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localjuris

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60 commentaires

Le 24/09/2022 à 09h 00

Je me demande quel est l’impact écologique d’un tel niveau de collecte par la consommation d’énergie qu’elle induit, surtout si chaque grand pays s’y met. Les serveurs sont déjà de gros consommateurs (de mémoire actuellement de l’ordre de 10 % de la consommation mondiale d’électricité, sachant que personne en sait réellement l’évaluer). Le prix de la surveillance ajouté à celle du développement du streaming pourrait bien aussi à terme conduire les FAI à facturer l’accès à la bande passante consommée.

Le 02/09/2022 à 11h 53

Ne pas oublier que regarder la télévision par l’antenne lorsque c’est possible (et pour l’enregistrement on peut passer par un enregistreur TNT, d’ailleurs je suis très satisfait du mien en double tuner) est l’attitude la plus écologique et respectueuse de l’intérêt collectif vu les consommations d’energie induites par les services de vidéo passant par des serveurs Internet. surtout en cette période de disette annoncée de production électrique,

Le 02/09/2022 à 11h 07

Ce n’est pas nouveau mais les autorités publiques commencent à se réveiller sur leurs conséquences juridiques.
Déja la Cour de justice de l’Union européenne, dans son arrêt du 16 juillet 2020 “Schrems II” avait déjà jugé que l’utilisation de cloud américain, donc y compris en sous-traitance, n’était pas conforme avec règlement général sur la protection des données (RGPD) de l’UE.
Un dossier CNIL avait été produit sur leur site analysant les effets de cet arrêt https://www.cnil.fr/fr/invalidation-du-privacy-shield-les-suites-de-larret-de-la-cjue



Je juge allemand vient d’en tirer les conséquences dans un arrêt du 13 juillet 2022 https://gdprhub.eu/index.php?title=VK_Baden-Württemberg_-_1_VK_23/22



Résumé traduit :
“ La Chambre des marchés publics du Bade-Wurtemberg a jugé qu’une entreprise devait être exclue d’une procédure de passation de marchés publics, car son offre violait le RGPD. En effet, le respect de la législation sur la protection des données était une exigence de l’appel d’offres.



La Chambre a estimé que l’offre contenait un transfert illégal de données client vers un pays tiers (leur société mère située aux États-Unis), car elle pouvait être consultée par la société mère.”

Le 13/06/2022 à 16h 54

C’est le rappel d’un principe simple, mais hélas trop souvent méprisé dans nos sociétés occidentales trop organisées politiquement sur le cycle court des élections : gouverner c’est prévoir. Quand le politique oriente des choix technologiques, il se devrait d’organiser les filières qui en découleront sous peine de perte de souveraineté (ne pas faire comme la politique française en matière de développement du solaire photovoltaïque qui avait sacrifié sa propre filière nationale de production).



Quand aux mines, en France le problème est le droit minier qui spolie les propriétaires terriens qui n’ont donc aucun intérêt financier à développer ce type d’activités.

Le 04/04/2022 à 16h 03

Je voulais dire sans alimentation sur le réseau électrique pour le RCT.
De mémoire les premières centrales manuelles étaient sur simples batteries, mais quoi qu’il en soit prévoir une alimentation par un générateur essence / fuel dans chaque centrale téléphonique que je qualifierais de “stratégique” ne poserais pas de problème. C’est d’ailleurs la solution de secours d’alimentation pour les centrale électriques nucléaires.
Mon soucis est que je crains l’absence de réflexion en terme de souveraineté stratégique

Le 04/04/2022 à 15h 09

Le réseau cuivre est le seul qui permet de la téléphonie sans électricité et quasiment sans électronique.
A t’on pensé à la capacité de résilience de notre société en cas black-out électrique, notamment lors de conflits où il y aurait une attaque du réseau électrique ou des actions de sabotage sur le réseau du Net, voire en cas d’embargo de longue durée sur tous les composants électroniques.
Ne devrait-on pas par simple prudence maintenir un réseau minimum notamment entre tous les services publics (mairies, hôpitaux, services d’urgence, etc.) ?
Vu l’absence de culture de la gestion des risques par nos gouvernements successifs, cela m’interpelle.
C’est comme une assurance, cela coûte mais quand le pépin tombe on n’est bien content de l’avoir

Le 08/03/2022 à 11h 26

Tout à fait d’accord et j’ajoute également le pilleurs des ressources de son peuple à son profit et à celui de ces oligarque. Après détenir par lui et ses amis les avoirs dans le gaz et le pétrole russe, ce qu’il vise en Ukraine est de faire de même pour la production de matière premières agricoles notamment le blé ce pays en étant le principal producteur exportateur (après Gazprom, on aura Bléprom) de quoi mettre à genou stratégiquement les autres nations.

Le 28/02/2022 à 19h 20

Drôle de société où tout ce qui touche au sexe doit être hyper sécurisé pour un accès aux seuls adultes quitte à mettre en cause la protection des données personnelles, mais où on laisse le libre accès à toutes les informations concernant des actes du guerre avec leurs conséquences macabres.

Le 18/02/2022 à 10h 38

Pourquoi ne pas cité la référence du texte dans l’article ? Il s’agit du décret n° 2022-190 du 17 février 2022 relatif aux conditions d’utilisation des termes « reconditionné » et « produit reconditionné » - JORF n°0041 du 18 février 2022

Le 14/02/2022 à 12h 31

Hélas l’Etat s’est déshabillé de ses ingénieurs issus des grands corps de l’État qui ont presque tous fui vers le privé ou vers les collectivités territoriales (décentralisation qui permet une meilleure attractivité en terme d’évolution de carrière et d’implication personnelle). Incapable de poser correctement un cadre contractuel ni même d’en assurer le contrôle, l’Etat gratte-papier qui a perdu sa matière grise opérationnelle a cru que le partenariat public / privé serait la solution. Mais l’expertise étant au bénéfice du secteur privé, l’Etat et donc les contribuables n’ont été que les dindons de la farce.

Le 15/01/2022 à 08h 43

Ce n’est pas la première fois. Juriste habitué à compiler et mettre à jour des textes que je mettais en ligne avant même l’existence de Legifrance, j’ai déjà au moins une dizaine de fois signalé des erreurs à Legifrance depuis son existence. Le problème est les textes de la première génération de leur mise en ligne, où apparemment l’actuel le prestataire qui gère Legifrance n’aurait pas la capacité de pouvoir les corriger, selon l’un des réponses qu’il m’avait faite.

Le 11/01/2022 à 05h 39

Tout cela me laisse très dubitatif. Déjà il existe pléthore de moyens de contourner ce type d’interdiction donc à défaut de régulation mondiale, la gesticulation française me paraît bien vaine.
Ensuite sur l’impact psychologique, il ne faut pas prendre les adolescents pour des imbéciles et comme pour la plupart des jeux vidéo, dessins animés et production cinématographique de type Marvel, ils ont bien compris le caractère parodique de la pornographie et les parents et l’école pourraient aussi jouer de leur rôle dans cette approche de mise en garde et de contextualisation. Des adolescents mal dans leur peau, notamment pour ceux qui ont des problèmes d’identité de genre ou de positionnement de leur sexualité, peuvent aussi trouver rassurant de constater que la sexualité n’est pas réservée à des êtres physiquement parfaits dans une approche normative.
En outre, le prétexte que cette production rendrait les mâles plus violents et dominateurs n’est pas prouvé. Le machisme n’a pas attendu la pornographie pour exister et je me rappelle avoir lu il y a quelques années une étude sur le fait que le porno de type BDSM était très majoritairement consulté par un public féminin (je ne sais d’ailleurs pas comment ils ont pu à l’époque tirer ce type de statistique).
Personnellement je suis beaucoup inquiet des impacts sur la jeunesse provenant de l’information réelle (guerre, meurtre, accidents, violence conjugale, répression contre les minorités, terrorisme, régime autoritaire réprimant sa population), relayée ordinairement par les chaînes de télévision ou plus encore sur des sites Internet violents de prise de vidéo. Là les enfants savent que c’est la terrible vérité angoissante. Je pense qu’on se trompe de combat.

Le 14/10/2021 à 08h 23

Sur “ Il permettra de voir des choses totalement inaccessibles dans le passé”. Effectivement dans le double sens du terme : dans notre passé technologique et dans le passé de l’univers

Le 12/09/2021 à 10h 26

Proportionnalité, soit, mais on est dans une drôle de société. La principale violence psychologique faites aux enfant est plutôt celle des informations (terrorisme, attentats, meurtres, etc) renforcées par des chaines TV désormais spécialisées qui diffusent 24 h sur 24 h ce type d’informations. Voir la mort et l’insécurité s’étaler à flot continu c’est quand même nettement plus traumatisant qu’un film porno et bizarrement cela n’inquiète aucun représentant des droits des enfants. Comme pour l’usage de la télévision, les parents ont un rôle éducatif à jouer et le rôle de l’Etat n’est pas de s’occuper de tout, surtout qu’en général il le fait mal.

Le 03/05/2021 à 09h 51

L’autre sujet important est de savoir qui effectue le “contrôle humain”. Les conventions internationales devraient exiger que cette personne soit un militaire (donc formée au combat avec une capacité de discernement et sous les ordres d’une hiérarchie de l’armée) et non pas de simples civils qui commettraient alors des meurtres. C’est actuellement le cas en France, mais il y a de gros doutes dans d’autres armées notamment lors de l’utilisation de drones qu’on peut supposer être pilotés en toute discrétion par des agences civiles.

Le 28/04/2021 à 10h 34

La loi est insuffisante. Elle devrait être modifié en conférant au procureur de la République un rôle de représentant des parties civiles quant l’intérêt général est suffisamment caractérisé. C’est le même problème que pour les élus qui ont piqué dans la caisse pour leur partis politique. Ainsi dans l’affaire des lycées d’Ile de France dans les années 1990 où des sommes colossales ont été détournées, jamais le contribuable n’a été indemnisé, car les élus de la région Ile de France ayant tous palpés pour leur partis, ils n’ont engagé aucune action au nom de la Région pour faire rembourser les partis politiques.

Le 14/04/2021 à 09h 47


(reply:1867291:ungars) Il suffit qu’un malveillant connaisse votre adresse mail (et quand vous êtes pro elle est largement diffusée) fasse quelques tentative échouées pour que systématiquement le mot de passe soit invalidité. Il faut en recréer trois nouveaux successifs pour retrouver l’ancien et de plus le lien est adressé sur votre mail sfr d’abonnement et pas sur un possible mail alternatif (cherchez l’erreur !) Donc un malveillant (ou moteur de pirate) peut s’amuser à faire cela tous les jours.


Le 12/04/2021 à 09h 38

Franchement, moi qui suit un vieux client SFR en BOX, on croirait que cette boite fait tout pour perdre ses clients. Offre commerciale mal positionnée depuis des années, backoffice dégueulasse. Impossible de consulter ma boîte mail sur mon compte car bloque mon mot de passe toutes les semaines (il faudrait que je le réinitialise tout le temps et donc sur tous mes PC, tablettes, phones) et bien entendu hotline ne pouvant rien y faire. En prenant un abonnement BOX sur une autre maison, SFR proposait le pire débit en VDSL des autres opérateurs (18 contre 60 Mips) car se branchait sur un hub plus éloigné. J’ai donc été chez la concurrence (et depuis passé en fibre). En boutique, on sent que les salariés (si tant est qu’ils le soit de SFR), sont toujours en souffrance. Bref un management qui malheureusement est nuisible à ses salariés.

Le 01/04/2021 à 10h 11

J’ai été directeur financier et commande publique d’une agglomération régionale. Les élus avaient pris l’habitude sur ma suggestion pour les notes de restauration, d’indiquer la liste des participants et l’objet du repas dans le but de satisfaire à un éventuel contrôle de la chambre régionale des comptes et de s’assurer du bon usage des deniers publics.
La ville et l’agglomération a basculé au parti socialiste en 2001. La premier chose qu’a fait le nouveau directeur général nommé par le nouveau président et de son obédience politique a été de supprimer toute mention de ce genre. On imagine pourquoi : les gueuletons politiques aux frais du contribuable. D’une manière générale les frais de fêtes et cérémonies ont explosés (repas, alcools et j’en passe). Moi qui est pourtant une fibre très sociale (ayant été aussi responsable syndicale), je n’ai pu supporter ce type de fonctionnement et je suis parti.

Le 25/03/2021 à 17h 22

Pour les abonnements téléphoniques ou à Internet le vrai sujet de la régulation de la publicité serait par exemple d’interdire que le prix d’appel (type de première année) soit en caractères plus grand ou d’une autre couleur de police que le prix hors la période de promotion.
Pour le reste du sujet, une autre régulation utile serait d’obliger à faire figurer un indice de réparabilité (exemple on trouve de moins moins de smartphone à batterie pouvant être changée facilement) ou de notion d’obsolescence logiciels (comme les constructeurs bridant les versions Android qu’ils ne mettent plus à jour sans que l’on connaisse à l’achat cette durée après laquelle l’outil devient obsolète alors que techniquement il serait encore utilisable).

Le 08/02/2021 à 05h 14

Le juriste que je suis apprécie l’excellente qualité de l’analyse et la rigueur du raisonnement.
A noter une phrase à corriger car incompréhensible : “Nous laissons aux ayants droit la responsabilité soutiennent que le monde du reconditionné n’est pas vert. “

Le 02/02/2021 à 06h 15

Parfois quand je suis de bonne humeur je me permets des fantaisies, mais cela peut réserver des surprises. Je rappelle un appel du type commençant par un silence, alors je me mets à japper wouaf, wouaf, et haletant comme Alain Chabat dans Didier. C’était en fait le laboratoire médical qui voulait me confirmer un rendez-vous, mais cela a bien fait rire la secrétaire du labo.
Sinon, merci pour les références de matériel de filtrage

Le 17/12/2020 à 20h 27

Et pourtant, quant à passer à la casserole, si on leur demandait leur avis, beaucoup préféreraient le procédé non culinaire.

Le 23/10/2020 à 10h 38

Le problème des concours administratifs à forte spécialité et qu’on considère comme une option ce qui devrait être le principal. Par ailleurs au sujet des fautes d’orthographes, ce type de concours devraient être organisé sur ordinateur donc avec correcteur comme dans la vraie vie professionnelle. Avant l’informatisation, c’était le rôle de la secrétaire de les vérifier, maintenant au correcteur.

Le 12/01/2020 à 22h 16

Pour ma part j’estime que se pose de plus en plus des questions de souveraineté sur la sécurité des échanges électroniques de type courriels.



 Est-il raisonnable de laisser au secteur privé abreuvé de fonds publics un tel projet, de plus je suppose

sans réelle mise en concurrence (ce qui d’ailleurs pose de vraies question juridiques).



Une adresse de courriel devrait être un élément d’identité et géré par un service public dépendant de ministère de la Défense (ou de l’Intérieur) garantissant l’anonymat et avec des protections contre les violations comme le phishing, placé sous l’égide de la CNIL, sachant qu’on obligera personne à l’utiliser

car chacun sera libre  d’aller dans le secteur privé s’il le souhaite



Il faudrait réinventer l’équivalent de l’ancien service public postal et le secret des correspondances qui va avec.



A noter que si ce service était gratuit, l’Europe n’aurait rien à dire sur le respect des principes d’ouverture à la concurrence qui ne s’applique que sur le secteur marchand.

Le 28/11/2019 à 10h 44

Je ne vois pas en quoi des machines à voter constituent un progrès.



Le comptage manuel des voix c’est le contrôle possible par tous les citoyens quelque soit leur niveau d’éducation et sans suspicion possible de complot.



Participer au dépouillement est un acte citoyen et un moment de démocratie. Cela fait maintenant 42 ans que j’apporte ma contribution à quasiment tous les scrutins et c’est un apport personnel bien modeste au regard de ce que j’estime devoir à la démocratie. Etre citoyen c’est un échange de droits et d’obligations.



Eh oui la démocratie nécessite du temps, mais comme disait Winston Churchill «La démocratie est le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres.»

Le 28/11/2019 à 10h 19







le hollandais volant a écrit :



….



Ceci montre surtout que le filtrage a priori est techniquement impossible à moins d’utiliser un système de reconnaissance des fichiers non basé sur des hash, mais plutôt sur une IA, ce dont on est encore loin ! ..



De plus, si on incite à ce type de progrès technique, on voit très bien ce que pourront en faire les pays totalitaires pour museler la liberté d’expression. Il faut toujours rester très vigilent en la matière, c’est la fable des langues d’Ésope : la pire et la meilleure des chose selon l’usage qu’on en fait


Le 27/09/2019 à 09h 07

Décision stupide puisque ces chaînes avaient leur spectateurs (la série Docteur Who, un regard intéressant sur les DOM TOM), mais surtout ce transfert sur le Net est contraires aux objectifs des accords de Paris sur le Climat. J’invite nos décideur à lire  : “Quels sont les impacts du streaming vidéo ? avec l’ADEME - 23/01/2018 - Energie/environnementhttps://www.inc-conso.fr/content/quels-sont-les-impacts-du-streaming-video-avec-…

et le rapport LEAN ICThttps://theshiftproject.org/wp-content/uploads/2018/11/Rapport-final-v8-WEB.pdf

Visionner en streaming une vidéo haute

définition sur simple smartphone revient à utiliser à pleine puissance un radiateur électrique de 1 .000 watts

En outre c’est encore une fracture sociale puisque le haut débit sur internet n’est pas accessible à tous notamment en DOM TOM, alors que ce sont les spectateurs les plus intéressés par la chaîne France Ô

Le 04/05/2019 à 09h 15

Évidemment que je fais cela lorsque c’est possible, mais moi qui est souvent changé de région et donc ayant peu de temps pour aller sur place, que de temps perdu pour localiser un bien. Les agents immobiliers font tout pour ne pas révéler l’emplacement exact car ils préféreront te faire découvrir le bien sur place, tant ils ont peur qu’on prenne directement contact avec le propriétaire ou un concurrent.

Si je prends l’exemple de ma précédente maison, le coté de la rue où elle était était câblée depuis longtemps car il y avait deux immeubles à coté, mais ma maison entre les deux avait été oublié du cablo-opérateur (pas assez rentable je suppose). Elle était entre deux DSLAM et j’avais un numéro perso et un numéro de travail, relié chacun à deux DSLAM différent avec des qualités de débit différents. Donc une recherche sur les voisins aurait été trompeur



 Les gens sont de moins en moins sur des annuaires et les recherches de débit à l’adresse jusqu’alors donnait pas mal d’échec. Le temps que l’on perd c’est inouï. Ma propre maison (un joli manoir normand) est dans un hameau qui jusqu’à cette année n’avait pas de numérotation de voie et une recherche par numéro de téléphone (si tant est que je la diffuse) ne donne aucun renseignement et pour rechercher les voisins, pas évident et aucun ne sont cartographié dans les bases d’ariase. C’est pour cela que je mettrais mon débit ans l’annonce lorsque je la vendrais.

Le 30/04/2019 à 16h 45

Quant on achète un bien immobilier ou qu’on le loue, il y a plein de diagnostic s obligatoires mais rien sur le débit Internet. Lorsque j’interroge un agent immobilier sur “quel est le débit internet” ou quand ils ne savent pas, quel est le dslam et la distance s’il n’y a pas la fibre, j’ai vraiment l’impression de dire des gros mots, alors  que pour moi c’est un élément essentiel de choix.

Certes, maintenant on peut trouver des cartographies de débit sur ariase.com, mais cela reste encore très théorique et ma maison actuelle n’y figure même pas (et j’ai bien l’adsl puisque je vous écris)

Donc je suis pleinement favorable à une transparence sur le sujet, y compris en réception téléphonique, mais bien évidemment en assurant le respect de la vie privée de chacun.

Le 08/02/2019 à 09h 29

Ce n’est pas un problème d’élite ou de politique, mais uniquement de corporatisme. L’Education nationale a toujours eu pour crédo de ne jamais devoir se justifier et à ne jamais avoir des compte à rendre y compris en terme d’efficacité…. On voit d’ailleurs ce que cela donne en terme de pertinence économique (des flots de diplômés chômeurs) et du nombre de personnes qu’elle a pu casser dans son système et qui forment le lit de l’exclusion et de la révolte. Lamentable.

Le 16/11/2018 à 08h 53

Dans ma campagne, Bouygues a mis des antennes qui me permettent du 20 mps en réception alors que free n’a même plus le débit suffisant pour assurer une communication sur le net.

 

Le 28/07/2018 à 11h 54

Les éléments vraiment insupportables et surtout lorsqu’on a des licences non professionnelles :





  • La mise à jour traitresse qui se fait sans préavis  et voir son PC s’écrouler en bande passante (tout le monde n’est pas en VSDL ou fibre), d’où la nécessité du « ctrl alt sup »,  affichage du trafic, et arrêt successif des service Windows de mise à jour.



  • Leur empilement qu’on arrive pas à expurger sur des tablettes avec des SSD limité qui me rappelle “la métamorphose de Kafka”. Un  linux ne fait jamais cela.



  • L’aspect de plus en plus mercantile (le jeux petits gratuits  deviennent payants sinon on se tape à chaque fois une pub d’un minute). J’ai payé mon OS avec les jeux et on ne m’a pas remboursé.



  • Les raccourcis qui à chaque fois changent de place sur les écrans, l’ergonomie qui se dégrade sur le produits Microsoft (mon vieux Word était mieux pensé, le nouveau Skype est imbuvable, etc …), mon classic shell qu’il

    vire à chaque fois



    C’est pour cela que j’utilise de moins en moins Windows et qu’à part mes PC de travail (et pour ne pas repayer des licences et certains pilotes de matériel difficiles à retrouver sous linux), je passe le reste sous linux, et la aussi Microsoft fait tout avec les constructeurs pour que le changement d’OS soit difficile.



    Sans compter toute l’ingérence dans les affaires et dans votre intimité par les USA via l’ensemble des services informatique USA (https://www.guerrefantome.com/ … très édifiants)



    Bref, il y en a vraiment mare et je pense que je vais bientôt me sevrer complètement de Microsoft et ses acolytes.

Le 23/03/2018 à 12h 18

Mais quand est-ce qu’on finira de laisser l’élite de haute administration parisienne se permettre de décider du détricotage du service public de nos territoires au nom d’un pseudo  principe de modernité.



 Que l’on s’occupe déjà de mailler correctement notre pays de réseaux câbles et 4 G (et bientôt 5 g) et ensuite on verra s’il est utile de modifier hertzien classique.



En outre ce n’est pas le rôle d’un fonctionnaire de prendre le pas sur le politique. Que chacun reste à sa place et la démocratie fonctionnera mieux.



J’ajoute que M.Sébastien Soriano ayant été le directeur du cabinet ministérielle de Fleur Pellerin, on en peut pas dire que l’action ministérielle de ce cabinet ait frappé les esprits de l’époque par son efficacité.

Le 25/11/2017 à 10h 27

Il est vrai que l’anonymisation n’est pas chose simple, mais cette problématique existe déjà sur les décisions de justice actuellement publiée sur Légifrance ou juricaf (essentiellement des décisions de justice d’appel ou

de cassation).



 Moi-même qui suis consultant et auteur juridique je suis intervenu plusieurs fois auprès de Légifrance (qui renvoie alors aux cours de justice) pour faire corriger des anonymisations mal réalisées, le cas fréquent étant lorsque le plaignant avait un nom propre correspondant à un nom de métier (M. Boulanger) ou lorsque n’apparait pas une raison sociale non nominative, le cas général pour des entrepreneurs indépendants cités par leur nom.



 En outre pour les décision pénales frappant des élus, il est très souvent facile d’identifier les parties du fait que leur mandat est souvent cité (maire de la commune de Tartampion) puisqu’il participe à la motivation du jugement (c’est notamment en fonction de la responsabilité qui découle de son mandat que l’élu est condamné). Quelle est alors la politique d’anonymisation à adopter ?



Enfin, on a actuellement une pratique divergente concernant les désignations des avocats représentant les parties. Certaines cours les anonymisent et pas d’autres. A titre personnel je préfère la non anonymisation puisque la qualité des motifs développés est révélateur de la qualité du travail de l’avocat et donc que cela permet d’identifier la qualité du service rendu. La plupart des avocats (surtout les bons) considèrent que leur

identification dans les décisions de justice publiées sur le net est leur meilleur source de publicité. La bonne solution me parait être de laisser le choix au cabinet d’apparaître ou non, ce qui suppose aussi une certaine

lourdeur administrative.



Sur cette problématique qui n’est pas nouvelle, lire cette contribution extraite du rapport de l’année 2000 de la Cour de Cassation :



https://www.courdecassation.fr/publications_26/rapport_annuel_36/rapport_2000_98…

Le 06/02/2017 à 10h 58

Pour réponde à la remarque ci-dessous, l’Europe laisse les États membres totalement libre de maintenir les infrastructures de réseau dans le giron du secteur public (exemple pour ERDF)

Ce sont les opérateurs qui utilisent le réseau pour fournir des services payants aux usagers que l’Europe oblige à mettre en concurrence ces opérateurs selon des règles de transparence.

De plus, si l’Etat décidait que ce service serait un service public gratuit, il serait libre de le faire.







Vachalay a écrit :



 

Totalement d’accord avec toi ! L’état devrait être détenteur des infrastructures stratégiques (eau, gaz, électricité, cuivre, fibre, autoroute, …).

Le problème est que ce n’est pas possible et ce à cause de plusieurs facteurs : l’Europe et surtout le manque de budget.

 



Le 06/11/2016 à 16h 38

En général, les jugements de première instance ne sont pas publiés sur les sites officiels, les diffusions en accès internet gratuit nécessitant pour les administrations de les rendre anonymes et de surcroît en pénal. Par contre, on peut les obtenir en payant, si tant est que les références soient connues.

Le 06/11/2016 à 10h 34

Si j’avais été l’avocat de ce jeune, j’aurais simplement défendu qu’il voulait écrire “deche 21”, car comme beaucoup de jeunes, hélas, il est dans la dèche.

Il n’a fait qu’une faute d’orthographe, comme beaucoup d’autres jeunes et depuis quand une telle faute est-elle susceptible de vous faire condamner pénalement. Cela ne mérite qu’une correction … du mot.

Le 01/10/2016 à 10h 36

Merci, la 4.3.0 disponible passe effectivement bien, ouf. Mes autres observations restent valables, je comprends de moins en moins la politique Microsoft.

Le 01/10/2016 à 07h 37

ClassicShell qui permettait de retrouver l’ergonomie des windows 7  a été désinstallé et Windows refuse une résinstallation comme étant non compatible.

Je pense que lorsque j’aurai un peu de temps, je vais passer toutes mes installations en linux Mint, car la politique de Microsoft à ne plus laisser de choix aux utilisateurs, à imposer des téléchargements à la hussarde de leur mise à jour, avec une politique de plus agressive et envahissante sur leur produits commerciaux, et des politiques organisées d’ostracisme des développeurs qui n’ont pas leur agrément, une organisation de l’obsolescence des matériels (linux fonctionne très bien sur du vieux matos, pas le cas de windows), me deviennent insupportables.

Je n’achète pas un OS pour qu’il me posent des telles contraintes.

Dominique Fausser

Le 10/08/2016 à 09h 45

Ils commettent une erreur de procédure



Si l'attaque est basée comme le dit l'article sur « Présentés comme « gratuits » dans l’accord, il apparaît que le  prix de ces produits et services a en réalité été dissimulé afin  d'échapper aux prescriptions (...) du Code des marchés publics », ce n'est donc pas au tribunal de grande instance de se prononcer, mais au juge administratif.      






La procédure utilisée est donc totalement incohérente avec le motif invoqué : s'il s'agit d'un marché public passé irrégulièrement (prix dissimulé passé de gré à gré), contrat étant passé par une personne publique (l’Éducation nationale) seul le juge administratif est compétent pour en juger.

Le 09/08/2016 à 09h 48







Sans intérêt a écrit :



À en croire sa page d’accueil, Bitfinex se présente comme une bourse. Il serait intéressant de connaître la législation associée. Si je comprends bien, la maison-mère de Bitfinex, iFinex, est une entreprise basée à Hong Kong. Pour l’anecdote, l’adresse du siège social est “Bank of America Tower”. Compte tenu des sommes dérobées, et donc déposées, on peut se demander s’il ne s’agit pas d’une banque, avec la législation qui va avec.



  .....      






 Une affaire qu'il sera intéressant de suivre, notamment sous l'angle des suites judiciaires.










Effectivement, sans action judiciaire ni contrôle étatique,  qui peut être assuré que ce n'est pas un des dirigeants ou un salarié qui est  parti avec la caisse sous le bras.      






Pour ma part, je ne confierais pas un € d'actif à ce type d'institution privée.      






Petite histoire concernant la dette toxique. j'ai été responsable financier  d'une grande intercommunalité lorsque j'ai vu arriver les premiers contrats de  ce type et mon patron élu était en outre au conseil d'administration de Dexia  ... très fier de ces produits (je revois encore son directeur général débouler      

dans mon bureau en me ventant cette merveille d’ingénierie financière à laquelle notre collectivité se devait de souscrire pour entrer dans la modernité).



  J’ai dû passer deux jours en étude d’analyse pour démonter la mécanique des formules complexes multidevises, refaire des historiques et comprendre l’effet du seuil de sensibilité et que le produit devenait explosif en intérêt passé ces seuils et qu’historiquement ce type de dépassement n’était pas qu’une simple



vue de l'esprit. J'ai fini par avoir gain de cause, et la collectivité n'y a  pas souscrit. En outre je sentais les responsable locaux de Dexia très mal à l’aise  vis-à-vis de ces produit structurés par leur siège et leur argumentation  sentait le crédo préformaté. Lorsqu’on gère des fonds publics et sachant en  outre que les impôts locaux sont payés même par les plus modestes des contribuables,  on se doit d’être particulièrement vigilent.      






La conclusion est simple : il faut toujours se méfier des effets de mode dans  le secteur financier.

Le 28/06/2016 à 12h 45

A prendre à l’autre sens de la définition de paperassier  “qui s’attache exagérément aux formalités administratives.”

Le 28/06/2016 à 11h 38

Cet article comporte une omission de taille.&nbsp;L’ensemble de la production des administrions françaises (ce qu’elles écrivent et ce qu’elle reçoivent quel qu’en soit le support) constituent des archives publiques.Elles sont considérées à ce titre comme des trésors nationaux au sens de l’article L. 111-1 du Code du patrimoine qui ne peuvent sortir du territoire national, sauf exception temporaire par dérogation accordée par le ministère de la culture (par exemple pour leur restauration). C’est aussi valable pour le cloud de ses administrations qui doit être hébergé en territoire français, d’où l’intérêt pour des opérateurs localisés en France de pouvoir commercialiser ce type de services. &nbsp;En outre, comme vous le savez, l’administration française est très paperassière, d’où des volumes important à héberger <img data-src=" />

Le 07/06/2016 à 12h 13

Tout à fait d’accord. Cela devrait être rattaché au service des archives nationales. La Bibliothèque nationale de France c’est bien mis elle aussi à la collecte des données numériques. Il n’y a donc pas de raison de privatiser sans contrôle et sans protocole les archives numériques de nos administrations.

Le 13/10/2015 à 11h 09

Il ne faut pas trop s’étonner, les constructeurs de PC ont trop fait le jeux de Microsoft en installant des cartes mères rendant difficiles des installations linux en principal ou en double exploitation, sauf des constructeurs comme DELL qui justement titre son épingle du jeux.

A titre personnel, mes prochains renouvellement se feront sous du pc non préfiguré en Windows

Le 18/08/2015 à 11h 15

Je ne suis venu à opéra que récemment. Je suis parfaitement d’accord sur son ergonomie pénible et l’absence de personnalisation par&nbsp; barre de menu et c’est dommage car Opera me parait beaucoup plus stable que Firefox qui plante trop facilement sur des contenus de video.

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Le 01/11/2014 à 09h 41

Ah bon, alors le but avoué est le licenciement supplémentaire de postier <img data-src=" />

Le 24/10/2014 à 08h 43

Le problème d’archos, est qu’ils ont la méchante habitude d’ annoncer des versions performantes de produits qu’au final il ne commercialisera pas.

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Le 08/10/2014 à 11h 50

Il y a quelque chose que je ne comprends pas. Firefox en 64 bits existe déjà, c’est waterfoxhttps://www.waterfoxproject.org/ que j’utilise déjà depuis plusieurs mois, car beaucoup plus stable, dernière mise à jour du 7 octobre 2014