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Idiogène

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4748 commentaires

Le 26/10/2020 à 17h 23

Scoop, exclu : le futur courrier des avocats de la RIAA :



”“Dear Sir or Madam,



(…)



The clear purpose of your eyes and you ears is to (i) circumvent the technological protection measures used by authorized streaming services such as YouTube, and reproduce in your brain and distribute to your friends music videos and sound recordings owned by our member companies without authorization for such use. We note that your biology is described in science books as “a Darwin’s evolution to program and download videos from YouTube.com and a few more sites.”



(…)””

Le 26/10/2020 à 07h 06

Manque des informations pour aller au bout tout de même. Il y a beaucoup de réponses déterminées par le contexte, l’énoncé est donc insuffisant.

Le 20/10/2020 à 16h 08

C’est exactement ça.
« Pour empêcher que l’identité d’une personne soit divulguée sur les réseaux sociaux, on vous obligera à révéler votre identité sur les réseaux sociaux. »
Intelligence 2.0 :fumer:

-2.0 en l’occurrence. :D

Le 20/10/2020 à 15h 59

Désinformation ou mésinformation ?
Le sens des mots…

Le 20/10/2020 à 07h 09


jpaul a dit:



Je dit pas que c’est bien ou mal ou que le nouveau système est mieux ou moins bien que le précédent. Par contre le nouveau système ouvre une faille potentielle pour ceux qui voudraient abuser.


Ce système c’est la de décalcomanie :
grosso modo, les municipalités se placent sur un pied d’égalité avec les GAFAM qui n’ont pas de moyens humains de gérer la masse de contenus et aimeraient, comme leurs mentors, prendre les usagers du réseau routier et des parkings pour des numéros et seulement des numéros.



Ce système est bancal, il n’en demeure pas moins souhaitable ne serait-ce que pour voir, ENFIN, le coût réel de ce qui est présenté systématiquement comme une économie d’échelle.



Bref ! On va enfin se rendre compte que l’eau chaude 2.0 reste de l’eau chaude. Ces députés devraient apprendre à faire le thé, ils nous seraient plus utiles.

Le 19/10/2020 à 05h 58


deathscythe0666 a dit:




  • le problème climatique, ce sont les GES, je ne vois pas pourquoi on va aller calculer autre chose.

  • le traitement urbain ? Pas sûr que je saisisse le problème, mais un DC extraurbain va “consommer” qql km de fibre en plus et qql trajets pour les employés (qui ne sont pas 50000, c’est pas un magasin ikea)

  • pour la cogénération, c’est encore perdu si tu prends des machines qui consomment moins, donc tu perds sur 3 tableaux au lieu de deux :-)


Il ne suffit pas de calculer des GES, la mise en cohérence au stade de la conception est un problème bien plus grave.



Le problème du traitement urbain c’est qu’entre un local en sous-sol en plein centre-ville avec une cogénération inutile (donc non traitée) et un DC dans une pépinière, non seulement les km de fibre ont un coût nul, mais surtout, le coût du foncier change à la hausse dans le cas de la ville. Hors on sait très bien que la fibre optique règle pas mal de problèmes de latence en campagne et donc que le traitement en périphérie aurait ici plus de sens.



La cogénération n’interdit pas de moins consommer : le problème c’est de traiter les rendements pas terribles par effet joule qui ne sont pas traités par le secteur.
Typiquement on parle parfois de surchauffe urbaine, ici les DC contribuent largement au problème d’accumulation de chaleur des sous-sols par inertie. Hors si cette chaleur était traitée correctement pour être utile en été, on pourrait ne rien perdre bien qu’en input on aurait moins de kW/h électriques.



Le renouvellement des parcs n’est donc pas un problème, mais pondre des normes (genre sockets de CPU ou autre) afin de dire maintenant on récupère la chaleur perdue ce serait déjà pas mal. Les solutions organiques du gars qui chauffe sa maison avec son PC c’est un bon exemple pour comprendre le degré d’illettrisme du marché à ce sujet…

Le 17/10/2020 à 16h 12


David_L a dit:


Surtout quand à côté tu ne regarde pas effectivement la question de la surenchère publicitaire des sites et ce que ça implique en volume de données (j’ai hâte de voir les critères éventuels d’éco-conception), les spams qui sont l’essentiel du flux email dans le monde, ça tape juste sur ce qui est visible.


Je n’ai aucune idée de leurs critères mais entre les micro-secondes économisées par les bloqueurs de pub ou le filtrage DNS cumulés… ce n’est certainement pas négligeable pour un pays comme la France. Sans compter le % d’autofinancement qui revient aux sites et non aux usagers.



Sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité il est précisé qu’on parle d’éco-conception des data-centers, pas du service du faire-use. Rien de bien nouveau, l’ADEME ne va pas faire des miracles pour suivre le Sénat je pense. (surtout le sénat :D )

Le 17/10/2020 à 15h 41

Sans prendre en compte le fait qu’un data-center est en usage 247 ?



Pour le cas individuel le problème des gains d’optimisation se pose mais pour des services dont les coûts touchent justement à d’autres domaines émissifs, un projet bien mené dans le détail suffit à réduire les GES et puisqu’on veut de l’avenir à portée de main curieusement le mariage numérique/écologique fonctionne sur les plus réfractaires aux GES.
Les freins sont plutôt qu’on ne se questionne jamais collectivement sur l’emprise spatiale des data-centers (on compare de base des GES), leur traitement urbain (en général en dehors du centre => supermarchés 3.0) et les gains potentiels de cogénération associés (par effet Joule et autres optimisations de principe !).

Le 17/10/2020 à 17h 49

Il me semble que c’est Microsoft (ou IBM…) qui a lancé le concept en plaçant des conseillers dans les grandes entreprises pour se faire conseiller en technologie et solutions Microsoft, et donc faire en sorte de subtilement aligner le portefeuille, mais aussi assurer la fidélité dudit client. Ca à fait son petit bonhomme de chemin… Un jours un testeur nous a expliqué qu’ils devait évangéliser les principes de la qualité, mais c’est un peu transformer un métier en religion ou doctrine, et qu’il préférait voir ça comme une science. Un peu difficile de faire tenir les deux.

Biais de neutralité : impossible de définir à la place du client les objectifs du système (la foi recherchée…) donc parler de religion est adapté…



Il faut des courants pour faire une religion. (Et des bouées.) :fumer:

Le 17/10/2020 à 14h 49


On va attendre les images de la capsule lanceuse d’alerte pour en être sûrs. :D



:mdr2:



:dix:

Le 17/10/2020 à 14h 44

La tête ? :D

Le 17/10/2020 à 14h 33

C’est une manière indirecte de s’attaquer aux sources de la presse. Pas aux journalistes.
Je pense qu’on a tous compris le problème d’où que la précision des intentions nuisibles de cet article (celui proposé) ne fait que donner une touche de plus sur laquelle appuyer lors d’un procès et ne résout strictement rien aux problèmes présents.

Le 17/10/2020 à 14h 23

Le recel s’applique aussi au produit du délit ou du crime. Donc immatériel ou non le CP est limpide : Il n’y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre



Exemple : X filme son agression d’un agent, il diffuse les images dans son cercle privé, Y, l’un des membres du réseau, revend les images à un journaliste qui les diffuse sans filtre.



X est condamné pour l’intention d’atteinte à l’intégrité de l’agent, Y pour recel (produit du délit ou du crime) et le journaliste pour diffusion ou recel (audimat=bénéfice, non ?).

Le 17/10/2020 à 11h 07


  • quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support*



L’article est suffisamment large pour poser cette question.
Le recel peut ainsi concerner des affiches, des tracts, par exemple.



Le droit de la presse ne suffit donc pas à définir la liberté de la presse.



Beaucoup d’autres anomalies du genre se retrouvent dans le droit de la presse alors qu’elles sont applicables à tous, par paresse ou ruse du législateur.

Le 17/10/2020 à 08h 54


(reply:1831453:Idiogène)
Donc article 321-1 du CP + le CSA.
C’est déjà pas mal pour vouloir présenter les FDO tels des Paras. L’utilité de cet article… ! :fumer:


Le 17/10/2020 à 08h 44


fred42 a dit:


Non, et heureusement, le code pénal est d’application stricte et il faut prouver la volonté d’appeler aux représailles et c’est impossible en l’absence de texte le faisant.


dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique



Prouve automatiquement le cas échéant que le jugement pénal produit une situation de recel pour une reprise des images délictueuses.



Un journaliste devra donc flouter les images sans quo la condamnation de leur premier diffuseur vaudra condamnation pour recel des reprises.



Pied dans l’écran, plutôt. :chinois:

Le 17/10/2020 à 08h 32


Tchoumi a dit:


Par contre techniquement, si le téléphone est verrouillé et pas éteint, la mémoire du téléphone est elle toujours chiffrée ? Le téléphone déchiffre à la volée les infos nécessaires ou pas ?


La mémoire vivre est en clair.
Le stockage à long terme est chiffré.



Cela n’a pas d’incidence sur la décision rendue : un fonctionnaire peut tout à fait éteindre l’ordiphone avant de demander formellement au suspect le code… voire atteindre une semaine que la batterie se décharge… avec les lenteurs de la justice d’autre part…

Le 14/10/2020 à 16h 45


gavroche69 a dit:


Notamment sur la démographie (au niveau mondial) qui devient inquiétante par rapport aux capacités de notre petite planète.
Le problème c’est que chaque pays raisonne à son échelle et donc estime qu’il n’y a pas assez de naissances.


Il y a eu (Chine) et il y aura d’autres exceptions à cette règle nataliste-nationaliste.
Le problème c’est de bien regarder pays par pays comment c’est géré ou pas : c’est souvent le manque de gestion qui pose questions par manque de recensement, planning familial etc.



En France la conséquence de la gestion des naissances c’est que le marché de la construction est plus réglementé : on est pas confrontés à un taux de natalité justifiant une re-libéralisation du secteur donc la commodité logement s’indexe grosso modo sur les besoins réels. Seul le temps de mise sur le marché est concurrencé par les naissances. Là c’est pas géré : demande supérieure à l’offre.



Là où les choses coincent aussi c’est sur la gestion du parc privé : de moins en moins de connaissances des propriétaires donc de plus en plus de délégations inutiles (mandataires, artisans) -> résultat : l’application des normes est à géométrie variable et la rareté de chaque logement à tendance à être survendue auprès des acheteurs, d’où des phénomènes d’inadaptation chronique des vendeurs ou de leurs mandataires.

Le 12/10/2020 à 16h 16


Il suffit d’ajouter un alinéa “tuner FM” dans le CGI pour régler leur problème. Simple et intelligible, comme déjà en place avec les “tuners TNT/TV”…



:cap:

Le 12/10/2020 à 16h 53

Cet autoplagiat…

Le 12/10/2020 à 16h 47

La parabole… :D

Le 12/10/2020 à 16h 46

On fait de la télévision en France depuis un certain nombre de décennies, les problèmes de rupture de faisceaux ou de refus d’un faisceau sont tout sauf des enfantillages.
Il n’y a donc aucune raison de concevoir différemment les réseaux mobiles qui ne sont que la version actualisée du cyber-espace qui existait déjà.



Donc après études locales, on peut dire précisément le pourquoi du comment et mesurer tous les effets. C’est certainement bien plus pertinent que le marketing ou le cassage d’antenne et devrait être largement publié pour éviter le blabla politique ou le blabla conspi (les deux se cassant systématique les dents sur le réel).

Le 11/10/2020 à 06h 47

C’est pas intuitif pour autant, une onde gravitationnelle on la range spontanément dans la catégorie non-local.

Le 10/10/2020 à 19h 06

C’est discutable, la constante cosmologique était pour lui un problème. Et puis la “spooky action” n’a vraiment été résolue que par Bell. C’est pas si évident, loin de là.



Par contre, je me demande à quelle vitesse se déplacent les ondes gravitationnelles si tu dis que c’est l’espace qui s’étend !

Le 10/10/2020 à 15h 19

On a déjà prouvé que cette interprétation classique ne marche pas. C’est dit dans l’article :




Il faut donc « admettre qu’il s’agit d’un système unique, « inséparable », décrit par un état quantique global », peu importe la distance les séparant.


J’ai pas compris non plus mais je fais confiance… ou pas :D

Le 11/10/2020 à 06h 24


SebGF a dit:



Je me rappelle d’un propos à l’époque des “Gilets Jaunes” qui avait, je trouve, bien illustré l’état de délabrement du débat politique dans notre pays. C’était une personne sur un rond point qui disait : “je suis de gauche, donc je pense que …”.



A ce moment là je me suis dit : échec.


C’est la priorité à droite sur un giratoire…



C’est cohérent avec l’omniprésence des ronds-points dans les budgets des municipalités et le 1% artistique. Faut-il dès lors parler d’autochtones ? :fou:

Le 11/10/2020 à 06h 04

Il te reste le pastafarisme.
De tous les géniteurs celui-ci a le mérite d’être <>. :chinois:

Le 10/10/2020 à 12h 45

La pédagogie couvre l’O.strakon…

Le 10/10/2020 à 11h 50


(reply:1829777:j34n-r0x0r)


C’est très simple dans les ministères :
Le rebel au carré est égal au côté opposé (syndicats) au carré et au côté adjacent (LR) au carré.
Ce qui explique à chaque fois pourquoi faute de teorem, il faut convoquer Thalès et pas pitre-à-gore.
De là à dire qu’on serait dans une dictature militaire, il n’y qu’une indirecte situation….

Le 10/10/2020 à 18h 57

Selon le bail signé oui car ce sont des travaux qui ne sont pas tellement à la charge du locataire… en théorie



En pratique…



Il y a des lanceurs d’alerte en puissance prêts à crier à la non assistance à avatar en danger sur Discord. C’est pas si simple de s’adapter au monde du télé travail je trouve.

Le 10/10/2020 à 18h 46

C’est surtout que Google avait déjà indiqué que c’est une mauvaise idée au gouvernement US (à cause du manque de PlayProtect et compagnie si je me souviens) et du coup ça peut mettre un citoyen Américain à risque s’il communique avec un smartphone Huawei non protégé par Google. J’étais mort de rire quand j’ai lu ça: “S’ils ont plus accès à nos outils nous ne pourront plus les contrôler ce qui pose un risque” :transpi:

Faites ce que je dis pas ce que je fais. Oh les méchants. :perv:

Le 10/10/2020 à 18h 10

Le problème pour l’utilisateur, un peu technique dans le cas du “troc”, c’est que le troc de Google n’est jamais dans sa constitution dépendant d’autres variables que le coût nul pour de l’extraction de data d’un côté et le coût non nul de la revente à un annonceur de l’autre. D’un point de vue strictement économique, les utilisateurs de Google sont l’externalité négative de l’échange que Google a avec des annonceurs.



Sans même rentrer dans la question de la vie privée, on peut facilement comprendre que cette question est par son statut de dépendance réputée négative par conséquence du modèle de revenu choisi par Google. Il ne peut en être autrement.



Inutile ainsi de demander sérieusement à Google d’appliquer le RGPD : ce serait intenable économiquement car les données auraient une valeur économique intrinsèque indépendante de leur échange technique et pourraient ainsi concurrencer Google et les autres du secteur en déplaçant selon les contrats tacites (troc) ou non (signature etc), l’externalité négative sur l’annonceur ou Google (ou un de ses concurrent en position de mandataire).



Ce dernier cas ne se présente heureusement pas pour Google qui a donc tout intérêt à nier la concurrence afin de ne pas rentrer sur le terrain qui pour lui est glissant du service informatique rendu. Cela produirait comparaison chez l’utilisateur du troc et la supercherie grossière tomberait d’elle-même…

Le 10/10/2020 à 12h 08

Aucune de tes références n’a de consistance. Soit la définition du mot incantation doublée du cherry picking habituel. Quant au festival, je te laisse avec tes astèques frédériques et moltons frileux si réchauffants au goulag.

Le 10/10/2020 à 11h 51

Aucunement, j’explique. Je ne fais pas de promo pour aucun coq.

Le 10/10/2020 à 11h 40

Par quelle magie expliquer qu’on retrouve des placements de produit (google comme moteur de recherche par défaut) autrement que par cette approximation probabiliste ?

Le 10/10/2020 à 11h 35

Google est un des principaux contributeurs aux logiciels libres… cela montre qu’en effet, Google ne fait pas de l’informatique son produit mais vend là aussi une promesse d’avenir rassurante !



Une entreprise n’apprécie pas sa position de monopole, elle suppose une part dominante. On peut dire à partir de ma règle des 12 120 qu’il y a bien monopole statistique, pas comptable. Nuance !

Le 10/10/2020 à 11h 27

Si tu ne connais pas l’alphabet pour trouver le nom dans l’annuaire… ce n’est pas moi qui fait dans la gaudriole infecte…



Rapport BOITEUX, j’ai comme un doute…



Une quantité infime de ces 3 millions multipliée par le nombre d’utilisateurs c’est des milliards sans compter la spéculation financière périphérique. :roll:



Il suffit qu’il y ait pas mal d’utilisateurs religieux pour que ça marche… Google est une para-religion du progrès donc non, pas poubelle. :D

Le 10/10/2020 à 11h 23

1880 1890 => 90% de PDM
Jusqu’à 64% lors du démantèlement.



Cela n’invalide en rien l’émergence de nouveaux acteurs dans le monde depuis l’apparition de Google, cela montre qu’en pratique, les monopoles c’est 50% un + 50% multiples. Le bitcoin c’est le même problème par exemple… il suffit de montrer qu’un usager a une probabilité de 12 contre 120 pour montrer que le concept de position domaine, en économie, oriente vers celui de monopole assez simplement…

Le 10/10/2020 à 11h 14

Avec 65 % du marché (pour reprendre la métrique de l’idiogène), la Standard Oil n’était pas en position monopolistique lors de son démantèlement.



Le pétrole limité et coûteux ? LOL !



Il n’est nulle question de format de fichier dans le document discuté, qui sont ouverts par ailleurs, donc ce point est sans rapport. Les coûts d’exploitation faibles font justement l’intérêt des services choisis par les milliards de consommateurs : même question qu’à l’autre clown, en quoi est-ce négatif ? Mystère.



Enfin, le // entre « ressource limitée et coûteuse » d’un côté et le caractère illimité et très faiblement coûteux du numérique de l’autre est comique, merci pour ce moment™ re LOL !



Le reste du blabla n’est que que du vent face aux arguments de la baisse du prix payé par les consommateurs à l’époque, les innovations, la chasse au gaspillage, etc. il suffit de lire sans les œillères

Google n’est pas gratuit car il ne fait pas de facture, Google est gratuit car il répond à un besoin, celui de conjuguer la multitude. Google répond donc au marché, pas à des clients en chair et en os. Soit le contraire (les coûts cachés le montrent) d’un modèle économique gratuit (contre-sens).



La ressource humaine n’est pas illimité (elle meurt souvent) et son coût est nul, sauf dans les maisons de passe. :dors:

Le 10/10/2020 à 11h 05

Avec 65 % du marché (pour reprendre la métrique de l’idiogène), la Standard Oil n’était pas en position monopolistique lors de son démantèlement.



Le pétrole limité et coûteux ? LOL !



Il n’est nulle question de format de fichier dans le document discuté, qui sont ouverts par ailleurs, donc ce point est sans rapport. Les coûts d’exploitation faibles font justement l’intérêt des services choisis par les milliards de consommateurs : même question qu’à l’autre clown, en quoi est-ce négatif ? Mystère.



Enfin, le // entre « ressource limitée et coûteuse » d’un côté et le caractère illimité et très faiblement coûteux du numérique de l’autre est comique, merci pour ce moment™ re LOL !



Le reste du blabla n’est que que du vent face aux arguments de la baisse du prix payé par les consommateurs à l’époque, les innovations, la chasse au gaspillage, etc. il suffit de lire sans les œillères

65% sortis de ton chapeau ( de paille :D ) ?

Le 10/10/2020 à 11h 02

J’ai cité le logiciel libre en faisant apparaître sa sortie de la concurrence. Désolé mais non.



Homme de paille toi même pour la énième fois, ce n’est pas moi qui GAFAbule, c’est toi en cherchant à montrer de l’obsolescence conceptuelle là où il n’y a aucune qui emploie la citation partielle en l’enrichissant de termes comme haute valeur ajoutée (HVA) ou durabilité de modèle de spécialisation.



L’un comme l’autre ne sont démontrés : dans un cas on assume de transformer par pure opportunisme un annuaire en enluminures binaires et dans l’autre on confond développement durable avec répétition du même.



Quant aux effets négatifs je maintiens que la question monétaire suffit à elle seule à montrer la vacuité des propos économiques de l’informatique et en particulier celle de Google.



Après, côté usage, on peut tout à faire chercher à montrer que le caractère rassérénant de la confrontation mandatée [par un moteur de recherche NDLR] à la multitude que représente internet est certainement valorisable comme un pot commun. Mais auquel cas, est déduite de la multitude la nécessité d’un monopole artificiel, soit le miroir exact des politiques publiques en matière de sécurité.



Merci donc Google de considérer chaque usager de ton service comme souverainiste… On devrait plutôt parler de larves à ce niveau mais qu’importe !

Le 10/10/2020 à 10h 28

Amazon ou Ebay sont deux exemples de résolution technique de ces problèmes pour les vendeurs :
ingorance relative = systèmes de tri automatisés des marchés (sectorisation)
incertitude = gestion as a service
valeur ajoutée = UX et 2-3 nuages



Gain = 0
Migration de valeur monétaire des commerces de proximité vers une autre modalité de répartition du gâteau



Tout le monde comprend, ça marche, il y a des gagnants et des perdants.



Cela n’a rien à voir avec un service nouveau, juste un service digitalisé dans le bon trou pour ne pas avoir à se sortir les doigts. :non:

Le 10/10/2020 à 10h 21

Il n’y a pas création de valeur. C’est un mensonge que tout le monde peut vérifier chez lui si il a un annuaire. Un résolveur DNS ou que sais-je… même les CNAME se mettent à mentir pour gagner du pognon…
Et même sans pavé, on peut se demander comment IPSOS peut dater de 1975. Soit bientôt 50 ans.



Sur le reste : je te laisse te demander, auquel cas, dans quelles conditions il peut y avoir création de valeur lorsque la valeur monétaire est manifestement nulle pour l’usager. Soit on est dans l’économie, soit on est ailleurs. Par exemple dans la transformation bio-electronique, l’économie circulaire ou autre formule chocapic pour dire communisme, mutualisation et partage sans heurter le lectorat.



Ignorance relative = faillite
incertitude = surveillance



Ce ne sont pas des concepts mais des constats nécessaires.

Le 10/10/2020 à 09h 48

Ce n’est pas moi qui GAFAbule… :D

Le 10/10/2020 à 09h 40


Quand on m’expliquera par quelle déviance de la pensée des entreprises plébiscitées par leurs clients votant avec leur argent peuvent être une menace pour ces mêmes clients.


Et par quel truchement autre que la valeur ou l’usage peux-tu expliciter les secteurs que tu renvois en exemple ?



#incohérent
ou #mauvaisefoi



La part de marché d’audience, tu connais ?



On a pourtant ici un bel exemple d’une externalité négative par le truchement d’une implémentation particulière (ou sectorielle comme tu veux) de la valeur monétaire : annonceur<->GAFA =/= usager



Le client produit donc de la DATA, elle est extraite à coût nul (ou différentiel par le prix de conso électrique) et est revendu avec marge + pourcentage à un annonceur dont le coût d’impression n’existe plus et est lui aussi supporté par le client, effet kisskool…



Évidemment citoyen =/= annonceur… sinon ce serait trop beau !



Je te laisse donc expliciter dans ta proto-analyse sectorielle le fonctionnement des GAFA…

Le 10/10/2020 à 14h 58


(reply:1829835:Vin Diesel)


Ce n’est pas de bon foie que les diabétiques achètent de l’insuline contre un rein. Le dopage par le nuage ne les fera pas mieux pisser… :D

Le 10/10/2020 à 09h 26

L’agence du numérique en santé a une belle liste d’hébergeurs agréés hébergeurs de données de santé à caractère personnel, incluant beaucoup d’acteurs français.



Ils existent bien, encore faut-il y aller et ne pas opter pour la facilité du prestataire américain “rassurant”.

Le win-win n’existe pas, au m’aurait menti à l’insuline de mon plein rein ? :rhooo:

Le 10/10/2020 à 09h 25


(reply:1829668:Paul Muad’Dib)


Un chiffrement bien fait pose tout de même un problème de nature militaire : la durée de conservation de données illisibles peut croiser celle d’une 0day ou d’une nouvelle méthode de casse bien avant d’atteindre les milliers d’années en théorie requis par brute-force.



Là est le problème : un patient Européen de 5 ans aujourd’hui peut, à ses 40, avoir ses données de santé lisibles par une puissance devenue ennemie. Soit un gain stratégique par effet de volume évident…



Ce n’est pas aussi grave que d’héberger chiffrés à l’étranger une compta ou des sextape.

Le 10/10/2020 à 12h 30

Les épinards sur canapé d’asperges se sont perdus au retour de Léguman on dirait. :D :D

Le 10/10/2020 à 10h 00

Pas assez de leds pour voir les touches. :D