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7412 commentaires

Le 02/09/2014 à 07h 25







knos a écrit :



Et après le 11 novembre ils gardent tous simplement l’argent? …. C’est légale ça?





Si SFR Paycard informe correctement ses utilisateurs, il n’y a rien d’illégal selon moi.


Le 02/09/2014 à 07h 19







knos a écrit :



Et après le 11 novembre ils gardent tous simplement l’argent? …. C’est légale ça?





se rendre sur www.sfrpaycard.fr

cliquer sur “En savoir plus” dans l’avant-dernier paragraphe

cliquer sur “3 - Que se passera-t-il après le 11 novembre 2014 ?”


Le 01/09/2014 à 10h 54







brazomyna a écrit :



Evidemment, puisque ce sont eux qui sont totalement maîtres des prix.



Je ne comprends pas ou je ne suis pas d’accord : la régulation des prix de gros existent pour permettre aux petits opérateurs de faire des offres intéressantes. Et empêcher les gros propriétaires de réseau d’asphyxier les petits avec leurs tarifs.







brazomyna a écrit :



Mais c’est pas parce que les tarifs des terminaisons d’appel ont baissé que c’est la cause de la baisse du coût des forfaits pour le grand public. Les deux sont totalement décorrélés.



Exact, tout à fait d’accord. Ce n’est pas la cause, mais c’est la condition sine qua non pour que les petits opérateurs et MVNO proposent des offres intéressantes.



En réponse au commentaire de renaud07 qui semblait focalisé sur les tarifs des offres de services télécom grand public (comme beaucoup de commentaires sur Next Inpact et sur le web), j’ai seulement essayé de préciser quelques éléments sous la réalité des prix de détail. Pas de vélléité de ma part de reprocher ou de démentir la responsabilité des fournisseurs de services télécom dans le prix de leurs offres commerciales.


Le 31/08/2014 à 09h 23







renaud07 a écrit :



Oui je sais qu’on est plutôt bien loti coté tarif mais c’est pas une raison pour ne pas faire encore moins cher.



Pour donner mon avis, effectivement, ce n’est pas une raison, mais il n’y a pas que le prix dans une offre, il y a d’autres paramètres (la qualité, le SAV, une offre commerciale différenciée, etc)







renaud07 a écrit :



On a bien réussi à baisser drastiquement les prix sur le mobile, pourquoi pas sur le fixe ? Si tous les opérateurs proposaient le triple play à 20€ ça serait un grand pas en avant.



Dans le mobile, c’est surtout les réglementations de l’ARCEP et de l’Union européenne qui ont limité les tarifs des terminaisons d’appel (que se factures les opérateurs télécom entre eux) et de l’itinérance (appels entre pays de l’Union européenne).

Mobile : rappel des baisses de prix dans l’Union Européenne - NEXT INPACT

Les tarifs du roaming (ou itinérance internationale) - telecom-infoconso.fr

communiqué de presse Parlement européen

communiqué de presse Commission européenne

les terminaisons d’appel - ARCEP







renaud07 a écrit :



Et coté location de ligne, Orange n’a qu’a baisser ces tarifs ils en ont largement les moyens avec les milliards qu’ils brassent chaque année.



Ce n’est pas si simple : le tarif de la location de la boucle locale d’Orange est régulée par l’ARCEP : cette ligne de cuivre qui va jusqu’à l’abonné est sensée être louée à prix coûtant aux opérateurs-tiers qui en font la demande. (par ailleurs, le prix de l’abonnement téléphone fixe d’Orange “abonnement principal” est également régulé par l’ARCEP).



D’autre part, l’objectif actuel de l’industrie des télécom, de l’Etat et d’une partie des collectivités locales (plus ou moins investies dans le domaine) est de développer un réseau THD (très haut débit) jusqu’à l’habitant. Si le prix de l’ADSL (sur réseau cuivre d’Orange) est vraiment inférieur au prix des offres THD alors il n’y aura pas de développement des réseaux THD jusqu’à l’abonné.


Le 30/08/2014 à 11h 28







JoePike a écrit :



Le militantisme politique ou le fan de foot … bon … <img data-src=" />

( c’est une vanne OK ! <img data-src=" /> )



Pour rien au monde je ne quitterai le fixe de Free pourtant il ne m’a pas fallu longtemps pour quitter leur mobile ( enfin j’ai gardé le zéro € en backup parce qu’il faudrait être idiot pour ne pas le garder)



Chacun voit midi à sa porte. En tout cas, ce n’étais pas une vanne, je ne fais jamais de plaisanterie en public sans m’assurer d’être compris et en l’occurrence, je ne plaisantais pas.


Le 30/08/2014 à 09h 47







sticoum a écrit :



Dans tous les cas Free est sans engagement, je ne vois pas l’intérêt de se plaindre constamment alors que tu peux changer d’opérateur facilement contrairement au triumvirat qui t’engageait jusqu’à deux ans même si le réseaux fonctionnent mal là où on est.





Parce qu’il est toujours plus confortable de s’en prendre à autrui que d’accepter sa propre erreur.



Et dans toutes les marques commerciales (comme dans le football ou le militantisme politique), il y a toujours un besoin d’appartenance à un groupe… qu’il faut quitter à contre-coeur en cas de déception ou bien on souffre en se plaignant avec son petit orgueil blessé, en attendant des jours meilleurs.


Le 29/08/2014 à 20h 27

Le 29/08/2014 à 20h 21







Ewil a écrit :



Y a de l’engagement chez Free maintenant ?







joma74fr a écrit :



promotion Free mobile sur vente-privee.com forfait à 3,99€/mois sur 12 mois d’engagement (au lieu de 19,99 euros).





sans engagement (petite erreur de ma part)



sources :

http://www.argentdubeurre.com/actualite/consommation/hightech/4632-vente-privee-…

http://www.zone-numerique.com/soldes-399-euros-pour-le-forfait-illimite-free-mob…


Le 29/08/2014 à 20h 10







Ewil a écrit :



Y a de l’engagement chez Free maintenant ?





promotion Free mobile sur vente-privee.com forfait à 3,99€/mois sur 12 mois d’engagement (au lieu de 19,99 euros).


Le 01/09/2014 à 07h 48







Bylon a écrit :



(…)

Mais XN n’est pas non plus un philanthrope, quand on sait que ça lui coûte 8000€ la prise optique (en moyenne), c’est un truc qui s’amortit sur des 10aines d’années, et ça ne lui plaît guère !





A côté du problème de coût ou d’investissement, c’est surtout un problème d’autorisations administratives (collectivités locales, copropriétés, propriétaires, habitants), de contacts locaux, de possibilités techniques (avoir des fourreaux et des gaines disponibles dans la rue, dans les montées d’immeubles anciens, dans les appartements), de logistique locale (équipes de techniciens sur place, matériel à déployer, etc).



Mais l’investissement financier est aussi un paramètre important, c’est vrai.


Le 30/08/2014 à 11h 20

En France on a une culture musicale très pauvre.



Il n’y a qu’à voir de quelle nationalité sont les compositeurs les plus connus au monde (contemporains ou historiques).



Il n’y a qu’à comparer les vidéos les plus populaires sur Youtube de



Le 28/08/2014 à 14h 55







brazomyna a écrit :



(…)

(*) et pas besoin de polémiquer sur le passage de 30 à 38 euros pour la Freebox Révolution, d’une part parce que la freebox crystal à 30 euros existe toujours, d’autre part parce rien qu’en comptant l’inflation, les 38 euros sont moins chers que les 30 euros de l’époque.





Globalement, nous sommes d’accord.





Au sujet de l’annotation avec la petite étoile * :





  • l’inflation est vraiment réduite depuis l’arrivée de l’euro (la valeur de l’euro ne baisse pas par rapport au dollar). Sauf si Free vendait ses services dans une autre monnaie que l’euro, Free (comme tous les commerçants) n’a pas de raison d’augmenter ses prix. Je veux bien croire en revanche que l’augmentation de la COSIP (la contribution au cinéma et à l’audiovisuel que paient les diffuseurs de TV) a été un coût supplémentaire pour Free (dans quelle proportion?).



    D’autre part, plus un opérateur a d’abonnés, plus son bénéfice commercial augmente :

    * le chiffre d’affaire augmente avec le nombre d’abonnés

    * avec essentiellement des coûts fixes (qui n’augmentent pas proportionnellement à son chiffre d’affaire).

    C’est une vraie question, pas une polémique futile : pourquoi augmenter les tarifs adsl si la marge augmente ?



  • la freebox Crystal est à 30 euros/moins mais sans la TV : je me fais l’avocat du diable mais la légendaire offre triplay freebox n’est plus à 30 euros/mois. Mais c’est vrai, pas d’augmentation de tarif pour les abonnés freebox Chrystal sans option TV.





    Finalement, je me rends compte que le discours marketing des années 2000 de Free m’est resté gravé dans la tête malheureusement.


Le 28/08/2014 à 10h 21







brazomyna a écrit :



Certes, mais on peut “faire du fric” en jouant sur différents leviers qui sont au final plus ou moins bénéfiques pour l’utilisateur.



“faire du fric” en faisant de l’entente sur les prix est moins bénéfique pour le client final que “faire du fric” en jouant à fond la carte de la concurrence.





C’est pourtant exactement leur ADN: Free fait tout pour réduire au maximum ses coûts de fonctionnement, pour dégager des marges que les autres n’ont pas.



Je vais pas te rappeler l’histoire déjà rappelée 1000 fois avec le PDG d’AOL filmé quand il apprend que Free sort une offre ADSL à 30 euros. Il se décompose parce qu’il sait pertinement qu’il a une structure de coût supérieure à 30 euros, et donc qu’il a déjà perdu la partie.

Pour le mobile, c’est exactement la même chose: quand certains opérateurs dépensent des millions rien que pour entretenir leur SI avec leur jungle d’offres, y compris celle de noël 2004 qu’il faut encore supporter 10 ans après (je sais j’y ai bossé), Free fait une offre simple et une infra très économe à l’avenant.

Quand Bouygues dépense des millions pour la sous-traitance de ses DSLAM à SFR, Free fait des économies en ayant déployé leur propre réseau, etc… Free fait au final des économies sur chaque poste de coût.





Ca se discute : Chaque entreprise agit selon ses moyens, ses intérêts et ses ambitions.



Free envoie un boitier TV à tous ses clients même ceux qui reçoivent mal la TV par adsl, même ceux qui n’ont pas l’intention de choisir l’option TV. C’est une facilité logistique mais c’est aussi du matériel fourni pour rien. Alors j’entends déjà l’argument que Free fabrique sa box en interne et que ça lui coûte moins cher que de se fournir chez Technicolor ou Sagem, mais ça coûte quand même.



Quand on peut critiquer la lourdeur et la complexité du SI d’Orange qui l’handicape dans ses démarches marketing et logistique, c’est dû à l’histoire d’Orange alors que Free est une société plus jeune et elle a pu se construire un SI sur mesure. Mais Orange a d’autres atouts que Free n’a pas comme sa connaissance des collectivités locales et sa force de frappe pour développer un réseau fibre beaucoup plus rapidement que Free. Et ça aussi c’est dû à l’histoire plus longue d’orange.



Concernant Bouygues Telecom, cette société est la filiale d’un groupe de BTP Travaux publics et de médias. Forcément, Bouygues Telecom s’appuie sur ces atouts-là. Le partenariat commercial entre Bouygues et SFR ou encore avec Numéricable/Completel avait sûrement quelques avantages (et peut-être quelques-uns pour la branche BTP tvx publics du groupe).



J’entends l’argument que des boutiques physiques coûtent cher à Bouygues télécom, mais si aujourd’hui free mobile développe des distributeurs de cartes SIM dans un partenariat avec un réseau de marchands de journaux, il s’agit bien d’un atout dont free se passait jusqu’à maintenant mais qui l’handicape un peu quand même.



Au sujet de l’esprit de concurrence de Free, là encore, il y a d’autres façons de voir le problème : Free baisse ses prix essentiellement pour capter des parts de marché que ses concurrents n’auront pas. Que sa stratégie profite au consommateur est un aspect des choses mais il faut bien avoir conscience qu’une fois installé sur le marché, Free ne fera pas autre chose que ce que fait aujourd’hui Orange. Ce n’est pas seulement les coûts que free supporte qui font ses prix de vente. Avoir la possibilité de vendre à bas prix, ne veut pas dire que l’ont va forcément vendre à bas prix (c’est le même problème avec les prix bas de E.Leclerc).



L’offre à 2 euros de Free mobile n’est pas rentable sans les 36 euros qu’apportent l’offre adsl. Ca aussi c’est une réalité. Et quand B&you fait une offre adsl à 16 euros/mois c’est le même principe. Les coûts que l’entreprise supportent sont donc à relativiser dans les politiques marketing de ces entreprises.


Le 28/08/2014 à 14h 20







TheRarePearl a écrit :



Sinon quelqu’un a déjà testé une liseuse possédant un écran couleur ? Ça donne quoi ? Y a t-il de nouveaux modèles/technologies en prévision ? Est-il possible d’avoir des liseuses sans système de DRM et d’acheter des livres sans DRM ?







  • L’écran couleur sans rétro-éclairage n’est pas beaucoup commercialisé. La technologie n’est pas vraiment au point.



  • Les librairies sur les liseuses (comme sur le web) gèrent les DRM mais permettent de lire des formats de fichier sans DRM aussi. Pour donner un exemple, quand j’ai allumé la 1ere fois la mienne (Bookeen Odyssey), l’interface m’a demandé un identifiant AdobeDRM. Ca m’a un peu déçu.



    En même temps, il est possible de trouver des livres anciens gratuits car dans le domaine public.


Le 27/08/2014 à 09h 12

Pourquoi ces commentaires négatifs contre Le Parisien sur Next Inpact et ailleurs ? Ca me fait penser au Dauphiné Libéré dans ma région : le journal local le plus diffusé… et le plus détesté à cause de ses contenus convenus ou contenus à sensation (faits divers, etc).



Encore un buzz qui ne sert à rien puisque Le Parisien continuera à vendre du papier et The Parisienne continuera dans la com’ sous le même nom ou un autre.



En tout cas, le sujet de la pertinence de ces noms communs (gentilité, nom de village, etc) déposés en marque commerciale est intéressante pour moi.

Le 26/08/2014 à 12h 24

Ca me fait penser à cette affaire :



Le village de Laguiole, dépossédé de son nom, en appelle au président Hollande

lagazettedescommunes.com 14/04/2014

Le 27/08/2014 à 07h 47







knos a écrit :



Tu y crois?



Moi je pense que la somme totale sera juste plus grande. Et s’ils peuvent augmenter ce que paye chaque personne au passage.





J’ai seulement parler d’un principe fiscal : si on augmente l’assiette de l’impôt, on obtient la même recette en divisant le montant du prélèvement sur un plus grand nombre de contribuables (qui paient donc une part plus petite).



Si on parle des recettes de FranceTV, ou des recettes obtenues grâce à la contribution à l’audiovisuel public, c’est un autre débat. Moi je pense que l’Etat a besoin de réduire ses dépenses et qu’il essaie de faire en sorte que FranceTV se débrouille par elle-même.



Un responsable de groupe audiovisuel préférera augmenter ses recettes que de couper dans ses budgets ou licencier. Et si l’Etat réduit de “292 millions d’euros en 2014 à 29 millions en 2017” comme le dit l’article de Next Inpact, il faudra bien trouver une solution et peut-être augmenter les recettes dues à la contribution à l’audiovisuel public ou augmenter le recours à la publicité ou autre… ou tout à la fois. à suivre…



C’est le même problème depuis des années (plus ou moins de pub? augmentation de la redevance ou pas? etc) comme pour Radio France :

juillet 2000 Les radios généralistes privées dénoncent le Plan bleu de Radio-France

juin 2014 La restructuration de Radio France est en marche



Le problème actuel est que l’évolution technologique change la manière de diffuser la TV et la radio (donc il faut un changement de la façon de percevoir la contribution à l’audiovisuel public) dans un contexte qui pousse l’Etat à réduire ses subventions à FranceTV.


Le 27/08/2014 à 00h 12







Bourrique a écrit :



(…)



Et puis faudrait penser à revoir le salaire de papy drucker. Ca me rapelle le sketch des guignols avec naguy/sabatier/arthur à la grande époque des producteurs voleurs de pepettes.





Tu voulais parler de Naguy / JL Delarue / Arthur qui ont eu des contrats très profitables avec FranceTV grâce à JP Elkabbach (pdg de FranceTV) dans les années 1990.



Patrick Sabatier a justement commencé sa traversée du désert (télévisuelle) à cette période-là.


Le 27/08/2014 à 00h 04







knos a écrit :



Oui mais disons que c’est des poupées russes.



Regarde les chaines publique &lt; regarde la tv &lt; possède une tv &lt; possède une tv/pc/smartphone &lt; tout le monde



Pour l’instant c’est régler sur possède une tv. La logique serai que seul ceux qui regarde les chaines publique paye. Ou au maximum une taxe étendu a ceux qui regarde la TV. Mais la on va dans l’autre sens en globalisant tout les écrans dans la taxe.





Joli raisonnement <img data-src=" />



l’avantage de globaliser à tous les écrans (d’élargir l’assiette fiscale) est d’augmenter le nombre de contribuables qui, de ce fait, paient une part moins grande de la somme totale.


Le 26/08/2014 à 23h 49







HCoverd a écrit :



Je suis ton raisonnement sur ce point. Pas de soucis, après autre chose aussi :

Aujourd’hui le gouvernement nous fait payer la redevance sur le simple fait d’avoir un poste TV. Mais tu peux très bien regarder toutes les chaines du monde sans pourtant passer une seule seconde sur les chaines publiques.





Tu as très bien résumé la différence entre un prélèvement obligatoire (impôt, taxe, contribution) et un abonnement à un service marchand (une prestation de service).







HCoverd a écrit :



Donc aujourd’hui cette redevance est ponctionner de manière totalement arbitraire et absurde sans aucun contrôle. S’il y avait un système qui permet de savoir si oui ou non tu regardes les chaines publiques, là oui.





en tout cas, avec le contrôle de l’Assemblée nationale (vote du budget de l’Etat), de la Cour des comptes.



à noter : un prélèvement obligatoire n’est pas une contrepartie à une prestation de service


Le 26/08/2014 à 23h 31







campingaz a écrit :



Pas de TV, pas d’abonnement TV via mon FAI, je ne consulte pas les sites des chaines, je regarde mes films sur vidéoprojecteur justement pour éviter la redevance. D’après Wikipedia :



Donc pour étendre la redevance TV aux PC et tablettes, il faudrait que cette redevance change de statut et devienne un impôt ?

Est-il moralement acceptable de partir du principe que chaque citoyen regarde la télévision ? Avec le nombre de personnes qui ne paient pas d’impôt, l’Etat ne serait-il pas perdant en changeant le “type” de ce prélèvement ?





Une petite précision : Un prélèvement obligatoire (impôt, taxe, contribution) a une assiette fiscale (une base de calcul). Ce n’est jamais une contrepartie à un service rendu – à lire : un article de blog instructif



* Dans le cas d’une taxe, il s’agit d’un prélèvement obligatoire sur une opération. ex : la TVA

* Dans le cas d’un impôt, il s’agit d’un prélèvement obligatoire sur un revenu ou une ressource.

* La contribution est destinée à une dépense précise, contrairement à l’impôt et à la taxe qui, eux, sont inclus dans le budget général de la collectivité.





La contribution à l’audiovisuel public a une assiette fiscale (une base de calcul) constituée par la possession d’un téléviseur (ou d’un écran+tuner) à son domicile principal. Et cela qu’on regarde ou non la TV, que la TV soit dans son carton au fond du garage ou bien posée au milieu du salon.



Actuellement les tablettes, smartphones ou ordinateurs ne sont pas concernés par la contribution à l’audiovisuel public car l’administration fiscale considère que ces appareils ont d’autres finalités d’usage principales que d’accéder à des services audiovisuels (TV-radio).



Par ailleurs, la contribution à l’audiovisuel public ne finance qu’une partie de l’audiovisuel public (FranceTV, Arte, Radio France, France Médias Monde), l’autre partie étant les subventions de l’Etat (donc par les impôts et taxes) qui, comme le montre l’article de Next Inpact, vont être profondément réduites dans l’avenir.





Donc pour étendre la redevance TV aux PC et tablettes, il faudrait au choix :




  • créer une taxe (à la place de la contribution) sur les téléviseurs, tablettes et smartphones (et promettre une subvention meilleure à FranceTV)

  • que les usages audiovisuels deviennent prédominants sur ces appareils connectés.

  • que le législateur décide d’élargir l’assiette de la contribution aux écrans connectés (tablettes, smartphones, etc)



    Sinon, il y a d’autres pistes aussi :

  • que le législateur permette à FranceTV, Arte, Radio France, TV5 Monde, etc de diffuser de la publicité plus largement qu’aujourd’hui

  • que FranceTV augmente ses revenus de services payant sur le web. ex : pluzz.fr (VOD, etc)

  • que FranceTV réduise ses dépenses.

  • etc.


Le 26/08/2014 à 13h 57

écran noir comme à la TV publique greque l’année dernière :



Grèce : écran noir et nuit blanche

euronews.com 13/06/2013

Le 27/08/2014 à 07h 06

Axelle Lemaire a l’air enthousiaste sur Twitter… et la France a la gueule de bois dans les journaux TV de 20h

http://www.dailymotion.com/video/xf9rkc_la-france-a-peur_news

Le 26/08/2014 à 18h 52

Au test d’Arte, je suis un vagabond parce que je butine papier et web.

Et j’ai répondu comme la majorité des répondants sauf pour mes dépenses en presse numérique dans laquelle je dépense plus que la majorité des répondants (c’est un peu grâce à Next Inpact).

Le 26/08/2014 à 11h 49







Guyom_P a écrit :



Faux.

Le droit d’auteur est inaliénable. Tu cèdes des droits d’exploitations à FB dans des conditions définis dans le contrat qu’on te fait lire à l’inscription.

C’est à dire que tu leur cède des droits d’exploitations pour utiliser tes photos pour illustrer des pub pour une durée de vie limité à la durée de présence sur le site de la photo. Donc quand tu supprime la photo, ils perdent les droits.

Et au vue des milliards de photo uploadé chaque jour, autant dire que si un jour tu vois une de tes photos dans une pub Facebook tu peux essayer de jouer au Loto aussi.

Après je ne défends pas pour autant ce droit d’exploitation que tu ne peux refuser quand tu acceptes d’utiliser ce service.





Oui c’est bien écrit dans la partie :




  1. Partage de votre contenu et de vos informations

    facebook.com FacebookMais c’est de la théorie et c’est un peu jouer sur les mots. Un droit d’auteur sans rémunération, sans droit de refuser une utilisation spécifique, c’est un droit d’auteur déshabillé (même pas sûr que la paternité du contenu soit cité par facebook en cas d’utilisation)



    D’autant que :



  2. Termes spécifiques aux utilisateurs hors des États-Unis



    Nous nous efforçons de créer une communauté sans frontières avec des standards cohérents pour tous, tout en respectant les lois locales. Les clauses ci-après s’appliquent aux utilisateurs et aux non utilisateurs qui interagissent avec Facebook en dehors des États-Unis :





    1. Vous acceptez que vos informations soient transférées et traitées aux États-Unis.

      facebook.com FacebookOr il n’y a pas de Droit d’auteur aux USA, seulement un copyright. Donc pour faire respecter ses droits, un utilisateur de facebook français risque d’être un peu perdu (surtout s’il faut aller en Irlande et/ou en Californie en cas de procès).







      Guyom_P a écrit :



      Sinon je suis assez d’accord que c’est lourd de voir des sans cesse des non utilisateurs de FB venir cracher et rabaisser les utilisateurs.



      Quand on ne connais pas quelque chose, on pense facilement que cette chose est soit inutile, insignifiante, soit néfaste pour la société. C’est la nature humaine.



Le 25/08/2014 à 15h 28







CounterFragger a écrit :



Ca ressemble quand même à une affirmation de quelqu’un sûr de lui, ça…



tu as raison. mea culpa. J’avais écrit ça hier parce que je le pensais vraiment.







CounterFragger a écrit :



Sans fondement?



EMV qui est, pour info, le standard international des cartes à puce.



merci pour le lien et l’info.







CounterFragger a écrit :



Et ça, ça ressemble drôlement à une pique teintée d’ironie, à laquelle je n’ai pas trop envie de répondre poliment… <img data-src=" />



c’était une réponse à :

Non, les DAB en France lisent la puce depuis belle lurette.

désolé, si tu l’as mal pris mais ce n’était pas une pique. L’ironie n’est pas dans mes habitudes. J’ai seulement fait une réplique un peu sèche à une réponse un peu sèche à l’un de mes commentaires : par “affirmation si franche”, je voulais dire un désaccord sans appel avec mon commentaire. Et j’ai simplement demandé un argument vérifiable, en toute bonne foi.



Je sais bien que beaucoup aiment faire de l’ironie ici, mais personnellement je préfère appeler un chat, un chat.


Le 25/08/2014 à 12h 28







CounterFragger a écrit :



Il faut avoir vécu dans une grotte ces 20 dernières années pour ignorer que l’implantation de la carte à puce en France est totale. <img data-src=" />



On peut aussi te demander ta “source” laissant entendre que les DAB commencent à peine à lire les cartes à puce… <img data-src=" /> T’as l’air bien sûr de toi aussi…



Merci, du compliment. En gros, dans ma face ?



j’ai seulement émis une supposition d’après ce que je connais sans affirmation. Sinon j’aurais été affirmatif. Mais ça de ton côté une affirmation sans fondement avec une pique en guise de réponse.



désolé. Bonne journée à toi.


Le 25/08/2014 à 12h 05







CounterFragger a écrit :



Non, les DAB en France lisent la puce depuis belle lurette.



une source pour étayer une affirmation si franche ?


Le 24/08/2014 à 14h 13







neves a écrit :



Non, la bande magnétique de ma CB n’est vraiment pas lisible.



Alors peut-être que les banques commencent progressivement à remplacer les plus anciens DAB par des nouveaux capables de lire la puce des CB.







neves a écrit :



Quoiqu’il en soit, même dans le cas où le DAB ne lirai que la puce ça n’empêcherai pas un skimmer placé dessus de lire la bande magnétique. La vrai solution c’est de supprimer la bande magnétique de la CB, mais pour l’instant tout le monde n’est pas encore prêt. Il reste des pays en voie de développement, comme les USA, qui ne jurent que par la bande magnétique…



<img data-src=" /> je plussoie.


Le 24/08/2014 à 09h 00







neves a écrit :



Les DAB lisent déjà la puce : actuellement ma CB est cassée et j’ai du mettre du scotch sur la bande magnétique le temps qu’elle soit remplacée, du coup je me rend bien compte de qui lit la puce et qui lit la bande magnétique :) Je peux retirer aux DAB, par contre je ne peux pas payer aux péages ou aux bornes SNCF et RATP avec.





Ca peut aussi vouloir dire que les DAB sont moins sensibles que les bornes SNCF.


Le 24/08/2014 à 08h 13







Rapi-shiny a écrit :



Mais ya pas des caméras qui filment les distributeurs?



Ca montre bien à quoi sert la vidéo-surveillance ou la vidéo-protection : des indices, des commencements de preuve pour l’enquête de la police judiciaire.



Contrairement à ce que des élus locaux, des responsables d’établissements peuvent affirmer ou penser et contrairement à la légende urbaine, la vidéo-surveillance ne sert pas à faire intervenir la police de proximité plus vite (elle sert éventuellement à réduire les effectifs et le nombre de patrouilles).


Le 24/08/2014 à 07h 59







atomcomputer a écrit :



(…)



Bon hors HS, que du bonheur avec le sans contact!





Personnellement, le jour où les DAB utiliseront le “sans contact” pour donner 20 euros, je commencerais à m’y intéresser. Pourquoi le banquier ne donnerait pas l’exemple aux autres commerçants ?



En même temps, je préfèrerais que les DAB lisent la puce plutôt que la bande magnétique, ça éviterait (plus facilement) le type d’arnaques évoqué dans l’article.


Le 23/08/2014 à 15h 11







Pr. Thibault a écrit :







vincedebdx a écrit :







x689thanatos a écrit :







A33 a écrit :







Alucard63 a écrit :







kozeidon a écrit :







Le low-cost lafinancepourtous.com

Les entreprises low-cost s’inspirent des mêmes recettes que dans le secteur aérien : simplification à l’extrême du produit, “optionalisation” de fonctionnalités considérées comme secondaires. Cependant, certains secteurs échappent au low-cost , comme le luxe et les produits technologiques à forte image de marque. Si l’ on va plus loin, on s’aperçoit que le low-cost conquiert une fraction limitée du marché et finalement cohabite avec des produits traditionnels: que ce soit dans la banque, l’assurance ou l’automobile, le low-cost vient ajouter une nouvelle offre sur le marché, plus qu’il ne la remplace.



Le low-cost lafinancepourtous.com

Il y a des confusions sur la notion même de low cost : ce n’est pas parce que l’on vend un produit bon marché qu’on est low-cost et ce n’est pas parce que l’on produit en Chine avec des coûts de production plus faibles que l’on est low-cost.



Le low-cost consiste à prendre un produit complexe, riche et à le dépouiller de tous ses accessoires et options pour en faire un produit basique, simple.





L’exemple du transport aérien est significatif : le billet d’avion est un produit cher et complexe qui donne accès à de multiples services pendant la durée du vol ( café, journal…). Un billet d’avion low-cost n’offre pas toutes ces options ; il garantit ce qui est essentiel pour la clientèle, à savoir la ponctualité et la sécurité du vol.



Donc le low-cost se définit comme un produit peu cher car simplifié à l’extrême sans avoir toutes les options . Chaque fois que le consommateur veut plus de services, il paie en plus.


Le 22/08/2014 à 10h 01







dronarg a écrit :



Pour le bien de la communication entre peuples, il serait bien d’arrêter d’inventer des mots nouveaux différents pour chaque langue.

Au moins peu à peu un corpus commun se créerait.





D’après l’UNESCO, c’est ce qui se produit actuellement :

http://www.unesco.org/new/fr/culture/themes/endangered-languages/


Le 22/08/2014 à 09h 53







GeX-R a écrit :



Sous-Titre <img data-src=" />



Ils ont fait pire avec le couriel …

Par contre, pourquoi ils ne changent pas les “parkings”, “stop” … qui sont des termes beaucoup plus utilisés







  • parking = parc de stationnement par exemple

  • courriel est d’origine québécoise

  • stop, comme le mot sport, est entré dans la langue française et c’est étonnant que la Commission générale de terminologie et de néologie se préoccupe de ces mots

  • Au Québec, il paraît qu’on dit Arrêt et pas Stop.


Le 21/08/2014 à 21h 47







Grumlyz a écrit :



Sur des sites qui citent des sources fiables.

Google actu permet de recouper différentes sources.

J’évite, enfin non, j’exclue totalement les blogs partisans/militants où l’info sera forcément biaisée, incomplète voire carrément fausse.



Après sur les sujets controversés, genre le conflit Israelo-palestinien, je ne peux pas réellement m’informer, il y a trop d’enjeux internationaux pour avoir une information fiable, de la manipulation à tous les étages, pour moi, le seul moyen de savoir ce qui s’y passe c’est d’y vivre. Même les journalistes présents sur place sont manipulés.





Je comprends mieux. Personnellement, sur facebook et un peu sur Twitter, je suis abonné à des personnalités (journalistes, comédiens, élus politiques, etc) parce qu’ils ont des idées et des informations souvent intéressantes ou amusantes. Mais c’est vrai, parfois, ils ont des partis pris qui sont agaçants, bien que je connaisse à l’avance un peu leurs positions. Ca me permet de m’énerver tout seul quand je lis une publication qui n’est que du marketing politique (de la manipulation médiatique).



Je suivais des journaux officiels (France 3, l’express) mais ils se servent de facebook pour faire de la publicité événementielle (concours, programme TV, etc) ou pour générer des clics avec des faits divers ou des titres à sensation. Ca ne m’intéresse pas vraiment.



J’utilise parfois Google actualités quand j’ai entendu parler d’un sujet et que je souhaite en savoir plus. Pour avoir de l’information internationale, je regarde le journal d’Arte, LCP, lepoint.fr ou j’écoute la radio sur le web.


Le 19/08/2014 à 07h 11







Grumlyz a écrit :



Ah bon ?

Alors pourquoi 95% des informations (non satirique) que je lis sur Facebook sont fausses ou trompeuses (le plus souvent c’est de la propagande politique, ou des vieux hoax).



Si je veux de l’info, les réseaux sociaux ne sont certainement pas le lieu où la trouver.





Alors il faut sélectionner l’information. D’ailleurs c’est quoi “le lieu où la trouver” l’information ? Parce que là, il faudrait me donner au moins une piste.



parce que l’information se trie : savoir qui parle et d’où il tient l’info, pourquoi il dit ça. Est-ce qu’il y a d’autres sources, etc



Vraiment, il faut m’en dire plus parce que c’est un peu laconique ce commentaire <img data-src=" />


Le 19/08/2014 à 06h 54



Facebook vous tient par la main et teste une mention pour les sites satiriques

Car vous êtes trop bêtes pour le comprendre vous-mêmes



Si facebook propose une indication en toute transparence et dans le respect de la publication satirique ou parodique, je ne vois pas en quoi ce serait prendre les utilisateurs pour des gens “bêtes”.



D’ailleurs quand j’entends un responsable de Twitter France dire que Twitter n’est pas un fil d’infos, n’est pas un concurrent du fil AFP («Twitter n’est clairement pas dans une logique de concurrencer les médias»), ça me paraît bien plus anachronique que le test d’une mention “satire” sur les publications facebook d’un journal parodique ou satirique.



Quand on lis des informations sur les réseaux sociaux, on attend de vraies informations et des vrais services. Ce n’est pas plus maternant ou ridicule que ce que propose Google plus ou Twitter.



Bien sûr que les services de réseaux sociaux sont (entre autres) des médias qui concurrencent les portails d’information, les médias web, les médias TV, etc. Finalement, la mention “satire” de facebook vaut bien la mention “breaking news” de CNN.

Le 18/08/2014 à 21h 12

Le livre numérique en France - Vincent Monadé, Président du CNL :

youtube.com YouTubeà 05:02 minutes : le livre numérique serait plus développé en Allemagne qu’en France – grâce à un réseau de distribution du livre numérique (achat d’une liseuse + achat en librairie des livres numériques), en collaboration avec Deutsche Telekom – avec 35% du marché, alors que Amazon n’obtiendrait plus que 43% du marché du livre numérique en Allemagne.

Le 18/08/2014 à 20h 49



Les auteurs pris en sandwich entre l’éditeur et le cybermarchand

(…)

Si en France, un tel conflit a bien moins de chance d’avoir lieu du fait du prix unique des livres (ebooks compris), il est probable que cette guerre des prix s’étende à de nombreux territoires dans le monde.

article NEXT INPACT



En Allemagne, il existe aussi un prix du livre fixé par les éditeurs mais il s’agit d’un accord national entre l’association des éditeurs auquel les libraires se soumettent (un peu comme la SACEM en France pour les droits de paroliers et de compositeurs de musique) :

culture.gouv.fr République FrançaiseMais ce n’est pas une loi comme en France, et apparemment quelques éditeurs n’adhèrent pas à ce système et négocient leurs prix librement avec chaque librairie.

Le 18/08/2014 à 15h 51







Natsume a écrit :



Ca reste complètement con. Dans les deux cas on regarde la télé.

Cette histoire de PC non assujetti devient un casse tete incompréhensible. Ca serait pas plus mal de simplifier une bonne fois pour toute :

Box télé =&gt; redevance. PC ou pas.



Le dernier paragraphe de l’article de Next INpact laisse planer un doute. Or ce n’est pas l’utilisation du matériel qui rend redevable mais sa possession à son domicile principal. A l’époque du tableau cité dans l’article. un magnétoscope (avec tuner) ne pouvait pas se brancher sur un moniteur (la connectique péritel n’existait que sur les TV). Or aujourd’hui une box TV et les moniteurs d’ordinateur possèdent les mêmes connecteurs.



Donc je pense que la situation est clair :

box TV + écran (dans une résidence principale) =&gt; assujetti à la contribution à l’audiovisuel public



la simple possession d’une TV ou d’un tuner+écran rend assujetti à la contribution à l’audiovisuel public (CAP). En d’autres termes, si un boîtier TV d’un opérateur télécom est considéré comme un tuner TV, alors le simple fait d’avoir un écran et une box adsl TV sous le même toit (à son domicile principal) rend redevable de la CAP.


Le 18/08/2014 à 15h 22



Un moniteur connecté à une box est soumis à la redevance TV

Une box à manipuler avec des gants



Merci pour cet article et cette mise au point. <img data-src=" />

Le 14/08/2014 à 19h 28

Une analyse intéressante sur le démarrage laborieux du livre numérique en France :

youtube.com YouTubeEntre autres constats : le prix du livre numérique devrait être le même que celui du livre de poche, d’après Vincent Monadé, Président du Centre National du Livre.

Le 13/08/2014 à 18h 57







lol51 a écrit :



Il y a deux choses :

Premièrement, Amazon est une start-up qui fonctionne, qui a su trouver une réponse à un problème qui compte (à savoir : comment gérer l’approvisionnement et le stockage de mes produits tout en minimisant mes coûts ?). Il y a un côté visionnaire, génial, qui sont responsable du succès d’Amazon (les gens ne se rendent pas assez compte, je pense).

Et comme toute startup qui fonctionne, cela laisse des traces, dérange, bouscule les acteurs/monopôles/niches en place. (ex : Uber, etc.). C’est une caractéristique d’une startup.



Deuxièmement, on vit en France (même si le problème pourrait s’exporter à l’étranger sans problème). Il y a un rapport particulier à la culture, on n’aime pas trop qu’une grosse société vienne y fourrer son nez.



Ce qui est originale, c’est qu’ici en France on considère qu’une entreprise qui réussi sur un plan technique à réduire les coûts de bout en bout, ne rend pas service au consommateur. C’est un peu comme si on reprochait à une voiture de nous faire gagner du temps, ou à l’électricité de nous faciliter la vie.



Moi je dis, c’est très bien. Écoutons ce monsieur, continuons à subventionner un métier archaïque, et à faire travailler des gens pour rien plutôt que pousser à l’innovation ! Et après on se demande pourquoi on n’excède pas 1% de croissance :)





Je suis plutôt d’accord, Amazon est un nouvel acteur économique qui va dans le sens du progrès numérique, cependant, c’est en France que les centrales d’achat ont été inventées. Et je ne crois pas que Amazon se résume à de l’innovation logistique même si c’est un sujet très important dans le cas d’Amazon.



Ce monsieur, représente un site web marchand qui fédère des petites librairies. Je trouve que c’est plutôt innovant. Mais ses propos sur France Inter sont surprenant pour moi : pourquoi passer à la radio pour appeler au boycott d’un concurrent qui visiblement ne fait pas franchement le même métier ? Avoir un discours de boycott ou de mépris est une posture médiatique que je ne comprends pas. Les libraires souffre autant voire plus des pressions de quelques gros éditeur comme Hachette que des pressions d’un concurrent comme Amazon ou E.Leclerc.



Personnellement, je ne crois pas que les petites librairies soient archaïques. Quelques-unes en France vendent des livres électroniques, vendent sur le web ou se fédèrent comme dans le cas de lalibrairie.com. Justement, la diversité des livres et des modes de commercialisation du livre est l’objectif du prix unique du livre.


Le 13/08/2014 à 12h 00







fredragon a écrit :



ce n’est pas une question d’attrait en soit, c’est juste que c’est pratique car il y a un peu tout. quelle boutique physique peut en dire autant?

les avis de lecteurs ne sont pas tous valables? mais au moins il y en a. en boutique, à moins qu’un vendeur ait vraiment lu, y en a pas.

J’habite en plein campagne, et j’ai du temps libre le dimanche pour acheter : la moindre boutique physique (et c’est pas une grosse, très loin de la) est à plusieurs kilomètres en centre ville, la ou on peut pas se garer et elle est fermée le dimanche.



bref, c’est plus un choix pragmatique qu’un attrait. d’ailleurs je vais quand je peux en fnac (facile avec des bons de réduc fournis par ma boite <img data-src=" /> ) et c’est vrai que j’aprécie… sauf quand il manque le tome que je veux, etc…

et c’est pareil pour tout : vetements, le trampoline de ma fille, du matériel de jardinage, voyages, etc, etc…

sans compter que si le tarif est plus intéressant en ligne, ben… le choix est fait. le tout est de voir les avantages et inconvénients des deux formules. et il faut avouer qu’amazon, sans etre banadant, c’est pratique!





C’est vrai, avec Amazon, livraison rapide et il y a du choix. Mais pour avoir des avis il y a des blogs et des sites web d’avis littéraires (par exemple Entrée Livre). Le web est riche, assez riche pour éviter de se limiter aux avis amazoniens.



La Fnac a des boutiques physiques mais vend aussi de l’électroménager… comme Amazon. C’est pratique quand on n’a pas le temps.



Mais quand on a un loisir (la lecture ou autre), on prend le temps pour soi. Dans un sens, quand on est pressé, ce n’est pas du loisir. (la vente en ligne de livres ne se limite pas à Amazon).


Le 14/08/2014 à 15h 04







aureus a écrit :



Note que j’avais bien lu l’article de next inpact mais que ton extrait m’a embrouillé et que du coup j’ai toujours pas compris pourquoi tu l’avais mis la <img data-src=" />



Donc pour répondre à ma question de départ, la définition de jeune entreprise innovante est déjà réglementé. Reste la question de la légitimité qu’a l’état d’imposer un membre du conseil d’administration.



Les sociétés commerciales existent par la loi et sont régies par la loi. L’Etat fait la loi.



A part l’anarchisme, aucune doctrine économique et sociale n’interdirait à l’Etat de réglementer les sociétés commerciales. il s’agit de réformer un peu la direction des grosses entreprises françaises. A mon avis, on est loin de l’ingérence.



Concernant, ma réponse à ton 1er commentaire, je répondais aux questions que tu posais à la fin du commentaire :

“Déjà c’est quoi un dirigeant d’une jeune entreprise innovante ? Le mec lambda qu’a monté sa boite pour vendre des applis à 1€ et qui arrive à se payer un salaire en fait parti ?

Jeune c’est combien 1-5-10 ans ?

innovante ? on le définit comment ?”

et j’en ai profité pour donner mon avis sur la composition des conseils d’administration des entreprises du CAC40 où on retrouve souvent les mêmes noms dans plus de 2 d’entre elles.

<img data-src=" />


Le 13/08/2014 à 18h 21







Ph11 a écrit :







Si tu veux me répondre, lis d’abord mon commentaire et l’article de NEXT INPACT,

Essaie de comprendre ce que l’auteur a voulu exprimé,

Ensuite tu peux essayer de me répondre.



Qu’est-ce que tu souhaites ? Tu veux que je fasse comme toi et que je t’envoie des mots à la figure dans un dialogue de sourds ?

Ou tu veux me mettre une rouste ? Voilà c’est fait, tu m’as mouché <img data-src=" /><img data-src=" /> si ça peut te faire plaisir.


Le 13/08/2014 à 12h 26







aureus a écrit :



Oui enfin le nombre de jeunes entreprises innovantes au cac40 (d’avant 2000) y’en a 6 et elles sont pas innovantes pour la moitié. donc au final on va se taper 5-6 types qui vont faire la tournée des conseils. Oh wait on retombe sur le schéma actuelle



Je ne comprends pas : une start up ne peut pas être côtée au CAC40 : le CAC40 correspond aux 40 plus grosses sociétés côtées à la bourse de Paris.



Des jeunes pousses, des start up, qui ont réussi ou échoué, il y en a des milliers en France. On va bien trouver des gens ex-dirigeant ou dirigeant de start up sans se limiter à quelques noms.



Relis l’article de NEXT INPACT.


Le 13/08/2014 à 12h 18







Ph11 a écrit :



Et ? Ça reste des administrations d’entreprises et non des mandats publics.



le Droit des Sociétés et le Droit du Commerce, ça existe quand même.







Ph11 a écrit :



Ben si, quand même.

Des entreprises d’1 personne, ça existe.



Une entreprise, même unipersonnelle, a aussi des partenaires, des fournisseurs des clients, des aides de la CCI ou de la chambre de métiers de l’artisanat, etc.







Ph11 a écrit :



C’est plus complexe que cela. Ça démontre aussi une témérité, un caractère borné dans l’erreur.

Toute entreprise est une prise de risque et le risque d’erreur est très élevé.

Cela ne veut pas dire que l’entrepreneur est compétent.



Effectivement, il faut voir le contexte et les tenants / les aboutissants de l’échec pour comprendre ce qui s’est passé. C’est vrai, l’échec n’est pas une valeur intrinsèque, c’est avec le recul que l’échec devient constructif.







Ph11 a écrit :



Si elle vaut suffisamment.

En tout cas, s’il la vend à Google, pourquoi imposer de mettre des startups dans le CAC40 ?



citation de l’article Next Inpact : “Concrètement, elle proposait d’imposer, via le Code de commerce, la présence d’une personne « ayant exercé des fonctions de dirigeant d’une jeune entreprise innovante » au sein du conseil d’administration des entreprises dont les titres sont admis aux négociations sur un marché réglementé - tels que le CAC 40.”