Trop forts ou faible ? La reconstruction “à la volée” supportera-t-elle une base de donnée certainement de plus en plus grande d’éléments de customisation ?

Tout ça est gérable… si c’est bien anticipé. Ce qui est rarement bien fait. Pour moi, le questionnement est valide.

Il n’y a qu’à voir le passage de Mass Effect 1 à 2, ou les devs avaient prévu à la conception du 1 d’importer les données dans le 2. Et pour juste une poignée de choix à transférer, il y avait de la perte notable.


Le 04/10/2016 à 07h 47







Northernlights a écrit :



“ la directive de 2009 sur la Protection juridique des programmes d’ordinateur nous dit que la vente d’un programme par l’éditeur « épuise le droit de distribution de cette copie ». ”



donc les constructeurs de pc ont pas le droit de faire de vente liée ? :)





Non, l’épuisement du droit de distribution ne veux pas dire que le revendeur n’a plus le droit de distribuer. Ça veut dire que l’éditeur original (typiquement Microsoft) n’a plus sont mot à dire sur la distribution de cette copie par le revendeur (supermarchés, FNAC & Co).


Le 03/10/2016 à 13h 18







Ingénieur informaticien a écrit :



Et Brother a l’air d’être un peu moins requin que les autres, en laser comme en jet d’encre.





Alors je crains les autres. Mon ancienne Brother, ses cartouches tenaient un mois, utilisées ou non. Après, c’était “cartouche vide” (WTF j’ai imprimé une feuille avec cette cartouche <img data-src=" />), et du coup le scanner intégré ne marchait plus. Logique.


Le 29/09/2016 à 15h 50

Merci pour tes éclaircissements <img data-src=" />

Le 29/09/2016 à 13h 24

Disclaimer : je n’ai ni suivi le développement, ni joué au jeu. Je me base sur ce que j’en ai lu (dont le post reddit), dont je n’ai pas vu de démenti de qui que ce soit. J’accepte toute source contradictoire crédible ;)



Je répondais à ce passage précis :







Pictou a écrit :



J’ai suivi le jeu du début à la fin, j’ai vu toutes les vidéos concernant NMS. Comment expliques-tu que j’ai eu exactement ce à quoi je m’attendais?





Tu as eu exactement ce que à quoi tu t’attendais en suivant les propos et vidéos des devs, malgré le fait que ceux si on manifestement énormément menti sur le contenu. C’est ça que je ne comprend pas <img data-src=" />



Et pourquoi est-ce que NMS se prend autant de flak ? Deux raisons.

Tout d’abord, parce qu’il n’est pas juste “moins bien que promis”. Il n’est tout simplement pas le jeu promis. Le jeu en lui même n’est pas particulièrement mauvais, mais ses features sont loin, très loin de celle annoncées par les dev (sans même parler de la presse). D’autres jeux font régulièrement l’objet de pub mensongère (typiquement sur les graphismes, vive l’E3), mais rarement on a vu un jeu dont les features finales sont si éloignées de celles annoncées un mois avant sa sortie.

Deuxième raison, la pub. Tu as en ce moment même le jeu Warhammer 40k: Eternal Crusade qui se fait démolir pour les mêmes raisons. Mais c’était un jeu dont comparativement peu de gens ont entendu parler. Du coup, le lancement en mode flop total reste relativement bas profile. Les détracteurs sont tout aussi virulent, mais aussi bien moins nombreux et écoutés.

Les promesses non tenues on tué les ventes de NMS, mais c’est sa pub préliminaire qui a rendu les obsèques publiques.


Le 29/09/2016 à 09h 59

Tu as une explication pour ça, du coup ?









Mustard27 a écrit :



Bah moi j’ai adoré ce jeu, et meme sa fin. Mais il faut la comprendre pour l’apprécier.





Le problème n’est pas tant le sens de la fin (enfin, pas uniquement, y’avait quand même de bonnes incohérences), que la corrélation avec les promesses. Comme dans NMS.

Avant la sortie, ils annonçaient que “pas deux joueurs n’auraient la même fin”, qu’elle serait “adaptée à la manière dont tu à joué aux trois jeux”, etc. Au final, tu as juste trois choix génériques, avec juste un pallier pour les débloquer tous…

#Tristesse


Le 29/09/2016 à 09h 40







DahoodG4 a écrit :



Il faut relativiser mon cher, seul un sith parle dans l’absolu.





Kerviel n’ayant eu aucune amende (uniquement des dommages et intérêts), ton intervention était au mieux hors sujet <img data-src=" />



Pour ceux qui ne connaissent pas la différence :




  • les dommages et intérêts sont issus d’une procédure civile (quelqu’un attaque quelqu’un d’autre en justice) et ont pour but de dédommager des pertes. La somme est calculée selon les dégâts occasionnés et la responsabilité du condamné, et revient à la personne lésée ;

  • les amendes sont issues d’une procédure pénale (l’État poursuit quelqu’un pour un crime, délit…) et ont pour but de dissuader et de punir les actes illégaux. La somme est encadrée, voir prédéterminée par la loi, et revient toujours à l’état ;

    Si quelqu’un vous cambriole, il y aura procédure pénale (le vol est illégal) et civile (pour se faire rembourser du vol et du remplacement des serrures/fenêtres) en parallèle, mais en aucun cas vous ne pourrez demander d’amende (ou n’importe quelle punition, comme la prison ou le retrait de permis de conduire) à quelqu’un.



    La Société Générale a réclamée 4,9 milliards d’euros à Kerviel, et les juges ont déterminés que Kerviel était bien responsable de cette perte monétaire et lui ont intimé de rembourser. En cassation, cette somme a été annulée.

    Parallèlement, l’État à poursuivit Kerviel et l’a condamné à 5 ans de prison (le maximum) dont deux avec sursis, mais à aucune amende (contre un maximal possible de 375 000€). Probablement en constatant que de toute façon il était ruiné (aussi bien financièrement qu’en terme de carrière).