« Nous interdirons l’usage des téléphones portables dans l’enceinte des écoles primaires et des collèges. » Tel fut l’engagement pris par le candidat En Marche durant la course à la présidentielle.
Commençons par signaler que la proposition du ministre de l’EN ne correspond pas à l’engagement de M. Macron. En effet, interdire l’usage du portable dans l’enceinte des écoles et des collèges serait tout simplement impossible à moins d’embaûcher de nombreux surveillants. Donc Blanquer a décidé de sortir cette proposition ridicule des casiers à l’entrée des classes…
En effet, l’usage du portable en classe est déjà interdit dans la quasi totalité des règlements intérieurs et d’ailleurs l’usage pédagogique du téléphone portable est clairement interdit par la loi à l’école et au collège. Donc nous, enseignants, n’avons pas attendu cette idée de casiers pour appliquer les règlements intérieurs et la loi. Blanquer souhaite juste faire parler de lui dans les médias. Et comme disait Chirac : “cela m’en touche une sans faire bouger l’autre”.
Par ailleurs, si nous avons besoin d’outils numériques, nous utilisons le tableau numérique intéractif, la salle informatique voire des portables/tablettes en classe (toujours pas arrivés dans mon bahut… vive le XXIème siècle et le n-ième plan numérique d’Hollande). Donc pas besoin de téléphones portables en classe.
De plus, en Mathématiques, nous commençons par l’usage du papier et du stylo pour l’acquisition des connaissances de bases ou de la pensée algorithmique. L’usage du numérique pour le numérique, cela ne sert à rien. Il s’agit d’évaluer l’activité permettant d’atteindre des objectifs pédagogiques; parfois le papier est plus efficace que le numérique et parfois c’est l’inverse. Et une fois des connaissances de bases acquises, alors il est utile de développer des compétences transversales entre différentes notions ou disciplines via le numérique ou pas, ça dépend.
Enfin, en tant que professeur de Mathématiques, je précise que certains aspects des Mathématiques sont effectivement complexes. Mais c’est justement aussi pour cette raison que l’on enseigne cette discipline qui fait intervenir de nombreuses compétences d’apprentissages de définitions, d’algorithmes, de lecture de consignes, de compréhension de différents types de documents, de logique, de stratégies de résolutions, d’apprentissage par essais/erreurs ou par incrémentation, etc…
Et, pour les informaticiens, je termine en précisant que depuis cette rentrée scolaire, les enseignants de Mathématiques (par forcément formés…) de 2nde GT doivent enseigner à tous les élèves l’apprentissage d’un langage de programmation (a priori Python) jusqu’à la notion de fonction informatique, et ce, dans le cours de Mathématiques sans augmentation de l’horaire de Mathématiques… C’est une bonne chose pour l’Informatique mais pas forcément pour les Mathématiques. Vivement une discipline d’Informatique enseignée par des professeurs d’Informatique.
Bien entendu, selon les délais de réponse et le périmètre des données communiquées, nous nous réserverons la possibilité cette fois de saisir le Conseil d’État.
A priori, il faudrait d’abord saisir un tribunal administratif, non? " />
« Les profs, eux, s’en foutent, ils ont compris depuis longtemps, pour la plupart d’entre eux, que [b]ce ne sont pas les tablettes qui vont changer quoi que ce soit. »
Et bien non justement! Voici ce que disait carbier : Tu parles du même Amnesty International qui dénonce à chaque fois les violences policières mais jamais celles des casseurs. Franchement, je serai pour que rien qu’une fois, une manif’ ne soit pas encadrer par les flics pour voir ce que tout ce beau monde dirait… Ainsi, carbier justifie bien les violences policières.
Enfin, tu cites ce message : Je ne nie pas qu’il existe des violences policières, je constate juste que certains ne regardent jamais que d’un seul côté.
Là, on lit que les violences policières existent… la bonne affaire, on avait pas remarqué…
Le
24/07/2017 à
08h
38
Et pendant que tu y es, lis l’avis juridique de la Ligue des Droits de l’Homme sur ce projet de loi :
Avec de nombreuses institutions, à l’exemple du Défenseur des droits et de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme dont les critiques sont explicites, la LDH est particulièrement inquiète des mesures envisagées dans le projet de loi présenté par le gouvernement qui entend traduire dans le droit commun des mesures exceptionnelles qui portent gravement atteinte à l’Etat de droit et aux libertés fondamentales.
Si ton seul argument est de dire “c’est n’importe quoi” alors ça vole haut… Relis plutôt cette nouvelle loi qui retranscrit l’état d’urgence dans le droit commun.
Le
23/07/2017 à
19h
23
OlivierJ a écrit :
JD, tu racontes n’importe quoi, vu ce qu’a écrit carbier juste avant.
Mais bien sûr… cette nouvelle loi va au contraire accroître les libertés publiques, c’est ça? " />
Le
21/07/2017 à
16h
35
Nous parlons d’une loi qui restreint les libertés fondamentales des citoyens de notre république. Par contre, ta réponse de troll, visant à discréditer Amnesty international et à justifier les violences policières et les restrictions des libertés de tous à cause d’une infime minorité de casseurs, est juste à côté de la plaque.
Le
21/07/2017 à
15h
39
carbier a écrit :
Tu parles du même Amnesty International qui dénonce à chaque fois les violences policières mais jamais celles des casseurs. Franchement, je serai pour que rien qu’une fois, une manif’ ne soit pas encadrer par les flics pour voir ce que tout ce beau monde dirait..
Bravo tu as gagné le troll d’or du jour " />
Le
21/07/2017 à
15h
15
briaeros007 a écrit :
Et ça c’est avant même de rentrer dans les “technicalities” qui sont qu’une manifestation autorisée où tu assignes à résidence certains manifestant, est ce une autorisation de manifester ou une interdiction de manifester ;)
Apparemment, pour certains, c’est la quintessence de la liberté…
Le
21/07/2017 à
15h
10
fred42 a écrit :
C’est plus facile que le “dûment motivé” de la loi ordinaire puisqu’il suffit de dire : “on n’a pas assez de policiers disponibles à cause du terrorisme.”
C’est exactement ce que dénonce Amnesty International.
carbier a écrit :
C’est amusant de ne pas savoir lire…
Et bien, je crois qu’il va falloir que tu te mettes à lire cette nouvelle loi sur l’état d’urgence et le rapport de l’état d’urgence rédigé par Amnesty International ou encore les décisions du Conseil Constitutionnel.
Depuis novembre 2015 et les terribles attentats qui ont touché la France, l’état d’urgence a été instauré et renouvelé à cinq reprises. Alors que son objet est de prévenir de nouvelles attaques, les mesures de l’état d’urgence ont été utilisées pour interdire 155 manifestations. Tous les 3 jours environ, une manifestation est interdite en France sous ce prétexte.
Le
21/07/2017 à
12h
43
Censurée, l’interdiction de manifester revient dans le texte sur l’état d’urgence : D’après les chiffres communiqués au Monde par le Sénat, parmi les 618 mesures individuelles d’interdiction de séjour prises depuis le début de l’état d’urgence, 438 l’ont été dans le cadre de la mobilisation contre la loi travail (seules 169 auraient cependant été notifiées aux personnes visées).
Le
21/07/2017 à
12h
34
Toujours aussi amusant les commentaires effectivement…
L’État a bien utilisé l’état d’urgence pour interdire des manifestations et des participations à des manifestations!
« nous parlons ici d’événements culturels et sportifs, et non des défilés, cortèges ou rassemblements de personnes sur la voie publique, lesquels relèvent des articles L. 211–1 et L. 214 du code de la sécurité intérieure. Nous l’avons affirmé et réaffirmé, ces mesures ne seront pas utilisées pour maintenir l’ordre public »
L’état d’urgence avait pourtant été utilisé pour restreindre/réprimer voire interdire des manifestations lors de la 1ère loi travail…
Normalement, j’avais prévu de faire mes dons en décembre mais là ça vaut le coup " />
NI va donc recevoir une p’tite somme sympathique " />
Il serait intéressant de pouvoir donner par rapport à des projets mais bon ça doit pas être facile de gérer le quotidien donc vous êtes pardonné-e-s ;-)
Pour notre part, nous considérons que le vrai préjudice, si préjudice il y a, ne réside pas dans nos messages, mais dans le choix du gouvernement de ne pas avoir activé cet outil.
C’était ma première réflexion à la lecture du début de l’article. " />
Dans le calcul en question, si vous (ou FREE) payez 5,5% de TVA sur 5000€ soit 275€ mais qu’en fait vous deviez payer 19,6% de TVA alors il faudra appliquer un taux supplémentaire de 14,1% sur ces 5000€ soit 705€ puisque vous avez déjà payé 5,5%. En fait 19,6% x 5000€ = 980€ qui est bien égal à 275+705.
Par ailleurs, 19,6% est bien égal à 5,5% + 14,1% !
En fait, vous confondez avec des augmentations successives. Dans ce cas, une augmentation de 19,6% n’est pas identfique à une augmentation de 5,5% puis une autre de 14,1%.
Le
18/04/2017 à
10h
25
Euh non, plutôt de 53,68% pour la TV car il faut appliquer un taux de TVA de 14,1% (puisque Free a déjà payé 5,5%).
Le
18/04/2017 à
10h
17
Oui il ne s’agit pas de 56% mais d’un pourcentage plus petit pour la TV. Mais le montant du redressement de seulement 3,5 millions € pour environ 3 000 000 d’abonnés est très faible… Après calculs pour 3 000 000 d’abonnés, je trouve un taux de 54,33% pour la part TV… En effet,il suffit d’étudier la différence avec des taux inférieurs et d’appliquer un taux de TVA à 19,6%.
Le
18/04/2017 à
09h
00
Effectivement, il n’y a pas de calcul. D’ailleurs en 2008, Free comptait environ 3 000 000 d’abonnés (source). Donc le redressement de TVA correspondrait à environ 1€ par abonné pour l’année 2008… Euh, c’est moi qui buggue ou bien c’est ridicule pour un passage de 5,5% à 19,6% de TVA sur la partie TV? " />
Prélèvement à la source : accident industriel en vue
Sauf décision contraire et rapide d’une nouvelle législature, le prélèvement à la source devrait être effectif au 1er janvier 2018.
Les organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP, représentant à elles trois plus de 80 % des personnels de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), se sont toujours opposées à cette réforme et continuent de s’y opposer.
Lors des comités techniques de réseau (CTR) convoqués les 23 mars et 4 avril dernier, elles ont réitéré leurs positions et alerté une nouvelle fois, les responsables administratifs et politiques des risques d’accident industriel susceptibles de se produire tant sur le niveau des recettes fiscales de l’État que sur le consentement à l’impôt, les conditions d’accueil des contribuables ou encore les conditions de travail des personnels de la DGFIP.
L’ouverture de la campagne de dépôt des déclarations de revenus risque, au regard des éléments qui nous ont été communiqués, de drainer vers les services de la DGFiP de nombreux contribuables déboussolés et en recherche de réponses précises.
Or, la DGFiP fait face depuis de nombreuses années à une réduction de moyens tant budgétaires qu’humains (37 600 suppressions d’emplois depuis 2002) ainsi qu’à une frénésie de restructurations qui désorganisent les services et les éloignent significativement des contribuables.
Le taux de recouvrement de l’impôt sur le revenu dont la collecte est assurée jusqu’à présent directement par notre administration atteint plus de 98 %. Ce résultat ne justifie en rien un tel changement. Au contraire, l’intervention de tiers collecteurs et d’organismes tiers dans la chaîne de recouvrement de l’IR, est de nature à engendrer une potentielle baisse des recettes de l’État. Prendre un tel risque est incompréhensible au vu de la situation budgétaire.
Cette réforme présentée comme une simplification par le gouvernement se révèle au fur et mesure de son développement une véritable usine à gaz, tant pour les agent-e-s que pour les contribuables, en raison de son inadaptation à la complexité de la fiscalité d’une part et des dispositions techniques nécessaires à sa mise en œuvre d’autre part. Le prélèvement à la source va alourdir les charges de travail sans que pour autant la simplification attendue par les contribuables soit au rendez-vous.
De plus, l’association d’un calendrier très contraint et d’incertitudes politiques quant à la mise en œuvre effective du projet du fait des échéances électorales impose aux agents une pression supplémentaire.
La concentration des moyens sur ce projet d’une envergure exceptionnelle, met d’ores-et-déjà en difficulté les autres missions de la DGFiP (contrôle fiscal, contrôle des fonds publics, …).
Pour toutes ces raisons, les syndicats Solidaires, CGT, FO ont adressé un message de défiance très fort au Ministre des Finances et des Comptes publics , au Directeur Général des Finances Publiques sur la mise en place d’une telle réforme et ses conditions de mise en œuvre. Ils exigent :
l’abandon de ce projet compte-tenu de tous les dangers qu’il comporte,
une pause sur l’ensemble des structures et réorganisations en cours dans l’administration,
les moyens nécessaires et indispensables en terme budgétaire et humain pour faire face à tous les chantiers en cours à la DGFiP,
une garantie de la pérennité de l’ensemble des missions au sein de notre administration,
une reconnaissance effective des qualifications des agents en termes de rémunération et l’amélioration significative de leurs conditions de travail.
Enfin les organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP demandent que les personnels de la DGFiP ne soient pas tenus pour responsables en cas d’échec de la réforme, ce qui aujourd’hui paraît devoir être le cas.
Le
12/04/2017 à
20h
10
C’est un peu plus tordu que cela :
de janvier à août de l’année N (par exemple 2018) : le taux de prélèvement mensuel à la source est déterminé par le taux d’imposition de l’année N-2 (ie 2016 pour impôts à la source de 2018);
de septembre à décembre de l’année N : le taux de prélèvement mensuel à la source est déterminé par le taux d’imposition de l’année N-1 (ie 2017 pour impôts à la source de 2018).
Le
12/04/2017 à
13h
39
Lasout a écrit :
On sera prélevés à la source des revenus acquis l’année passée… Pour les gens qui fonctionnent déjà en prélèvement mensuel, ça ne change pratiquement rien du tout si ce n’est que l’argent ne transitera même plus sur le compte courant " />
Le rapport des parlementaires conseillait plutôt de généraliser la mensualisation mais le gouvernement a préféré ce nouveau système… D’ailleurs, il va bien y avoir des changements! Par exemple, avec le système actuel d’imposition, je pouvais effectuer un don à une association en décembre et directement modifier le montant du prélèvement mensuel à la baisse pour mes impôts , dès janvier de l’année suivante, afin de prendre en compte ce don. À présent, un contribuable, qui effectue un don en décembre d’une année N, sera prélevé mensuellement de janvier à août de l’année N+1 à la source sans possibilité de prendre en compte ce don. Puis, en septembre de l’année N+1, le crédit d’impôt est restitué. Et seul moyen de diminuer les conséquences de cet écueil est d’avoir effectué des dons les deux années précédentes avant l’année d’imposition.
Exosol a écrit :
Et quid des employeur qui se déclare en défaut de paiement ou qui ne paie pas les impôts , qui va régler la note le salarié, l’état ?
Cela engendrera effectivement une baisse du taux de recouvrement de l’impôt et certaines entreprises malveillantes feront de la fraude comme pour la TVA via des mécanismes de faillites oraganisées…
Le
12/04/2017 à
13h
23
floop a écrit :
“le bénéfice des réductions et des crédits d’impôt au titre des dons aux associations acquis au titre de 2017 sera maintenu. Ceux-ci seront versés à la fin de l’été 2018 au moment du solde de l’impôt.”
République FrançaiseEffectivement, les crédits d’impôts pour dons aux assos seront restitués en septembre 2018; cette fois, c’est une certitude. Cependant, les prélèvements à la source de janvier à août de l’année 2018 ne prendront pas en compte les dons aux assos effectués en 2018 ni 2017 of course. Conclusion : l’état gagne en trésorerie et le contribuable qui donne à une asso en 2017 devra avoir de l’argent de côté avant la restitution de septembre 2018.
Cette version du prélèvement à la source était présentée comme un outil de simplification mais en fait c’était du pipeau :
de janvier à août de l’année N : le taux de prélèvement mensuel à la source de janvier à août de l’année N est déterminé par le taux d’imposition de l’année N-2;
en septembre de l’année N : remboursement du trop perçu lié aux crédits/réductions d’impôts de l’année N-1;
de septembre à décembre de l’année N : le taux de prélèvement mensuel à la source est déterminé par le taux d’imposition de l’année N-1.
Perso, 90€ pour deux ans (soit 3,75€/mois) + la remise d’ancienneté jusqu’à 20% (soit 3€/mois), cela me semble correct pour permettre à NI de rester indépendant tout en étant viable voire de grandir. Si on ajoute la réduction de 50% pour les faibles revenus alors ça semble équilibré.
En 2018, tu ne peux pas avoir connaissance de ton taux d’imposition annuel puisque l’année est encore en cours. Du coup ça se base sur un taux de l’année précédente (donc un taux erroné), avec rectification d’un coup en fin d’année.
Encore mieux :
de janvier à août de l’année n le taux est celui de l’année n-2
de septembre à décembre de l’année n le taux est celui de l’année n-1.
et la rectification n’a pas lieu à la fin de l’année n mais en août/septembre de l’année n+1.
" />
Cette version de l’impôt à la source n’a donc rien de contemporain alors que c’était l’argument n°1 pour le mettre en place…
Une première réunion avec l’ACPR, le 20 décembre, n’a pas permis de résoudre la situation. Mais, comme le précise le régulateur dans sa décision rendue publique hier soir (ndlr 29⁄12), « la somme de 500.000 euros qui avait été prélevée sur le compte de cantonnement en septembre 2016 a été reversée le 22 décembre 2016 ». En outre, « des sommes de 538.494 euros et 21.416 euros destinées à combler l’insuffisance de cantonnement supplémentaire (…) ont été versées sur ce compte les 23 et 27 décembre 2016 », le tout complété par un virement de 6.220 euros. L’ACPR estime que le montant de ces dépôts est « suffisant pour couvrir les fonds reçus de la clientèle ».
Un décret important malgré les restrictions dont les 50 ETP et surtout l’application progressive jusqu’en octobre 2018 au plus tard… Mon administration va bientôt recevoir quelques demandes de consultation de documents administratifs en particulier de statistiques et de codes sources de logiciels. " />
Il faut activer “Editeur BB Code” dans les “Options” des commentaires. C’est tout en haut des cmmentaire, après l’article.
Ah ouais!!! Merci " />
Le
29/12/2016 à
12h
18
Idem en particulier pour le découpage d’une citation afin de pouvoir répondre par étapes et aussi la simple modification d’une citation qui n’est pas toujours évidente.
Si on continue à se plaindre alors on va passer tous les deux à un éditeur brut html ou autre " />
Le
29/12/2016 à
11h
58
L’éditeur déconne souvent pour moi :/
En fait, il est juste de dire que “la majorité des salariés du privé ne bossent pas dans une grosse boîte de ce genre.”; c’est un fait la majorité des boîtes (~55%) ont moins de 50 salariés.
Par contre, il est faux d’affirmer que “pour bénéficier de l’absence de jours de carence, il faut soit être fonctionnaire, soit bosser dans une grosse boîte.”. En effet, la disjonction des cas est incomplète et ne reflète pas la réalité (cf le rapport).
Le
29/12/2016 à
11h
21
OlivierJ a écrit :
Tu répètes un peu ce que j’ai écris : pour bénéficier de l’absence de jours de carence, il faut soit être fonctionnaire, soit bosser dans une grosse boîte. Et la majorité des salariés du privé ne bossent pas dans une grosse boîte de ce genre.
Non, bien que la 2ème phrase soit juste, l’affirmation précédente en gras est fausse. En effet, environ deux tiers des salariés du privé bénéficie d’une prévoyance d’entreprise qui prend en charge les délais de carence.
le décret cadre autorise uniquement une remise des bulletins de paie sur support papier dans deux hypothèses : pour les fonctionnaires étant « dans l’incapacité d’accéder sur leur lieu de travail à leur espace numérique sécurisé »
Les ordinateurs à la disposition des enseignants de mon établissement tournent toujours sous XP sans MAJ depuis bien longtemps… Dès lors, cela signifie-t-il que je serais dans l’incapacité d’accéder à cet espace numérique sécurisé sur mon lieu de travail? En effet, où est la cohérence de se connecter à un espace numérique sécurisé à partir d’un ordinateur dont l’OS est totalement obsolète et non sécurisé…?
Pas de possibilité de refuser la dématérialisation…
Je reconnais, là, les qualités légendaires de dialogue et de négociation de l’État employeur…
344 commentaires
Le ministre de l’Éducation nationale face au défi de l’interdiction des mobiles au collège
14/09/2017
Le 14/09/2017 à 16h 15
« Nous interdirons l’usage des téléphones portables dans l’enceinte des écoles primaires et des collèges. » Tel fut l’engagement pris par le candidat En Marche durant la course à la présidentielle.
Commençons par signaler que la proposition du ministre de l’EN ne correspond pas à l’engagement de M. Macron. En effet, interdire l’usage du portable dans l’enceinte des écoles et des collèges serait tout simplement impossible à moins d’embaûcher de nombreux surveillants. Donc Blanquer a décidé de sortir cette proposition ridicule des casiers à l’entrée des classes…
En effet, l’usage du portable en classe est déjà interdit dans la quasi totalité des règlements intérieurs et d’ailleurs l’usage pédagogique du téléphone portable est clairement interdit par la loi à l’école et au collège. Donc nous, enseignants, n’avons pas attendu cette idée de casiers pour appliquer les règlements intérieurs et la loi. Blanquer souhaite juste faire parler de lui dans les médias. Et comme disait Chirac : “cela m’en touche une sans faire bouger l’autre”.
Par ailleurs, si nous avons besoin d’outils numériques, nous utilisons le tableau numérique intéractif, la salle informatique voire des portables/tablettes en classe (toujours pas arrivés dans mon bahut… vive le XXIème siècle et le n-ième plan numérique d’Hollande). Donc pas besoin de téléphones portables en classe.
De plus, en Mathématiques, nous commençons par l’usage du papier et du stylo pour l’acquisition des connaissances de bases ou de la pensée algorithmique. L’usage du numérique pour le numérique, cela ne sert à rien. Il s’agit d’évaluer l’activité permettant d’atteindre des objectifs pédagogiques; parfois le papier est plus efficace que le numérique et parfois c’est l’inverse. Et une fois des connaissances de bases acquises, alors il est utile de développer des compétences transversales entre différentes notions ou disciplines via le numérique ou pas, ça dépend.
Enfin, en tant que professeur de Mathématiques, je précise que certains aspects des Mathématiques sont effectivement complexes. Mais c’est justement aussi pour cette raison que l’on enseigne cette discipline qui fait intervenir de nombreuses compétences d’apprentissages de définitions, d’algorithmes, de lecture de consignes, de compréhension de différents types de documents, de logique, de stratégies de résolutions, d’apprentissage par essais/erreurs ou par incrémentation, etc…
Et, pour les informaticiens, je termine en précisant que depuis cette rentrée scolaire, les enseignants de Mathématiques (par forcément formés…) de 2nde GT doivent enseigner à tous les élèves l’apprentissage d’un langage de programmation (a priori Python) jusqu’à la notion de fonction informatique, et ce, dans le cours de Mathématiques sans augmentation de l’horaire de Mathématiques… C’est une bonne chose pour l’Informatique mais pas forcément pour les Mathématiques. Vivement une discipline d’Informatique enseignée par des professeurs d’Informatique.
Le ministère de la Culture prépare une nouvelle version publique du rapport sur les FAI et la Hadopi
04/09/2017
Le 04/09/2017 à 15h 27
Bien entendu, selon les délais de réponse et le périmètre des données communiquées, nous nous réserverons la possibilité cette fois de saisir le Conseil d’État.
A priori, il faudrait d’abord saisir un tribunal administratif, non? " />
Le résultat de nos concours de l’été
04/09/2017
Le 04/09/2017 à 12h 14
Félicitations aux gagnants " />
Nouveau concours " />
Changer d’offre internet fixe : portabilité du numéro et différentes étapes à suivre
30/08/2017
Le 30/08/2017 à 13h 50
Même à 15€/mois c’est pas si cher en fait… C’est quoi, le hic? " />
Le plan pour le numérique à l’école va-t-il finir au placard ?
30/08/2017
Le 30/08/2017 à 13h 36
« Les profs, eux, s’en foutent, ils ont compris depuis longtemps, pour la plupart d’entre eux, que [b]ce ne sont pas les tablettes qui vont changer quoi que ce soit. »
" />
#Flock est tout bronzé
19/08/2017
Le 19/08/2017 à 17h 16
Ouais, chapeau bas l’artiste! " />
GnuPG 2.2 est disponible : des changements majeurs, notamment pour la distribution des clés
29/08/2017
Le 17/08/2017 à 15h 39
Rappelons la campagne de financement pour GnuPG " />
Retour sur le projet de loi contre le terrorisme adopté par le Sénat
21/07/2017
Le 24/07/2017 à 15h 13
Et bien non justement! Voici ce que disait carbier : Tu parles du même Amnesty International qui dénonce à chaque fois les violences policières mais jamais celles des casseurs. Franchement, je serai pour que rien qu’une fois, une manif’ ne soit pas encadrer par les flics pour voir ce que tout ce beau monde dirait… Ainsi, carbier justifie bien les violences policières.
Enfin, tu cites ce message : Je ne nie pas qu’il existe des violences policières, je constate juste que certains ne regardent jamais que d’un seul côté.
Là, on lit que les violences policières existent… la bonne affaire, on avait pas remarqué…
Le 24/07/2017 à 08h 38
Et pendant que tu y es, lis l’avis juridique de la Ligue des Droits de l’Homme sur ce projet de loi :
Avec de nombreuses institutions, à l’exemple du Défenseur des droits et de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme dont les critiques sont explicites, la LDH est particulièrement inquiète des mesures envisagées dans le projet de loi présenté par le gouvernement qui entend traduire dans le droit commun des mesures exceptionnelles qui portent gravement atteinte à l’Etat de droit et aux libertés fondamentales.
Lettre de la LDH.
Avis juridique de la LDH.
Le 24/07/2017 à 08h 06
Si ton seul argument est de dire “c’est n’importe quoi” alors ça vole haut… Relis plutôt cette nouvelle loi qui retranscrit l’état d’urgence dans le droit commun.
Le 23/07/2017 à 19h 23
Le 21/07/2017 à 16h 35
Nous parlons d’une loi qui restreint les libertés fondamentales des citoyens de notre république. Par contre, ta réponse de troll, visant à discréditer Amnesty international et à justifier les violences policières et les restrictions des libertés de tous à cause d’une infime minorité de casseurs, est juste à côté de la plaque.
Le 21/07/2017 à 15h 39
Le 21/07/2017 à 15h 15
Le 21/07/2017 à 15h 10
Le 21/07/2017 à 12h 53
France, le droit de manifester menacé:
Depuis novembre 2015 et les terribles attentats qui ont touché la France, l’état d’urgence a été instauré et renouvelé à cinq reprises. Alors que son objet est de prévenir de nouvelles attaques, les mesures de l’état d’urgence ont été utilisées pour interdire 155 manifestations. Tous les 3 jours environ, une manifestation est interdite en France sous ce prétexte.
Le 21/07/2017 à 12h 43
Censurée, l’interdiction de manifester revient dans le texte sur l’état d’urgence : D’après les chiffres communiqués au Monde par le Sénat, parmi les 618 mesures individuelles d’interdiction de séjour prises depuis le début de l’état d’urgence, 438 l’ont été dans le cadre de la mobilisation contre la loi travail (seules 169 auraient cependant été notifiées aux personnes visées).
Le 21/07/2017 à 12h 34
Toujours aussi amusant les commentaires effectivement…
L’État a bien utilisé l’état d’urgence pour interdire des manifestations et des participations à des manifestations!
Quand l’état d’urgence rogne le droit de manifester
Etat d’urgence et interdictions de manifester : l’amnésie soudaine de Manuel Valls
Le 21/07/2017 à 09h 14
« nous parlons ici d’événements culturels et sportifs, et non des défilés, cortèges ou rassemblements de personnes sur la voie publique, lesquels relèvent des articles L. 211–1 et L. 214 du code de la sécurité intérieure. Nous l’avons affirmé et réaffirmé, ces mesures ne seront pas utilisées pour maintenir l’ordre public »
L’état d’urgence avait pourtant été utilisé pour restreindre/réprimer voire interdire des manifestations lors de la 1ère loi travail…
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/manifestation-interdite-contre-la-loi-t…
Concours : gagnez un exemplaire dédicacé de Surveillance:// de Tristan Nitot
20/07/2017
Le 20/07/2017 à 10h 49
Let’s do this " />
Comment Next INpact va soutenir les projets qui protègent vos données et votre vie privée
29/06/2017
Le 30/06/2017 à 08h 14
Et bah heureusement qu’il ne fait plus 38°C " />
Plus de dons pour plus de jeux concours " />
Le 29/06/2017 à 20h 49
Normalement, j’avais prévu de faire mes dons en décembre mais là ça vaut le coup " />
NI va donc recevoir une p’tite somme sympathique " />
Il serait intéressant de pouvoir donner par rapport à des projets mais bon ça doit pas être facile de gérer le quotidien donc vous êtes pardonné-e-s ;-)
Concours pour gagner la console « Next Gen » de votre choix, il vous reste jusqu’à ce soir
14/05/2017
Le 05/05/2017 à 16h 50
" />
Application SAIP : quand l’avocat de Deveryware nous adresse une mise en demeure
24/04/2017
Le 24/04/2017 à 18h 49
Pour notre part, nous considérons que le vrai préjudice, si préjudice il y a, ne réside pas dans nos messages, mais dans le choix du gouvernement de ne pas avoir activé cet outil.
C’était ma première réflexion à la lecture du début de l’article. " />
L’avis de la CNIL sur le décret Algorithme de la loi Lemaire
24/04/2017
Le 24/04/2017 à 14h 51
Merci pour le document de la CNIL et l’analyse des différentes dispositions légales en la matière dont loi 1978 et CRPA. Cela donne des idées " />
Pourquoi Free a subi un redressement de TVA
14/04/2017
Le 20/04/2017 à 20h 06
Dans le calcul en question, si vous (ou FREE) payez 5,5% de TVA sur 5000€ soit 275€ mais qu’en fait vous deviez payer 19,6% de TVA alors il faudra appliquer un taux supplémentaire de 14,1% sur ces 5000€ soit 705€ puisque vous avez déjà payé 5,5%. En fait 19,6% x 5000€ = 980€ qui est bien égal à 275+705.
Par ailleurs, 19,6% est bien égal à 5,5% + 14,1% !
En fait, vous confondez avec des augmentations successives. Dans ce cas, une augmentation de 19,6% n’est pas identfique à une augmentation de 5,5% puis une autre de 14,1%.
Le 18/04/2017 à 10h 25
Euh non, plutôt de 53,68% pour la TV car il faut appliquer un taux de TVA de 14,1% (puisque Free a déjà payé 5,5%).
Le 18/04/2017 à 10h 17
Oui il ne s’agit pas de 56% mais d’un pourcentage plus petit pour la TV. Mais le montant du redressement de seulement 3,5 millions € pour environ 3 000 000 d’abonnés est très faible… Après calculs pour 3 000 000 d’abonnés, je trouve un taux de 54,33% pour la part TV… En effet,il suffit d’étudier la différence avec des taux inférieurs et d’appliquer un taux de TVA à 19,6%.
Le 18/04/2017 à 09h 00
Effectivement, il n’y a pas de calcul. D’ailleurs en 2008, Free comptait environ 3 000 000 d’abonnés (source). Donc le redressement de TVA correspondrait à environ 1€ par abonné pour l’année 2008… Euh, c’est moi qui buggue ou bien c’est ridicule pour un passage de 5,5% à 19,6% de TVA sur la partie TV? " />
#Flock nous résume sa semaine, entre stupeur et tremblements
15/04/2017
Le 15/04/2017 à 13h 43
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Le 15/04/2017 à 13h 27
Le 15/04/2017 à 11h 46
Merci! " />
J’ai bien apprécié l’illustration sur Europe et Encelade " />
Et bien sûr, Wikilieaks et CIA m’a fait sourire " />
Déclaration des revenus 2016 : le site est ouvert, les détails à connaître
12/04/2017
Le 14/04/2017 à 12h 21
Concernant l’impôt à la source, voici un communiqué intersyndicale du secteur des finances publiques (pdf) :
Prélèvement à la source : accident industriel en vue
Sauf décision contraire et rapide d’une nouvelle législature, le prélèvement à la source devrait être effectif au 1er janvier 2018.
Les organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP, représentant à elles trois plus de 80 % des personnels de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), se sont toujours opposées à cette réforme et continuent de s’y opposer.
Lors des comités techniques de réseau (CTR) convoqués les 23 mars et 4 avril dernier, elles ont réitéré leurs positions et alerté une nouvelle fois, les responsables administratifs et politiques des risques d’accident industriel susceptibles de se produire tant sur le niveau des recettes fiscales de l’État que sur le consentement à l’impôt, les conditions d’accueil des contribuables ou encore les conditions de travail des personnels de la DGFIP.
L’ouverture de la campagne de dépôt des déclarations de revenus risque, au regard des éléments qui nous ont été communiqués, de drainer vers les services de la DGFiP de nombreux contribuables déboussolés et en recherche de réponses précises.
Or, la DGFiP fait face depuis de nombreuses années à une réduction de moyens tant budgétaires qu’humains (37 600 suppressions d’emplois depuis 2002) ainsi qu’à une frénésie de restructurations qui désorganisent les services et les éloignent significativement des contribuables.
Le taux de recouvrement de l’impôt sur le revenu dont la collecte est assurée jusqu’à présent directement par notre administration atteint plus de 98 %. Ce résultat ne justifie en rien un tel changement. Au contraire, l’intervention de tiers collecteurs et d’organismes tiers dans la chaîne de recouvrement de l’IR, est de nature à engendrer une potentielle baisse des recettes de l’État. Prendre un tel risque est incompréhensible au vu de la situation budgétaire.
Cette réforme présentée comme une simplification par le gouvernement se révèle au fur et mesure de son développement une véritable usine à gaz, tant pour les agent-e-s que pour les contribuables, en raison de son inadaptation à la complexité de la fiscalité d’une part et des dispositions techniques nécessaires à sa mise en œuvre d’autre part. Le prélèvement à la source va alourdir les charges de travail sans que pour autant la simplification attendue par les contribuables soit au rendez-vous.
De plus, l’association d’un calendrier très contraint et d’incertitudes politiques quant à la mise en œuvre effective du projet du fait des échéances électorales impose aux agents une pression supplémentaire.
La concentration des moyens sur ce projet d’une envergure exceptionnelle, met d’ores-et-déjà en difficulté les autres missions de la DGFiP (contrôle fiscal, contrôle des fonds publics, …).
Pour toutes ces raisons, les syndicats Solidaires, CGT, FO ont adressé un message de défiance très fort au Ministre des Finances et des Comptes publics , au Directeur Général des Finances Publiques sur la mise en place d’une telle réforme et ses conditions de mise en œuvre. Ils exigent :
Enfin les organisations syndicales Solidaires Finances Publiques, CGT Finances Publiques et FO DGFiP demandent que les personnels de la DGFiP ne soient pas tenus pour responsables en cas d’échec de la réforme, ce qui aujourd’hui paraît devoir être le cas.
Le 12/04/2017 à 20h 10
C’est un peu plus tordu que cela :
Le 12/04/2017 à 13h 39
Le 12/04/2017 à 13h 23
On vous répond sur l’évolution de Next INpact, à la recherche d’un nouvel équilibre
12/04/2017
Le 12/04/2017 à 20h 53
Ah… je suis un bras cassé! J’avais jamais tilté depuis 2013 " />
Option activée! " />
Le 12/04/2017 à 20h 29
Next INpact devient accessible sur abonnement et repense son modèle économique
03/04/2017
Le 03/04/2017 à 17h 32
Perso, 90€ pour deux ans (soit 3,75€/mois) + la remise d’ancienneté jusqu’à 20% (soit 3€/mois), cela me semble correct pour permettre à NI de rester indépendant tout en étant viable voire de grandir. Si on ajoute la réduction de 50% pour les faibles revenus alors ça semble équilibré.
GPG : comment créer une paire de clefs presque parfaite
28/01/2017
Le 28/01/2017 à 19h 14
Merci pour ce tuto! Le chiffrement des communications devrait d’ailleurs être un prérequis pour tous les journalistes " />
Impôt 2017 sur les revenus de 2016 : le simulateur officiel est en ligne
17/01/2017
Le 17/01/2017 à 18h 22
L’équipe de Next INpact vous souhaite une bonne année 2017 !
31/12/2016
Le 31/12/2016 à 19h 09
Bon réveillon à toutes et tous! Et merci à NI pour une information numérique de qualité " />
Suspendue par l’ACPR, la « néo-banque » Morning cherche un repreneur
28/12/2016
Le 31/12/2016 à 11h 32
Des informations complémentaires de Cbanque, La fintech Morning autorisée à reprendre ses activités, et en particulier celle-ci :
Une première réunion avec l’ACPR, le 20 décembre, n’a pas permis de résoudre la situation. Mais, comme le précise le régulateur dans sa décision rendue publique hier soir (ndlr 29⁄12), « la somme de 500.000 euros qui avait été prélevée sur le compte de cantonnement en septembre 2016 a été reversée le 22 décembre 2016 ». En outre, « des sommes de 538.494 euros et 21.416 euros destinées à combler l’insuffisance de cantonnement supplémentaire (…) ont été versées sur ce compte les 23 et 27 décembre 2016 », le tout complété par un virement de 6.220 euros. L’ACPR estime que le montant de ces dépôts est « suffisant pour couvrir les fonds reçus de la clientèle ».
Loi Numérique : Open Data « par défaut » uniquement pour les administrations de 50 agents et plus
30/12/2016
Le 30/12/2016 à 20h 40
Un décret important malgré les restrictions dont les 50 ETP et surtout l’application progressive jusqu’en octobre 2018 au plus tard… Mon administration va bientôt recevoir quelques demandes de consultation de documents administratifs en particulier de statistiques et de codes sources de logiciels. " />
À Bercy, la fin des bulletins de paie sur support papier programmée pour 2018
28/12/2016
Le 30/12/2016 à 09h 44
Le 29/12/2016 à 12h 18
Idem en particulier pour le découpage d’une citation afin de pouvoir répondre par étapes et aussi la simple modification d’une citation qui n’est pas toujours évidente.
Si on continue à se plaindre alors on va passer tous les deux à un éditeur brut html ou autre " />
Le 29/12/2016 à 11h 58
L’éditeur déconne souvent pour moi :/
En fait, il est juste de dire que “la majorité des salariés du privé ne bossent pas dans une grosse boîte de ce genre.”; c’est un fait la majorité des boîtes (~55%) ont moins de 50 salariés.
Par contre, il est faux d’affirmer que “pour bénéficier de l’absence de jours de carence, il faut soit être fonctionnaire, soit bosser dans une grosse boîte.”. En effet, la disjonction des cas est incomplète et ne reflète pas la réalité (cf le rapport).
Le 29/12/2016 à 11h 21
Le 28/12/2016 à 14h 04
le décret cadre autorise uniquement une remise des bulletins de paie sur support papier dans deux hypothèses : pour les fonctionnaires étant « dans l’incapacité d’accéder sur leur lieu de travail à leur espace numérique sécurisé »
Les ordinateurs à la disposition des enseignants de mon établissement tournent toujours sous XP sans MAJ depuis bien longtemps… Dès lors, cela signifie-t-il que je serais dans l’incapacité d’accéder à cet espace numérique sécurisé sur mon lieu de travail? En effet, où est la cohérence de se connecter à un espace numérique sécurisé à partir d’un ordinateur dont l’OS est totalement obsolète et non sécurisé…?
Pas de possibilité de refuser la dématérialisation…
Je reconnais, là, les qualités légendaires de dialogue et de négociation de l’État employeur…
Offrez-vous le pack de goodies Next INpact : mug, t-shirt « Tous fichés », stickers, etc.
15/12/2016
Le 15/12/2016 à 17h 19
Je suis tout excité! " /> J’ai bien l’impression que NI va devoir créer une mini entreprise juste pour la vente de goodies!
Pour Noël ou des anniversaires, il pourrait être sympa de pouvoir offrir à des ami-e-s le pack suivant : abo 1 an + goodies.