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Idiogène

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4748 commentaires

Le 12/12/2019 à 11h 25

Ou permettre à une partie de la société civile qui n’est pas particulièrement hostile à l’humain d’être moins exposée à des contenus idiots…



Une solution radicale mais qui aurait le mérite d’être claire, ce serait de filer des cases (des sous-interfaces pour sous-cultures, comme facebook et ses groupes quoi).

Le 12/12/2019 à 11h 23

Tu enlèves à la tête d’alphabet les financiers ou informaticiens qui ne sont pas dans leur rôle… le résultat sera convenable comme avant.

Le 12/12/2019 à 11h 11







tmtisfree a écrit :



Tu n’enfumes pas ton voisin évidemment, les délateurs sont partout de nos jours. D’autant que les quantités à brûler ne sont pas extravagantes.







J’avais pas remarqué… <img data-src=" />


Le 12/12/2019 à 11h 08

Oui. Le rendement est meilleur.

Mais quant il n’y a aucune centralisation des déchets localement alors que c’est pourtant obligatoire depuis longtemps, brûler un tas de feuilles dans ton jardin ne doit pas donner lieu à un procès verbal sous couvert d’émotion. Ou alors, c’est du zêle inutile.

Le 11/12/2019 à 22h 33

Brûler du plastique chez soi ou en usine, pas de différence notable pour le C02 ou la pollution respiratoire.

Sauf que tu fais chier ton voisin… c’est la seule nuisance impliquant une responsabilité individuelle.

Là où la limite est bien dépassée c’est lorsque tout feu est interdit.

Alors la cheminée reste la seule option et curieusement la récupération de chaleur induite c’est de l’écologie… Faudrait savoir si on peut ou non parler de l’écologie dans de bonnes conditions. En fait.



Donc plutôt une bonne mesure leur truc. Sachant qu’il existe déjà l’éco-taxe-participation au recyclage des DEE… jusque là c’est complémentaire.














Le 11/12/2019 à 21h 48



As we move forward, it is our sincere hope that we can work together on solutions that keep people safe and their communications private. We recognize technological advances impact the way in which law enforcement operates and look forward to working with you to help ensure the actions of government and companies are effective in keeping citizens safe.





Avec 25 ans de retard. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 21h 22

Leur seul problème est de s’être reposé sur leurs lauriers. AMD plus malin a juste dissimulé intelligemment ses intentions et a emporté la mise… un peu comme à l’époque où ils sous-traitaient pour intel.

Les failles de sécurité par exemple sont un bon signe pour Intel en réalité. Plus ils seront transparents et honnêtes, plus ils seront banquable.



Mais c’est à eux, faute de réelle précision politique et éthique, de corriger leurs problèmes en interne. L’économie ne règle pas tout et ses méthodes non plus, là encore, si ils se reposent sur la mansuétude des agences de renseignement pour vendre la cyberbêtise et des universités pour ramasser les crottes, cela va déchanter rapidement. Donc prudence… et vite des articles sur comment pawn leurs puces histoire de pouvoir les repêcher en cas de bêtise flagrante… <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 21h 00

Ils peuvent coopérer avec leurs voisins sans coups bas, ni propagande.

On ne va pas les empoisonner avec un peu de tisane ou comme ces bougres d’anglais et leur thé asiatique. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 19h 50

Pas nécessairement, il va être très difficile d’empêcher intel ou le raspberry pi en europe (l’anglais y est pour beaucoup, manifestement).



Mais je sens que le problème s’est déjà posé peu de temps après la folle envolée de la surveillance de masse et de la désinformation américaine quelque part entre Washington et le pentagone vers 2004, et une bonne partie du monde a continué sur un plan qui était sympa pour une bande de technocrates : faire du software et des échanges atlantistes pour donner l’exemple après le 911 plutôt que du hardware avec bénédiction de la notion d’interopérabilité portée par le sur-moi européen cher à une partie de la droite européenne.



Le problème c’est bien l’absence d’une concurrence suffisante en matière de bas niveau (processeur notamment), donc loin d’être totalement hors sujet, le Trumpland contre le ChinaMade est une nécessité quand une partie des responsables ont clairement merdé, par inconscience certainement… mais pas nécessairement là où des anti-complotistes le pensent en s’attaquant aux personnes ayant subi cette folie…

Le 11/12/2019 à 11h 09

Oui.

D’autant que les chinois ne sont pas aussi gourmands que les US en données techniques. Le filtrage a l’immense mérite d’être rendu public… <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 19h 05

Wifi, infrarouge, NFC, et tous les ports.

Il parait que même les ultrasons…



Alors en remplacement la machine à écrire c’est pas mal, quitte à faire dans l’encre sympathique en remplacement des points jaunes sur les imprimantes laser. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 11h 07

Escrocs. A dégager. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 17h 13

Je croise les sources :

TV

Médias, web et papier

Médias spécialisés, papier ou web

Éventuellement facebook et cie, deviant art aussi c’est cool pour se donner une idée… avant de sombrer dans la morale il y avait Thumblr pour la photo… j’ai renoncé.

Dans la rue tous les ans… ou entre potes, c’est agréable aussi <img data-src=" />



Cela n’a pas de sens, par exemple, d’aller dans un musée dédié uniquement à la peinture. (sauf cas particuliers).

La sculpture ou l’architecture sont totalement absents du web mainstream, c’est un problème assez grave par ailleurs.



Après les algo il n’y a pas 36 solutions :




  1. c’est une recette faite maison et gérée en interne, dans ce cas on peut envisager une concurrence en ligne avec ce que tu décris : la fameuse synthèse de la tendance…

  2. c’est un exécutable (ou une bibliothèque pour les libristes), dans ce cas aucune raison de dépendre d’un service en ligne comme spotify vu que tu as la base de données chez toi (tes films, ta musique), et dans le cloud mais fermé.



    L’incompatibilité avec les libertés individuelles je la vois surtout dans la capacité de ces acteurs à décharger la capacité critique à mesure que l’algo attrape tout et gère tout. Quid de l’archivage de l’écoute en streaming par exemple… ou de l’enseignement si le titre disparaît sans préavis ? La licence est globale ou non ?



    Les possibilités de manipulation sont énormes avec ce qui ordinairement s’appelle l’intelligence collective (va creuser Francis Galton ;-))… Facebook a d’ailleurs admis publiquement, et sans être inquiété outre mesure, de régler son algo maison (le fil d’après ce que j’ai compris) pour amener l’utilisateur au sommet de la courbe d’investissement émotionnel sans dépasser une limite qui le ferait tomber dans le putaclic… on n’est donc pas dans le cadre borné et éthique de publications scientifiques ayant pour objet d’enrichir les réponses à une question par une démarche collaborative, ou plus précisément, participative.



    Grosso modo : tant que la recette (la méthode de sélection) n’est pas compréhensible par tout le monde, c’est nécessairement anti-démocratique, et potentiellement liberticide.



Le 11/12/2019 à 16h 16







j34n-r0x0r a écrit :



Mais ceux qui on besoin d’une béquille pour avancer même sophistiqué sont les handicapés du groupe et c’est pas rendre service que de vouloir rendre handicapé tout le monde.

 

Je vis sans Facebook, j’existe et je fais parti d’un monde qui sera toujours plus grand que Facebook car il le contient.







Merci de rappeler cette évidence.







Tandhruil a écrit :



Internet a permis l’autoédition (pour le meilleur et pour le pire, il y a quand même un grand nombre de merdes innommables), ça fait parti de son histoire ; comme pour la musique il y a eu MySPace et lesArctics Monkeys.







Mais là n’est pas le problème à mon sens.

Le problème est que j’envisage assez mal, pour ne dire que je ne l’envisage pas… de naissance d’une culture de l’édition et de l’auto-promotion numérique sans règles claires et précises, ainsi qu’au moins quelques équivalences concrètes avec le monde de la promotion…



En l’état ce que j34n-r0x0r et moi-même avons dit, tout ce cirque burlesque repose hélas en grande partie sur des choix techniques très peu compatibles avec la liberté individuelle, même celle de création en fait. Ou alors il faudrait supposer que les artistes sont nécessairement handicapés pour rentrer dans le bilan comptable : ce qui est une discrimination particulièrement sybilline et perverse.



Le simple fait de déplacer les choix d’édition à des entreprises qui manifestement ne sont pas à même d’avoir un passif critique et indépendant oriente leurs décisions quasi-exclusivement vers du commercial. Et en fond, des lettrés ou assimilables qui ne sont pas à la page du numérique ou envoient leurs enfants comme Monsieur Schiappa…

Ce qui génère qu’on le veuille ou non un art, éventuellement de vivre, ok, il existe, mais il reste bien trop douillet compte tenu du spectre large visé qui nécessairement fera qu’il suffira d’un con pour tout mettre parre-terre. (Et implications habituelles quant à la liberté individuelle d’un acteur n’ayant pas besoin de preuves pour, par simple lucidité, dire des vérités).



Une autre manière de le voir est de constater que ne rentrant pas à l’université mais utilisant certains outils, les promoteurs de cette méthode de communication comme Mark Zuckerberg ont changé de crémerie, et certains en ont payé le prix fort comme Aaron Swartz.



Donc entre une mafia de la culture et une autre, le choix entre la peste et choléra mériterait d’être explicité un plus honnêtement… hors “expérience utilisateur”, ou devrais-je dire comme d’autres “expérience torture ?”.



Le 11/12/2019 à 12h 40

Mais alors pourquoi utiliser Facebook plutôt qu’un moteur de recherche ? Et même : en quoi l’auto-hebergement serait un problème pour peu qu’on passe d’outils un peu archaïques (phpBB <img data-src=" />) à un truc plus complet ?



Ce n’est qu’une question de volonté politique cette affaire… en contradiction (paradoxalement) avec la vie des idées souvent très localisée… (en quoi passer un partage par San Fransisco ou l’Irlande a du sens ?… bref, tu vois l’idée : c’est mauvais d’avoir un fossé trop grand entre médium et usage, les conséquences sont ingérables)



Facebook se déporte sur la messagerie maintenant, dissociée de son service, ce n’est pas pour rien à mon avis… ils ont très bien compris qu’il était nécessaire de clarifier la posture entre ce qui est lisible par tous et lisible par un nombre limité de correspondants. Le profilage (tags) étant le dernier reste auquel ils peuvent accéder. (même si ont été débauchés des experts du faux compte et cie et autres bêtises…)

Le 11/12/2019 à 12h 15

Je suis bien d’accord qu’il est nécessaire de voir facebook comme un outil parmi d’autres.

Le problème est que, à supposé que l’on souhaite collectivement vivre dans la société des dionysiaques qui philosophent à coup de marteau, après celle des amis qui réfléchissent à coup de miroir, il ne faut surtout pas que la masse du marteau se détache du manche !



L’implémentation de facebook est bancale, c’est ce qui est navrant. On pourrait avoir la même efficacité avec une espèce d’IA savamment travaillée sur la machine de l’utilisateur : c’est donc une question d’implémentation…



Il n’est pas soutenable de mettre en tension la fameuse intelligence en périphérie (grande rhétorique historique des services web (ou appelée empowerment chez Apple)) en prenant le problème posé au pied de la lettre et en déportant la valeur de l’IA (prise comme but ultime de la collecte de données) sur la machine d’un tiers chargé de réguler l’échange d’information entre les clients… l’attaque de l’homme du milieu c’est Facebook hein…



Quant aux campagnes de promo, le service est payant sur les plateformes comme kickstarter ou ulul non ? A minima, la retenue de valeur (la cagnotte…) rend possible la spéculation sur la valeur boursière de l’entreprise donc ce sont les marchés financiers qui financent (tautologie) :




  1. la séquestration monétaire

  2. l’économie numérique Bisounours (en gros)

Le 11/12/2019 à 11h 55

Construire des prisons est simplement un sujet réputé ignoble pour nombre d’architectes.

De l’autre côté les grands groupes (vinci, bouygues) préfèrent participer à des projets plus communicants sur le papier (genre tribunaux, autoroutes…) et plus intéressant techniquement (innovation technique pour la technique).

En plus, c’est moins cher pour eux sur le long terme de laisser les pauvres “criminels” dans la rue. (hypocrisie maximale).



En clair : répondre à la moitié du problème posé est un grand classique du millionnaire… il y a d’autres exemples (utilisation des données à d’autres fin que celles vendue (par la machine) au client, par exemple) <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 09h 45

Le problème se situe sur le caractère situationnel de facebook et son côté béni-ouioui de l’interaction public-communiquant qui est séquestrée sur la plateforme et n’en sort que par de la data à la différence de sites web sur mesure en faits en 3-4 clics et accessibles à tout le monde sur le réseau internet…



En quoi avoir un profil facebook fait de la bonne promo ? Tu passes à côté d’une partie de ton public qui n’utilise pas facebook… ensuite, je n’ai pas vu de caricatures de l’entreprise hebergées sur facbook. Donc la liberté d’expression tant vantée est en contradiction avec leur règlement intérieur (terme déjà moins sexy que CGU mais bien plus précis hein).



Après faire de la politique avec internet n’est pas très choquant, à condition d’avoir un anonymat plus que minimal… ce qui techniquement n’est pas aujourd’hui généralisable, à moins de se heurter aux services de renseignement et être considéré comme terroriste par l’usage de technologies assimilables à du brouillage par leur métaphore bancale de la radio appliquée à internet…



Bref.

Facebook pourquoi pas… mais pas avec des implémentations aussi peu respectueuses du contexte. Donc les associations écolos sur FB par exemple c’est automatiquement hors de mon champ d’intérêt. Tant pis pour elles, z’avaient qu’à utiliser diaspora, ou le p2p.

Le 09/12/2019 à 23h 58

Le pseudonymat permet d’éviter ce genre de désagréments.

Simple et efficace contre une menace relativement faible que peut être ce fameux B au cube. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 12h 58

Un vendeur de PC qui pense à ses client, j’en connais pas beaucoup.

A voir si la qualité du conseil d’achat suit… ce serait bien.

Le 10/12/2019 à 16h 48

Un abonnement de 1 mois à la cave locale aurait quand même été plus chouette, mais je dis ça… bien vu les Bordelais. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 12h 29

Ce n’est pas une question d’empêchement, de limite, ou de règles… ce sont les plateformes ayant recours à l’IA qui fabriquent un état de nature humaine peu désirable car non désirée par ses concepteurs mêmes…

En gros, ce sont les algorithmes de tri qui, en étant opaque à ses concepteurs (ils ne savent pas dire ce que fait la machine dans le détail), produit une surreprésentation du racimse et du harclèlimse etc. Après, le politique bien avisé, dira : “incitation à” sur le fondement de la loi de 1881…

Certes…

Le 11/12/2019 à 11h 05



Cela revient à dire à une femme que, si elle est victime de sexisme en passant dans tel quartier, elle devrait passer par une autre rue. (…) On ne dit pas à une victime de changer de lieu : c’est le lieu qui doit changer ».





Faux débat : si j’ai besoin d’accéder pour X raison que je n’ai pas à justifier auprès de quiconque à un concurrent de X site web je dois :




  1. bénéficier d’une libre concurrence entre les acteurs du web

  2. avoir un accès à internet non filtré, censuré ou partial (coucou l’intérieur)

  3. avoir une interopérabilité technique équivalente à la téléphonie mobile



    Enfin l’espace public est, en France, un ensemble de lieux d’intérêt collectif partagé à égalité entre tous les agents.

    Un site web est une interface accessible au public en ligne. Non un espace recevant du public.

    Maintenant, si il n’existe pas de réglementation d’accessibilité au public en ligne des services web, alors c’est que la définition de la liberté d’expression générale produira nécessairement un débat sur la qualité de la pensée unique proposée… aussi, bon courage. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 10h 58

Pas nécessairement : j’utilise toujours windows… ce qui est bon c’est de ne pas faire du dogmatisme.

Dans la vraie vie des gens en chair en os, utiliser unix + windows + linux + gnu c’est indispensable.

Le 11/12/2019 à 10h 56

Oui, j’ai aussi constaté qu’un utilisateur passait facilement de windows à ubuntu ou équivalent. A condition de ne pas utiliser de logiciels spécifiques (domaine pro notamment) et d’avoir un minimum de pratique du double boot le cas échéant.



La news précise bien la pensé de Microsoft du renouvellement… mais maintenant que les ordiphones sont l’équivalent des PC (à minima pour la bureautique) il n’y a pas de raison de changer de matériel tous les 2ans. 10 ans c’est tout à fait jouable, et économiquement intéressant pour réduire les inégalités d’équipement.

Une idée pour les associations : un boîtier neuf et sexy et du matos de récupération dedans avec un OS libre et zou… la poste et sa pédagogie d’entreprise à la noix sont concurrencés. Pire, le matériel en décharge est souvent récupérable et gratuit. <img data-src=" />

Le 11/12/2019 à 10h 47

La réaction est bienvenue. <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 17h 30

Quitte à assumer d’être libéral sans mentir ouvertement à qui veut l’entendre… en quoi la désinscription volontaire à un programme d’étude comportemento-fiscalo-marketeux doit-elle nécessairement être signifiée par un refus ?



Non seulement la double négation ne sert à rien dans un règlement, mais pire, c’est à se demander si ce n’est pas fait exprès pour brouiller les pistes et récolter un maximum de données monétisables. Au motif que se bouffer les uns les autres c’est bien et beau…



Dans le monde réel, lorsqu’une mairie décide de financer son mobilier urbain par de la publicité, elle ne subit pas autre chose qu’un marché certes tenu par deux acteurs, mais ces deux acteurs proposent de financer le mobilier par une concession d’accès à l’espace public.

Il y a un gain évident pour la collectivité, et comme tout gain dans le vrai monde libéral, il est optionnel.



Ici, le RGPD rend possible un gain non optionnel qui ne bénéficie qu’au responsable du traitement… dans le genre couteau sous gorge, c’est une belle invention le RGPD.



Son seul intérêt réside dans la possibilité de répondre avec des garanties convenables à des sondages rémunérés. Pas plus, pas moins.



Ne pas s’étonner ensuite qu’une partie non négligeable de la société “fasse chier” des éditeurs de jeu vidéo, des paranoïaques de tout poil sentant leur business assis sur du sable, ou le fisc.



M’enfin j’dis ça. Je vais reprendre un peu de Xanax hein. <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 10h 05



26-18 du Code pénal qui sanctionne le fait « de collecter des données à caractère personnel par un moyen frauduleux, déloyal ou illicite ».





Vivement d’autres argumentaires sur cet article. <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 17h 08

C’est comme avec Obama non ? <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 16h 45







crocodudule a écrit :



Prétendre que cette proposition de Loi française n’aura pas des effets partout est clairement se moquer du monde. Et comme on veut pas entendre que le seul cadre adéquat est européen, il faudra pas venir se plaindre que d’autres Etats, et pas forcément les plus démocratiques et respectueux des libertés, prétendent à leur tour imposer aux plateformes des réglementations aux effets extraterritoriaux.







C’est surtout l’extraterritorialité de la french theory qui fait débat… et donne cet espèce de platonisme incarné en France, et des craintes plutôt légitimes outre-atlantique bien que le problème reste assez velu techniquement et donc ne peut pas réellement donner lieu à un débat étendu… combien de citoyens savent réellement ce qu’ils font avec leur machine ? Et combien en comparaison savent lire et écrire ?


Le 10/12/2019 à 16h 59







Kazer2.0 a écrit :



Ou sinon tu pédales chez toi pour recharger la batterie, tu fais d’une pierre deux coups, tu recharges la batterie et tu augmentes la santé globale réduisant le coût des soins <img data-src=" />







Pas bête, mais j’ai déjà embauché un Ouïghour. Il fait bien ses heures contrairement aux migrants Syriens, il dit toujours ouïg. Comprends pas. <img data-src=" />


Le 10/12/2019 à 13h 39







dylem29 a écrit :



“Les écolos promeuvent le chauffage au bois” je n’ai jamais entendu quelqu’un dire ça, faut arrêter de lire Le Figaro.

.







Si il n’y avait que le figaro… l’ademe explique même que le bois ne rejette pas de C02 lors de sa combustion…



Mais en effet, à émissions égales lors de la combustion, les rejets de C02 liés au transport du bois sont 2x moins importants que ceux du fossile.



Donc le bois est moins émetteur de C02 que les autres energies, à condition d’avoir une ressource locale exploitable et durable (en gros pour un village de néo-autonomistes c’est ok, une ville, c’est déjà moins évident).


Le 10/12/2019 à 13h 29

La chine est communiste non ? Ou alors j’ai mal lu le manifeste du parti.

L’europe est catho-communiste, mais ce n’est pas une surprise non plus.

Le 10/12/2019 à 11h 07







tmtisfree a écrit :



En l’Europe l’innovation se décrète à coup de milliards balancés dans la nature avec 20 ans de retard, pas étonnant que les secteurs les plus en pointe se développent partout ailleurs.







Car les stratèges chinois ou taïwanais réfléchissent et pondent des lois de prospective ?







Tandhruil a écrit :



C’est indispensable d’être autonome sur les batteries, l’avenir est à l’accumulation d’énergie.

Toutefois je pense qu’il est déjà trop tard, la chine a mis la main sur presque toutes les réserves de terres rares.







Non, il y en a aussi aux USA, et en moindre concentration dans d’autres aires.

Le scandale ce sont les conditions de travail et la nationalisation de cette ressource. Sinon on trouvera autre chose… genre l’hydrogène, curieusement il n’y a pas tant d’investissement là. <img data-src=" />


Le 10/12/2019 à 16h 47

Divorce. Les biens de ton ancienne et futur communauté sont à ta portée ! XD

Le 10/12/2019 à 16h 33







BlueTemplar a écrit :



Je ne comprends pas pourquoi ce mélange des genres est toujours autorisé.

Surtout après que des gens ont eu des graves brûlures aux yeux après avoir acheté des lunettes à éclipse solaire qui provenaient soit-disant “d’Amazon” - alors que non, Amazon mélangeant des produits “similaires” avec ceux des fournisseurs tiers pour une livraison “plus efficace et rapide “.







Car un nombre incertain d’olibrius en haut du mat pensent sérieusement à concurrencer les BATX. Ton exemple illustre peut-être leur aveuglement…







Ricard a écrit :



Vu le volume de vente d’Amazon, je pense qu’on est même dans les centaines de milliers d’euros/jour.<img data-src=" />







Je ne connais pas de comptable d’Amazon mais tu peux draguer sur linkedin…


Le 10/12/2019 à 15h 01

Et donc amazon récupère éventuellement 20% de T.V.A auprès de l’état, qui n’a d’ailleurs pas été acquitté par l’acheteur dans pas mal de cas…

Donc l’état perd en effet des milliers d’euros tous les jours… mais le client n’est pas fraudé et amazon conserve son image d’entreprise au service du client.



L’astuce.



Par contre le vendeur chinois peut en contrepartie pratiquer le taux de change qu’il souhaite… donc il n’est pas tout neige dans l’affaire…

Le 10/12/2019 à 14h 46

De la TVA intra-communautaire pour la vente à distance…



Si est vendu pour 20.000€ H.T depuis la France (CA global) vers l’espagne, la TVA est réputée perçue au taux du pays d’origine et exonérée au pays d’arrivée… Si le plafond des 35.000€H.T est dépassé, l’entreprise doit se déclarer auprès du fisc espagnol et le taux de TVA espagnole s’appliquera.



Ce mécanisme est assez généreux… mais pas applicable aux vendeurs chinois par exemple !

Le 10/12/2019 à 14h 36







Tandhruil a écrit :



Quand on commande sur le marketplace amazon, c’est bien stipulé que les prix inclus la TVA



Je n’ai pas bien compris : La fraude vient massivement de Chine et l’état va prendre des mesures pour imposer à amazon de prendre en charge la TVA pour les pays intra européens <img data-src=" />







La fraude naît du fait de l’absence de responsabilité et de contrôle d’Amazon auprès des exportateurs hors UE.

En gros, si je montais moi-même un site web et une entreprise, je pourrais déclarer la T.V.A de mes exportateurs en devenant intermédiaire pour leur compte.

Amazon est donc victime des exportateurs chinois. Ou complice du phénomène selon le point de vue.


Le 10/12/2019 à 14h 26

Oui et non. Amazon peut très bien se retourner contre les vendeurs qu’il héberge sur la base de ses CGU.

Le 10/12/2019 à 14h 23

Alors relis…



Art. 289 A du CGI :





I. – Lorsqu’une personne non établie dans l’Union européenne est redevable de la taxe sur la valeur ajoutée ou doit accomplir des obligations déclaratives, elle est tenue de faire accréditer auprès du service des impôts un représentant assujetti établi en France qui s’engage à remplir les formalités incombant à cette personne et, en cas d’opérations imposables, à acquitter la taxe à sa place. A défaut, la taxe sur la valeur ajoutée et, le cas échéant, les pénalités qui s’y rapportent, sont dues par le destinataire de l’opération imposable.





Donc soit la TVA est payée par un représentant (amazon, notaire… que sais-je).

Soit elle est payée à la livraison par le client (le destinataire).



Ensuite. Le rapport évoqué (et non cité, c’est bien dommage) dit que :

Sur 24459 vendeurs, seuls 538 ont eu recours à la première possibilité et sont donc connus de l’état.

Les 23921 restant sont seulement connus par leur boutique en ligne (j’imagine donc sur le marketplace) mais n’ont pas de correspondance dans les listes de sociétés immatriculées par la TVA à Bercy.



Le problème étant que pour constituer la fraude, encore frauda-t-il que le seuil des 35.000 euros de CA est dépassé par tous ces 23921 vendeurs. Ce qui, selon le rapport, est une condition remplie.



Quant aux conditions générales d’Amazon elles ne sont applicables qu’aux 23921 vendeurs, mais pas nécessairement vraies car amazon ne dispose pas, à ma connaissance, de l’ensemble des immatriculations locales (du pays de résidence) des entreprises.

En revanche, Amazon peut, dans son rôle de représentant fiscal, estimer qu’au delà le seuil de 35.000 euros de ventes réalisées sur sa plateforme, il peut sanctionner une entreprise et la retirer de son marketplace au motif qu’elle ne respecte pas les règles du pays de livraison.



De plus :



Sans se risquer à évaluer le montant de cette fraude, les inspecteurs des finances à Bercy estiment que « les montants en jeu sont considérables ». La direction nationale des enquêtes fiscales (DNEF), qui travaille sur le sujet, a constaté que, sur 43 vendeurs contrôlés, le chiffre d’affaires qui échappait à la TVA était de 285 millions d’euros.





Car il n’est pas matériellement possible de connaître la comptabilité exacte des 23921 entreprises ayant réalisé des ventes sur un marketplace.



Donc il faudra encore savoir si il y a fraude… d’où la transmission au parquet pour enquête afin de sortir du soupçon et de l’inexactitude !!! <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 13h 24

C’est pour cette raison qu’il sera demandé en 2022 de déclarer la TVA par le biais de la plateforme pour les commandes à destination de l’UE.



Mais il est toujours possible de commander directement à l’étranger.

Ensuite la plateforme peut déplacer son site pour se placer dans un paradis fiscal… et séparer ainsi ses activités ordinaires du marketplace…









XXC a écrit :



Je pense que le plus gros tord d’Amazon est de cautionner voir d’inciter ce fonctionnement.

Il y a quelques années, j’ai acheté un télémètre a un vendeur anglais sur leur marketplace.

Il a été expédié de Singapour et la déclaration en douane le présentait comme une calculatrice a 20$ (au lieu de 200 euros)

Si la douane avait ouvert le colis, j’étais bon pour une amende en plus de la TVA sur une valeur fixée par les douanes, alors que j’avais acheté en toute bonne foi un produit dans l’espace économique européen, et donc supposément déjà payé la TVA (anglaise pour le coup).







Il faut donc faire une loi pour interdire le drop shipping… le problème est que paradoxalement, le statut de représentant fiscal s’apparente à la fonction d’importateur (drop shippeur) donc cette méthode de contournement est légalement autorisée… <img data-src=" />


Le 10/12/2019 à 10h 37

Alors le rapport porte sur les 2% des entreprises vendant sur les plateformes et ayant désigné des représentants fiscaux. Non sur les 98% que l’état français ne connaît pas.



Dans le monde réel, lorsque je choisis de passer commande à l’étranger (valable hors UE donc), je dois m’acquitter soit auprès du transitaire (le transporteur, chronopost, dhl etc) des droits de douane ainsi que de la TVA (+frais du service commercial de dédouanement à régler).



Le système est rodé pour éviter que par manque d’effectifs le colis passe entre les mailles au port (ou aéroport…) d’arrivée.

Ou bien, je dois m’acquitter des mêmes taxes directement auprès des douanes, ou des impôts.



Ou encore… je peux directement régler la TVA avant import auprès du vendeur si il existe des accords transfrontaliers de perception entre le pays d’origine et celui de destination. (le modèle qui se ressent le plus proche d’un achat fait en France pour le client final).



Le seul tort d’Amazon est de permettre des ventes sur des produits qui n’ont aucun intérêt significatif à l’import tout en laissant passer des offres pertinentes (genre smartphone), et rend ainsi possible une saturation de ce modèle d’importation pour laisser passer la marchandise sur laquelle il pourra toucher le plus de commission auprès des vendeurs étrangers.

C’est malin, mais risqué.

Le 10/12/2019 à 09h 57

Si les entreprises chinoises n’ont pas de TVA à déclarer sur leurs factures lors de l’exportation, ce n’est pas une fraude. C’est le fonctionnement normal des échanges internationaux visant à éviter une double taxation…



La chine peut, ou laisser faire ses entreprises. Amazon peut leur filer un coup de main afin de rester en vie sur leur plateforme. Ce serait d’ailleurs bien vu de leur part…

Il est juste risible de penser que les douaniers français vont dédouaner et taxer les milliers de colis importés par des particuliers français toute l’année…

Le 10/12/2019 à 15h 30



Le modèle économique de Google ou Facebook est l’exploitation massive de ces données. Celui d’Apple, ce sont des services payants, reposant sur la fiabilité, l’ergonomie et un caractère hautement sécurisé ».





Dont la démonstration technique ne peut légalement être effectuée dans nombre de pays. Sous peine d’enfreindre le droit des brevets…





Les données personnelles ne sont pas des marchandises. L’UFC n’a pas dans ses compétences la défense de ces données.





Pourquoi dans ce cas, évoquer le modèle économique de Google et Facebook qui exploite en effet les données personnelles tel des marchandises ?



Apple aurait des avocats incohérents ? C’est quoi ce délire ? <img data-src=" />

Le 10/12/2019 à 15h 13

Le traitement automatisé est conçu par une personne dont l’outil va en traiter des millions ! …. elle a peut-être des vices ?

L’absence d’empathie généralisée est beaucoup plus préjudiciable à la société que son exacerbation individuelle, même viciée.

Le 10/12/2019 à 00h 11

Sans oublier : c’est pas moi qui surveille c’est l’autre service.

D’un autre côté qu’état lab déchante n’est pas totalement anormal dans un contexte où la confiance se fait rare… Entre autres causes conjoncturelles la grande liberté laissée aux fameux services, sous robinet législatif.

C’est assez facile à comprendre… l’argent ou le pouvoir est un choix paralysant.

Le 10/12/2019 à 00h 06

C’est recommandé en fait…. Le privé dans l’immense majorité des cas est invité à prendre appui sur l’état.



On a seulement régressé (suite à la crise économique) en précisant que la granulométrie de l’identité c’est mieux (et moins cher) que celle du béton.

Le gain (ou le grain…) n’est pas particulièrement intéressant. C’est d’ailleurs étonnant que des acteurs privés qui, il y a 40 ans, râlaient bec et ongles contre la fonction publique, y trouvent aujourd’hui un caractère rassérénant pour traiter leurs turpitudes alors l’état essaye de faire pareil pour contre-balancer… mais se plante systématiquement dans son rôle d’arbitre qu’il ne veut pas assumer franco.

Le 09/12/2019 à 23h 53



« a tendance à être testée sur les plus pauvres et les plus vulnérables de la société, les minorités ethniques, les migrants et les enfants. Combinée à d’autres informations accessibles au public et aux techniques de Big Data, elle pourrait évidemment paralyser la liberté d’expression et d’association individuelle ».





La collecte de masse interdite mais autorisée quand même pour les besoins du privé par “exception pour sécurité” (RGPD) on en parle ou le bien le dindon mérite la farce ???

Le 09/12/2019 à 23h 39

Je remarque que la seconde option conserve complètement un rapport cordial avec la chine.

C’est une manière de ne surtout rien changer à la bipolarité des relations internationales d’après guerre, au moins sur la forme. Le fond étant soutenu subi par les européens…