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7412 commentaires

Le 23/10/2014 à 15h 38

Moi non plus je n’aime pas Harris Interactive, mais j’aime répondre aux enquêtes d’opinion.



J’ai le même problème avec Facebook : je n’aime pas Facebook, mais j’aime lire, plussoyer, commenter les bêtises, les opinions et les actualités du monde entier sur Facebook.

Le 22/10/2014 à 21h 39

<img data-src=" /> très bon court-métrage

&nbsp;meilleure qualité ici http://vimeo.com/24811763

Le 21/10/2014 à 11h 06







CUlater a écrit :



&nbsp;Hey les gens, &nbsp;la salariée a été avertie en septembre que les mails seraient surveillés. En octobre elle abuse. La direction rappelle à tous (mais je pense juste pour elle) qu’il faut pas abuser. Elle recommence le mois suivant. Donc invalider le licenciement juste à cause de ce qu’on peut appeler un vice de procédure alors que la personne est sans aucun doute coupable, oui ça me fait penser aux innombrables autres afffaires des relâchés pour vice de procédure alors que la personne est pris en flagrant délit (stup’, meurtres, …). Et oui je trouve cela débile.





Pour être précis et relativiser cette décision de la Cour de Cassation : l’invalidation du licenciement n’a pas été prononcée. La Cour de Cassation a seulement annulé l’Arrêt de la Cour d’Appel car les motifs de cet Arrêt ne sont pas valables. La Cour de Cassation a donc renvoyé l’affaire devant une seconde Cour d’Appel qui pourra prononcer éventuellement un licenciement pour cause réelle et sérieux.



Si on lit les motifs de la Cour de Cassation (lien dans l’article de Next Inpact), il est bien préciser que « la déclaration tardive à la Commission nationale informatique et libertés (CNIL) le 10 décembre 2009 de la mise en place d’un dispositif de contrôle individuel de l’importance et des flux des messageries électroniques n’a pas pour conséquence de rendre le système illicite ni davantage illicite l’utilisation des éléments obtenus et que le nombre extrêmement élevé de messages électroniques à caractère personnel envoyés et/ ou reçus par l’intéressée durant les mois d’octobre et novembre 2009, respectivement 607 et 621, qui ne peut être considéré comme un usage raisonnable dans le cadre des nécessités de la vie courante et quotidienne de l’outil informatique mis à sa disposition par l’employeur pour l’accomplissement de son travail, doit être tenu comme excessif et a eu un impact indéniablement négatif sur l’activité professionnelle déployée par la salariée durant la même période pour le compte de son employeur, celle-ci occupant une part très importante de son temps de travail à des occupations privées » extrait de l’Arrêt de la Cour de Cassation

&nbsp;

Si on lit la décision de la Cour de Cassation, les 2 parties (l’entreprise et la salariée) sont renvoyés dos-à-dos pour les motifs qu’ils invoquent chacun :

« CASSE ET ANNULE, mais seulement en ce qu’il déboute la salariée de ses demandes de dommages-intérêts pour licenciement sans cause réelle et sérieuse et pour licenciement vexatoire, l’arrêt rendu le 29 janvier 2013, entre les parties, par la cour d’appel d’Amiens ; remet, en conséquence, sur ces points, la cause et les parties dans l’état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d’appel de Douai » extrait de l’Arrêt de la Cour de Cassation





Pour finir, un conseil avant de lire le titre d’un article de presse comme celui-ci « 600 mails perso par mois, mais la Cour de cassation invalide le licenciement » : ne pas lire le titre de l’article comme une phrase, mais comme un ensemble de mots-clés. Car un titre de presse sert à attirer le lecteur et sera souvent détonnant et spectaculaire. Seul l’article permet de comprendre de quoi il s’agit (si l’article est suffisamment explicatif).


Le 20/10/2014 à 20h 33







Leynas a écrit :



Stop.

Non seulement il y a une confusion entre le droit civil (et particulièrement le droit du travail), et le droit pénal. Mais en plus on arrive à une confusion avec le droit pénal américain au travers de Law & Order ?



Pitié les mecs, arrêtez-vous là avec les analogies discutables, ou au moins ralentissez parce que j’arrive même plus à suivre.



Un jugement sur le droit et non pas sur le fond, certes, mais un jugement quand même.



Leynas.





Désolé pour mon manque de rigueur juridique&nbsp;<img data-src=" /> En tout cas, je disais que ce n’était pas un “jugement” au sens que lorsque la Cour de Cassation casse un jugement la procédure judiciaire continue.



Pour ma référence télévisuelle, je répondais simplement à DaCaiD qui avait l’air de mettre en avant une spécificité française d’être aussi formaliste, alors que le Droit New-yorkais (soit-il pénal) est parfois formaliste jusqu’à l’absurde (pour le français que je suis).


Le 20/10/2014 à 20h 15







DaCaiD a écrit :



Voila monsieur, maintenant vous êtes obligé de réemployer cette faignasse à cause d’une virgule dans les papiers, ah et n’oubliez pas de nous laisser votre slip à la sortie.



&nbsp;<img data-src=" />





Moi ça me fait penser à la série TV “New York Police judiciaire” quand les inspecteurs de police font une perquisition sans mandat d’un juge. Le juge relâche l’accusé malgré la preuve de sa culpabilité parce que cette preuve n’a pas été obtenu suite à la demande d’un juge.



Pour relativiser cette décision judiciaire, il s’agit d’un Arrêt de la Cour de Cassation. Ce qui n’est pas un jugement car la Cour de Cassation ne juge pas les faits (le fond de l’affaire), la Cour de Cassation juge la procédure qui a conduit à cette décision. Si la Cour de Cassation casse un jugement (comme dans le sujet de l’article) alors le jugement de l’affaire est confié à une autre Cour d’Appel (qui prononcera un jugement).


Le 20/10/2014 à 21h 00







xillibit a écrit :



C’est quelle entreprise Monsanton ? <img data-src=" />





multinationale propriétaire de nombreux brevets en matière de vivant (un peu comme Google en matière électronique et logiciel) qui produit et vend dans le Monde (liste non-exhaustive) :

&nbsp;




Le 14/10/2014 à 17h 21







kantfredo a écrit :



oui, faire payer l’article sur le libre c’est le petit joke ;)





C’est vrai que le logiciel libre n’est pas un produit marchand. Mais le logiciel libre n’est pas (forcément) gratuit et il a forcément un coût : le temps et l’énergie dépensés à développer, puis à installer de manière personnalisée ces logiciels). Contrairement au logiciel propriétaire : dans ce cas, on paie les pièces (Propriété intellectuelle) + la main d’oeuvre (l’installation et la formation de l’utilisateur final).


Le 20/10/2014 à 18h 40

Merci pour ces explications



 Merci pour la possibilité de réduire l'image d'illustration des articles      






 Concernant le tri des commentaires, à part le tri chronologique et le tri par fil de discussion, le tri par ordre de vote -- pouce levé(+1) / pouce baissé(-1) -- a-t-il été abandonné ?       






 J'aime bien cette idée de mise en avant des commentaires des lecteurs, un peu à la manière du "courrier des lecteurs" dans la presse papier. D'ailleurs, sous une forme un peu rudimentaire, le forum du site arretsurimages.net met en avant les 3 commentaires les plus "votés d'utilité publique"    



&nbsp;exemple :http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?5,1397707

Le 20/10/2014 à 13h 01







fred42 a écrit :



Certes, mais comme précisé dans l’article Wikipedia, il y avait déjà un moment que les commutateurs téléphoniques étaient purement électronique et faisaient de la commutation temporelle des échantillons de voix numérisés.



C’est trop compliqué pour moi. Je ne suis pas un spécialiste de la commutation téléphonique.&nbsp; Pour moi la commutation est un principe de fonctionnement qui connecte un téléphone à un autre suivant un cheminement dans le réseau :

&nbsp;

numéro composé sur un téléphone &gt; commutateur &gt; autre commutateur (si le correspondant est raccordé à un autre commutateur) &gt; téléphone du correspondant sonne.



Pour ce qui concerne la voix sur IP, ou le téléphone sur boitier ADSL, est-ce vraiment la même commutation ? En tout cas, il n’y a pas de commutateur physique local sur le réseau qui distribue les appels.


Le 20/10/2014 à 11h 57

bientôt l’adieu au commutateur téléphonique du RTC <img data-src=" />



un peu d’histoire du XXe siècle

Le 20/10/2014 à 12h 45

Facebook applique les principes de Facebook comme ça l’arrange finalement <img data-src=" />

Le 20/10/2014 à 09h 18







Wellit a écrit :



Disons que sur la question de neutralité du net comme les télécoms américains veulent le faire, c’est une inquiétude qui est de bonne foi.

Quand tu es professionnel et que tu veux être raccorder à une fibre 10Gb tu ne paiera pas le même prix qu’un réseau fibre 1Gb on est d’accord ?

&nbsp;

Sachant que les professionnels de la VOD ou les services de streaming (Youtube, Viméo, Dailymotion …)

auront besoin de plus en plus de débit avec la qualité des vidéos qui augmente ça ne serait pas si mal qu’ils participent aux financement des réseaux.



D’ailleurs je n’arrive pas à retrouver une études sur l’augmentation des consommations des produits vidéos à l’internationale.



Je parle uniquement en termes de bande passante et pas en termes de restrictions de services tel que ( si tu paye un forfait premium tu ne sera pas restreint d’utiliser les protocols FTP, VOIP, les réseaux mail etc….

&nbsp;

Il ne s’agit donc pas à avoir un internet à deux vitesses même si la frontière entre la neutralité du net et le bridage est très mince :s



&nbsp;



Pour poursuivre la réflexion,

&nbsp;

Dans un réseau multi-propriétaire, chacun finance la partie de son réseau. Effectivement, il est normal qu’un client paie plus cher suivant le débit octroyé et suivant la bande passante utilisée – c’est déjà le cas actuellement dans les tarifs des gros contrats professionnels – mais pourquoi les GAFAM (google facebook etc) devraient payer une partie du réseau de Free ou d’Orange ? Nous sommes dans une économie de marché actuellement (pourquoi les opérateurs télécom demanderaient une subvention ou une redevance spécifique aux opérateurs de contenus?).



En fait, (dites-moi si je me trompe) il s’agit d’une guerre économique de rentiers et de fournisseurs de contenus concurrents (youtube vs freeboxTV par ex) qui veulent tirer la couverture à eux, au mépris du service du client et de la liberté d’utilisation du service (bientôt, les FAI diront peut-être que, puisque les GAFAM lisent et utilisent les informations personnelles de leurs utilisateurs, alors pourquoi les FAI ne pourraient pas discriminer les données selon leur provenance ou leur type – c’est un peu déjà le cas actuellement sans que les FAI ne l’avouent publiquement).



Si le tarif grand public de 30 euros 36 euros/mois n’est pas rentable pour les opérateurs télécom, il suffit d’organiser une tarification grand public au débit réel ou à l’utilisation de la bande passant (au lieu de négocier des contrats avec les fournisseurs de contenus et d’organiser des limitations de débit – “fair use”) afin de laisser chacun faire son métier et laisser le grand public utiliser un outil “user-friendly”


Le 19/10/2014 à 12h 32

Quand Free dénonce ceux qui collaborent avec Netflix…



&nbsp;      



L’audiovisuel veut faire payer le trafic internet BFM BUSINESS Jamal Henni à Dijon Publié le 19/10/2014




 &nbsp;« Pouvoirs publics, professionnels du cinéma et fournisseurs d'accès sont tous  d'accord pour instaurer un péage sur la bande passante consommée par  Netflix et consorts.    






           Comment faire payer le géants de l'internet? Les professionnels du cinéma, réunis ce week end à Dijon, pensent avoir enfin trouvé une bonne piste: faire payer le trafic internet consommé -appelé aussi bande passante. (...) »

Le 18/10/2014 à 07h 33







yostral a écrit :



Framasoft loue ses serveurs à Hetzner. Quand la migration et l’homogénéisation de l’infrastructure a débuté, OVH était complet et ne proposait plus rien.



Hetzner a un très bon service et des prix qui correspondent aux attentes de Framasoft.









Commentaire_supprime a écrit :



De ce que j’en sais par un pro, les serveurs en Allemagne sont parmi ceux qui présentent le meilleur rapport qualité/prix d’Europe.



Accessoirement, les allemands sont très pointilleux avec tout ce qui concerne le respect de la vie privée et de la liberté d’expression…



Merci de ces précisions <img data-src=" />


Le 18/10/2014 à 07h 31







Alain EtCo a écrit :



Mouaif….



Ce n’est encore que du “Yakafokon”…



Et puis oui… Ou pourris bien comme il faut Google, mais on héberge sa vidéo sur Youtube….



Et puis… la politique des FAI, personne n’en parle…

La politique de plus en plus répressive et qui empêche (presque) toute forme d’innovation concernant l’Internet français, personne n’en parle…

Le fait que tout le monde ai laissé la situation se mettre en place depuis des années par “désertion” total des pouvoirs publiques et des associations sur le sujet….



etc…. etc….



Yakafokon, et massacrons les Gafam plutôt que de regarder nos propres faiblesses… C’est tellement plus commode.

&nbsp;





<img data-src=" />d’accord avec ce commentaire, à part le fait que Next Inpact ait traité le sujet de la politique des FAI récemment :

À l’ARCEP, les opérateurs préparent leur (cher) avenir (abonnés)&nbsp;



&nbsp;les opérateurs télécom qui sont également fournisseurs de contenus au client final / consommateur (et qui demandent une rétribution aux GAFAM et plus tard – pourquoi pas? – aux autres plus petits fournisseurs de contenus)

et qui empêchent la péréquation tarifaire entre zones denses / zones peu dense parce que l’Arcep réserve les zones les plus denses aux opérateurs télécom nationaux. Quand des collectivités seraient prêtent à mettre en concurrence des

opérateurs d’économie mixte ou des opérateurs privés régionaux, voire pourquoi pas des régies. D’ailleurs, il en existe quelques-unes et il existe tout de même aussi quelques initiatives intéressantes :





Le 18/10/2014 à 06h 49







kade a écrit :



Ah mais ce n’est pas une attaque personnelle ! Ni une critique vestimentaire. Cela n’affecte en rien les compétences et les qualités humaines.

C’est juste qu’à mon avis (éducation de vieux con, je peux l’admettre), on se découvre en réunion, comme à table, au travail, etc. Bon, les “artistes” se la pètent souvent à la télé, wesh.

Voilà tout.





Quand on regarde des images de l’époque où porter un couvre-chef était très courant, les gens se découvrent en entrant dans un bâtiment et se découvre pendant une discussion. Idem pour les lunettes de soleil. C’est une question de respect et d’absence de hiérarchie. Dans l’armée un gradé ne se découvre pas devant un subalterne, au contraire ce dernier se découvre devant un supérieur.



Mais il existe bien des professions qui ne se découvrent pas pour des

raisons professionnelles ou d’hygiène, par exemple : le boucher, le

cuisinier, le groom service.



La casquette (le Stetson) de Jean-Marc Manach, pour moi, est de nature professionnel : c’est l’animateur de l’émission qui dirige la discussion et c’est lui qui pose les questions (même s’il participe parfois beaucoup aux discussions).


Le 15/10/2014 à 16h 29







yostral a écrit :



Parce-que les serveurs sont situés en Allemagne.





Ok, donc ce n’est pas une erreur. Et donc Framasoft loue des serveurs à un prestataire ? ou alors Framasoft a des bénévoles en Allemagne ?


Le 15/10/2014 à 14h 51

Dans la liste des noeuds ouverts pour utiliser diasporahttp://podupti.me framasphère est localisé en Allemagne (DE). Pourquoi ?

Le 17/10/2014 à 12h 37







joma74fr a écrit :



&nbsp;- soit uber pop est un service de covoiturage : alors la seule contrainte est de partager les frais (carburant - essence)






  désolé, erreur dans mon précédent commentaire : "péage" au lieu de "essence"

Le 17/10/2014 à 12h 25







Alucard63 a écrit :



Les impôts c’est une chose. Mais empêcher une activité en est une autre.




Mettre tout le monde sur un pied d'égalité: ok. Mais empêcher volontairement un service de fonctionner non.







Dans un sens tu as raison, Uber pop ne peut pas fonctionner

s’il correspond à un service de covoiturage lucratif (paradoxe entre “covoiturage” et “lucratif”)

et s’il ressemble aussi à un service VTC qui n’est pas vraiment du VTC

(puisque les contraintes de formation du chauffeur, entre autres, ne sont pas respectées)

sans être vraiment du covoiturage.

&nbsp;

Oui, Uber pop a inventer le service “VTC light” (innovation, lowcost, bas prix, etc) et le service “VTC light” court-circuite la législation. Et jusqu’à preuve du contraire, la loi s’impose aux contrats commerciaux. Donc le “VTC light” est illégale jusqu’à une prochaine réforme législative (parles-en à ton député).

&nbsp;

En fait, personne n’empêche Uber pop de fonctionner. Il y a seulement des conditions d’exercice du service à remplir :

&nbsp;




  • soit uber pop est un service de covoiturage : alors la seule contrainte est de partager les frais (carburant - essence) avec éventuellement des frais de mise en relation perçus par uber pop – comme c’est le cas de blablacar (même si blablacar permet parfois quelques abus actuellement).



  • soit uber pop est un service de VTC : alors les contraintes sont la formation du chauffeur, l’assurance VTC, et quelques autres formalités (comme le service VTC Uber qui fonctionne et qui n’est pas empêché de fonctionner par qui que ce soit, malgré le lobby des taxis). L’avantage du service de VTC est de pouvoir gagner sa vie avec cette activité (dans la mesure où c’est vraiment rentable pour le chauffeur).


Le 16/10/2014 à 13h 15







Alucard63 a écrit :



C’est au client de décider pas à l’état.




  Si le client veut un "taxi covoiturage", pourquoi doit on lui interdire? Du moment qu'il est conscient ce ce qu'il achète, bien sur.     






  Pour protéger la caste des taxis? En quoi sont ils si importants pour mériter un tel traitement?







Parce que Uberpop n’est pas du covoiturage. Le covoiturage est une pratique qui consiste à partager les frais d’un trajet (essence, péage) alors que taxi et VTC est la vente d’un service lucratif de transport de personne.



Le marketing peut faire des amalgames. Le juridique appelle un chat, un chat.


Le 17/10/2014 à 08h 38

Il s’agit d’une question écrite d’un Parlementaire au Ministère de la Défense. Le Ministre de la Défense devrait-il poser la question au Ministre de l’industrie, au Ministre de l’Intérieur ou au Premier Ministre avant de répondre ?



Contrairement à ce que laisse entendre le début de l’article de Next Inpact, ce n’est qu’une réponse, un avis du Ministère de la Défense et non une décision du Gouvernement. Une interdiction des expérimentations de drones commerciaux se prendrait par Arrêté ministériel au minimum, voire par Décret ou par la Loi.

Le 16/10/2014 à 10h 49

« La France ne veut pas des drones de livraison d’Amazon ou de Google »

Après lecture de l’article, le titre est un peu exagéré.



Et comme souvent, quelques commentaires montrent ceux qui n’ont pas suffisamment lu l’article et trop lu le titre.



Un conseil de lecture d’un titre de presse :




  • lisez les mots-clés contenus dans le titre, par exemple ici :

    &nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp; France - drones - livraison - Amazon - Google

  • si ces mots-clés éveillent votre curiosité, lisez ensuite le titre et imaginez comment le titre vous ment

  • lisez l’article au moins dans ses grandes lignes

  • après ces 3 étapes, écrivez éventuellement un commentaire



    Sinon, vous n’avez pas fini de faire des commentaires type “facebook” car les titres de presse sont comme la publicité TV, ils sont là pour générer des réactions et de l’envie (en l’occurrence ici, pour générer du clic sur l’article),



    &nbsp;comme ici : « La France ne veut pas des drones de livraison d’Amazon ou de Google » est-ce que la tête de l’Etat s’est exprimée ? non. Est-ce que les institutions européennes sont hostiles aux drônes ? non. Est-ce qu’une loi est en préparation pour interdire les drones ? non. Est-ce que le Ministre de la Défense a répondu que les drones commerciaux étaient une mauvaise chose ? non. Lisez l’article, pas le titre.

Le 16/10/2014 à 17h 29

Le 16/10/2014 à 17h 21







RuMaRoCO a écrit :



Le stationnement dans les zones denses que vous évoquez sont limités à 2 h Max de toutes façons donc le max que le disque permet…



Et si on appliquait à la lettre la loi tout véhicule qui dépassé les deux heures devrait être retiré, et si un nouveau ticket est mis mais sans libération de la place (sans déplacement du véhicule) il devrait y avoir à nouveau une verbalisation. (heureusement, tout les agents “verbalisateurs” ne sont pas aussi tordus que ça mais ils le pourraient légalement ).&nbsp;



&nbsp;Et justement cette évolution de la législation me trouble car elle annonce une iniquité vis-à vis du citoyen par rapport à la Loi…





Concernant, l’évolution de la législation sur le PV de stationnement, une amende forfaitaire n’est qu’une sanction administrative fixe (inéquitable d’un point de vue de ressources financières) alors qu’une amende judiciaire est adaptée aux revenus du contrevenant (équité). Ceci relativise l’équité de l’amende forfaitaire. Et on peut également trouver un déséquilibre de la sanction de l’amende forfaitaire par rapport au tarif du stationnement à la minute : cette évolution de la législation permet d’établir un tarif adapté à l’agglomération. Actuellement, à Paris, Lyon, Marseille le stationnement de rue coûte beaucoup plus cher (car agglomération très dense et tarif du stationnement fixé par la Commune) que dans les plus petites agglomérations de France, mais le PV est le même (17€) que dans une agglomération de 50 000 habitants.



A part ça, je suis d’accord avec vous : heureusement, la police de voirie n’applique pas la plus grosse sanction à chaque fois : question de “riposte graduée” et question de moyens techniques (limites : nombre de contrôles policiers dans la rue effectivement possibles, nombre de camions de fourrière disponibles et nombre de places de stationnement limités en fourrière).



Concernant le disque de stationnement, il a l’inconvénient de permettre à l’automobiliste de rester plus de 30 minutes à la même place. La rotation de véhicule n’est pas suffisante pour un stationnement de centre-ville avec forte affluence (comme je l’ai écrit dans mon commentaire précédent). Le stationnement payant a l’avantage de libérer la place le plus vite possible contrairement au disque de stationnement (zones bleues) qui incite uniquement à ne pas dépasser l’horaire maximum. Payer le stationnement, ça gène l’automobiliste, c’est pour ça que ça l’oblige à quitter le centre-ville dans les meilleurs délais s’il n’a rien d’important à faire là. Sinon on peut construire des immeubles-parking gratuits en centre-ville… c’est un choix.


Le 14/10/2014 à 16h 23







RuMaRoCO a écrit :



A partir du moment que le véhicule est sur la voie publique : il doit être en règle : en circulation ou en stationnement.

D’ailleurs le fait d’enlever les roues ne suffit pas à justifier le fait de ne pas répondre à la réglementation sur l’assurance envers tiers, pire le véhicule pourrait être considérer comme épave et donc emmené en fourrière…&nbsp;

&nbsp;

Moi c’est le principe même du stationnement payant que je ne comprends pas.

Personne n’ a le droit (en théorie … voir barrières devant les palaces et grands hôtels parisiens :-[ ) de s’approprier l’espace publique : donc ok pour la mise en place d’une limitation mais à cela le disque de stationnement est amplement suffisant pour remplir cette office.



Et j’irai plus loin, quitte à faire payer cela devrait être une caution qui devrait être rendu en cas de complet suivi de la réglementation.



Et pour extrapoler et conclure, pour moi, les amendes et assimilés ne devraient pas apparaître dans le budget prévisionnel de l’Etat ! &nbsp;

Si on compte par avance sur la rentée d’argent que procure une infraction c’est que l’on cherche pas les moyens à faire disparaître cette même infraction et donc que l’on n’assume pas son rôle et sa mission !!! CQFD

&nbsp;





Le disque de stationnement et les zones bleue sont utiles dans les zones urbaines à faible rotation de voiture où une voiture peu rester de 30 minutes à quelques heures sur son emplacement. Ca évite les “voitures vantouse” – les voitures qui restent plusieurs jours à la même place (à noter que, d’après le Code de la Route, un véhicule ne peut pas rester stationner plus de 7 jours à la même place sur la voie publique - stationnement abusif : 35 euros d’amende forfaitaire).



Dans les zones urbaines à forte attractivité (beaucoup de commerces, beaucoup de circulation), les places de stationnement ne peuvent pas être monopolisées par 1 seule voiture trop longtemps. Dans ce cas, le stationnement payant est très incitatif pour que l’automobiliste libère la place le plus rapidement possible, afin de laisser la place à un autre automobiliste qui a également besoin de stationner en centre-ville. Grâce à cette vitesse de rotation, on permet à un maximum d’automobiliste de stationner en centre-ville (de quelques minutes à 1h ou 2h).



A noter qu’en 2015, l’absence de paiement sur un emplacement de stationnement payant sera dépénalisé (loi votée en attente d’application) et au lieu d’une amende forfaitaire fixée par l’administration de l’Etat, il s’agira d’une redevance fixée par les communes (forfait de post-stationnement).

fr.wikipedia.org Wikipedia


Le 13/10/2014 à 11h 42







Anikam a écrit :



Je ne parle que des lieux où je me rends, mais je constate que chaque réfection / aménagement / changement de la voie publique est l’occasion de réduire le nombre de places de parking sur les cotés des rues pour les remplacer par des trottoirs de 20 mètres de large constellés de poteaux d’un mètre de haut.

C’est joli tout plein (ou pas) mais il faut arrêter l’hypocrisie schizophrène : maintenant être automobiliste c’est comme être fumeur, c’est le mâââââââl et on fait tout pour t’emmerder ; par contre on ne crache pas sur le pognon que tu rapportes.





Etre automobiliste ce n’est pas le mal, mais être automobiliste en ville c’est soit construire des immeubles-parking et des 2x2 voies, soit déplacer les gens avec des véhicules collectifs.



C’est vrai, de nos jours, la politique de circulation urbaine est d’éloigner les automobilistes des centre-ville. Dans les années 1970-1980, on plaçait des grands carrefours avec des feux tricolores, on a construit des grands périphériques et des grandes rocades à plusieurs voies pour faciliter le déplacement des voitures d’un bout à l’autre d’une agglomération.



Aujourd’hui c’est fini. On construit des carrefours giratoire, on met des rues à sens unique, on réduit les places de stationnement sur la voie publique, on fait des parc de stationnement périphériques, on fait des voies réservées aux transports collectifs et aux 2 roues.



Mais il y a pire que le stationnement payant et la réduction des places de stationnement : le péage urbain. Les maires en France refusent (encore) d’utiliser des systèmes de péages urbains, mais il en existe déjà à Londres, à Stockholm, à Oslo, à Dublin, à Berlin, à Milan, etc.

http://lexpansion.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/actualite-economique/ces-vil…


Le 13/10/2014 à 11h 20







durthu a écrit :



C’est un peu complexe, pour un stationnement gênant (véhicule devant être enlevé par la fourrière), normalement c’est une seule contravention.



Pour un défaut de paiement de parcmètre, ce serait une amende par période horaire. Si le stationnement est limité à 1h, ce serait un PV par heure max.&nbsp;





Exact&nbsp;<img data-src=" />

http://www.droitissimo.com/auto-moto/code-route/stationnement/peut-avoir-2-ou-pl…


Le 13/10/2014 à 11h 14







Guyom_P a écrit :



Mais une question, si ton véhicule est stationné tu es quand même obligé d’avoir la vignette d’assurance à jour?



  Idem pour le CT? Ca fait 1 mois que je dois faire mon CT mais que faute de temps et d'argent (je dois changer les freins arrières et les pneus avant) pour le passer ma voiture arbore un joli 09/14 dans la rue.        

Normalement tu es verbalisé quand tu circules avec pas quand tu es stationné pour ce genre de faits?






  D'ailleurs l'avantage aujourd'hui de tout automatiser c'est quand même qu'on peut tous rouler bourré avec des poubelles pas entretenu sans CT et non assuré on croise plus un contrôle de police nul part et les machines n'arrivent pas encore à verbaliser seuls ce genre de comportement.        

Pendant ce temps on nous parlent de sécurité routière. lol








  Les contrôles routiers existent toujours. En l'absence de vignette CT, on risque parfois l'immobilisation du véhicule et la confiscation de la carte grise en plus d'une amende.       



http://droit-finances.commentcamarche.net/contents/1312-controle-technique-autom…



 &nbsp;       

En cas de contrôle de police, quand on se fait prendre en défaut, il faut seulement éviter de croire que ce n'est pas juste par rapport à ceux qui ne se sont pas fait verbaliser. A chacun de prendre ses responsabilités.






D'autre part, est-ce qu'il y a des contrôles de vignette assurance/CT sur des véhicules en stationnement? Je ne peux pas dire, je n'en ai jamais eu l'expérience.

Le 15/10/2014 à 08h 02

Quand Iliad/Free a voulu acheter Orange ch, Orange avait préféré APAX Partners (société de private equity)

http://www.orange.ch/fr/common/about-orange/company-profile/introduction/



Deutsche Telekom n’aurait-elle pas la même stratégie de vente ?



Le seule opérateur grand public que Iliad/Free ait acheté pour le moment (à ma connaissance) est Telecom Italia France / Alice

Le 15/10/2014 à 07h 46

Qui achètera T-mobile us ?

Le 13/10/2014 à 18h 00







Reznor26 a écrit :



Voilà à quoi servait le bouton “+1”&nbsp;<img data-src=" />





<img data-src=" /> (je vote aussi pour le retour des votes sur les commentaires)


Le 12/10/2014 à 18h 28







malock a écrit :



Et je trouve toujours un peu “bébête” de vouloir une parité femme-homme dans les “lieux de pouvoirs” et de décision. Pas qu’une femme ferait moins bien, non non, mais que dans la pratique, c’est la galère… (ou pas)



J’avoue que ce n’est qu’un cas parmi d’autres et qu’il n’est que le reflet de mon expérience perso.

Dans notre université, la parité dans les conseils (scientifique, administration et vie étudiante) est obligatoire. Pas tout à fait : elle est obligatoire lorsque l’on créé les listes de candidats. Pour nous doctorants candidats au siège “doctorant” du conseil scientifique, la liste doit être composée de 2 à 4 noms et en permutant “homme/femme” (le/la premier(ère) étant le/la titulaire, le/la second(e) suppléant(e)….).

S’il n’y a pas “H / F / H / F” (ou “F / H / F / H” bien sûr), la liste est irrecevable !



Quelle misère… Dans notre cas, ça été de trouver des collègues féminines. Pas qu’il y ait moins de nanas en doctorat scientifique dans mon univ’, juste, celles-ci, elles ne voulaient pas. On va pas les forcer.



En fait si un peu… au moins une… sinon, la liste, elle se fait pas. Et puis, on dit non à des mecs plus motivés… c’est dommage… Bref, ça c’est “bien” terminé… les doctorants sont en poste.

Ce n’est peut-être qu’exception, je ne sais pas, je n’y crois pas trop : c’est la trime pour tout le monde chez nous…



“Imposer la parité”… ça ne me paraît pas aller dans le bon sens…&nbsp;

Après, si nos politiques le voient comme une “amorce” nécessaire pour une société

où ce soucis de parité est résolu… Mouais… peu convaincu… mais testons (ou pas d’ailleurs).

&nbsp;

Les injustices homme/femme ne se dévoilent pas qu’à la question du poste ou du salaire.





Effectivement la parité homme-femme est une règle artificielle et arbitraire qui peut être très contraignante. Et concernant les hommes motivés qui ne peuvent pas se présenter candidat, ça arrive aussi sans parité : ça s’appelle la compétition. Et mettre en compétition avec des femmes avec des hommes, ça produit autre chose.



La parité homme-femme dans les postes à responsabilité, c’est aussi un choix de société. Et si on n’est pas d’accord avec ce choix de société, on peut le vivre encore plus mal.


Le 12/10/2014 à 18h 08







sepas a écrit :



Je ne dis pas que ce n’est pas réalisable, je dis que la méthode pour arriver à a parité n’est pas la bonne.

Imposer quelque chose de cette manière n’a jamais porté ses fruits.

Clairement, je suis pour plus de femmes dans le management, dans les poste où il faut de l’innovation, dans les services de qualité, etc…

Par contre, quand je vois qu’on impose la parité dans les secteurs où il y a très peu de femmes, c’est complètement débile.

Si on a 9 hommes et une femme qui postulent pour un même poste, je ne vois pas pourquoi la femme serait prise juste pour des raisons de parité (idem pour la situation inverse)

&nbsp;





Je ne connais pas d’entreprise qui exige la parité (50% d’hommes-50% de femmes) dans chaque service ou pour un même poste de travail. Mais si ça existe, je suis d’accord avec toi.


Le 11/10/2014 à 20h 16







sepas a écrit :



je fais des constatations, et je constate aujourd’hui que&nbsp;ce sont les femmes qui gardent les enfants malades…je n’ai jamais dit que c’était normal



 &nbsp;








Tu fais bien de le préciser parce que ton énumération de constatations pour arriver à la conclusion que la parité n'est pas réalisable portait à confusion.     





Par ailleurs, la parité n’est pas d’imposer autant de femmes que d’hommes dans toutes les spécialités professionnelles, mais dans les lieux de pouvoirs et d’encourager la société à autoriser les femmes à se réaliser ailleurs que dans la maternité avec des carrières professionnelles mises entre parenthèses (quand ce n’est pas du travail à temps partiel ou en intérim).


Le 10/10/2014 à 20h 32

La rémunération au Karma, comment ça se passe dans les faits ? Est-ce que les responsables de Microsoft savent repérer les talents de l’entreprise et prennent régulièrement des initiatives pour proposer des augmentations de salaire à leurs collaborateur ? Humour ? « Une société c’est comme une montgolfière, pour qu’elle décolle faut lâcher du lest de temps en temps… » (Les trois Frères)

Le 11/10/2014 à 16h 35







pentest a écrit :



Déframasoftons Internet



Qu’est ce qu’il ne faut pas lire comme ineptie <img data-src=" />







L’article de Next Inpact a de bons argument qui se tiennent. Où se trouve l’ineptie ? Comparer les habitudes d’usages sur un ordinateur à celles sur un lave-linge ? C’est ça qui te défrise ?

&nbsp;

&nbsp;Déframasoftons Internet, c’est amusant comme retournement d’élément de langage et ça pourrait être vrai si la centralisation devait atteindre un niveau critique. Cependant, Framasoft n’est même pas encore au niveau de Copains d’Avant et de linternaute.com, alors le danger de centralisation, n’est pas encore là. Et Framasoft n’a pas encore vocation à utiliser les données collectées et ne se rémunère pas (encore) grâce à la collecte des données personnelles.


Le 10/10/2014 à 19h 48







Glyphe a écrit :



Tu es la personne qui a le moins apporté à tous les commentaires de cette news ( et je les ai tous lus). A part t’attaquer à moi directement, aucune plus-value. Et si tu relisais tous mes commentaires, tu verrais que j’ai détaillés des réponses et ma vision plus globale. Mais continue à me basher si ça te fait plaisir. <img data-src=" />





Désolé pour mon avant-dernier commentaire qui, je le reconnais, était un peu trop direct et provocateur (mais sans ironie). Je pense que tu as des choses intéressantes à dire mais on est parti sur un mauvais départ. Bien sûr, j’ai lu tes arguments et il sont recevables (sécurité TLS, tu participes à des projets open-source) mais malheureusement tu as rejeté mes arguments sans explication. D’ailleurs, pas besoin d’être d’accord tout le temps, pour réussir à s’entendre.


Le 10/10/2014 à 14h 40







Glyphe a écrit :



Cet un faux argument pour moi, perso je prévois toujours (surtout sur ce genre de service où passent des données sensées être privées) dès le départ du projet et de l’analyse la partie sécu et le budget qui va avec aussi.

Si je n’ai pas la partie sécu, perso j’évite quand même de le mettre en ligne et de faire sa promo au moins pendant la campagne.



Encore une fois, on ne critique pas pour le plaisir de critiquer, on a juste une approche différente sur l’analyse et la gestion d’un projet on dirait.

&nbsp;

Quant à un des commentaires précédents qui se plait qu’on parle dans le vent, désolé mais je contribue à d’autres projets open-source qui me prennent déjà pas mal de temps, je ne vais pas venir me prendre la tête avec des gens qui n’ont pas selon moi la bonne approche. Le mieux que je puisse faire c’est d’essayer de donner mon point de vu. Si vous pensez que j’ai tort, et c’est d’ailleurs totalement votre droit, he bien on se sera dit ce que l’on avait à se dire. :)





Parle nous des projets auxquels tu participes plutôt que venir dire que les autres n’ont pas la bonne approche. Qu’est-ce que la bonne approche ?


Le 10/10/2014 à 14h 37







Glyphe a écrit :



t’as pas l’air d’avoir bien compris qui j’etais au fil des commentaires. Je n’ai personnellement aucun besoin de Framasoft pour ce genre d’outil, j’ai les capacités de les choisir et les installrt chez moi. (C’est d’ailleurs le cas pour pas mal de services dont je me sers au quotidien. (mail, réseaux sociaux distribués, stockage de fichiers, etc … )

&nbsp;



Ce que je critique, c’est que sur les projets sortis ces derniers mois chez eux, dans l’analyse préalable à tout projet a juste été oubliée toute la partie sécurisation des connexions des utilisateurs. Ca peut peut-être ne pas vous inquiéter plus que ça mais personnellement en 2014, je trouve ça juste un petit peu grave.



Et pour la partie grand publique, c’est juste que je ne vois quasiment personne de chez Framasoft bosser sur des projets open-source pourtant porteurs et très connus, ils se sont repliés sur leurs services et je pense, personnellement, que ça dessert intérêt général du public dans ce domaine. (Mais ce n’est que mon opinion)





Ca y est tu a trouvé une raison de dire du mal des outils de Framasoft (la sécurité des données), tu progresses dans tes arguments mais tu as encore l’air de ne pas savoir où tu veux en venir. Dommage


Le 09/10/2014 à 20h 12







Glyphe a écrit :



Non mais prenez le pour un troll si vous voulez mais malheureusement, ça n’en est pas un du tout ! Si vous voulez continuer à avoir de la merde devant les yeux c’est totalement votre droit mais en attendant quand tu lances un moteur de recherche et un service de sondage (enfin n’importe quel site/service en 2014) et que tu ne mets même pas de TLS … Ca parle quand même pas mal de l’intérêt que tu montres envers les données des utilisateurs …





&nbsp;“Dégooglisons internet” est une opération de communication et de vulgarisation des usages à destination du grand public (les utilisateurs de Facebook, Google, Twitter, etc). C’est tout le contraire de ce dont tu parles et personne n’a dit que tout était prévu, parfait, peaufiné,…


Le 09/10/2014 à 19h 01

Belle initiative. Je n’aime pas le cloud et les services connectés mais il paraît que c’est l’avenir. Alors c’est toujours intéressant une alternative de plus aux solutions de Google la pieuvre ou de Facebook l’inquisitrice

Le 10/10/2014 à 09h 24







Guyom_P a écrit :



Surtout qu’avec grosso merdo plus de 40 millions d’électeur inscrit pour les présidentielles faire voter des gens sous la contrainte pour espérer faire élire un candidat ça nécessite quand même une sacré organisation.

Le caractère confidentiel osef quand même, genre l’isoloir c’est super confidentiel? La majorité des français ne cachent pas pour qui il a voté (enfin depuis Hollande si un peu par honte).

En fait faudrait installer des bornes dans les ambassades dans ce cas pour surveiller que la personne vote seul et sans contrainte.





Le secret du vote sert à éviter les pressions susceptibles de faire hésiter l’électeur au moment du vote. Pas besoin de contraindre des millions d’électeurs pour porter atteinte à la sincérité du scrutin. Si la sincérité du scrutin est contesté par des candidats, c’est le résultat de l’élection qui perd sa crédibilité. Et une élection sert à mettre des candidats (qui s’opposent) d’accord.


Le 09/10/2014 à 18h 35

Google plus t’es foutu, Framasphère aura ta peau <img data-src=" />

Le 09/10/2014 à 14h 18







hycday a écrit :



+1 the true mask



ces sociétés opèrent de manière calculées et légales, cela s’appele de l’optimisation fiscale

c’est la tendance d’essayer de résoudre le manque à gagner et la mauvaise gestion economique en allant fouiner ces sociétés qui vont finir par s’installer ailleurs, au lieu de s’attaquer aux vrais problemes

disons qu’ils adaptent les lois pour empecher les optimisations, bien. les états récupèrent leur “manque à gagner” bien. et après ? problème économique non résolu, alors que les sociétés trouveront d’autres optimisations, voir même d’autre territoires





C’est parce qu’il y a des règles de concurrence, qu’il y a des enquêtes. Est-ce qu’il faudrait laisser faire sans contrôle ? Si oui, alors on pourrait aussi interdire les contrôles de billet dans les trains et dans les bus.



&nbsp;Rien n’interdit à Renault d’avoir une filiale aux Pays-Bas et d’avoir des usines en Roumanie. Rien n’interdit à Amazon de négocier ses impôts avec le Luxembourg.&nbsp;


Le 09/10/2014 à 14h 11







Ph11 a écrit :



Ah ben maintenant, une faible fiscalité serait une « aide » de l’État…

L’ogre a faim…





Dans un paradis fiscal, l’impôt sur des capitaux étrangers se négocie avec l’administration fiscale. Il y a seulement enquête pour savoir si les accords entre le Duché du Luxembourg (membre de l’UE) et Amazon est en cohérence avec les réglements européens (aides de l’Etat, avantages concurrenciels, etc). Il n’y a pas de quoi tirer des conclusions catégoriques et générales.


Le 09/10/2014 à 10h 03

Fiction : Claude Bartolone va révolutionner l’Assemblée nationale : il organisera un “crowdlegislation” pour réformer la Constitution et il supprimera la représentation législative au profit d’une plateforme collaborative de législation sur le web.




 Réalité : à la lecture du long texte de sa conférence de presse, ce n'est pas vraiment ça : encore des rapports, des commissions de réflexion. Pourtant l'introduction du chapitre sur le numérique était beau comme de la poésie (j'aime beaucoup ces exercices de langage) :       

&nbsp;

« Cette année sera également placée sous le signe de la révolution numérique.





Nous le savons, la révolution numérique n’est pas seulement une évolution technologique. C’est une révolution démocratique, culturelle, sociale, et l’Assemblée nationale ne peut en rester à l’écart : une Assemblée numérique pour une République numérique. »

Le 09/10/2014 à 09h 35







bilbonotry a écrit :



C’est clair que “des personnes rémunérées de circuler librement au sein des services

parlementaires, et ce afin de formuler des recommandations” c’est la porte ouverte aux lobbyistes (y a u équivalent français tiens ?)





Un lobby est un groupe de pression. Toute association de citoyens ou d’acteurs économiques ou d’acteurs sociaux, etc peut discuter avec les Parlementaires. Il y a des excès parfois, mais ces excès sont les erreurs de l’exercice des contre-pouvoir et sont le résultat de conflits d’intérêt trop facilement ignorés dans la société française – les privilèges nobiliaires ont été perpétués par les privilèges élitaires (importance du diplôme, du réseau d’école, concentration des pouvoirs dans les conseils d’administration des sociétés du CAC40, cumul des mandats électifs, etc).


Le 08/10/2014 à 12h 42







trouiller a écrit :



Heu… les militaires américains font un décompte précis des gens qu’ils tuent?




 Et ce fameux Chris Kyle aurait plus de mort sur la conscience que celui qui a appuyé sur le bouton pour Hiroshima ou Nagasaki? Wow&nbsp;:fumer:








C'est le tireur d'élite qui aurait tué le plus de personne parmi l'ensemble des tireurs d'élite de l'histoire de l'Armée US.      






Pour ce qui est de compter le nombre de cibles abattues : un tireur d'élite (un sniper) utilise une (ou deux) cartouche qui doit atteindre une cible visée précisemment. C'est comme un pilote d'avion de chasse, c'est plus facile à compter que pour un fantassin, un artilleur ou un bombardier. Et c'est comme le nombre d'heures de vol d'un pilote d'avion, c'est pas forcément intéressant pour tout le monde, mais ça donne une indication de l'expérience du soldat.

Le 08/10/2014 à 08h 35







Danytime a écrit :



Plus ou moins, car si j’ai bien compris le truc applePay c’est pour des paiement en ligne et dans les boutiques en dur, alors que Paylib c’est uniquement les sites marchands en france. Apple peut s’imposer en Europe avec ses apples stores, les chaînes de magasin qui seront déjà certifiés applePay aux US, ainsi que toutes les boutiques de mode &nbsp;ou de prêt à porter (via l’opération de séduction de leur montre dans le mileu de la mode).

&nbsp;

Mais je te rejoins sur le fait que ça sera un concurrent parce qu’en france on a des politiciens (rien que ça c’est bizarre) qui devront se plier aux lobby des banques pour par exemple interdire un applepay (le truc qui veut démocratiser le paiement électronique partout). Et si ça marche pas, ils ressusciteront Monéo ou je ne sais quoi d’autre.&nbsp;

Quand je vois ce qu’il s’est passé avec Netflix ou encore l’industrie du disque… ou alors je me fais des films :/



En France, l’Etat et les banques françaises sont très liées depuis le début du XVIIIe siècle grâce ou à cause de Napoléon Bonaparte

source :http://blogs.mediapart.fr/blog/jargenty/250212/napoleon-bonaparte-et-la-banque-d…



Pour cette raison, les banques françaises sont toutes des grands réseaux nationaux et internationaux alors que d’autres Etats européens possèdent de nombreuses petites banques régionales.



Mais, même si BNP-Paribas, Crédit Agricole, BPCE, etc sont des banques mondiales, Apple (et sont service Apple Pay) a une grande force de frappe commerciale dans le Monde. Et je pense qu’Apple Pay a de grande chance de s’imposer en Europe et aussi en France.



D’abord parce que la France est très impliquée dans l’Union européenne, donc elle doit négocier les réglements européens et compter avec les exigences des autres Etats.



Ensuite parce que Visa et Mastercard se sont imposé en France, alors pourquoi pas Apple ? En France, Visa et Mastercard sont 2 réseaux américains de paiement qui ont négociés avec le GIE Cartes bancaires (dont les banques françaises sont membres) afin de fournir leurs solutions de paiement sur le territoire français. American Express n’a pas eu la même stratégie et est moins développé en France (mais American Express continue quand même d’exister en France encore aujourd’hui).