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7412 commentaires

Le 28/07/2015 à 11h 50

Création de France Télécom en établissement public autonome le 2 juillet 1990.

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Le 28/07/2015 à 11h 45

Le réseau cuivre a été vendu Par l’Etat avec France Télécom à des actionnaires. L’Etat a fait un bénéfice en vendant cette boucle locale cuivrée.

Le 28/07/2015 à 11h 38

En tout cas, OVH Télécom n’a pas l’air de bénéficier des remises commerciales anti-concurrentielles d’Orange France pour ses offres VDSL/SDSL en zones non-dégourpées par OVH, vus les prix affichés par OVH.



OVH devrait demander quelques centaines de millions d’euros aussi pour tarif abusif d’offre de gros VDSL/SDSL de la part d’Orange.

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Le 27/07/2015 à 23h 55

En revanche, quand tu dis que tu ne paies pas sur les sites d’infos gratuits, et que tu ne voies pas pourquoi tu paierais la même chose sur des sites payants. C’est là que tu as tord, ce n’est pas la même chose.



Tout dépend ce que tu recherches en terme d’informations et visiblement tu recherches surtout de l’information rapide à lire sans analyse poussée du sujet traité. Et je ne dis pas que la presse gratuite ne fait jamais d’analyse ou d’enquête :




  • “Cash investigation” c’est du journalisme d’enquête et c’est gratuit sur France Télévisions.

  • l’émission “14h42” de Next inpact et Arrêt sur images, c’est de l’analyse et c’est gratuit une semaine après la publication sur Next inpact

Le 27/07/2015 à 23h 43

Je ne dis pas que tu as tord d’apprécier la presse gratuite. Ce n’est pas une question de “luxe” et de mauvaise qualité, plutôt une question de différence de traitement de l’information.



Evidemment, il y a de la presse gratuite de qualité : pour reprendre mon analogie culinaire, moi j’aime aller au Mc Do de temps en temps, pas pour la qualité du repas, mais pour la rapidité et le côté ludique du repas.



Et il y a de la presse “bas de gamme” payante (la plupart de la presse féminine, l’Equipe, la plupart de la presse quotidienne locale, etc).

Le 27/07/2015 à 20h 41

La presse gratuite c’est un peu comme le gâteau 1er prix acheté à Carrefour ou chez Mc Donald’s : c’est une pâtisserie, c’est comestible, mais c’est plus de 50% de graisse et de sucre.



La presse payante c’est un peu comme le gâteau acheté en boulangerie-pâtisserie ou un restaurant étoilé : tu as le choix et il y a plus de 10% de fruits dans un gâteau aux fruits, de cacao dans un gâteau au chocolat, etc.



En d’autres termes, tu veux te remplir le ventre ? Alors, achète un gâteau chez Mc Do. Tu veux te faire plaisir ? Paie le prix chez un artisan. La presse c’est pareil : il y a la presse “industrielle” qui donne des infos à la minute et il y a la presse “artisanale” qui donne des infos mises en contexte et analysées malgré les intérêts économiques des uns et des autres et malgré le fait d’avoir beaucoup moins de lecteurs quotidiens.

Le 27/07/2015 à 20h 15

Par exemple, payer pour avoir le résultat du travail d’autrui. Toi, tu préfères que les journalistes soient payés grâce à la publicité ou grâce à un groupe industriel ou grâce à une collectivité locale (exemple: le bulletin municipal), mais moi je n’appelle pas ça un journaliste, j’appelle ça un animateur TV-radio ou un attaché de presse.



Continue à regarder TF1, à lire Metronews ou à lire Numerama, c’est souvent intéressant par le sensationnalisme (le summum étant l’info-tainment). En tout cas, pour avoir des articles d’analyse ou d’enquête, il faut généralement s’abonner ou payer l’article (à part quelques exceptions comme “Pièce à Conviction”, “Cash investigation”, etc)

Le 27/07/2015 à 22h 02

Partenariat public-privé :

http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_partenariat-public-p…

future.arte.tv Arte<img data-src=" /> <img data-src=" />

Le 27/07/2015 à 21h 50

quel est le sujet ?




  • le cloud : hors sujet vis-à-vis des compétences de l’ARCEP, tu as raison (la précision est une qualité)

  • Orange : c’est bien le sujet ici

  • le marché hébergement de bases de données d’entreprises : c’est bien le sujet ici



    Si OVH Télécom demandait un jour à l’ARCEP d’étudier un manque d’équité ou de loyauté de la part d’Orange Business Services sur une offre aux entreprises ou de la part d’Orange France à propos de l’offre de gros dont bénéficie OVH Télécom, ça concernerait l’ARCEP même si OVH est essentiellement un hébergeur et fournisseur de solutions informatiques.



    Le Cloud sans fourniture de services télécom, c’est l’idéal pour la concurrence. Malheureusement, il se trouve que Orange Business Services, SFR Business Team, Completel offrent des solutions intégrées (télécom + informatique) et vampirisent le marché télécom entreprises et le marché solutions informatiques grâce à la convergence de moyens et d’activités complémentaires. C’est ce que j’ai voulu dire.



    Mais, tu as raison dans un sens : L’ARCEP n’a pas de compétence dans le cloud, c’est hors-sujet .

Le 27/07/2015 à 16h 33

Merci pour la précision <img data-src=" />



Je faisais seulement référence au fait que l’ARCEP s’intéresse à quelques difficultés du marché entreprise des Télécom (voir la partie 6 “Les entreprises, un marché à défricher” de l’article Next inpact “Après une année 2014 chargée, quelle suite pour l’ARCEP ?”). Et il se trouve que Orange et Numericable-SFR, prestataires de “cloud souverain” (hors compétences de l’ARCEP comme tu le dis) sont les 2 plus importants fournisseurs de services télécom aux clients entreprises.



Et qui dit services télécoms entreprises, dit services d’hébergement entreprises : si Orange Business Services propose des solutions intégrées à l’Etat ou à d’autres entreprises, ce n’est pas les solutions de OVH ou de 1&1 qui seront fournies, mais bien les solutions de CloudWatt (dont Orange est actionnaire) :



« Quelques jours après la nouvelle des Échos, nous apprenions qu’Orange devenait l’unique actionnaire de Cloudwatt, qui utilisait déjà l’infrastructure d’Orange Business Services. »

article Next inpact ci-dessus



Donc, oui, “Il faut vraiment que l’Autorité de la Concurrence et l’ARCEP se penchent rapidement sur le marché télécom aux entreprises, sinon Orange et Numericable-SFR se partageront le gâteau”.

Le 27/07/2015 à 10h 45

Il faut vraiment que l’Autorité de la Concurrence et l’ARCEP se penchent rapidement sur le marché télécom aux entreprises, sinon Orange et Numericable-SFR se partageront le gâteau en laissant les miettes à Telefonica-Bouygues tout en décidant de favoriser leur propre solution d’hébergement “souverain”.

Le 27/07/2015 à 16h 10

La stratégie de la maîtrise « du contenu et du contenant » de Jean-Marie Messier commence par la maîtrise du contenant (la CGE, Compagnie générale des eaux, propriétaire de Cegetel et de sa filiale SFR).



Mais on peut dire aussi que le groupe Canal+ (filiale de Vivendi) maîtrise également le contenant (la diffusion) et le contenu (la production, les studios). Pour autant, en France, même les chaînes non-payantes sont devenus productrices de contenus, donc c’est un modèle généralisé malgré la disparition de TPS (qui appartenait au groupe TF1 et France Télévisions entre autres et qui a fusionné avec CanalSat, propriété de Vivendi).



La “malédiction” repose bien sur le contrôle du contenant qui a l’air de pousser les dirigeants trop zélés ou ambitieux à contrôler également le flux qui transite dedans (l’eau, les données, les flux de diffusion TV, etc)

Le 27/07/2015 à 10h 58

Merci pour les liens très intéressants et instructifs <img data-src=" />

Le 27/07/2015 à 10h 54

S’insurger non. Se renseigner et avoir accès en toute transparence à propos de “qui parle” “avec quels supports financiers”, oui. Malheureusement la Vérité n’existe pas, il n’existe que des perceptions de vérité complexes, simultanées et parfois paradoxales.



Par exemple, personnellement, si j’écoute France inter, j’aime bien ensuite écouter RMC pour me laver le cerveau : RMC a une posture beaucoup plus “libre-antenne” sur les sujets politiques que France inter (je regrette que la rubrique “inter Activ” de la matinale de France inter ne dure pas aussi longtemps qu’il y a quelques années auparavant).

Le 27/07/2015 à 10h 32

Justement Eric Schmidt démissionne de son siège d’administrateur d’Apple au moment où Google développe son propre OS. Quand à Microsoft et Apple, il faudrait que je me renseigne plus précisément.

Le 27/07/2015 à 10h 30

Il ne faudrait pas faire l’amalgame entre administrateur au sein de 2 groupes en concurrence directe et administrateur au sein de plusieurs sociétés ce qui lui confère des pouvoirs d’influence néfaste pour la Société civile. Ce n’est pas la même chose.

Le 27/07/2015 à 09h 01

Si tu as des exemples d’administrateurs présents dans des filiales de groupes directement en concurrence sur le même secteur d’activité, je suis intéressé…

Le 27/07/2015 à 08h 56

Altice devient un groupe présent dans les médias et les télécoms. Il y a bien des questions à se poser.

Le 27/07/2015 à 08h 52

la censure ouverte n’existe que dans un régime dictatorial où tout le monde admet la suprématie de la pensée du guide, du chef suprême. Sinon la censure est rampante, lancinante, subliminale, auto-appliquée par les rédacteurs des articles, et rien n’empêche à l’occasion que l’industriel fasse sentir aux chefs de rédaction qu’une telle pratique ou qu’un tel acte, il vaut mieux ne pas le renouveler une prochaine fois (personne n’est irremplaçable et l’ambition professionnelle est la valeur la plus appréciée par celui qui tient les cordons de la bourse du salarié).

Le 27/07/2015 à 08h 39

Etre administrateur d’une société, ça veut dire participer aux décisions : ça ne veut pas dire être Président, directeur ou actionnaire majoritaire. Iliad n’est pas son groupe.



Ce qu’il va se passer :




  • soit il devra démissionner,

  • soit son siège au conseil d’administration de Iliad ne sera pas renouvelé prochainement,

  • soit il donnera des garanties au groupe Iliad que ses activités média au sein de la filiale d’Altice n’engagent pas de conflit d’intérêts néfastes au groupe Iliad (parce que les conflits d’intérêts au sommet des sociétés commerciales, il y en a beaucoup).

Le 27/07/2015 à 08h 27

« NextRadioTV se présente comme l’un des rares groupe audiovisuel indépendant de France, (…) Alain Weill se veut rassurant alors que l’image de Patrick Drahi est plutôt celle d’un gestionnaire intransigeant : « L’opération ne change rien au contrôle de la société ni des différentes marques qui forment notre groupe. […] Rien ne change sinon l’ambition et les moyens. » »



il y a une lacune dans cette affirmation de Alain Weill : rien ne change sinon l’ambition et les moyens et l’indépendance vis-à-vis d’un groupe industriel (Altice).

Le 26/07/2015 à 23h 23

Ca, c’est vraiment pénible. J’ai connu le même souci avec mes listes de lecture Deezer. Et c’est la même chose avec le streaming VOD : le catalogue de tous les diffuseurs (Canalplay, TF1 VOD, Pluzz, FilmoTV) est sujet à des modifications : si je veux regarder un film que j’ai repéré quelques mois auparavant sur la plateforme, il a déjà disparu…



Autant acheter des DVD et des CD ou des fichiers musicaux sur Qobuz ou Musicme pour les morceaux vraiment intéressants et pour le reste il reste le streaming de youtube, deezer ou musicme, soundcloud ou le site web de l’artiste.

Le 26/07/2015 à 12h 29

(Désolé, l’édition de mon précédent commentaire a dérapé, j’ai dû repasser en mode BBcode <img data-src=" />)





A propos de l’Assurance Maladie, si tu connais quelqu’un qui travaille dans la CPAM à laquelle tu es affilié, ça peut effectivement faire peur car il a accès à tous les dossiers d’assurance maladie des personnes qui ont été sous le régime général un jour ou un autre et qui résident dans le département. Mais, généralement, il y a des gardes-fou (une organisation des services, un personnel loyal et contrôlé, etc)



Notamment, le réseau informatique de l’Assurance Maladie est divisé entre toutes les CPAM de chaque Département (CPAM : Caisse primaire d’Assurance Maladie) : un employé d’une CPAM n’aura pas accès au dossier d’un assuré d’un autre département et s’il a besoin de renseignements, il demandera à l’assuré de faire le nécessaire lui-même auprès de son ancienne CPAM d’affiliation ou de lui fournir les justificatifs (même si l’information est connue par un autre organisme).



Moi, ce qui me fait peur, à part les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft…) sur-médiatisés, c’est :





  • le “Droit de communication” que la Loi accorde à quelques organismes sociaux auprès de toute administration de l’Etat et tout organisme de service social. exemple : (MàJ) Contrôle des chômeurs : le gouvernement retire son amendement

  • les unifications d’administrations entre elles (et de leurs systèmes informatiques) de ces dernières années. exemples : Pôle Emploi (ANPE + les ASSEDICs locales) - les centres des finances publiques (direction du Trésor public + direction des impôts)







    Depuis Napoléon Bonaparte les administrations fiscales qui calculent l’impôt et celles qui perçoivent l’impôt étaient séparées pour éviter les conflits d’intérêts et les risques de corruption. Aujourd’hui ce n’est plus le cas.



    A la fin des années 1970, l’Etat a essayé de mettre en place SAFARI et, grâce à quelques personnes vigilantes, on a eu la CNIL à la place (voir 14h42 : entretien avec Louis Joinet, l’un des pères de la CNIL)



    Je ne parlerais pas de la Loi Renseignement car il s’agit de surveillance et non de base de données centralisée – exploitable à l’insu des individus et exploitable dans l’intérêt de l’organisme concerné, sans préavis vis-à-vis de la personne concerné qui ne peut se défendre, dans le meilleur des cas, uniquement a posteriori.

Le 26/07/2015 à 12h 09

Le 24/07/2015 à 16h 11

Je répondais à cette partie de ton commentaire :

« Je trouve que c’est de la parano cette histoire de données.

Et bon, même si c’est affiché en page principale de google (imagine le bordel lol) perso ça changera pas ma vie qu’on voit mes contacts, phone, mail, mes sites visités et ou j’étais quand j’ai vu ça. Dans le pire des cas, je m’en fou quoi. »



De quoi tu me parles ? de palpation ? J’ai parlé de paparazzi et de choses privées qu’on n’a pas envie de voir rendues publiques.

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C’est quoi cette réaction puérile : “N’importe quoi”. Tu n’as pas d’autres arguments ?

Le 24/07/2015 à 11h 55

Quand les sociétés d’assurances sauront (avant même la personne concernée) qu’il s’est passé quelque chose dans la vie de son assuré et que, par un simple algorithme (conçu plus sûrement par Axa ou Allianz que par Google), la prime d’assurance évoluera en fonction de ces critères obscures, j’imagine que la personne concernée sera outrée. Mais comme tout le reste de la population n’en aura rien à faire (ou aura vu sa prime d’assurance diminuer), alors l’algorithme et le Big Data seront loués pour leurs bien-faits ou plus sûrement ignorés par le quidam “qui n’a rien à cacher”.

Le 24/07/2015 à 11h 38

tu mets le doigts sur une réalité que beaucoup de gens ignorent. Pour ce qui est des banques, le secret bancaire est encore (pour combien de temps?) une culture du secteur bancaire qui l’empêche de se servir des Big Data.

Le 24/07/2015 à 11h 31

En partant du principe que personne n’aura de mauvaise intention à ton égard, tu as raison : rendre tout public de sa vie privée, quelle importance ?



Alors demande à des personnalités publiques, pourquoi est-ce qu’elles se cachent des paparazzis ?

Moi, je pense qu’il y a des gens qui ont des intérêts divergents de tes propres intérêts et qui sont intéressés par ce que tu vis.

Le 23/07/2015 à 17h 30

Si une banque française se comportait comme les GAFA se comportent, on aurait des prises de position médiatiques pour dénoncer un abus de pouvoir. Mais ça vient d’un “pur player” de Californie, alors ce sont de gentils community manager, des amis d’Arnold Schwarzenegger (si on peut dire), des défenseurs du consommateur qui utilise tout ça gratuitement : Disney Land quoi !! <img data-src=" /> la Fête à Neu-Neu !! <img data-src=" />

Le 23/07/2015 à 17h 21

oui il faut utiliser les fonctionnalités qui nous intéresse au moment où on en a besoin et savoir les désactiver au moment où ça ne nous sert pas. Et désactiver tout le reste puisqu’on n’en a jamais besoin.



Et cela pour une raison simple : un algorithme d’ordinateur est capable mieux que quiconque (mieux qu’un proche, un ami, un conjoint) de savoir qui tu es et ce qui te fait envie, ce qui se passe dans ta vie, etc, à chaque instant. Quand on a compris comment ça fonctionne, on commence à touver tout ça bien louche et on s’en cogne un peu moins (sans devenir parano et sans prendre peur pour autant).



tiens, un lien qui pourrait t’intéresser :

https://donottrack-doc.com

Le 23/07/2015 à 16h 55

Tiens un petit jeu de piste sympathique à propos de la valeur de la vie privée :

https://donottrack-doc.com

Le 26/07/2015 à 11h 13





  • L’itinérance n’est pas équitable entre les opérateurs. C’est un procédé de vente de services télécom (MVNO), qui n’est pas valable pour un opérateur qui construit un réseau télécom. L’itinérance de Free mobile a été accordé en compensation de son arrivée tardive aux côtés d’opérateurs qui disposaient déjà de réseaux très étendus.

  • la mutualisation dans les zones les moins denses est une procédure pré-établie et encouragée par l’ARCEP car la concurrence des infrastructures dans des zones peu rentables est très difficile à rentabiliser pour les opérateurs. Et la mutualisation doit s’établir de manière équitable entre opérateurs partenaires et entre tous les opérateurs qui étendent un réseau mobile.



Le 26/07/2015 à 10h 56

« Pour ce qui est de l’accord d’itinérance de Free, il serait plus sain que ça se transforme en mutualisation à la manière de Bouygues-SFR »



&nbsp;      






La différence est bien là entre Free / Orange et Bouygues Télécom / Numericable-SFR :      







  • Free détient une itinérance sur tout le territoire (zones très denses + zones peu denses) pour combler les trous de couverture de son réseau mobile

  • Bouygues Télécom et Numericable-SFR se sont réparti le territoire des zones les moins denses (les moins rentables) dans une mutualisation de leurs réseaux mobile et se font concurrence dans les zones les plus denses (les plus rentables).



    &nbsp;

    Comme il est écrit dans les 2 articles Next inpact que j’ai mis en lien dans mon précédent commentaire : l’ARCEP va contrôler la fin de l’itinérance de Free (qui est déjà programmée) et surveillera que la mutualisation mobile Bouygues/SFR se déroule correctement. Dans ce contexte, il n’y a pas de passe-droit pour les uns ou pour les autres comme tu sembles l’imaginer. Une mutualisation des réseaux n’est autorisée que dans des zones peu rentables car le but de l’ARCEP est de construire un réseau national performant et le plus étendu possible, le plus rapidement possible.

Le 23/07/2015 à 11h 28

Concernant la mutualisation des réseaux mobile de Numericable-SFR et de Bouygues Télécom, Orange exerce aussi des pressions et sûrement que la régulation de l’ARCEP s’intéressera à cet accord également :



Next inpact le 23/02/2015

« Et pour le président de l’ARCEP, l’issue de ce contrat ne fait aucun doute. Une fois le texte de loi sera passé entre les mains du Sénat : « nous commencerons le dialogue avec les acteurs (Orange et Free, NDLR) pour organiser la fin de l’itinérance. » Aucun calendrier n’est par contre précisé, mais, pour rappel, le contrat doit normalement se terminer en 2017 et Stéphane Richard avait déjà annoncé qu’il ne souhaitait de toute façon pas le prolonger.



Concernant l’accord de mutualisation entre Bouygues Telecom et SFR-Numericable, Sébastien Soriano indique que « le texte de loi ne demande pas à l’ARCEP de réglementer a priori, mais elle peut poser des limites aux différents accords ». Une sorte d’avertissement au cas où les choses viendraient à déraper. »

nextinpact.com Next INpact

Le 23/07/2015 à 10h 52

Mais pourquoi opposer un problème à un autre problème qui n’a rien à voir. Voilà un raisonnement à l’emporte-pièce : cette réaction me fait penser aux automobilistes qui se font verbalisés et qui expriment leur mécontentement en arguant que d’autres font pareil sans être verbalisés. Chaque problème est indépendant des autres et la solution n’est pas dans la comparaison, la solution se trouve dans l’appréciation de la situation donnée.

Le 22/07/2015 à 21h 39

la loyauté entre opérateurs, refermer le “trou dans la raquette” dans la régulation du mobile 3G. Quel beau programme, à suivre…

Le 25/07/2015 à 17h 18

Pour moi, Sharknado est du cinéma de mauvais genre ou du cinéma fantastique loufoque. Et il y a un public pour ce genre-là.

&nbsp;

A voir : les critiques de ECRAN BIS et la section “Fantastique / Horreur” de Filmo TV

Le 25/07/2015 à 15h 08

« À l’heure où nous écrivons ces lignes, Sharknado 3: Oh Hell No!&nbsp;a droit à une note de&nbsp;3 chez Allociné&nbsp;et&nbsp;5 chez IMDb. »

&nbsp;

&nbsp;et, à l’instant, 5.710 chez SensCritique (35 notes).

Le 25/07/2015 à 08h 04

Vu comment sont entretenues les bases de données clients dans des magasins comme Boulanger, je n’ose pas imaginer comment sont entretenues les filières de recyclage des déchets électroniques DEEE :

ça doit ressembler à un conteneur rempli de choses diverses et variées qu’on vide à l’occasion (en utilisant le système D) quand le monticule risque de s’effondrer ou quand on a besoin de la place pour stocker de la marchandise.

Le 24/07/2015 à 19h 03

oui aujourd’hui on a le droit de traiter quelqu’un de “sombre connard” à la TV à une heure de grande écoute (Audrey Pulvar à propos de Rémi Gaillard) mais on n’a pas le droit de dire que Mr Michu a un diabète sur le réseau informatique commercial d’un magasin d’électro-ménager. La Liberté d’expression fout le camp, vraiment ?

Le 24/07/2015 à 15h 47

Tu as raison, c’est aussi choquant. Pour autant, il ne faudrait pas faire d’amalgame entre :




  • une base de données illégale recensant des données qui constituent parfois des jugements subjectifs, parfois des données personnelles sans rapport avec l’activité de Boulanger

  • un traitement de données légal (et pourtant choquant) en temps réel sur la base de plusieurs millions d’individus dans une activité commerciale qui mélange nouveaux usages du Big Data et revenus de publicité ciblées (activité principale de Google).



    il y a de quoi avoir peur en lisant un tel amalgame dans les commentaires des articles de Next inpact.

Le 25/07/2015 à 06h 27

<img data-src=" /> <img data-src=" />

Le 25/07/2015 à 06h 22

Et oui! si tu as accès à l’ADSL et que tu es un “power user”, utilise l’ADSL (ou mieux la fibre FTTH) c’est plus adapté. Mais si tu n’as pas accès à l’ADSL, alors tu choisis entre le RTC 56Kb/s et la 4G au débit erratique et le satellite au ping très lent.



on tombe dessus, c’est l’jeu ma pauv’Lucette!

Le 23/07/2015 à 17h 06

Et pour les autres MVNO ? Rachat (disparition) ou étranglement par le durcissement de l’offre de gros (SFR étant le principal réseau supportant des MVNO) ?

Le 22/07/2015 à 16h 43

argument classique de Free pour botter en touche, mais Orange n’est pas blanc comme neige, donc ça passe auprès d’une partie du public.

Le 22/07/2015 à 10h 35

Là, tu ne parles pas de Justice, tu fais référence à l’opinion publique : effectivement, en France, la plupart des électeurs et des résidents français s’en moquent (on fait des manifestations contre une taxe ou pour une augmentation de salaire ou contre une réforme sociale, mais pas contre un élu ou un responsable politique qui a profité d’un délit commis par plusieurs de ses soutiens politiques ou qui a commis lui-même un délit).



Pour ce qui est du “responsable mais pas coupable”, c’est très simple, la responsabilité est une notion administrative alors que la culpabilité est une notion judiciaire. Et il faut reconnaître que la République française est une république plutôt administrative où le pouvoir judiciaire est relativement assujetti au pouvoir exécutif, avec un financement de l’institution judiciaire qui n’est pas à la hauteur des besoins de la Société française.

Le 22/07/2015 à 10h 23

<img data-src=" /> C’était justement l’objet de mon commentaire en réponse à NonO51 : les responsables japonais n’assument pas leurs erreurs publiquement, ils font acte de contrition et de soumission et ils le font parce qu’ils se sont fait repérés et que la Société leur impose une humiliation publique (une preuve de leur humilité dans l’erreur). C’est une façon d’assumer leurs erreurs par obligation sociale, pas parce qu’ils ressentent la nécessité d’assumer une erreur.

Le 22/07/2015 à 08h 23

Au Japon, les gens ont une culture du devoir et de la soumission qui frise le harcèlement et l’intimidation (bullying pour les anglais).

Le 22/07/2015 à 08h 18

<img data-src=" />

en France, les coupables trouvent souvent un bon bouc-émissaire pour éloigner les foudres de la Justice.

Le 22/07/2015 à 10h 05

Ca me rappelle cet autre exemple : 15 octobre 2007 : Marché de l’accès à internet haut débit - A la suite d’une transaction avec l’entreprise, le Conseil de la concurrence sanctionne France Télécom à hauteur de 45 millions d’euros pour avoir entravé le développement des fournisseurs d’accès concurrents de sa filiale Wanadoo - communiqué de l’Autorité de la concurrence



Pour autant, même si Orange freine souvent les effets de la régulation de l’Arcep ou les règles de la concurrence, il n’est pas le seul à faire preuve de son manque de loyauté (la loyauté est la valeur la moins partagée dans le monde des télécom). Et si on devait reprocher à Orange d’être un mastodonte face aux “petits” Free / Bouygues Télécom, aujourd’hui Orange est aussi imposant que Numericable-SFR (sur le territoire français). Moi, je dis vive les Réseaux d’Initiative Publique locaux qui louent leur réseau de distribution aux 4 gros FAI nationaux (et aux FAI locaux, associatifs, etc), et halte à la préemption des zones rentables par les 4 gros opérateurs télécom/FAI/diffuseurs de contenus.