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2520 commentaires

Le 31/01/2019 à 16h 10

Pas “un seul qui bosse” : Orange emploie des sous-traitants qui bossent.

Le 30/01/2019 à 21h 29

Une dictature est un régime politique. Un gouvernement est une institution, et peut être un dictateur (ou gouvernement dictatorial).



<img data-src=" />

Le 30/01/2019 à 17h 13

Personnellement, je ne fais aucune confiance au groupe La Poste pour séparer mes requêtes de recherche d’une offre et l’offre effective que j’achèterais en ligne selon les consignes de l’algorithme de laposte.fr.



Rien que le système Facteo du “facteur” me sort par les yeux d’un point de vue de confidentialité des données personnelles, et de collecte de données “big data”.

Le 30/01/2019 à 11h 58

LaPoste is the new Gmailman

Le 30/01/2019 à 00h 06

#zombieland2

“Zombieland : Double Tape” &gt;&gt; fin 2019

Le 29/01/2019 à 18h 49

Nouveau film de Bertrand Blier !… <img data-src=" />

Le 29/01/2019 à 14h 45

Oui, mais ces gens ont quand même un Devialet gratuit au moment de l’acquisition… en attendant d’avoir fini de le payer en 48 mensualités.



C’est pas rien. Enfin… à titre personnel, je ne vois pas l’utilité d’un tel appareil chez moi, mais mon voisin m’a déjà affirmé que je n’aime pas la musique (quand il mettait sa sono plein tube). Ce qui expliquerait mon désintérêt devant cet appareil d’une grande marque disruptive.

Le 29/01/2019 à 13h 55

En pratique, la procédure de résiliation chez Freebox a toujours été la même : LRAR + suppression de l’autorisation de prélèvement auprès de sa banque (aujourd’hui avec le prélèvement SEPA: mise en liste de noire du créancier Freebox). Après on reçoit une accusation de ne pas avoir rendu la précieuse Freebox à plus de 500€, mais si l’ancien client a eu l’intelligence de concerver ses preuves d’envoi postal du colis en R avec AR, il ne risque pas grand chose à par un harcèlement illégal du sous-traitant factureur de Free.



Il n’y a que ça à faire pour se défaire des griffes de Free. Freenews réinvente sa “story” à sa sauce (je ne parle pas de Univers Freebox qui fait dans le matracage de news à la petite semaine).

Le 29/01/2019 à 07h 35







wackyseb a écrit :





J’ai tenté les autres mais non, rien ne surpasse le maitre Firefox. Tellement simple et personnalisable.

Idéal pour le néophyte comme pour l’expert.

Jamais compris pourquoi chrome est si puissant, je n’aime pas du tout.







Ce que j’aime dans Firefox, c’est le moteur de rendu différentiant. J’aimais aussi Presto (d’Opera) pour les mêmes raisons.

D’ailleurs, dommage que Edge de Microsoft ai abandonné son propre moteur de rendu.


Le 28/01/2019 à 17h 24

J’utilisais Firefox en navigateur par défaut depuis les années 2000. Mais depuis que je connais Vivaldi, Vivaldi est mon navigateur par défaut : pour moi, c’est le Mozilla des années 2020 (nombreux paramétrages, transparence).



J’ai installé Opera mais c’est pire que Chrome en terme de fonctionnement : Opera me semble aussi obscure et difficile à paramétrer en tant qu’utilisateur.



Concernant la collecte et le traitement des données, Google Chrome est tout de même le pire qu’on puisse utiliser.



Et récemment, j’ai découvert Brave : à mon grand étonnement, son usage est agréable et facile. C’est bien simple, on dirait Apple Safari dans l’ergonomie avec une originalité dans la protection des données (notion légèrement galvaudée chez Firefox). Seul défaut, la couleur Orange omniprésente (on se dirait chez OrangeSA, INGbank ou Compte Nickel).



NB: appel aux marketeux : stop à l’orange !

Le 28/01/2019 à 20h 16

Ce qu’il faut savoir avant de lire une profession de foi, de la propagande, la FAQ d’un site web : ce qui n’y est pas raconté est au moins aussi important que les détails passionnants qui y figurent.

Le 28/01/2019 à 20h 12

La campagne des élections européennes tourne à plein : voici en l’occurrence le match LR vs LREM.



NB: en marge du Grand Débat National, j’ai reçu aujourd’hui un prospectus format A3 (une double feuille A4, soit 4 pages) pour expliquer les mérites du Gouvernement depuis bientôt 2 ans. Et c’est écrit petit, avec des passages en gras+souligné (je précise que dans mon quartier, le match électoral se joue depuis une bonne dizaine d’années entre les nouveaux-centristes et les nationalistes).

Le 28/01/2019 à 16h 17







Krapulax a écrit :





La fameuse scission a déjà eu lieu en interne depuis plus de 2 ans. …





L’AOTA parle plutôt d’une scission comptable et juridique. Les rapports analytiques internes d’Orange à l’Arcep ne suffit visiblement pas à ces petits opérateurs locaux.


Le 28/01/2019 à 16h 02







Krapulax a écrit :



N’importe quoi.

 Un répartiteur standard dans un village coûte environ 100k€ auquel il faut adducter chaque logement.

 A coup de 30€/mois d’abonnement Internet sur lesquels il faut retirer les frais de fonctionnement, il faut dans les petits villages plusieurs dizaines d’années pour amortir l’investissement. Ce qui totalement impossible pour une entreprise de nos jours.

En encore on parle de réseau fibre qui a une durée de vie qui sera longue.

Mais si tous les opérateurs freinent sur la 5G, c’est que les investissements sur le réseau 4G sont très loin d’être amortis.

Il y a un moment où il faut trouver le pognon pour investir et il ne parait pas anormal qu’une entreprise ne veuille pas investir à perte.





J’entends bien qu’Orange et les 3 autres ne souhaitent pas investir à plus de 3 ans de rentabilisation, mais c’est complètement faux de dire que ce n’est pas rentable. Sinon comment feraient Covage, Axione et même Orange dans les RIP ? Laisser entendre que ces opérateurs vivraient sur le dos des contribuables correspond purement à des balivernes : il y a un modèle économique rentable, plus long à rentabilisé, mais toujours rentable.



La différence entre un investissement et une dépense, c’est qu’un investissement permet de récupérer sa mise tôt… ou tard. Un réseau télécom se développe soit avec des fonds publics (UE, Etat, collectivités locales), soit avec des emprunts bancaires. Et ce n’est pas une dépense, contrairement à ce que vous laissez entendre.


Le 28/01/2019 à 15h 54







Krapulax a écrit :





Si Bouygues est à la ramasse, c’est qu’ils n’ont pas fait le choix d’investir. C’est une stratégie comme un autre, mais il ne faut pas venir pleurer ensuite si la concurrence a pris la place.

Free par exemple a investi énormément au départ puis s’est arrêter du coup puisque ses investissement ont été redirigés vers le déploiement de leur réseau mobile.





Mais je n’ai pas porté de jugement sur l’état du réseau déployé par les uns ou les autres. Il se trouve seulement que dans notre système économique néo-libéral, un acteur privé ne peut détenir plus de 50% d’un marché de gros sans devoir rendre des comptes aux autorités de la concurrence et du secteur des télécoms.



Il se trouve que c’est le cas de SFR et de Orange actuellement sur le marché de gros. Après on peut toujours faire du corporatisme à 2 francs 6 sous, mais ce n’est plus mon problème (il y a trop longtemps que je ne travaille plus pour feu-France Telecom, il y aura 17 ans au printemps 2019 pour être exact).







Krapulax a écrit :



Il ne faut pas tout mélanger.

Autant, il est vrai que la boucle locale cuivre est un bien qui a été financé par l’impôt (ou tout du moins le tarifs important de la ligne téléphonique analogique que tout le monde payait dans les années 70-80 qui pouvait s’apparenter à une forme d’impôt puisque presque universel). Et à cet titre, il est légitime de se poser tout ces questions de qui doit exploiter, et le maintenir et avec quels moyens.

Autant les investissement sur réseau FTTH, sont des investissements privés. Et si Orange domine le marché de ce coté, c’est uniquement car ses investissements ont été bien plus importants que les autres.







à mon tour de dire “il ne faut pas tout mélanger” : on parle d’une hégémonie sur le marché de gros du réseau local (en distribution). Qu’est-ce que les tarifs de France Télécom au temps du Minitel a à voir avec le réseau ? D’autant que la boucle locale cuivre de l’époque était déjà rentabilisée au moment de la privatisation de l’opérateur historique.



La question est : doit-on (c’est-à-dire, le Gouvernement, l’Arcep, l’Autorité de la concurrence: l’Etat en somme) laisser une entreprise redevenir hégémonique sur le marché de gros des télécoms ? Visiblement, non si on écoute tout ce petit monde dans les différents rapports, colloques, consultations, etc. Pourtant Orange recommence à créer son hégémonie sur les réseaux locaux (avec la bienveillance du Gouvernement). Cherchez l’erreur…


Le 26/01/2019 à 09h 02







kgersen a écrit :



ah la concurrence par les infras, c’est le bullshit qu’on nous a servi lors du plan fibre. L’idée derriere bien sur était de permettre aux opérateurs privés d’avoir leur propre infra dans les zones hyper rentables (zones denses) […]





Je pense que la concurrence par les infrastructures est une hérésie économique : pas d’économie d’échelle (c’est-à-dire, une seule exploitation sur un réseau rationalisé à l’extrême pour éviter tous les coûts redondants).

Mais là encore, on me dira que les réseaux télécom ont besoin de redondance (pour éviter les pannes), ce qui n’est pas entièrement faux.







kgersen a écrit :



[…] on a vu le résultat. ils ont de fait privatiser les bénéfices les zones denses, rentables et nationaliser,via l’investissement des collectivités locales les zones moins rentables.



A l’arrivé c’est tout bénef pour les opérateurs privés et un coût faramineux pour l’Etat.





On est loin d’une nationalisation des zones peu denses : ce sont généralement des sociétés privées (Covage, Axione, Orange, SFR, etc) qui exploitent les RIP (Réseaux d’Initiative Publique). Et on parle bien d’investissements publics (pas de dépense publique) puisque les RIP seront rentables un jour.



La raison d’être de l’investissement public dans les zones peu dense est d’éviter une “fracture numérique” qui durerait plusieurs dizaines années (on appelle ça, l’aménagement du territoire). Mais ça reste rentable pour les pouvoirs publics.







kgersen a écrit :



Si des le départ on avait séparé Orange en 2 et laisser a la partie réseau, sous contrôle de l’Etat, le monopole de fibrage du pays on aurait pu avoir de la péréquation pour financer les zones moins denses avec les bénefs des zones denses.





Je suis en partie d’accord : on prive effectivement la grosse rentabilité des zones très denses de permettre un autofinancement conséquent des zones peu denses. Et comme je disais précédemment, il n’y a pas d’économie d’échelle dans les zones très denses du fait de la duplication des infrastructures sur une même zone.



Cela-dit, il existe une péréquation tarifaire dans les zones peu denses. Elle est seulement moins rapide et moins importante. On ne le répète jamais assez : contrairement à ce que peuvent dire S.Richard, X.Niel et autres : une infrastructure télécom est toujours rentable à plus ou moins long terme.


Le 25/01/2019 à 12h 20







wanou2 a écrit :



Enedis … il ne t’aurait pas échappé que sur ta facture les coûts de distribution ont complètement explosés et je ne parle pas non plus des coûts de raccordement.



GrDF je ne m’y suis pas trop intéressé car je n’ai pas le gaz mais j’ai cru comprendre que les coûts d’acheminement ont également une tendance à l’embonpoint.





Paradoxalement m’a-t-on dit un jour qu’à la différence d’autres secteurs d’activité comme l’énergie ou l’eau potable/assainissement, le secteur des télécom pouvait supporter une concurrence par les infrastructures justement parce que les coûts ne dépendaient pas d’une production à coûts variables et progressifs, mais d’investissements à coûts fixes dans une infrastructure (une rente si on se fait l’avocat du Diable) qui permet de vendre des services éminemments rentables.


Le 25/01/2019 à 12h 11







k-nico a écrit :



et qué s’apelerio Wanadoo & France Telecom





A la différence que Wanadoo n’a jamais eu aucun réseau télécom puisqu’il utilisait nativement celui de France Telecom. L’évolution de l’ADSL a d’ailleurs eu raison des FAI traditionnels (AOL, Liberty Surf, Club-internet, etc) en concentrant les investissements sur les équipements locaux (les NRA), propriété de France Telecom dans le cas de Wanadoo.


Le 25/01/2019 à 12h 04

Il n’y a pas que les 4 FAI nationaux dans le secteur des télécoms. Pour info, les 45 opérateurs membres de l’AOTA sont des FAI locaux qui demandent grosso modo l’accès à une offre de gros qui ne soit pas discriminente pour les petits opérateurs face à Orange (et à SFR).



https://www.aota.fr/a-propos/lassociation/

Le 25/01/2019 à 11h 37







c3ulnta0rk a écrit :



Superbe illustration <img data-src=" />

Bouygues aussi a un contrôle du génie civil non ? c’es déloyale aussi ?





Perso, je ne sais pas si Bouygues contrôle le génie civil du réseau de distribution de Bouygues Telecom, en tout cas, le groupe Bouygues a la bien séance de :



1- créer une structure juridique indépendante de Bouygues Telecom, dédiée à son réseau de distribution FTTH : la filiale de Bouygues Energies et Services (du groupe Bouygues Construction), Axione.



2- Bouygues n’a jamais eu de réseau de distribution hégémonique sur aucun territoire de l’Hexagone, donc la question de son contrôle sur le génie civil ne se pose certainement pas, contrairement au réseau DSL cuivre et au réseau FTTH qui commence doucement à reconstituer l’hégémonie de Orange sur les réseaux locaux de France et de Navarre, avec l’assentiment de l’État si fier de son partenaire industriel mondial.


Le 25/01/2019 à 20h 52

#LeBrief, c’est BFMTV sans les répétitions, sans les pubs et sans les sponsors (et sans la météo). :o

Le 25/01/2019 à 12h 31

Il me semble qu’il suffit de se désabonner de son offre mensuel, et ensuite se réabonner à l’offre annuelle actuelle (à vérifier).

Le 25/01/2019 à 12h 29

INpact Hardware n’est pas ma tasse de thé, mais j’ai été intéressé par le dossier “Bidouille” de la Freebox One. Si je pouvais voir le même style d’articles à propos d’autres box “grand public” et aussi des articles à propos de la consommation électrique (de box ou de matériels/composants électroniques divers), ou plus généralement quelques articles de vulgarisation technique, ce serait top !

Le 25/01/2019 à 18h 57

C’est pas grave, dans mon immeuble, les gens se déchargent de leurs encombrants dans les parties communes du rez-de-chaussée. C’est sûrement pour promouvoir le troc et se rapprocher de l’objectif “zéro déchet”.



La déchetterie municipale, c’est déjà dépassé, il faut voir plus grand dans les années 2020 : le “zéro déchet”, l’achat en vrac, le compost de quartier, le troc, leboncoin.fr, les réseaux de voisins, les “repair cafe”, le dépôt sauvage d’encombrants dans les passages peu fréquentés des immeubles et des rues escarpées.



NB: pour la dernière solution, j’ai un doute. <img data-src=" />

Le 25/01/2019 à 17h 08

« Quel est votre métier ?




  • Je suis policier.

  • Ah! vous regardez des écrans toute la journée !!

  • Oui, c’est bien ça. Depuis tout petit, je rêvais de devenir policier et maintenant je travaille 8 heures par jours dans le sous-sol du commissariat central. »

Le 25/01/2019 à 11h 25

Et Rakuten rachètera Veepee qui deviendra Rakuten VP (veepee, pour les anglophones)…

ou mieux, Rakuten ViP ! <img data-src=" />

Le 24/01/2019 à 20h 54

Merci de ces précisions. Bien content que les choses évoluent en France.

Le 24/01/2019 à 20h 25

C’est clair que la Société japonaise est très spéciale, très stricte. J’en ai eu un avant-goût en écoutant Amélie Nothomb parler de son expérience au Japon (elle a passé une grande partie de sa vie au Japon: son père était ambassadeur belge au Japon).



J’aime bien qu’on parle des principes fondamentaux de la Déclaration des Droits de l’Homme, mais c’est un peu l’argument institutionnel qui cache la forêt de la responsabilité pénale de Carlos Ghosn dans cette histoire. En tout cas, je lui souhaite bon courage : au Japon, on ne s’autorise déjà pas à laisser tomber un papier sur la voie publique, je n’ose imaginer ce qu’encourt un délinquant.



Je me suis permis de réagir car de toute manière, même en France, on a à chaque fois la même polémique sur la détention provisoire : je me souviens de Pierre Botton, Bernard Tapie, Le Floc-Prigent (désolé si j’orthographie mal le nom), etc. D’ailleurs, on en parle des conditions de détentions des “droits communs” (pas des VIP de la prison de la Santé) dans les prisons françaises vis-à-vis des Droits de l’Homme ?



NB: concernant les sources journalistiques, je préfère cette source audio de la RTS (Suisse), moins sujette à caution (C.Ghosn est une idole en France) : https://www.rts.ch/play/radio/tout-un-monde/audio/les-particularites-du-systeme-…

Le 24/01/2019 à 14h 40







fred42 a écrit :



Carlos Ghosn n’est que l’exemple qui nous a fait connaître le régime de garde à vue du Japon. Ce cas nous a appris que la garde a vue de longue durée est un moyen pour les procureurs japonais de faire avouer les personnes retenues. Cela n’est pas acceptable d’un point de vue des droits de l’homme.







En même temps, c’est un peu la raison d’être d’une garde à vue ou d’une détention préventive, mais personnellement, je veux bien croire que l’aveu soit une preuve très utilisée par la police judiciaire japonaise (en France, on a aussi une certaine culture de la preuve par l’aveu, malheureusement).


Le 24/01/2019 à 14h 25







fred42 a écrit :



Lorsqu’elle examine la situation d’un pays, la Commission européenne doit s’assurer de l’état de droit, du respect des droits de l’homme, outre les règles d’accès aux données personnelles, parmi les critères pointés par la même disposition.



Concernant les droits de l’homme, le Japon est loin d’être irréprochable comme on peut le voir avec l’affaire Carlos Ghosn. Une garde à vue pouvant durer plusieurs mois est contraire aux droits de l’homme.





Si j’en crois cet article http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20181231-japon-carlos-ghosn-garde-vue-prolongee… :

« Le tribunal de district de Tokyo a décidé de prolonger de dix jours la garde a vue de Carlos Ghosn jusqu’au 11 janvier pour des soupçons d’abus de confiance. Le juge a accepté la demande du procureur qui estime avoir besoin de plus de temps pour décider ou non d’inculper Carlos Ghosn sur ces nouvelles charges. »







&gt;&gt; La “garde à vue” de Carlos Ghosn ressemble plus à ce qu’on appelle “détention préventive” en France, car il y a, semble-t-il, l’intervention d’un tribunal pour statuer.


Le 24/01/2019 à 15h 38

Dans l’absolu, tout est possible. Je veux seulement dire qu’un algorithme sert à celui qui le conçoit et qu’en plus, à l’heure actuelle, il est évident qu’un algorithme ne répond pas à toutes les situations.



Par exemples :





  • J’ai, à titre personnel, un compte N26. Je fais toutes mes opérations bancaires sans interaction avec un humain (à part le moment de ma souscription où j’ai dialogué avec un téléopérateur pendant quelques minutes). Je suis au paradis, tout est parfait, sauf que, récemment, N26 a bloqué pendant plusieurs mois les comptes de personnes qui n’avaient rien demandé : est-ce que bloquer un compte, suspect d’on ne sait quoi, est une réponse adaptée à la situation ? Non.



  • Récemment, j’ai voulu changer d’assurance. Dans l’agence, mon RIB/IBAN (une agence en ligne d’une enseigne du groupe BPCE) était refusé par le système informatique (j’imagine que le code agence n’était pas référencé dans la base de données). Il a fallu attendre plusieurs semaines pour réparer cet incident. Je dirais dans ce cas là, que le système était mal paramétré : il aurait suffit d’accepter n’importe quel RIB automatiquement et laisser la conseillère juger d’elle-même la pertinence du RIB/IBAN (tout RIB/IBAN a une clé de contrôle, qui me semble suffisant).



  • la procédure de résiliation automatisée des FAI ou des services internet : j’ai connu moi-même quelques déboires tellement ces procédures sont bâclées (à dessein?) pour décourager toute résiliation, ou pire, accuser l’utilisateur de chercher à frauder.

Le 24/01/2019 à 10h 17

Un algorithme ne répond qu’à une question de causalité :




  • cause &gt;&gt; conséquence

  • si … [conditions] alors … [actions].



    L’étude d’un dossier ou d’une requête administrative demande bien souvent plus de compétences humaines que ne peut en fournir une machine, pour la simple et bonne raison que chaque individu est singulier.

Le 24/01/2019 à 10h 09

Et on peut parler aussi des entreprises qui automatisent leurs processus de vente ou de paramétrages et quand ça ne les arrangent pas de laisser la main à l’utilisateur de la machine, l’entreprise paramètre la machine pour rendre les actions de l’utilisateur inefficaces ou limitées. L’algorithme ne sert qu’à résoudre des problèmes ordinaires et basiques (si votre problème est trop singulier, vous pouvez ramer à trouver une solution tout seul face à cet algorithme muet). Et tant que l’algorithme est contrôlé par l’entreprise (la tête de l’entreprise) et que l’utilisateur ne sait pas comment ça marche, l’algorithme n’est pas une solution décisionnaire appropriée.

Le 24/01/2019 à 10h 03


  • Si l’algorithme est compréhensible par l’usager,



    • Si la “décision” calculée par la machine est aussi rapidement contestable par l’usager que l’est la communication du résultat décisionnaire rendu par la machine,



      Dans ces 2 conditions, je suis d’accord pour faire étudier ma demande administrative par un algorithme.



      Mais s’il s’agit de se retrouver devant un automate incapable de faire face immédiatement à mes questions (ou incapable de me faire patienter en attendant qu’on m’apporte une réponse précise et correspondant parfaitement à ma demande singulière). Voire pire, un automate incapable de faire face à un dysfonctionnement (genre qui m’envoie un message basique du genre “hors-service”), je préfère avoir un individu en chair et en os qui saura m’expliquer ce qu’il se passe et qui comprendra un minimum mon désarroi même s’il ne peut rien faire pour m’aider à l’instant “t”.


Le 23/01/2019 à 19h 34

Il a “Toubon”, Jacques.



*Pardon.

Le 23/01/2019 à 19h 33







crocodudule a écrit :



Etrange philosophie que celle qui prétend qu’un traitement uniquement par un algorithme (ce qui est heureusement strictement interdit) serait meilleur, alors que par définition le dit algorithme est nécessairement pas neutre et qu’à ce jour aucune des demandes visant à avoir l’explication du fonctionnement d’un algo d’Etat n’a donné satisfaction (au mieux des choses parcellaires)



A l’inverse si un humain est faillible ou corruptible, il est aussi responsable y compris devant un Tribunal, ce que ne sera jamais un algo.





Merci de le dire.


Le 23/01/2019 à 20h 10

Sony a raison de sortir du Royaume-uni pour rejoindre finalement la patrie du Fairphone. (oups)

Le 23/01/2019 à 08h 03

Si on considère que relayer la parole d’une multinationale étrangère est dans l’intérêt du représentant de la République française, je n’y vois pas non plus de problème. Cela-dit, comme écrit dans l’article ci-dessus, bizarrement, la Cnil (un organe du Gouvernement) et le Ministre de l’économie et des finances (B. Le Maire) en font une toute autre publicité.



Personnellement, je ne comprends pas. Il faut m’expliquer : concours de circonstance ? un effet de communication pour montrer que la France soutient les investissements de Google ? Pourquoi l’Elysée ne soutient-il pas également la Cnil ou le Ministre ?

Le 22/01/2019 à 18h 19

C’est clair, ils sont forts, les spin doctors du Gouvernement. Mais en période de campagne électorale, je ne vois pas comment ça aurait pu être autrement, malheureusement. Cela-dit, à titre personnel, je vais quand même participer, histoire de montrer ma bonne volonté (sans résignation aucune).

Le 22/01/2019 à 18h 15

C’est un débat, une concertation, il n’y a pas de vote. Le “grand débat national” est fait pour proposer des choses ou pour se plaindre.

Le 22/01/2019 à 17h 17

Intéressante, cette concertation nationale, mais dommage qu’elle se déroule en pleine période électorale européenne (suivie immédiatement par la campagne des élections municipales du printemps 2020).

Le 22/01/2019 à 12h 39

Alors Google, on fait moins les malins : il y a un Sheriff en ville !

Le 21/01/2019 à 18h 06







the_frogkiller a écrit :



Peut être que l’amende ne semble pas grosse mais Google ne peut pas se permettre de ne rien faire car les prochaines sanctions risques d’être plus lourdes et qu’il y a alors risques de réactions aux niveaux europeens





Oui, très juste : il m’avait semblé que le pari du RGPD était de mettre l’ensemble du marché européen en contre-poids d’entreprises de collecte/traitement de données personnelles à l’échelle mondiale. Et d’être suivi par d’autres marchés comme celui de l’Inde, par exemple (ce qui serait difficilement contournable par une société multinationale, même de la puissance de Google ou Facebook).


Le 21/01/2019 à 15h 11

“grand dictateur 1er” est légèrement exagéré, même si certes, le quinquennat présidentiel a rendu l’Assemblée nationale moribonde dans le processus qui se voulait démocratique à l’origine, et même si E.Macron est le 1er Président de la République à assumer ouvertement servir une forme de ploutocratie.

Le 21/01/2019 à 09h 33

“Et les nommés sont : …”



On se croirait revenu au temps du Consulat du Général Bonaparte.

Le 20/01/2019 à 12h 57

Disons que la Chine prend actuellement sa revanche sur 5 siècles de domination (et d’appropriation technologique) par l’Occident. Et l’Afrique attend toujours son tour de dominer un jour le Monde.



NB: concernant l’imprimerie, la Chine n’a pas inventé l’imprimerie (le fait de copier des pages entières de façon automatisée), quand bien même a-t-elle inventé latechnique d’impression.

Le 18/01/2019 à 23h 23

« Surveillance en ligne et hors ligne »



         



Jean-Marc Manach:

&gt;&gt;  « RT @[email protected]



 Google l'informe que sa fille de 12 ans a téléchargé une appli à 0h11. "Mais je dormais, à minuit !" assure l'intéressée. Qui croire? L'enfant ou la machine? @[email protected] a testé le contrôle parental sur smartphone et affronté de nombreux dilemmes. Passionnant.     



https://www.franceinter.fr/emissions/la-fenetre-de-la-porte/la-fenetre-de-la-porte-08-janvier-2019

*&#160twitter.com Twitter »

Le 18/01/2019 à 22h 51

« Pour sa part, Envoyé Spécial a consacré une émission au glyphosate et le débat autour de son interdiction en France. »




  &nbsp;Konbini News a fait une vidéoavec Élise Lucet à propos du Glyphosate. À ce propos,bien que je boycotte les émissions de France Télévisions et de Radio France (à cause de la #CopyrightDirective de 2018 et de l'implication militante des animateurs de ces médias étatiques), j'apprécie cette vidéo : je vais bientôt déménager de mon centre-ville d'une agglo de 150 000 hab. à cause de la pollution de l'air que les autorités publiques refusent éradiquern et de la même manière, je considère qu'un scandale du glyphosate éclatera dans la dizaine d'années à venir concernant l'alimentation. Pour cette raison, je boycotte d'ores-et-déjà les enseignes de grande distribution et leurs produits (Carrefour City, Franprix, etc).

Le 18/01/2019 à 14h 17

En tout état de chose, personnellement, je me suis inscrit sur granddebat.fr et pour le moment il n’y a rien de bien ouvert : les questions posées dans les fiches de présentation thématiques me paraissent biaisées. À voir comment évolura cette concertation de citoyens dans le temps… J’attends une certaine ouverture à des idées fraiches que le Gouvernement n’a pas eu l’audace de proposer par lui-même (c’est un peu le sujet si on souhaite calmer cette révolte de gilets jaunes).

Le 18/01/2019 à 14h 10

La question est plutôt de savoir comment va travailler ce collège de garants, et d’ailleurs, de savoir pourquoi autant de garants pour un débat ? D’ordinaire, pour des concertations publiques locales, il n’y a qu’un seul garant nommé par une commission ad hoc.