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bloossom

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942 commentaires

Le 19/01/2017 à 06h 52

En général, le peuple est très très mécontent lorsqu’on essaie de passer par dessus la volonté qu’il a exprimé dans les urnes.



A court ou moyen terme, repartir sur une réadhésion serait à mon sens politiquement plus suicidaire que courageux. Là ou les politiciens britanniques disposent de marge de manoeuvre c’est plus sur l’étendue et la profondeur de la coupure que sur la coupure en elle-même.



Par contre, quand ils auront vu ce à quoi ils devront renoncer, peut-être que les opinions vont changer

Le 19/01/2017 à 06h 44

Pendant un moment, le royaume unis va continuer d’appliquer la législation européenne à défaut d’autre législation, et la GDPR, même si elle entre en vigueur en 2018 devrait être reprise.

Ensuite, il y a plusieurs scenarii



Soit ils restent eurocompatibles, et feront l’objet d’une décision d’adéquation de la part de l’UE, qui considèrera que, sauf exception la protection accordée est équivalente (mais ça permettra de critiquer le GCHQ comme pour celle d’adéquation avec les USA et l’affaire schrems).



Soit ils modifient le tout en profondeur, et il sera plus dur de rendre une décision d’adéquation. Ce sera aux entreprises qui veulent traiter des données à l’extérieur de démontrer au cas par cas que le transfert ne présente pas de risque et permet de respecter la GDPR.



Ou alors on peut imaginer que l’UE et le royaume unis règleront ce cas particulier dans l’accord cadre sur le brexit, et là il faudra voir.

Le 12/01/2017 à 14h 27

Amusant de penser que le FBI dont le but est de protéger les les USA globalement (et pas uniquement contre des menaces terroristes) se permet de dire à un des plus grands groupes qu’il a réussi a pirater un smartphone utilisé au privé comme au niveau commercial par des millions de gens mais qu’ils ne communiqueront pas assez pour que cette faille soit résorbée.



C’est irresponsable et démontre soit la psychose dans laquelle se trouve ce pays, soit le mépris absolu de l’autorité pour protéger la vie privée des citoyens.



c’est à se demander comment travaillait la police avant l’arrivée des téléphones portables…

 

Le 10/01/2017 à 08h 28

quand on voit la portée, l’efficacité et la relative simplicité qu’il y a à tuer une bête avec les moyens actuels à disposition, j’ai un peu de la peine avec le mot naturel. Il y a de tout chez les chasseurs, des cons qui utilisent ça pour se défouler en tuant des animaux aux amoureux de la nature et de la vie sauvage.



Le gars qui se poste dans une vallée avec un fusil de gros calibre à lunettes et tire tout ce qui a le malheur de passer de l’autre côté, j’ai de la peine à admettre que le plaisir principal est celui de la traque. D’autant que passablement de bêtes non consommables y passent, sans compter les espèces super rares dont on ne sait quel lobby a réussi à en autoriser le tir. Par contre j’en connais qui chassent éthiquement, en premier lieu parce qu’ils aiment la nature. Là l’animal a une chance de s’en sortir, justement parce que ce qu’ils recherchent c’est la traque.

Le 09/01/2017 à 14h 52

Dans certains pays la redevance compte aussi pour les copies d’oeuvres piratées. ça ne taxe pas le piratage mais les copies d’oeuvres obtenues illégalement.



Sinon la loi n’empêche pas l’utilisateur de contourner les DRM pour son usage privé. Donc en théorie il aurait le droit de craquer le DRM et ensuite de copier. C’est amusant parce que par contre il est interdit de mettre à disposition des outils permettant au commun des mortels de contourner ces DRM. J’imagine que ça justifie déjà un barême aux yeux des ayant-droit.

Le 09/01/2017 à 09h 21

inclure la redevance lors de la vente des oeuvres et pas des supports de stockage. Au fonds pourquoi ne pas acheter le droit de copier avec l’oeuvre en question? ça a aussi d’autres avantages, notamment le fait de mieux répartir les recettes et de ne pas soumettre les oeuvres bardées de DRMs à la copie privée.



Ou alors que les gens déclarent leur stockage à l’achat ou lorsque la clé est pleine mais vu l’importance de la plus-value que représente la redevance, chacun grugerait.



En gros elles sont taxées sur la moyenne des copies privées effectuées sur le support, le tout négocié entre tous les acteurs pour se simplifier la vie.

Le 08/01/2017 à 16h 37

On peut espérer que l’évolution de la technologie et donc de la taille des supports induira une renégociation des barêmes non? Il faudrait aussi prendre en compte qu’on propose des oeuvres toujours plus volumineuses et que les usages évoluent assez rapidement.



A ce titre, je me demande toujours naïvement pourquoi ils ont choisis de taxer les supports et pas les oeuvres en elles mêmes. Une taxe copie privée sur le cd, dvd ou autre et ça permet de prélever uniquement les oeuvres copiables (pas celles soumis à des DRMs) et ça simplifie aussi la répartition ainsi que le coût des études d’usage, etc.

Le 08/01/2017 à 16h 30

on en vient à comprendre pourquoi nos amis ricains et canadiens proposent tous des prix hors taxes dans leurs magasins… ça permet au client de bien comprendre quelle part prend le léviathan.

Le 08/01/2017 à 16h 21

c’est ça qui est marrant avec cette taxe. Elle ne correspond pas à ton utilisation. Elle est proportionnelle à la quantité de stockage on ne sait pourquoi mais elle est simplement le reflet de la “négociation” qui a eu lieu sur son montant entre industriels, consommateurs et industriels de la culture.

Il y a des stockage qui sont utilisés exclusivement au stockage de copies d’oeuvres achetées légitimement et pour lesquels la taxe serait beaucoup plus forte, d’autres qui sont remplis de photos ou de vidéos personnelles qui ne devraient pas être taxés. D’autres encore sont remplis d’oeuvres illégalement obtenues et ne devraient normalement pas non plus être taxés.

Ni le prélèvement ni la redistribution ne sont clairement liés aux oeuvres copiées.



Ton seul espoir est l’exception pour les usages commerciaux des supports de stockage.

Le 09/01/2017 à 10h 56

En effet j’avais oublié toute la partie gestion collective qui dans le domaine de la musique notamment est très coercitif pour l’auteur.



C’est également vrai que le domaine artistique n’est pas uniquement un business. Mais je pense qu’on arrive à un point où les moyens de communication permettent de se passer d’“unités centrales” qui répartissent un montant récolté de manière un peu forcée selon des critères sur lesquels ces mêmes payeurs ont peu ou aucune influence. C’est un peu ce qui me gène actuellement. Je paye, et souvent je ne le sais même pas pour financer des oeuvres dont je considère la valeur comme peu intéressante. En même temps, je choisis de payer et de financer toute une série de projets sur kickstarter, tipee ou autre.

On pourrait imaginer des incitations à financer la culture au lieu de déresponsabiliser les gens en leur prenant tout simplement de l’argent. D’ailleurs le système culturel français fait aussi dans le système de caisse, et beaucoup de gens le critiquent.

Le 08/01/2017 à 17h 08

L’auteur a toutes les cartes en main en ce qui concerne sa création et la valorisation qu’il veut en faire. Il dispose de tous les droits relatifs à son oeuvre, et peut choisir de les abandonner, de les vendre ou de les conserver.



Tu peux tout faire, permettre la modification ou non, l’usage commercial ou non, et plein d’autres options selon les types de licences. Tout est à ta disposition à la base, et tu décides de la manière dont tu cèdes tes droits.



A titre personnel, je suis contre l’idée d’une caisse commune parce que c’est le système mis en place par l’industrie qui récupère partout ce qu’elle peut, et ce même si je trouve que les auteurs qui veulent sortir de ce système le méritent plus. Je préfèrerais que le financement passe par exemple par du mécénat (qui donne des résultats assez intéressants ces temps) que par une redistribution d’une redevance ou taxe.

Le 08/01/2017 à 20h 15

si ça marche on assistera au retour de la philosophie arcade pour les jeux. Rajoutez une petite pièce pour finir le niveau!



Sinon je pense que ç’est pas destiné aux gros joueurs, mais ça doit pouvoir en intéresser quelques uns qui veulent pas rater une exclu sur PC.

Là où ça peut potentiellement être cool c’est pour ceux qui n’ont qu’un portable pour jouer ou qui se déplacent souvent.

Le 06/01/2017 à 08h 25

Très juste, les membres du conseil de l’ordre doivent d’autant plus être et paraître indépendants. D’où le fait que le jugement n’est pas si anodin.

Le 06/01/2017 à 07h 59

la question pour les avocats est assez différente que pour celle des juges.



L’avocat qui est trop lié à l’adverse partie et qui prend le dossier risque de mettre en cause sa propre responsabilité. En plus, le boulot de l’avocat est de conseiller et représenter son client pas de démolir l’adversaire. Il est souvent efficace de tenter de négocier et de discuter avant de sortir les armes.



Le juge qui n’est pas indépendant ou qui ne paraît pas être indépendant met non seulement en cause sa responsabilité mais aussi toute la crédibilité du système juridique. Le paraître est beaucoup plus important et les règles sont donc plus strictes.



 

Le 06/01/2017 à 08h 10

tout à fait d’accord.

Le 05/01/2017 à 21h 21

Ah mais je suis tout à fait d’accord avec toi.



Je suis juste déçu de voir qu’au final, les navigateurs ayant des pratiques plus vertueuses ne profitent pas tant que ça du hola posé par la commission pour les pratiques anticoncurrentielles par rapport à explorer, et que c’est ceux qui ont la même attitude qui en profitent.

Le 05/01/2017 à 17h 23

je ne conteste pas que Microsoft fait tout pour pousser edge sans se faire plus taper sur les doigts que ce qui s’était passé il y a une dizaine d’année avec explorer.



Mais il n’y a qu’avec chrome que si on ne fait pas attention en installant un programme à bien décocher la case on se retrouve avec en mode par défaut. D’expérience personnelle, c’est le seul navigateur que j’ai installé comme un adware sans faire gaffe.

J’ai peut-être exagéré avec le déloyal mais ils sont super intrusifs et très agressifs. Ils n’ont pas de leçons à donner à microsoft sur ce qui est d’utiliser des produits comme levier ou de se frayer plutôt brutalement un passage vers le consommateur.

Le 05/01/2017 à 07h 23

en gros MS a dû arrêter ses pratiques déloyales mais pas google qui a ainsi pris les parts descendantes de IE.

Le 05/01/2017 à 09h 36

je te rejoins sur la bêtise et la difficulté à récupérer la taxe. D’ailleurs j’adore comme ils étendent la taxe sur la pornographie et les contenus violents à 10% parce que c’est politiquement plus facile, de même que tous les abattements pour ne pas froisser les petits.



Mais concernant les revenus de youtube (quasi rien en France) il ne faut pas confondre taxe et impôt. C’est pas pris sur un revenu mais sur un simple fait des gains publicitaires. ça simplifie bien les choses.



Concernant les youtubers, en France, leur statut, souvent indépendant leur impose une charge fiscale importante (pour eux pas par rapport à google ou à l’Etat ).

Le 03/01/2017 à 06h 25

ça peut porter un sale coup à la transparence dans les affaires de la police…



Savoir qui vous arrête et pourquoi c’est un peu le fondement même de la légitimation de l’action des policiers. J’imagine assez bien la situation dan laquelle le prévenu doit justifier face au juge d’un comportement qui a été vu par un témoins dont on ne peut constater et contester ni sa présence, ni ce qu’il a vu du fait de son anonymat…



D’ailleurs lutter contre les ripoux c’est aussi dans l’intérêt de la police. Est-ce que cette loi va mettre fin à la contestation contre l’ensemble de la fonction policière?

Le 21/12/2016 à 22h 11

c’est tout le problème de l’entrepreneur, et je connais beaucoup de gens qui vivent plus pour leur travail que par leur travail.

Je suis de ton avis et dépité lorsque je vois que certains youtubers que je suis et pour lesquels je donne un peu ne pas rencontrer le succès qu’ils méritent selon moi, mais encore une fois cette taxe ne leur apportera rien et ira tout simplement dans les caisses du CNC.

Le 21/12/2016 à 14h 18

Pourquoi ne pas les laisser jouer à ce qu’ils veulent, et arrêter de considérer que celui qui propose un contenu doit se contenter de l’aumone et surtout pas gagner sa vie en le faisant s’il y arrive?



Les contenus qu’on qualifie de bête ou de sans intérêt ne sont jamais les mêmes pour deux personnes identiques, et malheureusement, les documentaire arte ont jamais eu autant d’audience que le dernier des marseillais ou des chtis, qu’ils passent sur internet ou sur la TV.



Est-ce qu’il ne serait pas temps aussi de décider de comment ton revenu va être dépensé? Ils payent leurs impôts et peut-être qu’ils dépensent beaucoup de temps et d’énergie pour aider leur communauté, tu n’en sais rien et tu les juge parce qu’ils gagnent de l’argent.



Si la TV disparaît, il y aura une demande pour du contenu produit avec beaucoup de soin et de moyens. On peut prendre pour exemple netflix et amazon qui produisent des séries avec des budgets assez conséquents (surtout en comparaison des youtubers), le tout n’étant pas destiné en premier lieu à la TV.



Je suis ravi de lire que tu a une chaine, mais cette taxe ne modifiera rien dans ta situation.  Si les vues et les revenus que tu en tire ne te conviennent pas, alors peut-être faut-il changer de modèle de financement. crowdfunding, dons, ou même sponsoring si ça fonctionne avec ton éthique personnelle.

En tout cas je te souhaite de tout coeur de réussir à faire fonctionner ton business comme il te plait.

Le 21/12/2016 à 10h 36

Euh la plupart des youtubers ne gagne pas de milles et des cents pour commencer. Bon nombre d’entre eux n’arrive même pas à se payer pour le temps qu’ils ont passé à préparer leurs vidéos.

Tu parviens à aligner dans une même phrase évasion fiscale grosse boite en situation de monopole afin de condamner les youtubers… c’est tout simplement ridicule.  Ces youtubers paient des impôts sur les revenus qu’ils tirent de leurs vidéos (d’ailleurs, vu leur statut souvent d’indépendant c’est très chaud s’ils commencent à faire des revenus), comme toi ou moi on en paye sur les revenus de notre travail et cette taxe ne modifiera rien quant à leur statut.

Que toi tu décide, si tu étais à la place de ce youtuber d’investir et de créer des emplois, grand bien te fasse, mais il a le droit de faire ce qu’il veut de l’argent qu’il a gagné. Si les viewers considèrent que le contenu est de piètre qualité, ils cesseront de le suivre tout simplement. De plus, c’est pas cette taxe qui fera vivre des gens.



La TV fait peut-être vivre du monde, mais dépense des fortunes en cachets et autres éléments de confort (financés par de nombreuses taxes aussi iniques que celle-ci). Je peux te retourner l’argument: ne crois-tu pas que ces cachets auraient permis de créer plus de contenu et de faire vivre plus de créateurs?



C’est pas parce que tu considère une chaine comme stupide que l’auteur a mal gagné l’argent qu’il s’est fait via les vues ou le sponsoring, voir tipee ou autre.



As-tu des sources quant à l’activité du viewer standard sur youtube?

Au fonds, je sent juste une immense jalousie face à des gens qui ont tout simplement décidés de se lancer dans leur idée à fonds après être rentré crevé du boulot. Certains ont beaucoup de réussite, d’autre un peu, d’autres un peu moins. C’est pas cette taxe qui va changer quoi que ce soit de ce que tu critique.

Le 20/12/2016 à 21h 57







skankhunt42 a écrit :



Imaginons que demain tu veuille devenir youtubeur, c’est toi qui va choisir le sujet dont tu parlera et la qualité finale de tes vidéos, et de tout ça en découlera une audience. A la télévision t’a une certaine qualité qui est imposée par la chaine, et pareil pour le contenu. Si l’un des deux ne va pas alors tu te fera vite dégager. A la télévision il y à un plateau et tout un tas de gens qui bossent sur place, ça coute masse d’argent. Argent souvent récupéré par la publicité. L’argent de la publicité est en relation directe avec l’audience d’une émission. Une page de pub coute plus cher en prime time qu’en milieu d’après midi. Sur youtube et compagnie, une pub d’une grosse ou petite chaine sera identique. Avec youtube, pas besoin d’avoir un plateau et tout une équipe, trois lampes et un fond vert suffisent.



Et alors? ça fait longtemps que le coût d’une émission/film/série/autre n’a aucune influence sur ce que ça rapporte. Sur Youtube la pub n’est pas liée à des statistiques d’audimat mais à des ventes (le “prime time” des pubs sur youtube, c’est quand une vidéo fait des millions de vues. Elle rapporte plus que celle de la petite chaine.)



Concernant les moyens, tout dépend du youtuber, il font souvent ça en amateurs pour commencer, et presque tout ce qu’ils gagnent est investi dans du matériel. Il y a de tout sur youtube et ça coûte aussi beaucoup de temps de s’informer et de monter la vidéo.



Concernant joey sprave, c’est comme blair witch ou saw, si les gens qui le suivent considèrent que la qualité de la vidéo est suffisante, pourquoi être frustré par les revenus qu’il en tire? tant mieux pour lui, il a eu une idée et il s’est lancé. Qui te dis qu’il n’investit pas une grande partie de ses revenus dans d’autres projets par exemple? c’est lui qui décide.



L’algorithme d’association de google trie certes, dans le but de proposer du contenu similaire afin de proposer plus de publicité, mais c’est super moins flagrant qu’une chaine tv proposant un programme. Il est beaucoup plus facile d’accéder au contenu qui t’intéresse via la recherche. Et là encore, les petites chaines ne bénéficieront pas de la taxe prévue.

Parallèlement, si je fais une chaine dédiée à l’histoire par exemple, les algorythmes de youtube vont proposer mon contenu à des utilisateurs qui ont l’air d’être intéressés par l’histoire, et donc augmenter ma visibilité auprès du public cible.

Je passe sur ta vision du zappeur standard et de l’utilisateur de youtube standard. Il y a de nombreux comportements différents, des gens qui s’abonnent à des chaines après les avoir recherchées plutôt qu’après se les être fait suggérer. Il y a des utilisateurs qui configurent leur navigation afin de justement ne pas avoir à voir des contenus suggérés selon ses goûts. Je ne vois pas trop où est le problème tant que l’utilisateur peut décider.

Là ou ça rejoint la TV, c’est que le ration divertissement/culture ou éducation est très très en faveur du premier, mais là les choses ne changent pas. Par contre, de nombreux youtubers proposent du contenu éducatif assez sérieux tout en ayant pas mal de succès.

Ce que tu critique, la TV le fait déjà mais de manière beaucoup plus violente: on fait passer des trucs en prime time parce que ça fera de l’audimat, et on met les films d’auteur et les émission intéressantes en fin de soirée pour meubler. Pire que ça, une quantité astronomique de projets et d’idées n’ont tout simplement pas vu le jour parce qu’il fallait que ça “mérite” de passer à la TV.

Si des youtubers “réussissent” (au sens où ils arrivent à faire ce qu’ils veulent ou atteindre leurs objectifs) tant mieux pour eux et pour les gens qui les regardent. De toute façon, cette taxe n’aidera aucunement la création de contenu de ce type.


Le 20/12/2016 à 10h 46

Par rapport à qui seraient-ils exemptés?



 Si pour toi financer le cinéma français via une taxe c’est partager le profit d’un hébergeur de vidéos, alors cette taxe a du sens. C’est vrai qu’ils optimisent, font du profit et paient peu d’impôts (alors qu’éthiquement il devraient en payer plus). Mais c’est pas parce que le système d’imposition est mal foutu (ou alors parce que les impôts sont très lourds et incitent à optimiser) qu’il faut sortir une taxe qui se base sur une assiette stupide avec un but qui n’a aucune relation avec les diffuseurs en question.



A mon avis tu confonds imposition et taxes. Qu’ils paient pas assez d’impôts est une chose, qu’on leur mette une taxe injuste sur le dos en est une autre, et c’est pas l’un qui va améliorer l’autre.



Par ailleurs, la majorité des créateurs de contenu youtube ne touchera jamais le produit de cette taxe, les youtubers français ne la verront pas ils ne sont pas subventionnés par le CNC.

Le 19/12/2016 à 15h 14

qu’on considère que l’optimisation fiscale de google est problèmatique je peux comprendre.



Par contre, c’est pas en inventant une taxe débile sur une assiette complètement arbitraire qui a pour seul lien que google devra directement la payer (parce qu’indirectement ça sera certainement les viewers ou les fournisseurs de contenu) que ce problème sera réglé.



En gros t’es prêt à tuer tous les apiculteurs de l’ardèche de manière arbitraire pour punir un magasin que t’aimes pas…

Le 19/12/2016 à 14h 56

je ne comprend pas bien ton raisonnement vis à vis des youtubers.



Pourquoi serais-ce gênant qu’ils gagnent bien leur vie? Leurs viewers considèrent qu’ils proposent un contenu digne d’attention, tant mieux s’ils arrivent vivre de ce qu’ils font, et encore plus tant mieux si ils arrivent à bien en vivre. Peut-être d’ailleurs qu’ils financent certaines formes de création?



Tu le dis, souvent les youtubers ont peu de moyens, peu de gens avec eux et peu d’équipes, pourtant ils arrivent à proposer du contenu qui coûte bien moins cher qu’une émission TV par exemple. La plupart est plus à débaucher des quantités phénoménales d’énergie, de temps et d’argent pour renouveler leur contenu, et ce qu’il leur reste à la fin du mois est loin des montagnes d’or.



D’autant que les youtubers sont précisément exclus de l’“exception culturelle”, et ils ne reçoivent en général aucune subvention de l’Etat.

Le 21/12/2016 à 07h 20

bof bof c’est un peu abdiquer facilement.



Il n’y a pas de fatalité. C’est pas parce qu’internet existe qu’il n’y a plus de vie privée. On a à disposition des outils qui permettent d’améliorer la vie des gens à condition qu’ils soient utilisés d’une manière respectueuse des gens.

 il faut simplement encadrer et faire en sorte que les collecteurs respectent le privacy by design et l’autodétermination en matière de données.

Le 18/12/2016 à 11h 53

Je sais pas si ça peut apporter une début de réponse à ta question, mais au niveau juridique, l’impact de l’opinion négative des usagers sur une boite est une des choses que craignent le plus ces mêmes boites.



Google par exemple a admis le droit à l’oubli en Suisse alors que la décision l’instituant s’est faite au sein de l’Union, ce qui théoriquement ne devait pas toucher la Suisse.

On a aussi le devoir d’annoncer les “data breach” selon la nouvelle GDPR



Moins récemment, Ebay s’est fait épinglé par la France parce que des gens vedaient des objets nazis sur leur site. La France a condamné Ebay, qui a dit qu’ils s’en foutaient parce qu’ils étaient une entreprise californienne, répondant au droit californien. Le juge californien a rejeté la condamnation française, et donc ebay pouvait faire ce qu’il voulait. Par contre, le bad buzz qui en a résulté et la mauvaise image de la société vis à vis des consommateurs a poussé ebay à bloquer ces ventes, alors que légalement rien ne les y obligeait.



Je ne sais pas à quel point ils font attention à l’éthique dans le processus de décision, mais indirectement il y a une influence.

 

Le 17/12/2016 à 07h 32

j’aimerais bien partager ta vision tellement manichéenne de la situation…

Il n’y a pas que du blanc et du noir il y a plein de cas gris ou limites qui sortent de cette pensée théorique binaire.



Mais on a déjà discuté de ça dans une news précédente.

Le 16/12/2016 à 13h 09

Je partageais (et partage) ton avis sur la qualification de ce qu’ils font de censure.



Après convient qu’ils ont avancé depuis le déréférencement pur et simple de la dernière news.  Là c’est plus subtil.

Le 16/12/2016 à 12h 51

Au moins on peut voir qu’il y a eu une certaine réflexion de la part de FB sur la question malgré le fait qu’il persistent à vouloir modifier leur système pour des questions politiques. Je reste cependant dubitatif parce que hors du simple factchecking, c’est la porte ouverte à toutes les manipulation à des fins non économiques du système.



Qui décidera de ce qui est “contesté” et ce qui ne l’est pas? Est-ce qu’ils seront plus neutres et efficaces que l’algorithme de facebook?



Est-ce que c’est juste que FB décide sur la base de la qualification de “contesté” de bloquer tout revenu publicitaire?



Et franchement ce qui me dérange le plus c’est le delisting de ces contenus. La manipulation sera assumée. Je pense qu’informer que l’info est contestée et donner le lien vers un fact-checker tiers aurait amplement suffit, tout en permettant à FB de conserver sa neutralité en proposant simplement des liens vers ceux qui se contredisent.

Le 16/12/2016 à 11h 27

Supposition!



Il ne faut pas confondre diffusion et comportement de l’utilisateur.

Concernant la diffusion des vidéos youtube, tu as raison c’est facile d’accéder (d’ailleurs la TV essaie tant bien que mal de dépasser le “ah hier soir j’ai regardé ceci cela” en invitant les spectateurs à utiliser les réseaux sociaux.) Mais ça n’est à nouveau pas le propos. Chaque visionnage implique un comportement actif.



Bien sûr que le monde connecté permet une diffusion rapide, mais ça nécessite de s’intéresser et de cliquer. A la TV, soit on laisse soit on zape, donc si on est passif on est exposé.

Le 16/12/2016 à 10h 13

Un connaisseur.



En effet, je n’avais pas pris en compte l’ensemble du tournant pris par l’auteur depuis les premiers tomes. Il n’en reste pas moins que c’est suite au lobby anti tabac aux Etats-unis que Morris lui a mis un brin d’herbe dans la bouche. Il a d’ailleurs aussi été censuré pour des questions de violence.

Le 16/12/2016 à 10h 06

Je n’ai aucun intérêt pour tes habitudes de consommation, ni pour ce que tu fais devant la TV ou Youtube, ni pour le fait que tu aime faire la loque devant la TV ou sur Youtube. De la même manière tu ne connais pas les miennes. Je te laisse te culpabiliser tout seul.



Sur youtube tu dois faire plus d’efforts pour accéder au contenu (même si il y a des variations et que la TV se rapproche de youtube avec les replays, l’augmentation du nombre de chaines, les tv guides ou autres). Tu dois chercher et savoir ce que tu cherches par opposition à la TV qui te présente un programme temporellement organisé.



Ensuite libre à toi de considérer que moralement l’une ou l’autre des activités est culpabilisante.

Le 16/12/2016 à 09h 29

Appelons un chat un chat. Qu’une autorité mette en garde avant de sanctionner un contenu ça s’appelle de la censure même si le mot ne te plais pas (d’ailleurs c’est moins son sens que sa connotation qui gène).



Ensuite tu parle de deux problèmes différents:

-1 la responsabilité de celui qui publie le contenu d’annoncer à celui qui veut le regarder qu’il y a des contenus matures. C’est bon pour eux. La chaine est pas orientée enfants et c’est ce que la loi demande pour faire de la publicité pour l’alcool (d’ailleurs publicité? ça se discute aussi).

-2 La responsabilité des gens et de leur entourage d’entendre ou non ces recommandations.

Le fait est pas de ne jamais mentir sur son age pour accéder à un certain contenu mais d’y être sensibilisé, et d’y faire attention lorsqu’on est responsable d’enfants par exemple. Mais cette responsabilité les gens n’en veulent pas parce qu’ils doivent faire des efforts.



D’ailleurs, on retombe une fois de plus sur cette vieille morale à deux balles pour laquelle rivaliser de violence ça passe, par contre les vices tels que l’alcool ou le sexe doivent absolument être censurés. 

 

Pour la différence entre TV et internet, il y a un élément que tu ne prend pas en compte c’est que pour regarder un contenu sur youtube, il faut adopter un comportement actif. Tandis qu’à la TV ça passe selon les bons vouloirs de la chaîne pour un téléspectateur passif. En plus de ça, comme l’a très bien dit kypd, le nombre de chaines/ programmes est (était) limité pour la TV, ce qui justifie (justifiais?) un arbitrage. Pas sur internet. un truc qui de plait pas? ben tu clique pas dessus (à supposer qu’il arrive dans le champ de tes recherches).



Et puisqu’il s’agit de se poser des questions: Quid de la soupe aux choix? est-ce que ça à pernicieusement retourné l’esprit de tous les gens qui l’ont regardé et qui se sont mis à boire des canons? Franchement je trouve d’une tristesse que Lucky Luke ait du abandonner la cigarette pour le brin d’herbe.

Le 16/12/2016 à 06h 51

Tandis que censurer à tout va c’est vrai que c’est une bonne idée qui n’a jamais eu aucun effet secondaire.



Je constate toujours qu’on est super hypocrite sur l’influence de la consommation d’alcool (très très mal) tout en laissant la part belle à la violence sans se demander si ça peut influencer des gens.

 

L’émission rappelle au tout début qu’elle ne se destine pas à un jeune public, et que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. En plus elle est pas programmée dans une chaine TV mais simplement accessible à ceux qui le souhaitent. Le CSA a simplement trouvé ce cheval de troie pour étendre ses tentacules sur youtube. C’est douteux juridiquement, et le pire c’est que toute la pression est faite pour que le risque à attaquer la décision soit énorme, et donc pas attaqué.

Le 16/12/2016 à 06h 33

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Le 14/12/2016 à 07h 57

En Suisse, il pouvait à priori obtenir l’asile et ne pas être extradé parce qu’une partie de ses activités s’est passée dans le pays, mais après intervention de l’ambassade US ils ont laissé tomber le dossier…

Beaucoup de gens ont un peu honte

Le 13/12/2016 à 14h 47

le plus amusant (si on aime rire jaune) étant que c’est précisément ce que recherchent ceux qui appellent au terrorisme: qu’on se mette à leur niveau en abandonnant nous libertés fondamentales.



Le plus triste c’est que le peuple bêlant salue la mesure…

Le 10/12/2016 à 07h 53

L’abus de détresse existe déjà pour ce genre de situation.



Je précise que je n’ai pas parlé d’information biaisée mais de risque de censure.

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L’Etat reflète le consensus politique sur la question et l’exprime sur son site qui m’a l’air plutôt bien rédigé et informatif(bien plus crédible qu’ivg.net par ailleurs). Mais même le plus objectif des contenus est orienté parce que par essence la question n’est pas ou noir ou blanc, mais comporte de nombreuses zones grises.



Puisque tu es d’accord avec moi sur le fait que le délit d’entrave est discutable, alors tu admet qu’il est difficile de précisément qualifier ce qui est une entrave de ce qui n’en est pas. Donc, tu admet qu’il y a un risque de faux positif ou négatif qui s’apparenterait à une forme de censure (hors de l’autocensure potentielle des sites contre l’IVG qui auront peur de l’infraction)



Quand on voit les choses de manière manichéennes c’est simple, mais c’est rarement le cas parce qu’il y a trop de paramètres à prendre en compte.&nbsp;



Que l’Etat continue son bon travail d’information, il n’est pas nécessaire ni efficace d’empêcher les opposants de s’exprimer.

Le 09/12/2016 à 13h 18

On arrive enfin au sujet de la news qui dépasse les bigots réactionnaires qui essaient d’interférer dans les choix des gens.



La mesure est redondante, parce que ce genre de comportement est déjà punissable via l’abus de détresse. Les risques de censure sont extrêmement élevés puisqu’en pratique il sera à peu près impossible de prouver une influence, ainsi qu’une entrave. Quid du témoignage de la personne qui a choisi de garder son enfant et qui le recommande? entrave ou pas? Quelle est la limite de “influençable?” ce genre de truc c’est fun quand on est du côté des censeurs, mais on risque de vite passer de l’autre côté.

Quant aux effets d’une telle mesure, c’est très difficile à déterminer puisque la pression vient aussi voir majoritairement d’ailleurs (des croyances de chacun ou de sa morale, de la famille, du cadre social, etc).



je préfèrerais que l’Etat fasse plus d’efforts pour l’information plutôt que de museler ce qui le gène.



C’est l’éternel débat “les méchants font de la propagande, moi j’informe”. Les gens se laissent tomber dans l’émotionnel de la thématique et ne font pas attention au sujet en lui même.

Le 09/12/2016 à 12h 57

c’est juste c’est aussi une partie du débat. D’ailleurs j’ai toujours eu un peu de peine avec ceux qui combattent l’IVG en même temps que la PMA, puisqu’au fonds ce type de décision peut être pris plus en amont et serait ainsi plus éthique.

Il y a aussi les questions de “wrongful birth claim” qui posent de nombreux problèmes tant éthiques que juridiques.

Le 09/12/2016 à 11h 11

C’est pas totalement physiologique non plus.

Actuellement on considère simplement qu’à partir du délai légal, l’intérêt du foetus (non viable hors du corps de sa mère) dépasse l’intérêt de la mère à interrompre sa grossesse (et son droit est limité).

Implicitement on admet déjà un intérêt du futur enfant à naître, peu importe sa condition physiologique. Il est bel et bien possible de débattre du moment à partir duquel l’intérêt du foetus l’emporte.



Il est aussi possible pour certains de considérer que leurs valeurs implique que la meilleure solution, lorsqu’une personne ou un couple est confronté à cette décision extrêment difficile à prendre est de garder l’enfant, et ces personnes ont aussi le droit de s’exprimer sans que leurs dires soient immédiatement considérés comme une pression visant à forcer la femme enceinte à renoncer à son droit si ce n’est pas le cas.



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Le 09/12/2016 à 10h 34

Excellent argument: ils désinforment parce qu’ils sont cons et réacs et qu’ils n’ont pas le même avis que moi sur la question. Je note parce que ça peut servir pour à peu près toute discussion, et ça m’empêche de remettre en question mes convictions.



le fait même qu’une IVG est praticable dans un délai temporel relativement stricte démontre qu’il y a des intérêts à prendre en considération et que la question n’est pas manichéenne. Si on débat d’une interruption à 8 mois, les gens auront pas les mêmes convictions que si on débat de la limiter à quelques jours / heures.



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Le 09/12/2016 à 09h 09

on peut tout imaginer et donner une définition légale qui suit le raisonnement. c’est pas plus bête de considérer un certain nombre de semaines, que de proposer un certain nombre de multiplication cellulaires, ou alors de se concentrer sur la formation de certains organes, ou comme tu semble le préconiser de simplement s’arrêter à la volonté de la femme d’être enceinte ou non.



On peut bien sûr débattre (éternellement?) d’à partir de quand on est face à un enfant, et donc à partir de quand son intérêt à naître et vivre doit être pris en compte. Mais le processus est graduel, et les avis divergeront fortement si on parle d’un avortement à 8 mois ou d’un avortement à 1 mois.



Et encore une fois, c’est pas le sujet de la news.

Le 09/12/2016 à 08h 43

Madame Cartman approuve ce message

Le 09/12/2016 à 08h 43

Le problème c’est que la question ne se situe pas à ce niveau. Rien n’est remis en cause quant au cadre de l’IVG, et je partage ton avis sur la question. Il faut cependant avouer que c’est une décision très difficile à prendre, que la femme en question est la seule à pouvoir la prendre, mais que presque jamais la réflexion ne s’arrête à “mon corps m’appartient je fais ce que je veux”.



Le vrai problème se situe au niveau du fait de restreindre dangereusement la liberté de s’exprimer de ceux qui n’ont pas le même opinion que nous (peu importe la raison pour laquelle ils le pensent). On a la liberté de choisir, mais on a aussi la liberté de croire que l’ivg n’est pas la bonne solution et c’est pas en muselant ceux qui le pensent qu’on fera avancer les choses.

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Le 09/12/2016 à 08h 31

au fonds, si j’ai bien compris c’est une adaptation du système actuel au nouveaux modes de transmission. On en prend les avantages et les inconvénients.



Je suis partagé parce que les podcasts et les émissions web sont une formidable source de divertissement et d’information que j’apprécie beaucoup, et il y a pas mal de youtubers qui font de l’excellent boulot dans la liste et qui méritent une grosse reconnaissance, mais je suis philosophiquement opposé à ce système qui a démontré plus d’une fois ses dérives et son inefficacité.

J’ai tendance à dire que si le financement par la pub sur youtube ne leur convient pas, alors il faut qu’ils trouvent un autre business model, mais je sais bien que ça pose de nombreux problèmes, et que je serais le premier à gueuler si une vidéo n’est pas accessible sur mon site favori.

Le 09/12/2016 à 08h 02

oui mais l’équation n’est pas si simple:




  • la masse salariale ne se scale pas sur le bouquet (bien que j’admette qu’elle peut être plus importante que celle d’une entreprise optimisée)

  • la production a un prix, et en ce moment ce qui rapporte c’est les exclusivités (Cf netflix qui produit uniquement pour avoir des exclusivités dans son système), pas la mise à disposition de toutes les plateformes (ce que je déplore)

  • les campagnes publicitaires font partie de la lutte que se font les entreprises pour attirer le client. Une seule entité se trouverait tout simplement en situation de monopole et en général c’est pas bon pour le consommateur.



    Difficile de savoir quelle situation profite le plus au consommateur.

    Je précise que la situation actuelle de la distribution d’oeuvres culturelles (en particulier télévisuelle) ne me convient absolument pas, et qu’en modifiant le cadre elle pourrait être beaucoup plus efficace tant du côté de l’offre et de la demande.



    Dans l’absolu, 30-40 euros par mois, si on se place du côté de l’offre (du côté du consommateur ça dépend bien sûr du budget et ça peut être conséquent), c’est pas nécessairement déraisonnable pour la quantité de contenu proposé et j’ai le sentiment qu’une licence globale coûterait beaucoup plus cher.&nbsp;