dans Projet Ara, il y a “projet”. Ce n’est donc pas un produit fini mais une étape de recherche/développement avec objectif de commercialisation à petite échelle. Reste à voir si les capacités de production de smartphones pourront suivre le modèle “pièces détachées” avec un coût raisonnable.
Si ce projet pouvait rendre les OS et le matériel des smartphones plus interopérables, ce serait une bonne chose, mais ce projet ne semble pas se diriger dans ce sens (en tout cas, on n’en est pas encore là).
Ce que je reproche aux magasins d’applications (type Google play) ce n’est pas leur existence en elle-même, mais le principe de décider de ce qui est sécurisé, valable et fonctionnel sur un système d’exploitation. C’est un peu comme les “box” des opérateurs télécom. Tout ça devient de la grande distribution (l’éditeur “met à disposition” un matériel ou un OS et se finance grâce aux données et aux applications dont il a le monopole de la distribution) au lieu de rester un système sur lequel des développeurs et des utilisateurs peuvent faire à peu prêt ce qu’ils veulent. Ils vendent des services et des contenus numériques et ne sont plus dans leur rôle premier (vendre des accès, des OS). autres exemples : le Kindle, les mobiles subventionnés pour vendre des forfaits plus chers.
Pour revenir au sujet de l’opt-in / opt-out, je conçois parfaitement que l’opt-in ne peut s’appliquer systématiquement (ça deviendrait bloquant pour plusieurs fonctionnalités ou activités économiques). Mais ça donne un peu de transparence et ça demande un peu de consentement de la part des utilisateurs et des développeurs.
Le
17/08/2015 à
09h
22
tout l’esprit marketing, ça : opt-out ni vu, ni connu et, si jamais l’utilisateur se préoccupe de ses données, on engage l’utilisateur à faire une démarche, à prendre un risque / à faire confiance pour désactiver la fonction.
C’est sûr que si on demande la permission à l’utilisateur, celui-ci renoncera la plupart du temps à divulguer ses informations. L’opt-in n’est pas très en phase avec la publicité ciblée et les statistiques de comportements.
D’ailleurs, grâce à la fibre optique FTTH, il n’y aura plus ce problème d’affaiblissement dû à la longueur de la ligne jusqu’au noeud de raccordement, donc il faudra me servir une autre explication ou alors c’est toi qui viendra chouiner à cause du paysan tout crotté qui a un aussi bon débit et une connexion aussi stable que toi, dans ton bel appartement de centre-ville au bitume refait à neuf après l’installation de la fibre en bas de ton immeuble.
(quitte à reproduire des préjugés, je m’y mets aussi)
Le
16/08/2015 à
12h
05
Désolé, il me semble logique de raisonner en terme de services et non en terme de quote- part d’infrastructure : question de service puisque les opérateurs télécom sont également fournisseurs d’accès et fournisseurs de contenus.
D’ailleurs si je suis ton raisonnement, il faudrait faire un tarif en fonction de la longueur de la ligne entre l’abonné et le NRA/NRO, ou mieux, en fonction de la longueur de la ligne entre l’abonné et le lien d’interconnexion international de l’opérateur télécom.
Donc, outre le fait que, actuellement, ce sont les lignes courtes qui financent les lignes les plus longues, ce n’est pas plus logique que les abonnés aux lignes longues (avec peu de débit) paient le même prix pour un service dégradé.
Sans compter le fait qu’un abonné avec une ligne longue en zone très dense (immeubles) coûtera moins cher qu’un abonné avec une ligne courte dans un village.
Le paiement à l’accès est une formule tarifaire qui se discute, ne t’en déplaise.
Le
10/08/2015 à
21h
57
“illimité” c’est comme “inverser la courbe du chômage”, ça fait plaisir à entendre mais ça ne veut strictement rien dire de réel.
Le
10/08/2015 à
20h
55
on est d’accord : le respect du principe de “bon père de famille” est, en fait, déterminé par le fournisseur de téléphonie sans aucune transparence vis-à-vis du client (le client est laissé dans le flou). Je voulais seulement ajouter que ce terme juridique “en bon père de famille” n’est pas valable si le client ne sait pas où se situe le raisonnable et la bienveillance vis-à-vis des autres utilisateurs du réseau de l’opérateur.
Le
10/08/2015 à
20h
43
Dans un sens je comprends ton raisonnement : moins de services et prix identique " />
Pourtant, Déjà actuellement, les options d’usages commencent à être tarifer (options SVOD, options bouquets TV, etc)
Malheureusement, je déplore que les opérateurs télécom ne factureront probablement pas la bande passante ou des quotas de données consommées sur le réseau fixe (un peu comme c’est le cas sur le réseau mobile) mais vendront de l’accès à des options de contenus et à des services numériques (rôle d’un distributeur de contenus).
De ce fait, l’avantage est que si ton débit ne permet pas ces services numériques, tu ne paieras pas pour rien. L’inconvénient est que si tu n’as pas de débit, tu pourras utiliser la TNT ou le satellite pour accéder à ces services numériques… ou vivre dans le monde réel " />
Le
10/08/2015 à
17h
00
" />
Le
10/08/2015 à
16h
58
je ne dis pas le contraire de ce que tu dis, seulement qu’il existe des offres pros à prix raisonnables avec une relation client plus orientée vers les préoccupations des TPE que Free (l’exemple que tu as cité).
Dans le mobile, il y a aussi les offres pros de Prixtel et les offres entreprises de Coriolis.
Le
10/08/2015 à
16h
24
Pourtant, Nerim et OVH (2 opérateurs dédiés aux pros) proposent tout de même des offres pros sans GTR (garantie du temps de rétablissement) à tarifs modérés.
Le
10/08/2015 à
16h
17
“Si on vend de l’illimité, on fournit de l’illimité, (…)”
Encore faudrait-il savoir à quoi correspond “illimité”. Même l’Univers, de nos jours, est limité. Alors l’usage d’un accès télécom…
En fait, “illimité” est un terme du marketing qui tend à laisser penser que les usages sont abondants et peuvent être permanents. Les avertissements de la répression des fraudes, décrits dans l’article de Next inpact prouvent qu’il s’agit d’un leurre.
Le
10/08/2015 à
16h
04
“bon père de famille de 2012”
“en bon père de famille” est un terme de Droit civil qui signifie : avoir un comportement raisonnable, bienveillant, etc.
Ecrire cette expression dans un contrat alors que par ailleurs, le marketing de la même société commerciale communique sur le fait qu’une donnée ne coûte rien (que seule l’installation des infrastructures ont un coût), et que le même marketing utilise constamment le terme “illimité”(l’idée d’abondance chère à la grande distribution), c’est de l’hypocrisie et un manque de loyauté envers le consommateur.
spéciale dédicace à tous les chevaliers blancs de la consommation qui communiquent dans les médias avec leur chemise blanche : Qui est le moins cher ?, La liberté n’a pas de prix, etc.
“en réduisant plus fortement les sections dangereuses”
Ca peut être une partie de la solution aux problèmes de la sécurité routière (par exemple en supprimant les passages à niveaux ferroviaires) mais ça a un coût non-négligeable et ça n’empêche pas les comportements dangereux.
C’est un peut comme en sécurité informatique : on peut installer le meilleur par-feu, le meilleur anti-virus avec des logiciels constamment à jour, si l’utilisateur n’a pas un comportement de prudence ( en choisissant ses mots de passe, en consultant des sites web connus, etc), ça n’aura que peu d’importance et le risque sera très grand.
Les règles existent pour être protégé des comportements dangereux des autres utilisateurs de la voie publique et pour faire respecter ces règles, malheureusement l’automobiliste doit payer à chaque manque de vigilance (une amende et un retrait de points vaut mieux qu’un accident).
Le
16/08/2015 à
11h
09
d’accord avec toi à propos du fait que l’automatisation de la verbalisation engendre des amendes pour des infractions qui sont peu dangereuses et sur le fait qu’elle sert très opportunément à augmenter les recettes des pouvoirs publics.
Ceci-dit, une application mobile qui collecte les données GPS du smartphone et s’en sert à des fins de recettes, c’est la même chose et peu de personnes s’en préoccupent. Ce comportement est ubuesque si on raisonne quelques minutes.
D’autre part, il faudrait donc payer un grand nombre d’agents de police grâce aux impôts pour faire respecter le Code de la Route alors qu’il existe des solutions automatiques et peu contestables qui permettent de réduire les coûts de fonctionnement de l’administration policière ? Certes, ça peut être immoral avec peut-être un risque de déviance par rapport à l’intérêt public (à l’extrême, des risques de corruption) quand ça sert à faire des “bénéfices” et à payer des sociétés sous-traitantes de vidéo-verbalisation (installation, maintenance, etc).
En revanche, pas d’accord avec l’expression “sans risque” : dès qu’un véhicule est en mouvement, il y a un risque. Et évaluer ce risque ne peut se faire qu’à chaque fraction de seconde, en sachant que le point de vue de chaque automobiliste ne perçoit jamais complètement les dangers qui l’entourent.
“sans risque” ça n’existe pas en circulation sur la voie publique, même avec toutes les sécurités possibles et imaginables. Et bien que les élus politiques aient tendances à préférer les solutions pénalisantes pour leurs administrés par facilité et sécurité administrative, ce n’est pas une raison pour dire qu’il faut dire que les gens sont suffisamment responsables sur les routes (“être suffisamment responsable” est très relatif, très subjectif, très variable dans la réalité, car l’erreur est humaine, les chauffards du samedi soir existent, les automobilistes qui rentrent du travail fatigués, énervés, aigris par leur patron ou par leurs collègues existent, etc).
Le
14/08/2015 à
18h
14
pourquoi le Code de la Route interdit des pratiques aux volants ? Parce que des gens prennent des risques pour les autres inconsidérément.
Tu continues sur ta lancée victimaire de l’interdiction qui nuirait à ta liberté et à ton confort. Mais je suis d’accord avec toi sur ce point. Personnellement je suis plutôt contre le permis à point et pour un permis renouvelable tous les 15 à 30 ans + stages de conduite et visite médicale tous les 10 ans.
Mais si tu réfléchis un peu au lieu de te plaindre, tu reconnaîtrais que l’interdiction est là pour te sécuriser du comportement débile d’autrui.
Le
14/08/2015 à
12h
01
Désolé mais ton raisonnement est mauvais. Tu compares des exemples pour aboutir à la conclusion qui t’arrange.
La conversation téléphonique en conduisant est un risque supplémentaire. Toi, tu es prêt à prendre ce risque supplémentaire, ça te regarde. Malheureusement, tu n’es pas seul sur la voie publique et tu dois être en mesure d’anticiper le comportement des véhicules et des piétons qui circulent à proximité de ton véhicule. La question est là.
En d’autres termes, le Code de la Route sert à protéger les autres de toi-même et à te protéger toi aussi dans une moindre mesure (chacun prend les risques qu’il souhaite pour lui-même). Faire 2 choses en même temps, c’est “courir 2 lièvres à la fois” : une demi-seconde d’inattention à 50 km/h suffit à provoquer un accident.
Le
14/08/2015 à
11h
50
J’aime les articles de Next Inpact qui traitent du sujet de l’automatisation de la pénalisation d’infractions routières. Tous ces commentaires nauséeux et victimaires me donneraient presque envie de l’automatisation de la collecte de données et de l’intrusion dans la sphère intime des GAFAM.
Dès qu’il faudrait se remettre soi-même, un tant soit peu, en question pour éviter de surprendre les autres utilisateurs de l’espace public, on préfère remettre en cause le système. Mais quand on peut payer pour un smartphone qui fait GPS et qui prend des photos et qui envoie des messages, on est d’accord pour payer le prix fort…
parce que Samsung perd du chiffre d’affaire et parce qu’on a une déception et une rancune tenace envers une marque et son marketing, alors on conclut (trop) rapidement que Samsung va dans le mur. Un peu comme pour HTC et comme dans les commentaires d’il y a un an quand on disait (trop) rapidement que Blackberry allait disparaître (Blackberry vend toujours des smartphones avec clavier, jusqu’à preuve du contraire).
Le
15/08/2015 à
09h
56
Hors haut de gamme, pas besoin d’acheter sur une boutique chinoise pour acheter chinois : Wiko (groupe Tinno) prend le marché français du bas et moyenne gamme de HTC (gamme Desire) et de Samsung entre autres, et Alcatel One Touch (TCL corporation) connait un grand succès en Europe et en Afrique (notamment avec des partenariats avec les opérateurs télécom).
Le
15/08/2015 à
09h
40
Il y a des commentaires constructifs, bien sûr. Mais il y a beaucoup de commentaires d’humeur qui prétendent que HTC prend les mauvaises décisions ou que HTC va sombrer, etc. Tout ça à cause d’une expérience personnelle avec la marque HTC qui s’est soldé par une forte déception (après l’envie, puis la frustration et après la joie d’avoir un HTC dans les mains).
L’article parle de pertes financières et de postes supprimés, ça veut dire que l’entreprise réagit, ça ne veut pas dire que c’est la fin. On peut voir le même phénomène sous tous les articles qui traitent des difficultés d’une marque : elles sont sensées faire de mauvais produits ou prendre de mauvaises décisions alors que le souci est uniquement un problème personnel de déception et d’influence du marketing.
Le
14/08/2015 à
17h
37
aujourd’hui les actualités de Next inpact attirent les commentaires d’humeurs dignes de travailleurs au bout du rouleau et aigris de la fin de semaine. Ou alors ce sont des beaufs qui angoissent à l’idée de passer le week-end du 15 août en compagnie de leur compagne (ou compagnon) qui leur tire la gueule ou en compagnie de leur belle-mère qui les agacent avec leur conversation.
Entre les actus à propos de HTC et de la vidéo-verbalisation, on sent que beaucoup de gens ont besoin de vacances.
moi non plus je n’affirme pas que ma machine est sécurisée.
Tu voulais peutt-être répondre à un autre commentaire, parce que je ne vois pas vraiment de rapport avec ce que j’ai écrit, erreur de fil de discussion ?
Le
14/08/2015 à
08h
12
le système e-carte bleue repose sur un logiciel et fourni des numéros de carte bancaire aléatoires. Il n’y a pas de double authentification (double numéro) et il n’y a pas d’élément physique (une clé usb, un boîtier électronique, etc) en possession de l’acheteur en ligne au moment de l’achat. Ce n’est pas tout à fait la même chose, même si ça peut apparaître comme plus sécurisé qu’une carte bancaire internationale classique.
Le
14/08/2015 à
08h
05
Au début, le boîtier “Sésame” servait pour l’authentification d’accès aux comptes en ligne, mais suite au mécontentement des clients (difficulté de se connecter à ses comptes hors de chez soi) et à l’incompatibilité avec l’application mobile (qui venait d’être développée), l’authentification est revenue à un simple mot de passe.
En revanche, le boîtier reste indispensable pour ajouter un nouveau bénéficiaire de virement (les virements se faisant sans authentification supplémentaire) et le boîtier sert à fournir le code 3D-Secure lors d’achats en ligne.
pour être précis, Canonical, comme Mozilla, ont plusieurs partenariats commerciaux avec différentes entreprises (opérateurs télécom, constructeurs, propriétaires de brevets de logiciels, etc).
Ca me fait sourire ou rire jaune quand je lis, notamment sur framasphere.org / Diaspora*, que Mozilla, “le logiciel libre” seraient des organisations à but non-lucratif qui ne font pas de “profit” (au sens Marxiste et Matérialiste du terme).
Si le “logiciel libre” ne fait pas de profit, il vit effectivement sur le temps libre des gens (les bénévoles) + quelques salariés permanents, et il est financé sur les dons (ex: La Quadrature du Net, Framasoft, etc).
Ceci dit, l’avantage de Mozilla (la fondation à but non-lucratif+la société société commerciale du même nom) ou de Canonical (société commerciale) est de proposer des produits destinés à des usages les plus larges possibles dans un cadre précis et des objectifs déterminés et transparents (contrairement à une société comme Apple ou Microsoft ou google qui ont un objectif de propriété et de valorisation de leurs brevets).
Le
12/08/2015 à
15h
36
je ne suis pas mécontent que ce service de “cloud” ait été abandonné : entre cette icône « 1 » et l’icône « a » de Amazon, le bureau d’Ubuntu commençait à devenir un espace “supermarket”.
merci pour ces explications, j’utilise de temps en temps la logithèque Ubuntu et je n’ai pas besoin de compte Ubuntu One (indispensable pour télécharger une partie des applications sur Ubuntu)
A part ça, je sais parfaitement que tu t’en fiches, j’apportais seulement une précision qui me semblait utile et intéressante.
Mais j’aime bien windows 10 quand même puisqu’il permet de faire fonctionner des applications Android.
Le
11/08/2015 à
15h
21
« Vous ne vous rendez pas compte a quel point vous êtes chiants avec vos remarques sur linux, tous les jours. Vous avez un truc à prouver ? »
Qui parle de Linux ? à part toi, personne pour l’instant. Moi, je parle de magasins d’applications sans ouverture de compte en ligne obligatoire.
Le
11/08/2015 à
15h
16
pas de compte obligatoire pour la logithèque d’Ubuntu et le Marketplace de Firefox, non plus pour f-droid
comme il y a des gens qui n’ont pas compris que Wiko ou AlctatelOneTouch apartenait à une multinationale chinoise.
Le
11/08/2015 à
09h
44
ça n’empêche pas EDF d’être une société commerciale de Droit privé
Le
11/08/2015 à
09h
04
après la référence au gogol*, maintenant la référence aux lettres… Quoi? Le but c’est l’égémonie ? C’est être le “tout” ? indexer le Monde ou l’Univers ? automatiser les comportements humains ? …
* « Le gogol est explicitement revendiqué par Sergueï Brin et Larry Page, les fondateurs de Google, comme modèle du nom de leur société : « Google a choisi ce terme pour symboliser sa mission : organiser l’immense volume d’information disponible sur le Web2. » »
senscritique est plus agréable à utiliser que allociné malgré quelques défaut dans la base de données (dans la catégorie livres notamment)
Malheureusement, l’article de Next inpact me fait prendre conscience du “business model” à la facebook de senscritique. Je me sers de senscritique comme d’un avis alternatif et comme base de connaissance.
J’espère que senscritique ne deviendra pas “communautaire” ou “social” comme facebook ou mymajorcompany
ça me rappelle mon frère qui s’était acheté un lecteur mp3 avec disque dur Archos dans les années 1990. Il présentait comme un avantage le fait que le micro-logiciel (firmeware) pouvait être mis à jour dans le temps.
Je pensais que, certes, ça pouvait être utile, mais il avait toujours le même matériel dans les mains (à l’époque les capacités de mémoire et de performances évoluaient tous les 6 mois).
Tout ça pour dire que le quidam (comme moi en l’occurrence) souhaite seulement d’acheter à un instant “t” un matériel qui fonctionnera longtemps (le logiciel étant abstrait ou simplement une “surcouche” du matériel).
D’autre part, ça me fait penser également à Benjamin Bayart qui défend la Neutralité du Net et l’éducation au fonctionnement d’internet en laissant de côté un peu trop souvent que l’internaute lambda confond internet avec son FAI ou avec ce qu’il voit à l’écran et que comprendre comment “ça” s’affiche lui est totalement indifférent.
Le quidam veut que ça fonctionne et veut pouvoir faire la même chose que ses amis avec qui il discute régulièrement (sachant que chacun a des valeurs et des préoccupations différentes).
Enfin, les mises à jour sont aussi, de la part des marques commerciales, une occasion de faire du marketing et de vanter la marque comme “moderne” ou “révolutionnaire” ou “évolutive”.
Le
10/08/2015 à
12h
06
aïe… je vais me faire lyncher " />
Le
10/08/2015 à
12h
05
c’est sûr, chez Apple, il y a un SAV. On ne pas en dire autant des autres constructeurs (notamment la plupart des constructeurs sous Android).
windows 7 for ever
Le
10/08/2015 à
12h
00
“Quand je pense que mon vieil ipad 4 sorti en 2012 à eu droit à iOS 8”
iPad 4 ? moi, j’en étais encore à l’iPad 3… Le temps passe trop vite, 2012 c’était hier pour moi.
Pour moi, vieux en informatique = plus de 5 ans.
" />
Le
10/08/2015 à
09h
22
ou la la… tu compares Windows à Apple, c’est pas bon ça, tu vas avoir des problèmes " />" />
règle numéro 1 : ne jamais citer le nom d’une marque commerciale dans un commentaire
règle numéro 2 : ne surtout pas comparer les avantages / inconvénients d’une marque par rapport à une autre
règle numéro 3 : ne jamais dire qu’une marque est meilleure qu’une autre, au grand jamais !!
mais la plupart des internautes ne savent pas comment ça fonctionne (par exemple, comment faire fonctionner un site qui a besoin d’un cookie tiers pour permettre une connexion à un compte en ligne).
Ce serait une bonne idée si tout le monde était disposé à rechercher la source d’un problème d’affichage de sa page web, à chaque fois. Or quand on a besoin que “ça” s’affiche et qu’on n’y connait peu de chose en web (à part cliquer sur l’icône du navigateur et taper des identifiant/mot de passe au clavier), il faut que “ça” fonctionne.
S’il faut à chaque fois se demander s’il s’agit d’un problème de cookie ou pas, c’est comme demander à un boulanger de jouer les électriciens et c’est surtout frustrant pour l’utilisateur : il perd du temps, il a besoin d’aide… C’est un navigateur inutilisable pour l’utilisateur lambda.
C’est pour cette raison qu’il y a besoin d’un standard, d’une norme, d’un consensus entre les différents acteurs du web.
Le
07/08/2015 à
16h
30
privacy badger et no-script sont intéressants ne serait-ce que par le fait de faire prendre conscience du nombre de noms de domaines auxquels on se trouve connecté en consultant une seule page web.
Si je suis ton raisonnement et pour raisonner par l’absurde je dirais : à quoi servent les agents de police dans les rues. S’il y a des policiers, les délinquants resteront discret et iront commettre leurs infractions dans des lieux où la police est absente.
pour raisonner plus sérieusement, les moyens policiers doivent être adaptés aux circonstances à chaque instant pour faire face à une menace sur l’ordre public sans pour autant porter une atteinte démesurée aux libertés publiques. Tout le problème est là et généralement les responsables (les haut-fonctionnaires, les élus, etc) sont plus préoccupés de se faciliter la tâche que de chercher cet équilibre délicat à tenir.
D’ailleurs, c’est toujours dans ces moments-là, quand le citoyen estime que l’Etat (ou une autre organisation) abuse de ses prérogatives, que le citoyen prend conscience qu’il a plus intérêt à se prémunir lui-même des dangers que de faire confiance dans la protection ou la bienveillance de l’Etat. Car cette protection devient potentiellement un fardeau pour l’exercice des libertés individuelles (l’enfer est pavé de bonnes intentions).
« Dans le cas de bouygues c’est pour avoir un parc et pour faire ch* Free. »
de la même manière que Free mobile “révolutionne le mobile” avec un tarif de 2€/mois.
« donc le parc sert juste à la “valorisation” de l’entreprise en cas de rachat »
Pour ma part, je ne crois pas que Bouygues Télécom sera à vendre un jour, Bouygues s’alliera plutôt avec un opérateur européen quelconque (une fusion, plutôt qu’une vente en quittant le secteur des télécom). Ce sera peut-être Altice… si Altice change de stratégie, mais Altice a plutôt envie d’un rachat de Bouygues Télécom pour démanteler le 4e adversaire aux profits de Free (revente du réseau 4G en doublon) et à son propre profit (quelques millions d’abonnés supplémentaires pour Numericable-SFR).
Malheureusement pour Altice, Bouygues est présent dans les médias, la construction et les télécom. Ces 3 secteurs offrent une synergie très importante. Comme les télécoms deviennent de plus en plus un outil de diffusion de contenus, il y a une forte synergie avec le groupe TF1, et comme le partenariat avec Numericable est tombé à l’eau (Numericable MVNO du réseau BouyguesTel + BouyguesTel en marque blanche sur le réseau Numericable), Bouygues a maintenant le champ libre pour construire lui-même son propre réseau avec ses capacités en génie civil, BTP, construction… et un possible partenariat plus ou moins rapproché avec d’autres opérateurs télécom en Europe.
Si Bouygues trouve un partenaire solide pour fusionner en créant un opérateur européen, ce sera peine perdu pour un retour à 3 opérateurs en France. Au pire des cas, Bouygues préférera vendre sa filiale télécom à un opérateur européen (encore faut-il en trouver un et que l’Etat français ne mette pas son veto).
Mais peut-être que le pari des 3 autres opérateurs (Free, Numericable-SFR, Orange) de faire disparaître le 4e laron pour retrouver un marché à 3 adversaires-partenaires sera un pari gagnant. Advienne que pourra.
Le
07/08/2015 à
14h
58
autrement dit, quand Free demande un financement supplémentaire de peering vis-à-vis de Google, dans le but de satisfaire ses clients “freenautes” qui sont aussi des utilisateurs fréquents des services Google, ce n’est moins une question de financement de peering qu’une question de marge-arrière sur la vente d’une diffusion, d’une distribution de contenus.
Le
07/08/2015 à
14h
42
Cette vision du peering m’étonnera toujours. Si je fais une analogie avec la situation des centrales d’achats de la grande distribution :
quel besoin ont-elles de vendre des produits en marque distributeur ?
quel besoin ont-elles de se regrouper ? (exemples: Intermarché+Casino - Auchan+Système U)
quel besoins ont-elles de devenir armateur de bateaux de pêche ? (ex: Intermarché)
réponse : contrôler la distribution au détail et contrôler les produits vendus (jusqu’à les produire soi-même) car on fait des économies d’achats et on peut vendre au détail selon les conditions qu’on souhaite.
Un Fournisseur d’accès à internet qui veux devenir…
diffuseur TV-VOD
cablo-opérateur ou opérateur de fibre FTTH
opérateur télécom national
opérateur télécom international de transit
producteur de cinéma (exemple: Orange Studio)
etc
… ce n’est plus un FAI, ni même un opérateur de télécommunications qui sert à amener des données d’un point A à un point B, c’est un diffuseur de contenus qui veut contrôler la distribution, le réseau physique, la production de contenus.
Ca devient un distributeur qui achète en gros et au coût le plus bas des contenus et qui les distribuent à des abonnés au prix qui lui convient le mieux possible (une sorte de centrale d’achat de contenus numériques).
A part ça, c’est vrai qu’à l’heure actuelle, Altice est l’un des opérateurs européens d’envergure et l’un des 2 principaux opérateurs hexagonaux.
Tu as l’air de considérer que l’Etat est tout puissant. Pardon d’en douter, en tout cas ce n’est pas une excuse pour laisser ta porte grande ouverte ou pour laisser ta connexion WIFI sans mot de passe. Tu préfères quoi ? Ralentir l’intru ou le ralentir ? Moi je préfère lui mettre des bâtons dans les roues et des ralentisseurs.
D’autre part, heureusement que l’Etat a des services de renseignements qui surveillent les populations (question de sécurité d’Etat et d’ordre public). Mais ce n’est pas une raison pour se laisser faire dans son intimité (l’Etat protecteur ne doit pas devenir Etat inquisiteur).
7412 commentaires
Avec son routeur OnHub, Google veut être au centre de votre réseau local
19/08/2015
Le 19/08/2015 à 14h 13
la bbox miami et la freebox mini 4K ont plus de style que ce cylindre OnHub, quoique…
" />
Projet Ara : le smartphone modulaire de Google repoussé à 2016
18/08/2015
Le 18/08/2015 à 10h 43
dans Projet Ara, il y a “projet”. Ce n’est donc pas un produit fini mais une étape de recherche/développement avec objectif de commercialisation à petite échelle. Reste à voir si les capacités de production de smartphones pourront suivre le modèle “pièces détachées” avec un coût raisonnable.
Si ce projet pouvait rendre les OS et le matériel des smartphones plus interopérables, ce serait une bonne chose, mais ce projet ne semble pas se diriger dans ce sens (en tout cas, on n’en est pas encore là).
[MàJ] Android 6.0 Marshmallow : les versions finales du SDK et de la Preview sont là
17/08/2015
Le 17/08/2015 à 20h 47
concernant le processus de mises à jour des appareils Android, voilà une mise au point du constructeur BQ
Tracking Protection : Mozilla se prépare à renforcer la navigation privée de Firefox
17/08/2015
Le 17/08/2015 à 10h 53
Ce que je reproche aux magasins d’applications (type Google play) ce n’est pas leur existence en elle-même, mais le principe de décider de ce qui est sécurisé, valable et fonctionnel sur un système d’exploitation. C’est un peu comme les “box” des opérateurs télécom. Tout ça devient de la grande distribution (l’éditeur “met à disposition” un matériel ou un OS et se finance grâce aux données et aux applications dont il a le monopole de la distribution) au lieu de rester un système sur lequel des développeurs et des utilisateurs peuvent faire à peu prêt ce qu’ils veulent. Ils vendent des services et des contenus numériques et ne sont plus dans leur rôle premier (vendre des accès, des OS). autres exemples : le Kindle, les mobiles subventionnés pour vendre des forfaits plus chers.
Pour revenir au sujet de l’opt-in / opt-out, je conçois parfaitement que l’opt-in ne peut s’appliquer systématiquement (ça deviendrait bloquant pour plusieurs fonctionnalités ou activités économiques). Mais ça donne un peu de transparence et ça demande un peu de consentement de la part des utilisateurs et des développeurs.
Le 17/08/2015 à 09h 22
tout l’esprit marketing, ça : opt-out ni vu, ni connu et, si jamais l’utilisateur se préoccupe de ses données, on engage l’utilisateur à faire une démarche, à prendre un risque / à faire confiance pour désactiver la fonction.
C’est sûr que si on demande la permission à l’utilisateur, celui-ci renoncera la plupart du temps à divulguer ses informations. L’opt-in n’est pas très en phase avec la publicité ciblée et les statistiques de comportements.
Offres 4G et ADSL : la répression des fraudes distribue les avertissements
10/08/2015
Le 16/08/2015 à 12h 39
D’ailleurs, grâce à la fibre optique FTTH, il n’y aura plus ce problème d’affaiblissement dû à la longueur de la ligne jusqu’au noeud de raccordement, donc il faudra me servir une autre explication ou alors c’est toi qui viendra chouiner à cause du paysan tout crotté qui a un aussi bon débit et une connexion aussi stable que toi, dans ton bel appartement de centre-ville au bitume refait à neuf après l’installation de la fibre en bas de ton immeuble.
(quitte à reproduire des préjugés, je m’y mets aussi)
Le 16/08/2015 à 12h 05
Désolé, il me semble logique de raisonner en terme de services et non en terme de quote- part d’infrastructure : question de service puisque les opérateurs télécom sont également fournisseurs d’accès et fournisseurs de contenus.
D’ailleurs si je suis ton raisonnement, il faudrait faire un tarif en fonction de la longueur de la ligne entre l’abonné et le NRA/NRO, ou mieux, en fonction de la longueur de la ligne entre l’abonné et le lien d’interconnexion international de l’opérateur télécom.
Donc, outre le fait que, actuellement, ce sont les lignes courtes qui financent les lignes les plus longues, ce n’est pas plus logique que les abonnés aux lignes longues (avec peu de débit) paient le même prix pour un service dégradé.
Sans compter le fait qu’un abonné avec une ligne longue en zone très dense (immeubles) coûtera moins cher qu’un abonné avec une ligne courte dans un village.
Le paiement à l’accès est une formule tarifaire qui se discute, ne t’en déplaise.
Le 10/08/2015 à 21h 57
“illimité” c’est comme “inverser la courbe du chômage”, ça fait plaisir à entendre mais ça ne veut strictement rien dire de réel.
Le 10/08/2015 à 20h 55
on est d’accord : le respect du principe de “bon père de famille” est, en fait, déterminé par le fournisseur de téléphonie sans aucune transparence vis-à-vis du client (le client est laissé dans le flou). Je voulais seulement ajouter que ce terme juridique “en bon père de famille” n’est pas valable si le client ne sait pas où se situe le raisonnable et la bienveillance vis-à-vis des autres utilisateurs du réseau de l’opérateur.
Le 10/08/2015 à 20h 43
Dans un sens je comprends ton raisonnement : moins de services et prix identique " />
Pourtant, Déjà actuellement, les options d’usages commencent à être tarifer (options SVOD, options bouquets TV, etc)
Malheureusement, je déplore que les opérateurs télécom ne factureront probablement pas la bande passante ou des quotas de données consommées sur le réseau fixe (un peu comme c’est le cas sur le réseau mobile) mais vendront de l’accès à des options de contenus et à des services numériques (rôle d’un distributeur de contenus).
De ce fait, l’avantage est que si ton débit ne permet pas ces services numériques, tu ne paieras pas pour rien. L’inconvénient est que si tu n’as pas de débit, tu pourras utiliser la TNT ou le satellite pour accéder à ces services numériques… ou vivre dans le monde réel " />
Le 10/08/2015 à 17h 00
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Le 10/08/2015 à 16h 58
je ne dis pas le contraire de ce que tu dis, seulement qu’il existe des offres pros à prix raisonnables avec une relation client plus orientée vers les préoccupations des TPE que Free (l’exemple que tu as cité).
Dans le mobile, il y a aussi les offres pros de Prixtel et les offres entreprises de Coriolis.
Le 10/08/2015 à 16h 24
Pourtant, Nerim et OVH (2 opérateurs dédiés aux pros) proposent tout de même des offres pros sans GTR (garantie du temps de rétablissement) à tarifs modérés.
Le 10/08/2015 à 16h 17
“Si on vend de l’illimité, on fournit de l’illimité, (…)”
Encore faudrait-il savoir à quoi correspond “illimité”. Même l’Univers, de nos jours, est limité. Alors l’usage d’un accès télécom…
En fait, “illimité” est un terme du marketing qui tend à laisser penser que les usages sont abondants et peuvent être permanents. Les avertissements de la répression des fraudes, décrits dans l’article de Next inpact prouvent qu’il s’agit d’un leurre.
Le 10/08/2015 à 16h 04
“bon père de famille de 2012”
“en bon père de famille” est un terme de Droit civil qui signifie : avoir un comportement raisonnable, bienveillant, etc.
Ecrire cette expression dans un contrat alors que par ailleurs, le marketing de la même société commerciale communique sur le fait qu’une donnée ne coûte rien (que seule l’installation des infrastructures ont un coût), et que le même marketing utilise constamment le terme “illimité”(l’idée d’abondance chère à la grande distribution), c’est de l’hypocrisie et un manque de loyauté envers le consommateur.
spéciale dédicace à tous les chevaliers blancs de la consommation qui communiquent dans les médias avec leur chemise blanche : Qui est le moins cher ?, La liberté n’a pas de prix, etc.
Téléphone au volant : vers une verbalisation « à la volée » par caméra ?
14/08/2015
Le 16/08/2015 à 11h 26
“en réduisant plus fortement les sections dangereuses”
Ca peut être une partie de la solution aux problèmes de la sécurité routière (par exemple en supprimant les passages à niveaux ferroviaires) mais ça a un coût non-négligeable et ça n’empêche pas les comportements dangereux.
C’est un peut comme en sécurité informatique : on peut installer le meilleur par-feu, le meilleur anti-virus avec des logiciels constamment à jour, si l’utilisateur n’a pas un comportement de prudence ( en choisissant ses mots de passe, en consultant des sites web connus, etc), ça n’aura que peu d’importance et le risque sera très grand.
Les règles existent pour être protégé des comportements dangereux des autres utilisateurs de la voie publique et pour faire respecter ces règles, malheureusement l’automobiliste doit payer à chaque manque de vigilance (une amende et un retrait de points vaut mieux qu’un accident).
Le 16/08/2015 à 11h 09
d’accord avec toi à propos du fait que l’automatisation de la verbalisation engendre des amendes pour des infractions qui sont peu dangereuses et sur le fait qu’elle sert très opportunément à augmenter les recettes des pouvoirs publics.
Ceci-dit, une application mobile qui collecte les données GPS du smartphone et s’en sert à des fins de recettes, c’est la même chose et peu de personnes s’en préoccupent. Ce comportement est ubuesque si on raisonne quelques minutes.
D’autre part, il faudrait donc payer un grand nombre d’agents de police grâce aux impôts pour faire respecter le Code de la Route alors qu’il existe des solutions automatiques et peu contestables qui permettent de réduire les coûts de fonctionnement de l’administration policière ? Certes, ça peut être immoral avec peut-être un risque de déviance par rapport à l’intérêt public (à l’extrême, des risques de corruption) quand ça sert à faire des “bénéfices” et à payer des sociétés sous-traitantes de vidéo-verbalisation (installation, maintenance, etc).
En revanche, pas d’accord avec l’expression “sans risque” : dès qu’un véhicule est en mouvement, il y a un risque. Et évaluer ce risque ne peut se faire qu’à chaque fraction de seconde, en sachant que le point de vue de chaque automobiliste ne perçoit jamais complètement les dangers qui l’entourent.
“sans risque” ça n’existe pas en circulation sur la voie publique, même avec toutes les sécurités possibles et imaginables. Et bien que les élus politiques aient tendances à préférer les solutions pénalisantes pour leurs administrés par facilité et sécurité administrative, ce n’est pas une raison pour dire qu’il faut dire que les gens sont suffisamment responsables sur les routes (“être suffisamment responsable” est très relatif, très subjectif, très variable dans la réalité, car l’erreur est humaine, les chauffards du samedi soir existent, les automobilistes qui rentrent du travail fatigués, énervés, aigris par leur patron ou par leurs collègues existent, etc).
Le 14/08/2015 à 18h 14
pourquoi le Code de la Route interdit des pratiques aux volants ? Parce que des gens prennent des risques pour les autres inconsidérément.
Tu continues sur ta lancée victimaire de l’interdiction qui nuirait à ta liberté et à ton confort. Mais je suis d’accord avec toi sur ce point. Personnellement je suis plutôt contre le permis à point et pour un permis renouvelable tous les 15 à 30 ans + stages de conduite et visite médicale tous les 10 ans.
Mais si tu réfléchis un peu au lieu de te plaindre, tu reconnaîtrais que l’interdiction est là pour te sécuriser du comportement débile d’autrui.
Le 14/08/2015 à 12h 01
Désolé mais ton raisonnement est mauvais. Tu compares des exemples pour aboutir à la conclusion qui t’arrange.
La conversation téléphonique en conduisant est un risque supplémentaire. Toi, tu es prêt à prendre ce risque supplémentaire, ça te regarde. Malheureusement, tu n’es pas seul sur la voie publique et tu dois être en mesure d’anticiper le comportement des véhicules et des piétons qui circulent à proximité de ton véhicule. La question est là.
En d’autres termes, le Code de la Route sert à protéger les autres de toi-même et à te protéger toi aussi dans une moindre mesure (chacun prend les risques qu’il souhaite pour lui-même). Faire 2 choses en même temps, c’est “courir 2 lièvres à la fois” : une demi-seconde d’inattention à 50 km/h suffit à provoquer un accident.
Le 14/08/2015 à 11h 50
J’aime les articles de Next Inpact qui traitent du sujet de l’automatisation de la pénalisation d’infractions routières. Tous ces commentaires nauséeux et victimaires me donneraient presque envie de l’automatisation de la collecte de données et de l’intrusion dans la sphère intime des GAFAM.
Dès qu’il faudrait se remettre soi-même, un tant soit peu, en question pour éviter de surprendre les autres utilisateurs de l’espace public, on préfère remettre en cause le système. Mais quand on peut payer pour un smartphone qui fait GPS et qui prend des photos et qui envoie des messages, on est d’accord pour payer le prix fort…
HTC : 213 millions d’euros de pertes en 6 mois et 2 200 postes supprimés
14/08/2015
Le 15/08/2015 à 13h 06
parce que Samsung perd du chiffre d’affaire et parce qu’on a une déception et une rancune tenace envers une marque et son marketing, alors on conclut (trop) rapidement que Samsung va dans le mur. Un peu comme pour HTC et comme dans les commentaires d’il y a un an quand on disait (trop) rapidement que Blackberry allait disparaître (Blackberry vend toujours des smartphones avec clavier, jusqu’à preuve du contraire).
Le 15/08/2015 à 09h 56
Hors haut de gamme, pas besoin d’acheter sur une boutique chinoise pour acheter chinois : Wiko (groupe Tinno) prend le marché français du bas et moyenne gamme de HTC (gamme Desire) et de Samsung entre autres, et Alcatel One Touch (TCL corporation) connait un grand succès en Europe et en Afrique (notamment avec des partenariats avec les opérateurs télécom).
Le 15/08/2015 à 09h 40
Il y a des commentaires constructifs, bien sûr. Mais il y a beaucoup de commentaires d’humeur qui prétendent que HTC prend les mauvaises décisions ou que HTC va sombrer, etc. Tout ça à cause d’une expérience personnelle avec la marque HTC qui s’est soldé par une forte déception (après l’envie, puis la frustration et après la joie d’avoir un HTC dans les mains).
L’article parle de pertes financières et de postes supprimés, ça veut dire que l’entreprise réagit, ça ne veut pas dire que c’est la fin. On peut voir le même phénomène sous tous les articles qui traitent des difficultés d’une marque : elles sont sensées faire de mauvais produits ou prendre de mauvaises décisions alors que le souci est uniquement un problème personnel de déception et d’influence du marketing.
Le 14/08/2015 à 17h 37
aujourd’hui les actualités de Next inpact attirent les commentaires d’humeurs dignes de travailleurs au bout du rouleau et aigris de la fin de semaine. Ou alors ce sont des beaufs qui angoissent à l’idée de passer le week-end du 15 août en compagnie de leur compagne (ou compagnon) qui leur tire la gueule ou en compagnie de leur belle-mère qui les agacent avec leur conversation.
Entre les actus à propos de HTC et de la vidéo-verbalisation, on sent que beaucoup de gens ont besoin de vacances.
U2F : la double authentification par clef USB se répand et débarque dans Dropbox
13/08/2015
Le 14/08/2015 à 15h 42
moi non plus je n’affirme pas que ma machine est sécurisée.
Tu voulais peutt-être répondre à un autre commentaire, parce que je ne vois pas vraiment de rapport avec ce que j’ai écrit, erreur de fil de discussion ?
Le 14/08/2015 à 08h 12
le système e-carte bleue repose sur un logiciel et fourni des numéros de carte bancaire aléatoires. Il n’y a pas de double authentification (double numéro) et il n’y a pas d’élément physique (une clé usb, un boîtier électronique, etc) en possession de l’acheteur en ligne au moment de l’achat. Ce n’est pas tout à fait la même chose, même si ça peut apparaître comme plus sécurisé qu’une carte bancaire internationale classique.
Le 14/08/2015 à 08h 05
Au début, le boîtier “Sésame” servait pour l’authentification d’accès aux comptes en ligne, mais suite au mécontentement des clients (difficulté de se connecter à ses comptes hors de chez soi) et à l’incompatibilité avec l’application mobile (qui venait d’être développée), l’authentification est revenue à un simple mot de passe.
En revanche, le boîtier reste indispensable pour ajouter un nouveau bénéficiaire de virement (les virements se faisant sans authentification supplémentaire) et le boîtier sert à fournir le code 3D-Secure lors d’achats en ligne.
One : l’ancien service de synchronisation de Canonical passe en open source
12/08/2015
Le 13/08/2015 à 11h 39
pour être précis, Canonical, comme Mozilla, ont plusieurs partenariats commerciaux avec différentes entreprises (opérateurs télécom, constructeurs, propriétaires de brevets de logiciels, etc).
Ca me fait sourire ou rire jaune quand je lis, notamment sur framasphere.org / Diaspora*, que Mozilla, “le logiciel libre” seraient des organisations à but non-lucratif qui ne font pas de “profit” (au sens Marxiste et Matérialiste du terme).
Si le “logiciel libre” ne fait pas de profit, il vit effectivement sur le temps libre des gens (les bénévoles) + quelques salariés permanents, et il est financé sur les dons (ex: La Quadrature du Net, Framasoft, etc).
Ceci dit, l’avantage de Mozilla (la fondation à but non-lucratif+la société société commerciale du même nom) ou de Canonical (société commerciale) est de proposer des produits destinés à des usages les plus larges possibles dans un cadre précis et des objectifs déterminés et transparents (contrairement à une société comme Apple ou Microsoft ou google qui ont un objectif de propriété et de valorisation de leurs brevets).
Le 12/08/2015 à 15h 36
je ne suis pas mécontent que ce service de “cloud” ait été abandonné : entre cette icône « 1 » et l’icône « a » de Amazon, le bureau d’Ubuntu commençait à devenir un espace “supermarket”.
Windows 10 Mobile : il est déjà possible d’y faire fonctionner des applications Android
11/08/2015
Le 11/08/2015 à 17h 39
merci pour ces explications, j’utilise de temps en temps la logithèque Ubuntu et je n’ai pas besoin de compte Ubuntu One (indispensable pour télécharger une partie des applications sur Ubuntu)
A part ça, je sais parfaitement que tu t’en fiches, j’apportais seulement une précision qui me semblait utile et intéressante.
Mais j’aime bien windows 10 quand même puisqu’il permet de faire fonctionner des applications Android.
Le 11/08/2015 à 15h 21
« Vous ne vous rendez pas compte a quel point vous êtes chiants avec vos remarques sur linux, tous les jours. Vous avez un truc à prouver ? »
Qui parle de Linux ? à part toi, personne pour l’instant. Moi, je parle de magasins d’applications sans ouverture de compte en ligne obligatoire.
Le 11/08/2015 à 15h 16
pas de compte obligatoire pour la logithèque d’Ubuntu et le Marketplace de Firefox, non plus pour f-droid
Alphabet : la nouvelle maison-mère de Google
11/08/2015
Le 11/08/2015 à 09h 51
comme il y a des gens qui n’ont pas compris que Wiko ou AlctatelOneTouch apartenait à une multinationale chinoise.
Le 11/08/2015 à 09h 44
ça n’empêche pas EDF d’être une société commerciale de Droit privé
Le 11/08/2015 à 09h 04
après la référence au gogol*, maintenant la référence aux lettres… Quoi? Le but c’est l’égémonie ? C’est être le “tout” ? indexer le Monde ou l’Univers ? automatiser les comportements humains ? …
* « Le gogol est explicitement revendiqué par Sergueï Brin et Larry Page, les fondateurs de Google, comme modèle du nom de leur société : « Google a choisi ce terme pour symboliser sa mission : organiser l’immense volume d’information disponible sur le Web2. » »
Wikipedia
SensCritique, de la genèse aux projets à venir
10/08/2015
Le 10/08/2015 à 14h 00
senscritique est plus agréable à utiliser que allociné malgré quelques défaut dans la base de données (dans la catégorie livres notamment)
Malheureusement, l’article de Next inpact me fait prendre conscience du “business model” à la facebook de senscritique. Je me sers de senscritique comme d’un avis alternatif et comme base de connaissance.
J’espère que senscritique ne deviendra pas “communautaire” ou “social” comme facebook ou mymajorcompany
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Windows RT 8.1 Update 3 : une dose de menu Démarrer, une pincée d’écran de connexion
10/08/2015
Le 10/08/2015 à 12h 26
ça me rappelle mon frère qui s’était acheté un lecteur mp3 avec disque dur Archos dans les années 1990. Il présentait comme un avantage le fait que le micro-logiciel (firmeware) pouvait être mis à jour dans le temps.
Je pensais que, certes, ça pouvait être utile, mais il avait toujours le même matériel dans les mains (à l’époque les capacités de mémoire et de performances évoluaient tous les 6 mois).
Tout ça pour dire que le quidam (comme moi en l’occurrence) souhaite seulement d’acheter à un instant “t” un matériel qui fonctionnera longtemps (le logiciel étant abstrait ou simplement une “surcouche” du matériel).
D’autre part, ça me fait penser également à Benjamin Bayart qui défend la Neutralité du Net et l’éducation au fonctionnement d’internet en laissant de côté un peu trop souvent que l’internaute lambda confond internet avec son FAI ou avec ce qu’il voit à l’écran et que comprendre comment “ça” s’affiche lui est totalement indifférent.
Le quidam veut que ça fonctionne et veut pouvoir faire la même chose que ses amis avec qui il discute régulièrement (sachant que chacun a des valeurs et des préoccupations différentes).
Enfin, les mises à jour sont aussi, de la part des marques commerciales, une occasion de faire du marketing et de vanter la marque comme “moderne” ou “révolutionnaire” ou “évolutive”.
Le 10/08/2015 à 12h 06
aïe… je vais me faire lyncher " />
Le 10/08/2015 à 12h 05
c’est sûr, chez Apple, il y a un SAV. On ne pas en dire autant des autres constructeurs (notamment la plupart des constructeurs sous Android).
windows 7 for ever
Le 10/08/2015 à 12h 00
“Quand je pense que mon vieil ipad 4 sorti en 2012 à eu droit à iOS 8”
iPad 4 ? moi, j’en étais encore à l’iPad 3… Le temps passe trop vite, 2012 c’était hier pour moi.
Pour moi, vieux en informatique = plus de 5 ans.
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Le 10/08/2015 à 09h 22
ou la la… tu compares Windows à Apple, c’est pas bon ça, tu vas avoir des problèmes " />" />
règle numéro 1 : ne jamais citer le nom d’une marque commerciale dans un commentaire
règle numéro 2 : ne surtout pas comparer les avantages / inconvénients d’une marque par rapport à une autre
règle numéro 3 : ne jamais dire qu’une marque est meilleure qu’une autre, au grand jamais !!
Qwant revoit la présentation de sa page dédiée aux actualités
07/08/2015
Le 10/08/2015 à 09h 45
tu utilises Yandex comme ça tu es espionné par les français et par les russes (pas de jaloux) " />
L’EFF propose sa propre version de Do Not Track et finalise son Privacy Badger
07/08/2015
Le 09/08/2015 à 16h 51
mais la plupart des internautes ne savent pas comment ça fonctionne (par exemple, comment faire fonctionner un site qui a besoin d’un cookie tiers pour permettre une connexion à un compte en ligne).
Ce serait une bonne idée si tout le monde était disposé à rechercher la source d’un problème d’affichage de sa page web, à chaque fois. Or quand on a besoin que “ça” s’affiche et qu’on n’y connait peu de chose en web (à part cliquer sur l’icône du navigateur et taper des identifiant/mot de passe au clavier), il faut que “ça” fonctionne.
S’il faut à chaque fois se demander s’il s’agit d’un problème de cookie ou pas, c’est comme demander à un boulanger de jouer les électriciens et c’est surtout frustrant pour l’utilisateur : il perd du temps, il a besoin d’aide… C’est un navigateur inutilisable pour l’utilisateur lambda.
C’est pour cette raison qu’il y a besoin d’un standard, d’une norme, d’un consensus entre les différents acteurs du web.
Le 07/08/2015 à 16h 30
privacy badger et no-script sont intéressants ne serait-ce que par le fait de faire prendre conscience du nombre de noms de domaines auxquels on se trouve connecté en consultant une seule page web.
[Critique geek] Les 4 Fantastiques : on doit pouvoir trouver 2015 raisons de l’éviter
08/08/2015
Le 08/08/2015 à 17h 55
Morena Baccarin
Ryan Reynolds
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Loi Renseignement : le projet CaliOpen va quitter la France
05/08/2015
Le 08/08/2015 à 09h 23
Si je suis ton raisonnement et pour raisonner par l’absurde je dirais : à quoi servent les agents de police dans les rues. S’il y a des policiers, les délinquants resteront discret et iront commettre leurs infractions dans des lieux où la police est absente.
pour raisonner plus sérieusement, les moyens policiers doivent être adaptés aux circonstances à chaque instant pour faire face à une menace sur l’ordre public sans pour autant porter une atteinte démesurée aux libertés publiques. Tout le problème est là et généralement les responsables (les haut-fonctionnaires, les élus, etc) sont plus préoccupés de se faciliter la tâche que de chercher cet équilibre délicat à tenir.
D’ailleurs, c’est toujours dans ces moments-là, quand le citoyen estime que l’Etat (ou une autre organisation) abuse de ses prérogatives, que le citoyen prend conscience qu’il a plus intérêt à se prémunir lui-même des dangers que de faire confiance dans la protection ou la bienveillance de l’Etat. Car cette protection devient potentiellement un fardeau pour l’exercice des libertés individuelles (l’enfer est pavé de bonnes intentions).
[MàJ] Altice se restructure pour faciliter de nouveaux rachats
07/08/2015
Le 08/08/2015 à 00h 41
« Dans le cas de bouygues c’est pour avoir un parc et pour faire ch* Free. »
de la même manière que Free mobile “révolutionne le mobile” avec un tarif de 2€/mois.
« donc le parc sert juste à la “valorisation” de l’entreprise en cas de rachat »
Pour ma part, je ne crois pas que Bouygues Télécom sera à vendre un jour, Bouygues s’alliera plutôt avec un opérateur européen quelconque (une fusion, plutôt qu’une vente en quittant le secteur des télécom). Ce sera peut-être Altice… si Altice change de stratégie, mais Altice a plutôt envie d’un rachat de Bouygues Télécom pour démanteler le 4e adversaire aux profits de Free (revente du réseau 4G en doublon) et à son propre profit (quelques millions d’abonnés supplémentaires pour Numericable-SFR).
Malheureusement pour Altice, Bouygues est présent dans les médias, la construction et les télécom. Ces 3 secteurs offrent une synergie très importante. Comme les télécoms deviennent de plus en plus un outil de diffusion de contenus, il y a une forte synergie avec le groupe TF1, et comme le partenariat avec Numericable est tombé à l’eau (Numericable MVNO du réseau BouyguesTel + BouyguesTel en marque blanche sur le réseau Numericable), Bouygues a maintenant le champ libre pour construire lui-même son propre réseau avec ses capacités en génie civil, BTP, construction… et un possible partenariat plus ou moins rapproché avec d’autres opérateurs télécom en Europe.
Si Bouygues trouve un partenaire solide pour fusionner en créant un opérateur européen, ce sera peine perdu pour un retour à 3 opérateurs en France. Au pire des cas, Bouygues préférera vendre sa filiale télécom à un opérateur européen (encore faut-il en trouver un et que l’Etat français ne mette pas son veto).
Mais peut-être que le pari des 3 autres opérateurs (Free, Numericable-SFR, Orange) de faire disparaître le 4e laron pour retrouver un marché à 3 adversaires-partenaires sera un pari gagnant. Advienne que pourra.
Le 07/08/2015 à 14h 58
autrement dit, quand Free demande un financement supplémentaire de peering vis-à-vis de Google, dans le but de satisfaire ses clients “freenautes” qui sont aussi des utilisateurs fréquents des services Google, ce n’est moins une question de financement de peering qu’une question de marge-arrière sur la vente d’une diffusion, d’une distribution de contenus.
Le 07/08/2015 à 14h 42
Cette vision du peering m’étonnera toujours. Si je fais une analogie avec la situation des centrales d’achats de la grande distribution :
réponse : contrôler la distribution au détail et contrôler les produits vendus (jusqu’à les produire soi-même) car on fait des économies d’achats et on peut vendre au détail selon les conditions qu’on souhaite.
Un Fournisseur d’accès à internet qui veux devenir…
producteur de cinéma (exemple: Orange Studio)
etc
… ce n’est plus un FAI, ni même un opérateur de télécommunications qui sert à amener des données d’un point A à un point B, c’est un diffuseur de contenus qui veut contrôler la distribution, le réseau physique, la production de contenus.
Ca devient un distributeur qui achète en gros et au coût le plus bas des contenus et qui les distribuent à des abonnés au prix qui lui convient le mieux possible (une sorte de centrale d’achat de contenus numériques).
A part ça, c’est vrai qu’à l’heure actuelle, Altice est l’un des opérateurs européens d’envergure et l’un des 2 principaux opérateurs hexagonaux.
[Interview] Benjamin Bayart : « le chiffrement rendra la surveillance plus coûteuse »
05/08/2015
Le 07/08/2015 à 14h 09
Tu as l’air de considérer que l’Etat est tout puissant. Pardon d’en douter, en tout cas ce n’est pas une excuse pour laisser ta porte grande ouverte ou pour laisser ta connexion WIFI sans mot de passe. Tu préfères quoi ? Ralentir l’intru ou le ralentir ? Moi je préfère lui mettre des bâtons dans les roues et des ralentisseurs.
D’autre part, heureusement que l’Etat a des services de renseignements qui surveillent les populations (question de sécurité d’Etat et d’ordre public). Mais ce n’est pas une raison pour se laisser faire dans son intimité (l’Etat protecteur ne doit pas devenir Etat inquisiteur).