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maestro321

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4258 commentaires

Le 19/01/2016 à 14h 45

Et c’est taxé.<img data-src=" />

Le 19/01/2016 à 14h 24

Il va surtout falloir taxer un bon coup tout cet héritage non déclaré !

Le 19/01/2016 à 09h 40

Le problème fondamental, c’est le caractère dynamique d’internet (comme dit dans l’article) qui empêche l’hébergeur (et l’internaute) de connaitre le contenu réel derrière un lien à un instant T sans suivre celui-ci.

Le 17/01/2016 à 21h 00

Oui très longtemps.<img data-src=" />

Risible de prendre des exemples de frontend CSS (ce que n’est pas jQuery UI) dont les widgets sont quasiment tous écrit avec/dépendant de jQuery.<img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 17h 39

$(<img data-src=" />).show();



J’adore jQuery, correctement utilisé c’est un gain de temps incroyable tout en ayant des performances largement acceptables!

jQuery c’est aussi et surtout jQuery UI<img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 13h 59

Bha ce qui dommage c’est qu’au début, une seule appli couvrais ces deux usages.

Dès la sortie de la deuxième appli, les utilisateurs s’en sont plaint, Foursquare a voulu rester sur deux applis distinctes… et depuis on voit bien le résultat..



C’est sans doute l’erreur qu’ils n’auraient jamais du faire.<img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 11h 08

Illustrer le contraire? Non, tu as mal compris mon argument.

Pour l’image donnée ça montre effectivement qu’il peut y avoir un “patchwork”. Mais là où je voulais en venir c’est que ces fameux “design” ne seront évidement pas tous graphiquement compatibles entre eux (on voit d’ailleurs dans l’illustration un design d’avantage destiné à un publique “féminin”).

Et ce que je voulais dire c’est que justement le module “chaussure à talon” aura bien du mal à se faire oublier à coté des modules “camouflage” et “M16”.<img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 10h 58

Oui, sauf que c’est juste en discussion… rien ne dit que ce soit réellement le cas sur le produit final.



Les seuls infos “concrètes” que j’ai trouvé à propos de ça, parlais d’une possible “réimpression” (avec bien évidement une imprimante spécifique) des modules.. pas vraiment ce qui se fait de plus modulaire.<img data-src=" />



http://www.infoworld.com/article/2610772/printers/3d-printed-modules-for-google-…



The company will also be able to print custom designs on the surfaces of the blocks to give buyers the look they want, he said.





Pas question de le laisser faire par le client final..

Le 15/01/2016 à 09h 43

Toi peut-être que non, mais tu peux être certain que ça en dérangera d’autres.

De plus ce n’est que le début. On peut aisément supposer que d’autres variantes sortirons.

Je doute qu’un module camouflage fasse bon ménage avec un module Hello kitty..<img data-src=" />

Le 14/01/2016 à 22h 16

Le mensonge de la modularité “interchangeable” entre particuliers.

On retrouve ce même discours dans la grande majorité de ces projets.





Collect and share modules with other nexpaq users, regardless of their operating system allegiance!



L’idée est bonne, mais y associer la notion de “design coloré” c’est contreproductif pour le client final.

On le voit bien sur les visuels, si l’on ne veut pas se retrouver avec un smartphone vert, bleu, rose et orange on ne pourra acheter/échanger que des modules “visuellement compatibles”.



Autrement dit, ce n’est rien de plus qu’une fragmentation artificielle du marché.<img data-src=" />

Je vous laisse deviner pourquoi…



La modularité “regardless” comme ils le disent si bien, c’est ça qui fait la réelle force de la modularité.<img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 10h 14

Tu peux aussi voir ça de manière inverse, les publicitaires sont généreux surtout sur les programmes qui ramènent du publique.

Hors les émissions qui ramènent le plus de publique ne sont absolument pas gage de qualité.<img data-src=" />

Le 14/01/2016 à 09h 53

Quelle foutage de gueule :

Mais on aurait pu faire comme ça aussi c’est vrai

Ils savent très bien ce qu’ils font, et surtout ils savent très bien que ça leur rapporter du pognon.

Ils ont besoin de gonfler un peut les chiffres avant de conclure la vente de Bouygues?



Pratique détestable.

Le 13/01/2016 à 18h 57

La propagande ça ne date pas d’hier et elle laisse encore de nombreuses traces.

Cependant, la récente propagande 2.0 se montre aussi très prometteuse.<img data-src=" />

Le 13/01/2016 à 18h 49

Mieux, elle a “interdit” le “service” avant qu’il ne cause de réels dégâts..

Un tout petit peu de résistance face à l’ultralibéralisme dont ce genre d’entreprises et leurs investisseurs font preuve quotidiennement ne peut-être que bénéfique à long terme.



Maintenant il va falloir voir comment tout ça évolue (en France et dans le monde). Si Uber tiens le coup financièrement (autrement dit tant que la boîte se fait arroser de pognon) et qu’elle arrive à se lier commercialement avec une boîte de type GAFA aux pratiques relativement similaires (au hasard Amazon..), on va encore en entendre parler un petit moment.<img data-src=" />

Le 13/01/2016 à 15h 41

Bha si on suit la source, on voit qu’ils sont associé à l’université Carnegie Mellon.

https://newsroom.uber.com/cmupartnership/

Et qu’ils ont donné “seulement” 5.5Millions..

Le 13/01/2016 à 15h 11







TaigaIV a écrit :



Et de révolutionner le rapport de l’employé à l’employeur. Si on peut appeler un retour en arrière une révolution.





Dans ce cas au lieu de révolution (qui semble effectivement inadapté) on pourrait par contre tout à fait parler de “réforme”. Dans le sens : “Rétablissement dans l’ancienne forme”.


Le 13/01/2016 à 15h 05







PtaH a écrit :



C’est comme ces fusées qu’on envoie inutilement dans l’espace…





C’est pas inutile, ça permet aux industries de pointe de moins investir dans la recherche puisqu’ils profitent de tout un tas de retombée technologiques financées en grande parti via de l’argent publique (et oui, c’est bien nous qui finançons les principaux programmes spatiaux).



S’il y en a bien un qui ne doit pas trouver ça inutile ce doit être Dassault.<img data-src=" />


Le 13/01/2016 à 14h 56







Craz a écrit :



Dans les années a venir Uber ne fera plus appel a des conducteurs mais a des voitures autonomes, il l’on clairement annoncé a plusieurs reprises et on peut etre certain que c’est cela leur business plan (en meme temps c’est logique, et c’est meme un excellent business plan). Quand a la marge de 40% on peut bien comprendre lorsqu’il s’agit d’acheter et d’entretenir de larges flottes de véhicules au niveau mondial. Avec les économie d’échelle, ca restera cher MAIS toujours beaucoup moins qu’un être vivant.





Heuu ok, je veux bien qu’ils se prennent une marge, mais ces estimations sont pour 2019… ça m’étonnerais que d’içi 2019 Uber ai une flotte mondiale de voiture autonomes.<img data-src=" />

De plus, ils parlent de bénéfices net, donc les investissements (dans une flotte de voiture autonome) n’en fait a priori pas parti..


Le 13/01/2016 à 14h 31

+1 pour la question de Néokoplex, un peu de détails sur les pertes serait sympas.



En tout cas ça va être rigolo dans les années à venir, tant qu’Uber est en croissance ça ira pour les conducteurs, mais dès que ça va stagner ils apprendront vite la réelle définition d’emplois précaire.<img data-src=" />

Le 13/01/2016 à 11h 14

Au delà des performances, ce sont aussi les usages qui stagnes.

Maintenant que les PC affichent correctement des pages WEB et que l’on peut lire correctement les fichiers multimédia (photo, vidéo) il n’y a plus grand chose à attendre en terme de nouveautés d’utilisation.

Le gain de puissance n’a intérêt que pour des marchés de niche (Jeux, 3D etc..).



Pour les smartphones/tablettes ce sera bientôt pareil, dès que ceux-ci comblerons correctement ces usages (ce qui n’est pas encore tout à fait le cas) les ventes se mettrons à baisser inévitablement.



Je pense d’ailleurs que le WEB aussi va ralentir, depuis l’arrivée des réseaux sociaux il n’y a pas eu de réelles nouveautés. Idem en ce qui concerne les structures, à part la VOD qui demande un bon débit les autres usages sont largement couverts.



A part le Cloud (qui n’a rien de vraiment nouveau) et la 3D (genre oculus) je ne vois rien arriver..

Le 12/01/2016 à 08h 34







Arcy a écrit :



Mouais … En soi, on peut bien comprendre le risque qu’il y a derrière.



En communiquant le code source, on peut voir des particuliers/pro/entreprises qui cherchent une façon de réduire au mieux leurs impôts (et si ça en devient un logiciel, puisque le code source est librement consultable, les fiscalistes vont tirer la gueule …).









tipaul a écrit :



Autant je suis un libriste convaincu, passionné, j’en ai même fait mon travail et monté ma boite, autant je comprends que ce sujet est une boite de pandore : si le code est ouvert, les geeks fiscalistes vont s’en donner à coeur joie : il y a plein de marges d’interprétation dans les lois fiscales. Du coup, si on révèle le code source, les “riches” vont pouvoir être encore plus riche en trouvant les failles dans le code (et donc en optimisant l’impôt).

Les sans-dents, bien évidemment, ne profiteront pas de grand chose.





Le problème ce n’est pas la transparence, mais que ces règles ai des failles. Et un peut plus de transparence permettrait justement de savoir où sont les failles à combler..



Sinon, on tombe exactement sur l’argument bancal du logiciel propriétaire : si c’est fermé c’est plus sécurisé..



Quand aux riches qui font tout pour payer le moins possible, ils n’ont pas attendu cette procédure pour s’y mettre.<img data-src=" />


Le 09/01/2016 à 00h 12







Faith a écrit :



Je vois que tu es un familier du cercle anti-spéciste





Non… je mange du foie gras..<img data-src=" />







Faith a écrit :



La distinction est très facile: les esclaves ont revendiqué leur souhait de ne plus l’être.

Les rats domestiques ou de labo (l’autre pouvant devenir l’un) non. Aucun des deux n’a a recevoir de droits parce qu’ils ne savent pas s’en servir.







  1. Les esclaves n’étaient pas les seuls à s’indigner de leur sort. sans quoi ils seraient sans peut-être encore des esclaves…

  2. Beaucoup d’esclaves acceptaient leur conditions faute d’alternative viable et par l’obscurantisme éducatif dont ils sont systématique victime.

  3. Les esclaves ont aussi eu des esclaves.



  4. Parce que le rat ne peut pas dire “Aïe j’ai mal” il n’exprime rien?





    Faith a écrit :



    Mais les deux doivent être le sujet de devoirs des êtres humains, des devoirs adaptés à ce qu’ils sont, comme c’est déjà le cas.





    Comme c’est déjà le cas? La condition animale imposée par l’homme est donc irréprochable?





    Faith a écrit :



    Maintenant, si vous voulez vraiment que les animaux aient des droits (et soient mis en tutelle, puisqu’incapables de les exercer en connaissance de cause), alors il faudra que les tuteurs (PETA et autres joyeux drilles) soient responsables des actions de ces animaux.

    Un enfant meurt de paludisme ? La société responsable des moustiques est envoyée au tribunal.

    Un homme est atteint de distomatose ? La société des adorateurs des douves du foie doit rembourser les frais médicaux.

      Un renard mange un lapin ? La société des lapins porte plainte contre celle des renards.

    Ca va être rigolo…





    Sauf erreur de ma part c’est déjà le cas…

    On peut appliquer les mêmes atteintes entre les hommes, et dans ce cas, si le responsable ne peut payer son préjudice c’est la société qui en prend la responsabilité et qui paye les dommages (dans l’idéal).

    Pas encore vu un terroriste payer le préjudice d’une famille..



    Ce n’est pas à PETA d’être responsable “à la place” des animaux, mais bien à la Société (dans le sens de la responsabilité commune envers les animaux).

    Après, si tu veux en revenir à l’action en justice, je suis d’accord avec toi, la PETA n’a pas à s’approprier les droits pour cette photo, elle aurait bien mieux fait de lutter pour que celle-ci reste dans le domaine “publique” (une sorte de contrepartie publique envers les droits des animaux).

    Pour me répéter (parce que je sais que tu aimes bien ça) ce que je trouve intéressant dans leur action en justice c’est de faire passer le singe pour une “personnalité juridique”.





    PS: Si tout le monde avait accès à de la bonne bouffe, de l’eau potable, des chiottes, des hôpitaux et un minimum d’éducation sanitaire les maladies “exotiques” auraient largement moins d’impact qu’aujourd’hui.

    Pendant qu’ébola fait 3000 morts, la faim dans le monde en fait ~3 000 000 par an….<img data-src=" />

    Mais bon, tu peux toujours accuser les moustiques et les renards.<img data-src=" />


Le 08/01/2016 à 16h 00







Faith a écrit :



Notre monde est pragmatique (sur ce point au moins): on ne prend pas des positions générales inapplicables, on gère au cas par cas.





Pourtant en reprenant l’exemple du rat (domestique/labo), je trouve que c’est une bonne comparaison avec l’homme (citoyen/esclave).



Si cette dernière distinction est aujourd’hui difficilement justifiable, je ne vois pas pourquoi la première le serait plus.



On gère au cas par cas tant que c’est moralement accepté, mais le jour où certain commencent à ne plus plus l’accepter et qu’il faut justifier cette distinction c’est une tout autre histoire…


Le 08/01/2016 à 15h 01







athlon64 a écrit :



Ou alors essayer de tout prendre en compte en même temps.





C’est louable, mais ça supposerais de changer totalement notre mode de vie. Hors on ne change pas tout le mode de vie d’une société en même temps.



Se concentrer sur ce qui est le plus “proche” (via notre vision anthropocentrique) me semble ce qu’il y a de plus logique vu le boulot de changement de mentalité qu’il reste à faire.<img data-src=" />


Le 08/01/2016 à 14h 31







athlon64 a écrit :



Oui, je sais bien qu’on est loin d’une plante sur plusieurs points même génétiques, mais je ne comprends pas le fait de vouloir faire du antispécisme si au final on ne considère qu’une petite partie des espèces





Chaque choses en son temps..

Reconnaitre des droits à tout les homme (puis les femme) est la première étape, ensuite, on est bien obligé d’en donner aussi à nos animaux de compagnie, puis par extension à d’autres animaux, puis par extension à l’ensemble du règne du vivant.<img data-src=" />



Tu crois que si ce genre d’association luttait pour les droits du phytoplancton elle serait prise au sérieux? Non, car nos mentalités/philosophie (encore fortement issue de nos cultures religieuses) n’en sont pas encore là..

A la place elles commencent avec ce qui est plus proche de nos mentalités/philosophie : les animaux de compagnie, les animaux d’élevage, animaux de laboratoire etc..


Le 08/01/2016 à 14h 25

Et avec un peu de vitesse on peut créer de très beau légumes.<img data-src=" />

Le 08/01/2016 à 14h 19







athlon64 a écrit :



MuadJC a soulevé le point qui me fait me poser la question, qu est ce qui détermine qu’on peut inclure animaux mais pas végétaux.





C’est plus facile de s’identifier à un animal qu’a une plante. On considère donc ceux-ci plus “proche” de nous.

De plus, d’un point de vue purement évolutionniste, les animaux sont de plus proches parents que les plantes.


Le 08/01/2016 à 14h 16







athlon64 a écrit :



Je préfèrerai éviter le coté religieux <img data-src=" /> je ne suis pas à l’image de Dieu, plus la descendance lointaine de bactéries <img data-src=" />





Au contraire, comprendre le point de vu religieux, ça permet de comprendre pourquoi nos sociétés ont des visions aussi différentes d’autres sociétés.



La religion catholique par exemple, à une vision très anthropocentrique qui place l’homme au “centre”, et qui considère les animaux comme au “service” de l’homme, ce qui n’est pas du tout la vision du bouddhisme ou encore du jaïnisme (« les vies se doivent un mutuel respect ») qui ont tendance à placer l’homme au même niveau que les autres formes de vie.


Le 08/01/2016 à 13h 59

A priori rien ne s’y oppose. On pourrait même y insérer les bactéries et les virus.<img data-src=" /> Tout les “êtres”.



C’est pourtant des questions très intéressantes, reprises dans les philosophies religieuses.

Le 08/01/2016 à 13h 37







Faith a écrit :



C’est déjà le cas depuis bien longtemps. Et c’est très bien ainsi. 

Par contre attention à ne pas utiliser des mots vagues sans en comprendre la portée. 

PETA parle bien des animaux dans leur ensemble, dans toute la stupidité de l’antispécisme.

Les hommes ont heureusement l’intelligence de classifier les animaux et de ne pas imposer les mêmes devoirs envers un chien de compagnie, un poulet d’élevage et un pou.





Pourtant on fait la distinction entre un rat de compagnie et un rat de laboratoire, même si ces derniers appartiennent à la même espèce.

Tout comme on a fait la distinction entre un homme et un esclave pendant de nombreux siècles..



J’ai encore du mal à me faire un avis tranché sur ces questions…

En soit l’antispécisme ne me parait pas fondamentalement moins rationnel que le spécisme.<img data-src=" />


Le 08/01/2016 à 10h 57







Faith a écrit :



Un devoir doit être consciemment accepté.





Sauf qu’un devoir est une souvent aussi une obligation, dans de nombreux cas, un devoir non respecté mène sur une sanction.



Edit : De plus, ça laisserais supposer que l’on peut ne pas accepter ses devoirs, et ne pas recevoir de droit en contrepartie, ce qui ne me semble pas être le cas.


Le 08/01/2016 à 10h 55

Au lieu de créer des “droits des animaux”, tu aurais préféré que l’on créer des “devoir envers les animaux”?<img data-src=" />

Le 08/01/2016 à 10h 35

Ho! Mais il existe une flopée de devoirs (imposés) pour les animaux.

Que je sache, tout n’est pas permis aux animaux, loin de là.. (à part aux vaches en Inde <img data-src=" />)



Un devoir c’est une sorte de privation de liberté, et de ce point de vue les animaux n’ont pas attendu les droits des animaux pour les subir..



D’un autre point de vue le devoir est une obligation morale. Pour imposer un devoir à un animal il faudrait qu’il ai cette notion.



Encore d’un autre point de vue, c’est l’homme qui accorde des droits au animaux, ce ne sont pas eux qui se les accordent à eux-même ils n’ont donc pas de devoir à accomplir, c’est à bien l’homme de se les imposer.

Le 08/01/2016 à 10h 23







le podoclaste a écrit :



Le droit d’auteur est ouvert à tous, pour en profiter, il suffit simplement de publier. Le moindre commentaire que tu publies sur NXi, la moindre photo sur Instagram, la moindre page web que tu as ouverte, t’ouvre à des droits d’auteurs.



Peut-être que techniquement, c’est un privilège, si tant est qu’il existe une distinction juridique entre droit et privilège, mais si l’emploi du terme est là pour sa connotation négative et exprimer que c’est une caste fermée, c’est faux.



Le fait qu’une très faible portion d’ayant-droit en fasse un usage indécent est un autre débat.





Ha on est d’accord, je ne voulais pas dire que ça s’appliquait à une caste (c’est d’ailleurs pour ça qu’ils peuvent l’appeler un droit). Encore qu’il faut quand même disposer de quelques sous pour déposer un brevet..



Je remet en cause les “droits” qu’accordent le “droit de propriété” qui peuvent mener sur des abus et permettent des privilèges (en particulier via le droit d’abusus). Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’il existe tout un tas d’exceptions au droit d’auteur.<img data-src=" />


Le 08/01/2016 à 09h 59







tazvld a écrit :



Et techniquement, l’enfant est un Homme, c’est bien un représentant du genre Homo





Et techniquement, un enfant n’est pas un adulte.


Le 08/01/2016 à 09h 53

Le droit commun comme le droit privé s’applique à tous sans distinction ni prérequis.

Toi comme moi, disposons (en théorie) exactement du même droit commun et du même droit privé.



Essaye encore..

Le 08/01/2016 à 09h 44







Loeff a écrit :



Toute cette énergie et cet argent dépensé pour rien, on peut dire que la PETA fait ce qu’on attend d’elle, j’en suis bouche bée. J’hésite à leur faire un don…





Je pense que c’est très mal joué de leur part d’avoir voulu s’aventurer sur le terrain de la propriété intellectuelle.

Mais dans ce procès, la logique sous-jacente (que l’on retrouve souvent dans la défense des droits des animaux), c’est de chercher à considérer un animal comme une “personnalité juridique”. En en soit, perso, je trouve le concept très intéressant.


Le 08/01/2016 à 09h 22

Ce ne sont pas des “privilèges de l’enfant” puisque ça s’applique à tout les enfants sans distinction et sans prérequis, et que chaque Homme à été un enfant et que chaque enfant deviendra un Homme.

On fait une distinction, car l’enfant n’a pas les mêmes besoins que l’Homme, il est donc logique que celui-ci dispose de droits particuliers. L’enfant n’est pas l’égale de l’Homme, il doit donc disposer de droits supplémentaires/différents pour que l’on puisse assurer leur protection face à ceux-ci.



Quand au droits du locataire, c’est une longue histoire, c’est ce que j’appellerais un “patch” légale pour limiter l’impacte du droit de propriété (qui aujourd’hui tiens plus du privilège que du droit, il est donc nécessaire le limiter ce privilège via d’autre privilèges). Il existe tout un tas de “patch législatif” en ce qui concerne les “droits de propriété”, en particulier pour limiter le droit d’abusus.

Mais dans un mode idéale ou le droit de propriété serait véritablement un droit (et non un privilège déguisé) le “droit du locataire” n’aurait pas lieu d’être.<img data-src=" />



Il existe bien une différence fondamentale entre le droit et le privilège, encore faut-il se donner la peine de creuser le sujet et démêler la théorie de la pratique..

Le 08/01/2016 à 08h 53

Oui, après il est appliqué ou non.. tout comme un privilège..

Le 08/01/2016 à 08h 50

Un droit est censé être le même pour tous (et sans prérequis), un privilège, comme son nom l’indique, est réservé à une population/caste/sexe etc.. spécifique

Le 08/01/2016 à 08h 45

Re, bon après le problème c’est qu’il n’ont pas compris que le droit d’auteur est d’avantage un privilège qu’un droit (d’où les critiques justifiées sur leur tentative de gestion de ce “droit” à la place du singe).<img data-src=" />

Le 08/01/2016 à 08h 39







tazvld a écrit :



C’est du lobbying dans les 2 cas et ce n’est qu’une question de point de vue pour voir le mal dans l’autre camps.





Non, car PETA ne pousse pas à la création pas de privilèges, mais de droits.


Le 07/01/2016 à 15h 52

Bha la question ne se pose pas puisqu’il s’est fait volé l’appareil il ne pourra pas récupérer la photo.



S’il récupère son appareil c’est juste un emprunt, dans ce cas le singe doit verser des intérêts.

J’ai bon?

Le 07/01/2016 à 15h 45

Dieu joue peut-être aux dés.<img data-src=" />

Le 07/01/2016 à 15h 43

Et si le photographe appui par erreur sur le déclencheur et que la photo est sublime, elle ne lui appartient plus?<img data-src=" />

Le 07/01/2016 à 15h 42

Ha on est d’accord, mais pour ce genre d’asso, à mon sens, elles exploitent les voies légales pour faire évoluer/appliquer le droit, pas pour se créer des niches de privilège (ou en créer pour certains). Et en ça, ça me semble tout à fait raisonnable.

Le 07/01/2016 à 14h 57

Bha c’est le principe même de ces associations… le jour où tu verra un animal se plaindre à la police de mauvais traitements par des hommes tu me préviens.<img data-src=" />



Idem pour les associations de défense de telle ou telle minorité, elle défendent des personnes qui n’auraient pas été en capacité de faire valoir leurs droits par eux-même.



Après, je ne rentrerais pas dans la polémique qui consiste à dire qu’elles en font trop, au contraire, tant qu’elles passent par des voie légale (comme ici) je n’y voit que du positif.<img data-src=" />

Le 07/01/2016 à 14h 49







WereWindle a écrit :



je me disais exactement la même chose rien qu’en lisant le titre : autant je suis d’accord pour dire que les animaux ont des droits (en temps qu’êtres sensibles), autant leur donner les mêmes droits qu’à des personnes serait complètement débile





Ce qui est débile c’est le droit de propriété (tel qu’il existe aujourd’hui), en particulier sur la propriété intellectuelle… pas le fait de donner des droits aux animaux.



Donner des droits à la nature/animaux c’est donner des droits à l’homme.<img data-src=" />


Le 07/01/2016 à 11h 16

Où as-tu lu que tout était branché dessus?<img data-src=" />

Le 07/01/2016 à 10h 59







Tamos a écrit :



Et avec la place qui sera gagnée avec la taille du connecteur, ils peuvent bien en mettre 3 ou 4 sans que ça leur pose de problème…





Ha oui, mais non c’est pas possible.

Mettre un port USB, un lecteur de carte, et deux lecteur de carte sim sur un smartphone c’est possible, mais 3 ports USB dans un ultrabook ça rentrera jamais.<img data-src=" />



La réduction du nombre de ports c’est des économies de bout de chandelle, et ça permet de refaire passer certains clients à la caisse pour un hub qui sera bien évidement hors de prix pour une techno récente.



Et avoir un seul port USB…. c’est jouer avec le feux, j’ai cassé un port USB3 en façade sur ma tour (pied dans le fil d’une manette).. heureusement qu’il y en a un deuxième en façade.<img data-src=" />