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7412 commentaires

Le 25/09/2015 à 17h 44

où est-il écrit que OVH aurait inventer l’agrégation de connexions DSL ?

Le 25/09/2015 à 12h 52

On a le droit de toucher une commission en mettant en relation des covoitureurs qui partagent les frais d’un trajet.

On n’a pas le droit de faire un service soit-disant de covoiturage avec un tarif au kilomètre qui engendre un bénéfice pour le conducteur du véhicule - conducteur qui devient, de fait, un chauffeur de véhicule de transport de personnes.

Le 25/09/2015 à 12h 23

blablacar vend de la mise en relation et de la sécurisation de paiement.

UberPOP vend un service de transport.



Blablacar fait le même métier que Price Minister

UberPOP fait le même métier que Mister Good Deal

Le 23/09/2015 à 10h 17

J’ai eu la même impression concernant Drivy (location de voiture entre particuliers). L’amabilité et le plaisir de partager n’est pas toujours la motivation des utilisateurs de ce service. Je préfère utilisé Ouicar, même si je pense que, avec le succès grandissant, ces plateformes de mise en relation de particuliers commencent à attirer de plus en plus d’utilisateurs au profil de “consommateurs” (et non plus seulement des profils de “partageurs”).

Le 23/09/2015 à 09h 58

La différence entre blablacar et UberPOP réside dans le fait que blablacar ne fait que de la mise en relation et que blablacar explique sur sa plateforme ce qu’est le covoiturage. Alors que UberPOP annonce des tarifs et ne fait pas seulement de la mise en relation et confond allègrement covoiturage et VTC.



Sur blablacar, les covoitureurs sont responsables de leurs propres tarifs, un peu à la manière de eBay ou leboncoin qui n’est pas responsable si un particulier vend de l’occasion d’une manière habituelle avec un bénéfice certain pendant une longue période.

Le 23/09/2015 à 08h 38

Pour info :



« C’est le maire (ou le préfet de police à Paris pour les “taxis parisiens”) qui, après avis de la commission des taxis et des voitures de petite remise, fixe le nombre d’autorisations de stationnement, c’est-à-dire le nombre de taxis admis à être exploités dans la commune. »



source :

service-public.fr Service PublicA part à Paris qui est toujours sous la tutelle de l’Etat (Préfet de police), les Maires sont les décideurs en la matière.

Le 23/09/2015 à 08h 24

<img data-src=" />





heureusement, l’Etat a mis fin à la cessibilité des autorisations de stationnement des taxi accordées à partir de 2014 :





« Réforme du système de licence des taxis







6 oct. 2014 - Direction de l’information légale et administrative (Premier ministre), Ministère en charge de l’intérieur



Les autorisations de stationnement (ADS) délivrées depuis le 1er octobre 2014 ne sont plus cessibles et sont valables 5 ans renouvelables (art. L3121-2 du code des transports). Seules les licences attribuées avant cette date peuvent être revendues lorsqu’elles ont été acquises dans les délais légaux d’exploitation. »



« Lorsqu’il l’a acquise à titre onéreux, le titulaire de la licence peut la vendre à condition de l’avoir exploitée de façon effective et continue depuis au moins 5 ans.



Cette durée est de 15 ans lorsque l’ADS a été obtenue gratuitement avant le 1er octobre 2014. »



source :

service-public.fr Service Public

Le 23/09/2015 à 06h 45

« Avec cette décision du Conseil constitutionnel, la suspension d’UberPop devrait s’éterniser. Mais elle devrait aussi conduire l’entreprise à développer de nouvelles formules pour passer entre les mailles – certes très resserrées – de la législation. »

article Next inpact



<img data-src=" /> Très bonne conclusion de l’article.



Pour répondre à tous ceux qui voient de l’ “ubérisation” partout : voilà un bel exercice pour Uber de nous démontrer à quoi correspond la notion d’ “ubérisation” de l’économie.

Le 25/09/2015 à 10h 46

Pourquoi Free bloque-t-elle des numéros de télémarketing en toute opacité alors que cette société (comme nombre de sociétés en France) vend ses listes de clients à des prospects…



Pas besoin de réfléchir bien longtemps.

Le 24/09/2015 à 13h 26

« Oui, mais dans le cas de Videofutur c’était quand même une chaine de magasin de location qui ont quasiment tous coulés. Il l’on trouvé où la thune pour se monter en tant que FAI ? »





Ce que je comprends de l’article de Next inpact, c’est que l’offre de vidéofutur repose sur les services de Alsatis (FAI) et sur le réseau fibre optique de quelques RIP (réseaux d’initiative publique). L’offre de Vidéofutur repose donc sur des partenariats commerciaux.



D’ailleurs, si on prend un autre exemple, free : cet opérateur télécom/FAI/diffuseur de contenus utilise par endroits :




  • la collecte Orange (en amont de ses DSLAM/OLT)

    et/ou

  • la boucle locale cuivrée/fibre FTTH de Orange (en aval de ses équipements au NRA/NRO)

    et

  • les services VOD/SVOD/bouquets de chaînes de CanalSat, etc.



    Free est un opérateur télécom/FAI et propose des services sans pour autant avoir investi le moindre centime dans la production de contenus (à part les impôts/taxes de l’audiovisuel et COSIP)

Le 19/09/2015 à 07h 38

Orange a une #BlueRoom pour discuter faire une conférence de presse sur Twitter <img data-src=" />



marketing opportuniste ou début d’innovation marketing ? Moi, j’ai l’impression que Orange veut se donner une image de fournisseur de multi-services connectés (mutli-usages, objets connectés, banque en ligne, etc)

Le 18/09/2015 à 19h 55

<img data-src=" />

Le 18/09/2015 à 16h 15







yl a écrit :



On dirait! En plus la LB Play semble attirer les critiques… Bin j’en ai uen via Sosh depuis 1 mois et je n’ai pas de pb/plantage pour ma part, même en P2Pisant comme un goret avec &gt;100 cnx simultanées et au taquet de mon débit descendant et montant. Ca tiens de manière stable et plus haut en synchro qu’avant chez SFR. Bon, faut dire que SFR c’est devenu une cata depuis 1 an aussi!

  

 Reste que cette LB play fait pas le café, mais elle tiens sans pb sur le seul petit meuble a côté de la prise tél sans chauffer exagérément. Le DECT intégré permet aussi de virer du bazar/filasse.





<img data-src=" />



La Livebox Play (modem-routeur-base DECT) est très performante pour un usage familial. Si on a besoin de connecter plus de 5 appareils en réseau local avec des priorisations ou des interdictions d’accès spécifiques, peut-être que ça coince de temps en temps (je n’en sais rien, je n’ai jamais essayé). Mais à ce moment, il faut choisir un matériel adéquat (et appeler les “experts”).



En revanche, se plaindre du décodeur TV Play, je peux comprendre.


Le 18/09/2015 à 19h 12

Je suis plutôt d’accord avec toi. Personnellement, ça me frustre à chaque fois qu’un appareil tombe en panne et qu’il faut le mettre à la déchetterie alors qu’il suffirait d’acheter du matériel réparable facilement. Si j’avais plus de 500 € à mettre dans un smartphone, je choisirais plutôt le Fairphoneque l’iPhone. Concernant les tablettes, je n’en ressens pas l’utilité.

Le 18/09/2015 à 17h 54

de toute manière, les acheteurs de tablettes iPad ou Surface paient pour ne pas avoir à démonter ou configurer quoi que ce soit. A ce prix-là, on confie l’objet au SAV et si l’objet a plus de 2 ans, il y a justement une version modernisée et plus puissante qui vient de sortir. Alors on achète le nouveau produit et on est content d’avoir quelque chose d’encore mieux que ce qu’on jugeait être le meilleur avant que ça tombe en panne ou que ça casse.

Le 18/09/2015 à 11h 58







xinoeph a écrit :



D’autant qu’il me semble que les derniers iPhone (5 et 6) ont un bon score, genre 710.







Effectivement, l’iPhone 6 a une note de 710

https://www.ifixit.com/Teardown/iPhone+6+Teardown/29213


Le 18/09/2015 à 11h 55

Pour l’instant personne n’a parlé du Projet Ara ou du Fairphone 2. Ca m’étonne, mais la fin de semaine ne fait que commencer.

<img data-src=" /><img data-src=" />

Le 18/09/2015 à 11h 15

Effectivement, Numericable-SFR s’est engagé auprès de l’Autorité de la Concurrence à céder le réseau DSL de Completel (j’imagine que Completel garde son réseau fibre optique entreprises).



Numericable : les futures offres destinées aux opérateurs inquiètent Next Inpact - 23/02/2015

Rachat de SFR par Numericable : l’Autorité de la concurrence dit oui, sous conditions 27/10/2014

Le 17/09/2015 à 11h 50

Tant qu’on rembourse ou qu’on renégocie la dette, la dette n’est pas un problème.



Le jour où les banques, les créanciers et les marchés financiers veulent un paiement comptant (des liquidités) alors c’est un problème.





Toute mesure gardée : un Etat n’est pas une société commerciale et peut s’endetter ou faire faillite sans risque de disparaître et d’être revendu par lots.

Le 17/09/2015 à 10h 51

Altice est propriétaire de Libération, de NextRadioTV (RMC-BFM), etc



“Un groupe qui devient gigantesque



Car outre cette opération, le groupe possède désormais Libération, L’Express, L’Expansion, Mieux vivre votre argent, Point de vue, Studio Cinélive, l’Etudiant, la chaîne i24 News, mais lorgne aussi sur Stratégies, Coiffure de Paris et CosmétiqueMag. Bref, de quoi disposer d’un groupe actif avec des marques identifiées et diversifiées en TV, dans le papier et sur le web, ce qu’aucun autre acteur n’avait été capable de mettre en place jusqu’à maintenant, notamment en raison de la loi anti-concentration. Et ce, à deux ans d’une élection présidentielle.”

Patrick Drahi veut racheter NextRadioTV avec Alain Weill - Next Inpact 27/07/2015



Altice est donc bien un conglomérat de l’industrie de télécom (tuyaux) et de l’industrie des médias (contenus). C’est bien la même stratégie de convergence contenus/contenants que J2M et Vivendi Universal.



Jean-Marie Messier s’est empêtré dans les dettes et la banqueroute (condamnations judiciaires) et Vivendi a du vendre par la suite la plupart de ses actifs dans le divertissement et les télécoms. J’espère que Patrick Drahi et Altice seront plus heureux en affaire.



à suivre…

Le 17/09/2015 à 10h 40

Il emprunte à des banques d’affaire, d’investissement, de spéculation à un taux d’intérêt très bas (la conjoncture de l’Euro est très favorable à l’emprunteur actuellement) et il utilise des techniques d’emprunts qui permettent d’endetter l’entreprise achetée au lieu d’endetter Altice elle-même (LBO).



C’est très judicieux et opportuniste, mais très risqué aussi, car si jamais la situation financière change ou si la situation commerciale n’apporte pas suffisamment de liquidités, il faudra potentiellement renégocier la dette à l’échéance. Et il se pourrait que, à ce moment-là, les banques préfèrent se payer sur la liquidation par lots de quelques actifs d’Altice (voire d’Altice dans sa totalité). à suivre…

Le 17/09/2015 à 10h 09

L’empathie ce n’est pas de la tristesse et ce n’est pas un phénomène négatif. L’empathie permet de s’identifier à une personne. Peut-être que je ne comprends pas le but de facebook avec cette nouvelle fonctionnalité, en tout cas, je ne risque pas d’utiliser cette fonction “empathie” si c’est pour pleurer sur le sort d’autrui. J’utilise le coeur “&lt;3” surtout pour témoigner d’une affection particulière à la publication concernée (ce qui exige une certaine empathie de ma part).



Moi je vois plutôt cette fonction “empathie” comme un bouton “hug” (étreinte, embrassade) à côté le la fonction “poke” (tape sur l’épaule) et “like” (j’aime).

Le 16/09/2015 à 15h 40

<img data-src=" />



Le cœur, c’est je t’aime fort, stoo ! ”





moi, quand j’aime fort quelqu’un ou quelque chose (c’est rare, mais ça m’est déjà arrivé sur facebook), je suis empathique avec le sujet de mon émotion (une nouvelle bonne ou mauvaise, une personne, un lieu, etc).



Mais c’est peut-être une digression de ma part ou un glissement sémantique (si tant est qu’une émoticône soit un langage en soit).

Le 16/09/2015 à 14h 51

Dans les usages actuels :

pour exprimer de l’empathie, il y a l’émoticône &lt;3 (coeur rose)

pour exprimer du dégoût, il y a l’émoticône :poop: (caca)

et un “j’aime” peut s’exprimer par un (y) (pouce en l’air)

mais l’innovation Facebook ne s’arrêtera pas à quelques smileys dans les commentaires <img data-src=" />

Le 16/09/2015 à 16h 35

Un RIP ne peut pas monter un réseau si un opérateur de Droit privé (généralement Orange ou Numericable-SFR) a annoncé son intérêt pour une zone du territoire : question de concurrence et de fonds publics qui sont 2 notions incompatibles, et question de favoriser la concurrence des infrastructures entre opérateurs de Droit privé.



Généralement un opérateur de Droit privé qui souhaite développer un réseau fibre dans la rue, commencera par les zones très denses (les plus rentables à court terme). Ce qui, de fait, interdit à un RIP de s’étendre dans les zones les plus rentables.



D’autre part, les opérateurs de Droit privé ont parfois tendance à ralentir ou bloquer la présence des RIP afin de les neutraliser car devenir exploitant d’un réseau tiers n’est pas le plus rentable pour eux. Comme Orange (le plus gros contributeur dans les zones rurales) ne peut pas se permettre de s’opposer frontalement aux élus locaux, l’opérateur agit parfois en défaut de ses engagements/promesses, en prétextant des problèmes de normes techniques, etc.





A ce sujet, lire d’autre articles de Next Inpact très éclairants sur la situation.

Le 16/09/2015 à 10h 23

le VDSL en zones rurales est le “piège” de Orange pour garder la main sur le Très Haut Débit en France. Rien ne garantie que la fibre optique jusqu’au sous-répartiteur (FTTCab) se transformera un jour en fibre jusqu’au foyer et surtout dans quels délais ?



L’Union européenne devrait plutôt autoriser les RIP (Réseaux d’Initiative Publique) à investir les zones très denses lorsque les opérateurs nationaux ne respectent pas des délais de couverture de zones à couvrir (il suffirait d’ajouter un engagement de délai à la préemption des opérateurs de Droit privé sur les zones à couvrir).

Le 16/09/2015 à 08h 58

Résultat des “Netflix Awards” : qui est le champion du Très Haut Débit et de “La Fiiibre” ?

<img data-src=" />

The winner is : Numericable

<img data-src=" />

Le 15/09/2015 à 09h 25

“Rien ne t’oblige à regarder le JT de 20H”



cet argument me fait penser à l’argument “je ne crains pas la vidéosurveillance et la cybersurveillance parce que je n’ai rien à cacher”. Moi, je crains la vidéosurveillance et je crains le pseudo-journalisme vrai-animation d’audimat parce que ça sert à encourager à ne pas zapper. Que je ne sois pas obligé à regarder ne veut rien dire par le simple fait que je suis influencé par des personnes de mon entourage qui regardent le journal de 20H. Personne ne vit dans une bulle et personne n’est hermétique à son environnement et à ses perceptions.



En tout cas, multiplier ses sources d’informations est le seul moyen d’avoir un point de vue qui se rapproche le plus possible de la réalité (qui est forcément complexe).

Le 15/09/2015 à 09h 07

interdire la diffusion d’un sondage n’a pas de sens. En revanche, les “journalistes” TV et radio ne diffusent jamais les sondages, ils diffusent une information tronquée qui ne veut rien dire, ça sert uniquement à faire de l’audience et à faire vivre le spectacle de la campagne.



Informer, relater des faits est le métier d’un journaliste. Quand le journal de 20h ou une chaîne d’info en continu diffuse des statistiques probabilisées sans contexte, sans précaution, en affirmant péremptoirement ce qui va se passer ou en faisant de la politique-fiction et en échaffaudant des scénarios possibles, ce n’est plus du journalisme, c’est de l’animation de foire électorale, c’est la Fête à Neu-Neu.



La course à l’audimat des médias et des partis politiques tue la crédibilité du média politique et du candidat.

Le 15/09/2015 à 08h 49

il faudrait interdire l’usage de statistiques probabilisées et la diffusion de quantifications de votes (“estimation de vote” étant un objectif à atteindre, pas une réalité d’étude statistique) sans mise en contexte du sondage. Et n’autoriser que les sondages entiers (avec leurs précautions, leurs avertissements et l’ensemble des questions réellement posées aux sondés).

Le 15/09/2015 à 08h 38

<img data-src=" />

Le 15/09/2015 à 08h 28

Selon moi, SAFARI ne se résumait pas à un identifiant unique, il s’agissait d’un projet ambitieux de compilation des multiples bases de données administratives au sein d’une base de données centralisée de l’administration.

Jean-Marc Manach - 11/02/2008

Wikipedia

14h42 - entrevue avec Louis Joinet - 18/02/2015



Mais puisqu’il est question dans cette entrevue d’identifiant unique, qu’en est-il des croisements de fichiers de données et du “droit de communication” que la Loi attribue à la CAF ou à l’USSAF (entre certaines administrations publiques / organismes sociaux), ces administrations identifient généralement chaque individu / chaque société par son N° de Sécurité sociale ou son N° de SIRET ? Qu’en est-il de EDVIGE et CRISTINA (fichiers de police et du renseignement) ?

11 octobre 2008, la journée anti Big Brother



En réalité, j’ai la sensation que la centralisation des bases de données est rampante et insidieuse avec une transparence vis-à-vis de l’individu concerné pas forcément respectée. J’ai la sensation que les cloisonnements entre administrations (qui disparaissent progressivement) et que cette notion de “guichet unique” qu’on entend souvent comme un avantage pour l’administré peut aussi servir de catalyseur à données.



Ceci-dit, on me dira que c’est le progrès (multiplication des écrans, synchronisation dans le “cloud”, dématérialisation et simplification des démarches administratives, etc). En plus, la CNIL a sûrement une utilité salvatrice dans la conception des Lois et dans la mise en oeuvre des processus informatiques des administrations. Pourtant, le but d’une administration est de hiérarchiser et classer des informations et la CNIL pourrait également servir à l’occasion de “faire valoir” à des ambitions peu respectueuses des droits des individus.



Mais “heureusement”, la Constitution (révision de 2008) a prévu le Défenseur des Droits et d’autre part je comprends mieux maintenant pourquoi la CNIL tente de construire la notion juridique de “droit à l’oubli”.

14h42 - 01/10/2014

Le 15/09/2015 à 07h 20

allocine.fr (qui appartient à Webedia / groupe Fimalac, ou Financière Marc Ladreit de Lacharrière) est un nid à statistiques et à comptage de clics tellement lourd et tellement rempli d’affichages publicitaires parasites qu’on a l’impression d’avoir un débit internet 512Kb/s alors qu’on est en ADSL2+ à 10-15 Mb/s. Facebook et Sens critique comptent certainement autant les clics de leurs membres mais avec une efficacité technique beaucoup plus légère et une “expérience utilisateur” (comme on dit dans le marketing) beaucoup plus ludique et attirante.



Personnellement, j’ai cessé d’utilisé le site allocine.fr car les extensions de mon navigateur noscript et Privacy Badger (EFF) rendent quasi impossible la consultation des pages web et surtout des vidéos de ce site : plusieurs dizaines de noms de domaines tentent d’interagir (et pas seulement des “cdn” ou des contenus).



D’autre part, j’ai eu l’occasion de voir une vidéo “gaming” sur Youtube avec Cyprien en joueur-animateur maniant la manette sur le jeu Assasins Creed et j’ai cru voir une séquence parodique. Mais ce n’est pas pire que TF1 ou Nextradio (RMC-BFM)

Le 13/09/2015 à 13h 18

si un jour tu avais l’occasion de devoir faire la preuve devant un organisme social, de ta précarité et de ton incapacité à subvenir à tes besoins primaires et aux besoins de ta famille (si tu en as une), tu ne viendras sûrement pas la ramener sur un forum ou dans les commentaires d’un article pour dire qu’il n’y a pas de contrepartie à l’avantage social dont tu peux profiter pour vivre dignement.



La dignité, ça ne s’achète pas, tu en as une ou tu te la mets sous le bras en attendant des jours meilleurs.

Le 13/09/2015 à 13h 10

si tu as l’occasion un jour d’essayer de profiter de tarifs sociaux de l’électricité ou du téléphone ou de la CMU, tu te rendras vite compte que les exigences administratives et les obstacles de plafond financiers/de revenus ne te permettront pas d’en profiter ou alors seulement pendant une durée limitée.

Le 13/09/2015 à 13h 04

un propriétaire ne peut pas faire n’importe quoi et un locataire non plus. Le problème dans le secteur immobilier est qu’il faut parfois se défendre par l’intermédiaire de l’institution judiciaire (un peu comme dans la convention du mariage) car la partie adverse ne veut pas entendre raison. Inconvénients : ça bouffe de l’énergie et du temps et les conflits sont mauvais pour le karma.

Le 12/09/2015 à 08h 45

“Les offres prépayée sont par définition chères, c’est pour ça que Free a créé le forfait 2€.

Vous voulez offrir un “Racket Super Arnaque” prépayé valant 10€ à un sans abri ? “







  • l’abonnement à 2€/mois = 24€/an (+10€ la carte SIM si pas de portabilité)

    avec un compte bancaire (pas toujours possible pour un SDF)

  • le coupon à acheter ponctuellement d’une offre prépayée : 3 à 5€ sur 30 jours (tarifs Lycamobile)



    Je ne vois d’arnaque nul part, je vois juste que l’offre de Free n’est pas une offre adaptée aux plus précaires, et n’est pas forcément l’offre la moins chère pour un usage ponctuel.

Le 11/09/2015 à 08h 40

Chico vendait des forfaits à 15€/mois, pas des offres prépayée, mais c’est vrai que cette pub était délirante

Le 11/09/2015 à 08h 29

Je cite ton commentaire initial : « Tu sembles assez éloigné des problématiques que rencontrent les personnes qui sont réellement concernées par le sujet dont l’article parle. »



“Si pour toi “sembler” introduit une certitude, je n’y peux pas grand chose.”

Je n’avais pas compris la nuance du verbe sembler, mais alors qu’est-ce que tu as voulu dire ? Si tu veux parler de moi, je ne crois pas que ce soit le sujet ici.



“Quant au ad hominem, relis-donc ton propre message.”

Oui je peux me montrer aussi con que toi. C’est un peu voulu.



A la différence de toi, je sais faire des commentaires de plus d’une ligne, mais maintenant je n’ai plus envie de discuter avec toi.

Le 11/09/2015 à 08h 01


  • le compte bancaire qui va avec, parce que : qui dit abonnement téléphonique, dit quasi-exclusivement prélèvement automatique.



    Je pense qu’une offre prépayée (rechargeable par coupon) est plus adaptée à la précarité.

Le 11/09/2015 à 07h 29

ça peut faire sourire, mais effectivement, ce qui est essentiel au commun des mortels est très souvent entretenu par la collectivité (l’Etat entre autres). Et pour financer ses actions, l’Etat français en l’occurrence développe souvent une fiscalité spécifique au problème donné pour augmenter les impôts, augmenter l’assiette de l’impôt et se donner les moyens financiers de remplir ses missions nouvelles.



Et ce qui est grave de nos jours : l’Etat, les Collectivités locales délèguent la plupart de ces missions d’intérêt général à des acteurs économiques de Droit privé. De ce fait, la puissance publique reverse des subventions ou des paiements de factures à ces sociétés commerciales pour subvenir à l’intérêt général – l’absence ou le manque de contrôles étant source de conflits d’intérêt et parfois de cas avérés de corruption ou de malversations.

Le 13/09/2015 à 07h 51

Si tu es sûr de ce que tu avances, alors la situation de ton OS Windows 7 est intéressante. Mais un dossier avec 4 sous-dossiers qui ne représenterait que 32 Ko me rend un peu sceptique sur la réalité que tu décris : en somme ton dossier \(Windows.~BT est quasi un dossier vide. Un peu étrange quand même. Peut-être que ton matériel n'est pas compatible avec Windows 10 et Microsoft n'a pas jugé utile de te le faire téléchargé.



Dans mon cas personnel, le dossier \)
Windows.~BT est bien présent à la racine C:\ et représente 4,85 Go.

Le 13/09/2015 à 07h 20

Entendons-nous sur les mots :





  • Linux ça veut rien dire. Une distribution Linux ça veut dire quelque chose.

  • Comme en témoigne ton commentaire, le logiciel libre (free) est souvent une notion amalgamée dans une vision politique ou sociétale du sujet de l’utilisation informatique. Le pire étant de confondre le terme anglophone free avec gratuit. Ce n’est pas parce que c’est libre que c’est gratuit (le programme informatique n’est pas forcément payant lui-même mais il est inclus dans une prestation de service : c’est le support technique et l’adaptation du programme à un usage particulier qu’on fait payer).

  • Fondamentalement, libre veut dire : programme informatique qui peut être réutilisé ou modifié selon des besoins singuliers à la différence d’un progiciel développé pour une généralité d’usages (programme informatique standardisé intrinsèquement payant, qu’on appelle techniquement progiciel et économiquement logiciel propriétaire).

  • Une distribution Linux est souvent développée par une société commerciale : Ubuntu par Canonical, OpenSUSE par Novell, FirefoxOS par Mozilla (la fondation est associée à une société commerciale). Dans ce cas on ne parle plus de logiciel libre, on parle plutôt de logiciel ouvert (open).



Le 12/09/2015 à 15h 01

“Ou as tu vu de la théorie anarchiste ici ? On a peu être de l’anarchie au sens insoumission (mais quand l’injustice devient trop flagrante….) mais surement pas de la théorie. ”





Je persiste : il y a de “grands théoriciens” dans les commentaires de Next Inpact (lis les commentaires des articles de la rubrique “Economie”).



Je ne parle pas des quelques révoltés ou français râleurs, ni même des insoumis ou indignés, je parle bien de théories libérales (pas la définition franco-française, le libéralisme au sens liberté économique, liberté individuelle intégrale, même parfois liberté de moeurs).

Le 11/09/2015 à 19h 47

Un éditeur ne sert pas seulement à organiser une fabrication de produits (CD, impression de livres, etc) et une logistique de distribution dans les commerces de détail. Il sert aussi à orienter l’auteur dans un cadre commercial et à mettre en relation l’auteur avec d’autres professions complémentaires.



L’industrie numérique et internet transforment le métier d’éditeur, ça ne va pas supprimer le métier d’éditeur.

Le 11/09/2015 à 17h 24

“Il faut garder en tête que contrairement aux idées reçues du bon peuple, l’argent n’est pas le problème parce que c’est juste une abstraction pour répartir la valeur produite.”





ça me fait penser à la théorie matérialiste de Karl Marx :





  • l’argent une abstraction, comme si l’argent devait être une valeur absolue ou une matière tangible.

  • le bon peuple qui serait victime d’idées reçues ou d’illusions, comme si le prolétaire était forcément naïf et corvéable à merci du fait de son exploitation et de sa situation précaire.





    En tout cas, ça fait du bien d’entendre une autre théorie économique, que la théorie libérale (voire anarchiste) de quelques lecteurs de Next Inpact dont j’ai déjà eu l’occasion de lire les commentaires.

Le 11/09/2015 à 17h 15

“Nous verrons également quantité de petits commerces de proximité remplacés par des distributeurs automatiques. Par exemple, c’est déjà le cas des pompistes.”



Moi, je me suis fait arnaqué par une pompe automatique (DAC : Distributeur Automatique de Carburant). Depuis, certes je me sers moi-même à la pompe, mais je vais de préférence dans une vraie station-services (qui propose des services et pas seulement du carburant) pour avoir le plaisir et la sécurité de tendre un billet (pas ma CB) à un humain, dans une boutique qui vend aussi de l’huile-moteur, des barres chocolatée et des bonbons (comme dans les films Nord-américains). C’est plus fun, plus convivial et aussi rapide (pas besoin de faire du parchoc-contre-parchoc en compagnie d’automobilistes abrutis, trop pressés pour être aimables).

Le 12/09/2015 à 08h 19

A côté de ce genre de projet de “box”, rien n’empêche l’éducation des personnes intéressées. Les fab lab, les ateliers de réparation associatif (les repair café) sont autant d’initiatives annexes et complémentaires.

Le 12/09/2015 à 07h 42

Au contraire, je ne vois pas ce qui pousserait Mme Michu à s’éduquer aux solutions informatiques de protection de sa vie privée à part un événement tragique et médiatisé (ce qui ne risque pas d’arriver ou alors ce sera le jour où Mme Michu entrera en résistance contre un régime répressif).



La pratique de l’informatique est un peu le même problème que l’entretien d’une automobile : Mme Michu possède une automobile parce que c’est pratique et malgré cela, on a rarement vu Mme Michu faire elle-même sa vidange alors que ça ne demande ni une grande expertise ni beaucoup de temps (et je ne pense pas que ce soit le marketing de Norauto, de Feu vert ou de Midas qui en soit la cause principale). L’éducation des masses, l’éducation populaire est une belle idée mais ce n’est pas si facile d’obtenir l’adhésion du grand public à la cause qu’on défend (chacun voit midi à sa porte).



D’après moi, ce boîtier de messagerie sécurisée semble être une solution “clé en main”, “plug & play” beaucoup plus séduisante pour le quidam. Mais, bien sûr, comme dans tout projet, rien n’est gagné d’avance et il se peut que ça ne devienne qu’un coup d’épée dans l’eau (pour cette fois, car c’est en faisant des erreurs, c’est dans l’échec qu’on apprend et qu’on réussi à construire des solutions viables).


Le 11/09/2015 à 16h 54

le crowdfunding ne sert pas à faire des grosses productions, ça sert surtout à développer une communauté restreinte très proche du projet, très impliquée et à financer les développements du produit. Ensuite, si tout se déroule favorablement, les porteurs de projet peuvent démarcher des investisseurs ou des fournisseurs pour passer à une production plus importante afin de toucher une clientèle un peu moins proche, moins investie que le 1er cercle mais tout de même intéressée. Etc.



On peut ensuite imaginer populariser le projet jusqu’à atteindre l’acheteur occasionnel avec un produit encore plus abouti et plus “grand public”. C’est un peu ça l’objectif du crowdfunding : faire parler du projet, tout en favorisant un meilleur financement et un meilleur développement.



Le crowdfunding, c’est plus l’économie du don que l’économie participative (comme on dit dans le marketing francophone parisien).