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7412 commentaires

Le 01/09/2015 à 17h 08

“Et c’est absolument anormal que l’ARCEP ou l’Autorité de la Concurrence ait laissé passer ça.”





D’ailleurs le nouveau président de l’ARCEP va être obligé (si il a le courage de mettre en acte ses discours) de demander la fin de cette itinérance 3G le plus rapidement possible. Car, en zones très denses, cette itinérance est un frein au déploiement rapide du 4e réseau mobile 3G et un avantage concurrentiel pour Free et Orange qui mutualisent leurs réseaux dans les zones les plus rentables du territoire hexagonal au détriment de Numericable-SFR et de Bouygues Télécom qui doivent développer le leur tout seul.



Bouygues met très opportunément le doigt sur un détail important quand on doit mailler un territoire avec des antennes-relais : les trous de couverture (ces trous qui ne figurent pas sur les cartes de couverture des opérateurs). Ces micro-zones de mauvaise réception ou d’absence de réception sont complexes et longues à résorber. Free n’a pas ce problème à résoudre urgemment avec l’itinérance, Orange gagne du chiffre d’affaire avec l’activité de Free mobile et les 2 autres opérateurs font avec.

Le 01/09/2015 à 08h 31

à mon avis, ce sera peut-être possible avec la future norme de réseau 5G. Mais le réseau cellulaire ne remplacera jamais les usages du réseau fibré FttH/FttO (stabilité de la connexion, possibilité de débits en réception/émission symétrique, capacité de débit presque illimité). Ces réseaux de distribution seront complémentaires, mais j’imagine très bien que le réseau mobile sera beaucoup plus avec l’essor des objets connectés (les smartphones-écran comme aujourd’hui, mais aussi beaucoup d’objets connectés spécifiques).



Le débit du réseau cellulaire est limité par la capacité du spectre de fréquence qui est partagé entre les utilisateurs situés à proximité de la même antenne-relais.

Le 31/08/2015 à 14h 41

il n’est pas question de nier les performances et les mérites d’Iliad/Free, mais simplement d’affirmer que les commentaires à propos de Free (sur Next inpact et ailleurs - parfois des “journalistes”) sont dithyrambiques (ou parfois méprisants) et nombreux et que ces commentaires à propos de Free cachent le succès mérité d’autres entreprises adverses (qui réalisent des performances plus modestes mais qui continuent de croître).



Oui Free connait une progression vertigineuse du nombre de ses abonnés, mais il faut aussi ouvrir ses oeillères pour voir les qualités et les succès des sociétés adverses (par exemple, les commentaires qui prédisent la fin de Bouygues Télécom sont comme les commentaires qui prédisaient la fin de Blackberry et la fin du smartphone à clavier).

Le 31/08/2015 à 07h 56

D’accord avec ton commentaire.



Orange progresse toujours malgré des tarifs les plus élevés du marché. Orange ressemble à un marathonien des services à valeur ajoutée.



Mais ça fait moins fantasmer que la fulgurance de Free (en tout cas dans les commentaires de Next inpact).

Le 31/08/2015 à 07h 54

Le 01/09/2015 à 08h 11

Brussel est aussi la ville des exilés fiscaux français qui ne veulent pas payer d’impôt sur la fortune et qui veulent profiter du Thalys pour rentrer en moins de 2H à Paris.



Je n’ose pas imaginer comment vivent les fonctionnairesde la Commission européenne. Ce sont sûrement des juristes et des comptables qui se font intimider régulièrement par d’autres fonctionnaires d’Etat (à Paris, Berlin,…) et fonctionnaires de la BCE à Frankfurt et par des groupes de pression (lobbies) de multinationales californiennes (Google, Uber,,…), de multinationales de Seattle (Amazon, Microsoft,…), de gestionnaires de la bourse des marchés financiers NYSE Euronext à New York (appartenant à Intercontinental Exchange Group Inc. à Atlanta), des grands groupes bancaires multi-nationaux (BNP-Paribas, ING Group, Société générale,…), etc.

Le 01/09/2015 à 08h 10

Le 31/08/2015 à 18h 33

Paradis des banquiers et de la BCE de Frankfurt.

Le 31/08/2015 à 15h 23

J’aime bien la formulation “hybride” pour désigner le mélange des genres ou pour désigner le cumul des rôles dans la prestation.



Pour moi, Uber prend les avantages de chaque statut et transfert les obligations et les inconvénients sur ses chauffeurs et leurs passagers qui roulent sous son enseigne commerciale. Uber est à l’image des franchises commerciales (Vival, Guy Hoquet immobilier, Alain Afflelou, Mac Donald’s, etc).





Uber me fait penser à quelques agences immobilières peu scupuleuses qui cumulent parfois les rôles de :





  • syndic (gestionnaire de copropriété),

  • mise en relation acheteur/vendeur bailleur/locataire,

  • prestations de gestionnaire de biens (gestion de copropriété et gestion de location d’appartement)



    et qui confondent opportunément le rôle de mandataire (qui est le leur) et, selon le cas, le rôle de bailleur / le rôle de syndicat de copropriété / le rôle de vendeur.





    A mon avis, c’est un peu trop facile et opportuniste de s’accaparer en toute illégalité les avantages de ses clients et de leur laisser les inconvénients en décidant de comment les choses doivent se passer.

Le 29/08/2015 à 07h 49

Ceci dit, si des opérateurs souhaitent mettre en avant les avantages de la fibre FTTH, il suffit de parler des avantages de la norme FTTH par rapport aux VDSL, câble FttLA/B, sattelite :





  • la stabilité de la connexion,

  • la possibilité d’un débit symétrique,

  • les usages qui en découleront.



Le 29/08/2015 à 07h 26

Il est amusant cet argument de publicité mensongère à propos du terme “fibre” parce qu’il revient souvent et parce que pour le grand public “fibre” veut dire que quelque chose est plus performant, plus rapide (en tout cas quelque chose de nouveau et plus “moderne”).



Le câble FttLA ou FttB possède au moins l’avantage d’être immédiatement exploitable alors que la fibre FttH devra attendre d’être installée dans les immeubles et dans les appartements. Ca se fait progressivement actuellement pour la fibre FTTH et, concernant le câble coaxial de terminaison de lignes FttLA/B, ça se fera nécessairement à terme.



Personnellement, je suis épaté par la fibre FTTH en pair–à-pair installée par Free (chaque fibre individuelle va du NRO jusqu’à l’abonné), ça ressemble à l’architecture du réseau de distribution en cuivre des offres DSL. Je pense aussi que cette architecture vaut mieux que la fibre FTTH en GPON qui ressemble relativement plus à l’architecture du réseau de distribution du câble (une fibre est mutualisée entre le NRO et l’abonné avec des équipements intermédiaires passifs notamment en pied d’immeuble). Mais Free n’installera pas de fibre jusqu’à l’abonné en PàP aussi rapidement que Orange ou Numericable-SFR et Numericable-SFR offre d’ors-et-déjà du THD à au moins 30 Mb/s dans des zones DSL qui plafonnent à 10-15 Mb/s.



Donc on peut tirer des plans sur la comète et dire que “la fibre”, c’est uniquement de la fibre FTTH et que le câble c’est pourri, la vérité est que l’Etat et aucune entreprise de Droit privée ne financeront des milliards d’euros pour installer la fibre FTTH dans le territoire français dans les 10 prochaines années. Le Plan THD c’est déjà 20 milliards d’euros dépensés par l’Etat et les opérateurs sur 10 ans (2013-2022).

Le 26/08/2015 à 18h 47

Le Très Haut Débit est plus un objectif d’aménagement du territoire qu’une norme : 100% du territoire de l’hexagone couvert en THD (débit > 30 Mb/s) - ce qui est loin d’être un objectif gagné d’avance.



Pour ma part, je regrette que les opérateurs ne fassent que la publicité du débit des différentes normes (VDSL, FttH appelée “fibre”, câble FttLA/B appelé “fibre”, satellite, LTE appelée “4G”) alors que l’avantage de la fibre optique jusqu’à l’abonné FTTH est aussi constitué par la stabilité de la connexion et la possibilité d’avoir des débits en réception/envoi symétriques (avantages qui ne sont pas des priorités dans lePlan France THD).

Le 26/08/2015 à 08h 16

“la fibre” est une expression marketing qui ne veut rien dire et tout dire à la fois. C’est comme le terme “illimité” et l’expression “inverser de la courbe du chômage”.





  • La fibre est un matériel.

  • La fibre jusqu’au foyer (FTTH) est une offre

  • Le Très Haut Débit (THD) est une norme de la Commission européenne et de l’ARCEP (débit égal ou supérieur à 30 Mb/s)





    Si le FTTH est appelé “fibre” alors pourquoi le FTTLA et le FTTB ne seraient pas appelés également “fibre” puisque dans tous ces cas, la fibre de rue (la fibre horizontale) est bien présente ?



    La seule raison valable que j’y vois, serait que la seule notion de “débit” ne soit uniquement utilisée pour qualifier la qualité d’une connexion : le seul avantage de la Fibre FTTH sur le VDSL, le câble, le satellite est la stabilité de la connexion. Et sur ce point, Orange a une carte à jouer mais j’imagine que Orange préfère vendre des services numériques plutôt que de promouvoir la conception technique de son réseau de distribution (en plus du fait que le grand public n’est pas forcément intéressé par ces notions techniques).

Le 26/08/2015 à 07h 23

Si Bouygues avait une dent contre un opérateur, ce serait plutôt une dent contre Altice/Numericable qui a supprimé son utilisation de l’offre de gros mobile (MVNO) de Bouygues Télécom suite au rachat de SFR, alors que Bouygues Télécom continue d’utiliser l’offre de gros câblée de Numericable. Le partenariat commercial Bouygues Télécom/Numericable durait quand même depuis plusieurs années.



D’ailleurs, ce serait intéressant de savoir dans quelles circonstances Numericable a annulé ses obligations contractuelles auprès de Bouygues Télécom.

Le 29/08/2015 à 06h 38

Si seulement le problème était de créer un bon ou un mauvais moteur de recherche, il n’y aurait pas de problème. Le problème est ailleurs, le problème n’est pas dans le fonctionnement du système mais dans la situation économique par rapport au reste du marché d’un service commercial fourni par Google.



Ceci-dit, personnellement, je ne dirais pas que Google serait de “mauvaise foi” (c’est un jugement moral), je dirais plutôt que Google défend ses intérêts économiques avec persévérance et avec l’énergie du désespoir, mais elle sera bien obligée à terme de fournir des garanties et de respecter les règles commerciales prévues par les règlements internationaux et européens ou alors de payer une amende. Et Google emploie sûrement des juristes qui le savent très bien.

Le 28/08/2015 à 09h 38

“Franchement la défense de google tient la route, la condamnation est loin d’être assurée.”





La Commission européenne ne fait qu’appliquer des Traités internationaux et européens sur le commerce.



On est plus dans une situation de négociation que dans une situation d’accusation. Google se défend certes, mais la Commission lui demande des garanties à la vue d’une situation qui a été analysée pendant plusieurs années. Google devra donner des garanties suffisantes si elle ne veut pas d’amende.

Le 28/08/2015 à 21h 24

Personnellement, je n’ai rien contre les contrôles automatiques du moment qu’ils se font en toute transparence envers la personne contrôlée et que celle-ci dispose de moyens de recours faciles à mettre en oeuvre pour se défendre (ces 2 conditions sont fondamentales).



En revanche, je suis opposé aux croisements de fichiers systématiques : la base de données que se constituent ainsi les administrations de l’Etat est de plus en plus inquiétante.



Dire “je n’ai rien à cacher” donc ceux qui se rendent coupables n’ont à s’en prendre qu’à eux-même est un discours facile à tenir en dehors d’un contexte précis, à froid. D’ailleurs, la sanction punitive n’est acceptable qu’à la condition que le coupable ait été mis au courant de ses droits et de ses devoirs et qu’il en soit pleinement conscient au moment de la faute commise.

Le 28/08/2015 à 20h 59

Pourquoi remplace-t-on un procès devant un Tribunal par une amende administrative (un procès verbal) ?



Parce qu’un Tribunal prend du temps et ça coûte cher alors qu’une amende administrative, ça prend quelques semaines et ça finance les équipements et les personnels de contrôles policiers.



Dire que c’est du business, c’est un raccourci un peu trop rapide, je dirais plutôt que le système des amendes administratives est tellement plus simple (simpliste) pour les responsables politiques, tellement plus valorisant pour leur carrière personnelle et tellement plus efficace dans la mise en oeuvre, plutôt que de respecter le pouvoir judiciaire et la séparation des pouvoirs.



Mais bon… comme en France, les responsables politiques préfèrent les raccourcis administratifs pour ne pas s’embêter avec des procédures démocratiques trop longues et trop coûteuses, il est normal que les citoyens se rendent compte qu’il y a un itinéraire bis un peu trop court pour être honnête.

Le 28/08/2015 à 04h 44

le tribunal parle d’un syndrome* d’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques et sa conclusion établit une situation de handicap est limitée à 2 ans.



Que ce soit psychosomatique ou psychiatrique ou autre, il a été conclu par l’expertise que la personne en question ne pouvait chercher un emploi et que sa vie sociale était profondément détériorée à cause de son problème (voir le jugement du Tribunal en lien dans l’article de Next Inpact).



Tu es peut-être médecin pour diagnostiquer un problème “psychosomatique” et pour évaluer que le fait que le caractère “psychosomatique” d’un problème de santé n’est qu’une hérésie médicale. Mais en fait je ne pense pas que tu sois médecin puisque ton argument de “charge de la preuve” qui est censé te conforter dans ton propre scepticisme n’a rien de médical et rien de juridique (la charge de la preuve est un terme juridique un peu plus élaboré que ça).





* syndrome: “Un syndrome est un ensemble de signes cliniques et de symptômes qu’un patient est susceptible de présenter lors de certaines maladies, ou bien dans des circonstances cliniques d’écart à la norme pas nécessairement pathologiques.



Le terme est issu du grec ancien, de sun (avec) et dramein provenant de trekhein (courir). Étymologiquement, il signifie « conjonction » ou « réunion d’éléments distincts ».

Le 26/08/2015 à 16h 55

« Sérieusement, encore une belle décision de fumistes, avec un “expert” surement partisan de l’hypersensibilité.



Si on commence à indemniser / reconnaitre un handicap tous ceux qui ont des tocs ou des problèmes psychologiques, on est pas sorti de l’auberge. Une belle aberration… »



Désolé, j’ai mal interprété ton commentaire dans ce cas. Je me suis tout de même permis de souligner les expressions qui m’ont fait réagir et qui me laissaient penser que, d’après toi, cette décision de justice était injustifée.



Parce que quand on se permet de juger inappropriée une décision de justice sans avoir lu les motifs et les exigences du tribunal (ce dont je me doute que tu n’as pas fait), il est facile pour moi d’imaginer que tu as fait de même pour (pré)juger de la situation de handicap de ces personnes victimes de problèmes psychologiques divers et variés.

Le 26/08/2015 à 11h 26


  1. c’est clair que l’émission du wifi a des effets, reste à déterminer quels effets







    1. peut-être aussi qu’en ville tu respires plus d’oxyde d’azote et de benzène dus aux émanations de la circulation automobile de la rue qu’à la campagne.



      Et il y a peut-être du bruit plus angoissant pendant la nuit en ville, sachant que les acouphènes sont dus à des périodes d’angoisse ou d’anxiété (la pollution sonore est d’ailleurs un phénomène reconnu de nos jours).


Le 26/08/2015 à 11h 20

Ah oui ? les maladies psychologiques, ça n’existe pas ? <img data-src=" />

Le 26/08/2015 à 07h 47

“Ce n’est pas le «refus de croyance» que je caractérise de mépris et d’arrogance, c’est la violence avec laquelle c’est fait. Et surtout à quel point chacun semble mieux savoir que tout le monde (et ne se remet jamais en cause).”





Chacun voit midi à sa porte… Et derrière son écran, l’inpactien se sent légitime d’nsulter ou de violenter verbalement son prochain dans les commentaries de chaque actualité qui froisse son orgueil ou introduit un élément de mécontentement qui lui permet de s’émanciper des mauvais aspects de sa propre vie difficiles à contenir. Il serait préférable d’ouvrir un sujet dans le forum de Next Inpact pour se défouler d’un problème précis, mais on (généralement des hommes et des jeunes hommes sur Next Inpact) préfère souvent amener sa pseudo-science et sa pseudo-expérimentation des choses dans le fil de commentaire d’un article (ça donne peut-être l’impression d’être plus légitime encore, j’imagine…).



Moi aussi, je trouve ça pathétique et, mea culpa, je reconnais avoir abusé de la force du langage dans le but d’ “obliger” parfois mon interlocuteur d’accepter mon point de vue et d’en finir avec ses dénégations puériles.



discuter (préfixe dis- la séparation, la négation, l’intensité + cudere frapper) demande un apprentissage de tolérance et de confiance dans la parole d’autrui que peu d’individus ne maîtrisent à chaque instant.

Le 25/08/2015 à 17h 58

<img data-src=" /> Très bon article sur un sujet d’actualité intéressant.



Comme tout syndrome, on ne sait pas comment ça se passe mais on sait que ça se passe et ça fait peur à la populace (non ça n’existe pas versus oui ça existe).



Quoi ? on devrait tout interdire ou tout autoriser à cause d’un syndrome ? A tous les lecteurs de Next Inpact : Restez calme, tout se passera bien.

Le 27/08/2015 à 13h 52

“D’ailleurs je me demande comment certains, quand ils ont le choix, pourraient partir chez Orange.

L’offre de Bouygues est plus attractive sur tous les points.”





Pourtant c’est ce que j’ai fait au début du mois d’août : j’ai choisi Orange car son offre est l’une des seules offres d’accès à internet sans offre TV obligatoire (triplay).

Je paie (37€ - 5€ de réduction sur 12 mois) soit 32€ par mois



Mais c’est vrai que l’offre triplay Bouygues Télécom ADSL à 20€ par mois, c’est tentant. Et je ne pense pas rester chez Orange en payant 37€ par mois. Il faudra que je trouve une solution d’ici un an.



j’ai quitté OVH (en collecte SFR) car je n’ai pas eu de solution à un problème de coupures récurrentes et intempestives de connexion au mois de juillet (j’avais signalé le même type de soucis quelques mois auparavant et ça s’était résolu tout seul).

Le 27/08/2015 à 11h 12

Est-ce que tu aurais plus d’infos au sujet de cette itinérance 2G de Free qui perdurerait au-delà de l’itinérance 3G ?



J’avais plutôt compris que, lorsque free aura atteint 90% de couverture de la population en 3G (en 2017 théoriquement), l’itinérance 2G et 3G lui sera retirée, la voix passant par GSM-2G, UMTS-3G et bientôt par LTE-4G (VoLTE).



D’ailleurs, à l’origine Free ne souhaitait pas utiliser la 2G et n’a pas demandé de licence 2G. C’est l’ARCEP qui a inclus dans sa licence une obligation de fourniture d’accès à la norme 2G jusqu’à janvier 2018.

Le 27/08/2015 à 11h 03

l’itinérance de free sur le réseau 2G et 3G d’orange se terminera avant janvier 2018 car la mutualisation entre opérateurs n’est possible qu’en zones peu denses



nextinpact.com Next INpact

Le 26/08/2015 à 17h 11

Aux dernières nouvelles, Auchan Télécom se fournit chez EI Telecom - groupe Crédit mutuel-CIC.



EI Telecom est un full MVNO sur les réseaux Numericable-SFR et Orange

Le 26/08/2015 à 19h 17

ce dont tu parles ressemble plus au fonctionnement du Minitel qu’au fonctionnement de l’ordinateur de bureau. Non pas que je pense que le Minitel soit dépassé (loin de là), mais dans le cas du smartphone avec des applications connectées à des fermes de serveurs, il s’agit plus de télématique que d’informatique.

Le 24/08/2015 à 10h 28

<img data-src=" />



cependant plutôt que spécifiquement un netbook, je verrais plutôt un ordinateur portable* (aux dimensions différentes selon l’usage principal désiré). La tablette étant faite pour des usages spécifiques :

web / les mails brefs / les applications connectées.





* portable ou transportable (ou portatif) en bon français

<img data-src=" />

Le 22/08/2015 à 07h 22

ton argumentaire me paraît intéressant.



j’imagine facilement que les appareils informatiques pourraient se spécialiser par fonction d’usage et la plupart des foyers détiendrait plusieurs écrans, plusieurs objets connectés (pas forcément connectés constamment) comme la plupart des foyers détenait un écran de télévision à la fin du XXe Siècle.



Malheureusement (ou pas), il y aura une centralisation : le cloud, le fonctionnement de Windows 10, Ubuntu, etc (synchronisation des tâches sur plusieurs écrans) - le logiciel “as a service”

Le 22/08/2015 à 07h 00

A mon avis, une tablette bugue autant qu’un ordinateur de bureau (surtout les téléphones chinois d’entrée de gamme) mais on change d’objet mobile dès le 1er pépin :




  • parce qu’il y a un nouveau modèle plus performant chaque année (sauf les gens qui ne sont pas victime de la tendance et sauf quelques personnes parmi celles qui achètent du haut de gamme à plus de 500 euros).

  • à cause/grâce à la performance des services marketing des opérateurs mobile alors que les opérateurs fixe ne fournissent que la box et parfois l’appareil téléphone (aucun ne vendent d’ordinateur de bureau).

Le 22/08/2015 à 06h 44

C’est sûr que si on souhaite seulement faire du web et du mail voire de la téléphonie, une tablette ou un smartphone est beaucoup plus indiqué qu’un ordinateur de bureau. Mais dire qu’une tablette remplace l’ordinateur de bureau, c’est très audacieux : par exemple, faire du traitement de texte sur une tablette (un écran de 10 pouces), même avec un clavier branché dessus, ça me paraît un peu tiré par les cheveux.



Et même si il existe des tablettes de plus de 10 pouces, ce ne sont plus des objets vraiment mobile (même si ça reste mobile, transportable) et surtout c’est beaucoup plus cher qu’un ordinateur de bureau.

Le 21/08/2015 à 17h 48

“Le marché du PC recule, ses acteurs préparent leur mutation”



Pourquoi Next Inpact a envie de prédire la fin de l’ordinateur de bureau à chaque autonme depuis plusieurs années ?



Pour moi, l’ordinateur de bureau multimédia est né dans les années 1980 et les premiers prix étaient d’environ 10 000 F (1 500 €) - écran 14 pouce, tube cathodique, peu de vidéo, peu de contraste, etc. Aujourd’hui les premiers prix sont à moins de 500 €. C’est vrai que l’appartition d’internet a fait vendre des PC et des iMac alors qu’aujourd’hui, internet fait vendre des tablettes, des Surface et des iPad/iPhone/Lumia, mais l’ordinateur de bureau est présent dans les commerces à des prix très abordables, encore cette année.



Ca me fait penser au débat format papier / format numérique : le papier existera encore et toujours. On n’enverra peut-être plus de chèques par courrier postal, les entreprises ne s’échangeront plus de factures papier, mais les usages, bien que modifiés, resteront là. La presse écrite existe toujours, même si les dizaines de quotidiens nationaux du début du XXe siècle ne sont plus que 4 ou 5 à cause de l’apparition de la radio, de la TV et du web.

Le 21/08/2015 à 17h 34

Il faut tout de même distinguer :




  • la promotion d’un produit : mise en avant en rayon, importance de la campagne publicité, importance de la production, etc, qui concerne des choix marketing momentanés

  • ce qui se vend et qui va rester présent dans les linéaires plusieurs saisons commerciales.



    comparer différents marché nationaux (voire régionaux) est très délicat, c’est comme manipuler des nombres statistiques pour leur faire dire ce qu’on a envie de faire croire.

Le 21/08/2015 à 17h 25

“EDIT: editeur WYSIWYG en carton qui fait bugger la moitié des retours à la ligne et les quotes <img data-src=" />”



parole du sage : “si tu utilises Firefox pour commenter sur Next Inpact, passe en mode BBcode.” <img data-src=" />

Le 26/08/2015 à 06h 57

ah la la, “économie collaborative, économie participative… il faudrait plutôt parler d’économie du don :





  • la foule donne des petites sommes sur la base d’un projet initial

    (petites sommes = peu de risque de révolte)

  • le porteur du projet dit “merci” sur facebook et twitter à ses donateurs

  • le porteur du projet réalise les évolutions qu’il souhaite sur son propre projet financé par la foule

  • les participants qui veulent avoir des renseignements et qui commencent à s’impatienter doivent se taire ou se faire rembourser pour éviter une contagion sur le reste du financement (phénomène d’effet de groupe bien connu des manifestations de rue et bien connu sur Twitter)



Le 25/08/2015 à 17h 33

A mon avis, ça permet d’accroître un marché, de donner l’impression d’abondance et de diversité, de mettre en oeuvre des politiques tarifaires différentes, etc dans une offre qui est, dans la réalité, très monolithique et uniforme.



En somme, le client achète une marque qui finit par le décevoir ou le lasser et se retourne sur une autre marque pour changer mais, en fait, il utilise exactement le même produit final et ne fait que changer d’environnement marketing (même produit, emballage différent/interlocuteur différent/prix différents).



Exemples : les marques de lessive, les chaînes de télévision du groupe TF1 ou Canal+, les licences de marque dans la téléphonie mobile et les boutiques de téléphonie mobile (Orange étant un adepte de cette approche de vente), etc.

Le 25/08/2015 à 17h 15

Pourtant dans le Communiqué de presse/rapport d’activité 2014 de Altarea-Cogedim (page 20) (en lien dans l’article de Next Inpact) - sous le tableau en question - il est écrit un texte explicatif avec comme conclusion :



“Au total, la perte opérationnelle s’est accrue en 2014, les mesures de réduction des frais de structure n’ayant qu’un impact partiel sur l’année écoulée.”





Cette “perte opérationnelle” a bien l’air de faire référence à la ligne inscrite en gras dans le tableau :

“Cash-flow opérationnel (19,0) 53% (12,5)”



Le titre du tableau étant “RESULTATS DE RUE DU COMMERCE” et ce “cash-flow opérationnel” étant calculé à partir du chiffre d’affaire du commerce en ligne auquel on soustrait les achats de l’année, il faut apparemment en conclure que ce “cash-flow opérationnel” est bien négatif avec une augmentation de la perte de 53%.



D’ailleurs, les nombres entre parenthèses correspondent à des données négatives ou des données qu’on soustrait.





De ce que je comprends, l’article de Next Inpact ne fait que reprendre la logique du Communiqué de presse-rapport d’acitivé 2014 de la société.

Le 25/08/2015 à 10h 34

tu parles du “Décodeur TV Play” d’Orange, je suppose… car la “Livebox Play” ne permet pas de regarder des films et son ergonomie ne m’a pas l’air si mal que ça.

Le 21/08/2015 à 12h 03

En fait le projet Ara de Google est concurrencé par divers projets d’autres sociétés. Par exemple le Fairphone qui promeut la répétabilité de son appareil en vendant des pièces détachés. C’est vrai, ce n’est pas exactement la même chose, mais pour le coup, il y a une vraie concurrence sur le sujet du mobile en kit, à laquelle Google n’a pas l’air vraiment en avance, à l’inverse des domaines de la publicité ciblée, des statistiques, du logiciel et du service numérique (son coeur de métier actuellement).



https://www.fairphone.com/projects/spare-parts-and-self-repair/

http://shop.fairphone.com/catalog/category/view/id/11

Le 21/08/2015 à 11h 36

c’est comme le marketing des marques de lessive : plus il y a de marques, plus ça donne l’impression d’abondance et de choix alors que c’est la même chose à l’intérieur et fourni pas la même société.

Le 21/08/2015 à 10h 08

Free ne fait pas de promotions… enfin si : les ventes privées tous les 6 mois environ

Free n’a qu’un ou deux forfaits mensuels… mais des options et des frais annexes importants (un peu sur le modèle “low-cost” sauf que le low-cost ne propose pas d’options).



En tout cas, c’est vrai que Free propose en France les offres marketing les plus clairs et les plus complètes. Pour autant, il y a aussi des consommateurs qui aiment :




  • les promos,

  • le contact du vendeur,

  • payer par chèque (de moins en moins mais ça existe encore un peu),

  • etc.

Le 20/08/2015 à 11h 35

<img data-src=" />

Le 20/08/2015 à 11h 34

En plus de France Télévisions, la contribution à l’audiovisuel public finance également en partie Radio France (dont l’Orchestre philharmonique de Radio France), France Médias Monde (dont RFI, France 24)…

Le 19/08/2015 à 17h 46

<img data-src=" />

Le 19/08/2015 à 17h 45

<img data-src=" />

Le 19/08/2015 à 16h 40

Si l’Etat demande aux fournisseurs d’accès de supprimer l’accès à des sites web, c’est une atteinte à la Neutralité du Net.



Si l’Etat demande à l’hébergeur, ça se discute un peu plus. Moi, je dirais que c’est plus une question de liberté d’expression ou de censure de données qu’une question de télécommunication interdite.



Si l’Etat demande à l’éditeur du site web, ce n’est pas une question de Neutralité du Net, plutôt de la censure ou une limitation de libertés (principes fondamentaux qui sont ordinairement limités par la Loi).

Le 19/08/2015 à 16h 17

pour moi, la Neutralité du Net consiste à mettre l’intelligence dans les serveurs et à rendre “neutre”, “passif” le système de télécommuncation entre ces différentes extrémités du réseau.



Un hébergeur fait ce qu’il veut de son équipement, l’utilisateur d’un PC connecté à son FAI, fait ce qu’il veut avec son appareil, et un opérateur télécom/FAI laisse les utilisateurs de son réseau échanger des données sans intervention autre que celle qui permet de fluidifier les relations entre utilisateurs situés aux bouts de son réseau.



A l’inverse, les PTT/France Telecom, AT&T, etc, sont des “téléphonistes” car ces opérateurs télécom donnaient au réseau de télécommunication toute l’intelligence nécessaire pour vendre un service numérique aux utilisateurs situés aux bouts de leur réseau - des utilisateurs qui ont des machines passives (exemples: le téléphone qui sonne quand le réseau lui donne l’ordre de sonner, le Minitel qui n’est qu’un moniteur avec un clavier).



Aujourd’hui, il y a les “Box” mais comme celles-ci servent encore à se connecter à d’autres serveurs indépendants en plus de se connecter aux serveurs intégrés au réseau des FAI/diffuseurs de contenus, on parle moins d’entrave à la neutralité du Net.

Le 19/08/2015 à 14h 42

OVH et Orange fournissent un accès à internet sans service TV obligatoire (et sans décodeur TV) - hors FAI low-cost sur réseau Numericable-SFR (Prixtel, Coriolis, etc)



Freebox Revolution a une offre de base sans TV mais Free livre quoiqu’il en soit le décodeur TV la Freebox Player



En revanche, Numericable-SFR n’a plu l’air d’offrir un accès à internet sans service TV, hormis l’offre Red Fibre by SFR. Mais peut-être que je me trompe.